Добірка наукової літератури з теми "Incertitude du taux de change"

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Статті в журналах з теми "Incertitude du taux de change":

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Viviani, Jean-Laurent. "Incertitude, arbitrage et taux de change." Économie & prévision 123, no. 2 (1996): 223–28. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.1996.5801.

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Belke, Ansgar, and Ralph Setzer. "Incertitude sur le taux de change et chômage dans les pays candidats : un argument pour l'euroïsation ?" Économie & prévision 163, no. 2 (2004): 63. http://dx.doi.org/10.3917/ecop.163.0063.

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Belke, Ansgar, and Ralph Setzer. "Incertitude sur le taux de change et chômage dans les pays candidats : un argument pour l’euroïsation." Économie & prévision 163, no. 2 (2004): 63–74. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.2004.7343.

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Correa, Francisco. "Tasa de descuento ambiental Gamma: una aplicación para Colombia." Lecturas de Economía, no. 69 (February 16, 2009): 141–62. http://dx.doi.org/10.17533/udea.le.n69a739.

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Анотація:
Este artículo tiene como objetivo central describir y aplicar una metodología para estimar la tasa de descuento en proyectos de largo plazo para Colombia, como son los proyectos relacionados con la conservación ambiental y el cambio climático global. La metodología aplicada es conocida como el descuento gamma. Para la aplicación de este método se realizó una encuesta a 120 economistas de Colombia, de esta forma se obtuvo una tasa descuento mucho menor que la tasa social de descuento usualmente utilizada en la evaluación económica de proyectos de largo plazo en el país. Adicionalmente, las estimaciones realizadas permiten verificar la declinación en el tiempo de dicha tasa de descuento. Palabras clave: descuento, preferencias intertemporales, impactos ambientales, análisis costo-beneficio, incertidumbre. Clasificación JEL: B41, D91, Q51 Abstract: The main purpose of this article is to describe and apply a methodology to estimate the discount rate on long-term projects, such as those related to environmental conservation and global climate change, for Colombia. The applied methodology is known as gamma discount. For the application of this method, a survey of 120 Colombian economists was conducted. This yielded a much smaller discount rate than the social rate of discount typically used in the economic evaluation of domestic long-term projects. Additionally, the obtained estimations allow verifying the decline in time of such a discount rate. Keywords: discount rate, intertemporal preferences, environmental impacts, cost-benefit analysis, uncertainty. JEL Classification: B41, D91, Q51 Résumé : Cet article présente une méthodologie permettant d.estimer le taux d.actualisation dans la valorisation des projets de long terme pour la Colombie, notamment les projets associés à la préservation de l.environnement et le changement climatique. La méthodologie que nous appliquons est connue comme l.escompte gamma. Pour ce faire, nous avons fait un sondage auprès de 120 économistes de Colombie, ce qui nous a permit d.établir un taux d.escompte beaucoup plus petit que le taux social d.escompte traditionnellement utilisé dans l'évaluation économique des projets de long terme dans le pays. En plus, les estimations effectuées permettent de vérifier la chute de ce taux d.escompte dans le temps. Mots Clef: taux d.escompte, préférences intertemporelles, impacts environnementaux, analyse coût bénéfice, incertitude. Classification JEL: B41, D91, Q51
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Baudchon, Hélène, Odile Chagny, Thierry Latreille, Catherine Mathieu, Olivier Passet, Christine Rifflart, and Paola Veroni. "Une certaine hésitation. Perspectives 2000-2001 pour l'économie mondiale." Revue de l'OFCE 75, no. 4 (December 1, 2000): 7–104. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p2000.75n1.0007.

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Анотація:
Résumé L'année 2000 sera le meilleur millésime de croissance mondiale depuis 1984, grâce à la conjonction de facteurs favorables : effets de la nouvelle économie, surtout aux Etats-Unis ; sortie de crise en Asie, en Amérique latine et en Russie ; dynamisme persistant de la Chine et de plusieurs pays d'Europe en transition ; nouvel essor européen. Seuls quelques pays (Japon, Argentine) restent en retrait. Pourtant, les incertitudes se sont amplifiées au cours des six derniers mois. Le prix du pétrole reviendrait de 30 dollars fin septembre 2000 à 26 en 2001, le marché retrouvant un certain équilibre et l'OPEP reprenant le contrôle de la situation. La glissade de l'euro depuis janvier 1999 s'explique par des facteurs psychologiques, mais surtout structurels (les États- Unis ont repris le leadership dans les secteurs innovateurs ; leur taux de change réel d'équilibre s'est apprécié) et conjoncturels (un dollar fort permet aux États-Unis de lutter contre l'inflation, et à l'Europe d'impulser sa croissance). L'euro se redresserait lors du basculement de croissance en faveur de l'Europe, vers la mi-2001. Depuis le début de l'année, la Bourse stagne aux États- Unis. Compte tenu du niveau élevé atteint par les PER et de la fin de la montée en puissance des valeurs technologiques, une période prolongée de fluctuations autour d'une tendance plate, permettant le retour progressif des PER à un niveau normal est envisageable. Les taux d'intérêt à court terme ont fortement remonté depuis la mi-1999. La hausse des taux longs a été beaucoup plus faible. Aux États-Unis, une détente monétaire aurait lieu courant 2001. La politique monétaire ne constituerait pas un frein puissant à l'échelle mondiale, les taux restant bas relativement au taux de croissance anticipé. Les premiers signes de ralentissement apparaissent aux États-Unis. Grâce aux gains de productivité induits par les technologies de l'information et de la communication, l'inflation reste modérée, malgré un taux de chômage historiquement bas. Les plus-values boursières ne soutenant plus la consommation, le taux d'épargne remonterait en 2001. Les effets induits de la nouvelle économie limiteraient l'infléchissement de l'investissement. La croissance serait de 5,3 % en 2000 et de 3,3 % en 2001, le déficit extérieur atteignant 5,1 % du PIB. En 2000, comme en 1999, le PIB Japonais serait en net repli au second semestre en raison des à-coups de la politique budgétaire. L'investissement productif, tiré par les technologies de l'information est en accélération. Mais les indicateurs de commandes et de ventes restent atones. La dégradation de l'emploi et la stagnation des revenus pèseraient encore sur la consommation des ménages ; la mauvaise rentabilité des entreprises et leur surendettement sur leur investissement. Après 1,7% en 2000, la croissance ne serait que de 1,6% en 2001. Depuis le passage à vide de la fin 1998-début 1999, la zone euro a connu une croissance vigoureuse et généralisée, l'Italie restant seule en retrait. La hausse du prix du pétrole grève la croissance en 2000, d'un point de PIB. L'inflation a dépassé 2% dans les onze pays en juillet. Aucune spirale inflationniste ne s'est enclenchée, la hausse des prix de l'énergie et les tensions sur le marché du travail ne s'étant pas traduites en fortes augmentations salariales. La ponction pétrolière continuerait à peser sur la consommation des ménages au second semestre 2000, mais celle-ci serait soutenue en 2001 par la baisse du taux de chômage et les réductions d'impôts. Grâce à la bonne santé financière des entreprises et la nécessité d'investir dans les nouvelles technologies, l'investissement ne serait pas fortement affecté. L'indice de confiance dans l'industrie s'est légèrement tassé dans les dernières enquêtes, mais demeure à un haut niveau. La zone euro connaîtrait un certain ralentissement au second semestre 2000, corroboré par l'indicateur avancé de l'OFCE, puis une reprise en 2001. La croissance serait de 3,5% en 2000 et de 3,3% en 2001.
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Drèze, Jacques H., and Edmond Malinvaud. "Croissance et emploi : l'ambition d'une initiative européenne." Revue de l'OFCE 49, no. 2 (June 1, 1994): 247–88. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.49n1.0247.

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Анотація:
Résumé Depuis bientôt vingt ans, le chômage européen est un problème social majeur et le signe d'une importante sous-utilisation des ressources à une époque où existent bien des besoins insatisfaits. Alors que l'emploi a crû de près de 6 % entre 1987 et 1990 dans la Communauté Européenne des douze, le taux de chômage dépasse à nouveau 10 % et s'élève. Même selon des prévisions raisonnablement optimistes (un taux de croissance de 2,5 à 3 %) le taux de chômage dépassera 10 % durant au moins quatre ou cinq ans. Cette note prend position sur les politiques de court, moyen et long terme que nous considérons comme les mieux aptes à promouvoir la croissance et l'emploi en Europe Occidentale. Nous prétendons qu'actuellement une politique budgétaire active ne paraît pas constituer un instrument adéquat pour la stabilisation économique à court terme. L'attention devrait plutôt se concentrer sur la consolidation structurelle à moyen terme des budgets, un objectif négligé durant l'expansion de la fin des années 80. Mais nous plaidons pour une stimulation monétaire, à obtenir par une forte réduction des taux d'intérêt nominaux à court terme ; nous proposons le niveau de référence zéro pour les taux d'intérêt réels à court terme, pour aussi longtemps que l'on n'observe pas clairement que la reprise est engagée. S' agissant des politiques de moyen terme, nous recommandons deux ensembles de mesures relatifs respectivement aux coûts du travail et à l'investissement. Nous notons que le chômage élevé se concentre fortement sur les travailleurs non qualifiés. De plus nous trouvons la preuve d'un désaccord croissant entre les structures par qualifications de l'offre et la demande de travail, la composition de celle-ci se modifiant vite au détriment des travailleurs non qualifiés. Cette observation justifie que l'on investisse dans l'enseignement et la formation. Nous considérons qu'elle justifie aussi des mesures visant à réduire le coût du travail non qualifié par rapport aux coûts du travail qualifié et du capital. Un élément important du coût du travail est constitué par des impôts et contributions sociales, qui entraînent un écart, particulièrement substantiel pour le travail non qualifié, entre le coût pour les employeurs et le coût d'opportunité pour la société — de 30 % à 50 % dans les pays de la Communauté. Nous prétendons que le moment est venu de réduire cet écart et nous proposons d'exempter le salaire minimum des contributions sociales à la charge des employeurs. Cela peut se faire soit en percevant de telles contributions, pour tout salaire, sur la part excédant le salaire minimum, soit en introduisant une exonération dégressive s'élevant à 100 % au niveau du salaire minimum et décroissant linéairement jusqu'à zéro au niveau double. La première modalité implique une réforme substantielle des systèmes fiscaux, car son coût direct s'élève à environ 3,2 % du PIB en moyenne dans la Communauté, avec des différences importantes suivant les pays. En revanche, le coût de la seconde modalité est plutôt de l'ordre de 1,2 % du PIB. Dans les deux cas, des ressources de remplacement doivent être trouvées pour la sécurité sociale. Une source naturelle serait l'impôt sur les émissions de CO2 qui est actuellement examiné par les pays de la Communauté (avec un rendement estimé de l'ordre de 1 à 1,3 % du PIB). Une autre source résiderait dans un relèvement des taux de la TVA. Pour la définition exacte, la mise en œuvre et le financement de cette mesure, il y a évidemment place à des mesures spécifiques aux divers pays. Les simulations économétriques faites en France et en Belgique concernant les exonérations de taxes sur le travail, doivent être considérées comme imprécises. En termes généraux elles confirment nos idées selon lesquelles il ne faut certes pas espérer un miracle, mais des gains appréciables en emploi peuvent être attendus à moyen terme, sans coût budgétaire, si notre proposition est appliquée sans timidité. A propos de l'investissement, nous reconnaissons que des capacités inutilisées limitent les perspectives immédiates d'équipe- ment des entreprises. Mais nous prétendons que des ressources inemployées peuvent être mobilisées pour des investissements riches en travail, qui auraient des rendements sociaux adéquats et contribueraient de plus à soutenir la demande globale. C'est aussi la logique de l'initiative d'Edimbourg, où les réseaux trans-euro- péens ont reçu la priorité, ainsi que les petites entreprises. Nous prétendons cependant que l'ensemble convenu à Edimbourg est insuffisant. Un programme d'investissement dont le montant correspondrait aux efforts à venir pour la consolidation structurelle des budgets ne créerait pas de tension sur les marchés du capital, tout en compensant le retard pris par les investissements publics dans la décennie passée. Nous avançons le chiffre de 250 milliards d'Ecus (soit grosso modo huit fois l'objectif d'Edimbourg) comme un but réaliste à moyen terme. Nous proposons de privilégier aussi des domaines tels que le logement pour les ménages à bas revenus, la rénovation urbaine et les transports urbains. Afin de stimuler les investissements ainsi visés, nous suggérons que l'on s'en remettre surtout aux subventions à l'emploi, en proportion du contenu en travail des projets retenus. Une telle disposition renforcerait, voire anticiperait, sur notre proposition précédente destinée à réduire les coûts du travail ; elle aurait surtout pour effet d'élargir l'ensemble des projets attractifs pour des investisseurs privés et des autorités locales. De plus un meilleur accès au marché du capital devrait être recherché grâce à la collaboration d'intermédiaires institutionnels, à l'accroissement des missions de la Banque Européenne d'Investissement, à l'extension ou à la duplication du Fonds Européen d'Investissement. Notre discussion des problèmes structurels se concentre sur les principes de base. Nous insistons d'abord sur les effets défavorables des incertitudes actuelles qui touchent non seulement certains taux d'inflation, d'intérêt et de change, mais aussi les évolutions institutionnelles dans le domaine monétaire, y compris la tentation récurrente de dévaluations compétitives. Nous ne choisissons pas un programme politique spécifique. Mais nous proclamons que réduire les incertitudes institutionnelles à propos des monnaies constitue un objectif important en lui-même. Il devrait être poursuivi activement, afin d'engager l'Europe monétaire sur une voie plus prometteuse pour l'emploi qu'un retour à des taux de change flottants libres entre les monnaies d'économies relativement petites et intégrées entre elles par d'étroits liens commerciaux. Nous examinons ensuite les finances publiques et l'Etat-provi- dence, en reconnaissant que plusieurs pays ont besoin d'une consolidation structurelle de leurs budgets et qu'il existe des éléments de déception quant aux effets des régimes sociaux. Etudiant la logique économique de l' Etat-providence, nous concluons que les réformes à réaliser devraient viser à le rendre plus svelte et plus efficace, non à le démanteler. Pour cela il faut revoir à fond l'efficacité opérationnelle et distributive des programmes existants, afin d'atteindre deux objectifs difficilement compatibles : réduire dans la plupart des pays la part des transferts sociaux dans le PIB, renforcer la protection des plus mal dotés. Les économistes devraient intensifier leur participation aux recherches destinées à relever cet important défi. Enfin, nous tirons les conséquences salariales d'une Initiative Européenne de Croissance visant à une période d'expansion soutenue, donnant la priorité à l'emploi par rapport aux salaires réels. Nous estimons qu'un schéma réaliste associe une croissance de la production de plus de 3 % l'an à une augmentation de l'emploi de plus de 1 % l'an. Cela laisse une marge d'au plus 2 % pour les salaires réels. Etant donné la présence du glissement salarial, le calcul semble conduire à des accords négociés avec des taux réels à peu près constants. Ce schéma est-il réaliste ? Nous soulevons alors la question controversée du rôle que peuvent jouer sur les salaires les poids comparés des impôts sur le capital et le travail. Nous reconnaissons que la baisse de la part des salaires au cours des années 80 a été accompagnée d'une augmentation de la part des revenus d'intérêt, qui dans de nombreux cas sont peu taxés, notamment en raison de la mobilité des capitaux et d'une concurrence fiscale entre pays. A défaut de déclarations systématiques, un prélèvement à la source uniforme au niveau européen, est le seul moyen de corriger ce déséquilibre en faveur des revenus d'intérêt. La question de savoir si un tel prélèvement est ou non désirable en lui-même de façon permanente est débattue entre spécialistes de la fiscalité. Le débat devrait être élargi pour tenir compte de ce que l'équité dans le traitement fiscal du capital et du travail pourrait contribuer de façon significative à la modération salariale, bien qu'il soit prématuré de considérer les preuves empiriques comme concluantes à cet égard. Nous espérons avoir identifié un ensemble de mesures formant un tout cohérent et avoir défini une initiative ayant la taille du problème qui nous confronte. Ces mesures ont des implications budgétaires conduisant à réallouer quelques pour cent du PIB, donc davantage qu'on l'envisage habituellement. Et elles relèvent de la responsabilité d'un vaste ensemble d'institutions qui ne sont pas engagées dans une coordination systématique de leurs politiques. De sérieux problèmes devraient ainsi être résolus pour une mise en œuvre. Nous en appelons aux responsables politiques pour qu'ils fassent preuve d'audace et de détermination en affrontant ces problèmes. Et nous en appelons aux économistes des milieux académiques pour qu'ils participent activement à la définition et à la promotion d'une initiative européenne ambitieuse.
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des, Département, Jacky Fayolle, and Françoise Milewski. "Le crépuscule des monnaies fortes." Revue de l'OFCE 57, no. 2 (July 1, 1996): 5–94. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1996.57n1.0005.

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Анотація:
Résumé En 1996, le commerce mondial évoluera, dans la foulée du ralentissement de 1995, à un rythme bien plus proche de sa tendance de longue période (5 % l'an) que de la performance moyenne des années 1994-1995 (plus de 10 % l'an). L'infléchissement est net début 1996, surtout pour le commerce intra-européen. Ensuite, le commerce mondial et la demande adressée aux pays européens reviendraient, jusqu'à la fin 1997, sur un rythme de 6 à 7% l'an. La révision des comptes nationaux américains amène à une vision renouvelée de l'expansion enregistrée par les Etats-Unis ces dernières années. C'est dès l'année 1995 désormais que l'atterrissage en douceur paraît s'être inscrit dans les chiffres de croissance (+2,1 % pour le PIB après 3,5 % en 1994). Ce ralentissement doit être compris non pas comme le terme définitif de la phase d'expansion engagée en 1991- 1992, mais comme une pause, qui diffère les tensions, avant un rebond ultérieur. Comme l'action de la Réserve fédérale devrait être assez pragmatique pour éviter aussi bien le risque inflationniste que celui d'une déstabilisation de l'activité, la croissance du PIB, encore en ralentissement en 1996 (+ 1,6 %), reprendrait de la vigueur en 1997 (+ 2 %). Depuis la fin 1995, l'embellie de l'économie japonaise est confortée par la multiplication de signes précurseurs favorables. L'économie japonaise n'en est cependant qu'au stade de la récupération du terrain perdu lors de la rechute du printemps 1995. Le redressement de la demande privée reste partiel. Au-delà d'un horizon de quelques trimestres, la croissance envisageable pour le Japon reste modérée. Le gain sera net en 1996 (+ 2,3 % pour le PIB contre + 0,7 % en 1995) mais 1997 n'enregistrerait pas d'accélération (+ 2,2 %). L'affaissement de la croissance européenne au cours de 1995 n'est pas une simple pause technique, qui manifesterait l'adaptation normale _du_çomportement de stockage aprèsja reprise rapide de 1994. Il repose sur une sérieuse défaillance de la demande finale externe eTinferne, qui interrompt à contretemps le cycle européen, avant que des tensions substantielles sur l'offre aient pu être enregistrées. L'Allemagne rencontre aujourd'hui des difficultés spécifiques sur les marchés internationaux. Elle n'a pas engagé, comme cela était attendu, la reconstitution de ses parts de marché à l'exportation, qui avaient fortement chuté en 1992- 1993. La déception causée par la rechute allemande de 1995 ne signifie pas pour autant une détérioration cumulative de l'activité Outre-Rhin. Les signes de faiblesse sont maximaux en début d'année. Mais les facteurs existent pour une récupération progressive de l'activité, à partir du second semestre 1996. La politique monétaire est supposée rester accommodante. Les exonérations fiscales entrées en vigueur vont redonner du tonus au revenu des ménages. La normalisation des taux de change aidera à la stabilisation des parts de marché à l'exportation. Lestée par les mauvaises performances de la fin 1995 et du début 1996, la progression du PIB resterait faible en 1996 (+ 0,9 %), mais serait plus honorable en 1997 (+ 2,3 %). En France, après le repli du quatrième trimestre 1995, quelques bonnes nouvelles sont apparues au début de 1996, en particulier du côté de la consommation des ménages. Mais les anticipations des entreprises restent dégradées, les carnets de commande sont encore dégarnis, et surtout, les stocks sont jugés excessifs ; l'ajustement des stocks à la demande est donc encore à venir. La demande intérieure finale resterait modérée. Les composantes publiques de la demande (consommation et investissement des administrations) sont orientées à la baisse. La consommation des ménages pâtirait cette année de la faiblesse du revenu ; elle se redresserait à la charnière de 1996 et 1997 grâce à un regain de la masse salariale. C'est la condition pour que la reprise de l'investissement s'amplifie. Les entreprises ont déjà, en 1995, reporté nombre de leurs projets ; leur réalisation suppose un retour d'anticipations favorables sur la demande finale. La reprise des exportations serait progressive, mais supérieure à celle des importations en 1996. Dans le cycle actuel, la France, qui avait dépassé la moyenne européenne dans la reprise de 1994, a décliné plus fortement dans le repli de 1995 et 1996. Les incertitudes sont de deux ordres : en premier lieu, elles concernent la nature de l'ajustement du marché du travail. Depuis l'automne 1995, les effectifs ont stagné ; si les embauches redémarrent progressivement avec le rebond d'activité, alors le regain de la masse salariale fondera celui du revenu disponible et de la consommation. Mais cela signifie que la productivité reste faible. En second lieu, les incertitudes de politique économique demeurent. En matière monétaire, on a supposé que les taux d'intérêt courts continueraient de baisser jusqu'à la fin 1996 et se stabiliseraient ensuite. La baisse des taux longs serait faible. Cette détente est favorable à la croissance, mais elle intervient tardivement dans le cycle. Sur le plan budgétaire, on a retenu qu'il n'y aurait pas de restriction supplémentaire du point de vue des prélèvements, mais une surveillance accentuée des dépenses. Ces deux incertitudes conditionnent la consolidation de la reprise en 1997, après qu'elle aura été portée, à la fin de 1996, par l'arrêt du déstockage. Il faut ainsi prévoir que la détente monétaire se poursuive, que la restriction budgétaire ne s'accentue que modérément, que la reprise de l'emploi survienne, qu'enfin le contexte mondial permette une accélération de la demande extérieure, pour envisager une croissance économique de 1 % cette année et 2,5 % l'an prochain. C'est une croissance sous conditions. Laissant l'économie très en retrait de son potentiel, elle emporterait une très faible hausse des prix, une consolidation de l'excédent extérieur et une légère baisse du chômage en 1997, après sa remontée en 1996.
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Crettez, Bertrand, and Johanna Etner. "Les effets d'un risque démographique sur l'épargne." Recherches économiques de Louvain 64, no. 3 (1998): 269–91. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800012823.

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RésuméCet article étudie les effets sur l'épargne d'une incertitude sur le taux de croissance de la population dans un modèle à générations imbriquées. Nous montrons que les hypothèses nécessaires à la formation d'une épargne individuelle de précaution ne suffisent pas dans un cadre d'équilibre général. Le motif de précaution ne permet plus à lui seul ainsi de déterminer l'influence d'un accroissement du risque sur l'épargne d'équilibre.
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Fayolle, Jacky, and Françoise Milewski. "L'investissement fuit le risque." Revue de l'OFCE 53, no. 2 (June 1, 1995): 5–106. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.53n1.0005.

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Résumé Le commerce mondial a bénéficié, en 1994, du cumul d'un ensemble de facteurs expansifs, qui lui ont permis d'enregistrer une croissance de l'ordre de 10 %. Tous ces facteurs ne se reprodui- ront pas avec la même intensité en 1995 et 1996 : — sous l'impulsion d'un durcissement déjà largement acquis de la politique monétaire, l'économie américaine enregistrera un ralen- tissement maîtrisé mais net, qui l'amènera en-deçà d'une crois- sance de 2 % l'an en 1996 ; — les économies émergentes qui connaissent des déséquilibres courants menaçants chercheront à mieux contrôler la croissance de leurs importations; — la faiblesse du dollar, sur l'ensemble de l'horizon de prévi- sion, exercera une pression concurrentielle prononcée envers les autres régions du monde. Même s'il se relève en 1996 par rapport à ses très bas niveaux actuels, le dollar ne le fera que modérément. Face à ces évolutions, les perspectives sont différenciées selon les régions du monde. Le Japon manifeste de grandes difficultés à réussir une sortie endogène de la récession des dernières années. Il n'y parvient que dans la mesure où l'impulsion publique ne se relâche pas. Les reconstructions nécessitées par le séisme de Kobé contribueront positivement à la croissance japonaise en 1995. C'est seulement en 1996 que celle-ci connaîtra une performance supé- rieure à 3 % l'an, lorsque la demande privée prendra le relais de l'impulsion publique. En 1995 la croissance allemande bénéficiera du cycle d'investis- sements engagé chez ses partenaires européens, tandis que ceux- ci seront entraînés par la consolidation de l'expansion germanique. La reprise allemande, qui s'est engagée en 1994 sous l'impulsion de la reconstitution des stocks et des exportations, deviendra en 1995 une expansion prenant plus fermement appui sur la consom- mation des ménages. Ce sera le principal effet de l'issue des négociations salariales que de donner un coup de fouet à celle-ci. La croissance allemande atteindrait 3,7 % en 1995 (3,2 % pour la partie occidentale). L'Allemagne franchira au cours de 1995 le niveau jugé normal d'utilisation de ses capacités productives. Les autorités monétaires allemandes en tiendront compte pour resserrer progressivement, à l'horizon de 1996, les conditions monétaires. La croissance alle- mande reviendra alors à hauteur de sa croissance potentielle et enregistrera en moyenne annuelle un chiffre de 3,5 % (3 % pour les lànder occidentaux). Les autres pays européens deviendront plus contraints par le resserrement monétaire allemand. En France, la reprise s'est confirmée : les carnets de com- mandes et la production restent à haut niveau. Le redémarrage de l'investissement est effectif, l'ajustement des stocks s'est réalisé, la demande étrangère reste soutenue. Si la consommation a souffert du repli de l'automobile en fin d'année, les anticipations des pro- ducteurs de biens de consommation courante restent bien orien- tées. Le logement semble être le seul secteur où un retournement s'opère. A la date de cette chronique, les perspectives que l'on peut tracer pour l'économie française sont nécessairement tendan- cielles ; quelle qu'en soit l'issue, les élections présidentielles déboucheront sur une inflexion de la politique économique à la mi- 1995. Les incertitudes majeures de cette prévision concernent trois domaines : — la politique budgétaire suivie ne permettrait pas de vérifier le critère de Maastricht concernant le déficit public (qui doit être inférieur à 3 % du PIB) avant 1997 au plus tôt ; — la politique monétaire resterait dictée par la politique du change. L'inversion des taux, en mars 1995 serait éphémère grâce à la réduction de la prime de risque par rapport à l'Allemagne ; — l'évolution des salaires est également incertaine. Notre antici- pation de croissance des salaires (taux de salaire horaire, heures supplémentaires, primes) pourrait être sous-estimée si continuent de se développer les mouvements revendicatifs du printemps. Cette prévision tendancielle conduit à une croissance du PIB de 3,5 % en 1995 et 3 % en 1996. La reprise de la demande intérieure finale concernerait tout particulièrement l'investissement des entre- prises. Les achats des ménages pourraient s'intensifier sous l'effet d'un regain modéré du revenu et de la poursuite de la baisse du taux d'épargne ; les dépenses de consommation bénéficieraient de l'atonie de l'investissement logement. Le restockage, amorcé à la mi-1994, soutiendrait encore fortement la croissance de 1995, mais beaucoup plus faiblement en 1996. La forte reprise des exporta- tions serait compensée par celle, encore plus soutenue, des impor- tations. A la fin de 1996 le niveau d'équilibre du PIB à son potentiel ne serait pas encore atteint. L'utilisation des capacités de production resterait en-deçà des seuils de saturation conduisant à accélérer les hausses de prix et/ou élever le taux de pénétration des importa- tions sur le marché intérieur. Le chômage reculerait peu, la pro- gression des effectifs, même en incluant le développement du temps partiel, absorbant juste le surcroît de population active. En l'absence de tensions sur les capacités, l'inflation resterait très modérée, les prix des services évoluant de plus en plus près de ceux de l'industrie. Et les soldes extérieurs (commercial et courant) conserveraient des excédents proches de ceux de 1994.
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Bénassy-Quéré, Agnès, Sophie Béreau, and Valérie Mignon. "Taux de change d'équilibre." Revue économique 60, no. 3 (2009): 657. http://dx.doi.org/10.3917/reco.603.0657.

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Дисертації з теми "Incertitude du taux de change":

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Jadoui, Mohammed. "Taux d'interet et taux de change valorisation d'options." Evry-Val d'Essonne, 1998. http://www.theses.fr/1998EVRY0016.

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Анотація:
Cette these comporte cinq chapitres. Dans le premier chapitre, nous revenons sur la theorie des anticipations. Apres un rappel des notions de base, nous donnons deux nouvelles formulations des hypotheses d'anticipations. La premiere est celle obtenue dans le cadre du modele quadratique gaussien ; la deuxieme est obtenue dans le cas d'un modele de diffusion avec sauts. Dans le deuxieme chapitre, deux problemes sont exposes : le probleme de taux long et celui des modeles factoriels affines en presence de sauts. D'abord, nous montrons que le taux long est un processus aleatoire ; ensuite, nous obtenons de nouvelles contraintes sur la courbe des taux dans le cadre des modeles factoriels affines. Le troisieme chapitre est inspire d'un travail effectue par el karoui et cherif (1992) sur l'arbitrage multidevise. Apres un rappel de quelques resultats connus, nous donnons les nouvelles relations d'arbitrage dans le cadre d'un modele discontinu ; ensuite, nous etudions quelques options quanto. La premiere partie du quatrieme chapitre est un complement au troisieme. Dans la deuxieme partie, nous etudions quelques options quanto-barrieres et barrieres a niveau. Dans la derniere partie, des exemples sur le probleme de maximisation de la richesse terminale sont presentes en details. Le dernier chapitre etudie le taux de change : les problemes d'intervention dans un regime de zone cible et le probleme de la monnaie unique sont evoques.
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Preumont, Pierre-Yves. "La dynamique des taux de change." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2001. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/211603.

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Zarrad, Olfa. "Le taux de change de l'euro." Grenoble 2, 2007. http://www.theses.fr/2007GRE21038.

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Анотація:
Pour les pays de la zone euro, l'unicité des taux de change nominaux par rapport aux monnaies tierces s'accompagne-elle d'une différenciation de leurs effets? Si oui comment analyser cette différenciation est-elle susceptible de provoquer des divergences affectant la soutenabilité de l'union monétaire ? La première partie est consacrée à l'étude du taux de change de l'euro d'un point de vue agrégée, et une seconde partie à l'étude différenciée, de l'euro sur les économies nationales. Après une revue de la littérature sur la détermination des taux de change, nous testons la portée explicatif de certaines théories sur le couple euro/dollar. Nous concluons à l'absence de relation de cointégration entre le taux de change euro/dollar et certains fondamentaux économiques. Ce résultat nous permet de retenir l'hypothèse selon laquelle les économies nationales ne sont pas exposées à un problème d'agrégation. Il faut entreprendre une analyse comparative de l'effet différencié du taux de change de l'euro sur les économies nationales. Bien que les pays membres partagent les mêmes variables monétaires, leur sensibilité au taux de change commun dépend de leur degré d'ouverture, de la composition de leurs échanges, il y a donc une divergence du taux de change effectif réel. Mais d'un autre côté les écarts de taux de change effectif réel compense les écarts d'inflation au sein de l'union monétaire. Afin de préciser cela, nous analysons les écarts des conditions monétaires, et cherchons dans quel mesure cet écart est réduit par la prise en compte des conditions monétaires externes. L'éventail des indicateurs des conditions monétaires est plus réduit que celui des taux d'intérêt réel. Ce qui permet de conclure que dans les conditions présentes, les différences d'évolution du taux de change effectif réel ne menace pas la soutenabilité de l'union monétaire
For the countries of the euro zone, does the unicity of the nominal exchange rates compared with other currencies go with a differentiation of their effects ? If so, how can we analyse this differentiation ? Is it able to cause divergences affecting the soutenability of this area ? This work is organized as follows: a first part devoted to the study of the euro exchange rate in an aggregate point of view, and a second one devoted to the analysis of the differentiated effects of the euro exchange rate on national economies. Our outcome of the first part reveals no relationship of cointegration between the euro -dollar and the "fundamentals" This result allows us to assume that these economies are not exposed to a problem of aggregation. It is then necessary to make a comparative analysis of the effects of these exchange rates on the national economies. Although the members of the euro zone are sharing the same nominal variables, their sensibility to a same exchange rate depends on their opening degree and the composition of their trade. There is thus a divergence of the real effective exchange rates. But in another side, these variations of the real effective exchange rate compensate the inflation gaps within the euro zone. For that, we make an original use of the indicators of monetary conditions (IMC) to compare the situation of several members of the euro zone. The real effective exchange rates have a compensatory effect. Under the present conditions, we think that these differences are not dangerous for the soutenability of the euro zone
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Lahrèche-Révil, Amina. "Taux de change réel et développement." Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA010008.

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Анотація:
Cette thèse soutient que le taux de change réel est un catalyseur de la croissance. Le préambule présente la notion de taux de change réel. La première partie analyse les normes de change réel d'équilibre de long terme (chapitre 1) et en étude la pertinence et l'utilité empirique (chapitre 2). Le chapitre 3 analyse l'effet Valassa à partir de données détaillées de prix et montre que les prix du secteur expose s'élèvent avec le développement économique, et que les monnaies des pays en développement sont de plus en plus sous-évaluées par rapport à celles des pays industrialisés, en raison du rattachement de fait de ces monnaies au dollar américain. La deuxième partie propose une explication à ces comportements d'ancrage dans le fait que le taux de change réel est un déterminant de la croissance. Après une présentation des différentes sources (interne et externe) de la croissance, (chapitre 4), le chapitre 5 propose un modèle de croissance endogène avec trappe à sous-développement dans lequel le taux de change réel permet d'accélérer la croissance. Le chapitre 6 propose une estimation empirique du modèle, qui semble fondamentalement confirmé
The real exchange rate is analysed as a catalyst of economic development. The notion of real exchange rate is exposed in the preamble. Equilibrium long term real exchange rates are studied in the first chapter, and their usefulness and relevance in the second chapter. Chapter 3 examines the balassa-samuleson effect, using detailed price data; it is shown that the prices of tradable goods rise with economic development, and that the currencies of developing coutrnies are more and more undervalued vis-a-vis those of industriblised countries, due to the pegging of these currencies to the us dollar. The second part offers an explanation to this pegging behavior, suggesting that the real exchange rate is a determinant of growth. After presenting the different (internal and external) engines of growth (chapter 4), a model of endogenous growth including an underdevelopment trap is proposed, where the real exchange rate can foster growth (chapter 5). In chapter 6, an empirical test of the model is successfully performed|
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Aflouk, Nabil. "Régimes de change, taux de change d'équilibre et croissance économique." Paris 13, 2012. http://www.theses.fr/2012PA131016.

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Анотація:
Dans un contexte d’ouverture croissante des économies, il est pertinent de s’interroger sur le choix optimal du régime de change pour les pays émergents. Notre étude empirique de la relation entre le régime de change et la croissance nous a conduits à conclure à l’absence de lien univoque entre le régime de change et la croissance. Plus précisément, il n’y aurait pas de régime de change meilleur en tout lieu et en tout temps. A l’issue de ces réflexions, il est apparu qu’un niveau approprié de taux de change accompagné du choix d’un régime de change adéquat sont consubstantiels à de meilleures performances économiques. A cette fin, après avoir estimé le taux de change réel d’équilibre en se basant sur un modèle FEER, nous avons conduit une analyse économétrique non linéaire des effets des désajustements de change sur la croissance. Nous avons constaté que cet effet dépend de la nature et de l’ampleur du désajustement de change. Pour les pays émergents, l’effet sur la croissance est positif pour les sous-évaluations de petite taille et négative pour les grandes sous-évaluations. En revanche pour les pays avancés, la sous-évaluation a un effet positif même au-delà du seuil estimé. Les surévaluations du taux de change ont des effets négatifs sur la croissance. Cet impact asymétrique des désajustements de change sur la croissance souligne l’importance de la politique de change sur la croissance. Des politiques de change appropriées qui limitent la surévaluation de la monnaie pourrait être utilisée pour promouvoir la croissance économique.
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Baulant, Camille. "Taux de change réels, niveaux d'industrialisation et normes de change." Paris 10, 1989. http://www.theses.fr/1989PA100047.

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Анотація:
La situation de crise économique des vingt dernières années est caractérisée par d'extrêmes fluctuations des taux de change. L'analyse des taux de change réels (taux de change nominaux déflatés par les taux d'inflation) permet de comprendre cette instabilité. Au niveau théorique, pour déterminer, parmi les théories du commerce international, celle qui explique le mieux les mouvements de change réel, deux théories, dérivées de Ricardo, ont été étudiées. Pour les néo-classiques, le taux de change égalise le pouvoir d'achat des monnaies et les variations du taux de change réel ne sont que temporaires. Pour les néo-rocardiens au contraire, les équilibres de prix sont multiplés et le taux de change réel tendanciel ne peut être défini que par un équilibre global portant sur les flux échanges. Sur la base de ces analyses, on a présenté deux modèles théoriques estimables empiriquement et calcule des indices de taux de change réel à différents niveaux d'analyse : PIB, valeur ajoutée manufacturière. Les régressions effectuées sur les deux modèles montrent les résultats suivants. A long terme, le taux de change réel du PIB s'élève avec le niveau de développement des pays ; à court terme, il est une fonction décroissante du taux de croissance relatif des pays. Le taux de change de la valeur ajoutée manufacturière dépend non seulement du rythme de croissance des économies mais aussi des variables industrielles : qualité de la spécialisation, salaires
The economic crisis of the last twenty years displays large fluctuations of exchange rates. Analyzing real exchange rates (nominal exchange rates divided by inflation rates) is a requirement to understand misalignements. First, a theory of real exchange rate must be elaborated and linked to well known foundations in international economics. However, the purchasing power parity is inadequate to explain real exchange rates changes in the long run. The Ricardian theory of international trade is more relevant. To apply this theory, i develop two models of real exchange-rate determination and compute several indicators of real exchange rate : gnp, value added in manufacturing. I run regressions on both models. The first one is estimaded with overall data and yields the following results : in the long run, the real exchange rate is rising with the relative level of development ; in the short run, the real exchange rate is a decreasing function of the country's growth rate. The second one is estimated with industrial data. The real exchange rate still depends upon overall growth differential but also on structural variables in the manufacturing sector : an index of industry specialization and the share of wages in value added
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Malka, Bruno. "Choix et défense d'un taux de change." Paris 9, 1986. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=1986PA090058.

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Morvillier, Florian. "Taux de change d’équilibre et déséquilibres macroéconomiques." Thesis, Paris 10, 2020. http://www.theses.fr/2020PA100030.

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Анотація:
Cette thèse vise à étudier de façon approfondie la dynamique et les déterminants du taux de change. Elle examine également le lien entre déséquilibres internes et externes. Le premier chapitre s'intéresse à l'effet du passage à l'euro sur la vulnérabilité du compte courant à des chocs de demande et de mésalignements de change. Nos résultats montrent qu'avec l'adoption de la monnaie unique, la vulnérabilité du compte courant aux chocs de demande et de mésalignements de change augmente considérablement. Le deuxième chapitre de la thèse analyse la robustesse de l'effet Balassa Samuelson (BS) pour un panel de 38 économies en développement et émergentes sur la période 1980-2016. Nous examinons les versions interne et externe de l'hypothèse BS en nous basant sur cinq mesures différentes de l'effet BS. Nous montrons que la version interne de l'effet BS n'est vérifiée que si le différentiel de productivité du travail entre les secteurs échangeables et non échangeables est utilisé. Nous trouvons également un effet robuste du prix relatif des biens non échangés par rapport aux biens échangés sur le taux de change effectif réel (TCER). Le troisième chapitre étudie les effets non linéaires des infrastructures sur le TCER en estimant un modèle Panel Smooth Transition Regression (PSTR), visant à mettre en avant un impact différencié des infrastructures sur le TCER selon la valeur prise par la variable de transition. Nous considérons trois variables de transition différentes : le stock de télécommunications pour 1000 travailleurs, la Capacité de Production d'Electricité (CPE) pour 1000 travailleurs et la qualité du réseau électrique. Lorsque le réseau n'est pas achevé ou que le stock d'infrastructures est faible, une augmentation des CPE et du stock de télécommunications déprécie le TCER, tandis que la dépréciation supplémentaire est plus faible ou inexistante une fois le réseau établi. Les résultats obtenus sont discutés à la lumière de plusieurs canaux de transmission
This thesis aims to study the dynamics and determinants of the exchange rate, paying particular attention to the link between internal and external imbalances. The first chapter examines the effect of the euro adoption on the vulnerability of the current account to demand and exchange rate misalignments shocks. Our results show that, with the adoption of the single currency, the vulnerability of the current account to demand shocks and exchange rate misalignments increases considerably. The second chapter of the thesis provides an in-depth analysis of the robustness of the Balassa Samuelson (BS) effect for a panel of 38 developing and emerging economies over the period 1980-2016. We examine the internal and external versions of the BS hypothesis based on five different measures. We show that the internal version of the BS effect is validated only if the labour productivity differential between tradable and non-tradable sectors is used. We also find a robust effect of the relative price of non-traded to traded goods on the real effective exchange rate (REER). The third chapter studies the non-linear effects of infrastructure on the REER by estimating a Panel Smooth Transition Regression (PSTR) model, aiming to highlight a differentiated impact of infrastructure on the REER depending on the value taken by a transition variable. We consider three different transition variables: the telecommunications stock per 1000 workers, the Electricity Generating Capacity (EGC) per 1000 workers and the quality of the electricity network. When the network is not completed or the infrastructure stock is low, an increase in EGC and telecommunications stock depreciates the REER, while the additional depreciation is lower or non-existent once the network is established. The results obtained are discussed in the light of several transmission channels
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Ghadban, Socrat. "Le taux de change et la demande touristique." Phd thesis, Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00937271.

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Анотація:
Les fluctuations du taux de change ont des impacts sur tous les secteurs économiques surtout l'exportation, l'importation, le choix d'investissement, le pouvoir d'achat et sans doute le tourisme. Le tourisme et le taux de change sont très vulnérables à des facteurs exogènes d'où la complexité qui se pose au niveau de la gestion. Assurer un développement économique durable est devenu une préoccupation pour les États et les acteurs touristiques, d'où une autre complexité qui s'ajoute au secteur touristique. Nos recherches ont montré un impact important du taux de change sur le tourisme notamment sur le développement économique de ce secteur. En appliquant un modèle économique qui est basé sur la compétitivité des prix touristiques, nous avons pu estimer qu'une appréciation de l'euro de 10% peut détériorer la balance touristique française d'environ 4 Milliards d'euros. De même, une étude sectorielle entre la Grèce et la Turquie a montré la compétitivité touristique de la Grèce malgré la crise. Finalement, le tourisme domestique reste le pilier dans n'importe quelle politique touristique nationale qui, en même temps, réduit la pression à la baisse sur la monnaie nationale.
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Larrain, Ríos Guillermo. "Taux de change réel, politique budgétaire et industrialisation." Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0120.

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Анотація:
Notre thèse cherche à comprendre les propriétés de l'approche non interventionniste en matière de développement et le rôle des politiques budgétaires. Le Chili depuis la libéralisation de son économie sert d'exemple. Nous élargissons le modèle d'industrialisation de Murphy et al (1989) en ouvrant l'économie. Les entreprises peuvent financer l'investissement pour changer de technologie par le biais d'une depreciation suivie d'une appréciation. Nous examinons les limites de cette approche. Nous étudions les déterminants du taux de change réel autres que la politique budgétaire. Ensuite nous nous penchons sur les services publics et l'investissement public. L'industrialisation est possible dans un cadre non interventioniste. La politique budgétaire doit être sélectivement restrainte au début, pour devenir expansionniste après. Les obstacles que cette approche doit surmonter suggèrent que l'industrialisation peut apparaître avec un retard par opposition à une politique bien ciblée sur cet objectif
This thesies studies the properties of the non interventionist approach to development and the role of budget policies. Chile is a good case study. We broaden the industrialisation model by Murphy et al (1989) by opening the economy. Firms can finance the investment needed to change technology thanks to a real depreciation followed by an appreciation. This approach has limits. We consider the determinants of the real exchange rate beyond bydgetary policies. We focus hence on the role of public services and public investment. Industrialisation may appear in this non interventionist approach. Budget policy must be contractive initially, but expansionary afterwards. The obstacles to this approach suggest that industrialisation may be delayed relative to a well designed microeconomic policy

Книги з теми "Incertitude du taux de change":

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Aftalion, Florin. Les Taux de change. 2nd ed. Paris: Presses universitaires de France, 1995.

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Aftalion, Florin. Les taux de change. Paris: Presses universitaires de France, 1985.

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Artus, Patrick. Economie des taux de change. Paris: Economica, 1997.

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Ben, Patterson. Taux de change et politique monétaire. Luxembourg: Parlement européen, 2001.

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Krueger, Anne O. La détermination des taux de change. Paris: Economica, 1985.

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Dohni, Larbi. Les taux de change: Déterminants, opportunités et risques. Bruxelles: De Boeck, 2004.

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Stemitsiotis, Loukas. Taux de change de référence et système monétaire international. Paris: Economica, 1992.

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Camara, Ginette. Taux de change réel et compétitivité de l'économie guinéenne. Conakry, Guinée: Cellule d'étude de politique économique, 2006.

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Camara, Ginette. Taux de change réel et compétitivité de l'économie guinéenne. Conakry, Guinée: Cellule d'étude de politique économique, 2006.

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Baume, Charles de La. Couverture des risques de change et de taux dans l'entreprise. Paris: AFTE, 1999.

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Частини книг з теми "Incertitude du taux de change":

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"Taux de change." In Tendances des impôts sur la consommation 2020. OECD, 2021. http://dx.doi.org/10.1787/c689ea2f-fr.

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"Taux de change." In Tendances des impôts sur la consommation 2016, 205–6. OECD, 2017. http://dx.doi.org/10.1787/ctt-2016-10-fr.

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"Taux de change." In Tendances des impôts sur la consommation 2018, 227–28. OECD, 2018. http://dx.doi.org/10.1787/a43836eb-fr.

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Bellalah, Mondher. "Chapitre 6. Taux au comptant, taux forward et techniques d'estimation des taux d'intérêt." In Gestion des risques de taux d'intérêt et de change, 157–75. De Boeck Supérieur, 2005. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.bella.2005.01.0157.

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"Taux de change effectifs réels." In Panorama des statistiques de l'OCDE 2013. OECD, 2013. http://dx.doi.org/10.1787/factbook-2013-40-fr.

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Caccomo, Jean-Louis. "Balance touristique et taux de change." In Fondements d’économie du tourisme, 187–204. De Boeck Supérieur, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.cacco.2007.01.0187.

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"Note sur les effets de la variation des taux de change $US/$CA sur le taux de rendement:." In Réflexions en matière de finances personnelles et publiques, 37–42. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p337.7.

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Bellalah, Mondher. "Chapitre 15. Les modèles d'évaluation : la méthode en temps continu." In Gestion des risques de taux d'intérêt et de change, 385–413. De Boeck Supérieur, 2005. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.bella.2005.01.0385.

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Bellalah, Mondher. "Chapitre 16. Les warrants et les obligations convertibles : analyse, évaluation et applications." In Gestion des risques de taux d'intérêt et de change, 419–46. De Boeck Supérieur, 2005. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.bella.2005.01.0419.

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10

Bellalah, Mondher. "Chapitre 18. Les options rainbow, l'évaluation des obligations et la gestion des risques." In Gestion des risques de taux d'intérêt et de change, 457–75. De Boeck Supérieur, 2005. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.bella.2005.01.0457.

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