Добірка наукової літератури з теми "Mill, John Stuart (1806-1873) – Philosophie politique"

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Дисертації з теми "Mill, John Stuart (1806-1873) – Philosophie politique":

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Zelenko, Pierre. "La philosophie morale et politique de John Stuart Mill." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2002PA040264.

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Анотація:
John Stuart est souvent cité comme l'un des archétypes de la pensée libérale ou de l'utilitarisme. Pourtant sa philosophie est beaucoup plus subtile et moins univoque que ne le laissent penser ces idées reçues. S'il s'appuie sur certains présupposés utilitaristes, Mill ne subordonne pas tout au plus grand bonheur du plus grand nombre. S'il fait de la liberté une valeur première, il envisage de nombreuses limites et de multiples contrôles qui définissent une relation plus équilibrée entre ordre et liberté. Toutefois, les modes de régulation de la vie sociale ne doivent pas être rigides et formels mais souples et évolutifs. C'est pourquoi cette philosophie morale consacre une large place aux expressions sociales spontanées telles le " naming and shaming ". De la même façon Mill croit que le progrès résulte du développement individuel de chacun, qui doit être le moins entravé possible et dont les moyens doivent être garantis par l'Etat, si besoin est
John Stuart Mill is often referred to as one of the most typical exemples of liberalism or utilitarianism. However his philosophy is more subtle and less simple than those stereotypes suppose. If he bases his thought on certain utilitarist presuppositions, Mill does not consider the greatest happiness principle as the most important one. If Liberty can be regarded as the main value of his philosophy, several limits and controls are taken into account and a more balanced equilibrium between order and liberty is outlined. Nevetheless, regulation of social life must not be rigid or formal but soft and evolutive. For this reason, Mill takes seriously spontaneous regulations such as "naming and shaming". By the same token, he believes that progress stems from everybody's self-development, which must not be impeded as far as possible and whose means must be provided by the State if need be
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Dejardin, Camille. "John Stuart Mill, libéral utopique." Electronic Thesis or Diss., Paris 2, 2018. http://www.theses.fr/2018PA020060.

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Анотація:
Comment rendre compte de la richesse syncrétique, souvent mésestimée, de la pensée politique de John Stuart Mill ? Nous soutenons que celle-ci est cohérente et que sa clé d'unification se trouve dans sa conception du Progrès, conçu à la fois comme nature et comme destination humaine, qui permet de subsumer la diversité de ses théories au sein d'une utopie d'un type nouveau, libérale et centrée sur les conditions de sa production et de son maintien. En ce sens, la Partie I s’attache à identifier les différents apports idéologiques qui nourrissent ses écrits, entre libéralisme, socialisme et conservatisme, ainsi que leurs limites respectives. La Partie II propose le concept de « libéralisme transcendantal » pour décrire la relation et la complémentarité de ces différentes influences au sein d’une doctrine unifiée sous l'hégémonie du libéralisme, promouvant avec exigence l’autonomie humaine à l’échelle individuelle comme à l'échelle collective en s'attachant toujours à ses conditions de possibilité, aux fins du Progrès. La Partie III s'intéresse alors aux ressorts matériels, moraux et politiques de ce Progrès : développement indéfini des individualités et de « l'art de vivre », c'est-à-dire bonheur dynamique, dans un état économique et démographique pourtant « stationnaire », et sous des institutions représentatives vouées à cultiver l'excellence dans le respect du pluralisme. Au terme de cette reconstitution théorique, les Perspectives proposent des éléments pour une refondation de la pensée progressiste, en particulier écologique et éducative, émancipée des clivages partisans contemporains, dans l'esprit de John Stuart Mill
John Stuart Mill's syncretic political thought is too often misestimated. My work aims to demonstrate that it is though consistent and that its pivotal point lies in Mill's vision of Progress: this one is conceived at the same time as the human nature and the human telos and as such, it unifies his views on education, happiness, social justice, economic stability and the aims and means of the representative government. All these elements build a new kind of utopia, a liberal utopia focused on the conditions of its own advent and preservation. In this perspective, my First Part will sort out which influences nourish Mill's writings, between liberalism, socialism and conservatism – none of these ideologies being completely accurate. Part Two will then theorize “transcendantal liberalism” so as to describe his approach as a unified doctrine polarized by liberalism but always keeping in mind what “liberty” relies on, i.e. the preconditions of individual and collective autonomy. Part Three will stress on which material, moral and political devices are required by such a goal: a steady-state economy and demography, moral growth and the culture of an “Art of Living” and a “religion of Humanity”, and finally the flourishing of a truly pluralist representative government. To conclude, the Perspectives will highlight a few elements inspired by Mill and likely to be useful for the renewal of nowadays ideology of Progress, particularly from an ecological standpoint
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Mathon, Vincent-Emmanuel. "Logique et politique dans l'oeuvre de John Stuart Mill." Rouen, 2006. http://www.theses.fr/2005ROUEL524.

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Анотація:
L'oeuvre de John Stuart Mill est à la fois politique et scientifique. Loin d'être antagonistes, ces deux aspects sont au contraire complémentaires. Dans l'ouvrage A System of Logic (Le Système de Logique), la logique est décrite comme une méthode permettant de valider les raisonnements en sciences ou dans d'autres domaines. La logique est un cheminement en trois étapes : le langage (avec la formation d'images mentales), l'induction et, enfin, la formation des lois. Ce cheminement peut s'exposer de manière abstraite comme il peut tout aussi bien s'appliquer aux sciences et à la politique. La logique, à travers son cheminement, est tout aussi bien façonnée pour les sciences que pour la politique. Stuart Mill s'inscrit pleinement dans l'héritage de la philosophie anglaise mais s'inspire également de la philosophie continentale, notamment de Fichte dont il partage la même conception de la culture
The work of John Stuart Mill is both political and scientific. Both aspects – the political and the scientific ones – are connected with each other. In Stuart Mill's A System of Logic, logic is defined as the science as well as the art of reasoning. Logic is a three step progress. The first step is language (along with the creation of mental images), the second, induction and, finally, the third, the making of laws. This logical progress may be abstractly applied; it can also be applied to sciences and politics. Logic, throughout its progress, is equally shaped for sciences and politics. The works of Stuart Mill comply with the tradition of British philosophy. Yet he is also inspired by continental philosophy, notably Fichte's theories about culture
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Dejardin, Camille. "John Stuart Mill, libéral utopique." Thesis, Paris 2, 2018. http://www.theses.fr/2018PA020060/document.

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Анотація:
Comment rendre compte de la richesse syncrétique, souvent mésestimée, de la pensée politique de John Stuart Mill ? Nous soutenons que celle-ci est cohérente et que sa clé d'unification se trouve dans sa conception du Progrès, conçu à la fois comme nature et comme destination humaine, qui permet de subsumer la diversité de ses théories au sein d'une utopie d'un type nouveau, libérale et centrée sur les conditions de sa production et de son maintien. En ce sens, la Partie I s’attache à identifier les différents apports idéologiques qui nourrissent ses écrits, entre libéralisme, socialisme et conservatisme, ainsi que leurs limites respectives. La Partie II propose le concept de « libéralisme transcendantal » pour décrire la relation et la complémentarité de ces différentes influences au sein d’une doctrine unifiée sous l'hégémonie du libéralisme, promouvant avec exigence l’autonomie humaine à l’échelle individuelle comme à l'échelle collective en s'attachant toujours à ses conditions de possibilité, aux fins du Progrès. La Partie III s'intéresse alors aux ressorts matériels, moraux et politiques de ce Progrès : développement indéfini des individualités et de « l'art de vivre », c'est-à-dire bonheur dynamique, dans un état économique et démographique pourtant « stationnaire », et sous des institutions représentatives vouées à cultiver l'excellence dans le respect du pluralisme. Au terme de cette reconstitution théorique, les Perspectives proposent des éléments pour une refondation de la pensée progressiste, en particulier écologique et éducative, émancipée des clivages partisans contemporains, dans l'esprit de John Stuart Mill
John Stuart Mill's syncretic political thought is too often misestimated. My work aims to demonstrate that it is though consistent and that its pivotal point lies in Mill's vision of Progress: this one is conceived at the same time as the human nature and the human telos and as such, it unifies his views on education, happiness, social justice, economic stability and the aims and means of the representative government. All these elements build a new kind of utopia, a liberal utopia focused on the conditions of its own advent and preservation. In this perspective, my First Part will sort out which influences nourish Mill's writings, between liberalism, socialism and conservatism – none of these ideologies being completely accurate. Part Two will then theorize “transcendantal liberalism” so as to describe his approach as a unified doctrine polarized by liberalism but always keeping in mind what “liberty” relies on, i.e. the preconditions of individual and collective autonomy. Part Three will stress on which material, moral and political devices are required by such a goal: a steady-state economy and demography, moral growth and the culture of an “Art of Living” and a “religion of Humanity”, and finally the flourishing of a truly pluralist representative government. To conclude, the Perspectives will highlight a few elements inspired by Mill and likely to be useful for the renewal of nowadays ideology of Progress, particularly from an ecological standpoint
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Knufer, Aurélie. "Intervention et libération d'Edmund Burke à John Stuart Mill." Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010674.

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Анотація:
Ce travail examine le problème de l'intervention d'un État ou d'un peuple dans les affaires d'un autre tel qu'il fut formulé dans le libéralisme naissant et à partir de la conjoncture ouverte par la Révolution française de 1789. Après un détour par les auteurs du droit des gens, il examine les écrits de Burke et de Godwin afin de donner à voir la nature polémique et les origines révolutionnaires du concept d'intervention. Puis, prenant comme fil directeur l'œuvre de John Stuart Mill, qui s'est penché de manière récurrente sur ce problème, en lui apportant des réponses diverses et contradictoires, il s'efforce d'en montrer l'équivocité. Loin de pouvoir se ramener à un simple chapitre de la théorie de la guerre ou du droit international, la question de l'intervention militaire fut au contraire réfléchie en relation avec l'économie, la politique ou encore la morale - les penseurs libéraux, tels que John Stuart Mill, Benjamin Constant, ou encore Richard Cobden, s'efforçant, dans chacun de ces champs et en faisant circuler les concepts, les maximes et les raisons, d'élaborer un ou des principes de non-intervention. Il propose enfin une nouvelle traduction et une lecture des « Quelques mots sur la non-intervention » de John Stuart Mill, en exhumant la nature dialectique de cet article de 1859
This study examines the issue of intervention from a State or a people within the affairs of another as formulated in the nascent Liberalism and from the situation brought about by the French Revolution of 1789. After considering the authors of the law of nations, the study examines the writings of Burke and Godwin in order to highlight the controversial nature and revolutionary origins of the concept of intervention. Then, following the work of John Stuart Mill as a guiding theme, a philosopher who has provided diverse and contradictory answers in his recurrent study of this issue, an attempt is made to demonstrate the equivocal nature of intervention. Far from being a simple matter of war theory or international law, the issue of military intervention has on the contrary been considered in relation to economies, politics, and even morals - liberal thinkers, such as John Stuart Mill, Benjamin Constant, and Richard Cobden, having endeavored, in each of these fields and by spreading concepts, maxims and reasons, to elaborate one or several principles of non-intervention. Lastly, a new translation and an interpretation of "A Few Words on Non-Intervention" by John Stuart Mill are proposed by highlighting the dialectical nature of this 1859 article
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Gillig, Philippe. "Mill et ses critiques : analyse d'une prétendue prétention à l'universalité de l'économie politique de John Stuart Mill." Thesis, Strasbourg, 2014. http://www.theses.fr/2014STRAB006/document.

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Анотація:
J. S. Mill a été l’une des cibles privilégiées de toute une littérature critique dénonçant la prétention de l’économie à l’universalité, c’est-à-dire à établir des lois naturelles. Parmi ces critiques, on peut déceler deux angles d’attaque différents : celui d’auteurs qui, comme Durkheim, Veblen ou Schmoller, fustigent la prétention de l’économie à réduire l’homme à un homo œconomicus, et par suite à faire l’apologie du « laissez-faire » ; celui de Marx qui dénonce le caractère naturalisant de la propriété privée capitaliste dans le discours économique. Pourtant, en examinant de près les textes épistémologiques de Mill, nous montrons que ce dernier se trouve justement être l’avocat – et par anticipation – de ses critiques. Toutefois, rien ne garantit que Mill dise tout le vrai sur sa propre pratique d’économiste. Or, nous dévoilons que certains de ses écrits économiques présentent bien une forme d’universalité, n’étant pas uniquement valables dans les économies de marchés capitalistes
J. S. Mill was one of the main targets of a whole critical literature denouncing the pretention of economics to universality, that is to say, to establish natural laws. Among the criticisms one can detect two different angles of attack: that of authors such as Durkheim, Veblen or Schmoller who criticize the claim of political economy to reduce man to a mere homo œconomicus, and consequently to glorify “laissez-faire”; that of Marx who castigates the naturalizing character of capitalist private property in the economic discourse. However, by closely examining Mill’s epistemological texts, we show that this author just happens to be the advocate of his own critics. However, there is no guarantee that Mill says all the truth about his own practice as an economist. Now, we demonstrate that some of his economic writings present indeed a form of universality, in as much as they are not only valid in capitalist market economies
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Akdere, Çinla. "L' épistémologie économique appliquée de John Stuart Mill : Une étude de causalité." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010032.

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Анотація:
Le nom de John Stuart Mill (1806-1873) n'est habituellement associé à l'histoire de la pensée économique qu'à travers des jugements hésitants qui en arrivent même à sous-estimer sa pensée économique. L'auteur est souvent présenté soit comme un auteur transitoire qui n'a pas fourni de contribution propre à l'évolution de la théorie économique, soit comme un auteur dont l' œuvre est caractérisée par des confusions. L'objectif de la thèse est de proposer une réflexion singulière sur la place de l'auteur dans l'histoire de la pensée économique afin de définir son apport à l'évolution de la théorie économique. Mill est un philosophe des sciences qui a fondé son épistémologie économique sur une philosophie des sciences qui lui est propre. Parmi la connaissance des diverses disciplines et doctrines que son éducation lui procure l'apprentissage de la science lui permet de proposer un principe de causalité qui lui est propre aussi, le principe d'hétéropathie causale (PHC). Ce principe fournit à ses arguments, en morale, en politique et en économie une justification scientifique. Dans son étude il est possible d'identifier deux méta-méthodes (la pensée contrefactuelle et la pensée interdisciplinaire) qui seront utiles aux économistes pour réfléchir sur la nature des lois économiques que nous définirons comme hétéropathico-déductive et interdisciplinaire.
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Beaulieu, Anick. "Dialogue et philosophies : l'exemple du débat sur le fondement de la morale entre le déontologisme kantien et l'utilitarisme de John Stuart Mill." Master's thesis, Université Laval, 2005. http://hdl.handle.net/20.500.11794/43696.

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Анотація:
La communication, souvent considérée de nos jours comme une solution à plusieurs problèmes philosophiques, constitue pourtant elle-même un problème de taille en philosophie. Les philosophes peuvent-ils se comprendre entre eux ou sont-ils condamnés pour toujours à travailler seuls? Quand on observe de plus près les «oppositions» philosophiques, même les plus connues, on constate qu'on ne peut pas parler de rencontre avec exactitude. Ce mémoire analyse plus spécialement sous cet aspect le conflit sur le fondement de la morale qui oppose traditionnellement déontologistes et conséquentialistes, où l'on pourra apprécier l'asymétrie des deux systèmes notamment en ce qui concerne la question de l'universalité du fondement et celle de l'autonomie de la morale. Cependant, l'étude des philosophes passés et présents constituant également un dialogue entre philosophes, toute conclusion déplorant l'état du dialogue entre les philosophes ne saurait être prise totalement au sérieux.
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Billier, Jean-Cassien. "Libéralisme et rationalité morale." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040116.

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Анотація:
Intimement lié au libéralisme politique, le libéralisme moral consiste à tenter de définir les principes d’une morale publique minimale rendant possible la garantie des désaccords moraux sur les conceptions du Bien. Il ne peut avoir de sens que de façon radicalement anti-perfectionniste, c’est-à-dire en refusant de comporter lui-même le moindre élément apparenté à une conception quelconque du Bien. Les fondations anciennes du libéralisme à partir des concepts d’autonomie et d’individualisme sont donc devenues impropres à justifier la neutralité axiologique idéale de la sphère publique. Ni l’autonomie ni l’individualisme ne font en effet partie des valeurs non-controversées que recherchent les libéraux anti-perfectionnistes contemporains. La justification et l’application des deux principes fondamentaux du libéralisme anti-perfectionniste, celui de la « non-nuisance » à autrui et celui de la « considération égale » apportée à chaque être humain, supposent d’une part un enracinement dans la culture politique démocratique et libérale qui s’est développée depuis environ deux siècles et d’autre part une reconnaissance de l’hétérogénéité des sources de nos délibérations morales qui sont définitivement faillibles dès qu’elles sortent de la tâche de fondation de ces mêmes principes par auto-compréhension de la communauté libérale. Le libéralisme moral anti-perfectionniste est ainsi opposé à tout relativisme moral tout en refusant également l’idée selon laquelle on peut découvrir un principe moral absolu et infaillible capable de résoudre nos dilemmes moraux : il ne propose qu’une morale publique qui n’ambitionne pas de répondre à l’ensemble des interrogations qui habitent nos vies morales personnelles
Moral liberalism, which is intimately linked to political liberalism, consists in trying to define the principles of a minimal public morality which makes moral disagreements on conceptions of Good possible. The only way it can have any meaning is by being radically anti-perfectionist, that is, by refusing to contain in itself the least element akin to any conception of Good. The former foundations of liberalism based on the concepts of autonomy and individualism have therefore become inappropriate in justifying the ideal moral neutrality of the public sphere. Neither autonomy nor individualism belong to the uncontroversial values sought after by contemporary anti-perfectionist liberals. The justification and application of the two fundamental principles of anti-perfectionist liberalism, that of to do no harm to others and that of equal respect for each human being, depend, on the one hand, on our moral beliefs being rooted in the liberal and democratic political culture that has developed over the past two centuries and, on the other, on the recognition of the heterogeneity of the sources of our moral deliberations which are completely fallible as soon as they abandon their fucntion of founding those same principles through the understanding internal to the liberal community. Anti-perfectionist moral liberalism is thus opposed to all moral relativism while, at the same time, rejecting the idea that an absolute and infallible moral principle capable of solving all our moral dilemmas could be discovered. All it has to offer is a public morality which does not seek to answer all the questionings which haunt our personal moral experience
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Goëtzmann, Marc. "À l’ombre du Léviathan : Coutume et propriété comme « faisceau de droits » de Henry Sumner Maine à Elinor Ostrom." Thesis, Université Côte d'Azur (ComUE), 2019. http://theses.univ-cotedazur.fr/2019AZUR2029.

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Анотація:
Ce travail souligne les liens directs ou indirects de filiation entre l’étude contemporaine des « communs » par Elinor Ostrom et ses collègues et celle des « communautés de village » par certains penseurs de la fin du XIXe siècle. En particulier, ces deux corpus contestent explicitement le recours à la figure du « Léviathan » comme souverain, producteur du droit et protecteur de la propriété individuelle. Il s’agit de montrer, à travers les œuvres de Henry Sumner Maine et John Stuart Mill, que le problème de la gestion de l’Inde coloniale vient alimenter les débats européens de l’époque sur un ensemble de questions, telles que celle de l’alternative entre propriété individuelle et collective, de la codification juridique, ou de la nature de la souveraineté. Le paradigme philosophique et juridique hérité de Hobbes, Bentham et Austin se voit ainsi contesté, face à l’existence des « communautés » de village aux régimes de propriété complexes et régulées par des systèmes coutumiers indépendants de tout « souverain ». La coutume apparaît dans ces communautés comme un ensemble de règles ayant pour fonction de permettre la gestion collective de ressources, ce que confirme et précise l’étude des communs par Elinor Ostrom. C’est aussi dans ce cadre que l’on peut situer l’origine d’une certaine acception de la propriété comme « faisceau de droits ». Nous proposons une forme de généalogie de cette expression, afin de montrer que, dans le contexte du XIXe comme dans celui, plus récent, de l’étude des communs, elle ne désigne pas un ensemble fragmenté de droits, mais bien plutôt une structure spécifique marquée par une conception patrimoniale de la propriété qui se distingue de l’idée de propriété comme maîtrise absolue de l’individu sur les choses. Ces comparaisons contribuent aussi à une compréhension élargie des problèmes de coopération, en soulignant le rôle que la coutume peut jouer dans leur résolution
This work highlights the direct or indirect links between the contemporary study of « commons » by Elinor Ostrom and her colleagues and that of « village communities » by some late 19th century thinkers. In particular, these two corpuses explicitly challenge the use of the figure of the Leviathan as sovereign, source of the law and protector of individual property. The works of Henry Sumner Maine and John Stuart Mill show that the problem of managing colonial India fueled debates that interested their European contemporaries on questions such as the alternative between individual and collective property, the problem of legal codification, or the nature of sovereignty. The philosophical and legal paradigm inherited from Hobbes, Bentham and Austin is thus challenged in the face of the existence of these « village communities » and their complex structures of ownership, regulated by customary systems independent from any « sovereign ». Custom then appears in these communities as a set of rules designed to allow the collective management of resources, which is confirmed and clarified by Elinor Ostrom's study of the commons. It is also in this context that the origin of the idea of property as a « bundle of rights » can be found. We show that, in the 19th century as in the more recent studies on the commons, this idea does not refer to a fragmented set of rights, but rather to a specific structure, that encapsulates a patrimonial conception of property, to be distinguished from the idea of property as the absolute dominion of individuals over things. These parallels also offer valuable insights on problems of collective action and cooperation, by highlighting the role customary law plays in solving them

Книги з теми "Mill, John Stuart (1806-1873) – Philosophie politique":

1

1948-, Gray John, Smith G. W. 1941-, and Mill John Stuart 1806-1873, eds. On Liberty. London: Routledge, 1991.

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Mill, John Stuart. On liberty: Bold-faced thoughts on free will, free speech, and the importance of individuality. New York: Sterling, 2012.

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Mill, John Stuart. On liberty. New York: Barnes & Noble Books, 2004.

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4

Mill, John Stuart. On liberty: A translation into modern English. Manchester, England: Industrial Systems Research, 2013.

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Mill, John Stuart. On liberty. Union, N.J: Lawbook Exchange, 2002.

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Kurer, Oskar. John Stuart Mill: The politics of progress. New York: Garland Pub., 1991.

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Okin, Susan Moller. Women in Western political thought: [with new afterword]. Princeton, N.J: Princeton University Press, 1992.

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Mill, John Stuart. The collected works. Indianapolis: Liberty Fund, 2006.

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Cook, Ian. Reading Mill: Studies in Political Theory. Mcmillin Pub Llc, 1997.

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Mill, John Stuart. Collected Works of John Stuart Mill. Routledge, 1985.

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Частини книг з теми "Mill, John Stuart (1806-1873) – Philosophie politique":

1

Cléro, Jean-Pierre. "John Stuart Mill (1806-1873) : un utilitariste anti-utilitariste ?" In Histoire raisonnée de la philosophie morale et politique, 567–73. La Découverte, 2001. http://dx.doi.org/10.3917/dec.caill.2001.01.0567.

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2

Daval, René. "L'utilitarisme anglais après John Stuart Mill (1806-1873) : Henry Sidgwick (1838-1900) et George Edward Moore (1873-1958)." In Histoire raisonnée de la philosophie morale et politique, 632–40. La Découverte, 2001. http://dx.doi.org/10.3917/dec.caill.2001.01.0632.

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3

"John Stuart Mill (1806–1873)." In Sprachphilosophie / Philosophy of Language / La philosophie du langage, edited by Marcelo Dascal, Dietfried Gerhardus, Kuno Lorenz, and Georg Meggle. Berlin • New York: Walter de Gruyter, 1992. http://dx.doi.org/10.1515/9783110095838.1.2.401.

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"John Stuart Mill und Harriet Taylor – Freiheit und Gleichberechtigung." In John Stuart Mill – Ausgewählte Werke in fünf Bänden, edited by Ulrike Ackermann and Hans Jörg Schmidt. Wachholtz-Verlag, 2021. http://dx.doi.org/10.23797/9783529097102.

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Анотація:
Der erste Band der »Ausgewählten Werke« John Stuart Mills (1806-1873) enthält Texte zur Erfahrung der Freiheit und zur Gleichberechtigung der Geschlechter. Die Erkenntnisse der klassischen Mill-Forschung werden hier verbunden mit Einsichten der feministischen Theorie und Frauenforschung, die sich vornehmlich auf Harriet Taylor konzentriert hatten. John Stuart Mill ist einer der wichtigsten Vordenker der liberalen Philosophie und der klassischen Nationalökonomie. Neben seinen zahlreichen bekannten Schriften zum Verhältnis von Staat und Individuum ist auch sein Privatleben höchst interessant und prägend für die Freiheitsphilosophie: John Stuart Mill lernt 1830, im Alter von 24 Jahren, die verheiratete Harriet Taylor kennen, die zunächst seine `Seelenfreundin´, dann seine Geliebte wird, bis die beiden schließlich 1851, nach dem Tod ihres Mannes, heiraten. Gemeinsam setzten sie sich vehement für Freiheits- und Frauenrechte ein, die Zusammenarbeit mündeten in einigen gemeinsamen Werken. Ein Skandal im viktorianischen England! Das rebellische Paar war in seinem Denken und Leben unerhört modern. Diese Ausgabe versammelt zum ersten Mal seit über 120 Jahren die wichtigsten Schriften des großen Nationalökonomen, Freiheitsdenkers und Kämpfers für die Gleichberechtigung der Frau. Zahlreiche Texte der auf fünf Bände angelegten Ausgabe mit insgesamt über 5000 Seiten werden hier zum ersten Mal auf Deutsch vorgelegt. Im Mittelpunkt steht Mills Freiheitsphilosophie. Im ersten Band ist gleichzeitig auch sein großer Einsatz für die Gleichberechtigung der Frauen dokumentiert. Denn John Stuart Mill forderte ebenso das Frauenwahlrecht wie das Scheidungsrecht und gilt heute als einer der ersten Feministen.

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