Добірка наукової літератури з теми "Colonisation – Philosophie – 20e siècle"

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Статті в журналах з теми "Colonisation – Philosophie – 20e siècle":

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Lepeltier, Thomas, Jean-François Dortier, and Fabien Trécourt. "La philosophie des sciences au 20e siècle." Les Grands Dossiers des Sciences Humaines N° 64, no. 9 (November 25, 2021): 36–43. http://dx.doi.org/10.3917/gdsh.0064.0036.

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Pelletier, Lucien. "La formation de la philosophie d’Ernst Bloch à partir de la mystique de Maître Eckhart." Articles spéciaux 71, no. 1 (October 19, 2015): 97–132. http://dx.doi.org/10.7202/1033689ar.

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Анотація:
Résumé Cet article montre comment la philosophie du jeune Ernst Bloch, sous l’inspiration de Nietzsche, de Simmel et des mouvements de libre pensée du début du 20e siècle en Allemagne, s’est constituée comme une refonte de la conception eckhartienne de la naissance de Dieu dans l’âme. Diverses psychologies descriptives qui s’élaboraient alors (William James, Theodor Lipps, Oswald Külpe et l’école de Wurzbourg, Edmund Husserl), et la logique de l’origine de Hermann Cohen telle que relue par Oswald Weidenbach, ont procuré à Bloch des moyens conceptuels pour repenser la mystique de Maître Eckhart sous une forme non théiste.
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Lawson-Hellu, Laté. "La Parole “autochtone” de Déwé Görödé." Nouvelles Études Francophones 38, no. 1 (2023): 78–90. http://dx.doi.org/10.1353/nef.2023.a905923.

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Анотація:
Abstract: En écrivant son roman Tâdo, Tâdo wéé! Ou “No more baby” (2012), la romancière d’origine néocalédonienne, et kanak du point de vue culturel, Déwé Görödé, propose un regard historique et personnel sur l’actualité politique de son espace d’origine, durant le 20e siècle. Ce regard, qui se veut à la fois personnel et collectif, s’inscrit, du point de vue épistémologique, dans la vision du monde de sa culture de référence et de revendication, sa parole “autochtone.” Toutefois, ce roman dépasse la simple revendication d’un espace culturel. Le recours aux approches herméneutiques et éthiques actuelles, comme la théorie du care [soin] ou, moins récemment, la perspective postcoloniale, démarches adossées à la réflexion proposée par la philosophie écologique, permet d’entrevoir les éléments de réponse de la romancière aux grands enjeux contemporains, y compris existentiels, de la vie de l’être humain.
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Alarie, Laurent, Mohamed Amine Brahimi, and Julien Vallières. "Hegel au Québec : sur les traces d’une réception philosophique." Journal of Canadian Studies 56, no. 3 (November 1, 2022): 536–60. http://dx.doi.org/10.3138/jcs-2021-0013.

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Sur la base de matériaux de première main, entretiens avec des experts et archives personnelles sur l’enseignement universitaire, cet article retrace l’évolution de la réception de Hegel au Québec. L’article se divise en deux parties : la première cherche, dans l’enseignement de la philosophie, du tournant du 20e siècle aux années 1960, à dégager les traces de la réception de la pensée hégélienne ; la seconde évalue la présence du philosophe dans la recherche depuis cette époque jusqu’à aujourd’hui. Nous portons d’abord notre regard sur l’enseignement de la philosophie. C’est à travers des sources mineures, en marge des manuels autorisés, que nous trouvons une vie intellectuelle qui évolue malgré l’orthodoxie dominante de la pensée thomiste. L’étude de la réception de Hegel permet alors de s’interroger sur une historiographie qui tend à hypostasier la puissance tutélaire de la scolastique sur l’enseignement. La réorganisation de l’enseignement qui suit la constitution apostolique de 1931, le boum d’après-guerre et la massification de l’éducation accompagnant les nombreuses réformes des années 1960 transforment l’espace universitaire. Parmi les utilisations contemporaines, nous portons notre regard sur deux figures intellectuelles s’étant approprié le philosophe : George Di Giovanni et Michel Freitag.
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Létourneau, Alain. "Quelques contributions de Peirce à l’épistémologie des sciences sociales." I- Esthétique de la communication, no. 62 (May 16, 2018): 21–44. http://dx.doi.org/10.7202/1045613ar.

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Le but de l’article est surtout de montrer que si nous réfléchissons aux liens entre deux notions de base de la philosophie de Peirce, soit le traité de la sémiosis et le traité des catégories (soit la priméité, la secondéité et la tiercéité), nous pouvons y découvrir les bases d’une épistémologie des sciences interprétatives, et notamment les sciences sociales qui se réclament d’une telle perspective. Si tout l’interactionnisme repose sur une notion interactive du signe, c’est que déjà chez Peirce l’interprétation des signes est sociale. De plus, s’il est bien exact que les sciences sociales ont souvent voulu thématiser l’action humaine, et ce notamment au 20e siècle, il est clair qu’une troisième idée de Peirce, soit la notion de science normative de l’action appelée « practics », a quelque chose d’inaugural au plan conceptuel, tant pour la sociologie que pour une éthique qui ne voudrait pas s’identifier à la morale mais thématiser sa réflexion pratique.
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Rocher, François. "De la démocratie au Québec 1940–1970. Anthologie des débats autour de l'idée de démocratie de la Seconde Guerre mondiale à la Crise d'octobre." Canadian Journal of Political Science 40, no. 3 (September 2007): 795–96. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423907070990.

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Анотація:
De la démocratie au Québec 1940–1970. Anthologie des débats autour de l'idée de démocratie de la Seconde Guerre mondiale à la Crise d'octobre, Lévesque, Michel (avec la collaboration de Lucie Blanchet), Montréal : Lux Éditeur, 2005, xxxvi, 338 pages.La réflexion théorique et les débats idéologiques entourant la notion de démocratie ne sont pas près de s'épuiser. Il s'agit d'un thème important, sinon central, dans nos sociétés libérales, qui ne perd jamais de son actualité. La littérature contemporaine en philosophie politique, ainsi que les études comparées des politiques canadienne et québécoise, abordent régulièrement le thème de la démocratie, des conditions de sa réalisation et des mécanismes institutionnels qui lui donnent corps. L'ouvrage de Michel Lévesque nous rappelle que les enjeux idéologiques qui y sont associés ont aussi fait l'objet de réflexions et de débats au Québec entre 1940 et 1970. La lecture de ces textes illustre bien le fait que la démocratie se présente toujours comme un idéal à réaliser, mais surtout que les évaluations que l'on peut en faire sont en grande partie déterminées par le contexte historique. Michel Lévesque note “ une tendance manifeste chez plusieurs auteurs à présenter leur présupposés comme des vérités établies en s'appuyant sur une interprétation empirique de l'histoire en lieu et place d'analyses approfondies et étoffées ” (p. xxxv). Le passage du temps nous permet de réaliser la pertinence de cette remarque à la lumière des préoccupations qui dominaient au milieu du 20e siècle au Québec et au Canada. Toutefois, il pourrait tout aussi bien s'agir d'un rappel méthodologique à l'endroit des jugements qui sont posés aujourd'hui sur l'état de la démocratie canadienne et québécoise.
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Jewsiewicki, Bogumil. "Pardon." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.112.

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Анотація:
Vingt ans après la deuxième guerre mondiale, en pleine guerre froide, les évêques polonais écrivent, au grand dam de l’État, à leurs homologues allemands « nous pardonnons et demandons pardon ». Depuis, l’usage du pardon dans la politique nationale et internationale est devenu monnaie courante. Presque toujours le pardon est demandé pour les actes commis par des générations précédentes, une démarche entrée dans la culture politique depuis peu. Rappelons à titre d’exemple qu’alors que son père refusait de demander pardon à titre de premier ministre du Canada pour des actes posés par des générations antérieures, Justin Trudeau, l’actuel premier ministre, ne s’en prive pas. Mobilisée dans la résolution des conflits, la démarche de réconciliation incorpore le pardon. Ainsi, cet objet d’étude de la théologie, de la morale, de la religion et de la philosophie est désormais principalement étudié par la science politique. Par l’homologie, le pardon passé de la relation entre Dieu et l’individu aux rapports interpersonnels puis aux rapports entre les communautés et les États, est devenu un objet politique. Le long vingtième siècle occidental, entre les hécatombes des guerres mondiales, l’Holocauste et les génocides, a mis sociétés et individus devant le défi de la reconstruction du social et du politique après l’impardonnable. Hannah Arendt (1958), Jacques Derrida (2001) et Wole Soyinka (2000), mais avant tout femmes et hommes « ordinaires » ont fait face au défi de reconstruire l’humain à la sortie de l’expérience de l’inhumain. “Si cela veut dire que cet homme qui a tué fils, si cela veut dire qu’il redevienne humain afin que nous tous puissions ravoir votre humanité … alors j’accepte » (Krog : emplacement 3486, toutes les traduction sont les miennes, BJ) a déclaré Cynthia Ngewu témoignant lors des audiences de la Commission Vérité et Réconciliation sud-africaine sur l’amnistie. Paul Ricoeur (2000), le plus influent des chercheurs universitaires ayant analysé le pardon dans la perspective d’un vivre-ensemble aux confluents de la philosophie, de l’éthique et de la théologie chrétienne, soutient que le véritable pardon délie « l’agent de son acte ». La culture chrétienne, aujourd’hui largement laïcisée, est un sous-bassement des usages du pardon pour la reconstruction d’un vivre-ensemble. En reconnaissant ce fait, il ne faut pas perdre de vue que le pardon est une préoccupation ancrée non seulement dans les trois grands monothéismes mais aussi dans le bouddhisme, l‘hindouisme et autres systèmes philosophiques ou de croyance en Asie, Océanie, Afrique, etc. Cependant, on ne comprend pas toujours le pardon à l’identique. Son utilisation pour la résolution des conflits ne va pas sans malentendus. Lorsque, pour désengorger son système de justice, l’État rwandais recourt à l’institution locale de gacaca, on est loin de l’apaisement d’un conflit au sein de la communauté d’une colline, l’octroi du pardon ou plus précisément l’acceptation du génocidaire étant conditionnés à la reconnaissance par celui-ci de son crime. Lorsque, dans une société occidentale, on s’inspire de la pratique hawaïenne de ho’opononpono pour la thérapie familiale, les acteurs n’ont ni mêmes attentes, ni même compréhension du pardon. Lorsqu’en 2012, dans la lettre ouverte commune aux nations de Pologne et de Russie, le patriarche Cyrille et l’archevêque Michalik offrent un pardon réciproque, en ont-ils la même compréhension ? La théologie du premier est de tradition grecque, celle de l’autre de tradition latine ? Retrouver l’humain, après l’expérience du génocide, de la colonisation, de l’esclavage peut aussi bien conduire à obéir à l’injonction d’inspiration chrétienne de Desmond Tutu « Pas d’avenir sans pardon » qu’à la réserve de Mahatma Gandhi . « Le faible ne peut pardonner. Le pardon est attribut du fort ». Cependant, pardonner pourrait permettre d’investir, au moins symboliquement, la position de ce dernier ? Est-ce pourquoi la position de Gandhi à l’égard du pardon a évolué ? De toute évidence, la réflexion anthropologique sur le sujet s’impose. Pourtant, les courants dominants de la discipline accordent peu d’intérêt au pardon, à l’exception des publications issues de l’anthropologie juridique, de l’anthropologie de la morale, de l’anthropologie psychologique ou de l’anthropologie des religions. Il se pose donc la question de savoir si la méthodologie de ces dernières leur viendrait de l’éthique ou de la théologie, ce dont manquerait l’anthropologie ? Or, Barbara Cassin trouve dans l’hyperbole de l’offre de pardon « absolu » dans l’Évangile (« le pardon n’est vraiment pardon – perfection du don - que lorsqu’il pardonne l’impardonnable, remet l’imprescriptible… » (2004 : 894), une structure ressemblant à celle du potlatch. Le contre-don perpétue le processus de « dépense » selon Georges Bataille (1967) de même que le don et contre-don de Marcel Mauss (2012). On retrouve cette même structure de relance dans l’offre de pardon « absolue », toujours en avance sur la demande. Dans la tradition nord-américaine de la discipline, Ruth Benedict (1946) offre une autre entrée « anthropologique » au pardon. La honte et la culpabilité seraient deux principes distincts de contrôle social de l’individu, elle s’en sert pour différencier la société japonaise de la société étasunienne. La première valoriserait l’honneur et la fierté alors que la seconde mettrait de l’avant la conscience individuelle. La mondialisation de la culture nord-américaine, aurait porté à l’échelle de la planète la prépondérance de la conscience individuelle et donc l’importance du pardon autant dans les relations interpersonnelles que dans celles entre les corps sociaux. Que ce soit l’entrée par le don ou par la conscience individuelle comme principe de contrôle social, la théologie des religions monothéistes, plus précisément la théologie chrétienne et plus encore la théologie protestante sont mobilisées. Il est donc impossible de conclure sans poser la question de l’universalité du pardon, de son usage qui ne serait pas affecté par le soupçon du prosélytisme chrétien. L’issue de cette réflexion finale devrait permettre de décider si le pardon demeure pour l’essentiel un objet de la théologie ou bien serait également celui de l’anthropologie. Revenons à l’exemple sud-africain, Antije Krog commente ainsi le témoignage de Cynthia Ngewu : « Le pardon chrétien dit : Je vous pardonne puisque Jésus m’a pardonné. (…) Le pardon africain dit : Je vous pardonne afin que vous puissiez et que puisse commencer à guérir ; que nous tous puissions redevenir nous-mêmes comme nous devrions l’être » (…) tous les Sud-Africains noirs formulent le pardon en termes de cette interrelation » (2009 : emplacement 3498 et 3489). Changeons de continent tout en conservant la comparabilité des expériences historiques. Roy L. Brooks (2004) écrit à la même époque que les excuses et les reparation constituent l’expiation laquelle impose États-Unis une réciproque obligation civique de pardonner. Ce pardon permet d’abandonner le ressentiment. Krog et Brooks suggèrent que ce que ce pardon dépasse le cadre de la chrétienté occidentale permettant aux gens de « réinterpréter les concepts occidentaux usés et mis à mal dont le pardon ». (Krog 2009 : emplacement 3494) Barbara Cassin souligne que la conception théologico-politique actuelle établit une hiérarchie entre celui qui pardonne et celui à qui on pardonne. En latin classique, il y a condescendance dans la relation duelle entre le sujet dont relève la décision souveraine d’oublier, d’ignorer, d’amnistier et son bénéficiaire. Les langues européennes en tirent la conception du pardon. Par contre, en Grèce ancienne on pardonnait en comprenant ensemble, en entrant dans la raison de l’autre. Cette horizontalité du pardon a été remplacée par la verticalité du pardon qui relève du politique. À partir des traditions grecques et judéo-chrétiennes, puis en passant par la pensée et les actions de Gandhi, Mandela et Martin Luther King, Martha Nussbaum (2016) se penche sur l’actuelle éthique du pardon. Elle reconnait la légitime colère des victimes laquelle afin de briser la condescendance et ouvrir la voie à l’acceptation du pardon libérée du sentiment de rétribution. Son approche semble répondre à l’expérience des victimes des individus en position d’autorité, crimes longtemps tus au nom de maintien de l’ordre social. Dans les récits d’expériences de la mort et de la vie sous le régime soviétique, dont Svetlana Alexievitch (2016) s’est faite historienne/romancière, le pardon de tradition chrétienne occidentale est absent. Le mot n’est prononcé qu’une seule fois et c’est par une femme soldat soviétique racontant comment en Allemagne conquise un soldat soviétique a tiré sur des civiles. En référence au temps de leur rencontre, les années 1990, elle dit à Alexievitch : « De nouveaux mots ont fait leur apparition : « pitié », « pardon » …Mais comment pardonner ? » (2016 : 394). Dans les récits des Soviétiques rassemblés par Alexievitch, le lecteur de sensibilité latine s’étonne de trouver le « comprendre ensemble » de tradition grecque plutôt que le « pardonner ». Tamara Oumniaguina, brancardière à Stalingrad raconte : « Je traîne notre blessé et je pense : « Est-ce que je retourne chercher l’Allemand, ou non ? » […] J’ai continué à les trainer sous les deux. » […] L’homme n’a qu’un seul cœur, et j’ai toujours pensé à préserver le mien. » (2016 : 412). Au plus profond de l’enfer de la déshumanisation, préserver son humanité c’est aussi permettre à l’agresseur de reconstituer la sienne. L’une étant la condition de l’autre, délier l’agresseur de son inhumanité c’est reconstruire l’humanité entière.
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Mancini, Silvia. "Religion." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.041.

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Анотація:
orsque l’on emploie le concept-terme de « religion », on a l’impression de savoir d’avance ce à quoi il renvoie, un peu comme si tout le monde était implicitement d’accord sur sa signification. Malgré les précautions rhétoriques de mise, nombreux sont ceux qui continuent à se faire les porte-paroles des sciences sociales, lesquelles non seulement s’en servent de manière insuffisamment problématisée (recourant le plus souvent à des raisons purement pratiques ou conventionnelles), mais n’hésitent guère à fournir de la religion une définition normative (Bradbury et al., 1972). À l’instar d’autres concepts, que l’anthropologie a soumis à la critique par la pratique du comparatisme différentiel (et non pas « analogique »), celui de religion n’a pas encore fait l’objet, au sein cette discipline, d’un travail analogue de relativisation et de mise en perspective. Seule l’historicisation de la religion (en lieu et place d’une approche normative) serait en effet susceptible d’éviter le risque de projeter une vision christiano-centrique sur des pratiques, conceptions et institutions symboliques appartenant à des sociétés foncièrement étrangères à l’histoire culturelle européenne (Sabbatucci 2002). Force est de constater que cette notion de religion a subi historiquement un processus de dilatation-élargissement parallèle à la découverte des civilisations « autres » – parallèle aussi au double processus de conquête et de colonisation du monde par la culture occidentale. Ce n’est, en effet, qu’à partir du XVIe siècle, que de nombreuses coutumes et conceptions propres aux peuples autochtones ont été interprétées comme « manifestations religieuses » (Augé 1982). Au fur et à mesure de la rencontre, tombèrent sous l’étiquette de « religion » tous ces comportements, institutions et représentations dont on ne comprenait ni la signification, ni la fonction pratique, et qui, aux yeux des conquérants, ne se justifiaient que comme « faits religieux » (Bernand et Gruzinski 1988). Ce qui excédait le fonctionnel ou l’expérience commune des Européens était appréhendé sub specie religionis : ainsi, la « couvade », le totémisme, l’évitement cérémoniel de la belle-mère, etc. Si une telle manière de procéder a indiscutablement contribué à rendre plus étendue la notion de religion par rapport à sa définition d’origine (lorsque l’on identifiait la religion avec le christianisme), elle a entraîné aussi une conséquence redoutable. Cette transformation en un concept à géométrie variable, dont les frontières se déplacent au fur et à mesure qu’on lui incorpore de nouvelles données historiques et ethnographiques, est allée de pair avec la généralisation au monde entier d’une catégorie-institution typiquement occidentale – celle de religion, justement (Lafiteau, 1724). Une telle généralisation a fonctionné comme l’un des plus puissants vecteurs de globalisation culturelle, religionisation du monde et globalisation étant allées de compagnie. Comment l’anthropologie, née dès le XVIIIe siècle sous les auspices d’une pensée qui ne se voulait pas confessionnelle, et qui aspirait à une connaissance neutre et scientifique des autres cultures, a-t-elle pu contribuer à cette généralisation de la notion de religion ? Certes, une telle question peut ressembler à une provocation. Il reste que c’est bien l’anthropologie qui, depuis sa posture relativiste, défendra l’idée selon laquelle priver les cultures autochtones de religion reviendrait à commettre une grave erreur ethnocentrique, comme si, du même coup, on privait ces sociétés de leur statut humain. Comme nous le verrons, l’histoire du concept de religion nous oblige à reconnaître que cet argument ne fait que reprendre le discours missionnaire. Historiquement parlant, l’identification établie jadis entre religion et christianisme – qui de nos jours peut apparaitre restrictive et euro-centrique –, était tout à fait correcte, dans la mesure où la religion fut une invention exclusivement chrétienne. Pour quelles raisons l’Europe – qui encore au XVIe siècle, à travers la bouche de ses missionnaires et voyageurs, déclarait sa surprise de ne pas trouver du tout, dans le Nouveau Monde, de formes religieuses (Clastres 1988) – a-t-elle fini par développer d’abord un discours sur les « religions sauvages » ou « primitives », puis sur les religions autochtones ? L’attribution d’une religion aux sociétés du Nouveau Monde constitua une étape stratégique indispensable dans le processus d’assimilation et de mise en compatibilité des traits culturels des « autres » avec les traits européens. Un tel processus de « religionisation » généralisée fut l’effet de la nécessité pratique et politique de la conversion de ces populations, laquelle allait de pair avec un programme de civilisation de celles-ci (évangélisation et civilisation étant interchangeables, dans la logique des conquérants). Or, pour que cette « mise en comptabilité religieuse » entre les cultures pût fonctionner (c’est en effet pour l’Occident, et l’Occident exclusivement, que la religion constitue un trait culturel fondateur et distinctif), il fallait bien admettre que les peuples à convertir et civiliser eussent une forme de religion, quelle qu’elle fût, et dont il fallait identifier les traits caractéristiques. Pour ce faire, la comparaison analogique offrit un outil irremplaçable (Acosta, 1590). Elle autorisa à parler de « croyances » des peuples sauvages; de leur « foi »; de leurs « dieux »; de leur vision de l’« âme », etc. – autant de notions dépourvues de sens dans des cultures ni théistes ni monothéistes. Dès la fin du XVIIIème, et surtout au XIXème, l’anthropologie a fini paradoxalement par s’approprier le modus operandi adopté jusque là par les missionnaires à des fins d’inculturation. De fait, en même temps que s’effectuait le processus de christianisation implicite du monde à travers la généralisation à toutes les cultures de catégories culturelles d’origine chrétiennes, l’idée s’affirmait, en sciences sociales, que non seulement la religion est une institution universelle, mais qu’elle est dotée aussi d’une irremplaçable et universelle fonction instituante. Certes, les anthropologues inscrivent leur démarche dans une perspective qui se veut scientifique, fondée sur l’observation empirique et exempte de toute finalité pratique de conversion. Il reste que, étonnamment, l’idée de la nature historiquement arbitraire de la religion n’a pas suscité un très vif écho chez les spécialistes de la diversité culturelle. Un tel désintérêt des anthropologues pour l’histoire du concept de religion constitue à lui seul un problème historique supplémentaire. Pourquoi la religion « résiste »-t-elle au processus de relativisation des absolus conceptuels auquel l’anthropologie même nous a habitués? Quel statut recouvre la religion dans l’imaginaire anthropologique moderne (Gasbarro 2007)? C’est un fait, que la problématisation historique de la religion a fait défaut aux évolutionnistes qui, s’ils envisagent cette institution en termes évolutifs, n’en mettent guère en doute l’universalité en tant qu’expression de « civilisation »; elle a fait défaut aussi à Durkheim (1912), préoccupé de découvrir les invariants normatifs des institutions sociales. Elle est absente également dans l’ethnologie historique allemande, tributaire de la vision romantique qui identifie la religion d’un peuple au réservoir de ses traits culturels les plus significatifs et les plus porteurs de sens. Une idée qui refait surface dans une certaine anthropologie culturaliste américaine, jusqu’à Clifford Geertz (1972). L’historicisation de la religion n’est pas pratiquée non plus par la Phénoménologie religieuse (Otto 1995; Van der Leuuw 1948 ; Eliade 1965), qui pour asseoir la nature universelle de la religion convoque les structures anhistoriques de la conscience humaine confrontée au sacré, et elle l’est encore moins par celui dont la méthode structurale a par ailleurs contribué puissamment à la dé-religionisation des productions symboliques des sociétés autochtones d’Amérique. En fait, chez Lévi-Strauss, le travail de dé-religionisation pratiqué dans l’analyse du totémisme ou des mythes fera recours non pas à l’histoire, mais à la psychologie (Lévi-Strauss 1962, 1964). Derrière cette résistance à une mise en perspective historique et culturelle de la religion, le soupçon surgit que celle-ci continue implicitement d’incarner, en Occident, une valeur forte et fondatrice. Un ordre du sens qui n’a pas tout à fait disparu de notre imaginaire culturel. De cette situation, une fois de plus, seule l’histoire peut nous fournir la clé. Le rôle instituant et le pouvoir de sens dont l’Occident crédite la religion prend origine dans le conflit qui, au début de notre ère, a opposé le Christianisme en plein essor au monde culturel de l’Antiquité païenne que le message chrétien prétend subvertir. Dans la tradition romaine – celle-là même à laquelle le Christianisme empruntera le mot latin religio, qu’il reprend à son compte pour se désigner lui-même –, on ne fait pas de distinction, comme nous le faisons de nos jours, entre une sphère religieuse et une sphère civile (Durand, Scheid 1994). Dans l’ordre du monde romain, on ne reconnaît guère la religion en tant que sphère distincte et autonome de la vie socio-culturelle institutionnelle. Une formule, selon Dario Sabbatucci (2002), synthétise au mieux cette conception romaine : sacré : public = profane : privé. En d’autres termes, à Rome, était sacré tout ce qui relève du domaine public; était profane, en revanche, tout ce qui relève de la vie et des relations des citoyens entre eux, en dehors du secteur public proprement dit. Dans un tel dispositif reposant sur des règles de conduite balisées et un agencement dynamique des divers ordres dont l’action rituelle est le moteur et l’instrument régulateur, la religio n’a donc aucun rapport avec l’idée d’un dieu transcendant, ni avec la foi, ni avec un projet de salut, ni avec l’idée d’une âme individuelle qui survit à la mort, ni avec l’expérience vécue du sacré, compris comme une structure transhistorique et transculturelle de la conscience. La religio, pour les Romains, désignait plutôt un comportement respectueux des traditions, une conduite réservée, une attitude de dévotion. Comment est-on donc passé de la religio des Romains à la religion des Chrétiens? À partir du décret qui, sous Théodose (en 380 apr. J.C.), fit du Christianisme la religion d’État, laquelle remplaça officiellement l’ancien ordre païen, l’Église fut obligée de composer avec ce qui restait du système vaincu, dont elle devenait l’héritière. Notamment, avec ces institutions déjà en place qui s’avéraient susceptibles d’être récupérées et mises à contribution pour bâtir le nouvel ordre. Parmi ces héritages figurent, d’une part, la philosophie grecque (mise à contribution pour asseoir les vérités chrétiennes, comme fut le cas de la scolastique); de l’autre, la jurisprudence et le droit romains (récupérés dans le cadre du Droit canonique). Malgré ces incorporations, pour éviter toute contradiction l’Église se devait de bannir de l’héritage de l’Antiquité ces manifestations irréductiblement incompatibles avec le nouveau message de vérité et la nouvelle sacralité dont elle était le porte-parole. Il fallait, en somme, supprimer les divinités polythéistes (qui apparaissent dorénavant « fausses en mensongères »), sans pour autant renoncer à se servir des institutions qui par le passé leur avaient été associées. La solution historique à cette contradiction consista à désarticuler et à réaménager l’ancien système de références (exprimé par la formule public : sacré = privé : privé). Ce système, comme on l’a vu, reposait sur la sacralisation des instituions publiques et de l’État de droit, qui dorénavant, dans la vision chrétienne, relèveront exclusivement du domaine civil (dont la sphère d’action est l’opposition publique / privé). Ce réaménagement consista en outre à séparer rigoureusement le domaine civil du domaine religieux, fondé, lui, sur le nouveau message chrétien et dont la sphère d’action est l’opposition sacré/profane (Rendre à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu). Une telle séparation du religieux et du civil ne plaça toutefois guère ces deux sphères sur un pied d’égalité. Depuis lors, on accorda symboliquement au domaine religieux une position super-ordonnée et fondatrice par rapport au domaine civil et à ses diverses expressions, qui, toujours au niveau symbolique et existentiel, furent hiérarchiquement soumises au premier. Malgré la sécularisation qui, à la Renaissance, connut une impulsion importante en raison de la priorité accordée aux valeurs humanistes et au rôle de la politique (sphère civile par excellence), c’est un fait que l’horizon de sens du religieux continue de remplir, en Occident, le même rôle instituant et fondateur. Cela est dû, probablement, à une culture civile défaillante, incapable de bâtir au niveau symbolique un imaginaire collectif aussi puissant que l’imaginaire religieux (Mancini 2008). La preuve en est qu’encore aujourd’hui on consulte des théologiens sur des questions de société relatives à la vie et la mort, ainsi qu’à l’horizon du sens ultime de l’existence. Il incombe à l’anthropologie contemporaine de s’interroger sur son engagement « civil », et de se demander si elle a vraiment contribué, par sa connaissance de la diversité culturelle, à changer le statut de code de sens prioritaire attribué en Occident à la religion (Kilani 2011). Et ce, même si les Autres, dont l’imaginaire occidental s’est emparé, savent très bien jouer de leurs « traditions religieuses » respectives pour revendiquer leur droit à l’autodétermination en défense de leurs droits civils.

Дисертації з теми "Colonisation – Philosophie – 20e siècle":

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Safta, Moez. "LAfrique du Nord dans l'imagerie coloniale : le cas de la Tunisie." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010605.

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En retournant le sablier de l'histoire à travers la littérature, l'architecture et quelques supports iconographiques, nous avons voulu déceler l'origine de certains préjugés tenaces préjudiciables à la compréhension entre les peuples français et maghrébins ; et montrer que l'imagerie coloniale était une réponse esthétique aux questions que se posait une époque. Cette même réponse questionne aujourd'hui à son tour notre époque, car cette imagerie est une forme d'idéologie non anachronique. Elle scinde le sujet maghrébin en un substrat autochtone et en une patine européenne, faisant de lui un être étranger vis-à-vis de lui-même, par une hiérarchisation fondée sur la mutation de traits extérieurs sans importance, en éléments essentiels, le transformant ainsi par la déculturation et par l'acculturation. Re-présentation et co-naissance et non pas représentation et connaissance, cette imagerie donne à réfléchir sur la fonction sociale des images, car c'est une sorte de dialogue entre l'image de soi et l'image de l'autre, l'image pour soi et l'image pour l'autre qui semble s'être ainsi établi, tergiversant entre le même et le semblable, la photocopie, l'estompe, voire même l'efface; car chaque image renvoyait toujours au même réfèrent : le colonisateur. La dichotomie nous a amené à proposer une ébauche de solution consistant en la réorientation du discours identitaire maghrébin dans le sens d'une réelle réappropriation de la personnalité historique tout en tenant compte de la proximité avec le monde occidental et principalement de la France; mais pour cela, il faut entreprendre cette transformation catégorique dans le sens d'un "retour au sujet" en termes psychanalytiques freudiens
By inverting the hourglass of history, and examining literature, architecture and other forms of iconography, we have tried to detect the origin of certain tenacious prejudices that are detrimental to the mutual inderstanding of the french and maghreb peoples, and to show that colonial imagery is an esthetic reponse to questions posed during a specific period. Today, this same reponse poses questions about our present time, as this imagery is not anachronistic. The imagery divides the maghreb self into an autochtonous substratum and a european veneer, creating, through a hierarchy founded upon the mutation of meaningless exterior traits into essentiel elements, a self foreign to itself. It also transforms this self by the processes of de-culturation and acculturation. "re-presentation" and a "shared birth" do not equal "representation" and "shared knowledge". This imagery instigates one to reflect upon the social function of images as it is, in a sense, a dialogue between the image of "self" and the image of "other". The dialogue is a fluctuation between self and the self mirrored in others, the self and the photocopy of the other, the self and the blurred other, as well as the self and the erased other. Each image always returns to the same referent : the colonizer. The dichotomy brings us to propose a rough solution : the reorientation of the discourse on the maghreb identity
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Albin, Jean-François. "Crise et impérialisme : histoire et actualité des approches marxistes." Electronic Thesis or Diss., Paris 10, 2024. http://www.theses.fr/2024PA100020.

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Анотація:
Partant notamment des analyses de Marx relatives aux contradictions du procès d'extraction, de réalisation et d'accumulation de la valeur, des tendances inhérentes à la crise comme matérialisation cyclique de l'inégal développement du mode de production capitaliste, sous la triple forme de la sous-consommation, de la disproportion et de la baisse tendancielle du taux de profit, nous chercherons à retracer de manière critique l'émergence et l'affirmation des premières théories marxistes de l'impérialisme sur la période de la Deuxième Internationale. Cette présentation nous conduira à examiner l'ensemble des médiations historiques et théoriques qui articulent la conceptualisation de l'impérialisme aux notions d'accumulation capitaliste, de crise, de rapports entre Etats, de monopole, de capital financier et de guerre. Nous chercherons à considérer dans quelle mesure ces théories dépassent la conjoncture historique particulière à laquelle elles se rattachent et seraient en mesure de fonder une théorie matérialiste des relations internationales
Starting from Marx's analyzes relatives to the contradictions of the process of extraction, realization and accumulation of value, of the tendencies inherent in the crisis as the cyclical materialization of the unequal development of the capitalist mode of production, in the triple form of under-consumption, disproportion and the downward trend in the rate of profit, we will seek to critically trace the emergence and affirmation of the first Marxist theories of imperialism during the period of the Second International. This presentation will lead us to examine the whole historical and theoretical mediations which link the conceptualization of imperialism to the notions of capitalist accumulation, crisis, relations between states, monopoly, financial capital and war. We will seek to consider to what extent these theories go beyond the particular historical conjuncture to which they are attached and would be able to support a materialist theory of international relations
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Bivina, Guillaume. "L'éducation, un aspect des relations culturelles Cameroun -Canada (1948-2008)." Thesis, Montpellier 3, 2013. http://www.theses.fr/2013MON30009.

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Анотація:
En 2010, le Cameroun a fêté le centenaire de l’éducation moderne et le cinquantenaire de son indépendance. Pour les générations adultes, le niveau scolaire a dangereusement baissé. Selon eux, les élèves étaient jadis plus consciencieux et plus performants. À ce titre, les établissements scolaires BONNEAU, SACRÉ-COEUR, SAINT-COEUR, VOGT, STOLL, évoquent tout ce qu’il y a de sérieux. Les personnalités de premier rangdu Cameroun à l’exemple du Chef de l’État actuel, y ont été formées par des missionnaires canadiens. Voulant savoir ce qui faisait la particularité de cette éducation, nous avons émis l’hypothèse générale qu’elle reposait sur une approche didactique particulière. Cette hypothèse nous a permis de consulter des archives pour examiner les aspects éthiques, socioprofessionnels, psychopédagogiques et technologiques des éducateurs canadiens. Il en ressort que les valeurs éthiques et morales étaient au coeur de leur approche éducative. Le profil des enseignants de ces établissements était moins important que les valeurs chrétiennes qu’ils incarnaient. Aussi avons-nous proposé que les éducateurs camerounais actuels s’inspirent de ce modèle pour améliorer leur pratique. En somme, il nous est apparu hautement souhaitable que les professeurs d’histoire, s’appuyant sur l’approche éthique canadienne, présentent des valeurs authentiquement africaines aux jeunes Camerounais
In 2010, Cameroon celebrated the centenary of modern education and the fiftieth anniversary of its independence. For adult generations, school level dropped alarmingly. According to this thesis, the students were once more conscientious and more efficient. As such, schools like BONNEAU, SACRED HEART, SAINT-HEART, VOGT, STOLL, evoke everything that is serious. Great personalities of Cameroon of the example of the current head of State were being trained by Canadian missionaries. Wanting to know what the peculiarity of this education was, we issued the general assumption that it was based on a particular educational approach. This assumption allowed us to develop a questionnaire to examine the ethical, socio-professional, pedagogical and technological aspects of Canadian educators. After counting the questionnaire, it appears that the ethical and moral values were at the heart of their educational approach. The profile of the teachers appeared less important than the Christian values they embodied. We therefore proposed that the current Cameroonian educators get inspired by this model to improve their practice. In short, it became highly desirable that history teachers, based on the Canadian ethical approach, have authentically African values to young Cameroonians
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Bertocchi, Alessandro. "Philosophie et non-philosophie du poétique : Alessandro Bertocchi." Paris 10, 2005. http://www.theses.fr/2005PA100144.

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Анотація:
"Philosophie et non-philosophie du poétique" indique une double attitude de la philosophie française contemporaine : pour maîtriser la pensée, elle revient sur soi, mais elle peut aussi ne pas participer à ce mouvement. Le "poétique", objet de l'attitude, implique alors le "poétique" et le "non-poétique", deux usages des expériences fondamentales du langage. La première expérience est la surdétermination du langage qui se rapporte à la pensée de la maîtrise. La deuxième est l'expérience de l'immanence du langage à soi sans retour possible de la pensée. En passant par le poétique, la première attitude vise à la maîtrise de l'immanence. En passant par le non-poétique, la deuxième attitude remet en discussion la maîtrise de l'immanence par la notion d'une naïveté radicale et par la théorie du poétique. Nous parvenons ainsi à la distinction entre la pensée qui met l'immanence en discussion – la philosophie – et la pensée qui part de l'impossibilité de cette mise en discussion – la non-philosophie
Contemporary thought may go back over itself to master thought or not. Thus a double use of language's experiences becomes possible: the complexity and the immanence of language in itself. Three possible determinations of thought reality are going to be involved: objectivity and exteriority, that belong to the thought's first attitude, and immanence. “Poetic and non-poetic” is the problem of mastering immanence by the poetic and of questioning the poetic by the non-poetic according to the uses of language. This entails a thinking of passage from a thought of a first kind to a thought of a second one, linked up in three moments: the poetic, the non-poetic, and the completion of passage, as a formal and material stand. The completed passage implies that immanence may not be questioned inside the poetic and the non-poetic. To accept or not the questioning of immanence distinguishes between philosophy and non-philosophy
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Adjanor, Lepoutre Myriam. "Conquête et colonisation dans la conscience mexicaine : 1810-1970." Lille 3, 1992. http://www.theses.fr/1992LIL3A001.

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Mukuri, Melchior. "Les transformations de l'agriculture au Burundi sous la colonisation belge (1924-1959)." Doctoral thesis, Université Laval, 1990. http://hdl.handle.net/20.500.11794/17622.

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Deville-Danthu, Bernadette. "Education physique, sport, colonisation et décolonisation dans les anciens territoires français d'Afrique occidentale : 1920-1965." Aix-Marseille 1, 1995. http://www.theses.fr/1995AIX10019.

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Анотація:
L'implantation des pratiques physiques et sportives en a. O. F. Est une volonte du colonisateur qui apres la premiere guerre mondiale avait encourage l'education physique et la preparation militaire dans le but d'ameliorer la condition physique des populations autochtones, de les discipliner, d'en faire de loyaux sujets. Mais cette volonte se heurta tres rapidement a l'indifference et au rejet des africains qui preferaient les jeux sportifs et en particulier le football. Les pratiques physiques en a. O. F. Furent alors un terrain d'affrontement entre les colonises et l'administration coloniale. Cette derniere etait opposee au developpement d'un mouvement sportif tel qu'en metropole car elle attribuait aux clubs et aux rencontres sportives un potentiel subversif non negligeable. Cependant, sous la pression internationale et la volonte des africains, elle dut ceder progressivement : n'ayant pu imposer la preparation militaire avant guerre, elle voulut diffuser l'athletisme apres guerre, discipline sportive jugee tres educative. Mais le football devint le sport roi et dans les annees cinquante, un veritable mouvement sportif se developpa en a. O. F. A partir des structures heritees du gouvernement de vichy. Les premiers champions apparurent, principalement en athletisme, en boxe et en football, que la france selectionna avec reticence. Quelques grandes competitions furent developpees a l'echelle de la federation. Mais il fallut attendre les independances et la reduction du mouvement sportif d'a. O. F. Aux cadres nationaux pour voir se developper, avec l'aide de la cooperation francaise, un sport a l'echelle du continent africain.
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Brot, Michel. "Les régions frontalières Guinée-Sierra Leone du début du vingtième siècle aux indépendances." Aix-Marseille 1, 1994. http://www.theses.fr/1994AIX10080.

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Анотація:
Cette these est l'histoire totale d'un ensemble de micro-regions traversees par la frontiere coloniale entre la guinee francaise et la sierra leone britannique, de 1911 a 1958 environ. La comparaison de l'impact des regimes coloniaux francais et britaniques en guinee et en sierra leone confirme l'existence de differences appreciables entre ces regimes coloniaux : la chefferie sierra-leonaise avait plus d'autonomie, les charges coloniales etaient en general plus lourdes en guinee. La frontiere coloniale n'a jamais empeche le mouvement des hommes et des biens : elle a meme induit de nouveaux courants commerciaux, legaux ou de contrebande, et la disparite entre les regimes francais et britannique a entraine de frequentes fuites transfrontalieres, surtout vers la sierra leone. Deux moments ont precipite l'evolution des identites collectives : celui du regime de vichy (1940-1943) ou la frontiere etait fermee, et celui des annees 1950, avec des luttes politiques paralleles et la formation d'un nationalisme territorial. Le fil conducteur de cette these est celui des initiatives africaines.
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Bulle, Sylvaine. "Apercevoir la ville : pour une histoire urbaine palestinienne, entre monde et patrie, sentiment et influences (1920-2002)." Paris, EHESS, 2004. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00766400.

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Анотація:
Ce travail se situe dans le champ de l'histoire urbaine et sociale. Il se propose de saisir dans trois temporalités politiques, les conditions de production du territoire palestinien revendiqué tout au long du XXème siècle comme objet patriotique et nationaliste et influencé par les présences étrangères ou coloniales successives. L'accent est mis sur la dynamique des pouvoirs, des espaces et des hommes vue à partir de l'éclairage simultané des discours, des milieux professionnels liés à la ville et des types d'espaces urbains produits. La première partie examine la période d'internationalisation urbaine de la Palestine mandataire sous tutelle britannique avec la création d'un tissu cosmopolite et le transfert d'un modèle urbain mais qui ne parvient pas à s'imposer dans la Palestine arabe. La seconde partie se concentre sur le gouvernement de l'espace et des hommes survenant dans la période d'après guerre (1948-1967) marqué par la partition territoriale et par l'occupation militaire. La recherche met à jour des types de gouvernementalité des hommes et des territoires spécifiques : militarisation des savoirs, colonisation, police de l'espace, transformations d'un espace autochtone et montre le patriotisme des milieux professionnels israeliens en miroir de la résistance palestinienne. La troisième partie est consacrée à la courte période de pacification (1995-2002). La reconstruction donne une légitimité à la libéralisation foncière, à l'urbanisation du capital, au désir de renouvellement historique de la ville traditionnelle
This research belong to the field of urban history. It concern an analysis of the production of urban space in Palestine revendicated as a patriotic and nationalist object, influenced by the western and colonial presence. The research focuses on the dynamics of power, space and knowledge, regarding through the analysis of professionnal and urban cultures, crossing the production of spaces. The first art concern the period of the British Mandate (1920-1948) with the transfert of urban knowledge and models; the second part concern the militarisation of the space in the context of post war and israeli occupation (1948-1994). The third part examines the short period of pacification (1994-2002) and describe the urbanisation of the capital, the urban renewal and news urban cultures at the cross-crossing of nationalism and universal influences
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Locret-Le, Bayon Sylvie. "Les femmes françaises et la colonisation : étude de leur présence sociale." Nice, 1986. http://www.theses.fr/1986NICE2024.

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Анотація:
Cette recherche s'inscrit dans la préoccupation actuelle de préserver des documents sur la période coloniale en suscitant des témoignages et disposer ainsi de documents de premiere main qui permettront d'écrire l'histoire. Nous sommes partis à la recherche de cette "mémoire féminine" et avons ainsi recueilli cent recits de vie de femmes françaises ayant vécu outre-mer. Les souvenirs rapportés s'étendent sur de longues années, ils commencent en mille neuf cent trois pour s'achever en mille neuf cent soixante. Nous avons limité cette étude aux séjours des femmes françaises en Afrique noire, en Indochine et à Madagascar. Nous avons utilisé la méthode des récits de vie car elle permet le contrôle et le recoupement des informations. C'est à ce niveau que se situe toute leur valeur "d'histoire immédiate". La confrontation des récits entre eux a permis d'accéder au système de représentation sociale d'un groupe. L'ensemble est d'une grande diversité puisqu'il aborde les différents aspects de la vie de la femme française outre-mer. Nous avons eu le souci de repondre à des exigences de representativité et d'exhaustivité lors de cette reconstitution de la mémoire d'une époque. Aussi devant l'abondance d'un corpus très diversifié qui risquait d'être difficile à décoder nous avons été amené à utiliser un traitement informatique. Dans le cadre de l'étude de la présence sociale des femmes françaises aux colonies nous avons privilegié les aspects concrets de la vie quotidienne dans la maison et l'analyse des inter-relations se jouant au travers des échanges avec les domestiques. Notre étude psycho-sociologique s'est située a différents niveaux. A l'écoute de ces femmes engagées dans des relations de pouvoir, duelles, inter-subjectives dans un contexte historique bien particulier, nous avons été amené progressivement à prendre en compte la dépendance, l'ambivalence et la dimension speculaire de tout rapport de domination, de pouvoir.

Книги з теми "Colonisation – Philosophie – 20e siècle":

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Karhausen, Lucien. Les flux de la philosophie des sciences au 20e siècle. Paris: Harmattan, 2011.

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Bernheim, Jean-Claude. Criminologie: Idées et théories : de l'Antiquité à la première moitié du 20e siècle. Montréal: Méridien, 1999.

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Bourton, William. Sartre, d'un siècle l'autre. Bruxelles: Labor, 2004.

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4

Christian, Martin. Signifiances de l'art: Définir l'artistique? Montréal (Québec): Liber, 2011.

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Michel, Richard. La pensée contemporaine: Les grands courants. 3rd ed. Lyon: Chronique sociale de France, 1986.

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Champagne, Patrick. Mouvements d'une pensée: Pierre Bourdieu. Paris: Bordas, 2004.

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Bloom, Allan. L' âme désarmée. Montréal: Guérin, 1987.

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Ferro, Marc. Histoire des colonisations: Des conquêtes aux indépendances XIIIe-XXe siècle. 2nd ed. Saint-Amand: Éditions du Seuil, 1994.

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Ladrière, Jean. L'espérance de la raison. Louvain: Peeters, 2004.

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1948-, Harris Leonard, ed. The philosophy of Alain Locke: Harlem Renaissance and beyond. Philadelphia: Temple University Press, 1989.

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Частини книг з теми "Colonisation – Philosophie – 20e siècle":

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Van Schuylenbergh, Patricia. "Colonisation belge en Afrique centrale : Aperçu historiographique (1910-2020)." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 87–118. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127892.

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Piret, Bérengère. "Regards sur les archives relatives à la colonisation belge conservées hors de Belgique." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 71–86. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127891.

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3

Tallier, Pierre-Alain. "Introduction: Comprendre, expliquer, réparer." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 15–22. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127888.

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Van Eeckenrode, Marie. "Ouvrir les archives coloniales." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 25–47. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127889.

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Tallier, Pierre-Alain, and Delphine Lauwers. "Le guide et ses modalités d’utilisation." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 49–70. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127890.

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"Liste des auteurs des notices / Liste des institutions de conservation en Belgique citées dans les notices." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 2049–58. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127898.

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"Notices relatives à l’État indépendant du Congo et projets antérieurs ([1876-1884] 1885-1908)." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 143–656. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127894.

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"Notices relatives aux territoires africains sous autorité allemande : Afrique Orientale Allemande (1890-1916) / Notices relatives aux archives d’origine allemande produites dans le cadre de l’occupation de la Belgique durant la Deuxième Guerre mondiale et concernant des sociétés belges actives au Congo et au Ruanda-Urundi." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 1967–72. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127896.

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"Notices relatives à la Belgique et aux territoires sous autorité belge : Congo, Ruanda Et Urundi ([1884]1909-1960/1962)." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 657–1965. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127895.

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"Territoire (géologie, faune et flore)." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 2061–65. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127899.

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