Добірка наукової літератури з теми "Territoire apprenant"

Оформте джерело за APA, MLA, Chicago, Harvard та іншими стилями

Оберіть тип джерела:

Ознайомтеся зі списками актуальних статей, книг, дисертацій, тез та інших наукових джерел на тему "Territoire apprenant".

Біля кожної праці в переліку літератури доступна кнопка «Додати до бібліографії». Скористайтеся нею – і ми автоматично оформимо бібліографічне посилання на обрану працю в потрібному вам стилі цитування: APA, MLA, «Гарвард», «Чикаго», «Ванкувер» тощо.

Також ви можете завантажити повний текст наукової публікації у форматі «.pdf» та прочитати онлайн анотацію до роботи, якщо відповідні параметри наявні в метаданих.

Статті в журналах з теми "Territoire apprenant"

1

Bier, Bernard. "« Territoire apprenant » : les enjeux d'une définition." Spécificités 3, no. 1 (2010): 7. http://dx.doi.org/10.3917/spec.003.0007.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
2

Bier, Bernard. "Des villes éducatrices ou l'utopie du « territoire apprenant »." Informations sociales 161, no. 5 (2010): 118. http://dx.doi.org/10.3917/inso.161.0118.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
3

Dussaux, Maryvonne. "L'éducation au développement durable : de la ville éducatrice au territoire apprenant ?" Spécificités 3, no. 1 (2010): 39. http://dx.doi.org/10.3917/spec.003.0039.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
4

Querrien, Anne. "Territoires et communautés apprenantes." Multitudes 52, no. 1 (2013): 45. http://dx.doi.org/10.3917/mult.052.0045.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
5

Guillaume, Olivier. "La confrontation aux risques à proximité d’ouvrages industriels : le cas des pêcheurs à la ligne." Natures Sciences Sociétés 28, no. 3-4 (July 2020): 239–47. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2021007.

Повний текст джерела
Анотація:
Attirés par de beaux salmonidés, la fraîcheur et la beauté des paysages, des pêcheurs à la ligne pratiquent leur loisir dans des zones de rivière ou de canaux classées dangereuses ou interdites car à proximité d’ouvrages industriels. Se confrontant aux risques des industries, sans les dénoncer voire en les minimisant, ils apprennent à en discerner les contours et développent des comportements de prévention qui peuvent les amener à transgresser des règles. Loin de se résumer à une seule explication individuelle, la confrontation aux risques et aux règles résulte de situations rendues ambiguës par des superpositions de lois ainsi que par le positionnement d’acteurs et d’institutions qui cherchent à préserver leurs activités et leurs relations avec les différents partenaires du territoire. Soumis aux limites des mesures classiques de réduction des risques, les différents acteurs du territoire tentent d’élaborer de nouvelles solutions en concertation.
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
6

AWO, Dieudonné A. "Stratégies des ONG internationales dans le maintien des élèves à l’école au Bénin: Cas de Bornefonden dans la commune de Bassila de 1996 à 2016." Journal of Quality in Education 11, no. 17 (May 5, 2021): 131–59. http://dx.doi.org/10.37870/joqie.v11i17.254.

Повний текст джерела
Анотація:
L’accélération de la mondialisation et les nouvelles victoires de la science de la fin du XXème siècle ont davantage rapproché les peuples les uns des autres et confronté les différents pays du monde, surtout ceux en développement, à de nouveaux défis politiques, économiques et culturels qu’on ne peut appréhender que grâce à l’acquisition de nouveaux savoirs. Cette bataille pour la science, oblige ces Etats retardataires à accorder une importance singulière à l’éducation par l’organisation, le contrôle et la gestion rigoureuse et efficiente de l’école formelle qui reste le cadre idéal d’instruction et de formation capable de tirer les apprenants de leur nuit sépulcrale et de les conduire vers l’acquisition des connaissances qu’impose le monde en perpétuelles mutations. La République du Bénin a bien compris cet impératif en décrétant l’éduction pour tous dans sa constitution du 11 décembre 1990. Mieux, des écoles maternelles, primaires et secondaires sont créées un peu partout sur le territoire national. Mais, les apports publics en infrastructures, en matériels didactiques et en personnels enseignants qualifiés ne suivent malheureusement pas pour permettre aux apprenants de se maintenir à l’école et d’y recevoir la formation requise pour une vie intellectuelle épanouie et productive. Cette situation pénalise notamment les élèves des familles pauvres des zones rurales où ils sont astreints à des recrutements biennaux dans les écoles primaires et aux classes volantes dans les Collèges d’Enseignements Généraux. Cette incapacité de la puissance publique à résoudre les problèmes de l’école béninoise pousse des ONG internationales à caractère humanitaire et à but non lucratif à intervenir pour compléter ou suppléer les efforts de l’Etat dans certains milieux déshérités. Quelles sont les stratégies développées par l’ONG Bornefonden pour maintenir les élèves dans les établissements d’enseignements secondaires de la commune de Bassila de 1996 à 2016 ? Les sources et les ressources bibliographiques consultées pour répondre à cette interrogation offrent une moisson complétée par les informations issues des entretiens semi-directifs réalisés et soumises aux techniques d’analyse quantitative et qualitative. Les résultats obtenus permettent de dire qu’en vingt ans d’activités, Bornefonden a réussi à maintenir 3 651 élèves dans les cours secondaires dans la commune. Quoique minimes, les apports matériels et financiers de l’ONG ont été déterminants dans le fonctionnement des établissements ayant accueilli ces apprenants parrainés. Grâce aux activités génératrices de revenus, les ménages enrôlés ont retrouvé l’équilibre financier requis pour se prendre en charge à la fin du séjour du programme.
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
7

Murray, Jocelyne. "La scolarisation élémentaire en Mauricie (1850-1900) : esquisse de la population scolaire et des résultats de ses apprentissages." Revue d'histoire de l'Amérique française 55, no. 4 (February 11, 2008): 573–601. http://dx.doi.org/10.7202/010442ar.

Повний текст джерела
Анотація:
RÉSUMÉ Cet article traite de la scolarisation élémentaire dans les circonscriptions de Champlain, de Maskinongé et de Saint-Maurice pendant la deuxième moitié du XIXe siècle. L'étude montre qu'il faut attendre la fin du siècle pour que la presque totalité des enfants âgés entre sept et treize ans fréquentent l'école. Cependant, les écoliers affichent une faible assiduité tout au long de la période, sauf dans les écoles modèles et académiques. De multiples facteurs peuvent expliquer l'irrégularité de la présence en classe, surtout dans les « petites écoles » disséminées sur tout le territoire. À la pauvreté et aux corvées familiales incontournables s'ajoutent la non-obligation scolaire et le manque de formation en pédagogie du personnel enseignant. Et toutefois, l'apprentissage des matières de base, de morcelé qu'il était au milieu du siècle, devient plus complet les décennies suivantes. Si bien qu'à la fin du siècle, les élèves apprennent simultanément la lecture, l'écriture et le calcul. Pour expliquer ces évolutions discordantes, force est de revenir sur les explications ci-dessus et de proposer de nouvelles pistes de recherche.
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
8

Kalic, Jovanka. "Srpska drzava i Ohridska arhiepiskopija u XII veku." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 44 (2007): 197–208. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0744197k.

Повний текст джерела
Анотація:
(francuski) L??poque des Comnene (1081-1185) voit le glissement progressif du centre de l?Etat serbe, depuis l?ancienne Dioclee et les contr?es du littoral adriatique plus a l?int?rieur de l?arri?re-pays, c?est-a-dire sur le territoire de l?archev?ch? grec d?Ohrid. Celui-ci correspondait alors une vaste r?gion dont les limites avaient ?t? fix?es au d?but du XIe si?cle lorsque, sous le r?gne de Basile II (976-1025), Byzance a r?tabli son autorit? sur le territoire des Balkans. De tous les souverains serbes, le grand Joupan Vukan (fin du XIe - d?but du XIIe si?cle) est le premier a avoir alors ?tendu son autorit? sur la contr?e de Ras, autrement dit le territoire de l??v?ch? du m?me nom qui entrait dans le dioc?se Ohrid et dont les ?v?ques si?geaient alors depuis plusieurs si?cles dans l??glise Saint-Pierre-et-Paul (aujourd?hui Saint-Pierre pr?s de Novi Pazar). Dans ce travail l?auteur observe les relations entretenues par l?Etat serbe et l?Eglise grecque sur le sol de la Serbie du XIIe si?cle, lesquelles ?taient avant tout fonction des relations politiques entre ce m?me Etat et Byzance. Pour l??poque m?me du joupan Vukan nous n?avons aucune donn?e concernant l?activit? des ?v?ques de Ras. Le pr?sent texte accorde donc une attention plus particuli?re a la situation enregistr?e vers le milieu du XIIe si?cle, a savoir sous le r?gne de Stefan Nemanja, fondateur de la dynastie des Nemanjic. D??pres le syst?me de pouvoir alors en vigueur en Serbie, Stefan Nemanja s?est tout d?abord vu confier l?administration d?une partie de l?Etat serbe (1158-1159). Il s?agissait en l?occurrence des r?gions appel?es Ibar, Rasina, Toplica et Reke, c?est-a-dire les contr?es orientales du pays jouxtant directement le territoire sous l?autorit? directe de Byzance. Pour cette p?riode, les sources serbes notent tout particuli?rement l?engagement de ce prince en faveur de l??rection de monast?res (un premier place sous le vocable de saint Nicolas et un second consacre au culte de la Vierge). On sait aussi que ces deux ?tablissements ont ?t? ?riges avec le consentement de l??v?que de l?archev?ch? d?Ohrid, et ce, dans les deux cas, avant 1166, ann?e ou Stefan Nemanja a ?tendu son pouvoir sur l?ensemble du pays. Or, de nouvelles donn?es nous r?v?lent que durant toute cette ?poque (plus pr?cis?ment jusqu?en 1164) l?archev?que d?Ohrid Jean (Adrien) Comn?ne, fils du sebastocrator Isaac Comn?ne, fr?re tr?s influent de l?empereur Alexis Ier Comnene, a joue un r?le de premier plan dans les relations serbe-byzantines. En l?occurrence, il a acc?de a cette fonction en 1140 et l?a exerc?e jusqu?a sa mort, en 1164, soit pr?cis?ment durant les d?cennies ayant vu d?importants ?v?nements pour l?avenir de l?Etat serbe. Nous apprenons ainsi qu?il ?tait pr?sent a Nis durant l??t? 1163, lors de la rencontre entre Manuel Ier Comn?ne et Stefan Nemanja, a l?occasion de laquelle l?empereur a d?cerne au prince serbe un titre ?l?ve de rang imp?rial et lui a remis, a titre de bien h?r?ditaire, la r?gion de la Dubocica (a savoir la r?gion de l?actuelle ville de Leskovac). Et il apparait qu?avant m?me cette rencontre, il soutenait d?j? les entreprises de Stefan Nemanja, avant tout s?agissant de l??rection d??glises dans la r?gion de Toplica (a savoir les ?glises Saint-Nicolas et de la Sainte-Vierge d?j? nomm?es). Par ailleurs, nous apprenons que ce m?me archev?que a aussi participe, cette m?me ann?e 1163, a des discussions en mati?re de dogme avec l??v?que russe en exil Leon, lors de son s?jour, avec l?empereur Manuel Ier, a Belgrade. L?auteur note que c?est assur?ment a cette p?riode d?activit? de fondateur de Stefan Nemanja qu?appartient l??rection de l??glise Saint-Nicolas dans la Toplica qui, selon les crit?res largement admis, se range dans le groupe des ?difices monumentaux de l?architecture sacr?e byzantine de l??poque des Comn?ne, d?notant de fortes influences de l?architecture de la capitale.
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
9

Zivojinovic, Mirjana. "Les Dragas et le mont Athos." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 43 (2006): 41–57. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0643041z.

Повний текст джерела
Анотація:
(francuski) L'auteur de ce travail consid?re les rapports des Dragas avec certains monast?res athonites: Saint-Pant?l??m?n, Chilandar, Iviron, Kutlumus et Vatop?di. En l'occurrence, on sait qu'outre la confirmation d'anciens privil?ges fonciers, ils ont octroy? de nouveaux droits ? ces ?tablissements ? travers la donation de nombre de villages et d'?glises sis sur le territoire de leur Etat, tr?s agrandi apr?s la bataille de la Maritsa (26 septembre 1371), et, le cas ?ch?ant, ont r?solu les litiges fonciers les opposant entre eux. Cette activit? est attest?e par plusieurs documents d?livr?s ? ces monast?res, dont les indications chronologiques subsistant sur les originaux endommag?s ne sont pas toujours fiables, alors qu'elles font totalement d?faut sur les copies. L'auteur estime que Chilandar et Saint Pant?l??m?n sont les premiers monast?res athonites ? avoir sollicit? l'intervention des nouveaux ma?tres de la r?gion de la Strumica, tout d'abord pour r?soudre un litige concernant le village de Breznica, qui opposait ces deux ?tablissements depuis approximativement 1364. On sait que ce village est vraisemblablement ?chu au monast?re russe un peu apr?s juin 1374. A cette ?poque, d'apr?s des copies conserv?es, les fr?res Dragas ? le despote Jovan et gospodin Konstantin ? ont offert ? Saint-Pant?l??m?n une dizaine de villages sis dans la r?gion de la Strumica, dont la majorit? existent encore aujourd'hui, ainsi qu'un ou deux hameaux; la donation de ces villages incluait celle de neuf ?glises patrimoniales, auxquelles ils ont ?galement ajout? une ?glise situ?e ? Strumica et deux respectivement ? P?trie et dans les environs de cette ville. Pour sa part, le gospodin Konstantin semble avoir rattach? ? Saint-Pant?l??m?n jusqu'? 18 villages, 3 hameaux et 6 ?glises sis dans la r?gion de Tikves. En fait, nous poss?dons uniquement une seule copie faisant ?tat de la donation ? cet ?tablissement de l'?glise Saint-Georges sise ? Polosko avec les villages de Polosko, Kosane et Dragozelj. Cependant cette donation pourrait justement ?tre mise en doute compte tenu que nous savons que l'empereur Dusan a rattach? cette ?glise avec les trois villages mentionn?s au monast?re de Chilandar en f?vrier 1340. L'auteur attire toutefois l'attention sur le fait que l'?glise Saint-Georges avec ces villages, dans ce cas, se serait retrouv? comme une possession isol?e de Chilandar, entour?e de possessions de Saint-Pant?l??m?n de sorte qu'il n'exclut non plus la possibilit? qu'il soit question d'une donn?e digne de foi. Par cons?quent, une solution serait que Chilandar s'est peut-?tre vu d?dommag?e la perte de ces villages et de cette ?glise sis ? Polosko par la cession de villages sis dans une autre r?gion. Finalement, Konstantin a ?galement offert au monast?re athonite russe deux autres ?glises ? une sise ? Stip et la seconde ? Zletovo avec les droits leur appartenant. Les litiges apparus entre les moines de Chilandar et ceux de Saint-Pant?l??m?n au sujet de leur possessions limitrophes, sises sur la rive droite de la Strumica ont ?t? r?solus, sur ordre du gospodin Konstantin et du conseil de ses seigneurs par les ?v?ques de Strumica et de Vodoca en 1375/76. Puis, vers 1376/77, les fr?res Dragas avec leur m?re, l'imp?ratrice Evdokija, ont confirm? ? Saint-Pant?l??m?n la possession de villages sur la seule rive droite de la Strumica, ce faisant leur acte consigne de fa?on pr?cise les droits de ces villages tr?s probablement aux fins de pr?venir tout nouveau litige avec les voisins de ces biens dans la jouissance de ceux-ci. Les donations des fr?res Dragas en faveur de Chilandar s'av?rent ?galement tr?s nombreuses. Par un acte dat? du 1er juin 1377 le despote Jovan et le gospodin Konstantin ont confirm? ? Chilandar la possession durable et inali?nable de l'?glise Saint-Biaise ? Stip et de trois villages sis dans les environs de cette ville. Ensuite, vers 1379 ou en 1380/81, l'imp?ratrice Evdokija et le gospodin Konstantin ont donn? ? Chilandar leur ?glise patrimoniale d?di?e ? la Vierge sise au lieu dit Arhiljevica et 19 villages avec leurs droits; au printemps 1380, Konstantin, ? la demande des moines de Chilandar, a rattach? ? leur monast?re quelques villages sis dans la r?gion de Vranje; une seconde importante possession de Chilandar sise ? Lesnovo, en l'occurrence l'?glise du Saint-Archange (Michel), a ?t? restitu?e par Konstantin ? ce monast?re le 15 ao?t 1381, ? la demande de ses moines et par l'interm?diaire du milosnik vo?vode Dmitar. L'?glise du Saint-Archange a ?t? remise avec 10 villages, 5 hameaux, 4 villages abandonn?s, ainsi qu'avec tous leurs droits dans la r?gion de Lesnovo, de Bregalnica et de Stip; parall?lement, Konstantin a confirm? ? l'?glise du Saint-Archange une donation de Dusan, en l'occurrence un revenu annuel de 100 hyperpres provenant du march? de Zletovo. Enfin vraisemblablement vers la fin de la neuvi?me d?cennie du XIV?me si?cle satisfaisant une requ?te du vo?vode Dmitar alors entr?e en religion Konstantin a rattach? ? Chilandar trois autres villages sis dans les environs de Stip. En plus des villages offerts par les fr?res Dragas ou par Konstantin seul, les monast?res se sont vu attribuer tous les imp?ts et corv?es rattach?s ? ces biens. Pour tout ce qu'il a fait pour leur monast?re les moines de Chilandar reconnaissants ont rang? gospodin Konstantin au nombres des fondateurs de leur ?tablissement. Les fr?res Dragas ?taient en relation avec le monast?re d'Iviron par le biais de son m?toque d?di? ? la Vierge El?oussa, situ? non loin de Strumica, auquel ils ont c?d? (le 13 janvier 1380) deux importants privil?ges, exemptant pour toujours ses hommes de l'obligation de la bigla (bigliatikori) et de la moisson de froment (zetva zitna) ? corv?es au profit de l'Etat, dont les souverains serbes exemptent d'habitude les habitants des villages appartenant ? des monast?res. Une donn?e (juin 1393) nous apprenant que le gospodin Konstantin ?tait un bienfaiteur de Kutlumus appara?t toute ? fait digne de foi; ce seigneur y est mentionn? comme son 'protecteur et fondateur'. Toutefois, nous ne poss?dons aucune information sur les donations, assur?ment importantes pour justifier ces titres honorifiques, faites par Kontantin ? cet ?tablissement. A la diff?rence des actes par lesquels les Dragas ont proc?d? ? des donations ? Saint-Pant?l??m?n, Chilandar et Iviron, et qui, par leur formulation, sont tr?s proches des actes imp?riaux, ce qui pourrait attester qu'ils sont issus de la chancellerie de souverains ind?pendants, l'acte par lequel Konstantin a confirm? ? Vatop?di, en octobre 1393, le monast?re de la Sainte-Vierge Pantanassa sis ? Melnik, petit ?tablissement gravement d?labr?, montre clairement que le donateur a une position de vassal par rapport au sultan ottoman, qu'il mentionne comme. Pour cette raison l'auteur en conclut que le despote Jovan, jusqu'? son entr?e en religion un peu apr?s 1377, et le gospodin Konstantin, vraisemblablement jusqu'? la bataille de Kosovo (13 juin 1389) ont prot?g? les int?r?ts des moines hagiorites, ? ce qu'il semble en qualit? de souverains ind?pendants satisfaisant ? leur requ?tes. Si le gospodin Konstantin s'est trouv? dans quelque position d?pendante par rapport au sultan ottoman, il est toutefois certain que celle-ci n'atteignait pas le degr? que sugg?re notre acte d'octobre 1393. .
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
10

Pirivatric, Srdjan. "Une hypothèse sur l'origine du tsar de Bulgarie Constantin Asen 'Tich'." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 46 (2009): 313–31. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0946313p.

Повний текст джерела
Анотація:
(francuski) La question de l'origine du tsar bulgare Constantin Asen (1257-1277), plus souvent appel? dans l'historiographie moderne Constantin Tich (Tih), a ?t? depuis longtemps pos?e. Les sources susceptibles d'y r?pondre sont peu nombreuses et parfaitement r?pertori?es. A commencer par Constantin Asen lui-m?me qui, dans sa charte d?livr?e au monast?re Saint-Georges pr?s de Skopje, range 'saint Simeon Nemanja, a?eul de mon empire' au nombre des anciens kt?tors de cet ?tablissement. Pour ce qui est des auteurs byzantins, chez Georges Akropolyt?s, son contemporain, ce tsar est ? plusieurs reprises appel? Constantin fils de Tich ou simplement Constantin; un peu plus tard Georges Pachym?re le d?signe une premi?re fois comme Constantin Tich, puis, par la suite, r?guli?rement comme Constantin avec l'int?ressante pr?cision que celui-ci ?tait par sa naissance pour moitie (ex ?miseias) serbe; plus tard encore, Nic?phore Gr?goras, parle d'un puissant seigneur portant le pr?nom de Constantin et le 'nom' (ep?nymon) de Tich. En 1258/59, dans son inscription de kt?tor appos?e dans une ?glise ? Bojana, un certain s?bastocrator Kalojan fait ?tat, en sa qualit? de 'fils du fr?re du tsar' et de 'petit-fils du saint roi Stefan', de liens de parente avec le tsar r?gnant en Bulgarie, Constantin Asen, et le d?funt roi de Serbie, Stefan le Premier Couronne (Prvovencani). Enfin, dans l'historiographie byzantine, il ressort clairement du r?cit relatif a la crise de succession en Bulgarie en 1257 que Constantin n'?tait pas membre de la dynastie des Asen. Jusqu'a pr?sent, le lien de parente de Constantin Tich (Tih) avec le grand joupan de Serbie Stefan Nemanja (1166-1196), plus tard devenu moine et saint sous le nom de Simeon, a ?t? le plus souvent recherch?e ? travers une lign?e f?minine, soit une hypoth?tique fille de Nemanja inconnue des sources, qui aurait ?t? la m?re ce tsar. Cette solution pourrait cependant ne pas ?tre la seule piste envisageable. Pour cela il faut revenir ? la charte de Saint-Georges et au terme d''a?eul (de mon empire)' qui marquant la parente, peut s'appliquer dans des cas d'ascendance directe mais aussi indirecte. Constantin aurait donc pu tout aussi bien afficher a travers celui-ci une parente quelque peu plus ?loigne avec Nemanja, passant par un des fr?res, voire une tr?s hypoth?tique s?ur, de ce dernier. Ainsi, celui que nous appellerions aujourd'hui un 'grand-oncle', a pu ?tre d?sign? dans cette charte comme un 'a?eul (de mon empire)'. Qu'un tel lien de parente, m?me indirect, surtout avec saint Simeon (notamment au vu de l'essor de son culte), c'est-?-dire non seulement l'existence d'une ascendance et d'un droit de succession directs, ait pu ?tre un raison suffisante pour en appeler ? celle-ci est attest?e par l'exemple chronologiquement proche de l'inscription fun?raire du joupan Stefan Prvoslav, appos?e vers 1220, dans laquelle ce dernier est, entre autre, qualifie de 'neveu de saint Simeon Nemanja'. En ce sens, la pr?cision relev?e chez Pachym?re pourrait, elle aussi, sugg?rer, par sa formulation, que Constantin ?tait d'origine serbe par son p?re et non par sa m?re. Cet auteur s'en tenait assur?ment au principe selon lequel l'origine par le p?re ?tait sous-en-tendue, alors que l'origine par la m?re devait ?tre signal?e si n?cessaire. Les meilleurs exemples en sont les passages o? il rapporte, s'agissant du fils du roi de Hongrie Stefan IV, qu'il ?tait d''origine rom?e (r?mogen?s), par sa m?re' la fille de l'empereur Th?odore Ier, et, s'agissant du tsar de Bulgarie Th?odore Svetoslav, qu'il ?tait 'Bulgare par sa m?re, car son p?re Terter ?tait Coman'. Hormis ces remarques de nature g?n?rale, une m?me conclusion concernant l'origine du tsar de Bulgarie Constantin s'impose ?galement ? la lecture du r?cit de Pachym?re. Sa relation des troubles survenus en 1257 lors de la succession au tr?ne de Bulgarie montre qu'en l'absence de descendant male de la lign?e des Asen, les liens de parente et l'origine nationale des pr?tendants ont jou? un r?le cl? dans la r?solution de la question de la l?galit? du pouvoir et, plus g?n?rale, de la crise de succession. On y apprend que le premier candidat Myts?s (Mico), ?tait ? la fois gendre d'Ivan II Asen (1218-1241), ainsi que beau-fr?re de Th?odore II Lascaris (1254-1258) et Bulgare (Boylgaros ?n), et pouvait pr?tendre - ? ce double titre - ? exercer le pouvoir sur les Bulgares, mais que les puissants se sont ranges aux cotes de Constantin, qui ?tait pour moitie serbe (ek Serb?n ex ?miseias to genos echonta). De fait, ne pouvant se pr?valoir de quelque lien de parente avec les Asen et d'un droit quel qu'il soit ? la succession au tr?ne, Constantin a par la suite pris pour ?pouse Ir?ne, fille de Th?odore II Lascaris et ni?ce de Ivan II Asen, ce qui lui a conf?re le m?me droit au tr?ne des Asen qu'a son concurrent Myts?s (ep' is?n eiche to pros t?n toy Asan basileian dikaion t? Mytz?). Et c'est pr?cis?ment le fait que tout en ayant un p?re serbe, et une m?re, par cons?quent bulgare, c'est lui qui a ?t? d?sign? tsar gr?ce ? son prestige de puissant seigneur de Bulgarie, qui a amen? la remarque de Pachym?re. On peut difficilement imaginer que la situation inverse, ? savoir si Constantin avait eu un p?re bulgare et une m?re serbe, aurait pu avoir quelque incidence de nature politique sur le r?sultat de la crise de succession au tr?ne, au point de trouver ensuite un ?cho dans l'historiographie. Dans l'historiographie moderne il a depuis longtemps ?tait avanc? que Tich (Tih) devait ?tre une abr?viation de Tihomir, Tihoslav, Tihota ou Tihotica. Ceci nous am?ne ici ? supposer que le p?re de Constantin s'appelait en fait Tihomir. Il nous appara?t, en effet, en raison d'une similitude, voire identit?, de pr?nom que le fr?re a?n? de Nemanja, dont on pense que le pr?nom ?tait Tihomir et qui a ?t?, en son temps, grand joupan (1163/65-1166), pourrait ?tre un ?l?ment tout particuli?rement int?ressant s'agissant de la question de l'origine du tsar Constantin. Son activit? entre 1166 et 1168, apr?s que son fr?re Stefan Nemanja l'a destitu? du pouvoir, pourrait m?me ?tre rattach?e ? la Skopje byzantine. Par ailleurs, un document de l'archev?que de Ochrid Dimitrius Chomatianos, en date de 1220, fait mention d'un certain archonte de Skopje du nom de Jovan Tihomirov ou Jovan Tihomir (?toy ?I?annoy toy Teichomoiroy) - Tihomir est ici tr?s vraisemblablement un patronyme, puisqu'il est peut probable qu'il s'agisse de deux nom propres - qui, vers la fin du XIIe si?cle, r?gnait quasiment en ma?tre sur la ville. Il est donc permis de supposer l'existence d'un lien de parente entre ce Jovan et, d'une part l'ancien grand joupan Tihomir (fils) et, d'autre part, le tsar de Bulgarie Constantin (oncle ou p?re). Cette construction ne repose toutefois, pour l'essentiel, que sur une similitude de pr?noms. Partant de cette suppos?e parente entre le tsar Constantin et l'archonte de Skopje Jovan Tihomir certains chercheurs ont d?j? avance l'hypoth?se que Constantin est mont? sur le tr?ne bulgare en 1257 en tant que puissant seigneur de Skopje ou gouverneur de la r?gion de Skopje. On note cependant que d'autres chercheurs consid?rent que cette m?me ann?e 1257 a vu une br?ve domination du roi de Serbie Uros sur Skopje. Cette information, qui n'est en fait connue que d'apr?s une seule source tardive, ? savoir la charte du fils d'Uros, Milutin d?livr?e au monast?re de Chilandar en 1299/1300, a ainsi ?t? rapproch?e des ?v?nements mentionn?s dans l'Histoire de Georges Acropolit?s pour l'ann?e 1257, lorsque le roi de Serbie, en tant qu'allie du despote Michel II Ange, a pris Kicevo et d?vast? les environs de Prilep. Or, dans une charte de Milutin d?livr?e au monast?re skopiote - d?j? nomme - de Saint-Georges (Gorg) datant de cette m?me ann?e 1299/1300, le tsar bulgare Constantin figure avant le roi Uros au nombre des anciens kt?tors et donateurs du monast?re. Et il s'entend que les kt?tors sont ici tr?s certainement mentionnes selon l'ordre chronologique de la domination exerc?e sur Skopje. La charte de Constantin d?livr?e au m?me monast?re, dont la date n'est pas conserv?e, ne fait, elle non plus, nullement ?tat d'une charte ant?rieure de Uros. Et Il convient ici de prendre avec r?serve le suppose itin?raire - passant par Skopje et Polog pour atteindre Kicevo et Prilep - de l'exp?dition du roi de Serbie Uros en 1257, car des t?moignages attestent parfaitement l'existence d'un itin?raire alternatif, mais tout aussi important et utilise, allant de Prizren ? Tetovo en logeant les contreforts du massif de la Sara, de sorte qu'il ?tait possible d'atteindre Kicevo depuis les territoires du roi de Serbie sans passer par Skopje. Compte tenu de tout cela, il para?t permis d'accepter la supposition voulant que l'origine du tsar Constantin soit li?e ? Skopje et ? la r?gion de Skopje. Dans les travaux s'?tant int?ress?s ? l'origine du tsar Constantin Tich, la r?ponse ? cette question a ?galement ?t? rattach?e, sur la base de l'inscription de l'?glise de Bojana, ? celle concernant l'origine du s?bastocrator Kalojan. Il ne fait aucun doute que lui non plus n'?tait pas un Asen, car, si cela avait ?t? le cas, il aurait eu le droit de pr?tendre au tr?ne laiss? vacant ? la suite des meurtres de Michel Asen et de Kaliman, or les auteurs byzantins nous apprennent pr?cis?ment que le pouvoir n'avait pas d''h?ritier l?gal' en Bulgarie. Le t?moignage apport? par l'inscription de Bojana, selon laquelle Kalojan est un 'fils du fr?re du tsar' (? savoir le tsar Constantin) et 'petit-fils du saint roi de Serbie Stefan' (? savoir Stefan le Premier Couronn?), semblerait ?tre contradictoire. Cela n'est toutefois le cas que si nous perdons de vue le fait que la notion de parent? induite par 'fils du fr?re' (bratoucad), pouvait ?galement se rapporter ? des personnes appartenant ? diff?rentes g?n?rations. Nonobstant notre connaissance encore insuffisante des d?tails prosopographiques concernant le tsar Constantin Tich et le s?bastocrator Kalojan, ces deux Nemanjic, porteurs de titres particuli?rement ?lev?s, sont deus personnages int?ressants qui attestent parfaitement de la mobilit? horizontale et verticale au sein du monde byzantin, autrement du 'commenwealth byzantin', compris au sens le plus large.
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.

Дисертації з теми "Territoire apprenant"

1

Moretti, Laure. "Enseignement des sciences, interdisciplinarité, territoire apprenant : Quelles articulations ? Quelles modalités ? Quels résultats ?" Thesis, Corte, 2021. http://www.theses.fr/2021CORT0015.

Повний текст джерела
Анотація:
Cette étude se fonde sur une recherche-action visant la modélisation, la mise en œuvre et l’évaluation d’une stratégie éducative basée sur la construction d’un territoire apprenant, initié depuis l'École. L’approche socio-historique du contexte insulaire corse met en avant une îléité singulière, caractérisée par des liens patrimoniaux forts, corrélés à des comportements écocitoyens engagés. En parallèle, l'analyse du système éducatif souligne une forme scolaire où persistent une vision de l’éducation scolaro-centrée et une distance au territoire. De plus, l’École ne développant pas un mode de socialisation démocratique, le chercheur considère cette dernière peu efficiente pour une formation écocitoyenne. Le chercheur, également enseignant, a mis à l’épreuve l’incidence des liens patrimoniaux sur le profil écocitoyen et a émis l’hypothèse que le patrimoine pourrait constituer le levier d’une stratégie éducative innovante, s’articulant à la forme scolaire, visant une école intégrée dans son territoire et une conversion vers un mode de socialisation démocratique. L’utilisation de la démarche d’intelligence territoriale a permis de définir les modalités du territoire apprenant, construit sur trois piliers : l’enseignement des sciences, l’interdisciplinarité et la territorialisation éducative. Une organisation apprenante a progressivement été co-construite par les acteurs locaux : élèves, professionnels de l’éducation, citoyens et institutions hors-École. Cette dernière s’est étendue sur le territoire, évoluant en territoire apprenant. L’évaluation des impacts porte sur les liens patrimoniaux des élèves et sur le profil d’écocitoyenneté. La méthodologie repose sur une démarche d’enquête lot test/lot témoins et y associe diverses stratégies d’optimisation des validités interne et externe de l’étude. Les résultats montrent une valorisation des liens patrimoniaux et des profils d'écocitoyenneté de certains lots d’élèves. La stratégie éducative menée, construite sous la perspective de l’éco-ontogenèse dans le cadre d’une éducation relative à l’environnement proche, engage certains élèves dans le processus d’encapacitation, ouvrant la voie à leur autonomisation voire à leur empowerment1, porte de l’émancipation
This study is based on an action research aimed at modelling, implementing and evaluating an educational strategy based on the construction of a learning territory, initiated from the school. The socio-historical approach of the Corsican island context highlights a singular islandity, characterised by strong heritage links, correlated with committed eco-citizen behaviour. At the same time, the analysis of the educational system underlines a school form where a school-centred vision of education and a distance to the territory persist. Moreover, as schools do not develop a democratic socialization mode, the researcher considers that they are not very efficient for eco-citizen training. The researcher, who is also a teacher, has put to the test the impact of heritage links on the eco-citizen profile and has put forward the hypothesis that heritage could be the lever of an innovative educational strategy, linked to the school form, aiming at a school integrated in its territory and a conversion towards a democratic mode of socialization. The use of the territorial intelligence approach made it possible to define the modalities of the learning territory, built on three pillars: science teaching, interdisciplinarity and educational territorialisation. A learning organization was gradually co-constructed by local actors: students, education professionals, citizens and institutions outside the school. The latter has spread over the territory, evolving into a learning territory. The impact assessment focuses on students' heritage connections and environmental citizenship profile. The methodology is based on a test-lot/control-lot survey approach and combines various strategies to optimize the internal and external validity of the study. The results show an enhancement of the heritage links and eco-citizenship profiles of some batches of pupils. The educational strategy carried out, built from the perspective of eco-ontogenesis within the framework of education on the nearby environment, engages certain pupils in the process of encapacitation, opening the way to their autonomy or even empowerment, the door to emancipation
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
2

Samaté, Elhadji Fodé. "Les espaces universitaires : un levier pour l’aménagement urbain et territorial ?" Thesis, Université de Lorraine, 2020. http://www.theses.fr/2020LORR0021.

Повний текст джерела
Анотація:
Les dynamiques de création et de développement de la connaissance, sont mises en place et articulées au développement des systèmes productifs locaux. Elles se profilent pour la plupart à travers l’essor territorial des potentiels scientifiques et techniques développés par les systèmes locaux de formation ou d’enseignement supérieur et de recherche. Dans ces stratégies de construction, sont opérées, à travers les trajectoires et spécialisations construites par les territoires, la construction et l’organisation des systèmes locaux d’innovation. Et les potentiels scientifiques et techniques sont considérés comme les moyens capitaux permettant de développer des ressources spécifiques aux capacités reconnues d’attirer et de polariser au niveau des territoires des entreprises et investissements. Nous nous employons et attelons ici à interroger les constructions mises en place pour le développement d’un processus à la fois apprenant et innovant. Sont aussi en question, l’appréhension et la qualification des stratégies et espaces qui sont définis et constitués par le développement des nœuds de connaissances techniques et l’essor des projets technologiques innovants. Cela, à l’interface des agglomérations et métropoles qui incubent, développent des connaissances à partir d’espaces dédiés, et qualifiant les initiatives concernées par les espaces universitaires. En effet, la densité scientifique d’un territoire, combinée à une dynamique locale de création et d’implantation des entreprises, impulse des stratégies autour du développement des connaissances pour innover des secteurs et propulser des métiers d’avenir. Ce processus est considéré comme étant apprenant et cognitif, aux dynamiques interactives et aux fortes évolutions organisationnelles des espaces, et relationnelles des acteurs. A l’échelle des villes et agglomérations s’opère ainsi un renouvellement des dynamiques technopolitaines. Celui-ci évolue, des espaces universitaires aux écosystèmes organisationnels des entreprises favorables au développement de nouvelles connaissances et solutions technologiques. Les espaces et organisations dessinés ou mis en place, associent les lieux universitaires par leur rôle structurant et articulant des dynamiques construites. Les centres de formation et de recherche universitaires croisent avec d’autres centres de création et de développement de la connaissance, des actions sur le développement des espaces dédiés à la créativité scientifique et techniques, autrement à l’innovation technologique. Nous interrogeons les dynamiques urbaines et territoriales engagées à travers la mise en place et le développement des économies locales de la connaissance
The dynamics of knowledge creation and development are set up and linked to the development of local production systems. Most of them can be seen through the territorial development of the scientific and technical potentials developed by the local systems of training or higher education and research. In these construction strategies, the construction and organization of local innovation systems is carried out through the trajectories and specializations built by the territories. And the scientific and technical potentials are considered as the capital means to develop specific resources with recognized capacities to attract and polarize companies and investments at the territorial level. Here we are working and endeavouring to question the constructions put in place for the development of a process that is both learning and innovative. We are also concerned with the understanding and qualification of strategies and spaces that are defined and constituted by the development of technical knowledge nodes and the development of innovative technological projects. This, at the interface of incubating conurbations and metropolises, develops knowledge from dedicated spaces, and qualifies the initiatives concerned by university spaces. Indeed, the scientific density of an area, combined with a local dynamic of creation and establishment of companies, gives impetus to strategies around the development of knowledge to innovate sectors and to propel the professions of the future. This process is considered to be learning and cognitive, with interactive dynamics and strong organisational changes in the spaces, and relational changes in the actors. At the level of cities and conurbations, a renewal of technopolitan dynamics is thus taking place. These are changing, from university spaces to organizational ecosystems in companies that are conducive to the development of new knowledge and technological solutions. The spaces and organizations that have been designed or set up involve universities through their role in structuring and articulating constructed dynamics. The university training and research centres intersect with other centres for the creation and development of knowledge, actions on the development of spaces dedicated to scientific and technical creativity, otherwise to technological innovation. We question the urban and territorial dynamics engaged through the establishment and development of local knowledge economies
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
3

Rafanomezantsoa, Zo Mbolatiana. "Les mécanismes d'apprentissage exploitant la créativité dans une région apprenante : une approche par les conventions." Thesis, Strasbourg, 2015. http://www.theses.fr/2015STRAB002.

Повний текст джерела
Анотація:
Les régions construisent leur avantage économique en s'appuyant sur leur capacité à mobiliser et à canaliser les connaissances. L'enjeu de cette recherche est de comprendre la dynamique à l’œuvre dans les relations inter-acteurs qui explique la sous-performance des uns ou les capacités créatives des autres par le biais de la diffusion de connaissances ou de l'apprentissage. L'enjeu est de cerner la manière dont les individus, les firmes et les institutions interagissent ainsi que les effets de leur interaction sur la performance régionale en matière d'innovation. Nous proposons d'approcher ce sujet d'étude sous l'angle de la théorie des conventions, en explorant d'autres dimensions importantes de la créativité et de l'apprentissage, particulièrement en articulant les notions de confiance et de croyance. Les individus agissent et interagissent dans un contexte social régi par des conventions. Une action ne peut s'effectuer sans l'existence d'un certain nombre de conventions. Un des problèmes majeurs des conventions est qu'elles limitent souvent l'ensemble d'actions possibles. Elles structurent et contraignent l'action. Elles ne sont pas sans lien avec les notions de confiance et de croyance en question
Regions build their economic advantage in relying on their ability to mobilize and channel knowledge. The aim of this research is to understand the dynamics at work in the inter-actor relationship which explains the underperformance of some actors or the creative abilities of others through dissemination of knowledge or learning. The challenge is to identify how individuals, firm sand institutions interact and the effects of their interaction on regional performance in terms of innovation. We propose to approach this subject of study under angle of conventions theory, exploring other important dimensions of creativity and learning, particularly by articulating the notions of trust and belief. lndividuals act and interact in a social context governed by conventions. An action can not take place without the existence of some number of conventions. One major problem of conventions is that they often limit the set of possible actions. They structure and constrain action. They are not unrelated to the notions of trust and belief in question
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.

Книги з теми "Territoire apprenant"

1

Territoires apprenants. esquisses pour le developpement local du xxie siecl. L'Harmattan, 2001.

Знайти повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
2

XVe Conference Internationale EUTIC Dakar. Territoires intelligents et sociétés apprenantes. Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine, 2021. http://dx.doi.org/10.46608/eutic2019.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.

Частини книг з теми "Territoire apprenant"

1

Dussaux, Maryvonne. "Chapitre 6. De la territorialisation de la politique éducative au territoire apprenant." In Innovation publique, 126–56. EMS Editions, 2021. http://dx.doi.org/10.3917/ems.meier.2021.01.0126.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
2

Paris, Didier, and Dominique Mons. "Chapitre 5. Enjeux de gouvernance universitaire et structuration du « territoire apprenant » dans la métropole lilloise." In Lille, métropole créative ?, 121–52. Presses universitaires du Septentrion, 2016. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.13442.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
3

"La communauté apprenante." In Territoires et développement, 349–68. Presses de l'Université du Québec, 2011. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv18ph6z0.20.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
4

Paris, Didier, Christine Liefooghe, Isabelle Estienne, Catherine Grout, Pauline Bosredon, Marie-Thérèse Grégoris, Bruno Lusso, and Divya Leducq. "Chapitre 2. Du territoire apprenant à la ville expérientielle : Penser et produire la ville au XXIe siècle pour de nouveaux liens, de nouveaux lieux et de nouveaux territoires." In Lille, métropole créative ?, 49–66. Presses universitaires du Septentrion, 2016. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.13434.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Ми пропонуємо знижки на всі преміум-плани для авторів, чиї праці увійшли до тематичних добірок літератури. Зв'яжіться з нами, щоб отримати унікальний промокод!

До бібліографії