Добірка наукової літератури з теми "Achat de vote"

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Статті в журналах з теми "Achat de vote"

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LONO, Paul MUSUNGU. "Approche juridique de la determination du regime de vote electronique en droit Electoral Congolais." KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques 10, no. 3 (2023): 303–37. http://dx.doi.org/10.5771/2363-6262-2023-3-303.

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Анотація:
La complexité et les coûts en termes de moyens et de temps des opérations de vote manuel ou à bulletin papier au sein des Etats démocratiques modernes rendent l’organisation et la participation électorale coûteuse et faible. Pour palier cette situation, les organismes de gestion des élections ont révolutionné les matériels et outils électoraux en introduisant les machines ou ordinateurs de vote qui facilitent les opérations électorales. Mais, au-delà de leurs progrès louables, plusieurs problèmes et zones d’ombre planes sur leur achat et usage demandant ainsi l’intervention des règles juridiques qui les encadrent. C’est dans cet optique que ce présent article vise à rationaliser les machines à voter introduit par la CENI dans le système de vote électronique congolais en offrant au législateur la piste de l’encadrement juridique de ces nouvelles technologies électorales pour que les règles régissant leur utilisation équivaillent à celles qui régissent le processus de vote manuel ou de bulletin papier secret.
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2

Maiolino, Anna Maria. "Sotto voce [Em voz baixa]." POIÉSIS 17, no. 27 (September 25, 2018): 85. http://dx.doi.org/10.22409/poiesis.1727.85-89.

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Анотація:
Meu pseudônimo é Anna. Eu sou uma das sete imãs das Plêiades que habitamos a Constelação de Touro. No céu sou uma e sou muitas e como humana sou tudo e não sou o nada. Cada ato que executo é o fiel presságio de outros que no futuro se repetirão. Busco em cada palavra o peso, a intensidade, as presenças de certezas. Mas quais certezas? Tu não achas que há algo errado com as certezas?
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Afassinou, Yaovi Mignazonzon, Yao Israël Sossou, Soulemane Pessinaba, Labite Kpoti Tokou, Komla Afanlovi, Koffi Koudouvo, and Amegnona Agbonon. "Etude ethnobotanique des plantes utilisées dans le traitement de l’hypertension artérielle de la région autonome du Grand Lomé." European Scientific Journal, ESJ 20, no. 27 (September 30, 2024): 113. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n27p113.

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Анотація:
Pertinence ethnopharmacologique : Le coût de la prise en charge de l’hypertension est plus élevé chez les patients à faible revenu financier. D’où l’utilisation fréquente de la médecine traditionnelle. Cette étude pourrait révéler de nouveaux usages pour des plantes médicinales déjà connues, ainsi que pour plusieurs plantes médicinales inconnues. Objectif de l’étude : L’objectif de ce travail est d’identifier les plantes utilisées pour traiter l’hypertension dans la Région Autonome du Grand Lomé. Matériel et Méthodes : Il s’agissait d’une enquête ethnobotanique menée dans la Région Autonome du Grand Lomé sur une période de six mois d’avril à septembre 2021. L’accent a été mis sur la collecte d’informations sur les plantes médicinales utilisées dans le traitement de l’hypertension artérielle chez les herboristes du marché en utilisant la méthode « Achat en Triplet de Recettes Médicinales (ATRM) ». Résultats : Nous avons visité 18 marchés et rencontré 108 herboristes. Les herboristes étaient des hommes dans 79,62 % des cas. L’enquête a identifié 36 espèces de plantes médicinales regroupées en 24 familles de plantes. La famille des Verbenaceae est la famille la plus fréquemment citée de ces espèces, et la famille des Fabaceae a le plus grand nombre d’espèces répertoriées. La Lippia multiflora Moldenke était l’espèce la plus citée par les herboristes. Les parties utilisées étaient des tiges feuillées dans 43,5%. Le processus de préparation de ces plantes comprenait la décoction (72,7 %) et la macération (15,8 %). L’administration par voie orale étant le principal mode d’administration. Conclusion : La flore de la Région Autonome du Grand Lomé contient une variété de plantes médicinales utilisées pour traiter l’hypertension artérielle. La démonstration de leurs effets antihypertenseurs par des tests pharmacologiques garantira que leur utilisation est sécurisée. Ethnopharmacological relevance: The cost of managing hypertension is greater for patients with low financial income. Hence, the frequent use of traditional medicine. This study may uncover new uses for already known medicinal plants, as well as several unknown medicinal plants. Aim of the study: This work aims to identify the plants used to treat hypertension in the Autonomous Region of Greater Lome. Material and Methods: This was an ethnobotanical survey conducted in the Autonomous Region of Greater Lome over six months from April to September 2021. The focus was on gathering information about medicinal plants used in the management of hypertension in market herbalists using the “Achat en Triplet de Recettes Médecinale” (ATRM) method. Results: We visited 18 markets and met 108 herbalists. Herbalists were male in 79.62% of cases. The survey identified 36 species of medicinal plants grouped into 24 plant families. The Verbenaceae family is the most frequently cited family of these species, and the Fabaceae family has the highest number of listed species. Lippia multiflora Moldenke was the species most cited by herbalists. The parts used were leafy stems in 43.5%. The preparation process for these antihypertensive plants involved decoction (72.7%) and maceration (15.8), with oral administration being the primary mode of administration. Conclusion: The Greater Lome Autonomous Region's flora contains a variety of medicinal plants that are used to treat hypertension. Demonstrating their antihypertensive effects through pharmacological tests will ensure their use is secure.
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A. Dahounom, Aboudou,, and Koffi Koudouvo. "Enquête Ethnobotanique Sur Les Plantes Médicinales Utilisées Dans La Prise En Charge Traditionnelle Des Maladies Infectieuses Dans La Région Sanitaire Lomé-Commune Du Togo." European Scientific Journal, ESJ 17, no. 21 (June 30, 2021): 46. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p46.

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Анотація:
Afin de promouvoir la Médecine traditionnelle togolaise (MTT), préserver/conserver des savoirs et savoir-faire endogènes, une enquête ethnobotanique a été menée de Mai 2018 à Juillet 2019 pour recenser les recettes de plantes aux propriétés anti-infectieuses vendues dans les marchés de la Région Sanitaire Lomé-Commune du Togo. ATRM(Achat en Triplet de Recettes Médicinales) a été la méthode de collecte des données. Les données recueillies qui portent sur les caractéristiques ethnopharmacologiques de ces recettes, ont été traitées et analysées avec des logiciels ethnobotaniques et statistiques appropriés afin de sélectionner quelques plantes pour de futurs tests de laboratoire. Cent deux (102) recettes d’association de plantes constituées par 68 espèces appartenant à 37 familles, ont été recensées. Annonaceae et Leguminosae-Caesalpinioideae (5 espèces chacune), Apocynaceae, Euphorbiaceae, et Leguminosae-Papilionoideae (4 espèces chacune), ont été les familles les plus représentées. Anacardiaceae, Euphorbiaceae, et Leguminosae-Mimosoideae, avec respectivement 129, 75 et 63 citations, ont été les familles dont les espèces sont plus citées. Arbres (39,71%), herbes (38,24%), arbustes (14,7%), lianes (2,94%), arbrisseaux (2,94%) et palmiers (1,47%) ont été les types biologiques d’appartenance de ces espèces. Suivant les valeurs usuelles (VU), Lannea kerstingii (VU=2,29), Bridelia ferruginea(VU=2,00) et Zanthoxylum xanthoxyloides(VU=1,82) ont été les espèces plus usuelles. Ecorce de tronc (53,57%), racine (16,13%), tige feuillée (6,9%), plante entière (6,65%), fruit (6,28%), et écorce de racine (6,04%) ont été les parties les plus utilisées des espèces recensées qui sont préparées par décoction (93.14%) et macération (6,86%) puis administrées exclusivement par voie orale. Bridelia ferrugiea et Chamaechrista rotundifolia ont été sélectionnées pour de futurs tests antimicrobiens. Ces résultats illustrent la richesse de la MTT en connaissances endogènes sur les plantes aux propriétés anti-infectieuses. In order to promote traditional Togolese medicine, to preserve and conserve endogenous knowledge and expertise, an ethnobotanical survey was carried out from May 2018 to July 2019 to record the recipes of plants with anti-infectious properties sold in the markets of the Lomé-Commune Health Region of Togo. ATRM (Achat en Triplet de Recettes Médicinales) was the data collection method. The data collected about the ethnopharmacological ethnobotanical and statistical software for selection some plants for future laboratory tests. One hundred and two associations of plant’s recipes composited by 68 species belonging to 37 families were identified. Annonaceae and Leguminosae-Caesalpinioideae(5 species each), Apocynaceae, Euphorbiaceae, and Leguminosae-Papilionoideae(4 specie each) were the most represented families while Anacardiaceae(129 citations), Euphorbiaceae(75 citations) and Leguminosae-Mimosoideae(63 citations) were family of the most cited species. Trees(39.71%), grasses(38.24%), shrubs(14.7%), lianas(2.94%), bushes(2.94%) and palms(1.47%) were the different biological types to which these species belonged. According to the Used value(UV) Lannea kerstingii(UV=2.29), Bridelia ferruginea(UV=2.00) and Zanthoxylum xanthoxyloides(UV=1.82) were the most usual species. Stem bark(53.57%), root(16.13%), leafy stem(6.9%), whole plant(6.65%), fruit(6.28%), and root bark(6.04%) were the most commonly used parts of the listed species. These recipes which are prepared by decoction (93.14%) and maceration(6.86%) are administered exclusively by oral route. Bridelia ferrugiea and Chamaechrista rotundifolia were selected for laboratory tests to evaluate their antimicrobial activities in future. Conclusion: These results illustrate the richness of traditional Togolese medicine in endogenous knowledge about anti-infectious’ medicinal plants.
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Chaouachi, Leila, Anne Batisse, Johan Thiery, Anne Roussin, Cécile Chevalier, Anne-Sylvie Caous, Aurélie Aquizerate, et al. "Pratique du chemsex en France : actualisation des données d’addictovigilance." Psychotropes Vol. 31, no. 2-3 (September 25, 2024): 37–52. http://dx.doi.org/10.3917/psyt.302.0037.

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Анотація:
Le chemsex se définit classiquement par l’usage de substances psychoactives avant ou pendant les relations sexuelles afin d’améliorer performance, durée et plaisir sexuel. Cette pratique peut avoir des conséquences sanitaires individuelles très importantes (complications addictologiques, somatiques) et populationnelle (transmission d’infections virales ou bactériennes). Le chemsex a émergé en France à partir de 2009, avec l’apparition des nouveaux produits de synthèse (NPS) et d’internet (achat des produit et site de rencontre). La population principalement concernée par le chemsex est la population des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH). L’addictoVigilance est un acteur de veille sanitaire incontournable de la surveillance des complications en lien avec la pratique du chemsex et ce à travers des indicateurs clairs : complications médico-légales (évolution des décès via l’enquête annuelle DRAMES et des soumissions chimiques), des évènements graves (troubles addicto-psychiatriques, neurologiques, cardiovasculaires, infectieux) via les notifications spontanées. Une mise à jour des données d’addictovigilance proposée dans cet article montre une augmentation importante et inquiétante des complications et des décès en lien avec cette pratique depuis 2008 (nombre de cas multiplié par un facteur 3 en 5 ans). La persistance à bas bruit de la pratique du chemsex par voie injectable est retrouvée dans les données avec des complications infectieuses pouvant se compliquer en arthrite septique. Les antécédents infectieux sont en baisse dans la population des chemsexeurs, que ce soit concernant le VIH, le VHC ou bien les autres IST. Les classes de substance rapportées sont toujours des cathinones de synthèse associées ou non à la cocaïne et au GHB/GBL. Les cathinones évoluent avec l’arrivée des dérivées chlorés type 3-CMC /4-CMC. Les principales complications sont les troubles liés à l’usage de substances, les infections (majoritairement abcès, hypodermite, nécroses), des troubles neurologiques impliquant dans la grande majorité des cas de G-holes (surdosage en lien avec le GHB/GBL), des troubles psychiatriques (psychoses avec hallucinations, délire, angoisse et dépression) et des complications cardiovasculaires en lien avec la toxicité des produits. Les agressions sexuelles et les cas de soumissions chimiques possibles soulignent les risques d’abus sexuels ou de rapports sexuels non-consentis plus importants dans le cadre du chemsex. La mise en place d’interventions multidisciplinaires a permis, pas à pas, une prise en charge holistique des chemsexeurs (addicto-psycho-socio-sexologique). La PrEP et la réduction des risques en matière de sexualité et de consommation de produits psychoactifs sont inscrites dans cette prise en charge. La diminution des antécédents infectieux est à souligner. Les initiatives de toutes parts, professionnels de santé ou société civile doivent continuer pour faire face à ce phénomène.
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Fayolle, Jacky, and Françoise Milewski. "L'offre devance la demande." Revue de l'OFCE 55, no. 4 (November 1, 1995): 5–94. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.55n1.0005.

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Анотація:
Résumé Après l'accélération prononcée de l'activité et du commerce mondiaux en 1994, le ralentissement intervenu depuis le début 1995 est largement généralisé au sein des pays de l'OCDE. Le manque de dynamisme de la consommation et le déficit de confiance des ménages en est un facteur général, même si cette caractéristique commune participe de phases différentes du cycle conjoncturel, selon les pays. Les pays anglo-saxons, spécialement les États-Unis, sont en voie de connaître une fin de cycle sans drame, prolongée par le recours au crédit à la consommation. Au Japon, la faiblesse de la consommation est la contrepartie d'une préférence exacerbée pour la liquidité et alimente le risque de spirale déflationniste qui menace ce pays. À partir de points de départ évidemment différents, la zone anglo-saxonne et le Japon ne devraient pas enregistrer des taux de croissance supérieurs à 2% en 1996 et ne seront pas des locomotives de la croissance mondiale. En Europe, le retour de comportements de précaution parmi les consommateurs peut handicaper la réalisation des projets d'investissement aujourd'hui formulés par les entreprises et s'opposer ainsi à la confirmation d'une expansion régularisée. Les déséquilibres dans le partage des revenus et le sentiment d'insécurité économique expliquent cet attentisme. Les disparités européennes, entre pays aux monnaies surévaluées et pays aux monnaies sous-évaluées ou en voie de l'être, contribuent aussi à geler la capacité d'expansion européenne. Dans les premiers pays, l'activité est entravée par le handicap de compétitivité ; dans les seconds, les résurgences inflationnistes et les réactions de la politique monétaire qu'elles suscitent pénalisent la demande interne. La normalisation de la situation monétaire, sur le front des taux de change, est ainsi nécessaire au retour de l'expansion européenne. Elle corrigerait les distorsions actuelles de compétitivité. Cette chronique de conjoncture fait l'hypothèse d'une telle normalisation, en particulier par une certain redressement du dollar sur l'horizon de prévision. La conjoncture allemande devrait contribuer à un dénouement positif du blocage européen en 1996. En Allemagne, le surcroît de revenus, après la généralisation des hausses salariales, paraît suffisant pour vaincre les réticences à consommer. Les exportateurs allemands bénéficieraient des achats de biens d'équipement par les industriels européens et de la poursuite de la reconstitution de leurs parts de marché. La politique monétaire allemande accompagnerait ce mouvement. La croissance allemande, après 2,5% en 1995, pourrait se rapprocher ainsi de 3% en 1996, sans pour autant atteindre ce chiffre. En France, la reprise a marqué une pause au premier semestre 1995, après l'emballement de 1994. Un environnement européen moins porteur et un contexte monétaire français nettement plus restrictif qu'anticipé en début d'année, ont sensiblement pesé sur l'activité. Le palier actuel débouche-t-il sur un retournement à la baisse ou bien un redémarrage ? Le pessimisme des entreprises n'a pas, pour le moment, conduit à une inflexion sensible des comportements de dépense, dans un sens restrictif : les embauches se développent, fussent-elles parfois à temps partiel et souvent à durée déterminée. Les salaires individuels s'accélèrent. Les investissements prévus n'ont pas été mis en cause. Les stocks, en revanche, ont pâti du retournement des anticipations. La logique de la prévision dépend crucialement de la consommation future des ménages. Davantage de revenus salariaux et de prestations soutiendraient la hausse du revenu global, malgré les prélèvements supplémentaires. Une reprise de la demande extérieure, dès le début de 1996, conforterait les exportations. La croissance de l'investissement des entreprises pourrait alors s'amplifier, aucun obstacle financier ne venant obérer les dépenses. En revanche, le contexte serait restrictif pour l'investissement et la consommation publics ; l'investissement en logements reculerait. Malgré une reprise de la formation des stocks, interrompue en 1995, la croissance du PIB serait de 2,5% seulement l'an prochain après 2,9% cette année. La reprise envisagée dépend des hypothèses de politique économique. La normalisation financière anticipée peut buter sur des tensions intra-européennes et accroître l'incertitude des entreprises. Un comportement plus prudent en matière d'embauchés et de politique salariale briserait le cheminement de la reprise. Enfin, les particuliers eux-mêmes finissent par être sensibles à la dévalorisation de leurs actifs, qu'ils soient immobiliers ou financiers. La croissance du PIB, bien que faible, permettrait une nette baisse du chômage : un contenu plus intense en emplois, un accent mis sur le traitement social et une moindre croissance de la population active y concourraient. Peu supérieure à la croissance du potentiel productif, la croissance du PIB ne comblerait pas le creux acquis durant les années précédentes : le niveau du potentiel ne serait pas atteint à l'horizon de la prévision. L'économie française resterait donc en sous-utilisation des capacités de production, avec toutes les pressions désinflationnistes que cela implique.
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Comparato, Fábio Konder. "Emenda e revisão na Constituição de 1988." RDAI | Revista de Direito Administrativo e Infraestrutura 3, no. 8 (March 30, 2019): 383–89. http://dx.doi.org/10.48143/rdai/008.fkc.

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Анотація:
1. A Constituição promulgada em 5 de outubro 1988 prevê, no art. 3º de suas disposições transitórias, que “a revisão constitucional será realizada após cinco anos, contados da promulgação da Constituição, pelo voto da maioria absoluta dos membros do Congresso Nacional, em sessão unicameral”.1Tanto pelo nomen iuris do instituto, quanto pela localização o conteúdo da norma transcrita, bem se vê que o constituinte entendeu de regular, nessa disposição transitória, algo diverso da emenda à Constituição, de que trata o art. 60 do texto permanente. Mas em que consiste, exatamente, a diferença? É o que me proponho investigar, nesta nota.2. Principiemos pela análise semântica.As sucessivas constituições brasileiras não apresentam uma uniformidade, quanto a esse ponto.A Constituição imperial de 1824, ao cuidar das alterações a serem introduzidas em seu texto, usava da expressão reforma (art. 174), a qual foi mantida na primeira Constituição republicana (art. 90).A Constituição de 1934, porém, estabeleceu uma distinção técnica entre emenda e revisão, como espécies de reforma constitucional (art. 178). A emenda era a modificação da Constituição que não atingisse a estrutura política dos Estados federados nem a organização e a competência dos Poderes. Caso contrário, haveria revisão. Por isso mesmo, o procedimento revisional era mais complexo, com acumulação de exigências em relação ao processo de aprovação das emendas.A rigor, essa duplicidade de procedimentos já havia sido, de certa forma, criada pela Carta de 1824. O primeiro constituinte brasileiro reconheceu uma diferença de natureza entre as diversas disposições do texto. “É só constitucional”, proclamava o art. 178, “o que diz respeito aos limites e atribuições respectivas dos poderes políticos, e aos direitos políticos e individuais dos cidadãos; tudo o que não é constitucional pode ser alterado, sem as formalidades referidas, pelas legislaturas ordinárias”. Ou seja, as normas não consideradas constitucionais ratione materiae não seriam objeto, propriamente falando, de reforma e, sim, de revogação ordinária.Na Constituição de 1934, porém, não obstante se reconhecer uma diferença específica de fundo entre dois conjuntos de normas constantes do seu texto, não se chegou a denegar, a um deles, a natureza de normas materialmente constitucionais.Fazendo-se abstração do vácuo constitucional instaurado em 1937, chegamos à Carta de 1946, onde a terminologia volta a ser unitária (art. 217). Toda e qualquer alteração do seu texto era considerada uma emenda. Essa orientação foi mantida na Constituição de 1967 (art. 47).Como se percebe, o direito constitucional anterior não serve como esclarecimento interpretativo do texto de 1988. O art. 60 de sua parte permanente e o art. 3º das disposições transitórias aplicam-se, à primeira vista, à alteração de qualquer norma da Constituição. Sob esse aspecto, portanto, a Carta Constitucional em vigor não estabelece nenhuma distinção ratione materiae entre as suas normas. São todas de idêntica intensidade, posição hierárquica ou grau de validez; o que torna mais intrigante a compreensão da ratio juris que levou o constituinte a estabelecer dois processos distintos do texto constitucional.3. No direito constitucional comparado, a análise semântica não é, tampouco, esclarecedora. O termo revisão aparece em algumas Constituições em vigor, mais ou menos recentes, para significar toda e qualquer alteração de seu texto. Assim, por exemplo, na Constituição suíça (arts. 118 e ss.), na italiana (arts. 138 e 139), na francesa (art. 89) e na portuguesa (arts. 286 e ss.).Na Constituição espanhola de 1978, porém – analogamente à Constituição da Áustria art. 44 – a revisão é uma espécie de reforma mais séria: é a reforma total da Carta, ou a reforma parcial de disposições consideradas mais importantes que as outras, porque dizem respeito à essência do regime (arts. 166 e seguintes). A decisão de rever totalmente a Constituição deve ser aprovada com um quorum qualificado, nas duas casas das Cortes Generales, e acarreta a dissolução automática destas, a fim de que o povo eleja novos representantes, especialmente encarregados de reconstitucionalizar o país. Uma vez aprovada no parlamento, a revisão constitucional é submetida a referendo popular.A distinção entre revisão total e revisão parcial aparece também na Constituição suíça. O texto em vigor, aliás, é o resultado de uma revisão total da Constituição de 1848, efetuada em 1874. Na Constituição americana, a possibilidade de reforma total é prevista implicitamente no article V, ao se falar na convocação de uma convenção especial para votar emendas, a serem ratificadas por pelo menos três quartos dos Estados. 4. O texto constitucional brasileiro de 1988, porém não estabelece nenhuma distinção de âmbito ou alcance entre a emenda, regulada no art. 60 do corpo permanente de normas, e a revisão, prevista no art. 3º das disposições transitórias.Interpretar esta última como significado a reforma total da Carta seria incongruente, pois o procedimento de revisão é menos complexo e exigente que o das emendas (que seriam, portanto, nessa interpretação, reformas parciais). Em primeiro lugar, não há previsão de iniciativa exclusiva para desencadear-se o processo de revisão, ao contrário do que sucede com as emendas, que só podem ser propostas pelas pessoas ou órgãos indicados no art. 60. Ademais, a revisão é deliberada pelo Congresso em sessão unicameral; o que significa reduzir, sensivelmente, o poder do Senado, de composição bem menos numerosa que Câmara dos Deputados. Finalmente, enquanto que a proposta de emenda deve ser discutida e votada em dois turnos, com o quorum deliberativo de três quintos em ambas as Casas, para a aprovação de revisão basta o voto da maioria absoluta dos membros do Congresso. A distinção entre emenda e revisão, conforme o alcance da deliberação, foi por mim proposta antes da votação da Constituição de 19882. Emenda seria a “alteração de dispositivos da Constituição, que permanece em vigor”. A revisão constitucional consistiria “na substituição da vigente Constituição por outra” (art. 233 do meu anteprojeto). O objetivo claro da proposta era o de impedir, definitivamente, a reedição da lamentável farsa da reconstitucionalização do país pelo Congresso Nacional, sem se convocar uma autêntica Assembleia Constituinte e sem ratificação por referendo popular.A proposta, obviamente, não foi sequer considerada pelo constituinte de 1988. 5. A impressão que se tem é de que o art. 3º do Atos das Disposições Constitucionais Transitórias procurou incorporar, deformadamente, o estatuído no art. 286, primeira alínea, da Constituição portuguesa. Deu-se, aí, à Assembleia da República, o poder de “rever a Constituição decorridos cinco anos sobre a data da publicação de qualquer lei de revisão”. Trata-se de revisão ordinária do texto, cujo processo, por isso mesmo, abre-se com a simples apresentação de um projeto no Legislativo3. Mas é um poder de revisão permanente, que renasce a cada cinco anos da publicação de alguma reforma da Constituição. Antes de vencido o quinquênio, é possível alterar-se a Constituição (revisão extraordinária), mas, para tanto, é indispensável haver a decisão preliminar de uma maioria qualificada de deputados (art. 286, alínea 2). O fato de a Constituição brasileira não atribuir exclusividade de iniciativa, para essa revisão do art. 3º do ADCT (LGL\1988\31), nem exigir um quorum deliberativo qualificado na sessão unicameral do Congresso está a indicar que se teve em mira, no caso, uma reforma simplificada da Constituição. A ideia subjacente parece ter sido a de se submeter o novo sistema constitucional a um ensaio probatório, de curta duração, a fim de se identificarem os pontos mais fracos do conjunto, suscetíveis de correção por um procedimento menos exigente.A colocação da norma entre as disposições transitórias reforça essa interpretação. O dispositivo em questão não é de vigência permanente, o que significa que o Congresso está autorizado a lançar mão desse processo de revisão uma única vez. Tudo o que não for votado na ocasião terá que ser apresentado, ulteriormente, sob a forma de emenda constitucional.6. A lacunosidade do dispositivo em exame não deixa, porém, de suscitar graves questões de interpretação. Já frisei que a Constituição não estabeleceu nenhum poder de iniciativa exclusivo para a abertura do processo de revisão. Parece razoável, portanto, entender-se que ele pode ser instaurado mediante proposta de qualquer das pessoas ou entidades enunciadas no art. 61, como se se tratasse de iniciativa em matéria de legislação complementar ou ordinária. Cabe, assim, a meu ver, iniciativa popular para a revisão constitucional prevista no art. 3º do ADCT (LGL\1988\31). Se o Congresso tomar conhecimento do projeto de iniciativa popular, sob o pretexto de que a norma do art. 61, §2º carece de complementação, pode-se lançar mão do mandado de injunção para superar esse obstáculo.Tendo em vista o fato, segundo penso incontestável, de que se trata de uma possibilidade única e excepcional de reforma, seria preciso concentrar todos os projetos de revisão apresentados num único processo, a ser ordenado segundo um só e mesmo procedimento. É claro que o termo inicial para a apresentação de projetos de revisão constitucional seria o dia 5 de outubro de 1993, não sendo admissível a abertura do processo revisional antes dessa data. Mas, não havendo data marcada para se concluir a revisão, seria curial que a Mesa do Congresso, desde que apresentado o primeiro projeto, fixasse um prazo razoável para a apresentação de outros com o mesmo objetivo, a fim de que todos eles fossem discutidos e votados em conjunto.Como proceder se, no momento de abertura do processo de revisão, houver em tramitação projetos de emenda constitucional?A rigor, não há interferência de um processo sobre outro, pois, como salientei, cuida-se de institutos distintos e separáveis. Iniciada, portanto, a revisão constitucional, não ficam prejudicados os processos de emenda eventualmente em curso. Mas o autor do projeto deveria ter o direito de convertê-lo em proposta de revisão, a fim de aproveitar a ocasião única que se apresenta, de reforma simplificada da Constituição. Um outro ponto a assinalar, não abrangido explicitamente pela disposição lacônica do art. 3º do ADCT (LGL\1988\31), é o de que se aplicam também à revisão as proibições constantes do § 4º do art. 60 da Constituição, pois tais vedações correspondem a um princípio cardeal de limitação do poder constituinte derivado. Somente o povo diretamente, ou seus representantes qualificados, reunidos em Assembleia Constituinte especialmente convocada, têm legitimidade para abolir a federação e a separação dos Poderes, suprimir o voto direto, secreto, universal e periódico, ou alterar a expressão constitucional dos direitos e garantias individuais.A essas proibições deve-se ainda acrescentar a de se alterarem, por meio de processo de revisão, o regime político e a forma de governo, os quais serão objeto de plebiscito em 7 de setembro de 1993 (ADCT (LGL\1988\31), art. 2º). Diante da expressão direta da vontade do soberano, nenhum órgão constituído pode repronunciar-se sobre o assunto e, menos ainda, contrariar a deliberação popular.Finalmente, não é inútil assinalar que o quorum deliberativo da revisão constitucional é o da maioria absoluta dos membros do Congresso Nacional, reunidos em sessão unicameral; não o da maioria dos parlamentares presentes no momento da votação. Encerrado o processo deliberativo no Congresso Nacional, seria admissível submeter a revisão, assim aprovada, ao referendo popular? A resposta é, à primeira vista, negativa, pois a Constituição não prevê o referendo no processo de aprovação de emendas, e não se vê a priori, por que razão ele deveria se impor em matéria de revisão. Pode-se, nesse sentido, argumentar que a Carta de 1988 não consagrou a soberania popular direta como princípio absoluto e, sim, em posição concorrente ou complementar à soberania representativa. Este, aparentemente, o sentido da expressão final do art. 1º, parágrafo único: nos termos desta Constituição. Em suma, as manifestações da soberania popular direta seriam admissíveis, tão-só, nos casos expressamente previstos.Em sentido oposto, vale lembrar que, dos três instrumentos de participação popular no processo de criação do direito – a iniciativa, o referendo e o plebiscito -, enunciados no art. 14 como manifestações da soberania popular, somente o primeiro aparece regulado na Constituição (arts. 27, § 4º; 29, XI e 61, § 2º) e, ainda assim, incompletamente. Vale dizer, a Constituição, nessa matéria, limitou-se a enunciar princípios, sem construir institutos, perfeitos e acabados.Trata-se, no caso, de autênticos princípios substantivos e não de princípios adjetivos ou instrumentais, para retomarmos a classificação proposta pelo Prof. Jorge Miranda4. Quer isto significar que se está, aí, diante de um dos fundamentos da ordem política, qual seja, a soberania popular. Ainda que se sustente que a manifestação direta dessa soberania é constitucionalmente equipolente e não superior à sua manifestação indireta, por intermédio de representantes, não se pode negar que essa equipolência impede se considerem admissíveis de modo expresso no texto constitucional. Tal seria colocar a soberania popular direta em deste, o que não se coaduna com o enunciado do art. 1º, § 1º da Constituição de 1988. Assim, a fórmula final desse dispositivo – “nos termos desta Constituição” – significa, simplesmente, que o povo exerce sua soberania de modo direto pelas formas indicadas na Constituição, isto é, por meio da iniciativa popular, do plebiscito e do referendo (art. 14); e não que tais instrumentos são aplicáveis, tão-só, nos casos em que a Constituição expressamente o declara.Há mais, ainda.Não se deve confundir o princípio da soberania popular com as formas do seu exercício. Aquele é, realmente, a pedra angular da democracia e se acha consagrado, na consciência jurídica universal, como fundamento – efetivo ou ideal – de toda organização política. Já as formas de exercício da soberania popular são expressões instrumentais desta, são técnicas de sua realização, cuja modelagem depende, sempre, da deliberação do povo soberano, no momento constituinte originário. Logicamente, só o povo, como titular da soberania, é que pode declarar, ao constituir o Estado, de que modo pretende exercê-la.Ora, para que se pudesse dizer, com lógica certeza, que o povo se autolimitou no exercício da soberania, abrindo mão do poder de exercê-la diretamente, ou que, tendo o admitido, em princípio, o exercício direto do poder soberano, pretendeu fazê-lo apenas em casos especiais e taxativos, seria preciso que que a Constituição – que é a manifestação originária da soberania – o declarasse, explicitamente. Temos, assim, revertido o argumento acima exposto, em contrário à admissibilidade do referendo nas reformas constitucionais. Havendo a Constituição de 1988 admitido o exercício da soberania popular como princípio, a sua exclusão, para as emendas e a revisão, dependeria de uma norma explícita. Como esta não existe, deve-se concluir que toda e qualquer reforma da Constituição pode ser ratificada – como também iniciada – pelo voto popular. Seria, no entanto, da maior conveniência que esse princípio constitucional implícito fosse declarado e regulado por meio de lei complementar.São estas, segundo me parece, as principais questões suscitadas pelo adualismo da reforma constitucional – emenda ou revisão –, criado pela Carta de 1988.São Paulo, fevereiro de 1990.
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Cairo, Nanci Garcia, and Karla Losse Mendes. "TERCEIRO SETOR, RESPONSABILIDADE SOCIAL E VOLUNTARIADO." Psicologia Argumento 23, no. 42 (October 27, 2017): 11. http://dx.doi.org/10.7213/psicolargum.v23i42.20229.

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“Mudar o mundo está em nossas mãos” é o lema do Centro de Ação Voluntária de Curitiba. O CAV é uma organização não-governamental que atua como uma ponte entre as pessoas que gostariam de ser voluntárias e as instituições que precisam deste trabalho para defender sua causa. A organização dedica-se a promover o voluntariado, realizando, todas as segundas-feiras, reuniões para encaminhar os interessados às instituições. Após participar da reunião, o candidato pode consultar o banco de dados disponível no local e escolher uma instituição de acordo com os horários que tem disponível e o trabalho que deseja desenvolver. Feita a escolha, o interessado entra diretamente em contato com a organização escolhida e inicia o trabalho voluntário. O banco de dados do Centro de Ação Voluntária conta com 258 instituições cadastradas para receber voluntários e é possível escolher entre quase duzentas atividades diferentes. As tarefas compreendem desde organizar bazares, acompanhar idosos, cuidar de jardins, realizar leituras para crianças cegas, auxiliar administrativo, informática, costureira, e muitos outras. Esta variedade de atividades comprova que todas as pessoas podem ajudar de alguma forma, pois os horários são bastante flexíveis. Algumas instituições fornecem até oportunidades em que o voluntário não precisa sair de casa para ajudar, ele desenvolve a atividade e depois a remete para a instituição, como é o caso de alguns artesãos. O CAV foi fundado em 1998 e além de disponibilizar vagas para voluntariado, também disponibiliza seu know-how em gerenciamento de voluntariado dentro das instituições, por meio de cursos e encontros com palestras na área. Nestes últimos seis anos, já passaram pelas reuniões promovidas pelo CAV mais de doze mil voluntários. Somente em 2004, foram cerca de cinco mil voluntários que ofereceram aproximadamente seiscentas mil horas de trabalho para causas sociais em Curitiba e Região Metropolitana. Desde o início dos anos 90 o número de organizações não governamentais vem se multiplicando a cada ano. Mesmo sem dados oficiais, sabe-se hoje que o Brasil é um dos países com o maior número de ONGs. O aumento de ações relacionadas à Responsabilidade Social Empresarial e Voluntariado também já é significativo. Para abordar o tema, entrevistamos Fábio Ribas, doutor em Psicologia Social pela Universidade Católica de São Paulo e diretor executivo da Prattein , especializada em desenvolvimento social e educação. Pergunta: O senhor acredita que o terceiro setor está mudando a cara do Brasil? Resposta: Nenhum setor isoladamente tem capacidade para mudar a cara do Brasil. Todos os setores (poder público, setor privado, terceiro setor) refletem as tensões e conflitos presentes em nossa realidade e, assim, podem tanto portar valores de mudança quanto fortalecer tendências que reproduzem a injustiça e a desigualdade que marcam o país. Atualmente, vivemos uma era de mudanças e incertezas, na qual a riqueza, o desenvolvimento e a tecnologia coexistem com a violência, a desigualdade e a exclusão social. Nesse cenário, o crescimento do terceiro setor pode ser compreendido como um saudável movimento da cidadania em busca de novos paradigmas de desenvolvimento social. Porém, para que traga efetiva novidade, o emergente terceiro setor não poderá ser apenas um mecanismo de amortecimento dos efeitos da exclusão social, mas precisará estruturar-se para ir além, ajudando a criar condições de emancipação e vida digna para os pobres, promovendo a igualdade de oportunidades e a inclusão social. E isto só será possível se souber atuar em colaboração com os demais setores, evitando perceber-se como segmento privilegiado ou panacéia para a solução de problemas sociais. É claro que a prática colaborativa não exclui a iniciativa de pressionar os demais setores para que atuem com responsabilidade social. Pergunta: Fala-se muito em voluntariado como exercício pleno da cidadania e não como prática meramente assistencialista. Isso pode ajudar no fortalecimento do terceiro setor? Resposta: O voluntariado é um fenômeno que pode estar passando por um processo de reconstrução, no qual a antiga filantropia assistencial vai sendo progressivamente substituída por preocupações mais efetivas com a concretização de uma sociedade mais justa. Para os que dizem que a inspiração do voluntariado é sempre assistencialista ou conservadora, vale lembrar a frase de Che Guevara, para quem "o voluntariado é uma escola criadora de consciências". Ocorre que o assistencialismo é algo muito arraigado na cultura brasileira e nas próprias políticas sociais, o que torna sua superação um processo complexo. Para trazer algo realmente novo, o “voluntariado cidadão” precisa articular a assistência indispensável à busca da cidadania emancipatória. Esta seria a grande novidade: a descoberta de que o trabalho voluntário pode ajudar a desenvolver nos pobres competências de compreensão da realidade, auto-sustentação e empreendedorismo. Esse voluntariado será capaz, então, de contribuir para que o terceiro setor se desenvolva como um espaço que pode fortalecer a autonomia das comunidades para resolver seus próprios problemas. Pergunta: Muitas pessoas criticam o trabalho profissional exercido de forma voluntária, alegando que isso tira oportunidades de emprego. É verdade? Resposta: Não tenho dados para dizer em que extensão isto estaria ocorrendo. Creio que a substituição de trabalho profissional por trabalho voluntário é típica de entidades sociais marcadamente assistencialistas, que oferecem assistência pobre para quem é pobre. Nessas entidades predomina uma compreensão e uma prática limitadas de voluntariado. O novo tipo de voluntário a que me referi em resposta anterior é alguém que possui competências que agregam valor à instituição ou programa social de que participa, mas que não deve e não pode substituir o trabalho profissional. Esse voluntário traz contribuições específicas e diferenciadas que são importantes para o avanço dos programas e geralmente contribui para o desenvolvimento das equipes profissionais. Para substituir o trabalho profissional, esse tipo de voluntariado teria que ser exercido de forma intensiva e permanente, o que o tornaria praticamente inviável. Muitas instituições do terceiro setor que buscam aprimorar seu trabalho compreendem a necessidade de contar com equipes profissionais competentes e adotam programas de gestão de voluntariado que combinam de forma inteligente e produtiva profissionalismo e voluntariado. Pergunta: O senhor acha válido que profissionais da psicologia disponibilizem seu saber acadêmico para tarefas voluntárias? Resposta: Sim. Como qualquer profissional, o psicólogo pode atuar como voluntário de causas ou programas sociais. E como o terceiro setor tem forte preocupação com o desenvolvimento humano, o psicólogo pode trazer uma contribuição decisiva. Pergunta: Nos Estados Unidos o trabalho voluntário é bastante conhecido por sua forma de atuação prática, como, por exemplo, no caso de empregados de uma empresa que se reúnem num final de semana para pintar a escola do bairro. Esse tipo de ação deveria ser incentivado aqui no Brasil? Resposta: No Brasil muitas empresas já incentivam o envolvimento de seus empregados em ações sociais voluntárias. Porém, há certa confusão no meio empresarial sobre o significado do voluntariado dos empregados e a melhor forma de incentivá-lo. Algumas empresas criam programas sociais próprios e envolvem seus empregados neles, chamando isto de trabalho voluntário, o que não é correto. Já assessorei empresas que tiveram problemas com mobilizações deste tipo, as quais acabaram sendo vistas pelos empregados como atividades de caráter mais "obrigatório" do que "voluntário". Por outro lado, muitas atividades eminentemente voluntárias de empregados, apoiadas pelas respectivas empresas (ou exercidas sem interferência da empresa), apresentam caráter fragmentário e pontual, não indo além de limites tipicamente assistencialistas. Mas há também experiências mais interessantes e bem estruturadas, nas quais o voluntariado autêntico dos empregados é apoiado de forma conseqüente pelas empresas, criando-se espaço para reflexão e aprimoramento da capacidade de ação dos empregados no campo social, bem como programas sociais de empresas destinados ao fortalecimento de comunidades, que utilizam deliberadamente as competências dos empregados como recurso essencial. Pergunta: Em seu artigo "O conceito de terceiro setor", o senhor diz que as ONGs e entidades assistenciais estão sendo valorizadas hoje como organizações portadoras de valores fundamentais para a sociedade. Que valores são esses e qual o papel que desempenham para o desenvolvimento humano hoje? Resposta: Refiro-me sobretudo ao potencial dessas organizações para propiciar às pessoas novos tipos de inserção na esfera pública, novas formas de compromisso e participação em questões de interesse comum. A crise da democracia representativa tem levado alguns analistas a propor a necessidade de "democratizar a democracia". Isto significa, entre outras coisas, a criação de mecanismos de participação pelos quais os cidadãos possam influir mais diretamente na vida pública, para além do voto. As ONGs e entidades sociais permitem esse tipo de participação, especialmente quando alargam seu campo de visão e passam não apenas a assistir pessoas, mas também a propor programas e políticas que devam ser assumidos ou apoiados pelos governos e pela sociedade em geral. As organizações do terceiro setor são portadoras de vários outros valores, entre os quais destaco a capacidade de chegar aonde o Estado muitas vezes está ausente: nos segmentos mais esquecidos da sociedade, nas populações mais vulneráveis que, de outra forma, não teriam suas condições de existência, sua voz e suas capacidades reconhecidas e valorizadas. Pergunta: O nível de profissionalização das ONGs ainda não é o adequado. O que tem de ser feito para se resolver isso? Resposta: A profissionalização das organizações do terceiro setor é um processo que envolve várias dimensões: aprimoramento da qualidade dos programas de atendimento, maior capacidade de buscar parcerias e recursos para a sustentabilidade das ações, aprimoramento da competência de gestão e da capacidade de influir em políticas públicas. A busca de profissionalização pressupõe uma autocrítica dos aspectos restritivos da cultura assistencialista na qual grande parte das entidades sociais foi formada, mas também um reconhecimento de qualidades próprias, desenvolvidas no decorrer desta mesma formação, que lhes permitem desempenhar um papel essencial na promoção do desenvolvimento social: vínculos de confiabilidade com comunidades locais, agilidade no atendimento às necessidades dos grupos de baixa renda, aptidão para prestar serviços em escala humana, capacidade para mobilizar o apoio e a participação popular para a implementação de mudanças sociais necessárias. Em tempos de mudança, o contato das organizações do terceiro setor com outras culturas de gestão (tanto do setor empresarial quanto do setor público) pode possibilitar a articulação entre conceitos como técnica e carisma, voluntarismo e profissionalismo, e estimular o desenvolvimento de novos princípios e metodologias de ação social. Pergunta: Quem está mais atento ao terceiro setor, o poder público ou o empresariado? Resposta: Há alguns anos atrás as empresas que desenvolviam ações sociais estavam mais atentas ao terceiro setor que o poder público. Faziam doações para ONGs e entidades assistenciais, e acreditavam ser mais importante destinar recursos ao terceiro setor que apoiar projetos sociais governamentais. Nessa fase, as empresas tendiam a desvalorizar o papel do Estado no campo social, o que levou (e ainda leva) muitas analistas a verem aí, a meu ver de forma equivocada, unicamente intenções de privatização do espaço público. Nos últimos anos, os governos passaram a reconhecer o terceiro setor como parceiro de políticas sociais, embora este processo ainda tenha que ser muito aprofundado. Creio que o mais importante é que todos reconheçam que o principal desafio no campo social é o desafio da colaboração: é preciso somar esforços em iniciativas intersetoriais que tenham claros objetivos de construção de comunidades mais justas, menos desiguais e mais auto-sustentadas. Pergunta: Muitas vezes ouvimos que responsabilidade social é mais uma ferramenta de marketing empresarial. Isso é verdade no Brasil? Resposta: As empresas que concebem a responsabilidade social como simples marketing social não vão muito longe nessa área. Pois cada vez mais a mídia e os consumidores conscientes estão sabendo distinguir entre propaganda interesseira e compromisso conseqüente no que se refere ao desenvolvimento social. Mais do que ferramenta de marketing, responsabilidade social vem sendo concebida como estratégia de sustentabilidade das empresas. No limite, o que está em jogo é o avanço da consciência de que, na fase do capitalismo que ora se inicia, o lucro precisa ser balizado pelo bem comum. Pergunta: Qual a relação entre psicologia social e terceiro setor? Resposta: Creio que a psicologia social, por seu foco nas relações entre os indivíduos, as organizações e a sociedade, tem uma natural vocação para oferecer contribuição teórica e prática relevante ao terceiro setor. Mas percebo que os profissionais da psicologia em geral, independentemente de seu interesse por questões de natureza social, são muito valorizados nas organizações do terceiro setor. Isto ocorre porque estas organizações têm forte vocação de apoio ao ser humano, existem para acolher pessoas e promover seu desenvolvimento, o que naturalmente as aproxima da psicologia. Pergunta: A seu ver, qual é o segmento mais organizado e com maior poder de transformação hoje no Brasil? Resposta: Como já disse antes, é preferível pavimentar os caminhos da colaboração, mais do que identificar um setor que, isoladamente, nos possa conduzir a melhores destinos. Todos os setores têm capacidade e poder de transformação. Importa que estejam imbuídos de intenções democráticas e se disponham a construir uma nação mais justa e equilibrada. Pergunta: O senhor diria aos estudantes de psicologia de hoje que o terceiro setor é um bom caminho a seguir? Resposta: Certamente é um bom caminho, que, como qualquer outro, não deve ser idealizado. É preciso tomar cuidado com certo modismo e evitar buscar experiências no terceiro setor apenas como fator de enriquecimento curricular. Como sempre, o que deve ser decisivo é a autêntica vocação pessoal.
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Cairo, Nanci Garcia, and Karla Losse Mendes. "TERCEIRO SETOR, RESPONSABILIDADE SOCIAL E VOLUNTARIADO." Psicologia Argumento 23, no. 42 (October 27, 2017): 11. http://dx.doi.org/10.7213/rpa.v23i42.20229.

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“Mudar o mundo está em nossas mãos” é o lema do Centro de Ação Voluntária de Curitiba. O CAV é uma organização não-governamental que atua como uma ponte entre as pessoas que gostariam de ser voluntárias e as instituições que precisam deste trabalho para defender sua causa. A organização dedica-se a promover o voluntariado, realizando, todas as segundas-feiras, reuniões para encaminhar os interessados às instituições. Após participar da reunião, o candidato pode consultar o banco de dados disponível no local e escolher uma instituição de acordo com os horários que tem disponível e o trabalho que deseja desenvolver. Feita a escolha, o interessado entra diretamente em contato com a organização escolhida e inicia o trabalho voluntário. O banco de dados do Centro de Ação Voluntária conta com 258 instituições cadastradas para receber voluntários e é possível escolher entre quase duzentas atividades diferentes. As tarefas compreendem desde organizar bazares, acompanhar idosos, cuidar de jardins, realizar leituras para crianças cegas, auxiliar administrativo, informática, costureira, e muitos outras. Esta variedade de atividades comprova que todas as pessoas podem ajudar de alguma forma, pois os horários são bastante flexíveis. Algumas instituições fornecem até oportunidades em que o voluntário não precisa sair de casa para ajudar, ele desenvolve a atividade e depois a remete para a instituição, como é o caso de alguns artesãos. O CAV foi fundado em 1998 e além de disponibilizar vagas para voluntariado, também disponibiliza seu know-how em gerenciamento de voluntariado dentro das instituições, por meio de cursos e encontros com palestras na área. Nestes últimos seis anos, já passaram pelas reuniões promovidas pelo CAV mais de doze mil voluntários. Somente em 2004, foram cerca de cinco mil voluntários que ofereceram aproximadamente seiscentas mil horas de trabalho para causas sociais em Curitiba e Região Metropolitana. Desde o início dos anos 90 o número de organizações não governamentais vem se multiplicando a cada ano. Mesmo sem dados oficiais, sabe-se hoje que o Brasil é um dos países com o maior número de ONGs. O aumento de ações relacionadas à Responsabilidade Social Empresarial e Voluntariado também já é significativo. Para abordar o tema, entrevistamos Fábio Ribas, doutor em Psicologia Social pela Universidade Católica de São Paulo e diretor executivo da Prattein , especializada em desenvolvimento social e educação. Pergunta: O senhor acredita que o terceiro setor está mudando a cara do Brasil? Resposta: Nenhum setor isoladamente tem capacidade para mudar a cara do Brasil. Todos os setores (poder público, setor privado, terceiro setor) refletem as tensões e conflitos presentes em nossa realidade e, assim, podem tanto portar valores de mudança quanto fortalecer tendências que reproduzem a injustiça e a desigualdade que marcam o país. Atualmente, vivemos uma era de mudanças e incertezas, na qual a riqueza, o desenvolvimento e a tecnologia coexistem com a violência, a desigualdade e a exclusão social. Nesse cenário, o crescimento do terceiro setor pode ser compreendido como um saudável movimento da cidadania em busca de novos paradigmas de desenvolvimento social. Porém, para que traga efetiva novidade, o emergente terceiro setor não poderá ser apenas um mecanismo de amortecimento dos efeitos da exclusão social, mas precisará estruturar-se para ir além, ajudando a criar condições de emancipação e vida digna para os pobres, promovendo a igualdade de oportunidades e a inclusão social. E isto só será possível se souber atuar em colaboração com os demais setores, evitando perceber-se como segmento privilegiado ou panacéia para a solução de problemas sociais. É claro que a prática colaborativa não exclui a iniciativa de pressionar os demais setores para que atuem com responsabilidade social. Pergunta: Fala-se muito em voluntariado como exercício pleno da cidadania e não como prática meramente assistencialista. Isso pode ajudar no fortalecimento do terceiro setor? Resposta: O voluntariado é um fenômeno que pode estar passando por um processo de reconstrução, no qual a antiga filantropia assistencial vai sendo progressivamente substituída por preocupações mais efetivas com a concretização de uma sociedade mais justa. Para os que dizem que a inspiração do voluntariado é sempre assistencialista ou conservadora, vale lembrar a frase de Che Guevara, para quem "o voluntariado é uma escola criadora de consciências". Ocorre que o assistencialismo é algo muito arraigado na cultura brasileira e nas próprias políticas sociais, o que torna sua superação um processo complexo. Para trazer algo realmente novo, o “voluntariado cidadão” precisa articular a assistência indispensável à busca da cidadania emancipatória. Esta seria a grande novidade: a descoberta de que o trabalho voluntário pode ajudar a desenvolver nos pobres competências de compreensão da realidade, auto-sustentação e empreendedorismo. Esse voluntariado será capaz, então, de contribuir para que o terceiro setor se desenvolva como um espaço que pode fortalecer a autonomia das comunidades para resolver seus próprios problemas. Pergunta: Muitas pessoas criticam o trabalho profissional exercido de forma voluntária, alegando que isso tira oportunidades de emprego. É verdade? Resposta: Não tenho dados para dizer em que extensão isto estaria ocorrendo. Creio que a substituição de trabalho profissional por trabalho voluntário é típica de entidades sociais marcadamente assistencialistas, que oferecem assistência pobre para quem é pobre. Nessas entidades predomina uma compreensão e uma prática limitadas de voluntariado. O novo tipo de voluntário a que me referi em resposta anterior é alguém que possui competências que agregam valor à instituição ou programa social de que participa, mas que não deve e não pode substituir o trabalho profissional. Esse voluntário traz contribuições específicas e diferenciadas que são importantes para o avanço dos programas e geralmente contribui para o desenvolvimento das equipes profissionais. Para substituir o trabalho profissional, esse tipo de voluntariado teria que ser exercido de forma intensiva e permanente, o que o tornaria praticamente inviável. Muitas instituições do terceiro setor que buscam aprimorar seu trabalho compreendem a necessidade de contar com equipes profissionais competentes e adotam programas de gestão de voluntariado que combinam de forma inteligente e produtiva profissionalismo e voluntariado. Pergunta: O senhor acha válido que profissionais da psicologia disponibilizem seu saber acadêmico para tarefas voluntárias? Resposta: Sim. Como qualquer profissional, o psicólogo pode atuar como voluntário de causas ou programas sociais. E como o terceiro setor tem forte preocupação com o desenvolvimento humano, o psicólogo pode trazer uma contribuição decisiva. Pergunta: Nos Estados Unidos o trabalho voluntário é bastante conhecido por sua forma de atuação prática, como, por exemplo, no caso de empregados de uma empresa que se reúnem num final de semana para pintar a escola do bairro. Esse tipo de ação deveria ser incentivado aqui no Brasil? Resposta: No Brasil muitas empresas já incentivam o envolvimento de seus empregados em ações sociais voluntárias. Porém, há certa confusão no meio empresarial sobre o significado do voluntariado dos empregados e a melhor forma de incentivá-lo. Algumas empresas criam programas sociais próprios e envolvem seus empregados neles, chamando isto de trabalho voluntário, o que não é correto. Já assessorei empresas que tiveram problemas com mobilizações deste tipo, as quais acabaram sendo vistas pelos empregados como atividades de caráter mais "obrigatório" do que "voluntário". Por outro lado, muitas atividades eminentemente voluntárias de empregados, apoiadas pelas respectivas empresas (ou exercidas sem interferência da empresa), apresentam caráter fragmentário e pontual, não indo além de limites tipicamente assistencialistas. Mas há também experiências mais interessantes e bem estruturadas, nas quais o voluntariado autêntico dos empregados é apoiado de forma conseqüente pelas empresas, criando-se espaço para reflexão e aprimoramento da capacidade de ação dos empregados no campo social, bem como programas sociais de empresas destinados ao fortalecimento de comunidades, que utilizam deliberadamente as competências dos empregados como recurso essencial. Pergunta: Em seu artigo "O conceito de terceiro setor", o senhor diz que as ONGs e entidades assistenciais estão sendo valorizadas hoje como organizações portadoras de valores fundamentais para a sociedade. Que valores são esses e qual o papel que desempenham para o desenvolvimento humano hoje? Resposta: Refiro-me sobretudo ao potencial dessas organizações para propiciar às pessoas novos tipos de inserção na esfera pública, novas formas de compromisso e participação em questões de interesse comum. A crise da democracia representativa tem levado alguns analistas a propor a necessidade de "democratizar a democracia". Isto significa, entre outras coisas, a criação de mecanismos de participação pelos quais os cidadãos possam influir mais diretamente na vida pública, para além do voto. As ONGs e entidades sociais permitem esse tipo de participação, especialmente quando alargam seu campo de visão e passam não apenas a assistir pessoas, mas também a propor programas e políticas que devam ser assumidos ou apoiados pelos governos e pela sociedade em geral. As organizações do terceiro setor são portadoras de vários outros valores, entre os quais destaco a capacidade de chegar aonde o Estado muitas vezes está ausente: nos segmentos mais esquecidos da sociedade, nas populações mais vulneráveis que, de outra forma, não teriam suas condições de existência, sua voz e suas capacidades reconhecidas e valorizadas. Pergunta: O nível de profissionalização das ONGs ainda não é o adequado. O que tem de ser feito para se resolver isso? Resposta: A profissionalização das organizações do terceiro setor é um processo que envolve várias dimensões: aprimoramento da qualidade dos programas de atendimento, maior capacidade de buscar parcerias e recursos para a sustentabilidade das ações, aprimoramento da competência de gestão e da capacidade de influir em políticas públicas. A busca de profissionalização pressupõe uma autocrítica dos aspectos restritivos da cultura assistencialista na qual grande parte das entidades sociais foi formada, mas também um reconhecimento de qualidades próprias, desenvolvidas no decorrer desta mesma formação, que lhes permitem desempenhar um papel essencial na promoção do desenvolvimento social: vínculos de confiabilidade com comunidades locais, agilidade no atendimento às necessidades dos grupos de baixa renda, aptidão para prestar serviços em escala humana, capacidade para mobilizar o apoio e a participação popular para a implementação de mudanças sociais necessárias. Em tempos de mudança, o contato das organizações do terceiro setor com outras culturas de gestão (tanto do setor empresarial quanto do setor público) pode possibilitar a articulação entre conceitos como técnica e carisma, voluntarismo e profissionalismo, e estimular o desenvolvimento de novos princípios e metodologias de ação social. Pergunta: Quem está mais atento ao terceiro setor, o poder público ou o empresariado? Resposta: Há alguns anos atrás as empresas que desenvolviam ações sociais estavam mais atentas ao terceiro setor que o poder público. Faziam doações para ONGs e entidades assistenciais, e acreditavam ser mais importante destinar recursos ao terceiro setor que apoiar projetos sociais governamentais. Nessa fase, as empresas tendiam a desvalorizar o papel do Estado no campo social, o que levou (e ainda leva) muitas analistas a verem aí, a meu ver de forma equivocada, unicamente intenções de privatização do espaço público. Nos últimos anos, os governos passaram a reconhecer o terceiro setor como parceiro de políticas sociais, embora este processo ainda tenha que ser muito aprofundado. Creio que o mais importante é que todos reconheçam que o principal desafio no campo social é o desafio da colaboração: é preciso somar esforços em iniciativas intersetoriais que tenham claros objetivos de construção de comunidades mais justas, menos desiguais e mais auto-sustentadas. Pergunta: Muitas vezes ouvimos que responsabilidade social é mais uma ferramenta de marketing empresarial. Isso é verdade no Brasil? Resposta: As empresas que concebem a responsabilidade social como simples marketing social não vão muito longe nessa área. Pois cada vez mais a mídia e os consumidores conscientes estão sabendo distinguir entre propaganda interesseira e compromisso conseqüente no que se refere ao desenvolvimento social. Mais do que ferramenta de marketing, responsabilidade social vem sendo concebida como estratégia de sustentabilidade das empresas. No limite, o que está em jogo é o avanço da consciência de que, na fase do capitalismo que ora se inicia, o lucro precisa ser balizado pelo bem comum. Pergunta: Qual a relação entre psicologia social e terceiro setor? Resposta: Creio que a psicologia social, por seu foco nas relações entre os indivíduos, as organizações e a sociedade, tem uma natural vocação para oferecer contribuição teórica e prática relevante ao terceiro setor. Mas percebo que os profissionais da psicologia em geral, independentemente de seu interesse por questões de natureza social, são muito valorizados nas organizações do terceiro setor. Isto ocorre porque estas organizações têm forte vocação de apoio ao ser humano, existem para acolher pessoas e promover seu desenvolvimento, o que naturalmente as aproxima da psicologia. Pergunta: A seu ver, qual é o segmento mais organizado e com maior poder de transformação hoje no Brasil? Resposta: Como já disse antes, é preferível pavimentar os caminhos da colaboração, mais do que identificar um setor que, isoladamente, nos possa conduzir a melhores destinos. Todos os setores têm capacidade e poder de transformação. Importa que estejam imbuídos de intenções democráticas e se disponham a construir uma nação mais justa e equilibrada. Pergunta: O senhor diria aos estudantes de psicologia de hoje que o terceiro setor é um bom caminho a seguir? Resposta: Certamente é um bom caminho, que, como qualquer outro, não deve ser idealizado. É preciso tomar cuidado com certo modismo e evitar buscar experiências no terceiro setor apenas como fator de enriquecimento curricular. Como sempre, o que deve ser decisivo é a autêntica vocação pessoal.
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Neves, Fabricio Souza. "VOTE (Parte 2)!" Boletim do Curso de Medicina da UFSC 4, no. 3 (May 30, 2018). http://dx.doi.org/10.32963/bcmufsc.v4i3.2901.

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O recado, como sempre em época de eleições, é para nosso aluno que não gosta de política ou acha que nenhum candidato é bom o suficiente para merecer seu voto.O fato é que um reitor para a UFSC será escolhido em 11 de abril.Com ou sem sua participação.Se você e seus colegas votarem, há chance do reitor ser mais parecido com vocês, e conduzir a administração de modo que a UFSC esteja mais perto de ser uma escola, uma instituição onde se pratica ensino, pesquisa e extensão como principal ocupação.Os adeptos de causas políticas sempre votam, porque essa é sua principal ocupação. Se você e seus colegas não votarem, estão na verdade dando um voto para quem comparece às urnas. E aí, há maior chance do reitor escolhido conduzir a administração para esse público, e tornar a atividade política a principal razão de ser da UFSC.Se você quer que a UFSC seja uma escola voltada para você, VOTE!Vote e cobre o reitor eleito para que ele trabalhe por uma UFSC parecida com você.
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Дисертації з теми "Achat de vote"

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Ladmiral, Guillaume. "L’empire des expédients : achat de voix, répression des fraudes électorales et système politique dans le Japon d’avant-guerre (1890-1937)." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2018. http://www.theses.fr/2018IEPP0005.

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La thèse consiste en un réexamen des traits saillants des systèmes politique et partisan du Japon d’avant-guerre (1890-1937). L’analyse de données quantitatives et qualitatives sur l’achat de voix et les pratiques d’ingérence des gouvernements dans le déroulement des campagnes électorales démontre que la première pratique était massive et généralisée et les secondes systématiques. L’achat de voix massif et généralisé et les pratiques d’ingérence étaient liés par une relation de complémentarité fonctionnelle, l’ingérence consistant le plus communément en la répression partiale des fraudes électorales. Le système partisan s’ordonnait autour de ce binôme d’expédients. Les acteurs collectifs de ce système furent des spécimens du type « parti-cartel, stratarchique, clientélistes et attrape-tout », des partis qui n’activaient pas de clivage sociologique ou idéologique. Le binôme d’expédients structurants eut de nombreuses conséquences systémiques et constitua la plus puissante des modalités de la politisation des rapports sociaux. En conclusion, les résultats de l’examen de la pratique de l’achat de voix dans le Japon d’avant-guerre sont confrontés à ceux que proposent des études de cette pratique en d’autres sociétés, les États-Unis d’Amérique et le Royaume-Uni au XIXe siècle ou, au XXe siècle, des pays d’Amérique Latine et Taiwan
This thesis is a reappraisal of salient features of the political and party systems in prewar Japan (1890-1937). Analysis of qualitative and quantitative data on vote buying and governmental interference in electoral campaigns demonstrate that the first practice was massive and generalized; and that the second was systematic. These two practices were tied by a functional relationship since the most common form of governmental interference consisted in a partisan bias in the repression of electoral frauds. The core of electoral politics was a functional set of expedients. The collective actors of this system are characterized as specimens of the “cartel party stratarchic, clientelistic, catch-all” type, many political parties that did not activate any sociological or ideological cleavage. The two electoral expedients bore many systemic consequences and were the most powerful ways of the politicization of social relationships in this society. The concluding chapter is a comparative examination of the characteristics and properties of vote buying in prewar Japan to those of the same practice in other societies, the 19th century United States of America and Britain, or 20th century Latin America and Taiwan
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Affeich, Maya. "La relation entre le capital et le pouvoir dans la société anonyme libanaise." Thesis, Paris 2, 2012. http://www.theses.fr/2012PA020005.

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Анотація:
La relation entre le capital et le pouvoir dans la société anonyme libanaise est régie par le principe de proportionnalité qui veut que chaque actionnaire puisse exercer un pouvoir dans la société proportionnel à sa participation au capital. Ce principe est expressément consacré par la loi, et résulte de cette relation entre l’action et le droit de vote. Sa préservation est aussi assurée par des dispositions législatives. A travers cette construction, le législateur fait de la société anonyme le fief d’une démocratie actionnariale. Cette règle de principe n’est, toutefois, pas absolue. Elle connaît des limites. Cependant, ces limites n’entraînent pas une remise en cause de ce lien de proportionnalité, d’autant plus qu’elles sont justifiées. Or, l’apparence est parfois trompeuse. La société anonyme est bien loin de constituer une véritable démocratie, et le législateur qui a adopté ce principe n’a pas réussi à le préserver complètement. En effet, à examiner de plus près les dispositions du droit libanais, l’on se rend compte de l’ampleur des atteintes dues, pour l’essentiel, à de nombreuses lacunes de la loi, qui ôtent aux actionnaires leur pouvoir, ou font obstacle à son exercice, entraînant le déséquilibre de ce lien, voire sa rupture totale. Aujourd’hui, le rétablissement de la relation entre le capital et le pouvoir devient une exigence pour le développement des sociétés anonymes. Ceci ne peut se réaliser qu’à travers la participation des actionnaires à la vie sociale. Cette participation devra être adaptée à la taille de la société, pour redonner au pouvoir actionnarial toute son efficacité. Le droit libanais offre, en principe, les moyens nécessaires pour opérer le rétablissement
The relation between the social capital and the power in the lebanese joint stock company is governed by the principle of proportionality that means each shareholder can have a power that is proportional to his participation in the capital. This principal is expressly dedicated from the law, and results from the relation between the share and the voting right. Its preservation is also ensured by the laws. Through this structure, the legislator has made the corporation the stronghold of the shareholder’s democracy. But, this rule is not absolute, it has limits. However, such limits do not lead to a questioning of the link of proportionality, especially that they are justified. Though, the appearance can be misleading. The corporation is far from being a true democracy, and the legislator, who has adopted this principle, has failed to preserve it. Indeed, a closer look at the provisions of the lebanese law, shows the extent of damage that is mainly due to the numerous gaps in the law, and that deprive the shareholders from their power, or impede its exercise, causing an imbalance in this relationship or even its complete break. Today, restoring the relation between the capital and the power has become a requirement for the development of the corporations. This can only be achieved though the participation of shareholder. Such participation should be tailored to the size of the company so to restore the full effect of the shareholder’s power. The Lebanese law offers, in principle, the means to restore such relation
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Israel, Elie. "Analysis of Monetary Policy Cycles and Economic Elites." Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2024. http://www.theses.fr/2024ULILA023.

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Анотація:
Cette thèse est structurée autour de deux grandes thématiques indépendantes, chacunearticulée en deux chapitres distincts. La première porte thématique sur l'économie desélites, avec une attention particulière aux mécanismes de rotation des élites dans lesorganisations internationales et les systèmes politiques nationaux.Le premier chapitre se concentre sur le Fonds Monétaire International (FMI), en examinantles déterminants de la rotation des membres de l'administration entre 2009 et 2021.L'analyse montre que les crises économiques, notamment les crises de la dette, ont unimpact significatif sur la durée des mandats de ces élites, mettant en lumière l'importancedes facteurs externes sur leur stabilité, en parallèle avec des facteurs impliqués tels quel'expérience professionnelle ou l'éducation. Cette approche permet de mieux comprendreles pressions systémiques auxquelles sont confrontées ces élites technocratiques dans lesenvironnements de crise.Ce chapitre a été co-écrit avec Etienne FARVAQUE ,Maqsood ASLAM et FranckMALAN.Le deuxième chapitre traite des élites politiques, avec un focus sur l'accès des femmesau pouvoir dans les démocraties modernes. Nous avons appliqué une méthodologiequantitative rigoureuse basée sur une base de données inédite des chefs d'État de 1950 à2015. Les résultats révèlent que les crises économiques et politiques jouent un rôle clé dansl'accession des femmes au pouvoir, confirmant l'existence du phénomène de la "falaise deverre", où les femmes sont plus souvent nommées dans des contextes à haut risque. Cetteanalyse approfondie contribue à la littérature sur le genre et le leadership politique, eniiisoulignant les défis spécifiques auxquels les femmes sont confrontées dans les systèmesdominés par des structures masculines. Ce chapitre, je l'ai écrit seul.La deuxième thématique de cette thèse se concentre sur les cycles politico-économiques.Le troisième chapitre examine les dynamiques spécifiques aux cycles en Haïti, unpays en proie à de fortes instabilités économiques et politiques. L'étude démontre que lesélections en Haïti sont souvent associées à des manipulations économiques considérables,exacerbées par un environnement institutionnel fragile et dominé par des pratiquesclientélistes. L'analyse des données montre que les fluctuations de la masse monétaire etles épisodes d'inflation sont directement corrélés aux périodes électorales, illustrant lesdéfaillances des mécanismes de régulation budgétaire et monétaire du pays. Ce chapitre aété co-écrit avec Etienne FARVAQUE, Maqsood ASLAM et Raulin CADETLe quatrième chapitre se focalise sur le cas du Royaume-Uni, en analysant les cyclespolitico-monétaires avant l'indépendance de la Banque d'Angleterre en 1997. L'étuderévèle que la manipulation de la politique monétaire avant les élections était courante,surtout sous les gouvernements libéraux. Cette analyse démontre l'importance desréformes institutionnelles dans la stabilisation des cycles économiques et souligne lanécessité d'une gestion indépendante des instruments monétaires pour garantir la stabilitéà long terme. Ce chapire a été co-écrit avec Etienne FARVAQUE et Antoine PARENT.Ainsi, cette thèse propose des contributions majeures aux études sur la rotation desélites et les cycles politico-économiques, tout en ouvrant des pistes de rechercheprometteuses
This thesis is structured around two main independent themes, each articulated in twoseparate chapters. The first focuses on the economics of elites, with particular attentionto the mechanisms of elite rotation in international organizations and national politicalsystems.The first chapter focuses on the International Monetary Fund International MonetaryFund (IMF), examining the determinants of Executive Board turnover between 2009 and2021. The analysis shows that economic crises, particularly debt crises, have a significantimpact on the tenure of these elites, highlighting the importance of external factors ontheir stability, alongside implicated factors such as professional experience or education.This approach provides a better understanding of the systemic pressures faced by thesetechnocratic elites in crisis environments.The second chapter deals with political elites, with a focus on women's access topower in modern democracies. We have applied a rigorous quantitative methodologybased on an unpublished database of heads of state from 1950 to 2015. The resultsreveal that economic and political crises play a key role in women's accession to power,confirming the existence of the “glass cliff” phenomenon, where women are more oftenappointed in high-risk contexts. This in-depth analysis contributes to the literature ongender and political leadership, highlighting the specific challenges women face in systemsdominated by male structures.The second theme of this thesis focuses on political-economic cycles.The third chapter examines the specific dynamics of cycles in Haiti, a country besetby economic and political instability. The study shows that elections in Haiti are oftenassociated with considerable economic manipulation, exacerbated by a fragile institutionalvenvironment dominated by clientelistic practices. Data analysis shows that money supplyfluctuations and inflation episodes are directly correlated with election periods, illustratingthe failings of the country's fiscal and monetary regulation mechanisms.The fourth chapter focuses on the United Kingdom, analyzing the politico-monetarycycles prior to the Bank of England's independence in 1997. The study reveals thatpre-election manipulation of monetary policy was commonplace, especially under Liberalgovernments. This analysis demonstrates the importance of institutional reforms instabilizing economic cycles, and underlines the need for independent management ofmonetary instruments to guarantee long-term stability.This thesis makes major contributions to the study of elite rotation and political-economiccycles, while opening up promising avenues of research
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Shandi, Yousef Wiederkehr Georges. "La formation du contrat à distance par voie électronique." Strasbourg : Université Robert Schuman, 2005. http://urs-srv-eprints.u-strasbg.fr/123/01/shandi28062005.pdf.

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Shandi, Yousef. "La formation du contrat à distance par voie électronique." Université Robert Schuman (Strasbourg) (1971-2008), 2005. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2005/SHANDI_Yousef_2005.pdf.

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Анотація:
Le législateur constate que le développement des échanges économiques à distance, surtout sur Internet, repose sur la confiance. Il intervient alors à plusieurs reprises pour lever les obstacles juridiques qui empêchent la conclusion de contrats à distance par voie électronique. Cependant, les dispositions adoptées sont complexes et parfois même critiquables du fait de l'incohérence des différents textes. Ces dispositions portent tout particulièrement sur le processus de la formation de contrat par voie électronique (surtout en ce qui concerne le contenu de l'offre, l'acceptation et la commande) et à la protection du consommateur. Le législateur s'intéresse également au problème de conflit de lois en matière de commerce électronique alors qu'il garde le silence sur les questions de conflit de juridictions et de règlements extrajudiciaires des litiges
The legislator notices that the development of the remote economical exchanges, particularly via the internet is based on confidence. He intervenes on several occasions in order to remove the legal obstacles which stopped the conclusion of remote parties contracts via electronic channels. However the adopted terms are complex and sometimes open to criticism as to the inconsistency of the various texts. Those terms relate especially to the process of formation of contracts via electronic channels (particularly with regard to the content of the offer, the acceptance and the order) and the consumer protection. The legislator takes also interest in the conflict of the laws relating to the e-commerce whereas he remains silent on the subject of conflicts of jurisdictions and the extra-judicial settlements of lawsuits
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Thibault, Charles. "The determinants of intergovernmental transfers in Canada, 1981-2001." Thèse, 2005. http://hdl.handle.net/1866/182.

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Книги з теми "Achat de vote"

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ACHAT DE VOTRE PREMIERE MAISON. Jour (Le), 1989.

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Recherche Immobilière: Fiches de Visite détaillées Pour Vous Aider Dans Votre Achat Immobilier Pour Votre Résidence Principale Ou Votre Investissement Locatif. Independently Published, 2021.

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Berenguier, Laurent. Bientôt Propriétaire et Presque Riche - Votre Premier Achat Doit Vous Enrichir, Voici Comment. Lulu Press, Inc., 2012.

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4

Carnet de Visites Immobilières: Fiches Pratiques détaillées Pour Vous Aider Dans Votre Achat Immobilier Pour Votre Résidence Principale Ou Votre Investissement Locatif. Independently Published, 2021.

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5

Edition, Immobilier. Carnet de Recherche APPARTEMENT: 20 Fiches Pratiques détaillées Pour Vous Aider Dans Votre Achat Immobilier Pour Votre Résidence Principale Ou Votre Investissement Locatif. Independently Published, 2021.

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Florentin, P., and J. L. Michel. Réussissez l'achat de votre fonds de commerce. Achat, financement, gestion, numéro 112, 1ère édition. Du Puits Fleuri, 2000.

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7

Edition, Immobilier. Recherche Immobillière - Acheter Son Appartement: Fiches de Visite détaillées Pour Vous Aider Dans Votre Achat Immobilier Pour Votre Résidence Principale Ou Votre Investissement Locatif. Independently Published, 2021.

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8

Egger, Natacha. Petit Guide Pratique - COMMENT VAINCRE SA DEPENDANCE AUX ACHATS COMPULSIFS?: Les Meilleurs Conseils Pour en Finir Avec les Achats Superflus Qui Rongent Votre Budget. Independently Published, 2018.

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9

Livre de Recettes et Registres des Achats Micro-Entreprise/Autoentreprise: Un Outils Indispensable Pour la Gestion de Votre Micro-Entreprise. Independently Published, 2020.

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10

Entreprises, Help. Registre Recettes Achats Auto-Entrepreneur: Conforme à la Legislation Française Pour les Auto-Entreprises et Micro-entreprises Simplifiez Votre Comptabilité. Independently Published, 2020.

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