Добірка наукової літератури з теми "Sous-Étage"

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Статті в журналах з теми "Sous-Étage":

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Gautier, Jean-Jacques. "Les occupants du premier étage de l’aile du Midi à Versailles sous Louis XIV." Versalia. Revue de la Société des Amis de Versailles 14, no. 1 (2011): 63–92. http://dx.doi.org/10.3406/versa.2011.1127.

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Fourdrin, Jean-Pascal. "Vestiges d'un parapet antique près de la tour du Sacraire Saint-Sernin à Carcassonne." Journal of Roman Archaeology 15 (2002): 310–16. http://dx.doi.org/10.1017/s1047759400013994.

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Анотація:
Le front oriental de l'enceinte intérieure de la Cité de Carcassonne (fig. 1) conserve plusieurs tours remontant à la fin de l'Antiquité. Celle située au sud de la porte Narbonnaise, accès principal au site, tire son nom de l'intégration de son étage, au Moyen Âge, à l'église Saint-Sernin. A cette époque, le mur de la tour regardant vers l'intérieur de la ville fut démoli, le sol intérieur surcreusé, et l'arrondi concave de la pièce transformé en l'extrémité orientale de l'espace cultuel. Un agrandissement de la fenêtre centrale fut autorisé par une lettre patente du roi Charles VII en l'année 1441. Après la désaffectation de l'église sous la Révolution, la nef, les collatéraux et le clocher ne furent pas conservés. Dans le cadre de la longue campagne de restauration de la Cité entreprise au milieu du XIXe s., les vestiges de la tour firent l'objet de travaux tardivement, vers 1889, sous la direction de Paul Boeswillwald chargé du chantier depuis le décès d'Eugène Viollet-le-Duc. Le restaurateur refit une partie des parements intérieurs, ajouta de nouveaux moellons disposés en arrachement à l'ouest, et reprit toute la limite extérieure du couvrement (fig. 2). Sous la voûte médiévale, on remarque encore deux fenêtres de la fin de l'Antiquité, celles qui sont mentionnées dans la lettre royale. Leur arc à profil demi-circulaire est formé de briques. A mi-hauteur de leurs montants, moellons et briques alternent régulièrement.
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Thébaud, Gilles, Guillaume Choisnet, and Camille Roux. "Contribution to the survey of the heathlands of the french Massif central (habitats 4030 and 4060) : analysis of phytosociological data." BIOM - Revue scientifique pour la biodiversité du Massif central 2, no. 1 (June 1, 2021): 62–109. http://dx.doi.org/10.52497/biom.v2i1.283.

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Анотація:
À partir d’un échantillonnage initial de 990 relevés de landes du Massif central français, issu de la bibliographie et de recherches récentes sur le terrain, les auteurs réalisent une analyse globale puis des analyses partielles en MTC, CCA et DCA sur 675 relevés concernant les étages montagnard moyen et subalpin. Les résultats de cette révision conduisent à la caractérisation de seize associations végétales dont cinq nouvelles et quarante-sept sous-unités. Le sud et l’est du Massif central, Cévennes, Vivarais, Margeride, jusqu’ici moins bien connus, apportent le plus grand lot de nouveautés phytosociologiques. Ces communautés appartiennent à 2 classes phytosociologiques (Loiseleurio procumbentis-Vaccinietea microphylli et Calluno vulgaris-Ulicetea minoris) et 3 alliances dont le Genisto pilosae-Empetrion hermaphroditi all. nov. et le Genisto pilosae-Vaccinion Braun-Blanq. 1926. La nomenclature et la syntaxonomie de cette dernière alliance sont discutées et modifiées et une sous-alliance nouvelle y est créée (Vaccinienion myrtillo-uliginosi suball. nov.). Les communautés étudiées se différencient principalement en fonction de la disparité climatique du Massif, le gradient altitudinal, le substrat géologique et la topographie. Elles peuvent constituer des végétations stables ou entrent dans des successions dynamiques conduisant à des stades boisés. Leur caractérisation contribue à la connaissance de la compartimentation biogéographique et bioclimatique du Massif central, en rapport notamment avec les différences liées à la pluviométrie estivale, entre montagnes volcaniques nord-occidentales sous influence océanique, massifs internes au caractère subcontinental et bordure méridionale sous influence méditerranéenne. De même les végétations étudiées confirment un étage subalpin supérieur dans les quelques massifs qui dépassent 1600 m. La hiérarchisation des variables écologiques discriminantes pour ces végétations, la description de leurs conditions stationnelles et leur caractérisation dynamique au sein des espaces sylvo-pastoraux, donnent des éléments pour la gestion et la conservation des habitats d’intérêt européens correspondants, en particulier 4030 and 4060.
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Yancy, Briana M., Janine M. Antalffy, Michael G. Rowley, Cierra N. McKoy, Daniel C. Stonko, Lehron E. Rolle, Jennifer L. Christhilf, Scott B. Johnson, Shelley Cant-Woodside, and Kevin E. Omland. "Nest site characteristics of the Critically Endangered Bahama Oriole (<em>Icterus northropi</em>)." Journal of Caribbean Ornithology 33 (December 15, 2020): 95–103. http://dx.doi.org/10.55431/jco.2020.33.95-103.

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Анотація:
Abstract The Bahama Oriole (Icterus northropi) is a Critically Endangered species restricted to Andros in The Bahamas. Previous research suggested that the Bahama Oriole nested almost exclusively in coconut palms (Cocos nucifera) in developed habitats. In 2016, however, the Bahama Oriole was documented nesting in remote pine forests for the first time. Our goals were to document where orioles nest in pine forests and to characterize nest site vegetation to determine if orioles show a preference for specific habitat characteristics. Here, we document 12 pine forest nests: six nests in understory Key thatch palms (Leucothrinax morrisii) and six nests in Caribbean pines (Pinus caribaea). For each nest tree, we measured the tree height, tree diameter, and nest height. We also took measurements of habitat characteristics in 10-m and 100-m radius plots around the nest and compared these measurements to control plots. Orioles nested in a range of pine forest habitats. However, on average, Bahama Orioles nested in pine forests with more tall thatch palms (> 2 m tall) in the understory compared to control plots. They also tended to nest in the tallest thatch palms in the understory. The findings from this study further support the importance of protecting Bahamian pine forests on Andros. Keywords Bahama Oriole, endangered species, Icterus northropi, nesting habitat, The Bahamas Resumen Características del sitio de nidificación de Icterus northropi, especie En Peligro Crítico • Icterus northropi es una especie En Peligro Crítico restringida a Andros en las Bahamas. Investigaciones previas sugirieron que dicha especie nidificaba, casi de manera exclusiva, en cocoteros (Cocos nucifera) en entornos urbanizados. Sin embargo, en 2016 se documentó por primera vez que esta especie nidifica en pinares remotos. Nuestros objetivos fueron detectar los sitios de nidificación de estas aves en los pinares y caracterizar la vegetación circundante para determinar si esta especie muestra una preferencia por características específicas del hábitat. Documentamos 12 nidos en pinares: seis en el sotobosque de palmeras (Leucothrinax morrisii) y seis en en pinos (Pinus caribaea). Para cada árbol con nido medimos la altura del árbol, su diámetro y la altura del nido. También tomamos medidas de las características del hábitat en parcelas de 10 y 100 m de radio alrededor del nido y comparamos estas mediciones con parcelas de control. Las aves observadas nidificaron en una variedad de hábitats en los pinares. Sin embargo, en promedio, los individuos de esta especie anidaron en pinares con un sotobosque de palmeras más altas (más de 2 m de altura) comparadas con las de las parcelas de control. También tendieron a nidificar en las palmeras más altas del sotobosque. Los resultados de este estudio reafirman la importancia de proteger los pinares de las Bahamas en Andros. Palabras clave Bahamas, especie amenazada, hábitat de nidificación, Icterus northropi Résumé Caractéristiques des sites de nidification de l’Oriole des Bahamas (Icterus northropi), une espèce en danger critique d’extinction • L’Oriole des Bahamas (Icterus northropi) est une espèce en danger critique d’extinction, présente uniquement sur Andros aux Bahamas. Des recherches antérieures indiquaient qu’il nichait presque exclusivement dans les cocotiers (Cocos nucifera) des habitats anthropisés. En 2016, la nidification de l’espèce a cependant été observée pour la première fois dans des forêts de pins reculées. Notre objectif était de recueillir des informations sur les sites de nidification de l’Oriole des Bahamas dans ces pinèdes et d’en caractériser la végétation pour déterminer si cet oiseau montre une préférence pour certaines caractéristiques de l’habitat. Nous documentons ici 12 nids dans des forêts de pins: six dans le sous-étage de palmiers (Leucothrinax morrisii) et six dans les pins des Caraïbes (Pinus caribaea). Pour chaque arbre abritant un nid, nous avons mesuré la hauteur et le diamètre de l’arbre ainsi que la hauteur du nid. Nous avons également mesuré des caractéristiques de l’habitat dans des rayons de 10 m et de 100 m autour du nid et nous avons comparé ces mesures à celles des parcelles témoins. Les orioles nichaient dans divers habitats de pinèdes. Cependant, ils nichaient en moyenne dans des pinèdes présentant un sous-étage de palmiers plus élevé que dans les parcelles témoins (> 2 m de haut). Ils avaient aussi tendance à nicher dans les plus hauts palmiers du sous-étage. Les résultats de cette étude confirment encore l’importance de protéger les forêts de pins d’Andros aux Bahamas. Mots clés Bahamas, espèce en danger, habitat de nidification, Icterus northropi, Oriole des Bahamas
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Bendjaballah, Soumaya, Redha Lakehal, Farid Aimer, Rabeh Bouharagua, Radouane Boukarroucha, and Abdelmalek Brahami. "False aneurism of the aortic arch with bypass on the left lung. A case report." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 5, no. 1 (December 25, 2018): 82–83. http://dx.doi.org/10.48087/bjmscr.2018.5119.

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Анотація:
Introduction : La localisation anévrysmale au niveau de la crosse aortique est exceptionnelle, plus rare que celle d’aorte ascendante. C’est une affection grave vu le risque de rupture imposant une chirurgie urgente. Le diagnostic repose sur l’angioscanner et l’angioIRM thoracique. Ce cas est pour nous l’occasion de faire rappeler la gravité de cette affection aussi bien pour les malades que pour les chirurgiens cardiaques. Méthodes : Nous rapportons l'observation d'un adulte âgé de 53 ans aux antécédents d’une chute du premier étage d’un bâtiment il y a deux ans, hospitalisé pour exploration d’une hémoptysie de moyenne abondance et la découverte à la radiographie pulmonaire d’une opacité du lobe supérieur du poumon gauche. Devant cette image suspecte, un angioscanner thoracique a été réalisé montrant le faux anévrysme de la crosse aortique. L’ECG était sans particularité. Le bilan biologique montrait une anémie. Le patient a été opéré sous circulation extracorporelle établie entre l’artère fémorale et la veine fémorale avec hypothermie profonde et arrêt circulatoire. L’exploration peropératoire montre un énorme faux anévrysme de la crosse aortique colmaté par le lobe supérieur du poumon gauche avec fistulisation du faux anévrysme dans ce dernier. L’intervention avait consisté après mise à plat du faux anévrisme en la réparation de la perte de substance aortique par un patch en dacron latéral sous arrêt circulatoire et aveuglement de la brèche pulmonaire. Résultats : Les suites postopératoires immédiates étaient défavorables avec décès du patient par choc cardiogénique réfractaire. Conclusion : Les progrès de l'imagerie font de l'angioTDM et l’angioIRM les examens de choix dans la détection des faux anévrismes de la crosse aortique. L'indication opératoire est formelle dans tous les cas de faux anévrismes de la crosse aortique car l'évolution spontanée est mortelle. En fait, le véritable traitement est la chirurgie ou l’endovasculaire.
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Lathuilière, Bernard. "Faune corallienne des récifs toarciens du Moyen Atlas marocain, première approche." Bulletin de la Société Géologique de France 182, no. 6 (November 1, 2011): 533–44. http://dx.doi.org/10.2113/gssgfbull.182.6.533.

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Abstract Des récifs ont été décrits dans le Toarcien supérieur du Moyen Atlas Marocain [Elmi et al., 2002]. Ils sont localisés dans le synclinal de Awragh-Afennourir (Moyen Atlas occidental) immédiatement au sud du Moyen Atlas tabulaire. Ce sont des biohermes placés au sommet de blocs basculés. Leur épaisseur varie de 1 à 12 m. Ils reposent sur une formation datée de la zone à Levisoni, sous zone à Gemma et sont couverts par des sédiments appartenant à la partie supérieure de la zone à Meneghini. Leur paléolatitude était de 18°N. Un ensemble de 18 échantillons de coraux collectés par S. Elmi sont ici analysés. Ils constituent un témoignage exceptionnel de faune corallienne récifale pour cet étage. Les taxons appartenant aux genres Cladophyllia, Diplocoenia ?, Montlivaltia (deux espèces), Thecosmilia (deux espèces), Isastrea ?, Latomeandra, Periseris, Microphyllia (trois espèces), et Proleptophyllia (deux espèces), ont été identifiés. La faune inclut 12 formes coloniales et 7 solitaires. Parmi les spécimens coloniaux, les formes méandroïdes avec un haut niveau d’intégration colonial sont bien représentées et fournissent un argument fort pour la présence de zooxanthelles symbiotiques. L’examen des textures micritiques et des croûtes microbialitiques, associé avec le développement important des microarchitectures pennulaires suggèrent un récif sous le niveau d’action des vagues de beau temps et des eaux plutôt mésotrophiques. Les coraux, leur forme et leur diversité, permettent de diagnostiquer des récifs de zone photique, à une profondeur et une latitude optimale. Les extensions stratigraphiques de plusieurs genres sont agrandies : nouvelle première occurrence pour Cladophyllia, Latomeandra et Periseris (peut être aussi Diplocoenia) et nouvelle dernière occurrence pour Proleptophyllia classiquement considéré comme Pliensbachien. La seule monographie disponible à caractère général sur les coraux du Lias du Maroc [Beauvais, 1986] identifie 15 taxons génériques pour le Toarcien. Tous proviennent du Haut Atlas et seulement 3 taxons sont communs avec les résultats présentés ici. La vue générale est celle d’une faune qui ressemble davantage à celle des communautés récifales du Dogger qu’à celle du Pliensbachien.
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Bernèche, Francine. "Immigration et espace urbain." Cahiers québécois de démographie 12, no. 2 (October 27, 2008): 295–324. http://dx.doi.org/10.7202/600512ar.

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Résumé La population haïtienne compte parmi les groupes immigrés les plus récents de la région métropolitaine de Montréal. Dix fois plus nombreuse en 1981 qu’en 1971, cette population d’environ 30 000 personnes réside en majorité (80%) dans trois des quinze municipalités de la région montréalaise : Montréal-Nord, St-Léonard et Montréal. Afin d’identifier les causes et les mécanismes des regroupements de population haïtienne à l’intérieur de ces municipalités, une enquête a été menée au cours de l’été 1982 auprès de 152 ménages haïtiens résidant dans des zones de concentration. Les besoins de ces ménages en matière de logement diffèrent de ceux de l’ensemble des ménages vivant dans les mêmes zones : les ménages haïtiens se caractérisent par un nombre plus élevé de membres et par l’importance accrue des familles comptant des enfants à la maison, enfants qui sont aussi plus jeunes. Les logements qu’ils occupent se situent pour la plupart dans des immeubles à appartements, le plus souvent au sous-sol ou au second étage des bâtiments résidentiels; ce sont surtout des logements de taille moyenne (quatre ou cinq pièces), ce qui donne une densité d’occupation plus forte pour les ménages haïtiens que pour l’ensemble des ménages. La situation socio-économique de ces ménages leur impose également des contraintes particulières, puisque leurs membres actifs sont davantage concentrés dans un même secteur du marché du travail que ne l’est la population active des mêmes zones : les deux tiers sont ouvriers et ouvrières en usine. Ces caractéristiques situent donc la population haïtienne des zones d’enquête parmi les groupes sociaux désavantagés sur le marché du logement et les plus susceptibles d’être touchés par la crise actuelle.
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Missa, Jean Nöel. "Gilbert Hottois et la Species Technica." Revista Colombiana de Bioética 16, no. 1 (March 1, 2021). http://dx.doi.org/10.18270/rcb.v16i1.3216.

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Impossible pour moi de parler de l'oeuvre de Gilbert Hottois sans évoquer des souvenirs personnels. Ma première rencontre avec Gilbert remonte à 1985, il y a plus d’un quart de siècle. Je devais présenter l’examen du cours «Les grands courants de la philosophie». Pour l’occasion, j’avais lu attentivement le syllabus, un condensé de l’histoire de la philosophie occidentale en cent pages bien étayées. Je n’étais, à vrai dire, qu’à demi-rassuré en pénétrant dans son bureau du deuxième étage de l’Institut de philosophie, au 143 avenue Buyl, à Ixelles. A l’époque, je terminais pourtant des études de médecine et j’avais une certaine expérience des examens, certainement plus que les étudiants de première candidature en philosophie qui attendaient terrorisés dans le couloir. Ce fut ma première rencontre avec Gilbert et, je pense, la seule fois où j’eus l’occasion de discuter avec lui des preuves de l’existence de Dieu chez saint Anselme. Ce fut aussi, et je ne m’en doutais évidemment pas, le début d’un long parcours académique mené d’abord sous sa direction puis, à ses côtés, et le début surtout aussi d’une longue amitié. L'époque était tant autre en 1985. Cette année-là, dans la salle aux lambris du premier étage de l’Institut de philosophie, Jean Paumen, le professeur Jauret de Species Technica, qui avait été le directeur de thèse de Hottois, commentait Kant ou nous parlait des trois formes de l’ennui chez Heidegger; c'est là aussi que la fumée se dégageant de son cigarillo donnait des airs mystiques à Marc Richir, lui qui essayait de nous faire comprendre les arcanes de la phénoménologie de Husserl ou l'intérêt philosophique du mystérieux comportement des particules quantiques; quant à Pierre Verstraeten, le cours qu'il y donnait était un spectacle brillant visant à entretenir malicieusement le caractère hermétique de la philosophie de L’Etre et le Néant; Gilbert Hottois, pour sa part, se contentait d'y commenter sobrement, avec clarté et rigueur, son dernier ouvrage, Le Signe et la Technique, dans lequel il introduisait le concept de transcendance noire et s'insurgeait contre l'inflation du langage dans la philosophie contemporaine. Un an plus tard, il allait fonder le CRIB, le Centre de Recherches Interdisciplinaires en Bioéthique, et devenir un théoricien renommé de cette discipline qu'il considérait comme une branche de la philosophie des technosciences.
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Snaith, Tamaini V., and Karen F. Beazley. "THE DISTRIBUTION, STATUS AND HABITAT ASSOCIATIONS OF MOOSE IN MAINLAND NOVA SCOTIA." Proceedings of the Nova Scotian Institute of Science (NSIS) 42, no. 2 (November 1, 2004). http://dx.doi.org/10.15273/pnsis.v42i2.3608.

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Throughout the Nova Scotia mainland, small and fragmented moose populations remain at varying densities and may be limited or regulated by a number of factors including interspecific competition, disease, habitat alteration/loss, mineral toxicity/deficiency, predation, poaching, and resource availability. Ranging behaviour and habitat requirements vary according to environmental factors; however, moose require food and cover in sufficient quantity and of appropriate interspersion to meet their daily and seasonal needs. Mature forest with a well developed understory, and open areas with early successional vegetation provide forage, while dense forest provides cover from thermal stress and deep snow. Strategies for moose conservation, such as through forest management, should concentrate on the preservation and enhancement of habitat to meet the critical requirements of viable moose populations and the re-establishment of connections among discrete populations.Sur la terre ferme en Nouvelle-Écosse, il reste de petites populations fragmentées d’orignaux de densités variables qui sont peut-être limitées ou régulées par plusieurs facteurs dont la compétition interspécifique, les maladies, l’altération ou la destruction des habitats, la toxicité des minéraux ou le manque de minéraux, la prédation, le braconnage et la disponibilité des ressources. Les déplacements et les besoins en matière d’habitat des orignaux varient en fonction des facteurs environnementaux; cependant, les orignaux ont besoin de nourriture et d’un couvert adéquatement répartis pour satisfaire leurs besoins quotidiens et saisonniers. Les forêts matures à sous-étage bien développé et les zones ouvertes caractérisées par des espèces végétales pionnières fournissent la nourriture, tandis que les forêts denses offrent un couvert contre le stress thermique et la neige épaisse. Les stratégies de conservation des orignaux, par exemple associées à l’aménagement des forêts, devraient viser principalement la conservation et l’amélioration de l’habitat de manière à combler les besoins essentiels des populations viables d’orignaux, ainsi que le rétablissement de la connectivité entre les populations disjointes.
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Guille-Escuret, Georges. "Cannibalisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.119.

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Le terme cannibalisme, issu de la découverte par Christophe Colomb des Canibs antillais (les Caraïbes), cristallise la réunion de deux phobies millénaires au sein de la civilisation occidentale : d’une part, le refus politique par la Grèce antique de l’allélophagie (se manger les uns les autres), incompatible avec la cité au même titre que la société féminine des Amazones, et, d’autre part, la répulsion mystique que l’anthropophagie inspire au monothéisme, par la rémanence trouble d’un caractère sacré de la chair humaine. Dès lors, la notion unit deux « bestialités » en une dépréciation ultime de l’exotisme que, malgré un essai rebelle et lumineux de Montaigne, la science de l’homme subira en pensant a priori le cannibalisme sous forme de crime contre l’humanisme, à travers trois phases : l’accusation, tant que l’ethnologie s’associe au colonialisme, puis le silence, après la Première Guerre mondiale, et enfin la disculpation, voire une dénégation « faute de preuves », depuis le dernier quart du XXe siècle. Cela posé, au-delà du défi permanent lancé à une sérénité scientifique que l’anthropologie se devrait d’acquérir face à tout objet de réflexion, le thème du cannibalisme contient une multitude de questions d’autant plus intéressantes qu’elles sont demeurées en friche pendant que « le reste de l’ethnologie » affinait son élaboration. Toutes les sociétés pensent spontanément l’hypothèse d’un cannibalisme, ne serait-ce que pour en commenter l’indécence : par exemple, en tant qu’inceste alimentaire (Polynésie, Micronésie). Certaines ont pratiqué une anthropophagie médicale non cannibale, en ce sens que le traitement des organes destinés à une absorption n’entretient aucun rapport avec l’identité de leur porteur (Europe, Chine), ou bien que le prélèvement partiel sur un parent n’implique pas sa mort (Chine). Il arrive, cependant, que l’existence d’une sorcellerie utilisant régulièrement le corps humain s’étende par moments à une fébrilité guerrière (Afrique centrale et occidentale), intégrant ainsi un constat général : la pratique culturellement assumée du cannibalisme « clignote » le plus souvent sur la planète comme un phénomène inconstant, ou selon le mot de Claude Lévi-Strauss, « labile ». Plus précisément, le sentiment d’une fréquence à long terme dans de grandes aires (Mélanésie, Amazonie), ou certains types d’environnements (la forêt tropicale en tête), voile une instabilité de la pratique chez les peuples. Les exceptions éventuelles correspondent non à des modes de vie présumés « sauvages » ou « primitifs », mais à des peuples marqués au contraire par des hiérarchies instituées : en Amazonie et en Amérique centrale, la consommation de l’ennemi imprégna si nettement certaines cosmogonies (Tupi-Guaranis, Caraïbes, Nahuas) qu’elle s’y fixa sur une longue durée. Le rapport prédateur/proie y était ressenti à travers une circularité où les groupes échangent continuellement les rôles : l’affirmation de la parité chez les guerriers s’accorde à la stratification sociale, dans un schéma analogue à la conjonction du chevaleresque et de l'aristocratique chez les Occidentaux. Les Bataks de Sumatra, dont l’anthropophagie fut signalée sur sept siècles, constituent un cas limite différent : punitive, elle s’applique aussi bien aux membres de la communauté (cannibalisme dit « juridique ») qu'aux ennemis. Autre point remarquable : si l'on considère les grandes zones culturelles de la planète, l'exocannibalisme (c'est-à-dire, la consommation alimentaire de l'ennemi) ne couvre jamais, fut-ce provisoirement, la totalité de l'espace habité, loin s'en faut. D'une part, il existe toujours des groupes qui la rejettent parmi des voisins qui s'y adonnent. D'autre part, on trouve régulièrement la présence de deux usages assortis : l'endocannibalisme funéraire sur le corps du parent défunt, voire spécialisé sur les os (Amazonie), et la chasse aux têtes où le trophée se rapporte systématiquement à un seuil décisif du cycle vital (naissance, mariage, cérémonie agraire de fécondité). Les trois orientations surgissent dans les mêmes régions, mais s'assemblent rarement. La conjonction sur la chair humaine des anthropophagies guerrière et funéraire émerge ponctuellement en Amazonie et en Nouvelle-Guinée, où elle singularise une population par rapport aux autres. L'incompatibilité se révèle, certes, moins tranchée entre exocannibalisme et chasse aux têtes (Océanie), d'autant que le rituel d'adoption sur le trophée prévoit habituellement une absorption infime à un instant déterminé de son déroulement. Cela dit, chaque fois que ces deux opérations se combinent, la prépondérance de l'une d'elles s'affirme clairement aux dépens de l'autre. Enfin, entre endocannibalisme et chasse aux têtes, aucun compromis n'affleure. Sous le foisonnement des enregistrements d'une « prédation » à l'encontre du congénère, les interprétations globales ont confirmé le contrecoup d'une hantise idéologique par un antagonisme grossier des positions défendues : un matérialisme ultra-rudimentaire soutient la cause nutritive, malgré d'innombrables objections, en miroir d'aperçus psychologiques qui se contentaient jadis de rétorquer un désir de vengeance, ou de s'approprier la force de l'ennemi, et qui, aujourd'hui, défendent les impératifs de la faculté symbolique. Chacune de ces tendances persiste uniquement en exploitant les insuffisances de la vision adverse, ce qui masque une inaptitude à décrypter la logique des rapports sociaux inférés. Une troisième attitude souligne depuis le XVIIIe siècle la difficulté de protéger la rationalité devant l'aversion : le déni du fait, suivi d'une disculpation « faute de preuves », au nom de la malveillance des témoins (colons, soldats, etc.), opération qui élude la pertinence de « l'acte d'accusation » occidental. Là encore, cette vision rencontre un négatif : le panachage débridé de tous les cas enregistrés, y compris des anecdotes « modernes », en vue de ramener le problème à une pulsion abjecte. L'analogie entre un acte individuel d'anthropophagie dans une société qui la maudit et une coutume exotique est évidemment aussi absurde qu'odieuse. Pourtant, sur un mode moins spectaculaire, des récurrences sociologiques existent. Elles sont particulièrement prononcées dans des sociétés guerrières mais acéphales, qui reposent sur une économie horticole, forestière (Amazonie, Afrique, Asie du Sud-Est) ou insulaire (Océanie). Sous couvert d'une loi du talion d'où ressort un statut d'égalité jusque dans la relation prédateur/proie, et qui réclame que tout meurtre et toute consommation soit compensée, le cannibalisme habite les combats et participe souvent à une limitation de leurs dévastations en dissuadant les vainqueurs de pousser leur avantage. Des paix ont ainsi été conclues par le cadeau d'un membre du groupe avantagé aux adversaires pénalisés par l'affrontement (Nouvelles-Hébrides) : le repas consécutif scelle la fin des hostilités. Il arrive, cependant, que le cannibalisme se débride : il témoigne alors d'une crise grave et les Européens ont rarement compris que leur arrivée « tambour battant » avait décuplé par divers biais les violences auxquelles ils assistaient. La bestialité alimentaire qui les scandalisait, dans laquelle ils devinaient une pré-histoire, était en réalité toujours imprégnée par une lourde crise historique. En contraste, il s'avère plus aisé de cerner la prohibition intransigeante de l'anthropophagie guerrière qui s'étend continuellement en tache d'huile. D'abord, parmi les sociétés centrées sur le traitement d'un bétail, la domestication des animaux entraînant peu à peu une modification parallèle des rapports entre les hommes, à commencer par les étrangers, en y insinuant la perspective d'un assujettissement durable. L'ennemi quitte la scène de la chasse et les proies se transforment en troupeau. Chez les cannibales, le scénario majoritaire place le captif devant une alternative : être assimilé physiquement (repas), ou socialement (adoption). Chez les éleveurs, le choix tend à disparaître, et une gradation de l'asservissement semble s'y substituer. À un autre étage, l'interdit alimentaire se cristallise sous l'autorité centralisée de sociétés étatiques qui revendiquent une supériorité politique et culturelle, en dénigrant l'infériorité des modes de vie différents : en Europe et en Orient, mais aussi chez les Incas, ou à Hawaï, le refus de l'anthropophagie se soude à la sensation d'un rôle souverain qui rejette un principe de contigüité essentielle entre les peuples. En somme, il existe une multitude de motifs susceptibles de valider la consommation du congénère, alors qu'il n’y en a qu’un pour asseoir durablement la proscription de cette pratique : la domination. Un préjugé occidental tenace discerne une humiliation indubitable dans le fait de se repaître du combattant terrassé ou capturé, alors que, justement, elle n'effleure pas la plupart des cannibales. Montaigne a superbement démenti l'intuition et conclut par cette formule : « il est tué, non pas vaincu ». Inversement, celui qui se proclame civilisé, tout en accablant et opprimant « pour leur bien » les arriérés, primitifs ou barbares, ne tolère pas l'idée de les manger : ne subodore-t-il pas dans cette fusion un dédit de ses prétentions à rompre avec un passé qui perdure en l'autre? Pour leur part, lorsque les Fidjiens souhaitaient insulter la mémoire d'un homme singulièrement détesté, ils laissaient sa dépouille sur place après l'avoir terrassé, signifiant par là qu'ils ne daigneraient pas s'en nourrir.

Дисертації з теми "Sous-Étage":

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Rivest, Sébastien. "Variations altitudinales des interactions biotiques et de la phénologie de la floraison chez deux plantes de sous-étage de l'est de l'Amérique du Nord." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2017. http://hdl.handle.net/11143/10593.

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Анотація:
Un grand nombre d’espèces ont déjà subi des changements phénologiques ou des déplacements de leurs distributions en réponse aux changements anthropogéniques du climat. Comprendre comment les espèces vont réagir aux changements climatiques représente toutefois une tâche complexe puisqu’il existe une grande variabilité dans ces réponses. Cette variabilité peut être attribuée au fait que plusieurs facteurs influencent les réponses des espèces aux changements climatiques et que ces facteurs varient eux-mêmes spatialement. Dans ce mémoire, l’intensité d’interactions biotiques, soit la pollinisation et l’herbivorie, ainsi que la phénologie de la floraison sont comparées le long d’un gradient altitudinal menant à la limite de distribution altitudinale pour deux plantes de sous-étage, Erythronium americanum et Trillium erectum. Je teste en premier lieu si l’intensité de l’herbivorie et de la limitation pollinique augmentent à la limite de distribution altitudinale des espèces. Si cela est le cas, ces interactions peuvent limiter ces distributions et ainsi, le potentiel des espèces à déplacer leurs distributions face aux changements climatiques. Les résultats démontrent une augmentation de l’herbivorie et de la limitation pollinique à la limite de distribution altitudinale de T. erectum. Toutefois, la limitation pollinique devrait avoir un effet minime sur la limite de distribution altitudinale de cette espèce puisque le succès reproducteur des plantes est très peu diminué à cette limite. En se basant sur des études antérieures, la proportion d’herbivorie subie à proximité de la limite de distribution altitudinale devrait avoir des effets démographiques considérables et devrait ainsi affecter cette limite. Concernant E. americanum, l’herbivorie et la limitation pollinique sont restés constants et de faible intensité le long du gradient altitudinal. Ensuite, en disposant de quatre années de données de la phénologie de la floraison le long du gradient altitudinal étudié, je vérifie de façon préliminaire si le potentiel de flux génique est affecté par la date d’initiation du printemps, ce dernier se produisant plus hâtivement en réponse aux changements climatiques. Les résultats démontrent une diminution de l’écart temporel entre les pics de floraison des populations d’altitudes différentes lors d’années aux printemps plus hâtifs, ce qui indique une différence interpopulationnelle dans la réactivité phénologique. Toutefois, cette différence temporelle n’a pas entraîné une diminution du potentiel de flux génique. Je présente également une nouvelle méthode de mesure du potentiel de flux génique qui permet d’estimer plus efficacement ce dernier à partir de la phénologie comparativement aux méthodes actuellement utilisées.
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Collard, Amélie. "Réponses des plantes de sous-bois au retrait expérimental du cerf de Virginie dans les forêts du sud du Québec." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26196/26196.pdf.

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Анотація:
Nous avons évalué la réponse des plantes de sous-bois à l’exclusion expérimentale du cerf de Virginie dans des forêts du sud du Québec, après environ 30 ans de densités élevées. Dans six érablières, un exclos et un témoin ont été établis en 1998 sous couvert forestier et de même en 2003 sous trouée. Nous avons évalué les impacts du cerf sur la richesse spécifique, l’abondance et la biomasse de différents groupes de plantes. Aucune différence significative entre les traitements n’a été observée pour ces différentes variables après huit ans sous couvert végétal ou trois ans sous trouée, à l’exception de l’abondance totale et des semis. Toutefois, les Trillium erectum étaient devenus plus grands et se reproduisaient davantage dans les exclos que les témoins sous couvert forestier. Dans l’ensemble, les plantes n'ont pas répondu suite à l’exclusion du cerf, peut-être en raison de la faible luminosité en sous-bois.
We examined the response of understory plants to deer exclusion in maple-dominated forests of southern Québec following nearly 30 years of deer overabundance. Six maple forests were selected for the study and at each site one deer exclosure and one control were established in 1998. One exclosure and one control at each of the same sites were established in 2003 under recent gap openings. We investigated deer impacts on the richness, abundance, and aboveground biomass of different plant groups. None of these variables differed significantly between treatments over the years under both forest cover and gaps, except for tree seedlings and total plant abundance under gaps. Trillium erectum recovered partially as individuals were taller and reproduced more frequently in deer exclosures under forest cover. Overall, our results suggest that plant groups did not recover from deer exclusion, likely because of low light levels that prevail in maple-dominated forests.
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Dumas, Noé. "La végétation concurrente de la régénération forestière : évaluation des surfaces colonisées, modélisation de l'abondance et de l'impact sur la régénération ligneuse à l'échelle de la France." Electronic Thesis or Diss., Paris, AgroParisTech, 2022. http://www.theses.fr/2022AGPT0015.

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Анотація:
Le renouvellement forestier est une étape clef dans la vie des peuplements forestiers car il permet le maintien à long terme de la forêt, et des services écosystémiques qui lui sont associés. Parmi les facteurs susceptibles d’impacter négativement le renouvellement, la colonisation par des espèces végétales concurrentes peut ralentir la régénération ligneuse, voire la bloquer pendant plusieurs décennies.L’objectif de cette thèse est d’estimer l’impact, à une échelle régionale à nationale, de la végétation concurrente sur la régénération ligneuse. La thèse est principalement basée sur l’utilisation des données de l’inventaire forestier national français (IFN).Une première étape, utilisant les résultats d’une enquête auprès de gestionnaires forestiers, a permis de dresser une liste des principales espèces concurrentes pour la régénération ligneuse, et de déterminer les surfaces sur lesquelles chaque espèce est présente avec une forte abondance. La ronce (Rubus fruticosus), la fougère aigle (Pteridium aquilinum) et la molinie bleue (Molinia caerulea) sont les principales espèces concurrentes en France, et sont chacune présentes à forte abondance dans plus de 300 000 ha des forêts à faible couvert de canopée en France.Afin de mieux comprendre l’écologie des espèces concurrentes, le rôle de l’ouverture de la canopée sur la probabilité de présence et de forte abondance des espèces concurrentes a été étudié. Pour une majorité d’espèces, le couvert de la canopée a un effet faible sur la probabilité de présence des espèces. À l’inverse, l’abondance des espèces est fortement corrélée au couvert de la canopée, un couvert important étant pour la majorité des espèces concurrentes associé à une plus faible abondance.L’effet de la végétation concurrente sur le recouvrement de la régénération ligneuse a ensuite été modélisé à l’échelle de la France pour les trois principales espèces. Une forte abondance de P. aquilinum et M. caerulea est associée à une diminution relative du recouvrement de la régénération ligneuse d’environ 30 % et 40 % respectivement, par rapport à des situations où ces espèces sont présentes à faible abondance. À l’inverse, R. fruticosus a un effet plus ambivalent sur la régénération ligneuse. Le recouvrement de régénération ligneuse augmente en moyenne légèrement pour des abondances de R. fruticosus intermédiaires, et diminue sensiblement pour une forte abondance de cette espèce.Enfin, la probabilité de présence et de forte abondance des trois principales espèces concurrentes a été modélisée, afin d’identifier les conditions de fortes abondances et de prédire la localisation des surfaces potentiellement impactées par l’apparition de ces trois espèces lors de l’ouverture de la canopée. La difficulté de modéliser précisément la présence mais surtout le niveau d’abondance de ces espèces a conduit à des modèles de faibles capacités prédictives, ne permettant pas d’obtenir des estimations robustes des conditions à fort risque d’envahissement par les trois espèces étudiées.En conclusion, cette thèse a montré que les problèmes de régénération ligneuse liés à des espèces de végétation concurrente sont présents sur des surfaces notables dans les forêts françaises. P. aquilinum et M. caerulea ont globalement un effet négatif marqué sur la régénération ligneuse quelle que soit leur abondance, tandis que l’effet de R. fruticosus n’est globalement négatif que pour de fortes abondances. Enfin, cette thèse a également démontré l’importance de modéliser séparément la présence et l’abondance, et identifié les principaux facteurs à mieux prendre en compte pour mieux modéliser l’abondance des espèces
Forest renewal is a key stage in the life of forest stands as it allows the long-term maintenance of the forest and its associated ecosystem services. Among the factors likely to have a negative impact on forest renewal, colonisation by competitive species can slow down tree regeneration, or even block it for several decades.The objective of this thesis is to estimate the impact of competitive vegetation on tree regeneration on a regional to national scale. The thesis is mainly based on the use of French National Forest Inventory (NFI) data.A first step, using the results of a survey of forest managers, was to establish a list of the main competing species for tree regeneration, and to determine the areas where each species is present with a high abundance. Bramble (Rubus fruticosus), Eagle Fern (Pteridium aquilinum) and Purple Moor-grass (Molinia caerulea) are the main competitive species in France, and are each present with a high abundance in more than 300,000 ha of forests with open canopies in France.In order to better understand the ecology of competitive species, the role of canopy openness on the probability of presence and high abundance of competitive species was studied. For a majority of species, canopy cover has a weak effect on the probability of presence of species. Conversely, species abundance was strongly correlated with canopy cover, with high canopy cover being associated with lower abundance for most competitive species.The effect of competitive vegetation on tree regeneration cover was then modelled at the scale of France for the three main species. High abundance of P. aquilinum and M. caerulea is associated with a relative decrease in tree regeneration cover of about 30% and 40% respectively, compared to situations where these species are present at low abundance. Conversely, R. fruticosus has a more ambivalent effect on tree regeneration. Woody regeneration cover increases slightly on average at intermediate R. fruticosus abundances, and decreases significantly at high abundance of this species.Finally, the probability of presence and high abundance of the three main competing species was modelled, in order to identify the conditions of high abundance and to predict the location of the areas potentially impacted by the appearance of these three species when the canopy is opened. The difficulty of accurately modelling the presence and, more importantly, the level of abundance of these species led to models with poor predictive abilities, which did not allow for robust estimates of the conditions at high risk of colonisation by the three species studied.In conclusion, this thesis has shown that tree regeneration problems related to competitive vegetation species are present on significant areas in French forests. P. aquilinum and M. caerulea have a marked negative effect on tree regeneration regardless of their abundance, whereas the effect of R. fruticosus is only negative at high abundances. Finally, this thesis also demonstrated the importance of modelling presence and abundance separately, and identified the main factors that need to be taken into account to better model species abundance
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Senterre, Bruno. "Recherches méthodologiques pour la typologie de la végétation et la phytogéographie des forêts denses d'Afrique tropicale." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2005. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210954.

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Анотація:
I. An original methodological discussion is proposed on the problem of the typology of tropical rain forest’s plant communities, based on the study of forest types across gradients of continentality and elevation, within Atlantic central Africa. These investigations were based on the statement that the main problems in forest typology are related to the non-zonal or zonal character of the different vegetation types and to non considering the relations and differences between forest strata.

II. Field data consisted in phytosociological homogeneous sample plots localized within different recognized phytogeographical entities, in a region of tropical Africa where these entities are known to be well conserved. A total of 37 such plots were inventoried in the region extending from the littoral forests of Ndoté, Equatorial Guinea, which are wet evergreen forests, to the continental forests of the Dja, Cameroon, known as evergreen seasonal forests. The studied region also included the oriental Atlantic forests of Equatorial Guinea, known as moist evergreen forests or caesalp forests. In various parts of this continentality gradient, some plots were localized within climax non-zonal formations, namely the submontane rain forests. The emphasis was put on the vegetation of the Monte Alén National Park.

The sampling methodology was willing to be as "complete ", including all strata, "quantitative ", enumerating all individuals, and "representative ", within each stratum, as possible. These multi-layers plots were realised using nested sub-plots, with a sampling size of 100 individuals for every ligneous stratum recognized (dominant trees, dominated trees and shrubs) and a sampling size of 200m² for the herbaceous and suffrutex stratum.

Forest types were defined independently for each stratum and the differences were analysed. A method was proposed for the simultaneous analysis of all floristic data, converting and standardizing the values from ligneous strata, on the one hand, and from understorey strata, on the other hand.

III. Ten forest types were described using IndVal and discussed in the general context of the guineo-congolian region, from a syntaxonomic view point (agglomerative classification) and from a phytogeographical view point (divisive classification). Homologies between these two approaches are described. The proposed phytogeographical system is based on an "open " conception of hierarchical classifications, combining advantages of agglomerative and divisive classifications. In concrete terms, the non-zonal criteria, for example the submontane variants, are categorised separately and in analogy with the zonal criteria, related to the usual phytochoria.

Analysis of ecological relationships for the 10 communities showed that the main variables related to the floristic variability in our mainland rain forests are elevation, rainfall, hygrometry (estimated using bryophytes cover levels) and distance to the ocean. The two extremes on the vertical microclimatic gradient, dominant trees stratum and herbaceous stratum, give similar typologies, however canonical analysis showed that for the herbaceous layer, non-zonal variables (hygrometry and elevation) were gaining more importance when the influence of the two zonal variables was attenuated. In every case, spatial autocorrelation was less important than the environment in explaining floristic variability but its role increased in the spatial arrangement of understorey species, whose dispersal capacity is generally lower than canopy trees. The phytosociological, phytogeographical and ecological description of forest types is accompanied by a physiognomical description using biological types spectrum, as well as architectural models, leaf sizes, etc.

With regard to diversity, we have demonstrated that species richness was higher from upper to lower strata because of the accumulation in lower strata of species from various strata. On the other hand, the proper stratum diversity, i.e. the structural set, decreased from dominant trees to shrubs. The proper diversity of the herb layer showed relatively high figures mainly due to the higher individual density in relation to the existence of microstrata. Within the 37 sample plots, 1,050 taxa have been identified to species or morpho-species levels, for a total of 25,750 individuals. These taxa represent 442 genus among 104 families. The richest forest type is found on the foothills of the Niefang range, on the windward side. This forest type is also characterised by a high number of oligotypic genus and by species belonging to functional types indicators of glacial refuges. These functional types are defined on the basis of the dispersal capacity and on kind of stand needed for effective germination. We formulated the hypothesis that this kind of "foothills refuge ", characterised by his zonal nature, could have been one of the rare refuges for species from mainland rain forests, while montane and fluvial refuges would mainly have preserved species from non-zonal forest types: (sub)montane and riverine.

Based on indicator species of submontane forests, a potential distribution map of this forest type has been realised at the Atlantic central African scale. More than 400 submontane forest localities have been mapped. These forests begin at 400m of altitude near the ocean, and progressively at higher altitude for increasing distance to the ocean. Many lowland localities also comprised submontane species, which could indicate the existence of ecological transgressions. These transgressions would allow migratory tracks for submontane species between isolated mountain ranges, not only during glacial periods, through heights at the northern and southern borders of the congo basin, but also contemporarily through the lowland riverine forest network, in the centre of this basin. Finally, a special attention has been attributed to littoral forests and to some cases of choroecological transgressions, coupled to the ecological equalization phenomenon.


Doctorat en sciences agronomiques et ingénierie biologique
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Desrochers, Annie. "Détermination de l'âge de l'épinette noire (picea mariana) en sous-étage de peupliers faux-trembles (populus tremuloides) dans la forêt boréale, Québec." Thèse, 1996. http://constellation.uqac.ca/1155/1/1525779.pdf.

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Анотація:
Cette étude porte sur la dynamique d'un peuplement mixte composé d'une strate dominante de peuplier faux-tremble et d'une strate d'épinette noire en sous-étage. La physionomie étagée de ce type de peuplement suggère un remplacement de type successionnel des peupliers par les épinettes. Cependant, les mécanismes de régénération après feu des deux espèces suggèrent plutôt une régénération rapide et contemporaine. Le but principal de cette étude est de déterminer la période d'établissement de l'épinette noire dans ce type de peuplement mixte, mature et issu de feu. L'objectif secondaire est de vérifier la croissance en hauteur des deux espèces afin d'en connaître plus sur la dynamique de ce genre de peuplement. L'âge des épinettes a été déterminé à l'aide d'une méthode dendrochronologique permettant de retracer les cernes de croissance s'étant formés antérieurement aux racines adventives caulinaires présentes chez l'épinette noire. Cet âge a été comparé à celui obtenu par la méthode traditionnelle de datation. La méthode d'interdation a permis de retracer entre 3 et 19 cernes n'apparaissant pas sur la section prise au niveau du sol. Cependant, les âges déterminés selon la méthode d'interdatation ne sont que des âges minimums, puisqu'il a été impossible d'interdater les arbres jusqu'au collet. Les résultats indiquent que l'épinette s'installe rapidement après feu, de façon contemporaine au peuplier. La période d'établissement semble échelonnée sur une vingtaine d'années, mais les problèmes rencontrés lors de l'interdation et la localisation du collet ainsi que les mécanismes de régénération de l'espèce suggèrent une durée d'établissement beaucoup moins longue. L'analyse des souches a permis d'identifier une période de croissance horizontale des tiges et un phénomène d'effilement inverse chez la grande majorité des épinettes échantillonnées. Les épinettes ont un taux de croissance en hauteur plus variable que celui des peupliers, ainsi qu'une croissance juvénile beaucoup plus faible, ayant pour résultat une nette stratification du peuplement. Ce type de peuplement étage ne constitue pas un exemple de succession classique, mais est plutôt le résultat d'un établissement contemporain des 2 espèces ayant eu des taux de croissance en hauteur différents.

Книги з теми "Sous-Étage":

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Swift, D. E. Établissement de critères relatifs à la régénération naturelle acceptable des conifères sous un étage dominant clairsemé composé de feuillus: Établissement et rapport d'étape de l'étude. Fredericton, N.-B: Service canadien des forêts, 1996.

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2

Coates, K. Dave. Abundance of secondary structure in lodgepole pine stands affected by the mountain pine beetle in the Cariboo-Chilcotin. Victoria, B.C: Pacific Forestry Centre, 2009.

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3

Teti, Patrick Anthony. Novel aerial photography as an aid to sampling secondary structure in pine stands. Victoria, B.C: Pacific Forestry Centre, 2009.

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