Статті в журналах з теми "Symptômes dépressifs et anxieux"

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Boulenger, JP, and P. Boyer. "Trouble anxieux et dépressif mixte : problèmes cliniques." European Psychiatry 9, S2 (1994): 15–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0924933800004260.

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Анотація:
RésuméLe trouble anxieux et dépressif mixte (ADM) représente une nouvelle catégorie diagnostique regroupant essentiellement des patients vus dans le cadre des soins primaires. Ces patients se définissent comme des sujets présentant des symptômes d’anxiété et de dépression d’intensité limitée et comparable, s’accompagnant au moins de quelques signes neurovégétatifs. En outre, ces patients sont censés ne pas répondre aux critères diagnostiques spécifiques de troubles anxieux ou dépressifs. Cependant, les cas de dépression anxieuse ne sont pas limités aux patients entrant dans cette nouvelle catégorie « sous-syndromale ». De nombreux patients qui répondent aux critères soit de troubles dépressifs soit de troubles anxieux peuvent également présenter des symptomes, un syndrome ou répondre à un diagnostic d’anxiété ou de dépression. On ne sait pas encore si les symptômes d’anxiété et de dépression sont deux expressions différentes d’un même processus psychopathologique sous-jacent. La description récente d’un « syndrome névrotique généralisé » (Tyrer, 1990) représente une tentative de réunification de syndromes séparés dans nos classifications actuelles. Avec cette approche globale, les états d’anxiété,de dépression ou d’ADM sont associés, à un moment ou à un autre, à des traits de personnalité spécifiques et on considère qu’ils expriment différents niveaux d’hyperréactivité à diverses situations stressantes. Cette hypothèse expliquerait le rapport étroit entre ces deux catégories de symptômes, et I’efficacité dont témoignent certains agents psychopharmacologiques à la fois sur les troubles anxieux et dépressifs.
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Corruble, E. "Les troubles de l’humeur selon le DSM-5 : quelles conséquences prévisibles ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 34. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.083.

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Анотація:
Les modifications intervenues dans le DSM-5 pour les troubles de l’humeur ont pour objectif de mieux décrire les entités cliniques pertinentes de façon d’améliorer le recours aux soins. D’abord, les diagnostics syndromiques sont modifiés. La définition de l’épisode dépressif caractérisé est simplifiée avec la suppression du critère d’exclusion lié au deuil. Ce choix, qui a pour but de mieux prendre en charge les dépressions post-deuil, a fait l’objet de nombreuses discussions et controverses. La définition de l’épisode maniaque ou hypomaniaque est également modifiée avec l’adjonction du symptôme modification de l’activité et de l’énergie [1]. Et les épisodes mixtes sont supprimés des diagnostics syndromiques et ré-intégrés comme caractéristiques spécifiques des troubles dépressifs ou bipolaires. Ce choix est secondaire aux excès antérieurs de diagnostics d’épisodes mixtes. Pour les chapitres troubles dépressifs [1] et troubles bipolaires [1], de nouvelles caractéristiques spécifiques apparaissent : les caractéristiques mixtes [1] (définies pour les épisodes dépressifs majeurs par la présence de 3 symptômes maniaques), les symptômes anxieux [1], et les caractéristiques spécifiques de risque suicidaire. Par ailleurs, de nouvelles entités sont introduites dans le chapitre troubles dépressifs [1]. Il s’agit du trouble dysphorique pré-menstruel, qui figurait auparavant dans l’appendice, et d’un nouveau trouble de l’enfant, le disruptive mood dysregulation disorder[1]. Enfin, dans le chapitre entités nécessitant de nouvelles études [1], apparaissent Ies épisodes dépressifs avec hypomanie de courte durée, le deuil pathologique complexe et persistant et les comportements suicidaires pathologiques. Ces différentes modifications devraient permettre, via leur remboursement, une meilleure prise en charge, aux États-Unis, du deuil pathologique, du risque suicidaire et du syndrome pré-menstruel pathologique.
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Malouin, Émilie, Ophélia Fraczek, Mégane Lacombe-Thibault, Kathleen Cairns, and Marie-Christine Ouellet. "Symptômes anxiodépressifs et cognitifs post-traumatisme craniocérébral léger : comparaison entre les aînés et les adultes plus jeunes." Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 12, no. 2 (January 25, 2023): 15–17. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v12i2.51860.

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Анотація:
Peu d’études comparent les adultes plus jeunes aux aînés quant aux séquelles cognitives et affectives après un traumatisme craniocérébral léger (TCCl). Celles qui l’ont fait présentent des résultats très variables concernant les symptômes anxio-dépressifs et les études sur le fonctionnement cognitif sont rares chez les aînés. Cette étude compare les symptômes dépressifs, anxieux et cognitifs perçus 12 mois après un TCCl chez des aînés et des adultes plus jeunes. 113 adultes de 18 à 64 ans et 57 personnes âgées de 65 ans et plus ont été évalués avec le Medical Outcomes Study Cognitive Functioning Scale (MOS-Cog) et le Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS). Les résultats suggèrent que les adultes plus jeunes ont davantage de symptômes anxieux (t(146,658) = 4,591, p < 0,001, d = 0,071) et des difficultés cognitives perçues plus importantes (t(168) = -2,491, p = 0,014, d = 0,445), mais aucune différence significative n’a été trouvée concernant les symptômes dépressifs (t(168) = 1,631, p = 0,105, d = 0,028). Les pressions plus grandes chez l’adulte plus jeune liées aux responsabilités familiales et occupationnelles pourraient expliquer partiellement ces symptômes. Ces résultats permettent de mieux cibler les particularités et les interventions spécifiques pour chaque groupe d’âge post-TCCl.
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Lemogne, C. "Une prise en charge psychologique peut-elle infléchir le risque cardiovasculaire ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 39. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.098.

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Анотація:
Après ajustement sur les facteurs de risque cardiovasculaires « classiques » (tabagisme, hypertension, hypercholestérolémie, sédentarité, diabète, etc.), la dépression est associée à un risque quasiment doublé de survenue d’un premier événement coronarien ainsi qu’à un risque augmenté de 25 à 50 % de survenue d’un accident vasculaire cérébral. Il en est de même pour les symptômes anxieux. De plus, après un premier événement coronarien, la présence de symptômes dépressifs est associée à un risque augmenté de 15 à 60 % de récidive voire de mortalité cardiovasculaire. Ce constat a conduit à la mise en place de plusieurs essais contrôlés randomisés de prévention secondaire visant à démontrer l’intérêt d’une intervention pharmacologique, psychologique ou mixte sur les symptômes dépressifs dans la prévention des récidives et de la mortalité chez les patients coronariens. Globalement, les résultats obtenus jusqu’à présent ont été plutôt décevants, en particulier en ce qui concerne les études de forte puissance statistique (SADHARD, ENRICHD, CREATE, MIND-IT). Parmi ces quatre essais, trois ont montré l’intérêt d’un traitement par inhibiteur sélectif de recapture de la sérotonine ou thérapie cognitive et comportementale sur la symptomatologie dépressive, mais sans effet préventif sur la récidive des événements coronariens et la mortalité cardiovasculaire. Ce résultat paradoxal pourrait résulter de facteurs confondants, par exemple génétiques, expliquant l’association entre dépression et risque cardiovasculaire sans lien causal direct. Toutefois, certaines pistes restent encourageantes, en particulier lorsque l’intervention cible des facteurs plus généraux que la dépression tels que la gestion du stress (p.ex. essai SUPPRIM) ou au contraire repose sur une prise en charge personnalisée de la dépression (p.ex. essai COPES).
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Rabot, Sylvie. "Le microbiote intestinal, facteur de vulnérabilité aux troubles anxieux et de l’humeur." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France 176, no. 1 (2023): 189–96. http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2023.18276.

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Анотація:
De nombreuses études sur modèles animaux montrent que le microbiote intestinal affecte les réponses émotionnelles au stress. Dans ce contexte, nous avons étudié les effets d’un métabolite produit par le microbiote intestinal à partir du tryptophane, l’indole. Chez des modèles animaux dont nous avons manipulé le microbiote pour qu’il produise ou non de l’indole, nous avons montré que cette molécule intensifie les comportements de type anxieux et dépressif. Son action s’exercerait par une activation du nerf vague et l’imprégnation du cerveau par des dérivés secondaires de l’indole, produits par le foie. Dans une cohorte humaine destinée à étudier les relations nutrition-santé, nous avons montré une association positive entre symptômes dépressifs et production d’indole par le microbiote. Ces travaux illustrent l’importance de prendre en compte les activités métaboliques du microbiote intestinal dans la physiopathologie des troubles anxieux et de l’humeur.
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Marcotte, Diane, Simon Lapierre, Cynthia Lamarre, and Marie-Laurence Paré. "Le programme Zenétudes : pour diminuer le risque d’émergence de la dépression et de l’anxiété lors du passage à l’âge adulte." Perspectives Psy 59, no. 2 (April 2020): 121–26. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/202059121.

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Cet article présente le programme de prévention de l’anxiété et de la dépression Zenétudes : vivre sainement la transition au collège (Marcotte, Viel, Paré et Lamarre, 2016). L’article présente d’abord l’état actuel de la santé mentale des étudiants aux études postsecondaires, et soulève la pertinence de la mise en place d’interventions préventives auprès de cette population. Par la suite, le programme Zenétudes, dont la structure est multiniveaux, est décrit. Les volets visent à répondre aux différents besoins des individus, en lien avec les symptômes anxieux et dépressifs, et visent à faciliter leur transition vers les études postsecondaires. Le premier volet est un atelier de prévention universelle qui présente des stratégies plus générales qui peuvent bénéficier à l’ensemble des individus. Cet atelier permet également de dépister les individus à risque. Le second volet comporte deux ateliers, un sur l’anxiété, et un sur la dépression, et qui présentent des stratégies plus spécifiques sur ces deux problématiques. Finalement, le troisième volet comporte dix rencontres de groupes animés par des professionnels, et cible les individus présentant un niveau sous-clinique de symptômes. L’article se conclut en présentant les études d’efficacité menées sur l’implantation du programme à ce jour.
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Fansi, Alvine, Cedric Jehanno, Micheline Lapalme, Martin Drapeau, and Sylvie Bouchard. "Efficacité de la psychothérapie comparativement à la pharmacothérapie dans le traitement des troubles anxieux et dépressifs chez l’adulte : une revue de la littérature." Santé mentale au Québec 40, no. 4 (April 5, 2016): 141–73. http://dx.doi.org/10.7202/1036098ar.

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Dans l’optique de l’amélioration d’une couverture de la psychothérapie au Québec, le ministère de la Santé et des Services sociaux a confié à l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux le mandat d’évaluer l’efficacité de la psychothérapie comparée à la pharmacothérapie dans le traitement des adultes souffrant de troubles anxieux et dépressifs. Une mise à jour d’une revue de la littérature récente et de bonne qualité a été effectuée grâce à une revue des revues systématiques traitant de la psychothérapie comparée à la pharmacothérapie dans le traitement des adultes anxieux et dépressifs avec un horizon temporel compris entre 2009 et 2013. Le niveau de l’ensemble de la preuve scientifique permet de dire que de manière générale, il n’y a pas de différence significative entre la psychothérapie et la pharmacothérapie sur le plan de la réduction des symptômes des patients souffrant de troubles anxieux ou dépressifs modérés, ce qui indique une efficacité comparable de ces deux modes de traitement. Cependant, les avantages de la psychothérapie sont maintenus plus longtemps après la fin du traitement que ceux des médicaments. La psychothérapie offre donc une meilleure protection contre la rechute. Par ailleurs, la combinaison de la psychothérapie et de la pharmacothérapie présente une efficacité supérieure à celle de la psychothérapie seule dans les cas chroniques ou graves.
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Bonnet, A., V. Bréjard, A. Pasquier, and J. L. Pedinielli. "Affectivité et alexithymie : deux dimensions explicatives des relations entre symptômes dépressifs et anxieux." L'Encéphale 38, no. 3 (June 2012): 187–93. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2011.03.006.

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Hardy, P., J. P. Lepine та A. Feline. "Etude de la symptomatologie anxieuse aiguё et chronique dans une population de 78 patients hospitalisés en psychiatrie". Psychiatry and Psychobiology 3, № 2 (1988): 99–114. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00001875.

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Анотація:
RésuméLes troubles anxieux aigus (anxiété paroxystique) et chroniques (anxiété durable ou permanente) observés dans le mois précédant leur admission ont été évalués chez 78 patients hospitalisés en psychiatrie à l'aide d’une liste de 74 items descriptifs de l’anxiété ou LIDA (annexe 1).Cette LIDA a servi de standard permettant de comparer la symptomatologie des états anxieux à la fois dans leurs dimensions aiguë et chronique, et dans leurs dimensions subjective (symptômes spontanément évoqués) et clinique (symptômes retrouvés après enquête).La comparaison a consisté en premier lieu à sélectionner les items de la LIDA caractéristiques de ces 4 dimensions anxieuses. Ont été retenus comme caractéristiques les items communs à 2 listes: celle des 20 symptômes les plus fréquemment retrouvés chez les sujets anxieux et celle des 20 symptômes les mieux corrélés à l’intensité de ce trouble. Cette intensité était mesurée à l’aide d’échelles visuelles analogiques destinées au patient (dont le score était corrélé aux symptômes spontanément évoqués) et au clinicien (dont le score était corrélé aux hétéro-évaluations des symptômes).Quarante-sept sujets (60,3% de la population) appartenant à toutes les catégories diagnostiques ont déclaré avoir présenté un ou plusieurs épisodes d'anxiété aiguë dans le mois précédant leur hospitalisation. Soixante-deux sujets (79,5% de la population) ont, de leur côté, signalé l’existence d'une anxiété chronique.Notre méthode de sélection a permis de retenir 16 items caractéristiques de l'anxiété aiguë subjective et 17 items caractéristiques de sa dimension clinique (Tableau I). Les représentations subjectives et cliniques de l'anxiété aiguë se superposent largement, puisque 10 items sont communs à ces deux séries. Par ailleurs, la notion clinique d'anxiété aiguë (notion transnosographique) paraît d'un point de vue symptomatique très voisine de celle d'attaque de panique (DMS III) puisque 11 items sont communs à ces 2 états (Tableau II). Pour la définition des états anxieux aigus, il semblerait néanmoins important d'inclure comme critères diagnostiques, aux côtés de ceux du DSM III, des symptômes témoignant de l'instabilité émotionnelle des patients («labilité émotionnelle», «hyperémotivité») et de la sidération de leurs fonctions cognitives («incapacité d'agir», «difficultès de concentration») et motrice («inhibition motrice»).Seuls 10 items sont apparus caractéristiques de l'anxiété chronique subjective et 7 de sa dimension clinique Tableau III). Ces chiffres témoignent de la discordance entre la fréquence d’apparition des symptômes et leur corélation à l’intensité de l’anxiété chronique. Une seconde discordance se manifeste entre les représentations subjectives et cliniques de l'anxiété chronique: seuls 3 symptômes appartiennent en effet conjointement aux listes d'items caractéristiques de ces deux dimensions. Le fait que le DSM III exprime chaque critère pour le diagnostic du trouble: anxiété généralisée sous une forme plurisymptomatique n’a pas permis la comparaison entre ces critères et les tems caractèristiques de l’anxiété chronique clinique.Le concept d'anxiété aiguë apparaît homogène et facilement opérationnalisable. Les 16 symptômes caractéristilites de cct état diffèrent peu des critères du DSM III pour l’attaque de panique, ce qui rend possible l’utilisation le ces derniers dans l’évaluation transnosographique des états anxieux aigus. Vingt-trois patients (29,5% de la topulation) ont ainsi satisfait aux critères symptomatiques et de fréquence des crises requis par le DSM III poure diagnostic de trouble panique. Ce syndrome est plus fréquemment retrouvé dans le cadre des états dépressifs que lans celui des autres pathologies (P<0.05).Les difficultés rencontrées dans la recherche d’une définition opérationnelle de l’anxiété chronique ne doivent pas conduire à l’abandon de son étude, à laquelle ne peut se substituer celle des états anxieux aigus. Les futures recherches sur ce concept psychopathologique hétérogène, pourraient consister à approfondir sa dimension cognitive et, plus particulièrement, le phénomène de l’attente anxieuse.
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Schreiner, A., P. Bergmans, P. Cherubin, and L. Hargarter. "Effets du palmitate de palipéridone sur les symptômes négatifs, la dépression/anxiété, le fonctionnement et les symptômes extrapyramidaux chez des patients souffrant d’une schizophrénie non-aiguë, en échec du traitement par aripiprazole oral." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S151. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.303.

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ObjectifÉvaluer l’effet du palmitate de palipéridone (PP) à doses flexibles sur les symptômes négatifs, la dépression/anxiété, le fonctionnement et les symptômes extrapyramidaux chez des patients adultes souffrant de schizophrénie non-aiguë, en échec à un traitement par aripiprazole oral.MéthodesÉtude internationale, prospective, en ouvert de 6 mois.ÉvaluationsVariations entre début d’étude (baseline) et dernière observation rapportée sur la PANSS (Positive and Negative Syndrome Scale), la sous-échelle négative de la PANSS, les facteurs de Marder de la PANSS « symptômes négatifs » et « anxiété/dépression », les échelles de fonctionnement PSP (Personal and Social Performance) et Mini-ICF (Mini International Classification of Functioning) et l’échelle ESRS (Extrapyramidal Symptom Rating Scale).RésultatsQuarante-six patients analysés (73,9 % hommes, âge moyen 34,4 ± 9,4 ans, 78,3 % schizophrénie paranoïde). Parmi les patients, 67,4 % ont terminé l’étude. Avant l’inclusion, la dose moyenne d’aripiprazole oral était de 22,7 ± 10,7 mg/jour. Le score de la sous-échelle négative de PANSS s’est significativement amélioré de 20,3 ± 5,0 (baseline) à 17,3 ± 6,1 (fin d’étude) (variation moyenne = −3,0 ± 5,0 ; IC 95 % = −4,4 ; −1,5 ; p < 0,0001), ainsi que les scores des facteurs de Marder « symptômes négatifs » (de 19,5 ± 5,8 à 16,6 ± 5,9 ; IC95 % = −4,5 ; −1,3, p < 0,0001) et « anxiété/dépression » (de 10,3 ± 3,6 à,5 ± 2,9 ; IC95 % = −3,0 ; −0,6, p = 0,0031). Le score ESRS s’est aussi amélioré de manière significative (de −0,6 ± 3,4 ; IC 95 % = −1,6 ; 0,4, p = 0,0456). Le fonctionnement du patient s’est amélioré de manière significative sur les échelles PSP (de 58,9 ± 13,4 à 62,9 ± 15,2, p = 0,041) et Mini-ICF (de 19,0 ± 7,78 à 16,1 ± 9,84 ; IC 95 % −5,1, −0,7 ; p = 0,0079). Le seul événement indésirable sous traitement rapporté chez ≥ 5 patients a été l’anxiété (n = 6).ConclusionsLa transition d’un échec au traitement par aripiprazole oral à un traitement par PP à doses flexibles chez des patients souffrant de schizophrénie non-aiguë a été bien tolérée et s’est traduit par une amélioration significative des symptômes négatifs, dépressifs, anxieux et des symptômes extrapyramidaux, ainsi que du fonctionnement du patient.Traduction de l’abstract résumé présenté au congrès EPA 2015 (European Congress of Psychiatry, Vienna, Austria, 28–31 March 2015)
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Traoré, Aïcha, Nayi Zongo, Fatimata Rogmossore Ouédraogo, and Arouna Ouedraogo. "Prévalence de la dépression et de l’anxiété chez des patientes souffrant de cancer du sein à Ouagadougou, Burkina Faso." Psy Cause N° 84, no. 1 (January 2, 2023): 57–64. http://dx.doi.org/10.3917/psca.084.0057.

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Contexte et objectif : Le vécu d’une patiente souffrant d’un cancer de sein est associé fréquemment à des troubles anxieux et dépressifs qui sont sous diagnostiqués donc sous traités. L’étude a eu pour objectif de déterminer la prévalence de la dépression et de l’anxiété chez les patientes souffrant de cancer du sein à Ouagadougou au Burkina Faso. Méthodologie : cette étude a été transversale et descriptive portant sur les patientes souffrant de cancer du sein et suivies dans les services de chirurgie digestive et générale du Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo et de l’hôpital Schiphra de Ouagadougou. Nos données ont été collectées du 1er juillet au 31 Août 2021 à l’aide d’un hétero-questionnaire comportant les aspects sociodémographiques et cliniques des patientes, le Mini international psychiatric review pour le diagnostic de la dépression, l’échelle de Beck pour l’intensité de la dépression et l’échelle de Hamilton pour évaluer l’anxiété. Résultats : 102 patientes ont pris part à notre étude. L’autopalpation des seins a été la principale modalité de découverte du cancer dans 74,51 % des cas. La prévalence du trouble dépressif était de 39,21 % dans notre étude. Selon l’intensité de la dépression on retrouvait 10 % d’épisode dépressif léger, 47,5 % moyen et 42,5 % sévère. 55,92 % des patientes présentaient une altération de l’image de soi, 43,14 % une tristesse exprimée et 42,17 % un impact sur leur autonomie physique. On notait la présence d’idées suicidaires dans 8,82 %. La prévalence de l’anxiété était de 45,1 %. L’anxiété a été caractérisée légère dans 45,65 % des cas, modérée dans 30,43 % et sévère dans 23,91 % des cas. Symptômes urinaires et génitaux étaient présents dans 62,74 % et l’insomnie dans 54,90 % des cas. 82,5 % des patientes qui présentaient une dépression avaient une anxiété associée. Discussion et conclusion : la prévalence de la dépression et de l’anxiété dans notre étude traduit la nécessité de mettre en place une composante psychologique et psychiatrique dans la prise en charge des patientes souffrant de cancer du sein.
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Coelho, Julien, Ilaria Montagni, Jean-Arthur Micoulaud-Franchi, Pierre Philip, Julie Arsandaux, and Christophe Tzourio. "Étude du sommeil chez des étudiants et relation longitudinale avec symptômes anxieux et dépressifs." Médecine du Sommeil 18, no. 1 (March 2021): 38. http://dx.doi.org/10.1016/j.msom.2020.11.063.

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Niedhammer, Isabelle, Thomas Lesuffleur, Elisabeth Algava, and Jean-François Chastang. "Facteurs psychosociaux au travail et symptômes anxieux et dépressifs dans l’enquête nationale SUMER 2010." Archives des Maladies Professionnelles et de l'Environnement 77, no. 3 (June 2016): 555. http://dx.doi.org/10.1016/j.admp.2016.03.466.

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Machado, J., J. Bruno, C. Rotonda, J. Siles, T. Steinmetz, C. Zambelli, L. Vismara, and C. Tarquinio. "Attachement au partenaire et développement de symptômes traumatiques et anxieux-dépressifs chez les étudiants." Sexologies 29, no. 1 (January 2020): 32–40. http://dx.doi.org/10.1016/j.sexol.2019.08.001.

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Moinas, M., B. Angerville, M. Naassila, and A. Dervaux. "Fréquence des symptômes anxieux et dépressifs dans une population de consommateurs de cannabidiol." French Journal of Psychiatry 1 (December 2019): S98—S99. http://dx.doi.org/10.1016/j.fjpsy.2019.10.314.

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Goodarzi, Zahra, Heather M. Hanson, Nathalie Jette, Scott Patten, Tamara Pringsheim, and Jayna Holroyd-Leduc. "Barriers and Facilitators for Guidelines with Depression and Anxiety in Parkinson’s Disease or Dementia." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 37, no. 2 (April 5, 2018): 185–99. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980818000053.

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RÉSUMÉNotre principal objectif était de comprendre les barrières et les facilitateurs associés à l’application de guides de pratique clinique (GPC) de haute qualité pour la dépression et l’anxiété chez les patients atteint de démence ou de la maladie de Parkinson (MP). Des groupes de discussion et des entrevues ont été réalisés avec des participants atteints de démence ou de la MP, leurs soignants et les médecins impliqués dans les soins de ces patients à Calgary (Alberta). Le cadre conceptuel des domaines théoriques et le Behaviour Change Wheel ont été utilisés pour guider la collecte des données et l’analyse du cadre conceptuel. Au total, 33 médecins, 7 patients et leurs aidants ont participé à l’étude. Les barrières et les facilitateurs pour l’application des recommandations des GPC liées au diagnostic, à la gestion et à l’utilisation des lignes directrices ont été rapportés. L’insuffisance des données concernant les troubles anxieux et dépressifs dans la démence et la MP constituaient un thème dominant dans les résultats. Ce constat était particulièrement évident en matière de troubles anxieux. Les patients ont aussi mentionné des difficultés à communiquer leurs symptômes et à accéder aux services. Bien que des guides de pratiques soient disponibles, les médecins éprouvent quelques difficultés dans l’application de certaines recommandations, ces difficultés étant surtout dues au manque de données probantes disponibles.
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Terol, S. F. Duran-Sindreu, and A. Vargas. "Résilience transculturelle des adolescents." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 69. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.182.

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ObjectifDéterminer comment la résilience peut être comprise comme un facteur de protection qui empêche le développement des symptômes de l’anxiété et de la dépression chez les adolescents subissant les facteurs de stress majeurs.Signification et importanceLa résilience est la capacité à affronter, dépasser et être renforcée ou transformée par l’expérience de l’adversité. Vous pouvez identifier les facteurs de résilience dans quatre catégories : J’ai ; Je suis ; Je me sens ; Je peux.Conception de la rechercheIl s’agit d’une étude descriptive écologique, qui cherche à passer à travers 62 entretiens semi-structurés avec les différents applicatifs de type STAIC 4 instruments (anxiété), BDI (dépression), FAMILLE APGAR (interdépendance), résilience face à l’adversité (résilience) ; avec faire de la population de référence choisie pour l’étude, de vérifier l’existence des épisodes mixtes anxieux et/ou dépressifs symptômes avant que la situation stressante en ce qui concerne la violence ou de l’immigration décrit, à partir des résultats obtenus lors des entrevues et l’application de ces instruments dans le même groupe d’âge des 12–17 ans dans deux zones géographiques et les différents facteurs de stress sociaux, mais très complexe (zone de conflit vs l’immigration).ConclusionsRésilience définit comme tel devient présent capacités humaines dans les différentes communautés et permet aux adolescents de faire face aux adversités de la vie-la violence-conflit armé-l’immigration. Le réseau social existant, est l’un des pivots essentiels pour promouvoir le développement harmonieux des déterminants de la résilience. L’immigration déclenche des états d’anxiété chez les adolescents, y compris les idées de rejet, de la vulnérabilité et des changements dans leur identité.
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Chavagnat, J. J. "Deuil et symptomatologie psychiatrique : quelle conduite à tenir ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 41–42. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.105.

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Il est classique de dire que le deuil va entraîner des conséquences biopsychosociales. Mais, nous pouvons être confrontés à d’authentiques symptômes psychiatriques, ce qui va conduire à la notion de deuil pathologique. La liste des symptômes psychiatriques est encore mal connue des non-spécialistes :– de la réaction dépressive à l’épisode dépressif sévère avec idées de suicide, voire un suicide tenté, plus rarement abouti ;– de la phase d’hyperactivité à l’authentique épisode maniaque ;– du trouble fonctionnel à la maladie psychosomatique, voire à la conversion hystérique ;– de la manifestation anxieuse passagère à la grande crise d’angoisse, voire au trouble anxieux généralisé ;– des manifestations phobiques, des conduites à risque, des addictions ou des automutilations.Tous ces symptômes auront des expressions différentes selon l’âge : par exemple, des manifestations d’opposition ou de phobie scolaire chez l’enfant ou l’adolescent ou bien une dépression d’allure démentielle chez la personne âgée. Lorsque des symptômes psychiatriques sont présents, la conduite à tenir qui sera adoptée sera d’évaluer ces troubles (parfois avec des échelles) et surtout de les relier à la dynamique du chemin de deuil. La prise en charge doit mettre le deuil au centre de la réflexion :– en traitant l’individu, en appréciant :∘ la spécificité de son deuil : pré-deuil, deuil « blanc », deuil « non élaboré », deuil de l’enfant, de l’adolescent, de l’adulte, de la personne âgée voire très âgée, les circonstances de la mort du proche : mort d’un enfant, mort par suicide, par homicide, par accident survenant pendant un transport (voiture, train, bateau, etc.) après une catastrophe naturelle, si la mort est brutale et que la personne y a assisté ou si elle a failli elle-même mourir ;– en traitant le groupe :∘ familial avec une approche transgénérationnelle,∘ d’individus bénéficiant d’une prise en charge groupale : avec un même type d’endeuillés ou avec des endeuillés de causes différentes.
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Morin, Claudia, Catherine Laurier, and Valérie Simard. "Les symptômes et les troubles intériorisés chez les jeunes contrevenants associés aux gangs de rue." Revue de psychoéducation 45, no. 2 (February 23, 2017): 289–311. http://dx.doi.org/10.7202/1039051ar.

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Plusieurs études ont exploré la délinquance perpétrée par les jeunes contrevenants associés aux gangs de rue. Néanmoins, peu de recherches se sont intéressées à l’ajustement psychologique de ces jeunes. La présente étude a donc pour but de comparer le nombre de symptômes et de troubles intériorisés entre les jeunes contrevenants associés aux gangs de rue (n = 41/103) et ceux qui n’y sont pas associés (n = 62/103) et d’évaluer si l’association aux gangs de rue est liée significativement aux symptômes et aux troubles intériorisés lorsque les effets de l’âge et de la délinquance sont contrôlés. Cette étude s’inscrit dans le cadre d’une recherche effectuée par Laurier, Guay, Lafortune et Toupin (2015). L’échantillon est composé de 103 jeunes contrevenants masculins âgés de 14 à 20 ans. Les jeunes ont été rencontrés à deux reprises afin d’effectuer la passation des questionnaires. Les résultats indiquent que les jeunes associés aux gangs présentent davantage de symptômes de colère-irritabilité et de dépression-anxiété que les jeunes qui n’y sont pas associés. Ils présentent également un plus grand nombre de symptômes intériorisés et ils sont plus nombreux à présenter au moins un trouble anxieux. L’association aux gangs de rue demeure liée aux symptômes de dépression-anxiété et à la présence d’au moins un trouble anxieux lorsque les effets de l’âge et de la délinquance sont contrôlés. Ces résultats soulignent l’importance du dépistage et du traitement des symptômes et des troubles intériorisés chez les jeunes contrevenants, particulièrement chez ceux qui sont associés aux gangs de rue.
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El Ghardallou, M., C. Zedini, S. Tekaya, H. Khairi, A. Mtiraoui, and T. Ajmi. "Stratégies de coping et symptômes anxieux et dépressifs chez les femmes atteintes de cancer du sein, Sousse, Tunisie." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 64 (September 2016): S221. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2016.06.208.

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Guitteny, M. "L’outil : INTERMED et la complexité bio-psycho-sociale." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 586. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.298.

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La plupart des outils utilisés en psychiatrie générale présentent des limites dans l’évaluation des troubles ou symptômes présentés par les patients rencontrés en psychiatrie de liaison. Le concept de « complexité de cas » se montre souvent plus pertinent pour décrire les populations hospitalisées en soins généraux. L’instrument INTERMED, issu du travail de collaboration de psychiatres de liaison et de médecins somaticiens européens, permet d’évaluer les patients dans une perspective bio-psycho-sociale et d’identifier des patients dits complexes, avec un haut degré de comorbidité somatique et psycho-sociale. Ces sous-groupes de patients seraient caractérisés par une réponse diminuée aux traitements et une augmentation de l’utilisation des soins. Se référant à la médecine intégrée, INTERMED est composé de vingt variables, évaluées de manière quantitative sur la base d’un entretien semi-structuré. Le score total définit le degré de complexité du cas et fournit des indications pour l’orientation de la prise en charge, notamment des interventions ciblées sur les patients identifiés comme complexes. Une revue de la littérature permettra de décrire l’outil et de préciser ses différents domaines d’application, qui peuvent concerner les champs de la clinique, de la recherche, de l’enseignement et de l’organisation des systèmes de soins, notamment dans ses aspects médico-économiques. Une population de 91 patients diabétiques hospitalisés en service d’endocrinologie sera décrite en termes de complexité de cas (INTERMED-Complexity Assessment Grid) et une recherche de corrélation avec les symptômes anxieux et dépressifs (Hospital Anxiety and Depression Scale) sera discutée. La prise en compte du malade dans sa complexité permet de tendre vers une approche globale, intégrée, et contribue à renforcer les liens entre intervenants de psychiatrie de liaison et services de soins somatiques.
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Ionita, A. "Différentes dimensions de la vulnérabilité psychique du sujet âgé." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 576. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.270.

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La transition vers le grand âge s’accompagne des modifications neurobiologiques, physiques, psychologiques et environnementales augmentant le risque de décompensation psychiatrique. Cette vulnérabilité psychique du sujet âgé intègre des dimensions multiples endophénotypiques (génétiques, épigénétiques), diachroniques (traumas précoces, expériences de vie passées) et synchroniques (facteurs de stress actuels liés à la transition vers le grand âge). Les troubles psychiatriques, sous diagnostiqués dans ce groupe d’âge sont représentés notamment par la dépression, suivie des troubles anxieux, abus de substance et suicide. Un des mécanismes neurobiologiques impliqué dans cette vulnérabilité psychique du sujet âgé est la perturbation de l’axe du stress (hypothalamo-hypophyso-surrénalien) [1]. Deux profiles sont retrouvés dans la dépression chez la personne âgée : une hypercortisolemie urinaire, marquer de vulnérabilité à la dépression a tout âge et l’hypocortisolemie urinaire retrouvée chez des personnes âgées déprimés avec plus de fragilités physiques [2]. L’ hypercortisolémie sérique est une cause possible d’atrophie hippocampique secondaire, la dépression du sujet âgé représentant ainsi un facteur de risque important d’une démence ultérieure [3]. La relation dépression tardive/démence est probablement bidirectionnelle, la physiopathologie de la maladie Alzheimer pouvant induire une atrophie hippocampique, les symptômes dépressifs représentent alors un prodrome du processus neurodégénératif.La dépression représente le trouble psychiatrique le plus fortement associé aux conduites suicidaires chez la personne âgée (60–90 % des cas). La vulnérabilité suicidaire chez le sujet âgé semble avoir comme mécanismes étiopathogénique spécifique le vieillissement pathologique [4]. L’atrophie cérébrale au cours du vieillissement affecte les circuits connectant le cortex frontal aux noyaux gris centraux qui jouent un rôle important dans la régulation des comportements, des émotions et des fonctions cognitives complexes.Détecter la vulnérabilité psychique chez le sujet âgé est particulièrement pertinent dans une démarche de screening des patients à risque pour lesquels des mesures thérapeutiques spécifiques doivent être proposées.
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Benmebarek, Zoubir. "Clinical presentations of malingering in pretrial forensic assessment. A serial case study." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 2, no. 2 (December 30, 2012): 112–16. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2015.2202.

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Introduction : L’expertise psychiatrique pénale représente un moment crucial pour simuler des troubles mentaux afin d’échapper aux sanctions. Le but de cette étude est de décrire la fréquence des cas de simulation chez des prévenus, leurs présentations cliniques ainsi que les moyens de détection utilisés. Méthode : Nous avons réalisés une analyse rétrospective des rapports d’expertises psychiatriques présententielles faits durant la période 2006-2015 pour des individus incarcérés. Les informations ont été recueillies du dossier du détenu, de l’examen psychiatrique, de l’interrogatoire des gardiens de prison ainsi que du dossier d’instruction. Résultats : Sur 71 dossiers examinés, 14 (19,1 %) étaient des simulateurs. Tous étaient des hommes, 64 % étaient célibataires et sans profession. L’âge moyen était de 34,8 ans. Les antécédents psychiatriques étaient retrouvés dans 28,5% des cas et les habitudes toxiques chez 57%. La plupart des examinés (85%) étaient inculpés pour des crimes et 4 d’entre eux étaient des récidivistes. Les symptômes cliniques étaient : un manque de coopération (100 %) ; des troubles mnésiques (85%), un mutisme (14%), des maniérismes (14%) et des troubles hallucinatoires (14%). Des symptômes anxieux et dépressifs étaient retrouvés dans 28% des cas. Aucun n’a présenté de délire. Lors de l’examen psychiatrique, 71 % des simulateurs étaient sous prescription médicale de psychotropes. Trois cas présentaient des signes évidents de personnalité antisociale. Des informations collatérales ont été nécessaires pour confirmer le diagnostic chez 9 cas (dans 4 cas par les gardiens de prison ; dans 3 cas par le juge d’instruction et dans 2 cas par consultation du dossier médical). Aucun test psychométrique n’a été réalisé vu leur indisponibilité. Conclusion : La simulation est fréquente lors des expertises psychiatriques ; ses symptômes sont variés et hétérogènes et ses signes non spécifiques. L’expérience clinique est primordiale dans la détection mais il est toujours nécessaire de recueillir des informations collatérales. Les tests psychométriques devront être utilisés systématiquement pour améliorer la validité du diagnostic.
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Denis, Cinthia, Laurie Bisaillon, Isabelle Fournel, Jessica Lebel, Isabelle Denis, and Guillaume Foldes-Busque. "Effet de la pratique du jiujitsu brésilien sur la santé mentale." Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 12, no. 2 (January 25, 2023): 5–6. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v12i2.51852.

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Cette étude qualitative s’intéresse à l’effet de la pratique du Jiujitsu brésilien (JJB) sur la santé mentale et ses mécanismes sous-jacents. Les écrits scientifiques sur les arts martiaux indiquent que ceux-ci pourraient favoriser une meilleure santé mentale en diminuant les symptômes anxieux et dépressifs. L’entrevue semi-dirigée dans le cadre de cette étude permet aux participants de discuter les effets de leur pratique du JJB sur leur santé mentale et les mécanismes sous-jacents. Les dix participants sont des adultes âgés d’au moins 18 ans qui ont complété le General Anxiety Disorder (GAD-7), le Patient Health Questionnaire (PHQ-9) ainsi que le World Health Organization Quality of Life abrégé (WHOQOL-BREF). Les participants rapportent que la pratique du JJB améliorerait leur santé mentale de par ses effets sur leur réseau social, leur sentiment d’auto-efficacité et la gestion de leurs émotions négatives. Lorsque les participants mentionnent des éléments négatifs associés au JJB, ils sont principalement attribués à l’arrêt de la pratique du sport. Les résultats de cette étude pourront guider la réalisation d’une étude quantitative plus large sur ce sujet et servir de base pour développer des stratégies afin d’optimiser l’effet de la pratique du JJB sur la santé mentale.
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Coady, Alanna, Cara Johnston, Brookelyn Koersen, and Jamie Piercy. "Stopping the Harm: Psychosocial Outcomes of Families Affected by Drug Use." Canadian Journal of Addiction 13, no. 4 (December 2022): 44–52. http://dx.doi.org/10.1097/cxa.0000000000000163.

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ABSTRACT Objectives: Between January 2016 and December 2021, ∼29,052 overdose deaths occurred in Canada, with devastating impacts on families, including increased risk of mental illness, social isolation, and stigma. More research is required to ensure that Canadian policy and services target the needs of this population. This study aimed to capture levels and predictors of depressive and anxiety symptoms among Canadian families affected by drug use, as well as the perceived availability of support services to address these concerns. Methods: Participants (N=462) were recruited from November 2020 to January 2021 through Moms Stop the Harm (MSTH), a network of Canadian families impacted by substance use–related harms (n=75) and deaths (n=387). Participants completed an online cross-sectional survey of self-report measures examining perceived stigma, social support, depressive symptoms, anxiety, and perceived barriers to care. Results: Participants displayed elevated rates of depression and anxiety. Multiple regression analyses revealed low social support and higher perceived stigma were significantly associated with more depressive and anxiety symptoms. Barriers to care were common, including high cost, stigma, and limited availability of appropriate services specific to the needs of affected family members. Conclusions: As overdose deaths in Canada continue to rise, understanding the impacts of drug-related harms is paramount to meeting the needs of families. Family members with loved ones harmed by drug use are vulnerable to stigma, diminished social support, and worse mental health. More support programs targeting the unique needs of this population are needed. Objectifs: Entre janvier 2016 et Décembre 2021, environ 29 052 décès par surdose liés aux opioïdes sont survenus au Canada, avec des effets dévastateurs sur les familles, notamment un risque accru de maladies mentales, d’isolement social et de stigmatisation. D’autres recherches sont nécessaires pour s’assurer que les politiques et les services canadiens ciblent les besoins de cette population. Cette étude visait à identifier les niveaux et les prédicteurs des symptômes dépressis et des symptômes d’anxiété parmi les familles Canadiennes affectées par l’usage de drogues, aussi bien que la perception de disponibilité de support pour les services qui adressent ces préoccupations. Méthodes: Les participants (N=462) ont été recrutés de novembre 2020 à janvier 2021 par l’intermédiaire de Moms Stop the Harm (MSTH), un réseau de familles canadiennes touchées par les méfaits (n=75) et les décès (n=387) de la consommation de substances. Les participants ont rempli une enquête transversale en ligne sur les mesures d’auto-évaluation examinant la perception de la stigmatisation, le soutien social, les symptômes dépressifs, l’anxiété, et les obstacles perçus à l’accès aux soins. Résultats: Les participants ont affiché des taux élevés de dépression et d’anxiété. Des analyses de régression multiple ont révélé qu’un faible soutien social et une stigmatisation perçue plus élevée étaient associés à davantage de symptômes dépressifs et d’anxiété. Les obstacles aux soins étaient courants, notamment le coût élevé, la stigmatisation et la disponibilité limitée des services appropriés spécifiques aux besoins des membres des famille touchée. Conclusion: Alors que les décès par surdose continuent d’augmenter au Canada, il est primordial de comprendre les répercussions des méfaits liés aux drogues pour répondre aux besoins des familles. Les membres de la famille dont des êtres chers ont été blessés par les drogues sont vulnérables à la stigmatisation, à un soutien social réduit et à une moins bonne santé mentale. Plus de programmes de soutien qui ciblent les besoins spécifiques de cette population sont nécessaires.
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Germain, Francine, and Diane Marcotte. "Associations entre les symptômes dépressifs et anxieux, le soutien social, l’identité vocationnelle et l’adaptation lors de la transition secondaire-collégial." Revue des sciences de l'éducation 45, no. 1 (2019): 50. http://dx.doi.org/10.7202/1064606ar.

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Voltolini Paião, Ariane, and Andrés Eduardo Aguirre Antúnez. "L’expérience du temps au cours du suivi psychothérapeutique d’une étudiante universitaire en phase anxio-dépressive." Perspectives Psy 63, no. 1 (January 2024): 35–42. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2024631035.

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En particulier sous l’influence d’Henri Bergson, Eugène Minkowski a proposé de comprendre chez ses patients une dimension vécue du temps qui fonde l’expérience singulière des personnes. La méthode phénoméno-structurale qu’il a initiée valorise plus largement une approche compréhensive de l’être humain dans son unité intérieure où l’expérience spatio-temporelle joue un rôle décisif. Les relations interpersonnelles et le langage courant y sont utilisés pour saisir l’expérience d’un temps dégradé chez des personnes atteintes de certains troubles psychiques tels la mélancolie et les états dépressifs. L’objectif de ce travail est d’aborder dans cette perspective les dimensions vécues de l’expérience temporelle d’une jeune femme présentant des symptômes dépressifs et anxieux. Dans la relation avec elle s’éprouve une temporalité accélérée tournée vers un avenir illusoire. Au cours des entretiens cette étudiante part d’un sujet, le fait suivre par un autre puis revient aussitôt en le clarifiant ou le justifiant par rapport au thème précédent presque sans respiration intermédiaire. La thérapeute éprouve le malaise de ne pouvoir se maintenir en phase avec une patiente toujours en avance qui manifeste beaucoup de difficultés à vivre dans le présent sans parvenir à accéder à ses sentiments ni les partager dans sa rencontre avec autrui. À travers le langage, ce présent apparaît sacrifié à un « avenir » ressenti comme étranglé et dépourvu de sens authentique. La compréhension de l’expérience du temps vécu au fil d’une relation à orientation psychothérapeutique confirme ici toute son importance à l’égard d’une psychologie clinique où la voie phénoméno-structurale se montre déterminante pour l’exploration en profondeur de la nature de ces phénomènes spécifiques.
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Cléry-Melin, P. "Spécificités des troubles anxieux avec l’avancée en âge." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S53—S54. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.151.

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Les troubles anxieux des sujets âgés de plus de 65 ans ont une prévalence estimée entre 3,2 % et 14,2 % et représentent une source de souffrance importante, de baisse d’autonomie et impliquent un surcoût pour la société. Les troubles anxieux des sujets âgés sont fréquents mais souvent sous-diagnostiqués du fait d’une expression différente par rapport aux jeunes (nécessitant l’utilisation des mesures validées chez les sujets âgés) et de la comorbidité somatique et psychiatrique fréquentes. La plupart de ces troubles anxieux ont débuté avant l’âge de 41 ans (90 %) moins de 1 % débutent après l’âge de 65 ans. Parmi les troubles anxieux des sujets âgés les phobies spécifiques (incluant l’agoraphobie) et le trouble anxieux généralisé (TAG) seraient les plus fréquents suivis de PTSD. La prévalence de l’agoraphobie est élevée et son expression suggère un sous-type de l’âge avancé. Plusieurs barrières sont source de sous-diagnostique et donc de sous traitement pour les troubles anxieux des personnes âgées : la dépression comorbide (fréquente et source de résistance au traitement), les troubles cognitifs, les troubles somatiques (présents chez plus de 80 % des sujets > 65 ans) ainsi que la difficulté à différentier les symptômes de l’anxiété des personnes âgés des changements psychologiques et physiques survenant avec le processus du vieillissement (ex. pattern du sommeil). Les troubles anxieux des personnes âgées sont source d’une plus grande difficulté dans la vie quotidienne, d’une faible adhésion aux traitements et sont à risque élevé de dépression comorbide et de suicide, de chutes, d’impotence physique et fonctionnelle et de solitude. Par ces différentes voies, les troubles anxieux sont source d’augmentation de la dépendance des personnes âgées. Ces données impliquent l’importance d’une détection appropriée de ces troubles fréquents chez les personnes âgées et la mise en place des traitements adaptés ainsi que des mesures de prévention efficaces.
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Rascol, O., L. Nègre-Pagès, H. Grandjean, and H. Grandjean. "Symptômes anxieux et dépressifs dans l’étude DoPaMiP (étude épidémiologique transversale chez 450 Parkinsoniens et 100 sujets-contrôles en région Midi-Pyrénées)." Revue Neurologique 163, no. 1 (January 2007): 39–40. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(07)90380-x.

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Idier, L., N. Larroumet, L. Lespinasse, L. Capdepon, S. Trolonge, J. Bildet, A. Untas, N. Rascle, and P. Chauveau. "Acquisition de connaissances au cours d’un programme d’éducation thérapeutique auprès des patients en autodialyse : impact sur les symptômes anxieux et dépressifs." Néphrologie & Thérapeutique 8, no. 5 (September 2012): 401–2. http://dx.doi.org/10.1016/j.nephro.2012.07.039.

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Graziani, Pierluigi. "La consommation excessive d’alcool chez la personne âgée." Drogues, santé et société 9, no. 2 (July 21, 2011): 49–74. http://dx.doi.org/10.7202/1005300ar.

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Les problèmes d’une consommation excessive chez les sujets âgés (+ de 65 ans) sont sous-estimés, sous-identifiés, sous-diagnostiqués et sous-traités. Une des raisons est probablement la confusion sur ce qui peut être attribué à l’âge ou aux effets de l’alcool. De plus, ces derniers imitent certains symptômes d’autres maladies et troubles, par exemple les troubles anxieux, la dépression ou la démence. La plupart des outils de dépistage sont insuffisamment adaptés aux personnes âgées et l’estimation de l’abus d’alcool chez celles-ci varie largement selon les méthodes utilisées. La vieillesse devient également un facteur de fragilisation face à la consommation d’alcool surtout si la personne âgée présente des problèmes de santé. Les alcoolisations sont souvent une réponse à la solitude, à l’isolement ou à la perte de soutien social et à l’anxiété, à la dépression et au stress. L’efficacité des interventions brèves dans le cas d’abus d’alcool chez les adultes âgés a été soulignée par ses résultats. L’approche clinique cognitive sur les addictions met l’accent sur l’importance des croyances concernant le produit d’alcoolisation. Certaines trouvent leur source dans l’âge de la personne.
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Cleary, Jessika, Sophie Meunier, Camille Roberge, and François Lauzier-Jobin. "Les pratiques de soutien social des collègues et des proches qui favorisent le fonctionnement des travailleurs vivant avec des symptômes anxieux ou dépressifs." Santé mentale au Québec 48, no. 1 (2023): 147. http://dx.doi.org/10.7202/1106399ar.

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Wallaert, R., X. Laqueille, M. C. Bourdel, M. O. Krebs, and A. Dervaux. "Dépendance au cannabis : quelles corrélations entre âge de début de la consommation, troubles cognitifs et psychiatriques ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 530–31. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.387.

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ContexteCertaines études ont retrouvé que la consommation précoce de cannabis était associée à une fréquence plus élevée de troubles cognitifs ou psychiatriques, mais l’âge exact reste indéterminé, entre 13 et 18 ans selon les études [1–4].ObjectifComparer certaines caractéristiques cliniques des sujets dépendants au cannabis ayant commencé leur consommation à l’âge de 13 ans ou moins et celles de ceux qui ont commencé après.MéthodesCent soixante-douze patients, consultant consécutivement dans le service d’Addictologie du CH Sainte-Anne pour dépendance au cannabis (critères DSM-IV), entre juin 2007 et juin 2013, ont été inclus dans l’étude. Les patients présentant des troubles psychotiques, bipolaires type 1, des dépendances opiacées ou à la cocaïne étaient exclus de l’étude. Ils ont été évalués à l’aide du Diagnostic Interview for Genetic Studies (DIGS).RésultatsLes sujets ayant commencé leur consommation de cannabis à l’âge de 13 ans (n = 37) ou moins présentaient plus fréquemment un diagnostic de trouble de personnalité antisociale (respectivement 58,8 % vs 22,1 % ; Chi2 = 16,6 p = 0,0001, OR : 4,9) et rapportaient plus fréquemment des troubles subjectifs de l’attention que les sujets ayant commencé leur consommation plus tard (n = 135) (respectivement 86,5 % vs 66,7 %, Chi2 = 5,53, p = 0,03, OR : 3,02). En revanche, il n’y avait pas de différences significatives entre les deux groupes concernant la fréquence des troubles dépressifs, des phobies sociales, des troubles anxieux, des conduites suicidaires, des traitements anxiolytiques ou antidépresseurs antérieurs, ni de différence au niveau des symptômes de sevrage et des effets subjectifs induits par le cannabis.ConclusionsLes sujets dépendants au cannabis qui commencent leur consommation avant l’âge de 13 ans ont un risque de présenter un trouble de la personnalité antisociale cinq fois plus élevé et des troubles subjectifs de l’attention trois fois plus élevés, par rapport aux sujets qui commencent le cannabis après l’âge de 13 ans.
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Youness, A., M. Bourdon, V. Sébille, and M. Blanchin. "CO7.5 - Evolutions des symptômes anxieux et dépressifs chez les personnels de santé des centres de lutte contre le cancer pendant la pandémie de COVID-19." Journal of Epidemiology and Population Health 72 (May 2024): 202424. http://dx.doi.org/10.1016/j.jeph.2024.202424.

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Hardy, P., A. L. Penchaud, B. Lavigne, and M. Lardinois. "Santé mentale des internes en psychiatrie : quelle prise en charge et quelles recommandations ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S52. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.147.

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L’internat est une période de stress chronique élevé pour les étudiants en médecine qui doivent relever le défi d’apprendre à travailler en équipe, de devenir des médecins compétents, responsables et empathiques, dans un climat parfois compétitif. Les premières études analysant la prévalence des troubles psychiatriques chez les internes dans les années 1960 retrouvaient une prévalence de la dépression d’environ 30 %. Des travaux récents retrouvent des taux identiques ainsi qu’une augmentation significative de la prévalence du burn-out et des symptômes anxieux au cours de l’internat . Cependant, il semblerait que les internes souffrant de troubles psychiatriques se tournent peu vers les professionnels de santé , alors même que l’aggravation des symptômes retentit sur leur fonctionnement, notamment professionnel. Actuellement, il n’existe pas en France de recommandation claire quant à la prise en charge médicale et universitaire des internes en souffrance psychique, malgré des résultats encourageant d’interventions individuelles ou groupales . L’Association française fédérative des étudiants en psychiatrie a donc mené une enquête auprès des représentants des internes en psychiatrie de chaque subdivision et des coordonnateurs locaux du diplôme d’études spécialisées (DES) de psychiatrie. Ce travail, présenté pour la première fois, a pour but de décrire les dispositions médicales et universitaires prises pour les internes en souffrance et celles souhaitées. L’objectif final de cette étude est d’élaborer des recommandations nationales et consensuelles aidant à la prise en charge spécifique de ces étudiants. Le professeur Hardy apportera son regard avec sa double expertise de coordonnateur du DES de psychiatrie de Paris-IDF et de psychiatre intéressé par les troubles affectifs et les facteurs de risques psychosociaux. L’approche sociologique de Madame Penchaud viendra enrichir cette session où elle présentera une revue de la littérature en sciences sociales sur les motivations présidant au choix de la filière psychiatrique et proposera une analyse compréhensive de l’expérience et l’apprentissage professionnel des internes en psychiatrie.
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Pinard, Charles, and Philippe Landreville. "Stratégies d'adaptation, symptômes dépressifs, anxiété et bien-être au sein des personnes âgées vivant en milieu institutionnel." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 17, no. 1 (1998): 40–58. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800010345.

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ABSTRACTOlder persons living in Residential and extended care centres (RECC) have to cope with various Stressors associated with institutional life. While some residents cope successfully, a large proportion of this population presents difficulties in adjustment. Knowledge about the role of coping strategies in the adjustment process to nursing home Stressors is limited to strategies used in the first few months following admission to RECC. The goal of this exploratory study was to determine how various coping strategies are related to depressive symptoms, anxiety and well-being of 90 residents living in RECC for more than three months. Individual interviews were used to collect the data. Significant correlations were observed between measures of psychological adaptation and the strategies of escape-avoidance and seeking social support. These results confirm than certain coping strategies are associated with adaptation to life in RECC.
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Krir, M. W., C. Ben Cheikh, H. Elkefi, A. Oumaya, and S. Gallali. "Prescription au long cours et dépendance aux benzodiazépines : cause ou conséquence ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 104–5. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.279.

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IntroductionLes anxiolytiques sont couramment prescrits pour le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil. Ce sont des médicaments symptomatiques et leur usage doit cesser dès que le symptôme a disparu. Leur prescription est limitée dans les recommandations à 12 semaines au maximum. Cependant, plusieurs praticiens sont amenés à prolonger le traitement au-delà de cette durée maximale. Cette prolongation pourrait s’expliquer par le développement précoce d’une dépendance. L’objectif de cette étude était d’évaluer la prévalence de la dépendance aux benzodiazépines chez les patients sous anxiolytiques depuis 8 à 12 semaines.Matériels et méthodeIl s’agit d’une étude transversale réalisée pendant une période d’un mois auprès de patients suivis à la consultation externe de l’hôpital militaire de Tunis et qui étaient sous benzodiazépines depuis huit à 12 semaines. L’évaluation a consisté en l’administration de l’échelle cognitive d’attachement aux benzodiazépines (ECAB) traduite en langue arabe.RésultatsTrente-sept patients ont été inclus à cette étude avec un sex-ratio de 1,31. La moyenne d’âge était de 34,6 ans. Les pathologies les plus fréquemment retrouvées étaient les troubles anxieux (37 %), les troubles dépressifs majeurs (29 %) et les troubles de l’adaptation (21 %). La durée moyenne de prescription de benzodiazépines était de 10,9 semaines. Une dépendance aux benzodiazépines a été retrouvée chez 27 % des patients (score ECAB ≥ 6).ConclusionLa dépendance aux anxiolytiques est un problème fréquemment rencontré en pratique quotidienne. Une fréquence assez élevée de cette dépendance a été retrouvée chez des patients sous benzodiazépines depuis moins de 12 semaines, ce qui expliquerait en partie leur prescription au long cours. Une diminution de cette durée dans les recommandations serait-elle bénéfique ?
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Poisbeau, P. "Pharmacologie des anxiolytiques." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S8. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.032.

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La cible principale des anxiolytiques est le récepteur-canal GABAA. Constitué de 5 sous-unités protéiques (majoritairement 2 alpha, 2 bêta, 1 gamma dans le système nerveux), il devient perméable aux ions chlorures après fixation d’au moins deux molécules d’acide gamma-aminobutyrique (GABA). Certains anxiolytiques, comme les benzodiazépines ou l’étifoxine, sont des modulateurs allostériques : ils augmentent cette perméabilité et renforcent ainsi l’inhibition des neurones qui expriment le récepteur GABAA. Le site de liaison des benzodiazépines est bien connu. À distance du site agoniste pour le GABA, il se situe à l’interface entre les sous-unités alpha gamma du récepteur. Notons que le zolpidem, une molécule non benzodiazépinique, se fixe également sur ce site avec une très haute affinité. Dans la classe des anxiolytiques, le chlorhydrate d’étifoxine (laboratoire Biocodex, Gentilly, France) occupe une place intéressante. L’étifoxine n’est pas une benzodiazépine et se fixe sur les sous-unités bêta du récepteur (bêta 2 > bêta 3). Ceci pourrait expliquer pourquoi son activité anxiolytique n’est pas associée à des manifestations indésirables comme la sédation, les troubles mnésiques et la tolérance fonctionnelle. Ainsi, lors de l’arrêt des traitements aucune pharmacodépendance n’est observée. L’étifoxine exerce également une action originale sur la mitochondrie en renforçant les systèmes cellulaires de neuroprotection et en favorisant la production d’un anxiolytique endogène, l’alloprégnanolone. L’alloprégnanolone est à ce jour le plus puissant stimulateur endogène connu de la fonction inhibitrice du récepteur GABAA. Nos travaux récents chez l’animal montrent les effets de cette double action sur les troubles anxieux et dépressif induits par la douleur neuropathique. Ils mettent également en évidence l’intérêt de la molécule pour soulager les symptômes douloureux périphériques dans de nombreux modèles de douleurs.
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Mulet-Perreault, Hannah, Allyson Bernier, Rose-Anne Paquin, Philippe Landreville, Pierre-Hugues Carmichael, and Elisabeth Beaunoyer. "Symptômes anxieux." Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 9, no. 2 (October 6, 2019): 23–24. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v9i2.20151.

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Plusieurs études montrent que les personnes âgées présentent moins d’anxiété que les jeunes adultes, mais sans préciser la nature de cette différence. La présente étude a pour but de mieux comprendre les différences entre ces deux populations sur le plan des symptômes anxieux. Pour ce faire, les données de 64 jeunes adultes et 78 personnes âgées à l'Inventaire d'anxiété de Beck sont utilisées. Les résultats obtenus à l’aide de tests t et d’un modèle d’analyse de variance multivariée à mesures répétées révèlent que les personnes âgées présentent moins d’anxiété de manière générale et moins de symptômes de type somatique et de type de panique et anxiété subjective que les jeunes adultes. Les résultats montrent aussi que la différence entre les deux groupes d’âge était la plus grande pour les symptômes de type somatique. Ces résultats soulignent le besoin d’étudier plus en profondeur les différences d’anxiété et de types de symptômes anxieux ressentis selon l’âge. L'étude permet d’en apprendre davantage sur les symptômes pouvant différer avec l’âge et offre aux professionnels de la santé des avenues pour mieux intervenir, dépister, diagnostiquer et traiter l’anxiété.
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Dubois-Sénéchal, Sacha-Michelle, Oana Geanta, Zoé Terrault, and Michel Boivin. "Association intergénérationnelle entre l’historique dépressif parental et les symptômes dépressifs des adolescents." Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 12, no. 2 (January 25, 2023): 26–27. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v12i2.51865.

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Les taux de dépression augmentent significativement à l’adolescence. L’historique familial de dépression prédit l’apparition des symptômes dépressifs à l’adolescence, mais la majorité des études porte uniquement sur les mères dépressives et leur descendance. Le rôle du père est rarement documenté. La présente étude s’intéresse à l’association intergénérationnelle de l’historique de dépression des parents et des symptômes dépressifs des adolescents. À partir des données de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ELDEQ), les données sur l’historique de dépression de 1495 mères et 1235 pères ainsi que celles sur les symptômes dépressifs de 1514 adolescents à 15 et à 17 ans sont recueillies. Une corrélation positive et significative est observée entre l’historique dépressif des parents et les symptômes dépressifs des adolescents. Selon l’appariement assortatif, une corrélation positive et significative est observée entre le score de dépression des deux parents. Les deux parents contribuent indépendamment à la prédiction des symptômes dépressifs des adolescents. Toutefois, aucun effet d’interaction n’est observé entre le sexe des parents et des adolescents sous la forme de dyades de même sexe. Les résultats obtenus constituent un premier pas vers la clarification des mécanismes sous-jacents à la transmission intergénérationnelle des symptômes dépressifs.
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Piché, Geneviève, Marilou Cournoyer, Lise Bergeron, Marie-Ève Clément, and Nicole Smolla. "Épidémiologie des troubles dépressifs et anxieux chez les enfants et les adolescents québécois." Santé mentale au Québec 42, no. 1 (June 14, 2017): 19–42. http://dx.doi.org/10.7202/1040242ar.

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L’épidémiologie de la santé mentale des enfants et des adolescents est une discipline relativement récente et souvent méconnue, notamment au Québec. Certains travaux ont cependant permis d’estimer la prévalence des troubles mentaux les plus fréquents chez les jeunes, tels que les troubles anxieux et dépressifs, ainsi que les caractéristiques individuelles, familiales et socioéconomiques qui y sont associées. Cet article poursuit deux objectifs : présenter une recension des principaux résultats de recherche en épidémiologie pédopsychiatrique au Québec et mettre en évidence l’apport de ces résultats pour la santé publique. Afin d’atteindre ces objectifs, cet article présente les résultats de recherche en lien avec trois thématiques : 1) la mesure et l’identification des troubles anxieux et dépressifs chez les enfants et les adolescents ; 2) la prévalence de ces troubles et la comorbidité ; 3) les variables associées aux troubles anxieux et dépressifs identifiées dans les études épidémiologiques. Les auteurs souligneront les implications futures de ces résultats à travers les politiques québécoises dans le domaine de la santé publique.
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Seekles, Maaike L., Jacob K. Kadima, Yan Ding, Christian B. Bulambo, Joy J. Kim, Junior K. Kukola, Pierre O. L. Omumbu, et al. "Mental health, stigma and the quality of life of people affected by neglected tropical diseases of the skin in Kasai Province, Democratic Republic of the Congo: a sex-disaggregated analysis." International Health 15, Supplement_3 (December 2023): iii28—iii36. http://dx.doi.org/10.1093/inthealth/ihad084.

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Abstract Background Worldwide, persons affected by skin Neglected Tropical Diseases (NTDs) may experience stigma and discrimination, which could lead to impaired societal functioning and poor mental wellbeing. Evidence of comorbidity of NTDs and mental health conditions is dominated by Leprosy, largely lacking in post-conflict areas, and rarely disaggregated by sex. Methods This cross-sectional survey is the first to explore depression, anxiety, stigma, and quality of life amongst people affected by Lymphatic Filariasis, Buruli Ulcer, Onchocerciasis or Leprosy in the Democratic Republic of the Congo. After a census through active case identification, the survey was completed by 118 persons (response rate 94.4%). Results In total, 58.3% of men and 80.0% of women screened positive for major depressive disorder (PHQ-9). Symptoms indicative of generalised anxiety disorder (GAD-7) were displayed by 54.8% of men and 62.2% of women. Being female, having a disability, experiencing stigma and lower physical quality of life were predictors of depression. Anxiety was predicted by age, physical quality of life, disability (for men only) and environmental quality of life (for women only). Conclusions Integrated, intersectoral and gender-sensitive initiatives are needed to respond to the many biopsychosocial challenges that persons affected face. Contexte Dans le monde entier, les personnes atteintes de maladies tropicales négligées (MTN) peuvent faire l'objet d'une stigmatisation et d'une discrimination, ce qui peut entraîner une altération du fonctionnement de la société et un mauvais bien-être mental. Les preuves de la comorbidité des MTN et des troubles de la santé mentale sont dominées par la lèpre, manquent largement dans les zones post-conflit et sont rarement ventilées par sexe. Méthodes utilisées Cette enquête transversale est la première à explorer la dépression, l'anxiété, la stigmatisation et la qualité de vie chez les personnes atteintes de filariose lymphatique, d'ulcère de Buruli, d'onchocercose ou de lèpre en République démocratique du Congo. Après un recensement par identification active des cas, 118 personnes ont répondu à l'enquête (taux de réponse 94,4%). Résultats Au total, 58,3% des hommes et 80,0% des femmes ont été dépistés positifs pour un trouble dépressif majeur (PHQ-9). Des symptômes indiquant un trouble anxieux généralisé (GAD-7) ont été observés chez 54,8 % des hommes et 62,2 % des femmes. Le fait d'être une femme, d'avoir un handicap, d'être stigmatisé et d'avoir une qualité de vie physique inférieure était un facteur prédictif de la dépression. L'anxiété était prédite par l'âge, la qualité de vie physique, le handicap (pour les hommes uniquement) et la qualité de vie environnementale (pour les femmes uniquement). Conclusions Des initiatives intégrées, intersectorielles et sensibles au genre sont nécessaires pour répondre aux nombreux défis biopsychosociaux auxquels sont confrontées les personnes touchées. Antecedentes En todo el mundo, las personas afectadas por Enfermedades Tropicales Desatendidas (ETD) cutáneas pueden sufrir estigmatización y discriminación, lo que podría conducir a un deterioro del funcionamiento social y a un bienestar mental deficiente. La evidencia científica sobre la comorbilidad de las ETD y las afecciones mentales está dominada por la lepra, en general insuficiente en zonas post-conflicto y rara vez se desglosan por sexo. Métodos Esta encuesta transversal es la primera que explora la depresión, la ansiedad, el estigma y la calidad de vida entre las personas afectadas por la filariasis linfática, la úlcera de Buruli, la oncocercosis o la lepra en la República Democrática del Congo. Tras un censo mediante identificación activa de casos, la encuesta fue completada por 118 personas (tasa de respuesta del 94,4%). Resultados En total, el 58,3% de los hombres y el 80,0% de las mujeres arrojaron resultados positivos para el trastorno depresivo mayor (PHQ-9). El 54,8% de los hombres y el 62,2% de las mujeres presentaban síntomas indicativos de trastorno de ansiedad generalizada (TAG-7). Ser mujer, tener una discapacidad, sufrir estigmatización y una menor calidad de vida física fueron factores predictivos de la depresión. La edad, la calidad de vida física, la discapacidad (sólo en el caso de los hombres) y la calidad de vida ambiental (sólo en el caso de las mujeres) fueron factores predictivos de la ansiedad. Conclusiones Se necesitan iniciativas integradas, intersectoriales y con perspectiva de género para responder a los numerosos retos biopsicosociales a los que se enfrentan las personas afectadas.
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St. John, Philip, and Patrick Montgomery. "Does Self-Rated Health Predict Death in Older Adults with Depressive Symptoms?" Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 31, no. 1 (February 29, 2012): 49–54. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980811000559.

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RÉSUMÉNous avons analysé une étude de cohorte prospective afin de déterminer (1) si l’auto-évaluation de son propre état de santé (AES) prédit la mortalité chez les personnes plus âgées, avec et sans symptômes dépressifs, et (2) de déterminer s’il y a une interaction entre l’AES et les symptômes dépressifs sur la mortalité. Nous avons suivi pendant cinq ans 1 751 adultes âgés de 65 ans qui habitaient dans les communautés. Les mesures comprenaient l’âge, le sexe, le niveau d’éducation, Center for Epidemiological Studies-Depression (CES-D), the Modified Mini-Mental State Examination (MMS), et le questionnaire Older Americans’ Research Survey (OARS). Notre indicateur de résultats était la duree de vie avant le décès. Les analyses ont été faites sur des sujets avant ou non des symptômes dépressifs. Nous avons construit des modèles de régression de Cox avec un terme d’interaction pour la CES-D et l’AES. L’indice de risque pour la mortalite était de 1,63 pour les sujets atteints de symptômes dépressifs ; il était de 1,68 pour les sujets sans symptômes. Aucune interaction significative n’a été trouvée entre les symptômes dépressifs et l’A-ES pour la mortalité.
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Van Der Waerden, J., C. Galéra, A. L. Sutter-Dallay, M. J. Saurel-Cubizolles, J. Y. Bernard, M. De Agostini, H. Peyre, B. Heude, and M. Melchior. "Dépression maternelle et développement de l’enfant : résultats de la cohorte EDEN." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S35. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.101.

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Un des facteurs de risque systématiquement lié à la survenue précoce et importante de problèmes sociaux, affectifs et cognitifs durant la petite enfance est la psychopathologie parentale et particulièrement maternelle. En effet, les enfants dont la mère souffre de dépression ont environ deux à trois fois plus souvent des difficultés précoces, et qui peuvent prédire la survenue de problèmes psychiatriques avérés ultérieurement. À partir des données longitudinales de la cohorte EDEN, des groupes de trajectoires latentes de dépression maternelle seront identifiées au sein de la population d’étude. Ensuite, ces trajectoires seront mises en relation avec les difficultés émotionnelles et de comportement et le développement cognitif chez l’enfant en utilisant des analyses de régression linéaire multivariée, en tenant compte de covariables pertinentes. Nous avons identifié cinq trajectoires de dépression maternelle au sein de la cohorte EDEN : 60,2 % des mères n’avaient pas de symptômes dépressifs ; 4,7 % avaient des symptômes dépressifs élevés seulement pendant la grossesse ; 4,9 % avaient des symptômes dépressifs élevés 3–5 ans après la naissance de l’enfant ; 25,2 % avaient des symptômes dépressifs de niveau intermédiaire persistants et 5,0 % avaient des symptômes dépressifs de niveau élevé persistants. La dépression maternelle est liée à des problèmes émotionnels et comportementaux des enfants, en particulier si elle est persistante. De même, on a trouvé que le développement cognitif des enfants, tel que mesuré par le QI, suit la même tendance. À l’âge de 5,5 ans, les enfants de mères ayant des symptômes dépressifs élevés et persistants montrent des scores de QI verbal, QI de performance et QI total réduits par rapport aux enfants de mères jamais déprimés. Les résultats de ces recherches montrent que la dépression maternelle chronique a un impact sur le développement cognitif et émotionnel de l’enfant, même quand les symptômes dépressifs sont d’un niveau intermédiaire.
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Bélanger, Marianne, and Diane Marcotte. "Puberté, image corporelle et attitudes dysfonctionnelles : différences entre filles et garçons dans les symptômes dépressifs durant le passage primaire-secondaire." Santé mentale au Québec 36, no. 1 (September 16, 2011): 131–48. http://dx.doi.org/10.7202/1005818ar.

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L’objectif de cette étude longitudinale est de mieux comprendre ce qui conduit les filles à devenir plus souvent dépressives que les garçons durant le passage vers l’école secondaire. Quatre cent quatre vingt dix-neuf adolescents suivis de la sixième année du primaire à la première année du secondaire ont complété des mesures de statut pubertaire, d’image corporelle, d’attitudes dysfonctionnelles et de symptômes dépressifs. Les résultats révèlent que la puberté et l’image corporelle sont des médiateurs quoique faibles, de la relation entre le sexe et les symptômes dépressifs. Les attitudes dysfonctionnelles ne sont pas un médiateur de la relation entre la puberté vécue dans le cadre du passage au secondaire et la dépression. Les résultats soulignent l’importance de mieux comprendre l’impact du passage primaire-secondaire sur les symptômes dépressifs des adolescents.
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Braconnier, A. "Début des états anxio-dépressifs : Étude clinique préliminaire." Psychiatry and Psychobiology 1, no. 2 (1986): 170–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003266.

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RésuméL'étude de vingt jeunes sujets déprimés, dont un peu plus de la moitié présentait une dépression secondaire à un état anxieux aigu, a amené l'auteur à entreprendre une étude clinique prospective sur les modes de début des états anxieux et anxio-dépressifs. L'exemple clinique d'un de ces modes de début faisant partie de l’étude préliminaire sur cette question est ici rapporté. On observe, comme cela a été décrit chez des sujets plus âgés, un enchaînement séquentiel caractéristique : anxiété aiguë suivie d’une agoraphobie et d’un risque de dépression secondaire. Cependant l’existence avant la première crise d'angoisse aiguë cliniquement patente d’une humeur «anxio-dépressive», certes minime et infra-clinique, pose la question de l'âge de début, du mode de début et des relations initiales entre le «corpus» anxieux et le «corpus» dépressif.
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Benmebarek, Zoubir, and Hanane Benaldjia. "Outpatient Psychotropic Drugs Prescription in El Madher Psychiatric Hospital Batna: a three months cross sectional study." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 3, no. 1 (June 29, 2016): 2–8. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2016.3102.

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Objectifs : Décrire et analyser les modalités de prescription de psychotropes chez des patients suivis en ambulatoire à l’hôpital psychiatrique. Méthodes : Etude descriptive transversale sur la prescription de psychotropes chez 509 patients, suivis à la consultation externe de l’EHS (Etablissement hospitalier spécialisé) psychiatrique d’El Madher, durant une période de trois mois (du 10 février 2015 au 10 Mai 2015). Résultats : Sexe ratio H : F 3,1 : 1. Age moyen : 40,7 ans, 67% avaient des antécédents d’hospitalisation. Les troubles avaient duré plus de 5 ans pour 69,7% des patients. Le diagnostic le plus fréquent était la schizophrénie (64,2%) suivi par les troubles anxieux (11,1%), les troubles bipolaires (3,7%) et les troubles dépressifs (2,9%). Uniquement 10,6% des patients étaient sous monothérapie ; le nombre moyen de médicaments par patient était de 2,8. Les antipsychotiques étaient les médicaments les plus prescrits (88,2%) suivis des anxiolytiques (38,3%) puis des antidépresseurs (26,5%). Un antiparkinsonien de synthèse est retrouvé chez 26,1% des cas et un thymorégulateur chez 16,6%. Les neuroleptiques à action prolongés étaient prescrits chez 19,1% de patients. Les antipsychotiques de première génération étaient prescrits chez 85,6% des patients schizophrènes et les antipsychotiques de seconde génération chez 62,1%. La majorité des patients recevaient une bithérapie antipsychotique (65%). Comparés aux tricycliques, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine étaient plus prescrits dans les troubles dépressifs (60% vs 40%) et les troubles anxieux (54,4 % vs 36,8%). Les thymorégulateurs étaient prescrits dans les troubles bipolaires dans 63,1% des cas et dans la schizophrénie dans 13,7%. Les benzodiazépines étaient associées aux antidépresseurs dans les troubles dépressifs dans 86,7% des cas et dans les troubles anxieux dans 93%. Conclusions : On note une tendance vers la prescription des nouveaux médicaments antipsychotiques et antidépresseurs. La polymédication reste élevée. Il y a une utilisation importante de benzodiazépines dans les troubles anxieux et les troubles dépressifs.
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Marcotte, Diane, Marilou Cournoyer, Marie-Ève Gagné, and Marianne Bélanger. "Comparaison des facteurs personnels, scolaires et familiaux associés aux troubles intériorisés à la fin du primaire et au début du secondaire." Nouveaux cahiers de la recherche en éducation 8, no. 2 (July 31, 2013): 57–67. http://dx.doi.org/10.7202/1017529ar.

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Cet article présente les résultats de deux études qui explorent les caractéristiques personnelles, familiales et scolaires associées aux troubles intériorisés à la fin du primaire et au début du secondaire. Les mesures ont été complétées par des élèves de 6e année du primaire et de 2e secondaire ainsi que par leur enseignant. Les résultats permettent d’associer plusieurs caractéristiques, telles que les distorsions cognitives, une faible cohésion familiale et la présence de conflits familiaux chez les élèves dépressifs et anxieux. D’autres caractéristiques, telles que le soutien des amis et les habiletés sociales, les problèmes d’apprentissage et de comportement, les délits et le rendement scolaire distinguent les jeunes dépressifs ou anxieux des groupes témoins selon l’ordre scolaire. Des pistes d’intervention sont explorées.
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Dezetter, Anne, and Xavier Briffault. "Coûts et bénéfices d’un programme de financement des psychothérapies auprès des Français souffrant de troubles dépressifs ou anxieux." Santé mentale au Québec 40, no. 4 (April 5, 2016): 119–40. http://dx.doi.org/10.7202/1036097ar.

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Les psychothérapies structurées sont des traitements des troubles dépressifs ou anxieux recommandés par les guides de bonne pratique internationaux, dont l’efficacité et l’impact positif sur la santé et les coûts, ont été largement démontrés. Toutefois en France, malgré le lourd fardeau économique que ces troubles représentent, les psychothérapies effectuées avec un psychothérapeute non-médecin ne sont pas remboursées.L’étude vise à évaluer les coûts et bénéfices qu’un programme de prise en charge partiel des psychothérapies permettrait pour les Français souffrant de troubles dépressifs ou anxieux.Les données sont issues d’une enquête transversale portant sur 20 777 adultes en population générale. L’évaluation économique s’est inspirée de la méthodologie du programme anglaisImproving Access for Psychological Therapiesadaptée à la France. Le coût de la séance a été estimé à 41 EUR, le taux de remboursement à 60 % ; les coûts annuels induits par les troubles dépressifs à 4 702 EUR, par les troubles anxieux à 1 500 EUR ; et le taux de rémission attribuable aux psychothérapies à 30 % +/-10 %.Résultats Pour le suivi moyen de 12,1 séances, le coût du suivi psychothérapeutique annuel s’élèverait à 308 millions EUR pour le régime obligatoire, pour traiter 2,3 % de la population. Le ratio coût-bénéfice de la psychothérapie s’élèverait, pour les troubles dépressifs à 1,95 EUR (1,30-2,60) et pour les troubles anxieux à 1,14 EUR (0,76-1,52).Financer les psychothérapies s’avère être un investissement rentable à court et long terme, d’autant plus que l’impact sur la rémission des troubles somatiques n’a pas été évalué. Le nombre de psychothérapeutes nécessaires s’avère suffisant pour cette prise en charge.
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Fekih-Romdhane, F., A. Mrabet, W. Homri, I. Ben Romdhane, and R. Labbane. "Les symptômes dépressifs subsyndromiques comme facteurs prédictifs du fonctionnement dans le trouble bipolaire." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 570. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.254.

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IntroductionLes symptômes dépressifs subsyndromiques dans le trouble bipolaire sont fréquents, et semblent être présents indépendamment de la durée de la maladie et de la polarité du dernier épisode. D’après plusieurs auteurs, la persistance de symptômes dépressifs minimes pourrait expliquer l’écart entre la rémission syndromique et la rémission fonctionnelle.MéthodesIl s’agissait d’une étude transversale réalisée auprès des patients bipolaires type I euthymiques et suivis en ambulatoire. Le recueil des données s’est fait au moyen d’une fiche qui comportait les données sociodémographiques et cliniques, la mesure de la phase thymique à l’aide de l’échelle de dépression de Hamilton et l’échelle de manie de Young et le Functioning Assessment Short Test.RésultatsPlus de la moitié de la population (53,3 %) avait une déficience fonctionnelle globale. La majorité des domaines spécifiques du fonctionnement étaient touchés. Nous avons trouvé un score HDRS relativement élevé (2,03 ± 2,3) en comparaison avec le score YMRS (0,6 ± 1,2). Le fonctionnement global était associé à l’âge (p = 0,025), au niveau scolaire (p = 0,027), à l’activité professionnelle (p = 0,001), au nombre d’épisodes maniaques (p = 0,013) et dépressifs (p = 0,003), au nombre d’hospitalisations (p = 0,023) ainsi qu’à un score HDRS plus élevé.ConclusionLes symptômes subsyndromiques qui persistent en périodes intercritiques de la maladie bipolaire sont fréquents, et ont un mauvais pronostic fonctionnel. Ils mettent en évidence le profil chronique et sévère de la maladie bipolaire, et la nécessité d’introduire des interventions thérapeutiques axées sur les symptômes dépressifs résiduels dans le but d’améliorer le fonctionnement.

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