Статті в журналах з теми "Tramways – Alimentation en énergie"

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-BOURBONNAIS, Bernard. "Alimentation en énergie électrique de l'agglomération lyonnaise." Revue de l'Electricité et de l'Electronique -, no. 01 (1999): 41. http://dx.doi.org/10.3845/ree.1999.003.

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2

-JUGAN, Didier. "Alimentation en énergie des terminaisons de réseau optique." Revue de l'Electricité et de l'Electronique -, no. 10 (1996): 71. http://dx.doi.org/10.3845/ree.1996.122.

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VERMOREL, M., and J. B. COULON. "Alimentation des vaches laitières : comparaison des systèmes d’alimentation énergétique." INRAE Productions Animales 5, no. 4 (October 29, 1992): 289–98. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.4.4244.

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Анотація:
Les besoins énergétiques (entretien, lactation, variation de poids) des vaches laitières produisant de 20 à 45 kg de lait par jour, ainsi que la valeur énergétique des aliments (teneur en énergie métabolisable, EM, rendement d’utilisation de l’EM, kl, et teneur en énergie nette) sont comparés dans les systèmes français (UFL), allemand (ENL), américain (NRC), britannique (ARC) et néerlandais (VEM). Les corrections utilisées dans chaque système pour tenir compte des interactions entre les aliments et de l’accroissement du niveau d’alimentation sont également discutées. La validité des systèmes français et néerlandais a été testée par des bilans en chambres respiratoires et des essais d’alimentation, celle du système britannique par des essais d’alimentation. Les quantités d’aliments nécessaires pour satisfaire les besoins énergétiques des vaches laitières sont très voisines dans les systèmes français et néerlandais ; les différences sont plus importantes avec le système britannique (ARC) ; elles augmentent avec la production laitière dans les systèmes allemand (ENL) et américain (NRC).
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SAUVEUR, B., D. ROUSSELOT-PAILLEY, and P. LARRUE. "Alimentation énergétique de l’oie reproductrice." INRAE Productions Animales 1, no. 3 (July 11, 1988): 209–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.3.4454.

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Анотація:
Cinq essais consécutifs ont été réalisés dans un dispositif d’élevage en extérieur comprenant 12 parquets de 15 oies et 5 jars (race landaise) afin de déterminer le besoin énergétique de ces animaux et les effets sur les performances de différentes concentrations énergétiques de l’aliment (de 2100 à 2800 kcal Energie Métabolisable/ kg). ). Le besoin énergétique journalier est de 800-850 kcal E M par oie « servie » (avec 1/3 jars) en saison normale et peut-être plus proche de 900 kcal E M en hiver très froid. Distribués à volonté, les régimes les plus concentrés sont défavorables à la reproduction, l’oie adulte régulant mal son ingéré énergétique en fonction de la teneur du régime. A l’inverse, dès lors qu’ils sont rationnés pour assurer strictement le besoin, les régimes « haute-énergie » permettent une amélioration de la fertilité (+ 7 à + 20 %) et une importante économie d’aliment (- 20 %). Cette pratique semble favoriser également la suppression de verdure fraîche dont l’apport peut représenter une contrainte lorsque l’oie n’a plus accès à des parcours.
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HENRY, Y. "Alimentation du porc pour la production de viande maigre : évolutions récentes et perspectives." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 31–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4185.

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Анотація:
La production porcine a bénéficié, au cours des dernières décennies, de progrès importants et continus réalisés par la sélection pour une croissance sans cesse plus forte de tissus maigres et un dépôt décroissant de gras, en réponse à la demande des consommateurs. Cet article examine les changements intervenus dans l’alimentation en considérant les évolutions récentes et les perspectives, compte tenu de l’évolution prévisible des performances de production et de l’apport des nouvelles technologies. L’importance du progrès génétique en faveur de la croissance des tissus maigres a conduit en premier lieu à envisager une modélisation de la prévision des besoins nutritionnels (énergie, protéines et acides aminés, minéraux), dont les variations se traduisent notamment par des exigences moins marquées en énergie que par le passé et par un accroissement important des besoins en acides aminés relativement à l’apport énergétique. Grâce à cette démarche de modélisation, il est désormais possible de définir de nouvelles stratégies d’alimentation adaptées pour la production de viande maigre (plan de rationnement alimentaire, choix du type d’aliment pour une phase de production déterminée), en fonction des conditions particulières de production et à l’aide de systèmes d’évaluation des aliments suffisamment discriminants (énergie nette, digestibilité iléale des acides aminés). En outre, l’augmentation de certains intrants alimentaires (azote, phosphore) pour une production accrue de viande maigre implique une gestion raisonnée de leurs apports, afin de prévenir des rejets excessifs dans l’environnement (eau, atmosphère). La tendance à une certaine dégradation de la qualité de la viande, notamment sous l’angle technologique et organoleptique, au fur et à mesure des progrès de la sélection sur la croissance musculaire, oblige à une prise en compte, par l’alimentation, des exigences de qualité des produits, qu’il s’agisse des dépôts gras ou des tissus maigres (importance du gras intramusculaire). Il en est de même avec le recours à de nouvelles technologies permettant, soit de préserver le potentiel de croissance musculaire (utilisation du porc mâle entier), soit de le stimuler (facteurs de croissance). En dernier lieu, après avoir considéré les effets de l’alimentation sur la conformation des carcasses, en relation avec l’amélioration du développement musculaire, les conséquences d’un amaigrissement excessif des truies sur les performances de reproduction sont évoquées en liaison avec la mobilisation et la reconstitution des réserves lipidiques corporelles. Ce problème d’équilibre entre les tissus musculaire et gras constitue un enjeu important pour l’évolution future de l’alimentation du porc maigre. Au plan de l’application, les nouvelles approches nutritionnelles, basées sur l’établissement de lois de réponse qui prennent en compte la diversité à la fois des types génétiques (depuis les plus gras jusqu’aux plus maigres) et des conditions d’élevage et de milieu devraient permettre, dans chaque cas, de définir les conditions optimales de production d’un type de porc particulier.
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COZANNET, P., Y. PRIMOT, J. P. MÉTAYER, C. GADY, M. LESSIRE, P. A. GERAERT, L. LE TUTOUR, F. SKIBA, and J. NOBLET. "L’utilisation des drêches de blé en alimentation porcine." INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009): 11–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3326.

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Анотація:
Parallèlement à l’accroissement rapide de la demande d’éthanol, essentiellement à base de blé en Europe, la disponibilité pour l’alimentation des animaux d’élevage des coproduits associés, tels que les drêches de blé s’est accrue. La synthèse réalisée dresse le profil moyen de la composition des drêches de blé et indique l’existence d’une forte variabilité de la composition des drêches pour certains paramètres. Ces modifications du profil moyen dépendent des spécificités de traitement du produit. La variabilité est ainsi très importante pour la teneur en parois végétales (NDF) et en amidon dont les teneurs moyennes (min-max) sont respectivement de 28 (23-33) et 4,7 (2,1-10,3)% de la MS. Les teneurs moyennes en énergie digestible de 14,2 MJ d’ED/kg MS et en phosphore digestible de 0,60% MS illustrent le potentiel des drêches pour l’alimentation des porcs. Ces valeurs varient selon les sources (12,8 à 16,0 MJ/kg pour l’ED). La teneur en lysine des protéines (0,83 à 3,0%) et la digestibilité iléale standardisée de la lysine (49 à 72%) sont les paramètres les plus variables, vraisemblablement en lien avec le procédé mis en œuvre (séchage notamment). La prise en compte des caractéristiques physiques (odeur et couleur) devrait permettre de prédire la valeur nutritionnelle et de conduire à l’inclusion de drêches à des niveaux plus importants dans l’aliment des porcs.
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LACASSAGNE, L. "Alimentation des volailles : substituts au tourteau de soja. 1. Les protéagineux." INRAE Productions Animales 1, no. 1 (February 10, 1988): 47–57. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.1.4434.

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L’utilisation des protéagineux dans l’alimentation du poulet de chair ne pose pas de problèmes particuliers une fois corrigée leur déficience en acides aminés soufrés. Incorporés dans des proportions allant de 20 à 35 %, ils constituent d’ores et déjà une bonne source de protéines en remplacement du tourteau de soja. Le contenu en énergie métabolisable et la digestibilité des protéines du pois et de la féverole sont accrus par les traitements thermiques et mécaniques. il en est autrement pour l’alimentation des poules pondeuses où seul le pois peut être largement utilisé et apporter jusqu’à 30 % de la matière azotée totale. Le pois est en outre favorable à la qualité organoleptique de l’œuf. La féverole, au contraire, du fait de l’action défavorable de la vicine et de la convicine sur le poids de l’œuf, ne peut être utilisée à des taux supérieurs à 7 %. Elle accroît légèrement la qualité de l’albumen mesurée en unités Haugh mais tend à augmenter la fréquence des taches de sang dans les oeufs. La limite d’utilisation du lupin dans l’alimentation des pondeuses se situe autour de 10 %, taux au-dessus duquel peut apparaître une insuffisance en tryptophane. Des trois protéagineux envisagés, le lupin, du fait de sa richesse en protéines, est celui dont l’emploi se trouve le plus nettement limité par sa faible teneur en cet acide aminé.
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Blanc, Nathalie, Caroline Gallez, Éléonore Genest, Diego Antolinos-Basso, Jean Chiche, and Hugo Rochard. "Expérimenter la transition socio-écologique dans les territoires urbains : les trajectoires différenciées de deux communes du Grand Paris." Revue d’Économie Régionale & Urbaine Avril, no. 2 (May 29, 2024): 279–300. http://dx.doi.org/10.3917/reru.242.0279.

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Depuis les années 2010, des initiatives de la société civile se déploient dans les domaines de l’environnement et de l’économie sociale et solidaire. Elles constituent un ensemble hétérogène de collectifs qui se saisissent de problématiques socio-environnementales dont les porteurs estiment qu’elles sont insuffisamment prises en charge par les pouvoirs publics. Les actions engagées sont diverses : amélioration du cadre de vie, protection de l’environnement, alimentation saine, recyclage, réemploi, mobilités douces, énergie renouvelable. Au-delà de leurs spécificités, il s’agit de comprendre à quel type de transformation socio-écologique ces mobilisations participent. Dans cet article, nous analysons la manière dont ces collectifs, en adressant de manière conjointe les problématiques sociales et environnementale et en proposant des expérimentations collectives de changement des pratiques du quotidien offrent des capacités de résistance ou esquissent des propositions alternatives aux régimes sociotechniques, politiques et économiques dominants. Pour ce faire, nous nous appuyons sur les cas de deux communes du Grand Paris, Clamart et Ivry-sur-Seine.
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Yo, T., Michel Picard, Hubert Guérin, and P. Dauvilliers. "Alimentation séparée (céréales graines entières + aliment complémentaire granulé) chez les poulets de chair en climat chaud." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 3 (March 1, 1994): 319–27. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9096.

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Анотація:
La consommation alimentaire et la croissance des poulets de chair sont limitées par les fortes températures. Une alimentation séparée (AS), composée de céréales "graines entières" et d'un aliment complémentaire, a été comparée avec un aliment complet en farine (ACF) ou en granulés (ACG) pour étudier l'aptitude des poulets à adapter leur ingestion d'énergie et de protéines à leurs besoins. Deux essais ont porté, en saison sèche (SS) et en saison des pluies (SP), plus fraîche, sur 1 012 poulets de souche JV15 divisés en 24 lots et sur 6 régimes comprenant un ACF, un ACG et 4 combinaisons d'AS associant du maïs ou du mil à deux formules d'aliments complémentaires. Les poids à 56 jours ont été plus élevés en SP qu'en SS (25 %). Quelle que soit la saison, les croissances en AS ont été de 4 à 7 % supérieures à celles obtenues en ACF. En revanche, en SS les performances des lots en AS et en ACG étaient globalement identiques (ACG non testé en SP). L'AS a nécessité une semaine d'adaptation après laquelle l'équilibre énergie/protéines fut proche de celui des aliments complets. Elle permet l'utilisation des céréales locales sans frais de transport, de broyage, de mélange ni de granulation. Le prix d'intérêt de l'aliment complémentaire peut être déterminé par ceux des céréales et de l'ACG.
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THÉRIEZ, M. "Elevage et alimentation du cerf (Cervus Elaphus). 1. Caractéristiques physiologiques, besoins alimentaires et élevage des adultes." INRAE Productions Animales 1, no. 5 (December 12, 1988): 319–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.5.4467.

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L’élevage du cerf pour la production de viande se développe actuellement en France, après l’Ecosse et la Nouvelle-Zélande où les premiers élevages ont été créés il y a une vingtaine d’années. Cette espèce se différencie des ruminants domestiques traditionnels par un certain nombre de points dont en particulier une variation très importante de la capacité d’ingestion avec la saison (elle varie du simple au double entre l’hiver et l’été sous l’effet des variations de la photopériode) et une moindre digestibilité des fourrages grossiers (5 à 7 % de moins que le mouton). Les besoins d’entretien des cerfs sont voisins de ceux des bovins ; s’y ajoutent, chez le mâle, des besoins spécifiques pour la croissance annuelle des bois (énergie et surtout minéraux dont une partie provient d’une déminéralisation du squelette). Les naissances gémellaires sont très rares chez la biche dont la fertilité dépend essentiellement du poids au moment du rut (les biches doivent peser 60 kg ou plus). Le poids des faons à la naissance est voisin de 8-9 kg, il varie avec leur sexe et selon le niveau alimentaire moyen du troupeau. La production laitière des biches varie entre 120 et 200 litres en 100 jours selon la qualité du pâturage. Leur lait est très riche en lipides et en protéines (respectivement 10,3 et 7,6 % au cours du second mois de lactation) soit deux fois plus que le lait de vache.
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COULON, J. B., and B. REMOND. "Réponses de la production et de la composition du lait de vache aux variations d’apports nutritifs." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 2, 1991): 57–65. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4317.

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L’objectif de cette étude bibliographique a été de préciser l’influence du stade de lactation, de l’âge, du niveau de production des animaux et de la durée de la sous(sur)-alimentation, sur la réponse de la production laitière et du taux protéique à des apports variables d’énergie. Soixante-six essais d’alimentation réalisés sur des vaches laitières produisant entre 9 et 29 kg/j (6 à 30 vaches/lot expérimental) et comportant au moins 3 niveaux d’apports énergétiques ont été utilisés. Ces apports énergétiques ont été exprimés en énergie réellement disponible pour l’animal (énergie nette de lactation, UFL). En début de lactation, la réponse de production laitière aux apports énergétiques a été linéaire et élevée (+ 0,9 kg de lait/UFL). En milieu de lactation et dans les essais de longue durée, cette réponse a été curvilinéaire. Lorsque les apports étaient inférieurs aux besoins, elle a été plus forte dans les essais de longue durée que dans ceux réalisés sur de courtes périodes en milieu de lactation (2,2 kg/UFL contre 1,3 kg/UFL, P < 0,01). La réponse du taux protéique aux apports énergétiques a été linéaire quelles que soient la période et la durée des essais. Elle a été 2 fois plus faible en début de lactation (0,3 g p.1000/UFL) qu’en milieu de lactation ou qu’au cours des essais de longue durée (0,6 g p.1000/UFL). La relation entre les variations de la production laitière et du taux protéique a été curvilinéaire et a dépendu du stade de lactation et du niveau de couverture des besoins énergétiques. Il n’a pas été possible de mettre en évidence d’effet important du niveau de production des animaux sur les réponses de la production laitière ou du taux protéique aux variations d’apports énergétiques.
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SANCHEZ, A., M. PLOUZEAU, P. RAULT, and M. PICARD. "Croissance musculaire et fonction cardio-respiratoire chez le poulet de chair." INRAE Productions Animales 13, no. 1 (February 18, 2000): 37–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.1.3766.

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Cet article fait le point sur l’influence supposée de la sélection du poulet de chair privilégiant croissance rapide, rendement musculaire élevé et indice de consommation minimum, sur la fréquence des incidents d’élevage d’origines cardio-vasculaire et respiratoire, aggravés par les coups de chaleur. Les poulets à croissance rapide présentent un rapport du volume pulmonaire sur le poids corporel inférieur, une capacité à fixer l’O2 dans le sang plus faible, une viscosité sanguine plus élevée et des arythmies cardiaques plus fréquentes que les poulets à croissance lente. Ces facteurs peuvent expliquer leur prédisposition à l’apparition d’un syndrome d’hypertension pulmonaire se compliquant d’ascite. Du fait d’un développement relativement plus lent de leur système cardio-respiratoire, certains animaux ont parfois des difficultés à assurer un approvisionnement correct de leurs tissus musculaires en oxygène. Leur capacité d’adaptation à une stimulation du métabolisme par des facteurs environnementaux (climat, altitude, alimentation riche en protéines et en énergie ) est limitée et favorise indirectement l’installation d’une hypoxie relative en augmentant les besoins en O2. Les généticiens recherchent de nouveaux critères de sélection sur les caractéristiques pulmonaires, hématologiques et cardio-vasculaires en équilibre avec les caractéristiques de croissance.
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Saïdi-Boulahia, Amina, Sabah Abada, and Meryem Saber. "Valorisation des déchets organiques ménagers et les déjections bovines par la méthanisation." Journal of Renewable Energies 21, no. 4 (December 31, 2018): 537–43. http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v21i4.712.

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La digestion anaérobie de la fraction organique des déchets ménagers est l’une des méthodes de traitement et de valorisation de ces déchets. En effet cette valorisation, offre la possibilité de combiner le traitement de ces déchets et la production d’une énergie renouvelable qui est le biogaz. Dans notre étude, nous avons contribué à l’étude de la production de biogaz à partir de la co-digestion de la fraction organique des déchets ménagers avec les déjections bovines. Les deux substrats ont été introduits dans le digesteur après un pré-mélange à raison de 5 % de déchets ménagers et 10 % de bouse de vache. La fermentation de cette expérimentation a été menée en mode batch (alimentation discontinue) tout en assurant l’anaérobiose avec maintien de la température dans la plage mésophile. Nous avons procédé à la mesure des paramètres de stabilité, tels que le pH, le potentiel d’oxydo-réduction et les acides gras volatils (AGV). Les valeurs de ces paramètres indiquent le bon déroulement du processus de digestion qui a permis la production d’une quantité évaluée à 870 ml de biogaz durant un temps d’opération de 45 jours et pour une masse de 1000 grammes de déchets.
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DOURMAD, J. Y. "Ingestion spontanée d’aliment chez la truie en lactation : de nombreux facteurs de variation." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 141–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4446.

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Chez la truie allaitante, le niveau spontané d’ingestion alimentaire est généralement trop faible pour couvrir les besoins nutritionnels élevés liés à la production de lait. Ceci se traduit par une mobilisation des réserves corporelles qui est néfaste aux performances de reproduction ultérieures. L’analyse de la bibliographie montre que de nombreux facteurs peuvent affecter le niveau de consommation en lactation. Il augmente avec le stade de lactation, le numéro de portée et la taille de la portée. L’élévation de la teneur en énergie du régime entraîne une diminution de la quantité consommée, mais malgré cela l’ingéré énergétique est supérieur. D’autre part, lorsque la teneur en protéines est inférieure à 12 %, la quantité consommée diminue. L’augmentation des apports alimentaires en gestation entraîne une réduction de l’appétit en lactation, ce résultat étant à rapprocher de l’effet négatif d’un état d’engraissement trop élevé à la mise-bas. Enfin, les températures ambiantes élevées en maternité se traduisent par une réduction importante de la consommation. Ces différents effets peuvent se cumuler. Aussi certains animaux sont particulièrement prédisposés à des problèmes de sousconsommation en lactation, par exemple les truies primipares mettant bas en été et ayant reçu une alimentation libérale au cours de la gestation précédente.
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SAILLEY, Manon, Cécile CORDIER, Jean-Yves COURTONNE, Boris DUFLOT, François CADUDAL, Christophe PERROT, Aude BRION, and René BAUMONT. "Quantifier et segmenter les flux de matières premières utilisées en France par l’alimentation animale." INRAE Productions Animales 34, no. 4 (March 3, 2022): 273–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.4.5396.

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Les attentes sociétales relatives à l’alimentation des animaux d’élevage s’intensifient (sans OGM, sans déforestation importée, limitant la compétition avec l’alimentation humaine, enrichi en Oméga 3 et/ou 6…) et deviennent parfois une condition d’accès au marché pour certaines productions animales. Afin de construire une méthodologie permettant une segmentation détaillée des consommations de matières premières par filière animale, le Groupement d’Intérêt Scientifique Avenir Élevages a mobilisé un réseau d’experts des différentes filières. Une méthode de réconciliation des flux avec optimisation sous contraintes a été utilisée pour mettre en cohérence les différentes sources de données disponibles et ainsi dresser un panorama complet des flux de matières premières (grains, coproduits et fourrages) dans le système alimentaire de France métropolitaine (alimentation humaine et animale, export, énergie…). Pour l’année 2015, le total des utilisations animales de matières premières concentrées a été évalué autour de 34 Mt standardisées à 85 % de matière sèche et celles de fourrages entre 70 et 72,5 Mt de matière sèche (pertes et refus déduits). Les filières bovines étaient les premières utilisatrices de matières premières concentrées (37 % au total dont 25 % pour les bovins laitiers et mixtes et 12 % pour les bovins à viande), devant les volailles (34 %) et les porcs (23 %). L’utilisation du tourteau de soja apparaît encore plus ciblée : 43 % pour les bovins (36 % pour les laitiers et mites et 7 % pour ceux à viande), 43 % également pour les volailles (dont 29 % pour les volailles de chair), et 6 % pour les porcs. La méthodologie « flux de matières premières » développée dans ce travail permet de fournir des repères précis sur l’alimentation des animaux d’élevage, sa durabilité, l’importance de l’élevage dans la valorisation des coproduits issus de l’agro-alimentaire ou encore l’autonomie alimentaire et protéique de l’élevage français. Sa pérennisation dans un observatoire des flux de matières premières utilisées en alimentation animale est à l’étude afin de disposer d’un suivi pluriannuel de l’évolution des consommations.
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Amrouche, Fethia, Bouziane Mahmah, Maiouf Belhamel, and Hocine Benmoussa. "Modélisation d’une pile à combustible PEMFC alimentée directement en hydrogène-oxygène et validation expérimentale." Journal of Renewable Energies 8, no. 2 (December 31, 2005): 109–21. http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v8i2.856.

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La pile à combustible (PAC) est connue depuis longtemps comme un convertisseur d’hydrogène en énergie (électrique + thermique) possédant de très bons rendements, les recherches sur cette technologie se développent partout dans le monde de manière considérable. Les raisons sont bien connues: la réponse aux contraintes environnementales, aux problèmes posés par la production centralisée d’électricité, la nécessité d’avoir des alternatives énergétiques (vecteur hydrogène) et certaines exigences technologiques spécifiques telles que les applications spatiales, sous-marines, électroniques portables, alimentation électrique de sites isolés et de microsystèmes. Il est certain que nous assisterons dans les prochaines décennies à l’émergence de la filière hydrogène dans notre vie quotidienne comme vecteur énergétique. Le choix de la technologie des piles à combustible à membrane échangeuse de protons (PEMFC) est implicite vu les performances intéressantes (faible poids, robuste, électrolyte solide, démarrage rapide, large gamme de puissance de 1 W à10 MW, etc.). Il est donc important de pousser encore plus loin les efforts de recherche/développement autour de cette technologie pour pouvoir la maîtriser et étendre son application. Cet article présente les résultats de la modélisation de la cinétique électrochimique et la production électrique des piles à combustible PEMFC alimentée directement en gaz pur (hydrogène et oxygène) et la validation expérimentale grâce à une base de données établie au niveau du ‘’Laboratoire d’Hydrogène en Réseau – CDER‘’, dans le but d’exploiter et d’améliorer les modèles électrochimiques existants.
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SEVE, B. "Alimentation du porc en croissance : intégration des concepts de protéine idéale, de disponibilité digestive des acides aminés et d’énergie nette." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 275–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4175.

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La valeur énergétique nette d’un aliment est déductible de sa teneur en énergie digestible selon une équation valable pour le porc à tous les stades physiologiques. Elle modifie la hiérarchie des matières premières en abaissant celles riches en protéines ou en fibres et en relevant celles riches en amidon ou en matières grasses. La protéine idéale théorique, de valeur biologique 1, est l’équivalent de l’énergie nette pour la couverture du besoin azoté. L’approche expérimentale de cette protéine par la suppression des excès d’acides aminés, laisse espérer une importante marge de progrès du rendement d’utilisation de l’azote absorbé. Ce rendement mesure une disponibilité métabolique de l’acide aminé limitant peu dépendante des matières premières utilisées. Celles-ci doivent être caractérisées plutôt par la disponibilité digestive de leurs acides aminés mesurable par leur digestibilité iléale. L’additivité des apports par différents constituants du régime nécessite une correction de leur digestibilité apparente pour les pertes endogènes non spécifiques de chacun d’entre eux, et la digestibilité "vraie" ainsi calculée peut être prédite à partir de leurs teneurs en subtances spécifiques. Toutefois, la présence dans l’indigestible "vrai" d’une fraction endogène spécifique pose le problème de sa quantification et de son coût de synthèse. L’apport minimum d’acide aminé limitant digestible (lysine) par unité d’énergie nette est toujours indépendant du niveau d’ingestion d’énergie chez le porc de moins de 55 kg, alors qu’il est plus faible, et augmente avec le niveau de rationnement, chez le mâle castré plus lourd. Les apports minima des autres acides aminés sont déduits de rapports optimaux à la lysine déterminés expérimentalement. Certains déséquilibres par excès relativement à l’équilibre idéal nécessitent une correction (tryptophane/acides aminés neutres) ou un plafonnement des apports (thréonine). Des mécanismes d’épargne d’acides aminés essentiels (thréonine) par des non essentiels pourraient modifier leurs rapports optimaux à l’azote total.
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RINALDO, D., and J. LE DIVIDICH. "Influence de la température ambiante sur les performances de croissance du porc." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 2, 1991): 57–65. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4318.

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L’objectif de cet article est de préciser les effets de la température ambiante sur le métabolisme énergétique, les performances de croissance et les besoins nutritionnels du porc en croissance-finition en élevage intensif et d’estimer son optimum thermique. Au plan énergétique, la température critique est estimée à environ 20°C en croissance et 15°C en finition. Elle correspond à une utilisation maximale de l’énergie alimentaire et sa signification zootechnique est discutée. La température ambiante influence la nature des dépôts tissulaires, l’accrétion lipidique étant la plus affectée. Pour ce qui est des performances, en alimentation libérale, la consommation spontanée d’aliment d’un porc de 60 kg diminue de 22 g/j/°C entre 10 et 20°C, sans effet sur le gain de poids. Entre 20 et 30°C, cette diminution est plus marquée (73 g/j/°C) et s’accompagne d’une réduction du gain de poids (40 g/j/°C) et de l’adiposité corporelle. L’indice de consommation décroît de 0,044 unité/°C entre 10 et 20°C et est minimal vers 25°C. En tenant compte des objectifs de réduction du coût alimentaire et de l’état d’engraissement des carcasses, la température optimale pour le porc en croissance-finition élevé sur caillebotis béton est de 24-25°C. Les études d’interaction avec l’alimentation ont montré qu’au froid les animaux valorisent bien les aliments riches en fibres alors qu’au chaud les meilleures performances sont obtenues avec des rations concentrées en énergie. Ces études ont également permis d’estimer l’accroissement du besoin énergétique à 25 kJ EM/kg 0,75 /j/°C entre 20 et 12°C et de montrer que, pour un même gain de poids ou de muscle, le besoin journalier en acides aminés est indépendant de la température ambiante.
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Guembo, J. R., P. P. Adzona, V. M. V, P. E. Pepah, J. B. Bati, B. H. Mantsanga, A. J. Saboukoulou, and H. Banga-Mboko. "Evaluation de l’Alimentation Séquentielle à Base d’une Ration Contenant des Feuilles de Manioc Post -Récolte (Manihot esculenta) sur les Performances Zootechniques des Poulets de Chair Standard en Finition." European Scientific Journal, ESJ 20, no. 6 (February 29, 2024): 218. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n6p218.

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Après la récolte des tubercules, les feuilles de manioc sont abandonnées dans les champs. Elles sont une source en protéines brutes en alimentation séquentielle chez la volaille. L’objectif de ce travail était d’évaluer les performances des poulets de chair nourris avec un aliment à base de ces feuilles dans un mode de distribution séquentiel. Pour atteindre cet objectif, un échantillon de 60 poulets de la souche COBB 500 âgés de 26 jours a été réparti en deux lots (témoin et traité). Les oiseaux du lot témoin ont été nourris avec un aliment contenant 5 % de farine de manioc servi dans une seule mangeoire alors que ceux du lot traité ont reçu dans une première mangeoire les ingrédients riches en énergie et dans une seconde mangeoire des éléments riches en protéines brutes et en minéraux. Les deux mangeoires ont été placées dans le poulailler à un intervalle de 4 heures. Le traitement n’a induit aucune mortalité et n’ a pas affecté le poids vif final. Cependant, l’alimentation séquentielle a amélioré significativement (p ˂ 0,05) la consommation d’eau en S6 (680ml/sujet vs780ml), et la consommation des feuilles de manioc en fin d’expérimentation (9,4g/sujet vs 11,20g) L’alimentation séquentielle a également amélioré le GMQ final (38g/jour vs 61g) et l’indice de consommation final (4,8 vs 3,11). L’économie des matières azotées en phase de finition a permis un gain de 112,13 F CFA/sujet chez les traités. L’incorporation des feuilles de manioc en mode séquentiel apporte une plus-value en aviculture tropicale. After harvesting the tubers, the waste cassava leave are left over the fields. They may constitute a source of crude proteins in sequential feeding for poultry. The present study aimed to evaluate the performances of broiler fed with diet- based cassava leaf, by using a sequential distribution. A sample of 60 chickens of COBB 500 strain, 26 days old was divided into two groups (control and treatment). The birds of control group were fed with diet containing 5% of flour of cassava leaf distributed in a single throughout whereas those of the treatment group received in a first feeder ingredients more rich in Kcal and in a second feeder more rich in crude proteins and minerals. The two feeders were placed in the hen house with a 4 hours interval. The treatment did not induce any mortality and does not have affected the final live weight. However, the sequential feeding improved (p ˂ 0. 05) water consumption at week 6 (680ml/broiler vs 780ml), and the leaf consumption at the end of the experimentation (9.4g/broiler vs 11,20g). The sequential feeding also improved the final DGW (38g/day vs 61g) and the final index of consumption (4.8 vs 3.11). The best use of crude proteins in sequential feeding allowed a profit of 112.13 F CFA/broiler. The incorporation of waste leaf cassava in poultry diets in a sequential feeding is useful in poultry production in tropical farming.
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AGABRIEL, J. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 20, no. 2 (June 7, 2007): 107–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3442.

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L’alimentation des ruminants : un problème d’actualitéDans la conduite et la réussite d’un système de production de Ruminants, l’alimentation du troupeau reste un domaine très important qui continue de poser de nombreuses questions à la fois pratiques et théoriques. Pour l’éleveur, les postes récolte des fourrages et des céréales, achats d’aliments et entretien des surfaces fourragères représentent plus de 50 % des charges opérationnelles de son exploitation. Nourrir quotidiennement son troupeau lui impose de faire des choix de types de rations et en amont des choix stratégiques de long terme, sur la conduite de son système fourrager en considérant ses contraintes de milieu naturel, de bâtiments ou de stockage. La gestion de l’alimentation est directement liée à tous les autres choix stratégiques de l’activité d’élevage, le niveau de croissance des jeunes animaux, la reproduction, l’allotement la quantité et la qualité de la production. Pour le chercheur en nutrition animale, les enjeux sont devenus multiples et son positionnement a évolué : la recherche de la production maximale soutenue par l’alimentation a fait place à la volonté d’atteindre un optimum à la fois biologique, technique et économique selon les milieux dans lequel l’élevage est conduit. Il doit faire en sorte que la ration calculée par ses modèles satisfasse les besoins de l’animal selon les objectifs de production de l’éleveur, mais qu’elle participe également au bon état sanitaire et de bien-être du troupeau, qu’elle garantisse la qualité des produits et minimise l’impact défavorable des rejets sur l’environnement. La recherche en nutrition et alimentation des ruminants porte à la fois sur les fourrages, la physiologie digestive et métabolique de l’animal et son comportement alimentaire. En tenant compte de la complexité des mécanismes biologiques, les modèles nutritionnels doivent pouvoir simuler avec le maximum de précisions les flux de matières à travers le tube digestif et les organes sur des pas de temps variables, à la fois de court et de long terme. Cela reste un sujet perpétuellement en évolution qui exige aussi de synthétiser les connaissances sous forme d’outils d’aide à la décision et qui soit capable de présenter la qualité de ces outils et leurs limites d’usage. Une recherche qui se développe avec l’INRALes recherches pour aider à déterminer les choix d’alimentation des animaux en condition de production se sont concrétisées au cours du 20ème siècle. Les systèmes d’alimentation en énergie, azote et minéraux ont été développés en France après 1945. A l’INRA, le département Elevage des Ruminants sous l’impulsion de R. Jarrige avait initié une révision majeure des principes et des unités pratiques de terrain en 1978 en proposant un système énergétique construit sur la base de deux unités fourragères, lait et viande (UFL, UFV), un système des Protéines Digestibles dans l’Intestin (PDI) et des Tables complètes à la fois des besoins des animaux et de la valeur alimentaire des aliments. C’est notamment dans le domaine de la valeur nutritionnelle des fourrages que ces travaux étaient particulièrement riches. Ces «systèmes INRA» avaient alors été complétés par la première ébauche d’un modèle complètement nouveau de prévision de l’ingestion (système des Unités d’Encombrements UE) qui sera fortement remanié et amélioré dix ans plus tard lors de la révision de 1988. Ce nouvel ensemble, prévision de l’ingestion, estimation des besoins nutritionnels, a également permis d’accroître l’offre d’outils pratiques de terrain. En complèment des Tables imprimées, un outil informatique d’accompagnement et de rationnement «INRAtion» a été proposé dès 1992. Celui-ci s’est ensuite enrichi de l’outil de calcul de la prévision de la valeur des aliments «Prevalim;» et tous deux sont devenus des réceptacles appliqués des nouveautés scientifiques concernant les systèmes INRA. Mais, près de vingt ans après le dernier «Livre Rouge de l’Alimentation des bovins, ovins et caprins», une mise à niveau des ouvrages écrits s’imposait également et il est apparu nécessaire de proposer une actualisation des connaissances des principes du rationnement des ruminants. Les travaux des équipes de recherches ont permis de progresser aussi bien sur la caractérisation de la valeur des fourrages et des matières premières, que sur l’estimation des besoins des animaux et des apports nutritionnels recommandés dans des situations très diverses. Au delà des recommandations statiques, focalisées sur l’objectif de satisfaire les besoins, les lois de réponses dynamiques des pratiques alimentaires sont mieux connues et quantifiées. Elles permettent de mieux simuler les conséquences de la diversité des situations. L’objectif de l’ouvrage «Alimentation des bovins, ovins et caprins - Tables INRA 2007», sorti en février aux éditions Quæ, est ainsi de remettre sous la forme connue et largement adoptée par tous les acteurs des filières de l’élevage ruminant ces nouveaux résultats. Des documents complémentairesCependant le niveau scientifique choisi de l’ouvrage récemment paru et sa taille volontairement réduite pour en faire un ouvrage facilement accessible ont contraint les auteurs à aller à l’essentiel, les frustrant sans aucun doute d’une description et d’une discussion de fond de leurs résultats.En reprenant l’exemple de 1987 où le «livre rouge» publié par INRA Editions était complété par un numéro détaillé du Bulletin CRZVde Theix, nous avons donc décidé de publier un dossier dans la Revue INRA Productions Animales qui complète l’ouvrage de février. Ce dossier regroupe majoritairement des présentations et les explications des choix qui ont prévalu au développement des nouveaux modèles sous-tendus dans les recommandations. Il comporte 5 articles qui éclairent des points clés des innovations introduites en 2007, et qui correspondent soit à des nouveaux modèles mécanistes des fonctions de l’animal, soit à des méthodes de prévision de la valeur des fourrages, soit à des remises en cause plus profondes de l’ensemble apports, besoins comme c’est le cas pour la nutrition minérale.Toutefois, ce dossier n’est pas exhaustif des «nouveautés» du livre 2007. Certaines avaient été déjà publiées, soit dans des revues scientifiques, soit dans des sessions des «Rencontres Recherches Ruminants». Sans aucun doute d’autres viendront encore les compléter par la suite.Ainsi sont étudiés successivement des apports scientifiques sur la valeur des aliments et sur les besoins des animaux :1 - La dégradabilité des protéines dans le rumen (DT) et la digestibilité réelle des protéines alimentaires dans l’intestin grêle (dr). La valeur azotée des fourrages repose sur la bonne estimation de ces deux paramètres, qui sont la clé du calcul du système des protéines digestibles dans l’intestin PDI (article de M.-O. Nozières et al).2 - Les nouvelles valeurs minérales et vitaminiques des aliments. La possibilité de raisonner en éléments phosphore et calcium absorbables apporte de nouvelles précisions et modifie considérablement les quantités recommandées. L’article précise et actualise les Apports Journaliers Recommandés (AJR) d’éléments minéraux majeurs. Les autres minéraux, oligo-éléments et vitamines sont également revus de façon systématique et approfondie (article de F. Meschy et al).3 - De nouvelles équations statistiques de prévision de la digestibilité de la Matière Organique (dMO) des fourrages par la méthode pepsine-cellulase établies sur une banque de données couvrant une gamme plus importante de fourrages et de modes de conservation. La valeur énergétique des fourrages dépend en effet étroitement de la digestibilité de leur matière organique. Son estimation sur le terrain peut se faire à partir de méthodes de laboratoire comme la digestibilité pepsine-cellulase, utilisée en France depuis plus de vingt ans. Cette méthode est proposée pour sa bonne précision (article de J. Aufrère et al).4 - La composition du gain de poids chez des femelles adultes en période de finition qui permet de calculer ensuite directement le besoin en énergie et en protéines de l’animal. Ce modèle est suffisamment souple pour proposer un besoin face à un objectif de croissance donné, mais il propose aussi un niveau de croissance pour une ration d’un niveau énergétique donné. Ce nouveau modèle a été spécifiquement développé pour tenir compte de la très grande variabilité des situations pratiques rencontrées : la race, l’âge, le format, l’état d’engraissement initial et la vitesse du gain attendu (article de F. Garcia et J. Agabriel).5 - La capacité d’ingestion d’aliments par les vaches laitières au cours de leur lactation complète. Ce tout nouveau modèle s’adapte à tous types de vaches primipares, multipares et propose le nouveau concept de «lait potentiel» pour mieux décrire cette capacité d’ingestion. Ce concept est nécessaire pour répondre aux diverses stratégies des éleveurs dans la conduite de leurs animaux et qui ne souhaitent pas nécessairement les mener à leur maximum de production. Le modèle tient en effet compte de l’état initial de la vache au vêlage et des modifications d’état corporel qui accompagnent obligatoirement la conduite de la lactation (article de P. Faverdin et al).La Rédaction de la Revue a estimé judicieux de publier dans ce même numéro d’INRA Productions Animales, un travail très récent sur la teneur en matière grasse du lait de vache et sa prévision, qui pourra dans les années à venir se traduire concrètement dans les outils d’accompagnement de nos recommandations (article de Rulquin et al).A l’occasion de la publication de ce dossier, nous voulons plus particulièrement remercier tous les participants des Unités et Installations Expérimentales de l’INRA sans qui ces résultats ne seraient pas, ainsi que tout le personnel des Unités de Recherches qui ont participé dans les laboratoires ou derrière leurs écrans : l’Unité de Recherches sur les Herbivores (URH) de Clermont-Ferrand-Theix, l’Unité Mixte de Recherches sur la Production Laitière (UMR PL) de Rennes, l’Unité Mixte de Recherches Physiologie et Nutrition Animale (UMR PNA) de Paris, l’Unité Mixte de Recherches sur les Ruminants en Région Chaude (UMR ERRC) de Montpellier.
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Yoni, Moïse, Issaka Senou, and Elie Yempabou Yonli. "Caractérisation des Parcs Agroforestiers à Anarcadium occidentale L. et Services Ecosystémiques dans la Forêt Classée de Dindéresso à l’Ouest du Burkina Faso." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 27 (September 30, 2023): 203. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n27p203.

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Анотація:
Les parcs agroforestiers à Anacardium occidentale fournissent de nombreux services aux populations locales de la Forêt Classée de Dindéresso (FCD) à l’Ouest du Burkina Faso. En dépit de cette importance, la nature de ces services est mal documentée. La présente étude a pour but de caractériser les parcs agroforestiers à Anacardium occidentale de la FCD et d’identifier les services écosystémiques. L’étude a été réalisée à partir des enquêtes sociodémographiques, ethnobotanique et d’inventaire forestier auprès des producteurs et de la population environnante. Notre étude montre que l’exploitation des parcs est faite exclusivement par des hommes, tous de l’ethnie autochtone Bobos. Aussi le faible niveau d’alphabétisation affiché n’optimise pas l’exploitation des plantations d’anacardier. Les services écosystémiques les plus importants sont ceux de l’approvisionnement (alimentation, 24,6% ; bois énergie, 24,6% et médicaments, 24,6%), de régulation (climat, 51.74%) et culturel (loisirs, 50.94% et tourismes 45.28%). Les parties de l’anacardier les plus utilisées en pharmacopée sont préférentiellement l’écorce (63.04%), les racines (26.08%) et les feuilles (10.88%), administrés par voie orale et en bain. Les fruits sont principalement transformés en cacahouètes (27.67%) et en pâte (21.27%). Les causes de dégradation majoritairement exprimées sont le pâturage (17.82%), les déchets ménagers (17.82%) et les feux de végétation (14.72%). Par contre les contraintes de production les plus citées sont les vents violents (17.64%) et les attaques d’insectes (15.96%). Les résultats ont aussi mis en évidence la dégradation des parcs depuis les 20 dernières années couplée à une baisse flagrante de la production et une rareté de l’espace cultivable. L’inventaire floristique a permis d’identifier l’état sanitaire des anacardiers, dont la plus grande menace est le parasitisme (19.86%). Il a aussi montré l’importance de la FCD pour la population environnante principalement pour le ramassage de bois (18.58%) et la récolte des fruits (18.58%). Les espèces ligneuses préférentiellement associées à l’anacardier sont Vitellaria paradoxa (37%) et Parkia biglobosa (17%), tandis que les cultures majoritairement associées sont Zea mays (70%) et Phaseolus vulgaris (68%). Les mesures dendrométriques effectuées sur 988 individus montrent que le diamètre moyen (DBH) est de 32.39 cm et le diamètre moyen du houppier de 7.52 m. Par ailleurs la plupart des individus des plantations ont des diamètres compris entre 20 et 45 cm caractéristique d’un peuplement artificiel équienne. Des actions sylvicoles ciblées pour ouvrir la canopée et le sous-bois doivent donc être menées pour améliorer les conditions de germination et de survie des semis de l’espèce. Agroforestry parks with Anacardium occidentale provide numerous services to local populations in the Forêt Classée de Dindéresso (FCD) in western Burkina Faso. Despite this importance, the nature of these services is poorly documented. The aim of the present study is to characterize the western Anacardium agroforestry parks of the FCD and to identify ecosystem services. The study was based on sociodemographic, ethnobotanical and forest inventory surveys of producers and the surrounding population. Our study shows that the parks are exploited exclusively by men, all from the indigenous ethnic group. This gives them full access to the land, unlike migrants. Also, the low level of literacy displayed does not optimize the exploitation of cashew plantations. The most important ecosystem services are those of supply (food, 24.6%; wood energy, 24.6% and medicines, 24.6%), regulation (climate, 51.74%) and cultural (leisure, 50.94% and tourism, 45.28%). The parts of the cashew tree most commonly used in the pharmacopeia are bark (63.04%), roots (26.08%) and leaves (10.88%), administered orally and in baths. Fruits are mainly processed into peanuts (27.67%) and paste (21.27%). The main causes of degradation are grazing (17.82%), household waste (17.82%) and vegetation fires (14.72%). On the other hand, the most cited production constraints were strong winds (17.64%) and insect attacks (15.96%). The results also highlighted the degradation of the parks over the last 20 years, coupled with a flagrant drop in production and a scarcity of cultivable space. The floristic inventory enabled us to identify the health status of cashew trees, the greatest threat being parasitism (19.86%). It also showed the importance of FCD for the surrounding population, mainly for gathering wood (18.58%) and harvesting fruit (18.58%). The woody species most commonly associated with cashews are Vitellaria paradoxa (37%) and Parkia biglobosa (17%), while the crops most commonly associated are Zea mays (70%) and Phaseolus vulgaris (68%). Dendrometric measurements carried out on 988 trees show that the average diameter (DBH) is 32.39 cm and the average crown diameter is 7.52 m. Most of the trees in the plantations have diameters of between 20 and 45 cm, characteristic of an even-aged artificial stand. Targeted silvicultural measures to open up the canopy and undergrowth are therefore needed to improve germination and survival conditions for the species seedlings.
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MULLER, Georges. "TRAMWAYS - Alimentation, conception, performances et design." Systèmes ferroviaires, February 2012. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-c4442.

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Reber, Simone. "Alimentation pour enfants et adolescents sportifs." Paediatrica 33, no. 3 (September 30, 2022). http://dx.doi.org/10.35190/paediatrica.f.2022.3.3.

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Анотація:
C’est dans la nature des enfants de bouger. Lorsque le mouvement est orienté sur la performance, on appelle cela du sport. Comme pour l’adulte, l’alimentation devrait alors être adaptée aux besoins en énergie et nutriments accrus par le sport. Pourtant les enfants et adolescents ne sont pas simplement de petits adultes et ont, selon leur âge, des besoins spécifiques.
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CHAPAS, Pierre. "Alimentation en énergie des trains - Distribution de l'énergie électrique." Systèmes ferroviaires, November 2012. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-trp3000.

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"Taux d'inflation : total sauf alimentation sauf énergie, pourcentage de variation." Principaux indicateurs économiques 2020, no. 11 (November 10, 2020). http://dx.doi.org/10.1787/365dbc51-fr.

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26

"Taux d'inflation : total sauf alimentation sauf énergie, pourcentage de variation." Principaux indicateurs économiques 2020, no. 5 (May 14, 2020). http://dx.doi.org/10.1787/f2b824cd-fr.

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27

"Taux d'inflation : total sauf alimentation sauf énergie, pourcentage de variation." Principaux indicateurs économiques 2020, no. 12 (December 9, 2020). http://dx.doi.org/10.1787/96a55457-fr.

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28

"Taux d'inflation : total sauf alimentation sauf énergie, pourcentage de variation." Principaux indicateurs économiques 2020, no. 9 (September 10, 2020). http://dx.doi.org/10.1787/9d35896b-fr.

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29

"Taux d'inflation : total sauf alimentation sauf énergie, pourcentage de variation." Principaux indicateurs économiques 2020, no. 4 (April 11, 2020). http://dx.doi.org/10.1787/215e83d2-fr.

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30

"Taux d'inflation : total sauf alimentation sauf énergie, pourcentage de variation." Principaux indicateurs économiques 2020, no. 7 (July 10, 2020). http://dx.doi.org/10.1787/14baf849-fr.

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31

"Taux d'inflation : total sauf alimentation sauf énergie, pourcentage de variation." Principaux indicateurs économiques 2020, no. 6 (June 11, 2020). http://dx.doi.org/10.1787/ee5e4b99-fr.

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MADELRIEUX, Sophie, Jean-Yves COURTONNE, Myriam GRILLOT, and Souhil HARCHAOUI. "Bioéconomie et économie circulaire : lecture critique et place de l'élevage." INRAE Productions Animales 36, no. 1 (May 5, 2023). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.1.7430.

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Bioéconomie et économie circulaire sont devenues des stratégies clés en Europe à partir des années 2000, visant à s'affranchir des énergies fossiles. L'agriculture se retrouve ainsi au cœur d'enjeux multiples : alimentation, santé, énergie, biomatériaux. Si certains s'accordent pour dire que bioéconomie et économie circulaire ont un important potentiel pour contribuer aux objectifs de développement durable et à l’Accord de Paris sur le climat, les critiques sont nombreuses, notamment du fait de l'absence de questionnements ou de preuves des liens entre bioéconomie/économie circulaire et soutenabilité. Dans cet article, nous prendrons comme point de départ les définitions institutionnelles de ces deux notions, pour mieux situer les principales critiques qui en sont faites, mais aussi les potentiels. Nous donnerons des illustrations dans le secteur de l'élevage. Ces critiques servent d'outil pour décortiquer les hypothèses cachées, les conséquences non envisagées, et réévaluer ce qui, autrement, pourrait être considéré comme acquis, pour discuter des priorités afin que bioéconomie et économie circulaire puissent être de réels moyens d'atteindre une société soutenable, et la place que peut y tenir l'élevage.
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Blanchon, David, and François-Michel Le Tourneau. "Quand la terre dévoile l’eau : l’ajout d’une quatrième dimension au concept de Nexus Eau/Énergie/Alimentation et sa pertinence pour les recherches sur l’eau." Géocarrefour 96, no. 96 (March 30, 2022). http://dx.doi.org/10.4000/geocarrefour.20162.

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