Статті в журналах з теми "Survie sans récidive"

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Guillemin, F., F. Marchal, and M. Geffroy. "Évaluation d’un second traitement chirurgical conservateur pour récidive locale d’un cancer du sein." Oncologie 21, no. 1-4 (January 2019): 22–28. http://dx.doi.org/10.3166/onco-2019-0028.

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Анотація:
Objectif : Évaluation d’un deuxième traitement conservateur (T) [n = 41] par rapport à une mastectomie totale (M) [n = 93]. Étude rétrospective unicentrique de 134 patientes ayant présenté une récidive mammaire homolatérale isolée et opérable. Résultats : La survie globale à cinq ans est de 82,5 % dans les deux groupes. Pas de différence significative pour la survie spécifique et la survie sans métastase dans les deux groupes. Le contrôle local à cinq ans est de 92,9 % dans le groupe Met de 66,2 % dans le groupe T (RR de nouvelle récidive de 4,48). La présence d’emboles, le caractère multifocal et la révélation clinique de la récidive sont des facteurs pronostiques péjoratifs de survie. Sur l’ensemble de la série (n = 134), 25 (18,6 %) ont conservé leur sein. Conclusion : Pour minimiser le risque de récidive après un second traitement conservateur, on peut envisager cette chirurgie si la récidive est isolée, de petite taille, de bas grade, sans embole, et strictement unifocale. L’acte chirurgical doit assurer des marges saines et un résultat esthétique satisfaisant. La patiente participe au choix du traitement.
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Poghosyan, T., A. Dechartres, M. Chirica, J. Villa, N. Munoz-Bongrand, P. Cattan, and E. Sarfati. "Survie sans récidive après chirurgie dans le cancer de l’œsophage (422)." Journal de Chirurgie Viscérale 147, no. 4 (September 2010): 22–23. http://dx.doi.org/10.1016/s1878-786x(10)70050-4.

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Xylinas, E., M. Rink, V. Margulis, Y. Lotan, M. Zerbib, and S. Shariat. "Outil de prédiction de la survie sans récidive et de la survie spécifique des patients pT1-T3N0 après cystectomie radicale." Progrès en Urologie 22, no. 13 (November 2012): 761. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2012.08.048.

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Prost, P., M. Duraes, V. Georgescu, L. Rebel, G. Mercier, and G. Rathat. "Impact du volume de chirurgies du centre sur la survie globale et la survie sans récidive de patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire." Journal of Epidemiology and Population Health 72 (March 2024): 202349. http://dx.doi.org/10.1016/j.jeph.2024.202349.

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Dieng, MM, NF Kane Ba, N. Ben Amor, EHA Baldé, A. Dem, PM Gaye, and L. Kochbati. "C116: Toxicité cutanée tardive après radiothérapie hypo-fractionnée des cancers du sein post-mastectomie : A propos de 40 cas." African Journal of Oncology 2, no. 1 Supplement (March 1, 2022): S48. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c116.veof2707.

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Анотація:
INTRODUCTION : Le cancer du sein est le premier cancer chez la femme dans le monde et pose un véritable problème de santé publique. La radiothérapie externe qui est un traitement locorégional est indiqué dans la majorité des cas, diminue le taux de rechute locale et améliore la survie globale. On note un intérêt croissant pour les schémas hypo-fractionnés qui présentent un triple avantage : économie du système de santé et gain de temps pour les patientes et libération du temps de machine permettant de réduire le délai de prise en charge. Cependant, ils peuvent se compliquer d’effets secondaires à type de toxicité cutanée. MATERIELS ET METHODES : Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur des patientes atteintes d’un cancer du sein traité par mastectomie et radiothérapie hypo-fractionnée au CHU Abderrahman Mami de l’Ariana (Tunisie), sélectionnées sur une période de deux ans entre Janvier 2018 et Décembre 2020. RESULTATS : Nous avons retenu 40 patientes. L'âge moyen était de 51,07 ans avec un minimum de 30 ans et un maximum de 76 ans. Le délai moyen l’apparition des premiers symptômes et la date de la première consultation était de 2,5 mois avec des extrêmes d’un à 12 mois. La circonstance de découverte était dominée par l’autopalpation (67,5%), le reste était le dépistage et la découverte fortuite. Histologiquement, il y avait une nette prédominance du CCI (85%), les grades SBRII et III ont concerné 93% des tumeurs. Le type Lum B était majoritaire (80%). Les emboles vasculaires étaient positifs chez 58% des patientes. L'envahissement ganglionnaire était chez 60% des cas. La mammographie était faite chez 100% des cas. L'IRM indiquée sauf contre-indication, était faite chez six patientes, soit 15%. La TDM TAP était faite chez 100% des patientes. La TDM cérébrale était faite chez 100% des patients. La scintigraphie osseuse était faite chez 100% des patientes. Le stade T2 était majoritaire, représente 77,5% suivis par les stades T1(12,5%) et T3(10%). La mastectomie type Patey associée au curage axillaire était réalisée chez toutes les patientes (100%). La chimiothérapie adjuvante était réalisée chez 85% des cas, trois patientes ne l’avaient pas reçu selon l’état général (7,5%). L’hormonothérapie était réalisée chez 90% des cas. La thérapie ciblée était indiquée chez 30% des cas. La radiothérapie hypo-fractionnée était réalisée chez toutes les patientes avec une dose de 40,05 Gy, pendant trois semaines. La tolérance de la radiothérapie était globalement bonne, aucune toxicité cutanée aigue >2 n’avait été notée. La toxicité cutanée tardive était bonne, aucune toxicité cutanée >2 n’avait été notée. Quatre localisations métastatiques du cancer du sein ont été détectées (10% des cas). La survie sans métastase était de 100% a deux ans. La survie sans récidive locale était de 93,3% à 24 mois et de 75,7 % à 36 mois et la survie sans récidive médiane était de 42,7%. CONCLUSION : La radiothérapie hypo-fractionnée n’augmente pas la toxicité cutanée tardive.
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Koupparis, Anthony J., Jeremy P. Grummet, Antonio Hurtado-Coll, Robert H. Bell, Nicholas Buchan, Larry Goldenberg, and Martin E. Gleave. "Radical prostatectomy for high-risk clinically localized prostate cancer: a prospective single institution series." Canadian Urological Association Journal 5, no. 6 (April 15, 2013): 156. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.762.

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Анотація:
Objective: The objective of this paper is to report on the pathologicand biochemical progression-free outcomes of patients whounderwent radical prostatectomy for high-risk localized prostatecancer.Methods: Data was collected prospectively from 299 patients whounderwent radical prostatectomy for high-risk clinically localizedprostate cancer by 2 surgeons at a single institution. High risk wasdefined as 1 or more of 3 adverse factors: prostate-specific antigen(PSA) >20, biopsy Gleason score 8 to 10 and clinical stage T3. PSArecurrence was defined as PSA >0.4 ng/mL or any salvage therapy.Results: Median age was 63.3 years (46.1-75.9). Median followupwas 4.7 years (range 0.5-17.3 years). PSA at diagnosis was>20 ng/mL in 31.4%. Biopsy Gleason score was 8 to 10 in 66.9%.Clinical stage was T3 in 24.4%. 81.6% of patients had a singlebaseline risk factor, 15.7% had 2 risk factors and 2.7% had all 3risk factors. Neoadjuvant therapy was administered to 184 patients(61.5%). Pathologic stage was organ-confined in 39.6%, specimenconfinedin 26%, non-specimen-confined in 26.4%, and 8% hadlymph node positive disease. Overall survival, cancer-specificsurvival and biochemical progression-free survival was 99%,99.67% and 70.2%, respectively. Univariate analysis showed thatPSA at diagnosis, percentage of cores positive and number of riskfactors were predictors of PSA recurrence (p < 0.05). Multivariateanalysis showed that PSA at diagnosis was an independent predictorof PSA recurrence (p < 0.05).Conclusion: Radical prostatectomy is associated with favourablebiochemical progression-free, clinical and overall survival inselected men with high-risk localized prostate cancer, and shouldtherefore be considered an option in these patients. Baseline PSA>20 ng/mL is a significant independent predictor of PSA recurrence.Objectif : L’objectif de cet article est de faire rapport sur les résultatsquant à la survie sans progression pathologique et biochimique despatients ayant subi une prostatectomie radicale pour traiter uncancer de la prostate localisé à risque élevé.Méthodologie : Les données ont été recueillies de manièreprospective chez 299 patients ayant subi une prostatectomieradicale réalisée par 2 chirurgiens dans un même établissementpour traiter un cancer de la prostate à risque élevé cliniquementlocalisé. Un risque élevé était défini comme au moins 1 des 3facteurs négatifs suivants : taux d’antigène prostatique spécifique(APS) > 20, score de Gleason de 8 à 10 à la biopsie, stade cliniqueT3. Une récidive avec anomalie de l’APS a été définie comme untaux d’APS > 0,4 ng/mL ou le recours à tout traitement de sauvetage.Résultats : L’âge médian était de 63,3 ans (46,1 à 75,9). Le suivimédian était de 4,7 ans (0,5 à 17,3 ans). Le taux d’APS au momentdu diagnostic était > 20 ng/mL chez 31,4 % des patients. Le scorede Gleason à la biopsie était de 8 à 10 dans 66,9 % des cas. Lestade clinique était de T3 dans 24,4 % des cas; 81,6 % des patientsprésentaient un seul facteur de risque au départ, 15,7 % présentaient2 facteurs de risque et 2,7 % présentaient les 3 facteurs de risque.Un traitement néoadjuvant a été administré à 184 patients(61,5 %). Le stade pathologique était confiné à l’organe dans39,6 % des cas, confiné à l’échantillon dans 26 % des cas, et nonconfiné à l’échantillon dans 26,4 % des cas; 8 % des patientsprésentaient une atteinte des ganglions lymphatiques. La survieglobale, la survie spécifique au cancer et la survie sans progressionbiochimique étaient de 99 %, 99,67 % et 70,2 %, respectivement.L’analyse univariée a montré que le taux d’APS au moment dudiagnostic, le pourcentage de carottes biopsiques positives et lenombre de facteurs de risque étaient des facteurs prédictifs derécidive avec anomalie de l’APS (p < 0,05). L’analyse multivariéea montré que le taux d’APS au moment du diagnostic était unfacteur prédictif indépendant de récidive avec anomalie de l’APS(p < 0,05).Conclusion : La prostatectomie radicale est associée à unesurvie sans progression biochimique, une survie clinique et unesurvie globale favorables chez des patients sélectionnés atteintsd’un cancer de la prostate localisé à risque élevé, et devrait êtreconsidérée comme une option de traitement chez ces patients.Un taux d’APS au départ > 20 ng/mL est un facteur de prédictionindépendant significatif de récidive avec anomalie de l’APS.
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Raillat, J., J. Grillot, A. Vienot, D. Vernerey, F. Fein, C. Turco, B. Heyd, et al. "Valeur prédictive de la sarcopénie et de la lymphopénie préopératoires sur la survie sans récidive dans l’adénocarcinome pancréatique opérable." Nutrition Clinique et Métabolisme 33, no. 1 (March 2019): 66. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2019.01.343.

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Roux, V., R. Eyraud, L. Brureau, G. Gourtaud, C. Senechal, M. Fofana, and P. Blanchet. "Impact du score de Gleason sur la survie sans récidive biologique après prostatectomie totale pour cancer avec marges chirurgicales positives." Progrès en Urologie 27, no. 8-9 (June 2017): 467–73. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2017.05.003.

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Mamelle, E., and D. Hartl. "Impact de l’évidement ganglionnaire cervical prophylactique sur la survie sans récidive et le retraitement des carcinomes différenciés de la thyroïde." Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale 130, no. 4 (October 2013): A63. http://dx.doi.org/10.1016/j.aforl.2013.06.528.

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MALGRAS, B., X. DURAND, A. SALIN, M. DUSAUD, B. MOLINARD, and A. HOULGATTE. "Prise en charge des tumeurs du rein de petite taille: étude à propos de 91 néphrectomies partielles." Médecine et Armées Vol. 41 No. 3, Volume 41, Numéro 3 (June 1, 2013): 271–76. http://dx.doi.org/10.17184/eac.6684.

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Анотація:
Le cancer du rein est actuellement diagnostiqué de manière fortuite dans 70 % des cas. Ainsi les tumeurs du rein prises en charge sont de plus en plus petites, avec près de 70 % des tumeurs inférieures ou égales à 4 cm. C’est ainsi que la néphrectomie partielle est devenue le traitement de référence des tumeurs du rein de petite taille dans un but de préservation néphronique. Cependant un tiers des petites tumeurs rénales sont bénignes posant alors la question d’un geste chirurgical systématique, d’une biopsie pré-opératoire ou d’un geste de destruction percutané. Cette étude à propos de 91 néphrectomies partielles a permis de confirmer les bons résultats de cette intervention au niveau morbi-mortalité ainsi qu’au niveau de la survie globale et sans récidive. Elle s’impose donc comme le traitement de référence de ces petites tumeurs du rein. En cas de doute diagnostique, une biopsie peut être réalisée ; celle-ci doit être également réalisée avant un geste de destruction percutané ou une surveillance active en cas de contre-indication à la chirurgie.
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Fahmy, Nader, Armen Aprikian, Mohammed Al-Otaibi, Simon Tanguay, Jordan Steinberg, Suganthiny Jeyaganth, Moamen Amin, and Wassim Kassouf. "Impact of treatment delay in patients with bladder cancer managed with partial cystectomy in Quebec: a population-based study." Canadian Urological Association Journal 3, no. 2 (April 25, 2013): 131. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.1045.

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Анотація:
Objective: Treatment delays have been associated with adverseoutcomes in patients with bladder cancer treated with radical cystectomy(RC). We sought to evaluate the impact of treatment delayon disease recurrence and survival in patients with bladder cancertreated with partial cystectomy (PC) in Quebec.Methods: We reviewed and obtained billing records for allpatients who underwent PC and/or RC for bladder cancer inQuebec between 1983 and 2005. Analysis included age, sex,year of surgery, surgeon’s age, hospital type, preoperative andpostoperative visits with accompanying diagnoses and datesof death.Results: A total of 714 patients underwent PC. The median patientage was 70 years. Two-hundred nineteen (30.7%) patients experiencedrecurrence; of these, 52 (23.7%) required salvage RC.Five-year overall and recurrence-free survival for patients whounderwent PC were 49.8% and 40.3%, respectively. Patientsdelayed more than 12 weeks from transurethral resection of bladdertumours (TURBT) to PC were at significantly increased riskof requiring salvage RC compared with those delayed 12 weeksor less (hazard ratio [HR] 3.0, p < 0.001). Patients who underwentsalvage RC had worse survival than patients who had upfrontRC (HR 1.5, p = 0.006). Variables including age, sex, presenceof hematuria, intravesical therapy, surgeon age, hospital PC volume,surgeon PC volume, type of hospital (academic v. nonacademic)or year of surgery were not significantly associated withPC treatment delay.Conclusion: Treatment delay in patients with bladder cancer managedwith PC was associated with increased risk of salvage RC.Patients with bladder cancer who underwent salvage RC had worseoutcomes than those who had upfront cystectomy.Objectif : Chez les patients atteints de cancer de la vessie traitéspar cystectomie radicale (CR), un délai avant l’instauration dutraitement est associé à des résultats défavorables. Nous avonstenté d’évaluer l’impact d’un tel délai sur la récidive de la maladieet le taux de survie des patients atteints de cancer de la vessietraités par cystectomie partielle (CP) au Québec.Méthodologie : Les dossiers de facturation ont été obtenus pourles patients ayant subi une CP et/ou une CR pour le traitement d’uncancer de la vessie au Québec de 1983 à 2005. L’analyse tenaitcompte de l’âge, du sexe, de l’année de l’intervention chirurgicale,de l’âge du chirurgien, du type d’hôpital, des visites préopératoireset postopératoires, des comorbidités et des dates de décès.Résultats : En tout, 714 patients dont l’âge moyen était de 70 ansont subi une CP. De ce nombre, 219 patients (30,7 %) ont présentéune récidive, dont 52 (23,7 %) nécessitant une CR de sauvetage.La survie globale après 5 ans et la survie sans récidive chezles patients ayant subi une CP étaient respectivement de 49,8 %et de 40,3 %. Un intervalle supérieur à 12 semaines entre la résectiontransurétrale de la tumeur et la CP a été associé à un tauxaccru de CR de sauvetage en comparaison avec un intervallede 12 semaines ou moins (risque relatif [RR] 3,0, p < 0,001]. LaCR de sauvetage était associée à un taux inférieur de survie encomparaison avec les patients traités par CR dès le départ (RR 1,5,p = 0,006). Les autres variables, soit l’âge, le sexe, la présenced’une hématurie, le recours à une thérapie intravésicale, l’âgedu chirurgien, le nombre de CP effectuées à l’hôpital, le nombrede CP effectuées par le chirurgien, le type d’hôpital (universitaireou non universitaire), et l’année de l’intervention chirurgicalen’ont pas été associées de façon significative au délaiavant la CP.Conclusion : Le délai avant l’instauration du traitement chez lespatients atteints de cancer de la vessie traités par CP a été associéà un taux accru de CR de sauvetage. Les patients atteints decancer de la vessie qui ont subi une CR de sauvetage présentaientune issue de la maladie moins favorable que les patients traitéspar cystectomie dès le départ.
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Pastori, J., L. Balssa, J. Lillaz, G. Guichard, É. Chabannes, S. Bernardini, H. Bittard, A. Thiery-Vuillemin, and F. Kleinclauss. "Existence de grade 5 sur pièce de prostatectomie totale : facteur de mauvais pronostic associé à une moindre survie sans récidive biologique." Progrès en Urologie 24, no. 7 (June 2014): 433–40. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2014.03.002.

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Gemsenjäger, Valko,, and Schweizer. "Morbus Basedow." Praxis 91, no. 6 (February 1, 2002): 206–15. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.6.206.

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Анотація:
Introduction: Le traitement chirurgical de la maladie de Basedow présente des progrès basés sur de nouveaux concepts pathogéniques et une morbidité chirurgicale plus basse. Etude: De 1989 à 2000, 81 patients consécutifs ont été analysés de façon prospective et traités par résection large ou totale de la thyroïde par une technique opératoire de dissection de la capsule. Le follow-up postopératoire de 80 patients était de 3–132 mois (moyenne 30, médiane 19 mois). Résultats: Les patients (89% des femmes) étaient âgés de 11–79 ans (médiane 35), la durée anamnéstique était de 1 mois à 26 ans (médiane 2 ans). Ces opérations pour maladie de Basedow représentaient 9% de toutes les opérations sur la thyroïde et 50% sur celles effectuées pour hyperthyroïdie. Les indications les plus fréquentes étaient une persistance et une récidive, une orbitopathie et un goitre important. 97% ont été traités en phase préopératoire par des thyréostatiques, 82% par solution de Lugol, 50% par du propranolol. La fréquence de thyroïdectomie totale a augmenté de 0% au début à 87% (durant les 3 dernières années) (p<0.0001), le tissu thyroïdien résiduel a diminué d'une médiane de 3.5 g à 0 g, le poids du tissu réséqué était de 20–255 g, médiane 70. Des diagnostiques concomitants étaient: 23% des malades avaient un nodule colloide ou adénomateux, 6% un microcarcinome papillaire, 4% un carcinome papillaire ou folliculaire clinique; une malade avait un adénome parathyroïdien. Les complications chirurgicales ont été - deux instances d'hémorrhagie postopératoire nécéssitant une réintervention d'urgence, – une lésion permanente du récurrent (0.6% des nerfs exposés). Résultats fonctionnels: une récidive d'hyperthyroïdie nécéssitant une nouvelle ablation est survenue 1 mois jusqu'à 8 ans après l'opération chez 6 patients (8%,) (15% après résection subtotale), et un autre patient a développé une récidive préclinique 11 ans après l'opération. La substitution était inadéquate (hyperthyroïdie ou hypothyroïdie) chez 16/73 patients (20%). En cas de masse thyroïdienne résiduelle < 3 g, la survie sans récidive à 10 ans était de 100% vs 89.5%, 69.8% et 55.8% (p=0.002) après 1 an, 5ans et 10 ans ches les malades ayant une masse résiduelle mesurant 3 à 6 grammes. L'ophtalmopathie s'est améliorée en phase postopératoire chez 33/47 patients (70 %) et elle s'est aggravée chez 5 patients (10 %), indépendamment d'une résection totale ou subtotale. Conclusion: Une thyroïdectomie radicale (< 3 g de tissu résiduel) ou totale est nécessaire pour obtenir une absence de récidive. La fonction spontanée du tissu thyroïdien résiduel (stimulé par TRAb ou TSH) peut varier à long terme et rend une substitution difficile. Une thyroïdectomie totale (ou near total) est l'opération de choix avec une faible morbidité opératoire. Les progrès chirurgicaux sont l' affinement de la technique et la dissection capsulaire.
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Schwegler and Puric. "Mammakarzinom: Was brachten adjuvante Therapien nach Ablatio? Überblick über unsere Ergebnisse über >= 20 Jahre." Praxis 91, no. 38 (September 1, 2002): 1541–51. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.38.1541.

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Анотація:
Ce travail présente les résultats de 626 patientes qui ont subi une ablation mammaire avec irradiation loco-régionale consécutive. Chez 49.5% (310/626), le traitement s'est limité à une irradiation loco-régionale. 32.8% (205/626) ont été traitées par tamoxifène et 17.7% (111/626) par chimiothérapeutique adjuvante avec ou sans tamoxifène. La classification TN a été basée sur les résultats anatomo-pathologiques. L'âge médian était de 59 ans (25-91), la médiane du temps d'observation de 180 mois (60-265). Le taux de récidive locale était de 7.1% et de métastases à distance de 40.4%. 35.6% des patientes sont décédées des conséquences de la tumeur primaire et 20.3% d'une autre cause. La survie tumorale spécifique était de 76% sans adénopathies axillaires, de 55% en cas d'atteinte de 1 à 3 ganglions lymphatiques et de 30% en cas d'atteinte de plus de 3 ganglions. Un profil de risque rétrospectif a permis de déterminer le status des ganglions lymphatiques, l'invasion vasculaire et la taille initiale de la tumeur comme facteurs significatifs et pronostiques. En leur présence, le taux de récidive locale augmente de deux à six fois. On observe des différences importantes des résultats selon le traitement chez les collectifs à haut risque avec une survie tumorale spécifique à 20 ans de 26 à 47% et une différence statistiquement significative en faveur du groupe traité par chimiothérapie. La comparaison de la survie tumorale spécifique à 20 ans est de 65% à 72% si l'on exclut les facteurs de risque cités auparavant. Une différence statistique n'est de loin pas atteinte (p = 0.8) entre les diverses modalités thérapeutiqes des groupes à faible risque. Une attention spéciale est accordée à l'évaluation des ganglions axillaires. 59.6% (248/626) des patientes n'avaient initialement pas de métastases ganglionnaires, 76.2% (189/248) n'ont pas développé de métastases à distance. Chez 78.4% (149/190), on s'est contenté d'une irradiation loco-régionale. Dans 60.4% (378/626), l'histologie axillaire était positive. 48.7% (184/378) des patientes n'avaient pas de métastases à distance. 19.6% (36/184) ont reçu une chimiothérapie adjuvante, 49.4% (91/184) ont été traitées, en plus, par tamoxifène alors que l'on s'est contenté chez 31% (57/184) d'une irradiation loco-régionale. Lorsque 1 à 3 ganglions étaient positifs, chez 58.4% (108/185), une dissémination n'a été constatée ni cliniquement ni radiologiquement. Il est possible que c'est grâce à l'efficacité de la chimiothérapie et du tamoxifène que seulement 38.2% (13/34), respectivement 34.3% (23/67), ont développé des métastases à distance. Contrairement, en cas d'atteinte >= 4 ganglions: 76.2% (48/63) des patientes sous chimiothérapie et 85.1% (23/27) avec invasion vasculaire ont développé des métastases à distance. On ne peut pas exclure un effet contraire au but du traitement. Ces chiffres illustrent le fait qu'une atteinte axillaire peut être l'expression d'une généralisation ultérieure mais ne doit pas être le signe avant-coureur d'une diffusion tumorale. Les complications post-thérapeutiques de notre collectif se sont révélées faibles. Le taux d'infarctus du myocarde n'était pas plus élevé. On n'a pas constaté de lésions nerveuses dues à l'irradiation. Il n'y a aucune raison de renoncer aux avantages d'une radiothérapie postopératoire en raison d'effets secondaires potentiels.
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Basset, V., A. De Fourmestraux, A. Campeggi, Y. Allory, D. Vordos, R. Yiou, A. Hoznec, C. Abbou, A. De La Taille, and L. Salomon. "Rôle de la longueur totale d’effraction capsulaire sur la survie sans récidive biologique en cas tumeur de stade pt3a n0 après prostatectomie totale." Progrès en Urologie 22, no. 13 (November 2012): 798–99. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2012.08.133.

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Rizk, J., A. Ouzzane, V. Flamand, J. C. Fantoni, P. Puech, X. Leroy, and A. Villers. "Survie sans récidive biologique à long terme après prostatectomie totale pour cancer : analyse comparative selon la voie d’abord et le stade clinico-pathologique." Progrès en Urologie 25, no. 3 (March 2015): 157–68. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2014.12.004.

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17

Moog, S., F. Castinetti, C. Do Cao, L. Amar, J. Hadoux, C. Lussey-Lepoutre, F. Borson-Chazot, et al. "Analyse de la survie sans récidive des phéochromocytomes localement avancés : Première étude rétrospective du réseau COMETE et du Groupe des Tumeurs Endocrines (GTE)." Annales d'Endocrinologie 81, no. 4 (September 2020): 171. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2020.07.101.

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18

Lacaze, L., D. Bergeat, C. Rousseau, L. Sulpice, K. Boudjema, and R. Thibault. "L’augmentation de la graisse viscérale mesurée par une tomodentistométrie abdominale est associée à une baisse de la survie globale et de la survie sans récidive après résection hépatique curative du cholangiocarcinome intrahépatique." Nutrition Clinique et Métabolisme 34, no. 1 (April 2020): 31. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2020.02.224.

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19

Misrai, V., C. Do, J. M. Lhez, B. Elman, I. Latorzeff, D. Portalez, and P. Grosclaude. "Impact de la prise de statines sur les groupes à risques de progression de D’Amico et la survie sans récidive biologique après prostatectomie totale." Progrès en Urologie 22, no. 5 (April 2012): 273–78. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2011.11.001.

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20

Fassio, F., I. Raingeard, M. C. Eberle, R. Garrel, E. Renard, and J. Bringer. "Analyse descriptive et devenir des cancers thyroïdiens à haut risque sur la région Languedoc-Roussillon. Évaluation des facteurs pronostiques de la survie sans récidive." Annales d'Endocrinologie 76, no. 4 (September 2015): 356. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2015.07.179.

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21

Weber, J., M. Del Vecchio, M. Mandalá, H. Gogas, A. M. Arance, S. Dalle, C. L. Cowey, et al. "Nivolumab (NIVO) vs ipilimumab (IPI) en traitement adjuvant du mélanome de stade III/IV opéré : résultats de survie sans récidive (SSR) et de survie globale (SG) à 4 ans de l’essai CheckMate 238." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 147, no. 12 (December 2020): A78—A79. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2020.09.016.

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22

Diallo, EMM, JC Ndiaye, AEH Dia, S. Huchard, NF Kane Ba, E. Lionel, H. Rachidou, et al. "C72: Gestion des sarcomes phyllodes : Une étude rétrospective de 12 cas." African Journal of Oncology 2, no. 1 Supplement (March 1, 2022): S31. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c72.wffd6901.

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Анотація:
INTRODUCTION : Les sarcomes phyllodes sont rares. Il n'y a pas assez de données pour codifier la prise en charge. L'objectif était d'étudier les aspects cliniques et thérapeutiques et le devenir des patients après un suivi d'au moins de quatre ans et de contribuer ainsi au corpus limité de connaissances sur ces tumeurs. MATERIELS ET METHODES : Une analyse rétrospective des dossiers de 2013 à 2017 a été réalisée et les patients ont été suivis jusqu'en 2021 à l'Hôpital Hassan II. Les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques ont été étudiés. La survie a été calculée par la méthode de Kaplan-Meier. RESULTATS : Nous avons recueilli 12 dossiers de patients traités pour un sarcome phyllode de 2013 à 2017. L'âge médian était de 43 ans. La circonstance de découverte était marquée par la présence d'un nodule chez tous les patients. L'examen d'écho-mammographie couplée a classé les nodules, ACR 4 chez sept patients et ACR 3 chez trois et ACR 5 chez deux patients. L'examen histologique a révélé un sarcome phyllode chez 11 patients et une tumeur phyllode borderline chez un patient. Tous les patients ont subi une chirurgie radicale avec des marges positives chez deux patients, soit 16,66%. Un patient a subi une reprise chirurgicale. L'examen histologique des pièces chirurgicales a montré un sarcome phyllode sur toutes les pièces. Tous les patients ont reçu une radiothérapie adjuvante avec des doses de 50 Gy en 25 fractions de deux Gy et un boost de 10 Gy a été effectué chez un patient. L'étalement médian de la radiothérapie était de 37 jours. Des toxicités cutanées de grade 1 et 2 ont été notées chez cinq et trois patients respectivement. Le délai médian entre la chirurgie et la radiothérapie était de 2,95 mois. Trois patients ont rechuté après 13,6 mois de suivi. La survie sans récidive à un et trois ans était de 83% et 75% respectivement. La survie globale à trois et cinq ans était de 83% et 75% respectivement. CONCLUSION : Il s'agit d'une entité rare qui nécessite des essais randomisés pour codifier sa prise en charge. Il semblerait que l'approche multidisciplinaire, associant chirurgie ± radiothérapie, soit une bonne option.
23

Amandine, N., A. Masson-lecomte, J. Mordoch, Y. Allory, D. Vordos, R. Yiou, A. Hoznek, A. De la taille, and L. Salomon. "Le score de Gleason après prostatectomie totale de l’ISUP 2005 à l’ISUP 2014 : impact sur la survie sans récidive biologique : proposition d’un nouveau groupe pronostic." Progrès en Urologie 26, no. 13 (November 2016): 772. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2016.07.210.

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Houard, C., V. Vendrely, J. Pinaquy, T. Haaser, H. de Clermont, A. Cazeau, J. Allard, H. Laharie, and P. Fernandez. "La TEP au (18F)-FDG 5mois après la chimioradiothérapie du cancer du canal anal est prédictive de la probabilité de survie sans récidive à 2ans." Cancer/Radiothérapie 18, no. 5-6 (October 2014): 588–89. http://dx.doi.org/10.1016/j.canrad.2014.07.016.

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25

Houard, C., V. Vendrely, H. Fernandez, H. De Clermont, J. B. Allard, A. L. Cazeau, H. Laharie, L. Bordenave, and J. B. Pinaquy. "Le TEP-scanner au 18F-FDG après radio-chimiothérapie du cancer du canal anal est prédictif de la survie globale et sans récidive à deux ans." Médecine Nucléaire 39, no. 3 (May 2015): 251. http://dx.doi.org/10.1016/j.mednuc.2015.03.157.

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Groheux, D., A. Sanna, M. Majdoub, P. De Cremoux, M. Espie, P. Merlet, D. Visvikis, M. Hatt, M. Resche-Rigon, and E. Hindie. "Est-ce que la TEP-FDG peut prédire la survie sans récidive des patientes traitées par une chimiothérapie néoadjuvante pour un cancer du sein ER+/HER2− ?" Médecine Nucléaire 39, no. 3 (May 2015): 257. http://dx.doi.org/10.1016/j.mednuc.2015.03.176.

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Roux, V., R. Eyraud, L. Brureau, G. Gourtaud, C. Moureaux, C. Senechal, and P. Blanchet. "Le score de Gleason a-t-il le même impact que le stade pathologique sur la survie sans récidive biologique après prostatectomie radicale avec marges positives ?" Progrès en Urologie 27, no. 13 (November 2017): 783–84. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2017.07.204.

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Eyraud, R., P. Nevoux, C. Sénéchal, J. Casenave, M. Fofana, G. Agoua, Y. Bentaleb, G. Gourtaud, and P. Blanchet. "Facteurs prédictifs de survie sans récidive biologique après marges positives post-prostatectomie totale, le score de Gleason post-opératoire a-t-il le même impact que le stade pathologique ?" Progrès en Urologie 22, no. 13 (November 2012): 799–800. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2012.08.135.

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29

Muscari, F., P. Trocard, J. P. Guinard, B. Foppa, R. Guimbaud, G. Fourtanier, and B. Suc. "P.225 Influence de la marge de résection sur la survie globale (SG) et sans récidive (SSR) à 3 ans, après hépatectomies majeures pour métastases d’origine colo-rectale (MHCR) ?" Gastroentérologie Clinique et Biologique 33, no. 3 (March 2009): A161. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-8320(09)72916-1.

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30

Muscari, F., B. Foppa, P. Trocard, N. Kamar, J. P. Guinard, N. Carrère, J. M. Peron, G. Fourtanier, B. Pradère, and B. Suc. "P.124 Quels malades doit-on transplanter après résection pour CHC sur cirrhose ? Etude des facteurs pronostiques de survie sans récidive (SSR) de 2 cohortes de malades réséqués et transplantés." Gastroentérologie Clinique et Biologique 33, no. 3 (March 2009): A80. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-8320(09)72755-1.

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31

Dubray, B., S. Mezzani-Saillard, A. Édet-Sanson, J. F. Ménard, R. Modzelewski, S. Thureau, M. E. Meyer, et al. "La SUVmax (standard uptake value maximale) mesurée en cours de radiothérapie pour cancer bronchique non à petites cellules est prédictive de la survie sans récidive à un an : étude prospective et multicentrique." Cancer/Radiothérapie 17, no. 5-6 (October 2013): 577. http://dx.doi.org/10.1016/j.canrad.2013.06.009.

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Muscari, F., P. Trocard, R. Guimbaud, P. Rivera, S. Le Guellec, P. Otal, and B. Suc. "La réponse des métastases hépatiques d’origine colo-rectale (MHCR) à la chimiothérapie néo-adjuvante (CNA) a-t-elle une influence sur la survie globale (SG) et sans récidive (SSR) après résection hépatique ? (16)." Journal de Chirurgie Viscérale 147, no. 4 (September 2010): 2. http://dx.doi.org/10.1016/s1878-786x(10)70009-7.

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33

Dieng, MM, O. Siby, A. Baldé, AS Badiane, A. Sall, I. Thiam, and NF Kane Ba. "C106: Radiothérapie des cancers du col de l'utérus stade IVA : A propos de 24 cas." African Journal of Oncology 2, no. 1 Supplement (March 1, 2022): S44—S45. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c106.zpob3471.

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Анотація:
INTRODUCTION : Les cancers du col utérins sont relativement fréquents dans les services de radiothérapie en Afrique. La prise en charge des cancers localement avancés repose sur une radio-chimiothérapie suivie d’une curiethérapie utérovaginale. Nous avons mené une étude rétrospective pour évaluer la radiothérapie dans les cancers du col utérin stade IV. MATERIELS ET METHODES : C’est une étude rétrospective, descriptive. Elle porte sur toutes les patientes présentant un carcinome du col de l’utérus de stade IVA ayant reçu une radiothérapie à l’Institut Joliot Curie de l’Hôpital Aristide le Dantec. Elle concerne la période allant de Janvier 2018 à Décembre 2019. Au total, 24 patientes ont été recrutées. RESULTATS : La moyenne d’âge de nos patientes était de 51 ans, avec des extrêmes de 34 et 78 ans. L’âge à la première grossesse était en moyenne de 17,87 ans. La grande multiparité a été retrouvée chez 16 de nos patientes, soit 66,16% des cas. Les métrorragies et les hydrorrhées ont été retrouvées chez toutes les patientes. Les douleurs pelviennes, troubles urinaires, troubles digestifs ont été retrouvés chez respectivement 87,5%, 58,3% et 29,2% des patientes. Dix-sept patientes (70,9%) avaient un état général altéré. Le type histologique prédominant était le carcinome épidermoïde retrouvé dans 22 cas (91,6%). L’anémie a été retrouvé chez 14 patientes, soit 58,4%. Une chimiothérapie néoadjuvante a été faite chez 21 de nos patientes (87,5%). Les patientes ont reçu entre trois et 12 cures. Le protocole de chimiothérapie le plus utilisé était à base de carboplatine + paclitaxel. La radiothérapie a été exclusive chez 20 patientes, une radio-chimiothérapie concomitante a été faite chez quatre patientes. Une radiothérapie normo-fractionnée à visée curative a été faite chez 13 patientes soit 54,2% et une radiothérapie hypo-fractionnée à visée palliative a été faite chez les 11 autres patients soit 45,8%. Aucune patiente n’a eu une intervention chirurgicale. Une réponse objective a été retrouvée dans 17 cas (70,8%) dont huit chez les patientes qui ont reçu une radiothérapie hypo-fractionnée et neuf chez les patientes traitées par radiothérapie normo-fractionnée à dose curative. Cinq patientes (20,8%) ont eu une toxicité aigüe et sept (29,2%) une toxicité tardive. Après trois ans de suivi : cinq patientes (29,2%) ont eu une poursuite évolutive locorégionale, neuf patientes (37,5%) ont présenté une récidive locorégionale, quatre patientes (16,7%) ont présenté des métastases à distance. Les métastases étaient ganglionnaires et pulmonaires. La survie globale était de 65,6% à un an et de 26,8% à trois ans. La survie sans maladie était de 37,5% à un an et de 12,5% à trois ans. CONCLUSION : La radiothérapie à visée normo-fractionnée ne semble pas supérieure à la radiothérapie hypo-fractionnée palliative en termes de réponse clinique dans le cancer du col de stade IVA.
34

Thorin, J., A. Nourissat, F. Merquiol, A. S. Montelimard, S. Laporte, and S. Molliex. "Analyse par score de propension. Exemple d’application à une étude observationnelle évaluant l’impact de l’anesthésie péridurale cervicale sur la survie sans récidive en chirurgie du cancer du larynx et de l’hypo-pharynx (Saint-Étienne, France)." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 59 (April 2011): S20. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2011.02.014.

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35

Arnaud, Q., I. Dominique, I. Jacques, and S. Philippe. "Que faire lors d’une résection trans urétrale de vessie (RTUV) de second look positive ? Résultats d’une étude multicentrique comparant la survie globale, sans récidive et sans progression des patients selon la prise en charge de leur tumeur de vessie non infiltrant le muscle (TVNIM) de haut risque." Progrès en Urologie 31, no. 13 (November 2021): 871. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2021.08.208.

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36

Wislez, M., J. Mazières, A. Lavole, G. Zalcman, O. Carre, T. Egenod, R. Caliandro, et al. "La réponse pathologique est un facteur pronostique indépendant de survie globale (SG) et sans récidive (SSR) après durvalumab en néo-adjuvant dans les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) résécables dans l’essai de phase 2 IFCT-1601 IONESCO." Revue des Maladies Respiratoires Actualités 14, no. 1 (January 2022): 10. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmra.2021.11.012.

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37

Lebret, T., M. Galsky, J. Witjes, J. Gschwend, M. Schenker, B. Valderrama, Y. Tomita, et al. "Résultats actualisés de survie sans maladie (DFS) de l’essai de phase 3 CheckMate 274, évaluant le nivolumab en adjuvant chez les patients atteints d’un carcinome urothélial infiltrant le muscle à haut risque de récidive (CUIM-HR) après exérèse complète." Progrès en Urologie - FMC 32, no. 3 (November 2022): S97—S98. http://dx.doi.org/10.1016/j.fpurol.2022.07.122.

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Denis, Fabrice. "Suivi et survie des patients atteints de cancer du poumon par web-application." médecine/sciences 34, no. 6-7 (June 2018): 590–94. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183406020.

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Анотація:
La e-santé est à la mode, mais les éléments cliniques démontrant son utilité sont rares et se limitent à de la transmission de données relatant des symptômes, sans analyse spécifique. La théorie du chaos est applicable à la dynamique du cancer. Elle apporte des possibilités d’utilisation de ses propriétés pour développer des outils pratiques de surveillance pertinents et validés pour les patients. La théorie du chaos déterministe est applicable à la compréhension de la dynamique tumorale du fait des interactions entre les cellules tumorales, endothéliales et immunitaires. La théorie de l’observabilité est une de ses propriétés qui suggère que le suivi de l’hôte (le patient, par ses symptômes et son poids) est une variable puissante pour évaluer la dynamique de la maladie et son impact. Le suivi intensif et l’analyse des symptômes des patients pour détecter des récidives et des complications cliniques par une web-application (MoovcareTM) ont démontré leur intérêt chez près de 300 patients dans 4 études prospectives dont 1 essai pilote montrant un bénéfice de 27 % en survie à 1 an, et un essai randomisé de phase 3 avec un bénéfice de 26 % de survie à 1 an, par rapport à un suivi classique. Six autres études de suivi intensif montrent des résultats favorables en oncologie pour un total de plus de 2 000 patients randomisés.
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Damsane, Lamdoni, Hicham Fenane, Rachid Taoufiq, Safa Sabur, Mohamed Caidi, Abdellah Achir, and Mohamed Bouchikh. "Survie et facteurs pronostiques des patients opérés pour cancer broncho-pulmonaire envahissant la paroi thoracique à l’hôpital Ibn Sina de Rabat (Maroc)." Advances in Thoracic Diseases 2 (July 5, 2020). http://dx.doi.org/10.15342/atd.2.143.

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Анотація:
Les cancers broncho-pulmonaires non à petite cellule (CBNPC) envahissant la paroi thoracique sont des cancers opérables au prix d’un sacrifice pariétal. Leur survie est estimée à 15 % à 5 ans dans la littérature. Les facteurs de mauvais pronostic notamment de récidive ont été diversement étudiés dans la littérature. L’objectif de notre travail est de décrire la survie globale et la survie sans récidive des patients opérés dans notre service pour cancer broncho-pulmonaire non à petites cellules envahissant la paroi thoracique (plèvre pariétale et paroi osseuse) et d’évaluer les facteurs pronostiques. Matériel et méthodes : Nous avons procédé à une étude rétrospective sur une série de cas de cancer broncho-pulmonaire envahissant la paroi thoracique opérée dans notre service entre 2010 et 2014. Nous avons analysé la survie globale et sans récidive selon la méthode de Kaplan-Meier selon plusieurs paramètres. Résultats : vingt neuf patients ont été opérés, tous étaient de sexe masculin, avec une moyenne d’âge de 57 ans. Le principal signe clinique retrouvé était la douleur thoracique. L’atteinte osseuse était retrouvée chez 7 patients 22 patients présentaient un envahissement de la plèvre pariétale seule. La résection a été en monobloc emportant le parenchyme pulmonaire et la paroi chez 23 patients. Les résections parenchymateuses étaient dominées par la lobectomie effectuée chez 23 patients (79,31%). Six patients ont été perdus de vue au cours du suivi. La survie globale des patients est en moyenne de 34 +/- 4,9 mois et la survie sans récidive est de 24 mois+/-5,53 mois chez 9 patients qui n’ont pas présenté de récidive (39,1%). Nous avons analysé la survie globale en fonction de l’atteinte osseuse, de la résection en monobloc et l’association à un traitement périopératoire.Le test de khi 2 était respectivement de p =0,659 ; p=0,194 ; p=,402. La survie sans récidive a été analysé selon les memes paramètres avec p = 0,197 ; p=0,055 ; p= 0,036 . Conclusion :Les CBNPC envahissant la paroi thoracique ne sont pas des limites à la résection chirurgicale. Outre le stade où un envahissement ganglionnaire médiastinal est confirmé, l association à un traitement adjuvant périopératoire semble avoir un impact sur l’amélioration de la survie et sur la survenue de la récidive.
40

Delhorme, J. B., and D. Goéré. "Traitement prophylactique des métastases péritonéales colorectales." Côlon & Rectum, 2020. http://dx.doi.org/10.3166/cer-2020-0161.

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Анотація:
Malgré l’efficacité des chimiothérapies systémiques actuelles associées aux thérapies ciblées et les différents traitements locorégionaux ayant permis d’augmenter la médiane de survie des patients atteints demétastases péritonéales d’origine colorectale (MPCCR) jusqu’à 41 mois, les MPCCR restent une maladie de mauvais pronostic, dont l’étendue (score PCI) et la possibilité d’une cytoréduction complète sont les facteurs pronostiques majeurs de survie. L’idée d’un traitement prophylactique est donc de prévenir la survenue de MPCCR ou de les traiter à un stade le plus précoce possible, idéalement encore infraclinique. Ce type de traitement peut s’envisager chez les patients à risque élevé de MPCCR. Malgré les bons résultats de survie sans récidive péritonéale observés lors d’études comparatives publiées dans les 20 dernières années, les deux essais randomisés récents évaluant la place d’une chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale à l’oxaliplatine adjuvante après résection d’un cancer colorectal à risque élevé de récidive péritonéale n’ont pas montré de bénéfice en termes de survie sans récidive, notamment péritonéale, en comparaison aux traitements standards. La place des traitements prophylactiques reste encore à l’étude, et d’autres essais randomisés sont nécessaires pour déterminer à quels patients ce type de traitement pourrait être bénéfique.
41

Dossou, Serpos, Laurianne James, Hanae Bakkali, Mohammed Afif, Leila Rahali, Joelle Irigo, Etienne Ogandaga, Tayeb Kebdani, Samir Ahid, and Noureddine Benjaafar. "Les facteurs pronostiques de survie sans récidive chez les patientes atteintes de tumeur du col de l’utérus." Pan African Medical Journal 21 (2015). http://dx.doi.org/10.11604/pamj.2015.21.305.5427.

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42

Gelli, M., and I. Sourrouille. "Métastases péritonéales de cancer colorectal Cas particuliers : découverte peropératoire, métastases péritonéales et autres sites métastatiques, récidive après chirurgie de cytoréduction." Côlon & Rectum, 2020. http://dx.doi.org/10.3166/cer-2020-0159.

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Анотація:
La survenue de métastases péritonéales de cancer colorectal (MPCCR) constitue un facteur péjoratif dans l’évolution du cancer colorectal, plus encore que pour les autres sites métastatiques. Leur traitement repose sur la chirurgie de cytoréduction complète (CRS). Lors de la résection de la tumeur primitive, une exploration péritonéale complète doit être systématiquement réalisée. En cas de découverte peropératoire de MPCCR, la stratégie chirurgicale doit être discutée en fonction de l’expertise locale et de l’étendue des MPCCR. Une CRS d’emblée peut éventuellement être réalisée en cas de MPCCR limitées à la zone péritumorale, sous réserve d’une exploration exhaustive réalisée par laparotomie. Dans les autres cas, le patient devrait être adressé dans un centre expert, et la CRS différée après une chimiothérapie préopératoire. La présence de métastases extrapéritonéales associées aux MPCCR est un facteur pronostique majeur. En cas de métastases hépatiques associées, la réalisation d’une chirurgie combinée est possible si à la fois la maladie péritonéale et la maladie hépatique sont peu étendues ; ce traitement apporte un bénéfice de survie par rapport au traitement systémique, malgré un risque de morbidité postopératoire plus élevé qu’en cas de CRS seule. En cas de métastases pulmonaires associées, un traitement local par thermoablation percutanée peut être envisagé, notamment chez les patients avec une maladie péritonéale limitée et sans métastases hépatiques. Après traitement chirurgical de MPCCR, une majorité de patients (plus de 80 %) présenteront une récidive qui sera exclusivement péritonéale dans un tiers des cas. Une CRS itérative est envisageable chez des patients bien sélectionnés (maladie péritonéale peu étendue, intervalle libre > 12 mois, CRS complète possible), avec des résultats de survie inférieurs à la CRS de première intention, mais meilleurs qu’en cas de chimiothérapie systémique seule.
43

Kuntz, Laure, Clara Le Fèvre, Carole Hild, Audrey Keller, Mousselim Gharbi, Carole Mathelin, Xavier Pivot, Georges Noël, and Delphine Antoni. "Survie globale et sans récidive locale en cas de radiothérapie du lit tumoral des carcinomes canalaires in situ du sein: revue de la littérature." Gynécologie Obstétrique Fertilité & Sénologie, January 2021. http://dx.doi.org/10.1016/j.gofs.2020.12.010.

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Cherif Benmoussa, Mahfoud, Zineb Rbibes, Lamia Hadj Safi, Riad Grari, and Mustapha Benmansour. "A better dialysis for a more successful transplantation." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS), June 30, 2017, 59–65. http://dx.doi.org/10.48087/bjmstfa.2017.4113.

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Анотація:
La transplantation rénale est une méthode de suppléance à l’insuffisance rénale chronique terminale. Elle offre bien des avantages à la dialyse, avec meilleure qualité de vie et une moindre morbi-mortalité. Cette alternative a dû se développer depuis le début du 20ème siècle. Les médecins ont dû résoudre des obstacles chirurgicaux, immunologiques, infectieux. La pratique a aussi connu des obstacles religieux, sociaux pour toujours céder à la promotion de la santé surtout devant des incidences de plus en plus importantes de la maladie rénale. Cette méthode doit être discutée avant même le stade terminal de la maladie. Des précautions et recommandations sont préconisées au cours du suivi de l’insuffisant rénal pour faciliter l’accès à la transplantation et pour garantir une bonne survie du futur greffon. Ces dernières sont représentées essentiellement par le dépistage et/ou le traitement des évènements cardiovasculaires, l’éviction de l’immunisation du patient et le diagnostic les néphropathies, surtout quand celles-ci risquent de récidiver. La transplantation d’organe nécessite un plateau technique bien établi, assez complexe avec la coordination de plusieurs intervenants : biologistes, microbiologistes, virologues, chirurgiens, radiologues, psychologues, immunologistes, équipes paramédicales et néphrologues. Il n’en est que cette activité est initiée au chevet d’un insuffisant rénal chronique qui peut être aperçoit la dialyse comme voie sans issue.

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