Добірка наукової літератури з теми "Zones d'activité économique"

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Статті в журналах з теми "Zones d'activité économique":

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Thomas, Corinne. "La bipolarisation des structures professionnelles : tendances observées dans la région métropolitaine de Québec (1971-1981)." Cahiers de géographie du Québec 36, no. 99 (April 12, 2005): 439–62. http://dx.doi.org/10.7202/022294ar.

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Анотація:
L'étude de l'évolution de l'emploi dans la région métropolitaine de recensement de Québec, entre 1971 et 1981, révèle que le phénomène de bipolarisation des structures professionnelles s'étend à plusieurs zones du territoire. À partir d'une analyse statistique, graphique et cartographique, la recherche met en parallèle les changements qui se sont produits dans les structures de l'emploi et dans l'activité économique (féminine et masculine) des différentes zones de travail. Sur cette base spatiale, la bipolarisation est principalement localisée dans les banlieues éloignées. Elle apparaît liée, d'une part, à la tertiarisation des économies et, d'autre part, à la restructuration interne de l'emploi, observée dans plusieurs secteurs d'activités économiques. Une deuxième grande tendance d'évolution marque l'emploi de la région, soit une requalification des structures professionnelles. Contrairement à la bipolarisation, elle touche principalement les zones centrales du territoire.
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Carbonnier, Gilles. "Corporate responsibility and humanitarian action. What relations between the business and humanitarian worlds?" International Review of the Red Cross 83, no. 844 (December 2001): 947–68. http://dx.doi.org/10.1017/s1560775500183488.

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Анотація:
Résumé Les milieux économiques exercent depuis longtemps une influence majeure sur l'évolution géopolitique mondiale. Aujourd'hui, la communauté internationale et les médias s'intéressent de plus près aux questions de responsabilité des entreprises privées, et depuis peu au rôle des acteurs économiques dans les conflits armés. En parallèle, de nombreuses compagnies se sont dotées de codes de conduite qui s'inspirent de normes reconnues au plan international, notamment dans le domaine du droit du travail et des droits de l'homme. Sur cette toile de fond, il s'agit de bien cerner les divers objectifs qui motivent le monde des affaires et les organisations humanitaires a établir des ponts entre eux. Les compagnies privées sont amenées à engager du personnel de sécurité pour protéger leurs installations et leur personnel lorsqu'elles opèrent dans des zones instables. De ce fait se pose la question de la pertinence du droit international humanitaire dans le contexte d'activités économiques privées. Le CICR a décidé de mettre en œuvre une stratégic spécifique envers lesfirmes qui opèrent en zones conflictuelles, et ce dans le but d'améliorer sa capacité à protéger et assister les victimes de conflits armés. Cette stratégie comprend entre autres la promotion des principes humanitaires fondamentaux ainsi que l'établissement d'un dialogue sur le terrain visant à sensibiliser les acteurs économiques sur des préoccupations humanitaires spécifiques.
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Raveneau, Jean. "Analyse morphologique, classification et protection des paysages : le cas de Charlevoix." Cahiers de géographie du Québec 21, no. 53-54 (April 12, 2005): 135–86. http://dx.doi.org/10.7202/021361ar.

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Анотація:
L'objectif de cette recherche est de trouver des méthodes d'analyse et de classification des paysages devant permettre l'application des articles de la Loi sur les biens culturels (Loi 2, 1972, Province de Québec) concernant la déclaration « d'arrondissements naturels ». La méthodologie proposée a été appliquée à la région de Charlevoix située à une centaine de km au nord-est de la ville de Québec. On montre d'abord que les « arrondissements naturels » décrits dans la loi devraient plutôt porter le nom « d'arrondissements culturels ». L'identification des portions de territoire pouvant être déclarés arrondissements naturels ou culturels implique une analyse préalable des paysages de l'ensemble d'une région. Trois dimensions doivent être considérées : les formes, le peuplement, la perception. Dans cet article on aborde uniquement le problème de l'étude des formes des paysages, c'est-à-dire l'analyse morphologique. Quelques méthodes modernes d'analyse des paysages sont passées en, revue. Elles comportent généralement trois phases : inventaire, classification et évaluation proprement dite en fonction de critères particuliers (récréation notamment). La région de Charlevoix se prête particulièrement bien à l'étude des paysages en raison de sa topographie contrastée, de l'ancienneté de son peuplement, de l'empreinte d'activités économiques diversifiées. On a d'abord procédé à une analyse visuelle comportant le relevé des limites visuelles, la classification des points de vue et le relevé des types d'itinéraires routiers. On a ensuite dressé un inventaire spatial et monté une matrice géographique d'informations comportant 70 variables relevées sur la base de 47 zones de travail. On a choisi des variables qui structurent l'image des paysages et qui en conditionnent l'évolution, à la fois dans l'espace et dans le temps. La matrice a été traitée simultanément selon des méthodes visuelles (méthode Bertin) et quantitatives (analyse factorielle). Ce traitement a fait ressortir l'influence structurante du relief, de l'ancienneté et de la densité du peuplement, de l'importance du patrimoine historique. Quatre grands ensembles géographiques ont ainsi été dégagés, chacun comportant plusieurs sous-ensembles : les zones montagneuses sans population, les zones de peuplement récent du plateau, les vallées et leurs rebords, le littoral. Une seconde classification porte spécifiquement sur les variables pouvant permettre de définir le « potentiel culturel ». Elle conduit à une hiérarchisation des zones de Charlevoix en fonction de leur intérêt plus ou moins grand pour une désignation éventuelle comme arrondissement « naturel » (ou culturel). Cette classification est complétée par l'identification des diverses formes de pollution des paysages. La principale menace de dégradation des paysages provient des poussées d'urbanisation anarchique à la périphérie de Baie-Saint-Paul et La Malbaie. En conclusion il apparaît que la notion même d'arrondissement culturel ne permet pas de répondre aux impératifs de protection et de mise en valeur des paysages. Il faut plutôt penser en termes de développement culturel global impliquant des actions d'intensité différente selon les types de paysages et les dangers de dégradation les affectant.
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Aruwayo, A., S. S. Adeola, and U. Ibrahim. "Assessment of the challenges of nomadic farming activities in Daura agricultural zone of Katsina State, Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 200–209. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2930.

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Анотація:
Nomads have been credited to be the producers the chunk of the ruminants in Nigeria yet have been greatly marginalized. This study assessed the challenges of nomadic activities in selected four Local Government Areas (LGA) comprising of Daura, Sandamu, Dutsi and Mai'adua in Daura Agricultural Zone of Katsina State, Nigeria. A Multi-stage sampling procedure was employed in the selection of 60 nomads in the study area. Using a well structured questionnaire, information was gathered from the selected respondents with the help of trained enumerators. The information collected include socio-economic characteristics of the farmers, types of animals kept by them as well as the challenges they faced in the process of carrying out nomadic activities. The information obtained from them was analyzed using descriptive statistics. The study revealed that the major age group is 61- 70 years and about 37% of the respondents have no form of formal education. Most of the nomads keep more cattle (63% having more than 200 heads) and less of camel and goats (77% and 88% having less than 50 camels and goats respectively). The major challenges they face are disease and pest attack (90%), insecurity (60%) and inadequate water (83%). A request for accessible veterinary services, adequate security, and a model school designed to meet the peculiarity of the nomads was made. The study concludes that establishment of ranches will improve output and better living standards among the nomads. The study recommends from the response in the research that training in modern animal rearing systems and ranching should be vigorously pursued. Les nomades ont été crédités d'être les producteurs de la part des ruminants au Nigeria, mais ils ont été fortement marginalisés. Cette étude a évalué les défis des activités nomades dans quatre zones de gouvernement local (LGA) sélectionnées comprenant Daura, Sandamu, Dutsi et Mai'adua dans la zone agricole de Daura dans l'État de Katsina, au Nigéria. Une procédure d'échantillonnage en plusieurs étapes a été utilisée dans la sélection de 60 nomades dans la zone d'étude. À l'aide d'un questionnaire bien structuré, l'information a été recueillie auprès des répondants sélectionnés à l'aide de recensements formés. Les informations recueillies comprennent les caractéristiques socio-économiques des agriculteurs, les types d'animaux qu'ils ont gardés ainsi que les défis auxquels ils ont été confrontés dans le processus de réalisation d'activités nomades. Les informations obtenues à partir d'eux ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives. L'étude a révélé que le groupe d'âge principal est âgé de 61 à 70 ans et qu'environ 37 % des répondants n'ont aucune forme d'éducation formelle. La plupart des nomades gardent plus de bovins (63 % ont plus de 200 têtes) et moins de chameaux et de chèvres (77 % et 88 % ont moins de 50 chameaux et chèvres respectivement). Les principaux défis auxquels ils sont confrontés sont les attaques de maladies et de ravageurs (90 %), l'insécurité (60 %) et l'insuffisance de l'eau (83 %). Une demande de services vétérinaires accessibles, une sécurité adéquate et une école modèle conçue pour répondre à la particularité des nomades ont été faites. L'étude conclut que l'établissement de ranchs améliorera la production et l'amélioration du niveau de vie des nomades. L'étude recommande, d'après la réponse de la recherche, que la formation aux systèmes modernes d'élevage soit vigoureusement poursuivie.
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Buysse, Jeroen, Kamel Elouhichi, Bruno Fernagut, Frédéric Gaspart, Olivier Harmignie, Bruno Henry de Frahan, Ludwig Lauwers, Philippe Polomé, and Guido Van Huylenbroeck. "Numéro 19 - février 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16103.

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Анотація:
Les autorités régionales belges doivent, ces jours-ci, se prononcer sur les différentes options de réforme de la Politique Agricole Commune (PAC) proposées par l'accord européen de juin dernier. Ce numéro spécial de Regards Economiques se penche sur les effets et les enjeux de cette réforme. Plusieurs questions sont abordées. En quoi consiste cette réforme ? Quelles sont ses implications pour l’agriculture belge ? Faut-il maintenir des aides aux agriculteurs ? A qui profite la PAC actuelle ? Comment rendre la PAC plus juste et plus efficace ? En quoi consiste la nouvelle réforme de la PAC ? En juin dernier, l'Union européenne a décidé de réformer une nouvelle fois le mode de soutien en faveur du secteur agricole. Cette réforme consiste à convertir la plupart des aides actuelles en un seul paiement unique qui sera distribué aux agriculteurs en fonction de l'étendue de leur superficie agricole cultivée, indépendamment du type de culture ou d'élevage qu'ils pratiquent et du volume de production qu'ils mettent sur le marché. C'est le "découplage"complet des aides agricoles vis-à-vis de l'acte de production, un principe de subvention agricole longuement recommandé par les économistes agricoles dont s'est enfin inspirée la Commission européenne en dépit des résistances conservatrices de nombreux Etats membres. C'est donc l'abandon d'un système de soutien inefficace qui, jusqu'à la réforme précédente de 1992, était essentiellement basé sur un système de prix agricoles garantis largement supérieurs aux prix mondiaux, de barrières douanières impénétrables et de subventions aux exportations exorbitantes. Non seulement ce système fut incapable de soutenir le revenu agricole et de diminuer la disparité des revenus entre exploitations et régions, mais il fut responsable d'excédents agricoles colossaux, de dépenses considérables, de pollutions agricoles et de tensions commerciales avec les pays les plus compétitifs. La nouvelle réforme permettra de mieux orienter les choix de production vers les réelles opportunités du marché et de réduire les distorsions des subventions agricoles sur les marchés agricoles tant européens qu'internationaux. En plus du découplage, deux autres principes sont parallèlement mis en oeuvre. Le principe de l'éco-conditionnalité liera à terme la perception du paiement unique au respect de 18 exigences réglementaires dans le domaine de l'environnement, de la sécurité des aliments, de la santé animale et phytosanitaire et du bien-être animal. Le principe de la modulation instaurera une légère discrimination en faveur des petites exploitations en les exemptant d'une baisse prévue de 5 % du paiement unique. Les économies budgétaires réalisées par cette mesure permettront de renforcer le financement des mesures dites de développement rural. L'accord de juin 2003 offre toutefois la possibilité aux Etats membres de maintenir une proportion de paiements directs couplée à la production s'ils craignent la perturbation de marchés agricoles ou l'abandon de certaines productions tout en intégrant la proportion restante des paiements directs dans le paiement unique. Diverses options de découplage partiel leur sont proposées. Les autorités régionales du pays doivent incessamment se prononcer sur ces options. Quelles sont ses implications pour l’économie belge ? A l’aide de deux modèles économiques de simulation, nous avons tenté d’évaluer les conséquences possibles sur l’agriculture belge des différentes options de découplage des aides telles qu’autorisées par l’accord de juin dernier. Les simulations montrent des substitutions importantes entre les productions agricoles végétales au profit de cultures moins intensives telles que les prairies temporaires, une baisse de la production de viande bovine mais le maintien de la production de lait. Malgré ces ajustements, notamment dans le domaine de l'élevage, les simulations indiquent le maintien et même une légère hausse des revenus nets agricoles dépendant de l'effet des variations de l'offre sur le prix du marché. Ces ajustements ainsi que les hausses du revenu agricole sont de façon générale les plus prononcés pour l'option de découplage complet de toutes les aides. C'est en effet cette option qui procure la plus grande cohérence entre l’allocation des ressources fixes de la région et les opportunités de marché. Une analyse plus fine au niveau des différents types d'exploitation montre toutefois que l'option de découplage complet à l'exception des aides pour le troupeau de vaches allaitantes et l'abatage de bovins est la plus favorable pour les exploitations spécialisées dans ce type d'activités alors que cette option est presque autant favorable pour les autres types d'exploitation que celle du découplage complet. Dans la mesure où, en outre, le contribuable qui finance les aides directes, apprécie le maintien d'un troupeau allaitant à des fins, par exemple, d'aménités paysagères, ou d'une profession d'éleveurs là où elle est la plus concentrée et menacée, c'est-à-dire dans le sud de la Belgique, il semble que l'option de découplage complet de toutes les aides à l'exception de celles réservées à l'élevage allaitant se révèle comme la plus adéquate à la structure du secteur agricole belge parmi toutes les autres options autorisées par l'accord agricole européen de juin dernier. Les résultats de ces simulations ne prennent toutefois pas en compte plusieurs autres défis à l'agriculture belge. Il s'agit notamment (1) du renchérissement possible des terres agricoles en raison de la seule nécessité de mettre en culture de telles terres pour obtenir des subsides importants, (2) de l'évolution des prix agricoles et de leur volatilité sur le marché européen et (3) de la justification à plus long terme des aides importantes consacrées au secteur agricole. Faut-il maintenir des aides aux agriculteurs ? A qui profite la PAC actuelle ? Pour mettre en perspective les anticipations exposées plus haut et juger si la PAC a bien l’utilité qu’elle devrait avoir, il vaut la peine de se demander ce qui justifie, sur le plan des principes, de subsidier le secteur agricole. Il faut d’abord remarquer que les politiques agricoles des pays du Nord, Europe et USA en tête, ont nuit à la prospérité des agriculteurs du Sud, notamment en leur coupant l’accès aux marchés prospères du Nord. Elles n’ont pas pu soutenir le revenu agricole en Europe et sont responsables de tensions commerciales avec le reste du monde et de dépenses monstrueuses ! Même parmi les producteurs européens de biens agricoles, la PAC ne profite vraiment pas aux petites exploitations, dont la production et la superficie sont faibles : elles n’ont reçu et ne recevront que de faibles subsides. Or, la demande d’intrants agricoles (machines, terre, engrais,…) et leurs prix sont globalement plus élevés qu’ils ne le seraient sans subside. La petite exploitation agricole peut en fait se retrouver avec un revenu identique ou inférieur à celui qu’elle aurait si le subside n’existait pas. L’équité ne fournit donc pas de justification à l’existence de subsides agricoles. Néanmoins, l’activité agricole ne se limite pas seulement à la production des biens agricoles : la sécurité alimentaire, la qualité de l’environnement et l’entretien des zones rurales sont trois exemples d’aménités qui résultent des activités agricoles. Or, sans régulation, les aménités sont en général offertes en quantités inférieures à ce qui est socialement souhaitable. Il faut donc un subside à l’activité agricole pour atteindre un niveau efficace d’aménités. L’éco-conditionnalité n’est qu’un pas timide en ce sens. On peut déplorer que les modes passés et présents de soutien agricole en Europe ne contribuent pas à la production efficace d’aménités rurales. Au contraire, l’analyse ne nous permet d’identifier, par élimination, que deux types de bénéficiaires effectifs de la PAC, dans n’importe laquelle de ses versions : les grandes exploitations agricoles etles fournisseurs d’intrants agricoles, en particulier les propriétaires fonciers. Comment rendre la PAC plus juste et plus efficace ? Les contribuables ne souhaitent probablement pas que leurs impôts alimentent la valeur foncière des terres agricoles ou la prospérité des plus grandes exploitations agricoles. Nombre d’agriculteurs, particulièrement ceux que le système actuel laisse en bordure de la pauvreté, pourraient aussi trouver un plus grand intérêt à une réforme, non pas à une libéralisation pure et simple, mais à une réorientation des interventions publiques vers la rétribution des aménités typiques des activités rurales. Une conclusion assez claire émerge donc de la mise en perspective normative des effets du "découplage" qui constitue la réforme de la PAC. Pour des raisons d'équité et d'efficacité, le re-couplage du paiement unique à des fins spécifiques valorisées par le contribuable ou le consommateur qui le finance, est effectivement la seule alternative permettant de justifier à plus long terme des budgets importants réservés au secteur agricole vis-à-vis, notamment, de critiques de plus en plus acerbes à l'égard de tels budgets qu'a bien mises en évidence le rapport Sapir. Cette réorientation est une nécessité qui s'imposera dans l'avenir au fur et à mesure que la justification du paiement unique comme aide aux ajustements structurels perdra sa pertinence.
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Buysse, Jeroen, Kamel Elouhichi, Bruno Fernagut, Frédéric Gaspart, Olivier Harmignie, Bruno Henry de Frahan, Ludwig Lauwers, Philippe Polomé, and Guido Van Huylenbroeck. "Numéro 19 - février 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2004.02.01.

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Les autorités régionales belges doivent, ces jours-ci, se prononcer sur les différentes options de réforme de la Politique Agricole Commune (PAC) proposées par l'accord européen de juin dernier. Ce numéro spécial de Regards Economiques se penche sur les effets et les enjeux de cette réforme. Plusieurs questions sont abordées. En quoi consiste cette réforme ? Quelles sont ses implications pour l’agriculture belge ? Faut-il maintenir des aides aux agriculteurs ? A qui profite la PAC actuelle ? Comment rendre la PAC plus juste et plus efficace ? En quoi consiste la nouvelle réforme de la PAC ? En juin dernier, l'Union européenne a décidé de réformer une nouvelle fois le mode de soutien en faveur du secteur agricole. Cette réforme consiste à convertir la plupart des aides actuelles en un seul paiement unique qui sera distribué aux agriculteurs en fonction de l'étendue de leur superficie agricole cultivée, indépendamment du type de culture ou d'élevage qu'ils pratiquent et du volume de production qu'ils mettent sur le marché. C'est le "découplage"complet des aides agricoles vis-à-vis de l'acte de production, un principe de subvention agricole longuement recommandé par les économistes agricoles dont s'est enfin inspirée la Commission européenne en dépit des résistances conservatrices de nombreux Etats membres. C'est donc l'abandon d'un système de soutien inefficace qui, jusqu'à la réforme précédente de 1992, était essentiellement basé sur un système de prix agricoles garantis largement supérieurs aux prix mondiaux, de barrières douanières impénétrables et de subventions aux exportations exorbitantes. Non seulement ce système fut incapable de soutenir le revenu agricole et de diminuer la disparité des revenus entre exploitations et régions, mais il fut responsable d'excédents agricoles colossaux, de dépenses considérables, de pollutions agricoles et de tensions commerciales avec les pays les plus compétitifs. La nouvelle réforme permettra de mieux orienter les choix de production vers les réelles opportunités du marché et de réduire les distorsions des subventions agricoles sur les marchés agricoles tant européens qu'internationaux. En plus du découplage, deux autres principes sont parallèlement mis en oeuvre. Le principe de l'éco-conditionnalité liera à terme la perception du paiement unique au respect de 18 exigences réglementaires dans le domaine de l'environnement, de la sécurité des aliments, de la santé animale et phytosanitaire et du bien-être animal. Le principe de la modulation instaurera une légère discrimination en faveur des petites exploitations en les exemptant d'une baisse prévue de 5 % du paiement unique. Les économies budgétaires réalisées par cette mesure permettront de renforcer le financement des mesures dites de développement rural. L'accord de juin 2003 offre toutefois la possibilité aux Etats membres de maintenir une proportion de paiements directs couplée à la production s'ils craignent la perturbation de marchés agricoles ou l'abandon de certaines productions tout en intégrant la proportion restante des paiements directs dans le paiement unique. Diverses options de découplage partiel leur sont proposées. Les autorités régionales du pays doivent incessamment se prononcer sur ces options. Quelles sont ses implications pour l’économie belge ? A l’aide de deux modèles économiques de simulation, nous avons tenté d’évaluer les conséquences possibles sur l’agriculture belge des différentes options de découplage des aides telles qu’autorisées par l’accord de juin dernier. Les simulations montrent des substitutions importantes entre les productions agricoles végétales au profit de cultures moins intensives telles que les prairies temporaires, une baisse de la production de viande bovine mais le maintien de la production de lait. Malgré ces ajustements, notamment dans le domaine de l'élevage, les simulations indiquent le maintien et même une légère hausse des revenus nets agricoles dépendant de l'effet des variations de l'offre sur le prix du marché. Ces ajustements ainsi que les hausses du revenu agricole sont de façon générale les plus prononcés pour l'option de découplage complet de toutes les aides. C'est en effet cette option qui procure la plus grande cohérence entre l’allocation des ressources fixes de la région et les opportunités de marché. Une analyse plus fine au niveau des différents types d'exploitation montre toutefois que l'option de découplage complet à l'exception des aides pour le troupeau de vaches allaitantes et l'abatage de bovins est la plus favorable pour les exploitations spécialisées dans ce type d'activités alors que cette option est presque autant favorable pour les autres types d'exploitation que celle du découplage complet. Dans la mesure où, en outre, le contribuable qui finance les aides directes, apprécie le maintien d'un troupeau allaitant à des fins, par exemple, d'aménités paysagères, ou d'une profession d'éleveurs là où elle est la plus concentrée et menacée, c'est-à-dire dans le sud de la Belgique, il semble que l'option de découplage complet de toutes les aides à l'exception de celles réservées à l'élevage allaitant se révèle comme la plus adéquate à la structure du secteur agricole belge parmi toutes les autres options autorisées par l'accord agricole européen de juin dernier. Les résultats de ces simulations ne prennent toutefois pas en compte plusieurs autres défis à l'agriculture belge. Il s'agit notamment (1) du renchérissement possible des terres agricoles en raison de la seule nécessité de mettre en culture de telles terres pour obtenir des subsides importants, (2) de l'évolution des prix agricoles et de leur volatilité sur le marché européen et (3) de la justification à plus long terme des aides importantes consacrées au secteur agricole. Faut-il maintenir des aides aux agriculteurs ? A qui profite la PAC actuelle ? Pour mettre en perspective les anticipations exposées plus haut et juger si la PAC a bien l’utilité qu’elle devrait avoir, il vaut la peine de se demander ce qui justifie, sur le plan des principes, de subsidier le secteur agricole. Il faut d’abord remarquer que les politiques agricoles des pays du Nord, Europe et USA en tête, ont nuit à la prospérité des agriculteurs du Sud, notamment en leur coupant l’accès aux marchés prospères du Nord. Elles n’ont pas pu soutenir le revenu agricole en Europe et sont responsables de tensions commerciales avec le reste du monde et de dépenses monstrueuses ! Même parmi les producteurs européens de biens agricoles, la PAC ne profite vraiment pas aux petites exploitations, dont la production et la superficie sont faibles : elles n’ont reçu et ne recevront que de faibles subsides. Or, la demande d’intrants agricoles (machines, terre, engrais,…) et leurs prix sont globalement plus élevés qu’ils ne le seraient sans subside. La petite exploitation agricole peut en fait se retrouver avec un revenu identique ou inférieur à celui qu’elle aurait si le subside n’existait pas. L’équité ne fournit donc pas de justification à l’existence de subsides agricoles. Néanmoins, l’activité agricole ne se limite pas seulement à la production des biens agricoles : la sécurité alimentaire, la qualité de l’environnement et l’entretien des zones rurales sont trois exemples d’aménités qui résultent des activités agricoles. Or, sans régulation, les aménités sont en général offertes en quantités inférieures à ce qui est socialement souhaitable. Il faut donc un subside à l’activité agricole pour atteindre un niveau efficace d’aménités. L’éco-conditionnalité n’est qu’un pas timide en ce sens. On peut déplorer que les modes passés et présents de soutien agricole en Europe ne contribuent pas à la production efficace d’aménités rurales. Au contraire, l’analyse ne nous permet d’identifier, par élimination, que deux types de bénéficiaires effectifs de la PAC, dans n’importe laquelle de ses versions : les grandes exploitations agricoles etles fournisseurs d’intrants agricoles, en particulier les propriétaires fonciers. Comment rendre la PAC plus juste et plus efficace ? Les contribuables ne souhaitent probablement pas que leurs impôts alimentent la valeur foncière des terres agricoles ou la prospérité des plus grandes exploitations agricoles. Nombre d’agriculteurs, particulièrement ceux que le système actuel laisse en bordure de la pauvreté, pourraient aussi trouver un plus grand intérêt à une réforme, non pas à une libéralisation pure et simple, mais à une réorientation des interventions publiques vers la rétribution des aménités typiques des activités rurales. Une conclusion assez claire émerge donc de la mise en perspective normative des effets du "découplage" qui constitue la réforme de la PAC. Pour des raisons d'équité et d'efficacité, le re-couplage du paiement unique à des fins spécifiques valorisées par le contribuable ou le consommateur qui le finance, est effectivement la seule alternative permettant de justifier à plus long terme des budgets importants réservés au secteur agricole vis-à-vis, notamment, de critiques de plus en plus acerbes à l'égard de tels budgets qu'a bien mises en évidence le rapport Sapir. Cette réorientation est une nécessité qui s'imposera dans l'avenir au fur et à mesure que la justification du paiement unique comme aide aux ajustements structurels perdra sa pertinence.

Дисертації з теми "Zones d'activité économique":

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Assaf-Medawar, Eleni. "Les potentialités des interfaces « bâti/non bâti » dans une approche de résilience territoriale et environnementale : recherche appliquée aux Zones d'Activités Economiques de la rive droite du Var (Alpes-Maritimes)." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2024. http://www.theses.fr/2024COAZ2010.

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Анотація:
La problématique de la thèse s’inscrit dans une recherche de la résilience générale, axée sur le long terme, du territoire périurbain situé en rive droite de la basse vallée du Var (06), qui s’étend du Broc à Saint-Laurent du Var, où voisinent et s’intriquent des espaces aux fonctions diverses – habitat, agriculture, industrie, espace naturel – sans interrelation fonctionnelle. Les zones d’activités économiques y occupent une place prédominante. La zone industrielle de Carros renferme à elle seule 600 entreprises, et 10 000 emplois. Ce territoire est considéré depuis plusieurs décennies, et à juste raison, comme un territoire à enjeu - DTA des Alpes-Maritimes, OIN Plaine du Var. De facto, il est soumis à une forte pression urbaine difficilement régulée, qui touche notamment les espaces agricoles. Les zones d’activités présentent un paradoxe, elles sont à la fois dynamiques et vieillissantes. Toutefois, les actions engagées, par les clubs des entreprises, telle que la démarche d’écologie industrielle et territoriale, sont généralement menées sur chaque parc d’activité indépendamment des autres, et pas ou peu, interreliées avec les espaces voisins. Les zones d’activité sont vieillissantes, le foncier est de plus en plus rare et contraint, et la qualité paysagère, délaissée. Les dynamiques de changement sont par ailleurs bridées par de fortes contraintes réglementaires liées aux risques (inondation, incendie, technologique). Le parti de cette thèse est de considérer l’organisation des espaces bâtis/non bâtis comme un potentiel de résilience environnementale et territoriale latent, inexploité, à valoriser. En effet, le territoire de la rive droite du Var pris dans son ensemble, est structuré en un emboitement d’interfaces à différentes échelles : bâti/non-bâti ; urbain/agricole ; agricole/urbain/naturel ; urbain/naturel et agricole/naturel. Ces espaces représentent un fort potentiel, d’autant plus qu’ils sont uniquement considérés par les acteurs économiques locaux comme une opportunité d’accroitre leur surface d’activité économique. Ces espaces pourraient au contraire être perçus et utilisés de façon inédite dans le but de valoriser le territoire au niveau économique, social et environnemental notamment en créant des « paysages recyclés ». La mise en place de ce type d’aménagement permet de valoriser un territoire de manière globale sur le plan écologique, mais également sur le plan socio-économique, par l’amélioration de la qualité de vie au travail, comme de son fonctionnement interne, en contribuant à la mobilité douce, par exemple
The thesis addresses the overarching challenge of enhancing the long-term general resilience of the peri-urban territory located on the right bank of the lower Var Valley (06), spanning from Le Broc to Saint-Laurent-du-Var. This area encompasses diverse functions such as housing, agriculture, industry, and natural spaces, all coexisting without functional interrelation. Economic activity zones play a predominant role in this landscape, with the Carros industrial zone alone hosting 600 companies and providing 10,000 jobs.This territory has been rightly considered for several decades as a strategically important area, as indicated by the Regional Land Use Plan (DTA) of Alpes-Maritimes and the Plaine du Var Urban Development Project (OIN Eco-vallée). In reality, it is subjected to intense, difficult-to-regulate urban pressure, particularly affecting agricultural spaces. Moreover, industrial parks present a paradox as they are both dynamic and aging. However, initiatives undertaken inside the industrial parks, such as the approach to industrial and territorial ecology, are typically conducted independently in each park, with little or no connection to neighboring spaces. Conversely, these industrial areas are aging, facing increasing land scarcity and constraints, and landscape quality is neglected. The dynamics of change are further constrained by strong regulatory pressures related to various risks (flooding, fire, technological).The thesis takes the stance that the organization of built and non-built spaces represents an untapped potential for environmental and territorial resilience. The entire right bank of the Var is structured as a nesting of interfaces at different scales: built/non-built; urban/agricultural; agricultural/urban/natural; urban/natural; and agricultural/natural. These spaces harbor substantial potential, especially considering that local economic players view them merely as opportunities to expand economic activities. Instead, these spaces could be perceived and utilized innovatively to enhance the territory economically, socially, and environmentally by creating "recycled landscapes". Implementing such developments not only contributes to the overall ecological enhancement of the territory but also enhances its socio-economic aspects by improving quality of work life and internal functioning, promoting, for instance, soft mobility
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Bounie, Nathan. "La zone d'activité logistique comme levier de développement économique des territoires." Thesis, Paris Est, 2017. http://www.theses.fr/2017PESC1044/document.

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Les activités logistiques sont des leviers de la performance des systèmes productifs ainsi que d’importants générateurs d’emplois. Néanmoins, par les flux qu’elles impliquent ainsi que par les fixités qui la soutiennent (infrastructures, équipements, bâtiments, etc.), ces activités sont des sources de nuisances pour les territoires. Afin d’attirer les activités logistiques tout en limitant leurs nuisances, les acteurs publics – particulièrement locaux – y déclinent un certain nombre d’outils de régulation. Une politique publique est particulièrement mobilisée à cet effet, encouragée par l’exigence de report modal qu’implique le nouveau référentiel guidant l’action publique fondé sur la durabilité : la zone d’activité logistique, zone économique avec ses équipements propres aménagée en vue d’accueillir des activités logistiques.Cette thèse s’intéresse à l’articulation entre ces politiques d’aménagement et les dynamiques de développement économique des territoires. La première partie de ce travail met notamment en évidence trois rôles distincts que peuvent jouer ces zones d’activité logistique, deux rôles externes directs et indirects, et un rôle interne. Par la mobilisation de différentes méthodes et données originales, la deuxième partie de ce travail vise à tester la validité empirique de ces rôles. Le résultat majeur de ce travail de thèse est qu’en raison de la nature de l’activité logistique – qui s’inscrit dans des chaînes et des réseaux élargis – les retombées économiques indirectes imputables aux zones d’activité logistique sont relativement faibles
Logistics activities are fundamental leverages for the productive systems’ efficiency, but also create a lot of jobs. However, logistics activities induce negative externalities: first, by the flows created by these activities, then by the facilities supporting it (infrastructures, equipment, buildings, etc.). To attract logistics activities, while reducing negative externalities, local public authorities use a certain number of regulatory tools. To that extent, a public policy is mostly used, pushed forward by modal report necessity linked with sustainable development: the logistics center, which is an area equipped in order to host logistics activities.This thesis focuses on the articulation between planning policies and regional economic development. The first part brings to light different roles played by logistics centers: two external roles, direct and indirect, and one internal. By using original methods and data, the second part of this thesis aims to test the validity of these different roles. The major result of this work is that by nature of logistics activities – which take part in enlarged chains and networks – the wider economic impacts of logistics centers are low
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Renard-Grandmontagne, Colette. "Les zones d'activités : des espaces pionniers à la périphérie des agglomérations : le cas lorrain." Nancy 2, 2004. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/NANCY2/doc393/2004NAN21028.pdf.

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En quoi les zones d'activités (Z. A. ) aménagées depuis 50 ans, à la périphérie des agglomérations sont-elles des sécrétions de la ville ? Le premier livre dresse un état général actuel des zones à partir de paysages et d'un recensement statistique. Il caractérise leur organisation spatiale, leur répartition et les différencie. Le second étudie les liens génétiques et fonctionnels entre les zones et la ville. La plupart des zones sont d'initiative publique. Les acteurs économiques mettent en concurrence ces offres foncières. De nombreuses zones sont des espaces de desserrement urbain pour les activités. D'autres sont occupées par des groupes en quête de nouveaux marchés. Ces processus ne sont pas particuliers à la Lorraine. Le dernier souligne deux spécificités régionales. Le passé militaire et industriel de la Lorraine a légué aux collectivités des friches recyclables en Z. A. . La situation de la région sur un grand axe européen et les frontières lui confèrent une attractivité nouvelle
To which extent are the business parks, created in the periphery of built-up areas, secretions of the city ? The first book is an overview of business parks based on landscapes and a statistical inventory. It characterises the morphology, the spatial distribution and the nature of each business park. The second book is highlighting the relations linking parks and cities. A large majority of the zones are of public initiative ; they constitute real estates that are put in competition by the economic players. Several parks are meant to release some of the pressure on the urban centers. Other are used by national or international companies to reach new markets. These general processes are not particular to Lorraine. The last book is stressing two regional specificities : the military and industrial past of Lorraine that did leave the authorities with wastelands to be recycling. The location of the region on a major european axis and near national borders is grating Lorraine a new economic appeal
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Glon, Éric. "Zone d'activités et développement local : l'exemple du seuil de l'artois." Lille 1, 1994. http://www.theses.fr/1994LIL10060.

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Supports essentiels pour l accueil d entreprises, les zones d activites, de plus en plus nombreuses, sont-elles de simples amenagments ponctuels ou annoncent-elles une nouvelle phase de developpement, un nouveau modele d organsiation de l espace pour le seuil de l artois ? deceler la place des z. A. Dans le developpement local est d autant plus interessant que ce micro-espace regional correspond aujourd hui a une peripherie qui fait non seulement face a d autres mutations, mais prend aussi conscience de l interet d une situation potentiellement avantageuse, apres avoir connu une longue periode de marginalisation. Alors que la premiere partie insiste sur la problematique et la methodologie, la seconde envisage, toujours dans le tome un, un etat des lieux des z. A, et cherche a les situer dans les politiques communales, a l aide des resultats d une enquete menee sur le terrain. Face a la reusssite moderee des z. A. A l absence de projets structurants integrant les z. A, a la concurrence accrue entre les communes, notre troisieme partie, figurant dans le tome deux est consacree aux propositions (collaboration intercommunale, developpement endogene, district industrieux) susceptibles d eriger le seuil de l artois en veritable interface entre le nord, densement peuple et urbanise, domine par l agglomeration de lille, et la region parisienne
ARE THE MORE AND MORE NUMEROUS BUSINESS PARKS, WHICH REPRESENT ESSENTIAL MEDIUMS FOR THE SETTING UP OF FIRMS, A MORE LIMITED REGIONAL DEVELOPMENT, OR ARE THEY THE SIGN OF A NEW EXPANSION ERA, A NEW MODEL OF SPACE ORGANIZATION FOR THE EDGE OF THE ARTOIS REGION ? IT IS ALL THE MORE INTERESTING TO REVEAL THE PLACE OF BUSINESS PARKS IN THE DISTRICT DEVELOPMENT AS TODAY, THIS VERY REGIONAL MICRO-SPACE REPRESENTS A PERIPHERY WHICH NOT ONLY COPES with OTHER TRANSFORMATIONS, BUT ALSO GROWS AWARE OF THE INTEREST OF BEING IN A POTENTIALLY FAVOURABLE SITUATION, AFTER BEING AFFECTED BY AN ECONOMIC DOWNTURN FOR A LONG TIME. WHEREAS PART ONE, LAYS THE STRESS ON OUR PROBLEMATICS AND METHODOLOGY, PART TWO, STILL IN BOOKONE, DEALS WITH THE INVENTORY OF BUSINESS PARKS, AND TRIES TO DEFINE THEIR IMPORTANCE IN DISTRICT POLICIES, THANKS TO THE RESULTS OF A SURVEY THAT WAS CARRIED OUT IN THE REGION ITSELF. IN THE FACE OF THE RELATIVE SUCCESS OF BUSINESS PARKS AS WELL AS OF THE ABSENCE OF ORGANIZING PROJECTS TAKING PARKS INTO ACCOUNT, AND CONSIDERING THE INCREASING COMPETITION BETWEEN TOWNS, OUR THIRD PART, WHICH IS TO BE FOUND IN BOOK TWO, IS ABOUT THE PROPOSALS, EITHER A COLLABORATION BETWEEN TOWNS, AN ENDOGENOUS DEVELOPMENT, OR THE CREATION OF AN INDUSTRIOUS DISTRICT, LIKELY TO SET UP THE EDGE OF THE ARTOIS REGION AS A TRUE INTERFACE
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Boigelot, Sana. "Méthode et outils de diagnostic pour l'aide à la décision : application à la création de zones d'activités économiques dans une optique de développement durable." Valenciennes, 2007. http://ged.univ-valenciennes.fr/nuxeo/site/esupversions/9b10b2ec-9119-485a-a7ae-58cb2c8ca657.

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L'aménagement des Zones d'Activités Economiques ZAE est un enjeu majeur pour les collectivités à travers la création d'emploi et les rentrées fiscales. Face aux problèmes de fonctionnement d'une ZAE et aux impacts qu'elle génère sur son environnement urbain et naturel les collectivités réagissent et adoptent des démarches d'aménagement et de gestion environnementales. Nous avons observé que les outils existants étaient concentrés sur la phase de gestion des ZAE. Nous avons alors proposé une méthode et des outils pertinents et simples d'usage afin d'assister les aménageurs dans les projets de création. La méthode et les outils ont pour objectif d'analyser les sites d'accueil des projets d'aménagement. Le diagnostic réalisé sur la base d'un système d'indicateurs révèle les points forts (potentiels) et les points faibles (vulnérabilité) du site par rapport au projet de ZAE. Cette analyse apporte les informations pertinentes pour l'aide à la décision, l'élaboration du programme ainsi qu’à l'identification des pistes de réflexion et des solutions à intégrer lors de la conception du projet. La méthode conduit également à l'analyse de l'adéquation du projet avec le site : choix d'un site (comparaison de sites potentiels), choix du type d'activités à accueillir (industrie, tertiaire)
The development of Industrial and Business Parks (IBP) is a major stake for the communities because of the creation of job and the financial contribution by taxes. In order to face the problems met in the IBP functionning and the impact which they have on theirs urban and natural environment, local authorities react and adopt environmental tools. Most of those tools focus on the management of the IBP. That's why we then proposed a method and tools enabling developers to make decisions in a sustainable way from the upstream stage of the creation of an IBP. The method and the tools aim at performing a diagnosis of the site chosen for the projects implantation. This diagnosis is carried out on the basis of a sustainable development indicators system. It purpose consist of revealing the strong and weak element of the site with regard to the project. The analysis of the result of the diagnosis points out relevant information for decision-making and for working out of the goal setting brief. The method is also leads to the analysis of the adequacy of the project with the site as well: choose a site for the project, choose an economical activity for the site (industry, trade, …)
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Joliet, Fabienne. "Zones et parcs d'entreprises : hérésies et aménités paysagères ?" Rennes 2, 1996. http://www.theses.fr/1996REN20032.

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Sur la scène périurbaine, deux générations de sites d'activités se juxtaposent aujourd'hui: les zones industrielles et ou d'activités (ZI et ZA) conçues comme des parenthèses "extra-paysagères" issues des trente glorieuse, et les parcs d'activités ou technoparcs, nouveaux concepts des années 80. Ces deux concepts font l'objet d'une appréciation paysagère manichéenne. En général, bien que leur nécessité économique soit reconnue sans ambiguïté, les ZI ou ZA sont jugées comme des "hérésies" paysagères, tandis qu'à l'inverse les parcs sont considérés comme des "aménités" paysagères. L'objectif de cette réflexion est de comprendre, puis de nuancer cette alternative paysagère. On analyse d'une part l'origine et le sens du concept de ZI et ZA. On examine ensuite en quoi ces dernières apparaissent comme des paysages censurés par le regard de nos sociétés. Il s'avère en fait que cette censure ne concerne qu'un type de paysage de zone bien défini (quoique le plus répandu). Car deux autres types de paysages de zones montrent comment ces paysages peuvent être camouflés (cachés) ou bien devenir un motif esthétique à part entière, révèle par une poétique paysagère. On expose d'autre part les conditions qui président à l'émergence et au développement du concept de parc d'activités. L'enthousiasme qui pousse à leur généralisation est néanmoins discutable. Car si certains parcs d'entreprises ouvrent la voie à une certaine créativité paysagère, d'autres conduisent à terme à une banalisation en incarnant une nouvelle 'recette' tertiaire
In suburban areas today, two generations of economics sites are juxtaposed. On the one hand, there are industrial or activity zones (ZI or ZA) conceived without any landscape consideration during the thirty gloriouls years. On the other hand, there are the very neatly composed activity parks or technoparks born in the eighties. Both of these concepts are considered in a simpliscic manner. Although their economic use is clearly understood, ZIand ZA are considered as landscape 'heresies' unlike parks or technoparks which are considered almost as landscape 'amenities'. This work attempts to understand and go beyond these alternatives. One part will analyse the origin of the ZI and ZA concept. This reflection will lead us to see how they seem to be censored in the public eye but also how some may become an aesthetic medium and thus embody a kind of landscaping poetry. Another part will present conditions necessary for the creation and the development and look at the debatable enthousiasm behind it. Some firms are able to generate a genuinely creative expression, whereas others simply lead to new industrial recipes which threaten to become 'common' landscapes

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