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Статті в журналах з теми "Commerce extérieur – Droit – Tchad"

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Tremon, Anne-christine. "Tribut." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.129.

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Анотація:
Le tribut peut être défini comme le prélèvement d’un surplus par une entité, le plus souvent étatique, détentrice du pouvoir. Il en est le socle, puisque son prélèvement finance les infrastructures (routes, canaux, ou encore systèmes d’irrigation), mais aussi l’appareil administratif et militaire. La forme la plus générale du tribut est celle de la taxation, mais le prélèvement peut aussi en prendre d’autres : corvées, monopoles étatiques sur certains biens, nationalisations, et même cadeau offert par un citoyen à un fonctionnaire d’État (Yan 1996), ou encore par un État tributaire à une puissance hégémonique. Par ces prélèvements, des richesses privées sont généralement transformées (ou sont censées l’être) en biens et services procurés par la puissance extractrice. L’attention réduite versée par l’anthropologie économique au tribut tient probablement à ce qu’il échappe aux grandes dichotomies que celle-ci a échafaudées, et qui continuent à la préoccuper, même si c’est dans le but de les dépasser. Sa singularité le place hors du radar du sous-champ de l’anthropologie en raison de la focalisation de celle-ci sur deux statuts des choses et des transactions, présentés comme étant plus ou moins étanches : le don et la marchandise. Il ne relève pas du domaine des marchandises, puisque les mécanismes d’extraction du tribut ne s’inscrivent pas dans les rapports de production capitalistes. Il n’appartient pas non plus à la sphère du don contre-don maussien, caractérisée par la réciprocité. Parce qu’il échappe aux logiques du marché et qu’il permet l’existence d’une économie redistributive (l’État-providence), le tribut s’apparente pourtant à l’économie du don plutôt qu’à l’économie marchande. La distinction proposée par Alain Testart (2007) entre don et échange (marchand et non marchand) permet d’affiner la définition du tribut. Selon Testart, le don est un transfert non exigible impliquant la renonciation à tout droit sur le bien transféré et sans attente de contrepartie autre que morale, alors que l’échange est un transfert dont la contrepartie est juridiquement exigible. Or les corvées, amendes et taxes de toutes sortes sont dépourvues de la contrainte de contrepartie, mais elles sont exigibles. Alain Testart nomme ce type de prestation « transfert du troisième type, t3t »; il se distingue du don en ce qu’il est exigible, et de l’échange en ce qu’il est dépourvu de contrepartie juridiquement exigible. Le tribut en est un, et probablement le principal (la plupart des t3t correspondent au tribut, à l’exception de certains transferts spécifiques tels que le versement d’une pension alimentaire). On pourrait donc, en amendant l’appellation de Testart, avancer que le tribut est un « t3t » c’est-à-dire un transfert du troisième type en direction ascendante dans la hiérarchie. La clarification conceptuelle opérée par Testart et son prolongement par François Athané (2011) sont importantes et nécessaires. Il paraît toutefois judicieux d’intégrer le brouillage habituel des catégories à l’analyse de la notion, puisqu’il est en lui-même significatif. En effet, si le tribut n’est pas un don selon la définition de Testart, il peut en prendre l’apparence, être présenté comme un abandon librement consenti. Et s’il ne donne pas lieu à une contrepartie exigible, il est néanmoins souvent justifié au nom d’une contrepartie rendue sous forme de services. Les manipulations et justifications morales et idéologiques dont il fait l’objet doivent donc être intégrées à sa définition. On y reviendra après avoir examiné la place qu’a tenu le tribut dans les écrits des anthropologues. Outre son statut particulier au regard des autres formes de prestation qui ont davantage été au cœur de leurs préoccupations, le don ainsi que les échanges non marchands, la centralité de la notion de réciprocité a relégué à l’arrière-plan les « dons » hiérarchiques ainsi que toutes les formes de transferts unilatéraux obligatoires. C’est sans doute de la part des anthropologues travaillant avec le concept marxiste de mode de production que le tribut a reçu le plus de considération. Samir Amin a résumé dans une formule efficace ce qui distingue le mode tributaire du mode capitaliste : dans le second, le pouvoir est mis au service de l’accumulation de richesses, tandis que dans le premier, ce sont les richesses qui sont mises au service de l’accumulation de pouvoir (Amin 2011). Eric Wolf (1982) a déployé ce distinguo pour examiner comment le mode de production capitaliste s’est étendu sur la surface du globe avec l’expansion impériale européenne, entrant en contact avec des modes de production « basés sur la parenté » ou « tributaires » qui prévalaient chez les populations non européennes. Les anthropologues ont abandonné les approches en termes de mode de production pour deux ensembles de raisons. La première est l’économicisme sous-jacent à la caractérisation typologique de sociétés selon leur mode de production dominant, qui réduit ainsi « des sociétés entières à de simples réserves de main d’œuvre » et ignorant leurs « formes de vie » (Friedman 1987, 84). Wolf entendait pourtant précisément éviter une telle dérive typologisante, entendant en faire un outil pour « révéler les relations politico-économiques qui sous-tendent, orientent et contraignent l’interaction » (1982, 76). L’emploi qu’en fait Emmanuel Terray (1995) dans son étude de la genèse du royaume abron met d’ailleurs en relief l’articulation entre modes de production tributaire, esclavagiste, capitalistique et domestique d’une manière qui n’a rien d’évolutionniste. La seconde raison est l’eurocentrisme qui conduit à faire du mode de production capitaliste un facteur déterminant de la trajectoire singulière de l’Europe et explicatif de sa domination sur le reste du monde. Ce dernier n’aurait su résister à l’agression européenne parce que son mode d’organisation économique, qu’il soit basé sur la parenté ou sur le tribut, aurait provoqué un retard et une faiblesse qui l’auraient rendu vulnérable aux incursions de l’impérialisme capitaliste européen. Cette thèse s’applique tout particulièrement à la Chine. C’est dans un sens à la fois non évolutionniste et non eurocentrique que Hill Gates (1996) a proposé une lecture de l’histoire de la Chine sur une durée d’un millénaire basée sur l’idée d’une articulation entre modes de production tributaire (MPT) et « capitalistique ». Le MPT est le mode de production de l’État impérial chinois, dont la classe des fonctionnaires lettrés prélève un surplus sur les classes productives (paysans, petits capitalistes, travailleurs) à travers des taxes et des corvées. Contrairement à ce qu’avait pu écrire Marx à propos du « mode de production asiatique », l’État chinois n’était pas inerte ni immobile mais animé par la tension entre des tendances, plus ou moins affirmées selon les époques, à l’accumulation capitalistique, ainsi que les réponses en provenance de la classe dirigeante qui cherchait à les contenir à l’intérieur du cadre de la puissance tributaire (Gates1996 : 273). Les lignages des propriétaires terriens qui produisaient en partie pour le marché, ou les marchands, tout particulièrement ceux qui participaient au commerce étranger, agissaient en tant que capitalistes; « toutefois, leur influence n’a jamais été suffisante pour désarçonner le pouvoir tributaire et permettre à une véritable classe capitaliste d’émerger (Gates1996 : 112). Dans le dernier chapitre de son ouvrage, Gates suggère que la Chine contemporaine demeure caractérisée par un mode tributaire, maintenu par les révolutionnaires communistes et qui continue à modeler les relations entre citoyens ordinaires et officiels chinois (1996 : 269). Ellen Hertz (1998) s’appuie sur les propositions de Gates pour interpréter la fièvre qui s’est emparée de la première bourse ouverte à Shanghai au début des années 1990, signe de la transition chinoise vers le capitalisme initiée dix ans plus tôt, et qui a vu s’opposer le pouvoir « des masses » au pouvoir étatique. Cette opposition peut être expliquée par la tension entre un mode de production capitalistique (les petits porteurs) et le mode de production tributaire (l’État). Ce dernier, agissant à la manière d’un seigneur tributaire, a cherché à canaliser l’épargne de ses citoyens de façon à soutenir son économie en transition. Gates concilie le sens élargi de la notion de tribut tel que présenté en introduction et le sens restreint que lui confèrent les historiens mais aussi ceux d’entre les anthropologues qui se sont intéressés à sa dimension cosmologique et civilisationnelle. En effet, le système tributaire a été constitutif de l’empire chinois, qui était conçu sur le plan cosmologique comme un « royaume territorial bordé de suzerains tributaires » (Feuchtwang 1992 :26, cf. également Sahlins 1994). Les origines des fengshan, désignation officielle des cérémonies au cours desquelles le tribut était versé, sont incertaines. Ils seraient apparus sous les Zhou orientaux (771-256 av. J-C.), c’est-à-dire durant la période des Printemps et Automnes, suivie par celle des Royaumes combattants. C’est à partir de la dynastie Tang (618-907) que le système tributaire s’est renforcé, et il s’est maintenu jusqu’au Qing. En échange du tribut (gong), les tributaires recevaient les faveurs (enci) de l’empereur au même titre que les vassaux internes. Wang Mingming souligne que la relation à l’État engagée dans le « mode de production » selon Gates est la même que celle qui relie la cour impériale au monde extérieur (2012 : 345). Réciproquement, Gates indique que le mode tributaire est inséparable de la totalité de la cosmologie civilisationnelle chinoise (1996 : 21). Ce sont précisément ces dimensions idéologiques et cosmologiques du tribut qui rendent compte de l’ambiguïté relative à son caractère volontaire ou contraint. De fait, c’est précisément l’existence d’un ordre hiérarchique dicté par les impératifs catégoriques de la cosmologie impériale, qui permet de comprendre non seulement le consentement au paiement du tribut mais même son caractère désirable, et qu’il fait qu’il peut prendre l’apparence d’un don, ou être présenté comme tel par le contributeur (cf Trémon 2019 pour un cas contemporain chinois). C’est aussi cette dimension cosmologique qui explique sa grande proximité avec le sacrifice. Tribut et sacrifice se distinguent par le fait que l’un constitue un transfert direct et le second un transfert indirect (Werbner 1990 : 272) à une entité supérieure. Robertson Smith, dont les écrits ont inspiré ceux de Durkheim et Mauss sur le sacrifice, avait suggéré que le sacrifice aux divinités ou aux ancêtres serait apparu chez les tribus nomadiques du désert du Sinaï sous la forme de la consommation sacrificielle de l’animal totémique, mais que ce sacrifice primitif aurait ensuite, avec la sédentarisation et sous l’action de l’État, suivi le modèle du tribut versé au chef ou au roi dans les sociétés hiérarchisées (Robertson Smith 1889 : 266-267 cité in Scubla 2005 : 147). Si cette proposition relève de la pure spéculation, normative qui plus est puisqu’elle est avancée par Robertson Smith dans un souci de démonstration de la supériorité du sacrifice chrétien, la distinction ainsi esquissée offre matière à penser : le sacrifice originel n’aurait rien d’un don, n’ayant pris cette forme que dans les sociétés à pouvoir centralisé, et le tribut le serait bien davantage, mais il serait dépourvu de l’idée de violence expiatoire associée au sacrifice. C’est pourquoi l’on ne saurait entièrement suivre la définition par David Graeber du tribut, placé dans la troisième catégorie d’une tripartition entre « communisme », « échange » et « hiérarchie » (dans une discussion précédente des modes de production (2006), il avait ignoré le mode tributaire). Celle-ci correspond d’assez près à celle proposée par Alain Testart (don, échange et t3t). Cependant, la façon dont il caractérise le tribut comme relevant de la pure contrainte violente exercée par l’État (2014 : 74) paraît insatisfaisante. Ceci tient en partie à ce que, à la différence de Testart, il établit les distinctions sur les bases de « modes de moralité », qu’il entend substituer aux « modes de production ». S’en tenant uniquement à une acception historiquement lointaine du « tribut » (il n’aborde pas l’impôt moderne), la définition morale qu’il en donne ne rend paradoxalement pas compte du consentement à l’impôt (elle n’explique que la résistance). Le tribut obéit selon lui à la logique du précédent, puisqu’un don offert à une puissance pour la première fois devient ensuite exigible d’année en année. Le tribut est donc un échange devenu transfert en raison des (fausses) promesses de contrepartie qui ont conduit à l’institutionnalisation du système. Cependant, ce qui fait toute la complexité du tribut est qu’il s’agit en effet d’un transfert exigible sans contrepartie exigible, mais qu’une contrepartie n’en est pas moins attendue. Nous pensons à la contrepartie de ce que nous versons à l’État. François Athané déconsidère cette façon de penser, qu’il juge inévitable et légitime, mais qui n’est qu’une « façon de penser et de parler » (2011 : 190) dont il conviendrait de ne pas tenir compte parce qu’elle viendrait polluer l’analyse. La contrepartie n’est jamais exigible dans le double sens où elle ne saurait pas toujours être appuyée par le droit, et où elle ne serait de toute manière pas mesurable (comment calculer la part de ce que je reçois en retour pour mes impôts?). Il n’en demeure pas moins que sans cette attente de réciprocité, les révoltes fiscales seraient bien plus nombreuses. C’est pourtant une façon de penser et de parler qui est chargée de sens et lourde de conséquences. C’est bien parce que des services et biens publics sont produits au moyen des prélèvements que la relation tributaire est rarement remise en cause, et réciproquement, que des révoltes fiscales apparaissent lorsque les services et biens publics ne paraissent pas remplir l’attente de contrepartie. Ces services et biens étant généralement essentiels à la reproduction sociale (au sens des anthropologues, cf. entre autres Weiner 1980), on pourrait réactualiser la notion en substituant à « modes de production » la notion de « modes de reproduction » (marchande, tributaire, etc.) (Trémon 2019 : chap. V). De même, la notion de « relation tributaire » à l’État inclut à la fois le tribut en tant que type de transfert (par contraste avec le don et l’échange) et la relation morale et idéologique qu’elle engage avec le destinataire du tribut. La notion de tribut est ainsi élargie au-delà des contextes historiques spécifiques des systèmes tributaires interétatiques centrés sur un hégémon, et dépouillée de ses relents eurocentriques et évolutionnistes – comme l’a souligné Jack Goody (2006 : 121), qui invitait dans son dernier livre à réactualiser le programme de recherche lancé par Eric Wolf, les États tributaires se trouvant « à l’ouest comme à l’est », et peut-on ajouter, au nord comme au sud
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Дисертації з теми "Commerce extérieur – Droit – Tchad"

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Mangaral, Banté. "Le Coton au Tchad : régime juridique de la production et des échanges extérieurs." Paris 1, 1986. http://www.theses.fr/1986PA010268.

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Goni, Ousman Abakar. "Le Commerce extérieur du Tchad de 1960 à nos jours." Strasbourg, 2010. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2010/GONI_OUSMAN_Abakar_2010.pdf.

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Анотація:
Cette thèse étudie les structures et les évolutions du commerce extérieur du Tchad depuis l’indépendance, en 1960 à nos-jours. Elle traite donc d’un demi-siècle d’histoire économique de ce pays. L’enclavement géographique de ce pays éloigné des mers, la faiblesse des infrastructures de transport, l’instabilité politique et les conflits frontaliers ne facilitent pas les activités de ceux qui souhaitent développer les échanges extérieurs. Ceux-ci se font parfois de manière informelle et une contrebande parfois active qui entraine le déséquilibre permanent de la balance commerciale. Les stratégies des éleveurs ne sont pas celles des paysans sédentaires ni celles des grandes sociétés nationales. France Allemagne et d’une manière plus générale Communauté Economique Européenne constituent des partenaires importants mais les relations avec certains pays voisins comme le Nigéria et le Cameroun donnent lieu à des développements. Les relations avec la Libye sont complexes, les réalités géopolitiques accompagnent toujours les échanges commerciaux. Si le coton a longtemps constitué la grande source des exportations du Tchad, le pétrole prend de plus en plus d’importance. La gomme arabique, dont le Tchad est le second exportateur mondial, donne lieu à des développements intéressants, tout comme l’évocation de l’élevage et de la pêche. Ce travail montre l’évolution de l’environnement international, les rôles de l’OMC, de la CEE, de CEMAC et de la banque Mondiale. Il distingue des étapes, des dates charnières et propose une périodisation en quatre phases
This thesis examines the structures and developments in the field of Chad foreign trade since its independence, from 1960 to the present day. It looks at what amounts to an economic history spanning over a half-century. The geographical land-lock of the country, its position away from the seas, the weakness of its transport infrastructures, its political instability and the cross-border conflicts which it faces, cannot promote any attempt to foster external trade. Such trades are usually carried out informally, and thus an active contraband has come to take place which brings about instability in the country’s budget. Stockbreeders differ in their approach from sedentary farmers and from that of huge commercial enterprises. France, Germany, and generally, the European Economic Community, constitute valuable commercial partners for Chad, but recently there has been some developments in the relations that it entertains with its neighbouring countries such as Nigeria and Cameroun. Its relation with Libya is however, an uneasy one. Geographical realities do as often dictate on commercial exchanges. If cotton had been the main source of Chad exportation, petrol is now gaining in importance. Chad is the second world exporter of Arabic gum, an activity which has gone on increasing, as has been that of farmed fishing. This study demonstrates the development of the international climate, the role of the WTO, of the EEC and CEMAC and that of the World Bank. It distinguishes the various stages, the important dates and proposes a chronology consisting of four phases
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Nasri, Yahya. "Les accords de commerce sud-sud." Paris 5, 1995. http://www.theses.fr/1995PA05D001.

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Анотація:
Les accords de commerce sud-sud etablissent-ils ou non un droit commercial international propre au tiers-monde? apres l'analyse des conventions concernees, nous avons constate que le sud n'a pas encore reussi a elaborer son propre droit comme l'a tellement exige durant des decennies precedentes. Il a adhere et affermi les regles du systeme commercial multilateral. Toutefois, le sud fait un considerable effort d'adaptation de ces normes a sa situation economique. Ainsi, des regles specifiques sont apparues, mais elles affectent seulement des sujets secondaires et non fondamentaux
Do the south-south trade treaties establish an international trade law inherent to the third wold or no?. After analysis of the concerned conventions, we have noticed that the south hasn't succeed yet to elaborate its own law, as it was required in the previous decades. The south has adhered to the rules of the multilateral trade system and has strengthened them. However, it makes a considerable effort in order to adapt these rules to its economic position. Thus, specific rules have appeared, but which only affect marginal and no fundamental subjects
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Madjiwei, Ngarlem Ngarguinam. "Le droit pratique des affaires au Tchad : quelle place pour le commerce informel?" Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010271.

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Анотація:
Depuis l'indépendance le Tchad ne s'est jamais doté d'un Code de commerce adapté au temps et au contexte sociologique tchadien. Son appartenance aux organisations internationales ayant pour objectif de libéraliser les échanges et d'harmoniser les règles commerciales, comme l'Organisation Mondiale du Commerce et l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires, l'invite à une harmonisation et une modernisation de ses textes de droit commercial. Ces organisations font peser sur les Etats membres une obligation de conformité des législations internes aux règles multilatérales. Aujourd'hui en dehors d'autres traités bilatéraux et multilatéraux commerciaux en vigueur au Tchad, le Traité OHADA et ses Actes uniformes sont les principaux textes devant régir le commerce dans ce pays. Les normes en vigueur se révélant inadaptées aux réalités locales, il y a de plus en plus d'activités commerciales qui se développent en marge de la loi et qui sont en forte concurrence avec le système formel. Il s'agit du commerce informel. Ce commerce, incontournable en Afrique, joue un rôle capital dans l'économie et l'insertion sociales. Cependant, dans la pratique, ceux qui exercent ces petites activités économiques n'ont pas de textes juridiques spécifiques envadrant leurs activités. Les commerçants informels devraient se soumettre aux mêmes règles qui s'appliquent aux commerçants du secteur formel mais ils ne se reconnaissent pas à travers ces règles très contraignantes et trop coûteuses. Ils développent donc leurs propres normes. L'OHADA ne prend pas assez en compte ces réalités, il semble être conçu pôur les investisseurs étrangers et pour se mettre au même diapason que le commerce international. On peut donc supposer que le secteur informel va subsister assez longtemps, par conséquent les textes de l'OHADA ne seront ni effectivement appliqués à tous les commerçants ni respectés par ces derniers. L'élaboration d'un système juridique intégrant les nouvelles exigences en matière commerciale (les préoccupations internationales), les pratiques légales et informelles (les spécificités locales) serait une réforme adéquate pour la pratique du droit des affaires au Tchad mais aussi en Afrique.
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Taverne, Philippe. "Les régions économiques spéciales chinoises à l'épreuve du droit OMC." Aix-Marseille 3, 2005. http://www.theses.fr/2005AIX32011.

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La confrontation du droit libre-échangiste OMC aux politiques interventionnistes mises en œuvre dans les régions économiques spéciales chinoises révèle non seulement des problèmes de conformité et de contrôle de ces régions et de leurs régimes spéciaux en matière de droit économique mais aussi les limites du droit OMC dont le champs d'application est étroit. Si certaines mesures à caractère libéral vont dans le sens du droit OMC, elles doivent cependant respecter ses règles et en particulier le traitement national et le traitement de la nation la plus favorisée. Dans le même temps, les incitations diverses en vigueur comme les concessions en matière d'impôt sur le revenu des entreprises à investissement étranger, sont effectivement des subventions au sens du droit OMC mais celui-ci n'en prohibe qu'un petit nombre. Par contre, il reconnaît au Membre le droit de prendre des mesures compensatrices qui ont pour effet de réduire l'intérêt des subventions pour les entreprises exportatrices
Confrontation of WTO free trade rules with interventionist policies implemented within the Chinese special economic areas not only shows compliance issues and control issues of the regions and their special regimes in the field of economic law but also the boundaries of WTO rules which scope is rather delimited. If liberal measures are in line with the purpose of WTO, they shall however comply with its rules, in particular national treatment and most favoured nation treatment. At the same time, the various incentives in force such as income tax concessions for foreign invested enterprises are actually subsidies within the meaning of WTO rules but they are scarcely prohibited. Nevertheless, WTO rules entitle Members of the Organization to apply countervailing measures which may finally play down the benefits of such policies for enterprises that are export oriented
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Gelin, Evelyne. "Le droit du commerce international en URSS et en Yougoslavie lors de la transition de 1991 : étude comparée." Paris, Institut d'études politiques, 1994. http://www.theses.fr/1994IEPP0041.

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Анотація:
L'URSS et la Yougoslavie ont reformé leur droit du commerce international presque simultanément. L'étude de la transition de 1991 laisse entrevoir ce que pourrait être leur commerce extérieur dans l'avenir. Cela supposait une nouvelle conception des relations internationales Ces deux états ont aujourd'hui des positions similaires : les préoccupations économiques l'emportent sur les considérations politiques, ce qui apparaît dans la répartition géographique des flux commerciaux. Comme la Yougoslavie à partir de 1948, ce sont essentiellement des considérations économiques qui ont poussé les Soviétiques à demander leur adhésion au FMI et au GATT ou à ratifier la CVIM. Le danger est d'y laisser son indépendance. La réforme a consisté en la multiplication des règles de droit et du nombre d'opérateurs autorisés à commercer avec l'étranger. Le contrôle de l'Etat, qui a perdu son monopole, est allé décroissant. . Là aussi, la Yougoslavie a devancé l'URSS. En revanche, il ne fut guère nécessaire de modifier le droit des contrats internationaux, similaire dans ces deux états et pour l'essentiel conforme aux dispositions de la CVIM. L'Union soviétique a donc reproduit le schéma yougoslave de la CVIM. L'Union soviétique a donc reproduit le schéma yougoslave sans pour autant s'en inspirer
The URSS and Yugoslavia have altered their international trade law almost at the same time. Studying the transition of 1991 allows us to imagine what their foreign trade will be like in the future. The new system should be based on a new doctrine. In these two countries the motivations are roughly the same : economic interests appear to prevail over political goals. This can be seen in the structures of their international commerce themselves. As Yugoslavia after 1948, the URSS was led by economic motivations when it applied for admittance to the IMF or the GATT and ratified the Vienna convention. Thus there are risks of losing its independence. Numerous new rules were passed. Above all, the reforms consisted in allowing various categories of operators to have foreign trade activities. State monopoly was suppressed and its power of control was reduced. On this point also, Yugoslavia had undergone the same reforms far before the soviet union. We shall notice however that the international contract law did not need much change. It was quite similar in these two states and mostly in conformity with the Vienna convention stipulations. The Soviet union seems to have reproduced the Yugoslavian experience but it doesn't mean it has followed its pattern
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Luff, David. "Le droit de l'Organisation Mondiale du Commerce: analyse critique :la prise en compte par le système de l'Organisation Mondiale du Commerce d'objectifs de nature non-commerciale." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2003. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/211323.

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Ngambi, Joseph. "La preuve dans le règlement des différends de l'Organisation Mondiale du Commerce." Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010288.

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Qu'est-ce-que le thème de la preuve apprend sur le fonctionnement du mécanisme de règlement des différends (MRD) de l'OMC? Pour répondre à cette question, la thèse adopte une approche classique basée sur l'analyse de la charge et de l'administration de la preuve. Concernant la charge de la preuve, elle est attribuée aux parties, qui doivent convaincre le juge, des faits qu'elles allèguent. En effet, quiconque allègue un fait doit le prouver. Si l'attribution de la charge de la preuve renseigne, dès lors, sur qui doit perdre en cas de doute, elle n'épuise pas les enjeux de la question. La réalité de cette charge n'est pas moins importante. Elle pose le double problème de l'objet de la preuve, et de la lourdeur de la charge mise sur les parties. A ce propos, la thèse démontre, que si la preuve porte sur les faits, son poids peut néanmoins s'avérer très lourd. Sans doute le plaignant est-il dans une situation plus confortable, n'ayant à établir qu'une présomption de violation. En revanche, la charge qui pèse sur le défendeur est plus lourde. S'il conteste les faits allégués, il devra réfuter la présomption de violation établie. S'il invoque un moyen de défense affirmatif (exception), il devra prouver la nécessité de sa mesure, et le fait que son application ne débouche ni sur une discrimination arbitraire et injustifiable, ni sur une restriction déguisée au commerce. Quant à l'administration de la preuve, elle s'effectue sous le contrôle des groupes spéciaux, dotés à cet effet d'importants pouvoirs procéduraux, dont l'influence sur la configuration de la procédure est indéniable. En atteste la manière dont se déroule l'acquisition des preuves, qui peut être spontanée ou "forcée" selon la qualité de la collaboration des parties. Qui plus est, le juge admet de manière discrétionnaire, les preuves venant de sources extérieures, et est libre de les prendre en compte. En atteste également l'évaluation des preuves, le MRD ayant incorporé le principe de la libre appréciation des preuves, par l'adoption d'un critère permissif -l'évaluation objective des faits-, et l'affranchissement du juge de règles trop techniques d'évaluation. Ce principe s'accomode néanmoins, sans être remis en cause, d'un contrôle restreint de l'Organe d'appel, sur le caractère objectif de l'évaluation des preuves, au titre de question de droit.
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Debezy, Anne-Laure. "Le contrôle des exportations des biens et technologies à double usage dans le secteur aéronautique et spatial." Toulouse 1, 2009. http://www.theses.fr/2010TOU10002.

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Анотація:
Motivés par des exigences de sécurité internationale, les Etats fournisseurs de hautes technologies élaborent au sein de l’Arrangement de Wassenaar un contrôle des exportations des produits duaux, dont les principes sont repris aux niveaux nationaux. L’analyse des règlementations de l’Union Européenne et des Etats-Unis révèle l’impact que les contrôles ont sur la sécurité et le commerce : ils ne cessent d’osciller entre préservation des intérêts étatiques et protection des intérêts commerciaux. Ces contrôles sont en effet perçus comme une contrainte par les exportateurs aérospatiaux mondiaux en tant qu’entrave au principe de libre-circulation. Face à une compétitivité internationale accrue, les industriels aspirent à une facilitation de leurs échanges par le biais d’un allègement des modalités de contrôle et par la mise en place d’une certification des entreprises destinataires de produits duaux. Cette tentative de responsabilisation industrielle risque toutefois de porter atteinte à l’objectif de sécurité des contrôles du fait de la déresponsabilisation étatique qu’elle entraîne dans un domaine régalien. Dès lors, il est essentiel de s’interroger sur l’orientation que vont prendre ces régimes encore en cours d’élaboration: alors que la liberté de circulation semble avoir été privilégiée jusqu’à ce jour, le nouveau contexte conjoncturel lié à la crise économique pourrait changer la donne. Les principes libéraux semblant laisser place à des considérations plus protectionnistes, il est plausible que les Etats s’investissent désormais davantage dans le contrôle d’exportation des biens duaux et utilisent cet instrument pour relancer leur économie
For peace and international security reasons, high technology supplier states are developing through the Wassenaar Arrangement a system of export controls for dual use (military and civil) goods and technologies, the principles of which are to be followed at a national level. The analysis of the regulations of the European Union and the United States shows the impact of these controls on security and trade. Since their creation, these systems have been balancing between the preservation of state interests and the protection of trade interests. Export controls are regarded as a constraint by world companies because they are an obstacle to free trade. Faced with increasing international competition, exporters want their exchanges to be simplified by the means of a reduction of the measures of control, and through the implementation of a certification of recipient companies of dual use products. However, this attempt to give responsabilities to companies may go against the security target of export controls, because it is likely to involve a loss of responsability in these states' areas. Thus, this study will examine the direction that export controls will take : althrough free trade seems to have been favoured until now, the new international financial and economic context may involve a new deal. As free-market principles seem to give way to more protectionist considerations, States are bound to invest more in the export controls of dual use goods, and use this formidable tool in order to boost their economy
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Velilla, Philippe. "Les relations entre l'Union européenne et Israël : droit communautaire et droit des échanges internationaux : le cas du commerce agricole." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010312.

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Анотація:
Le commerce agricole UE/Israël est encadré par le droit communautaire. L'accord d'association de 1995 aménage le protectionnisme de la PAC et du commerce extérieur israélien. Les barrières tarifaires et non tarifaires, la réciprocité et les autres volets de l'accord ont été un peu assouplis par les élargissements de la communauté. Les négociations sont marquées par l'impact des relations bilatérales, des lobbies et des crises diplomatiques. La relative inadaptation des instruments juridiques renforce la rigidité de ce système de refus du libre-échange. La libéralisation est encouragée par l'influence grandissante du droit des échanges internationaux depuis l'accord agricole du GATT de 1994. Le contrôle de l'OMC sur la tarification des BNT, la baisse des droits, la diminution des aides à l'exportation et des soutiens internes marque déjà l'évolution du régime bilatéral. La surveillance multilatérale des normes, des règles d'origine et des intégrations régionales renforces l'harmonisation des accords préférentiels. La coopération au Proche-Orient, le partenariat euro-méditerranéen et l'érosion des préférences conduisent l'état juif à demander une revalorisation de son statut commercial auprès de l'UE et à adapter sa législation interne à la mondialisation des marchés.
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Книги з теми "Commerce extérieur – Droit – Tchad"

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Canada. Bibliothèque du Parlement. Service de recherche. La Loi omnibus américaine de 1988 sur le commerce et la compétitivité: Ses conséquences pour le Canada. Ottawa, Ont: Bibliothèque du Parlement, Service de recherche, 1989.

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Jacquet, Jean-Michel. Droit du commerce international. Paris: Dalloz, 2007.

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Madjiwei, Ngarlem Ngarguinam. Le droit pratique des affaires au Tchad: Quelle place pour le commerce informel? Villeneuve d'Ascq: ANRT, Atelier National de Reproduction des thèses, 2012.

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Tribunal canadien du commerce extérieur. Enquête de sauvegarde sur l'importation de certaines marchandises de l'acier. Ottawa, Ont: Tribunal canadien du commerce extérieur, 2002.

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Haar, Jerry. Import marketing: A management guide to profitable operations. Lexington, Mass: Lexington Books, 1989.

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Posner, Lauren. Unequal harvest : farmers' voices on international trade and the right to food =: Récoltes inégales : le commerce international et le droit à l'alimentation vus par les agriculteurs. Montréal, Qué: Rights & Democracy, International Centre for Human Rights and Democratic Development = Droits et démocratie, Centre international des droits de la personne et du développement démocratique, 2001.

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