Добірка наукової літератури з теми "Ticket modérateur"

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Статті в журналах з теми "Ticket modérateur":

1

Dalmat, Yann-Mickael. "La prise en charge des tests de dépistage est à présent soumise au ticket modérateur." Option/Bio 32, no. 667-668 (April 2023): 6. http://dx.doi.org/10.1016/s0992-5945(23)00085-5.

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2

Maziade, Jacques. "L'imposition du ticket modérateur dans le système de santé des provinces : qui décide? Le gouvernement fédéral ou le gouvernement provincial ?" Revue de droit. Université de Sherbrooke 26, no. 1 (1995): 131–95. http://dx.doi.org/10.17118/11143/12859.

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3

LAZARD, V., M. FERRY, G. IBANEZ, C. SALDANHA-GOMES, and M. ROZES. "RECUEIL DES INDICATEURS SOCIAUX PAR LES MEDECINS GENERALISTES." EXERCER 34, no. 189 (January 1, 2023): 11–16. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.189.11.

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Анотація:
Contexte. Les inégalités sociales de santé sont bien connues en France. Malgré leur inscription dans les stratégies de politiques de santé, elles ne régressent pas. Le médecin généraliste, en tant qu’acteur de premier recours, peut repérer les populations vulnérables. À ce titre, le Collège de la médecine générale a émis des recommandations sur l’enregistrement de 16 indicateurs sociaux. Objectif. Décrire les indicateurs sociaux recueillis en médecine générale. Méthode. Étude quantitative descriptive des indicateurs sociaux observés dans le logiciel métier AlmaPro® lors de l’étude RECOTEST. Les patients ayant eu au moins un indicateur social renseigné en dehors de l’onglet « état civil » d’octobre 2015 à juin 2016 ont été inclus. Résultats. Parmi les 42 107 patients inclus, l’indicateur social le mieux renseigné était la profession (75,3 %), l’exonération du ticket modérateur (21,3 %) et l’Assurance maladie obligatoire (13,3 %). L’Assurance maladie complémentaire n’était jamais renseignée. Les autres indicateurs étaient remplis dans environ 2 % des dossiers. Conclusion. L’enregistrement standardisé des indicateurs sociaux par les médecins généralistes, basé sur une connaissance empirique, semble éloigné des recommandations actuelles. Une amélioration de la formation, la sensibilisation à la notion d’équité en santé, le travail pluriprofessionnel et la perspective d’une valorisation financière de ces actes pourraient être des leviers mobilisables.
4

Cheikh, A., M. Bouatia, A. Benomar, Y. Cherrah, R. Razine, and A. El Hassani. "Évaluation des disparités du ticket modérateur supporté par les assurés des secteurs secteur public et privé dans le cadre de l’assurance maladie obligatoire au Maroc." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 65 (May 2017): S75. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2017.03.058.

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5

Hemim, B., B. Amal Yassine, M. Bouchahra, S. Maarouf, S. Bennani, I. Sninate, J. Hazim, S. Ahid, and Y. Cherrah. "Étude de l’impact financier sur les dépenses liées au médicament appartenant aux trois affections de longue durée (HTA, diabète et asthme) dans le cadre de l’Assurance maladie obligatoire suite au changement des taux d’exonération du ticket modérateur au Maroc." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 63 (May 2015): S66. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2015.03.065.

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6

Walker, Alan. "The Future of Long-Term Care in Canada – A British Perspective." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 14, no. 2 (1995): 437–46. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800011922.

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Анотація:
RÉSUMÉCet article a pour but d'étoffer les analyses du système de soins de santé canadien présentées dans ce numéro spécial. Ainsi, il résume les dernières politiques élaborées en matière de soins de longue durée pour les personnes âgées en Grande-Bretagne. La situation dans ce pays est très pertinente au débat canadien quant à l'avenir de son système de soins de longue durée car, comme le Canada et contrairement aux États-Unis, la Grande-Bretagne possède un système national de soins de santé universels. Par conséquent, les répercussions des réformes apportées au système au cours des 16 dernières années, à savoir la commercialisation, la privatisation, le fractionnement des soins sociaux offerts au public, l'aiguillage des personnes âgées du système national de soins de santé vers les soins sociaux et l'utilisation de critère de revenu à l'accès et de tickets modérateurs, peuvent mettre en lumière certains éléments révélateurs pour les décideurs canadiens en politiques qui envisagent emprunter une voie semblable. La première partie de l'article résume la façon dont l'opinion est passée du consensus au conflit, au Royaume-Uni, en ce qui a trait à la politique sur les services sociaux et de santé. La deuxième partie discute des cinq principales questions soulevées à la suite de la dernière réforme britannique dans le secteur des soins de longue durée. Finalement, il émet l'espoir que, contrairement à la Grande-Bretagne, l'avenir des services sociaux et de santé destinés aux personnes âgées au Canada fasse l'objet d'une discussion ouverte.
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Marchand, Maurice. "Numéro 9 - avril 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16203.

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Анотація:
Au cours des dernières années, les dépenses de santé ont augmenté en Belgique beaucoup plus rapidement que dans la plupart des autres pays européens. Nos concitoyens restent cependant fort attachés à leur système de santé, ceci contrairement aux citoyens d'autres pays où sont apparues des files d'attente. Néanmoins, notre système de santé est menacé. D'une part, pour faire face à la croissance des dépenses, nos décideurs politiques ont reporté sur les patients une partie des dépenses: tickets modérateurs en hausse, déremboursement de médicaments, ... et les suppléments imposés aux patients hospitalisés ont augmenté pour faire notamment face au sous-financement de certains services. Malgré des mesures prises en faveur des ménages les plus démunis, une médecine duale ‑ mettant en cause l'accès équitable aux soins de santé ‑ se développera si l'on persiste à augmenter les dépenses à charge des patients. C'est la légitimité même de l'assurance maladie obligatoire qui s'en trouvera contestée. D'autre part, il est prévisible que nos concitoyens ne maintiendront leur soutien à l'assurance maladie obligatoire ‑ dont le budget devra continuer à augmenter suite au vieillissement de la population et à la diffusion des progrès médicaux ‑ que si les principales inefficiences de notre système de santé sont éliminées. Ces inefficiences sont principalement causées par la multiplication des actes techniques tant en milieu ambulatoire qu'hospitalier : trop d'actes techniques sont réalisés sans qu'ils soient réellement utiles pour les patients, et les mêmes examens peuvent être reproduits plusieurs fois lorsqu'un patient s'adresse successivement à plusieurs prestataires. La réforme de notre système de santé sera un enjeu important à l'agenda du futur gouvernement. Les changements à mettre en œuvre devraient avoir pour objectif d'inciter plus fortement qu'aujourd'hui les patients et les médecins à adopter les filières de soins et les pratiques médicales qui utilisent au mieux les ressources afin d'atteindre la meilleure qualité des soins possible pour la totalité des patients. Entre autres réformes, deux mesures devraient être mises en œuvre rapidement. Primo, dans le secteur ambulatoire, un échelonnement des soins devrait être introduit de manière optionnelle : les patients qui accepteraient de ne consulter un spécialiste que sur l'avis de leur médecin généraliste bénéficieraient de réductions substantielles de leurs tickets modérateurs. Cette mesure a pour but de revaloriser le rôle pivot du médecin généraliste tenant à jour le dossier médical du patient. Secundo, dans les hôpitaux, la forfaitarisation partielle des honoraires, déjà appliquée pour la biologie clinique et l'imagerie médicale, devrait être généralisée à l'ensemble des actes médicaux et aux médicaments dont bénéficient les patients hospitalisés. Elle consiste à combiner une rémunération à l'acte (couvrant par exemple 40 % des coûts) et un remboursement fixe modulé en fonction des pathologies traitées dans l'hôpital (couvrant les 60 % restant). L'objectif est de réduire l'incitation à la multiplication des prestations qui est propre à la rémunération à l'acte pure tout en évitant les inconvénients de la forfaitarisation complète. Trop souvent, les propositions de réforme se heurtent à l'opposition de certains milieux qui défendent des intérêts particuliers. Le prochain gouvernement devrait avoir le courage politique de n'accorder des augmentations substantielles de moyens budgétaires au secteur des soins de santé qu'à condition que soient mises en place des réformes améliorant significativement l'efficience de notre système de santé.
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Marchand, Maurice. "Numéro 9 - avril 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.04.01.

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Au cours des dernières années, les dépenses de santé ont augmenté en Belgique beaucoup plus rapidement que dans la plupart des autres pays européens. Nos concitoyens restent cependant fort attachés à leur système de santé, ceci contrairement aux citoyens d'autres pays où sont apparues des files d'attente. Néanmoins, notre système de santé est menacé. D'une part, pour faire face à la croissance des dépenses, nos décideurs politiques ont reporté sur les patients une partie des dépenses: tickets modérateurs en hausse, déremboursement de médicaments, ... et les suppléments imposés aux patients hospitalisés ont augmenté pour faire notamment face au sous-financement de certains services. Malgré des mesures prises en faveur des ménages les plus démunis, une médecine duale ‑ mettant en cause l'accès équitable aux soins de santé ‑ se développera si l'on persiste à augmenter les dépenses à charge des patients. C'est la légitimité même de l'assurance maladie obligatoire qui s'en trouvera contestée. D'autre part, il est prévisible que nos concitoyens ne maintiendront leur soutien à l'assurance maladie obligatoire ‑ dont le budget devra continuer à augmenter suite au vieillissement de la population et à la diffusion des progrès médicaux ‑ que si les principales inefficiences de notre système de santé sont éliminées. Ces inefficiences sont principalement causées par la multiplication des actes techniques tant en milieu ambulatoire qu'hospitalier : trop d'actes techniques sont réalisés sans qu'ils soient réellement utiles pour les patients, et les mêmes examens peuvent être reproduits plusieurs fois lorsqu'un patient s'adresse successivement à plusieurs prestataires. La réforme de notre système de santé sera un enjeu important à l'agenda du futur gouvernement. Les changements à mettre en œuvre devraient avoir pour objectif d'inciter plus fortement qu'aujourd'hui les patients et les médecins à adopter les filières de soins et les pratiques médicales qui utilisent au mieux les ressources afin d'atteindre la meilleure qualité des soins possible pour la totalité des patients. Entre autres réformes, deux mesures devraient être mises en œuvre rapidement. Primo, dans le secteur ambulatoire, un échelonnement des soins devrait être introduit de manière optionnelle : les patients qui accepteraient de ne consulter un spécialiste que sur l'avis de leur médecin généraliste bénéficieraient de réductions substantielles de leurs tickets modérateurs. Cette mesure a pour but de revaloriser le rôle pivot du médecin généraliste tenant à jour le dossier médical du patient. Secundo, dans les hôpitaux, la forfaitarisation partielle des honoraires, déjà appliquée pour la biologie clinique et l'imagerie médicale, devrait être généralisée à l'ensemble des actes médicaux et aux médicaments dont bénéficient les patients hospitalisés. Elle consiste à combiner une rémunération à l'acte (couvrant par exemple 40 % des coûts) et un remboursement fixe modulé en fonction des pathologies traitées dans l'hôpital (couvrant les 60 % restant). L'objectif est de réduire l'incitation à la multiplication des prestations qui est propre à la rémunération à l'acte pure tout en évitant les inconvénients de la forfaitarisation complète. Trop souvent, les propositions de réforme se heurtent à l'opposition de certains milieux qui défendent des intérêts particuliers. Le prochain gouvernement devrait avoir le courage politique de n'accorder des augmentations substantielles de moyens budgétaires au secteur des soins de santé qu'à condition que soient mises en place des réformes améliorant significativement l'efficience de notre système de santé.

Дисертації з теми "Ticket modérateur":

1

Rey, Jean-Pierre. "Critique du ticket modérateur en assurance-maladie." Bordeaux 1, 1995. http://www.theses.fr/1995BOR1D002.

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2

Rey, Jean-Pierre. "Critique du ticket modérateur en assurance-maladie." Bordeaux 1, 1995. http://www.theses.fr/1995BOR40002.

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3

Seri, Bi Neatien Urbain Victorien. "Contribution à l'étude de la Couverture maladie universelle (CMU) au prisme du droit à la santé en droit social ivoirien." Electronic Thesis or Diss., Bordeaux, 2024. http://www.theses.fr/2024BORD0013.

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L'accès aux soins de santé, notamment des plus pauvres, est une préoccupation au coeur des réflexions dans tous les systèmes politiques et juridiques nationaux. La question se pose davantage sur le continent africain où il existe peu de mécanismes de couverture santé. Les différents projets de Couverture maladie universelle initiés dans un certain nombre de pays africains tentent d'y apporter des solutions, mais peinent encore à se déployer. C'est le cas en Côte d'Ivoire depuis l'entrée en vigueur, le 1er octobre 2019, de la loi n°2014-131 du 24 mars 2014 instituant la Couverture maladie universelle. En dehors des travailleurs salariés et des fonctionnaires en activité ou à la retraite, les populations intègrent lentement et difficilement la CMU pourtant obligatoire pourtous. Il faut dire que le projet fait l'objet de critiques et de peu d'adhésion de la part de la population. Il pèche également par ses dispositions qui alimentent ces critiques, notamment sur la durée du délai de carence s’imposant à l’assuré, le caractère obligatoire de l'activité professionnelle pour les étrangers, le manque d'ouverture à d'autres formes de médecine telle que la médecine traditionnelle. Cela dit, l'exercice du droit fondamental à la santé dans un environnement marqué par un secteur informel important et une population à majorité pauvre passe par un système obligatoire et solidaire de mutualisation du risque comme la CMU. Reste à déterminer le modèle adéquat, notamment en termes de financement, afin de mettre en adéquation son objectifd’universalité et le contexte dans lequel il est mis en oeuvre
Access to health care, particularly for the poorest, is a central concern in all national political and legal systems. The issue is more acute on the African continent, where there are few health coverage mechanisms. The various Universal Health Coverage projects initiated in a number of African countries are attempting to provide solutions, but are still struggling to get off the ground. This has been the case in Côte d'Ivoire since law no. 2014-131 of 24 March 2014 instituting Universal Health Coverage came into force on 1 October 2019. Apart from salaried workers and civil servants, both active and retired, people are slowly and painstakingly integrating the CMU, despite the fact that it is compulsory for everyone. It has to be said that the project is the subject of criticism and little support from the population. It is also flawed by its provisions, which fuel these criticisms, in particular the length of the waiting period imposed on the insured, the compulsory nature of professional activity for foreigners, and the lack of openness to other forms of medicine such as traditionalmedicine. That said, if the fundamental right to health is to be exercised in an environment characterised by a large informal sector and a predominantly poor population, a compulsory, solidarity-based risk-pooling system such as the CMU is needed. What remains to be done is to determine the appropriate model, particularly in terms of funding, so as to match its universal objective with the context in which it is implemented

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