Статті в журналах з теми "Religions japonaises"

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Berthon, Jean-Pierre. "L'expansion des nouvelles religions japonaises en Occident." Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient 82, no. 1 (1995): 371–73. http://dx.doi.org/10.3406/befeo.1995.3321.

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2

Berthon, Jean-Pierre. "Les « nouvelles religions » japonaises et la mise en scène du religieux." Le Temps des médias 17, no. 2 (2011): 120. http://dx.doi.org/10.3917/tdm.017.0120.

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3

Josephson, Jason Ānanda. "L’invention des religions japonaises : les limites de l’orientalisme et de l’universalisme." ASDIWAL. Revue genevoise d'anthropologie et d'histoire des religions 10, no. 1 (2015): 77–95. http://dx.doi.org/10.3406/asdi.2015.1040.

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4

Traversi, Bruno, and Bernard Andrieu. "Le corps comme réceptacle des dieux au Japon chez Ueshiba Morihei et Deguchi Onisaburō." Revue de Théologie et de Philosophie 154, no. 2 (July 15, 2022): 137–55. http://dx.doi.org/10.47421/rthph154_2_137-155.

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Анотація:
Ueshiba Morihei (1883-1969), créateur de l’aikidō, fonde son « budō » (voie martiale) avec Deguchi Onisaburō (1871-1948), dirigeant de l’Ōmoto-kyō, l’une des « nouvelles religions » japonaises. Ils conçoivent le budō comme « la voie de création et d’ordonnancement de l’univers » en opposition aux « budō corporels » influencés par le modèle occidental du sport. Selon eux, l’Occident, « matérialiste », a profondément modifié les pratiques japonaises de telle sorte que le vécu du corps comme shintai, comme réceptacle des kami (esprits ou divinités) lors des transes de possession est en voie de se perdre, et avec lui tout un monde. Le corps de possession rend communiquant les mondes : avec sa perte, il n’y a plus de transgressions possibles des frontières ontologiques ; l’homme ne peut plus s’unir à sa racine et retrouver sa totalité ; les animaux, les plantes et les pierres ne parlent plus et le dieu originel unique devient inaccessible, caché dans « l’imperceptible de l’imperceptible ».
5

Shin, Junhyoung Michael. "The Passion and Flagellation in Sixteenth-Century Japan." Renaissance and Reformation 36, no. 2 (October 26, 2013): 5–43. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v36i2.20166.

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Анотація:
Cet article met en relation la pratique ascétique et pénitentielle de l’auto-flagellation par les tous premiers catholiques du Japon du XVIe siècle, avec leur compréhension de la passion du Christ telle qu’enseignée par les missionnaires Jésuites, et avec la tradition japonaise de l’ascétisme bouddhiste. On y montre que les pratiques dévalorisant les valeurs corporelles qui se trouvaient déjà dans les traditions religieuses japonaises, ont facilité la compréhension et la sympathie pour les pratiques comparables de la nouvelle religion européenne, malgré que les Jésuites leur aient présenté une théologie monothéiste inédite au Japon. Ces similitudes ont contribués à l’assimilation de la passion du Christ par les convertis japonais et à leur adoption de l’auto-flagellation rituelle, qui contraste vivement avec la mission contemporaine des Jésuites en Chine.
6

De Paiva, M. Geraldo José. "Psychologie culturelle de la religion: l'évolution de la perception du catholicisme dans trois romans de l'écrivain catholique japonais Shusaku Endo." Studies in Religion/Sciences Religieuses 36, no. 2 (June 2007): 241–59. http://dx.doi.org/10.1177/000842980703600203.

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Анотація:
Sont examinés ici trois romans de Shusaku Endo (1923-1996), Un admirable idiot, Silence et Le fleuve sacré, pour illustrer la trajectoire de la perception du catholicisme d'un auteur né et nourri à la fois dans la culture japonaise traditionnelle et dans le catholicisme occidental de sa mère. La perception du catholicisme et de l'être japonais, d'abord envisagés comme incompatibles, aboutit, par des degrés successifs d'élaboration, au rapprochement du catholicisme avec la manière d'être japonaise fondée sur l'amae, envisageant le Dieu chrétien, humanisé en Jésus, comme un Dieu maternel qui aime les pécheurs d'un amour inconditionnel et préférentiel. Ce changement perceptuel ne manque pas de soulever des questions psychologiques au sujet de la paternité/ maternité divine telle qu'elle est comprise selon des conceptions religieuses et culturelles diverses.
7

Proust, Jacques. "L’échec de la première mission chrétienne au Japon (XVIe-XVIIe siècles)." Études théologiques et religieuses 66, no. 2 (1991): 183–206. http://dx.doi.org/10.3406/ether.1991.3143.

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Анотація:
L’histoire de la première évangélisation du Japon est celle d’un double malentendu, explique Jacques PROUST. Les jésuites croyaient prêcher l’évangile : ils prêchaient Aristote et le concile de Trente, ou du moins les conclusions qu’ils en avaient tirées. Les Japonais de leur côté entendirent, à tort ou à raison, que l’Europe catholique voulait les asservir. La persécution déclenchée par les premiers Tokugawa anéantit la jeune Église japonaise et le peu qu’il en resta fut coupé du monde pendant plus de deux siècles. La persécution seule n’aurait sans doute pas suffi à éradiquer le christianisme du Japon, si la foi propagée par les jésuites avait eu des racines plus solides. En 1636 un jésuite portugais apostat met à nu, dans La Supercherie dévoilée, les fondements réels de la prédication et de la catéchèse romaines.
8

Roy, Louis. "Revisiter le « Nihilisme »." Thème 20, no. 1-2 (October 16, 2013): 147–67. http://dx.doi.org/10.7202/1018857ar.

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Анотація:
Au cours de cet essai, nous présentons la pensée de Nishitani, à la fois praticien du zen et philosophe. Nous expliquons les thèmes sur lesquels il se concentra dans son dialogue avec Eckhart, Nietzsche et Heidegger : le grand doute (taigi), la grande mort (taishi), la religion (shūkyō) , la concentration (samādhi, sammai ), l’ego (jiga), le vrai soi (jiko), l’ipséité (jitai, identité profonde), la talité (tathatā, nyojitsu), le rien (mu), la nihilité (kyomu, littéralement : le « rien creux »), la vacuité (kū équivalent japonais du fameux śūnyatā littéralement « ouverture céleste »). Ce penseur alla très loin dans la compréhension d’aspects importants de la philosophie occidentale, qu’il mit en rapport critique avec des convictions qui lui venaient de sa tradition bouddhiste. Cet article s’efforce donc de bien interpréter son approche vigoureuse et originale. Finalement, nous indiquons brièvement des pistes de renouveau pour une réflexion théologique de plus en plus mondialisée, soucieuse non seulement d’explorer les perspectives japonaises, mais encore de réagir avec créativité.
9

Tremblay, Jacynthe. "Bibliographie." Dossier 64, no. 2 (December 11, 2008): 405–54. http://dx.doi.org/10.7202/019508ar.

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Анотація:
On sait qu’il est de tradition au Japon de ne pas tracer une ligne de démarcation nette entre philosophie et religion. Cependant, étant donné que cette bibliographie porte sur la philosophie japonaise du xxe siècle, il n’a pas été tenu compte dans les sources premières des titres qui concernent la religion uniquement, sauf lorsque sous des titres à consonance religieuse était celé un important contenu philosophique. À quelques exceptions près ont également été laissés de côté les titres touchant la pensée japonaise antérieure à l’époque Meiji.
10

Beillevaire, Patrick. "Du panthéisme japonais." Revue de l'histoire des religions 205, no. 4 (1988): 399–413. http://dx.doi.org/10.3406/rhr.1988.1883.

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Berthon, Jean-Pierre. "Japon. « Religions, peuples et nationalisme » : IIe Symposium de l'Association japonaise pour l'étude de la religion et de la société (Shūkyō to shakai gakkai)." Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient 81, no. 1 (1994): 378–80. http://dx.doi.org/10.3406/befeo.1994.2271.

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平藤, 喜久子. "L’aube des études mythologiques japonaises. Que cache l’expression « mythologie scientifique » ?" Cahiers d'Extrême-Asie 29, no. 1 (2020): 39–48. http://dx.doi.org/10.3406/asie.2020.1544.

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Macé, François. "Les funérailles des souverains japonais." Cahiers d'Extrême-Asie 4, no. 1 (1988): 157–65. http://dx.doi.org/10.3406/asie.1988.917.

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Seizelet, Éric. "La Maison impériale japonaise et le principe de séparation de l’État et de la religion." Revue du droit des religions, no. 9 (July 9, 2020): 159–71. http://dx.doi.org/10.4000/rdr.1151.

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Giraud, Vincent. "La trame augustinienne dans Qu’est-ce que la religion ? de Keiji Nishitani." Thème 20, no. 1-2 (October 16, 2013): 271–96. http://dx.doi.org/10.7202/1018861ar.

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Анотація:
Nishitani Keiji (1900-1990) a mis en oeuvre une reprise féconde des questions propres à la tradition métaphysique occidentale en prenant appui sur la conception bouddhiste de la vacuité (japonais : kū ; sanscrit : śūnyatā) . Marchant sur les traces d’Augustin et de sa pensée de la conversion, il a lié aussi étroitement que possible pensée philosophique et quête religieuse. Le nouvel édifice conceptuel élaboré par Nishitani autour de la notion de śūnyatā ne prend en effet tout son sens que pour qui se rend capable d’une conversion au sens religieux du terme, décentrement radical de sa propre existence en direction de la vacuité, et permettant seul un accès véritable à l’être. La saisie par Nishitani de l’essence de la religion le conduit ainsi dans les parages de l’augustinisme, éclairant d’un jour nouveau le possible usage contemporain des catégories bouddhistes.
16

Proust, Jacques. "L’échec de la première mission chrétienne au Japon (XVIe-XVIIe siècles) (suite)." Études théologiques et religieuses 66, no. 3 (1991): 359–81. http://dx.doi.org/10.3406/ether.1991.3156.

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Анотація:
Après avoir exposé les enjeux de l’attaque anti-chrétienne menée par Ferreira dans La Supercherie dévoilée (ETR 1991/2), Jacques PROUST aborde le second versant de la réfutation. Un jésuite japonais, venu du bouddhisme et du confucianisme, critique d’abord l’un et l’autre du point de vue du christianisme romain puis, après avoir apostasié, retourne contre le christianisme les armes de la philosophie extrême-orientale. Son livre, Le Dieu des chrétiens confondu, écrit en 1620, est un des tout premiers moments d’un dialogue entre les deux cultures qui dure encore.
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Lavelle, Pierre. "Héritages traditionnels dans le vocabulaire politique japonais." Cahiers d'Extrême-Asie 5, no. 1 (1989): 369–80. http://dx.doi.org/10.3406/asie.1989.953.

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Seizelet, Éric. "Propos sur une rumeur : la conversion de la famille impériale japonaise au christianisme après 1945." Revue de l'histoire des religions, no. 239 (March 1, 2022): 79–119. http://dx.doi.org/10.4000/rhr.11690.

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Seizelet, Éric. "Martin Nogueira Ramos, La foi des ancêtres. Chrétiens cachés et catholiques dans la société villageoise japonaise (." Revue de l'histoire des religions, no. 239 (March 1, 2022): 165–68. http://dx.doi.org/10.4000/rhr.11825.

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Akio, Yoshie. "Éviter la souillure. Le processus de civilisation dans le Japon ancien." Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, no. 2 (April 1995): 283–306. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1995.279367.

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Анотація:
Des recherches intéressantes et nombreuses, à l'étranger comme au Japon, ont utilisé le concept de souillure pour analyser les particularités de la société japonaise. Pourtant, certaines disciplines traditionnelles comme les études d'ethno-folklore, la science des religions ou l'histoire du shinto, font peu de distinction entre les concepts, proches mais pourtant différents de souillure (kegare), faute (tsumi) ou calamité (wazawai), et elles ne portent guère d'attention à l'évolution historique même de ces concepts pas plus qu'à l'histoire des règles qui permettaient leur évitement. De fait, il s'agit trop souvent d'interprétations abstraites et souvent schématiques. Ces dernières années cependant, des discussions ont eu lieu relatives au rapport entre la souillure et le statut social mais la plupart des participants à ces débats empruntaient les résultats d'études folkloristes ou de travaux anthropologiques sans procéder à de nouvelles recherches. Récemment, des études ont été effectuées sur la souillure et les conduites d'évitement en tant que processus historique. Je voudrais ici expliciter les relations organiques qui existent entre le système de valeurs, les structures sociales et les conceptions du rejet de la souillure à chacune des étapes du développement historique et plus particulièrement entre le 8e et le 10e siècle, c'est-à-dire l'époque de Nara (710-784) et la première moitié de l'époque de Heian (794-1185).
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Guillot, Claude. "Séminaire international sur la céramique japonaise d'exportation (Serang-Banten, 14-18 octobre 1992)." Archipel 45, no. 1 (1993): 23–24. http://dx.doi.org/10.3406/arch.1993.2884.

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Ramos, Martín Nogueira. "Hélène Vu Thanh, Devenir japonais. La mission jésuite au Japon (1549-1614)." Archives de sciences sociales des religions, no. 180 (December 1, 2017): 460–63. http://dx.doi.org/10.4000/assr.34381.

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Seizelet, Eric. "Le principe de séparation de l'État et de la religion : aperçus sur le rôle du fait religieux dans les institutions et la vie politique japonaises." Revue d’études comparatives Est-Ouest 32, no. 1 (2001): 111–39. http://dx.doi.org/10.3406/receo.2001.3074.

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Hamonic, Gilbert. "Le Centre d'Etudes Sud-est asiatiques de Kyoto et la recherche japonaise en Insulinde." Archipel 32, no. 1 (1986): 19–24. http://dx.doi.org/10.3406/arch.1986.2305.

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Rappo, Hitomi Omata. "La foi des ancêtres: Chrétiens cachés et catholiques dans la société villageoise japonaise xvii e–xix esiècles, written by Martin Nogueira Ramos." Journal of Jesuit Studies 7, no. 1 (January 7, 2020): 144–46. http://dx.doi.org/10.1163/22141332-00701009-05.

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Cauquelin, Josiane. "Le chamanisme chez les Puyuma de Taiwan et son évolution sous l'impact de l'occupation japonaise." Archipel 41, no. 1 (1991): 139–52. http://dx.doi.org/10.3406/arch.1991.2716.

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Maconi, Lara. "Dans les yeux des artistes : visions chinoises de Muli et du Kham pendant la Seconde guerre sino-japonaise (1937-1945)." Cahiers d'Extrême-Asie 23, no. 1 (2014): 163–99. http://dx.doi.org/10.3406/asie.2014.1438.

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HOURMANT, Louis. "Les nouveaux mouvements religieux japonais en France entre laïcisation et euphémisation du sacré." Social Compass 42, no. 2 (June 1995): 207–20. http://dx.doi.org/10.1177/003776895042002005.

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Seidel, Anna. "Descente aux enfers et rédemption des femmes dans le bouddhisme populaire japonais - Le pèlerinage du mont Tateyama." Cahiers d'Extrême-Asie 9, no. 1 (1996): 1–14. http://dx.doi.org/10.3406/asie.1996.1107.

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Trevisan, Hugo. "La Foi des ancêtres. Chrétiens cachés et catholiques dans la société villageoise japonaise XVIIe-XIXe siècles , by Martin Nogueira Ramos." Social Sciences and Missions 36, no. 3-4 (December 14, 2023): 411–15. http://dx.doi.org/10.1163/18748945-bja10086.

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Inenaga, Yusuke. "Les modalités de production des morales politiques : étude comparative des assises des régimes politiques de la IIIe République et de l'Empire japonais (1868-1914)." Archives de sciences sociales des religions, no. 160 (December 30, 2012): 309–58. http://dx.doi.org/10.4000/assr.24587.

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Goujon, Patrick. "Des Indes lointaines aux scenes des collèges. Les reflets des martyrs de la mission japonaise en Europe (XVIe–XVIIIe siècle). By Hitomi Omata Rappo (foreword Pierre Antoine Fabre). (Studia Oecumenica Friburgensia, 101.) Pp. 598 incl. 136 figs and 3 tables. Münster: Aschendorff Verlag, 2020. €76. 978 3 402 12211 2." Journal of Ecclesiastical History 73, no. 1 (January 2022): 156–57. http://dx.doi.org/10.1017/s0022046921001962.

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Forest, Alain. "Séminaire européo-japonais « La conduite des relations entre sociétés et États : guerre et paix en Asie du Sud-Est (Paris, 28 - 30 octobre 1996) »." Archipel 53, no. 1 (1997): 26–28. http://dx.doi.org/10.3406/arch.1997.3388.

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Munsi, Roger Vanzila. "La foi des ancêtres. Chrétiens cachés et catholiques dans la société villageoise japonaise XVIIe–XIXe siècles , by Ramos, Martin Nogueira." Journal of Religion in Japan, August 29, 2022, 1–8. http://dx.doi.org/10.1163/22118349-tat00005.

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Swanson, Paul L. "Review of: Bernard Faure, D. Max Moerman, and Gaynor Sekimori, eds., Cahiers d'Extreme-Asie, N。18, 2009: Shugendō: I'histoire et la culture drune religion japonaise." Japanese Journal of Religious Studies, November 1, 2011. http://dx.doi.org/10.18874/jjrs.38.2.2011.390-392.

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Jewsiewicki, Bogumil. "Pardon." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.112.

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Анотація:
Vingt ans après la deuxième guerre mondiale, en pleine guerre froide, les évêques polonais écrivent, au grand dam de l’État, à leurs homologues allemands « nous pardonnons et demandons pardon ». Depuis, l’usage du pardon dans la politique nationale et internationale est devenu monnaie courante. Presque toujours le pardon est demandé pour les actes commis par des générations précédentes, une démarche entrée dans la culture politique depuis peu. Rappelons à titre d’exemple qu’alors que son père refusait de demander pardon à titre de premier ministre du Canada pour des actes posés par des générations antérieures, Justin Trudeau, l’actuel premier ministre, ne s’en prive pas. Mobilisée dans la résolution des conflits, la démarche de réconciliation incorpore le pardon. Ainsi, cet objet d’étude de la théologie, de la morale, de la religion et de la philosophie est désormais principalement étudié par la science politique. Par l’homologie, le pardon passé de la relation entre Dieu et l’individu aux rapports interpersonnels puis aux rapports entre les communautés et les États, est devenu un objet politique. Le long vingtième siècle occidental, entre les hécatombes des guerres mondiales, l’Holocauste et les génocides, a mis sociétés et individus devant le défi de la reconstruction du social et du politique après l’impardonnable. Hannah Arendt (1958), Jacques Derrida (2001) et Wole Soyinka (2000), mais avant tout femmes et hommes « ordinaires » ont fait face au défi de reconstruire l’humain à la sortie de l’expérience de l’inhumain. “Si cela veut dire que cet homme qui a tué fils, si cela veut dire qu’il redevienne humain afin que nous tous puissions ravoir votre humanité … alors j’accepte » (Krog : emplacement 3486, toutes les traduction sont les miennes, BJ) a déclaré Cynthia Ngewu témoignant lors des audiences de la Commission Vérité et Réconciliation sud-africaine sur l’amnistie. Paul Ricoeur (2000), le plus influent des chercheurs universitaires ayant analysé le pardon dans la perspective d’un vivre-ensemble aux confluents de la philosophie, de l’éthique et de la théologie chrétienne, soutient que le véritable pardon délie « l’agent de son acte ». La culture chrétienne, aujourd’hui largement laïcisée, est un sous-bassement des usages du pardon pour la reconstruction d’un vivre-ensemble. En reconnaissant ce fait, il ne faut pas perdre de vue que le pardon est une préoccupation ancrée non seulement dans les trois grands monothéismes mais aussi dans le bouddhisme, l‘hindouisme et autres systèmes philosophiques ou de croyance en Asie, Océanie, Afrique, etc. Cependant, on ne comprend pas toujours le pardon à l’identique. Son utilisation pour la résolution des conflits ne va pas sans malentendus. Lorsque, pour désengorger son système de justice, l’État rwandais recourt à l’institution locale de gacaca, on est loin de l’apaisement d’un conflit au sein de la communauté d’une colline, l’octroi du pardon ou plus précisément l’acceptation du génocidaire étant conditionnés à la reconnaissance par celui-ci de son crime. Lorsque, dans une société occidentale, on s’inspire de la pratique hawaïenne de ho’opononpono pour la thérapie familiale, les acteurs n’ont ni mêmes attentes, ni même compréhension du pardon. Lorsqu’en 2012, dans la lettre ouverte commune aux nations de Pologne et de Russie, le patriarche Cyrille et l’archevêque Michalik offrent un pardon réciproque, en ont-ils la même compréhension ? La théologie du premier est de tradition grecque, celle de l’autre de tradition latine ? Retrouver l’humain, après l’expérience du génocide, de la colonisation, de l’esclavage peut aussi bien conduire à obéir à l’injonction d’inspiration chrétienne de Desmond Tutu « Pas d’avenir sans pardon » qu’à la réserve de Mahatma Gandhi . « Le faible ne peut pardonner. Le pardon est attribut du fort ». Cependant, pardonner pourrait permettre d’investir, au moins symboliquement, la position de ce dernier ? Est-ce pourquoi la position de Gandhi à l’égard du pardon a évolué ? De toute évidence, la réflexion anthropologique sur le sujet s’impose. Pourtant, les courants dominants de la discipline accordent peu d’intérêt au pardon, à l’exception des publications issues de l’anthropologie juridique, de l’anthropologie de la morale, de l’anthropologie psychologique ou de l’anthropologie des religions. Il se pose donc la question de savoir si la méthodologie de ces dernières leur viendrait de l’éthique ou de la théologie, ce dont manquerait l’anthropologie ? Or, Barbara Cassin trouve dans l’hyperbole de l’offre de pardon « absolu » dans l’Évangile (« le pardon n’est vraiment pardon – perfection du don - que lorsqu’il pardonne l’impardonnable, remet l’imprescriptible… » (2004 : 894), une structure ressemblant à celle du potlatch. Le contre-don perpétue le processus de « dépense » selon Georges Bataille (1967) de même que le don et contre-don de Marcel Mauss (2012). On retrouve cette même structure de relance dans l’offre de pardon « absolue », toujours en avance sur la demande. Dans la tradition nord-américaine de la discipline, Ruth Benedict (1946) offre une autre entrée « anthropologique » au pardon. La honte et la culpabilité seraient deux principes distincts de contrôle social de l’individu, elle s’en sert pour différencier la société japonaise de la société étasunienne. La première valoriserait l’honneur et la fierté alors que la seconde mettrait de l’avant la conscience individuelle. La mondialisation de la culture nord-américaine, aurait porté à l’échelle de la planète la prépondérance de la conscience individuelle et donc l’importance du pardon autant dans les relations interpersonnelles que dans celles entre les corps sociaux. Que ce soit l’entrée par le don ou par la conscience individuelle comme principe de contrôle social, la théologie des religions monothéistes, plus précisément la théologie chrétienne et plus encore la théologie protestante sont mobilisées. Il est donc impossible de conclure sans poser la question de l’universalité du pardon, de son usage qui ne serait pas affecté par le soupçon du prosélytisme chrétien. L’issue de cette réflexion finale devrait permettre de décider si le pardon demeure pour l’essentiel un objet de la théologie ou bien serait également celui de l’anthropologie. Revenons à l’exemple sud-africain, Antije Krog commente ainsi le témoignage de Cynthia Ngewu : « Le pardon chrétien dit : Je vous pardonne puisque Jésus m’a pardonné. (…) Le pardon africain dit : Je vous pardonne afin que vous puissiez et que puisse commencer à guérir ; que nous tous puissions redevenir nous-mêmes comme nous devrions l’être » (…) tous les Sud-Africains noirs formulent le pardon en termes de cette interrelation » (2009 : emplacement 3498 et 3489). Changeons de continent tout en conservant la comparabilité des expériences historiques. Roy L. Brooks (2004) écrit à la même époque que les excuses et les reparation constituent l’expiation laquelle impose États-Unis une réciproque obligation civique de pardonner. Ce pardon permet d’abandonner le ressentiment. Krog et Brooks suggèrent que ce que ce pardon dépasse le cadre de la chrétienté occidentale permettant aux gens de « réinterpréter les concepts occidentaux usés et mis à mal dont le pardon ». (Krog 2009 : emplacement 3494) Barbara Cassin souligne que la conception théologico-politique actuelle établit une hiérarchie entre celui qui pardonne et celui à qui on pardonne. En latin classique, il y a condescendance dans la relation duelle entre le sujet dont relève la décision souveraine d’oublier, d’ignorer, d’amnistier et son bénéficiaire. Les langues européennes en tirent la conception du pardon. Par contre, en Grèce ancienne on pardonnait en comprenant ensemble, en entrant dans la raison de l’autre. Cette horizontalité du pardon a été remplacée par la verticalité du pardon qui relève du politique. À partir des traditions grecques et judéo-chrétiennes, puis en passant par la pensée et les actions de Gandhi, Mandela et Martin Luther King, Martha Nussbaum (2016) se penche sur l’actuelle éthique du pardon. Elle reconnait la légitime colère des victimes laquelle afin de briser la condescendance et ouvrir la voie à l’acceptation du pardon libérée du sentiment de rétribution. Son approche semble répondre à l’expérience des victimes des individus en position d’autorité, crimes longtemps tus au nom de maintien de l’ordre social. Dans les récits d’expériences de la mort et de la vie sous le régime soviétique, dont Svetlana Alexievitch (2016) s’est faite historienne/romancière, le pardon de tradition chrétienne occidentale est absent. Le mot n’est prononcé qu’une seule fois et c’est par une femme soldat soviétique racontant comment en Allemagne conquise un soldat soviétique a tiré sur des civiles. En référence au temps de leur rencontre, les années 1990, elle dit à Alexievitch : « De nouveaux mots ont fait leur apparition : « pitié », « pardon » …Mais comment pardonner ? » (2016 : 394). Dans les récits des Soviétiques rassemblés par Alexievitch, le lecteur de sensibilité latine s’étonne de trouver le « comprendre ensemble » de tradition grecque plutôt que le « pardonner ». Tamara Oumniaguina, brancardière à Stalingrad raconte : « Je traîne notre blessé et je pense : « Est-ce que je retourne chercher l’Allemand, ou non ? » […] J’ai continué à les trainer sous les deux. » […] L’homme n’a qu’un seul cœur, et j’ai toujours pensé à préserver le mien. » (2016 : 412). Au plus profond de l’enfer de la déshumanisation, préserver son humanité c’est aussi permettre à l’agresseur de reconstituer la sienne. L’une étant la condition de l’autre, délier l’agresseur de son inhumanité c’est reconstruire l’humanité entière.

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