Статті в журналах з теми "Produits bois"

Щоб переглянути інші типи публікацій з цієї теми, перейдіть за посиланням: Produits bois.

Оформте джерело за APA, MLA, Chicago, Harvard та іншими стилями

Оберіть тип джерела:

Ознайомтеся з топ-50 статей у журналах для дослідження на тему "Produits bois".

Біля кожної праці в переліку літератури доступна кнопка «Додати до бібліографії». Скористайтеся нею – і ми автоматично оформимо бібліографічне посилання на обрану працю в потрібному вам стилі цитування: APA, MLA, «Гарвард», «Чикаго», «Ванкувер» тощо.

Також ви можете завантажити повний текст наукової публікації у форматі «.pdf» та прочитати онлайн анотацію до роботи, якщо відповідні параметри наявні в метаданих.

Переглядайте статті в журналах для різних дисциплін та оформлюйте правильно вашу бібліографію.

1

Daly-Hassen, Hamed, Mounir Kasraoui, and Chedly Karra. "Le bois industriel en Tunisie : aggravation de la dépendance extérieure malgré les reboisements." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (October 17, 2014): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31232.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La Tunisie est toujours dépendante des importations pour satisfaire ses besoins en bois et produits dérivés à hauteur de 90 % malgré l’extension du couvert boisé de 500 000 ha environ au coursdescinq der- nières décennies. L’objectif principal de ce travail est d’apprécier la contribution des forêts à la satisfaction des besoins en bois industriel et son évolution au cours des cinq dernières décennies, et de déterminer la capacité desindustriesdu boisà valoriser le bois local. La consommation de bois industriel a augmenté de 0,19 M m3 en 1961 à 1,30 M m3 en 2012, alors que la production de bois industriel a augmenté de 0,09 M m3 seulement durant cette période. Dans un contexte de libéralisation des marchés, la valorisation du bois indus- triel et la maîtrise des importations ne peu- vent être réalisées que s’il existe une réelle coordination entre les acteurs de la filière bois (administration chargée de la gestion forestière et de la vente du bois, exploitants, industriels) permettant d’aboutir à la com- pétitivité des industries du bois. Une mise sur le marché de 50 000 m3 de bois sup- plémentaireset leur valorisation industrielle entraîneraient une recette additionnelle de 1,5 millions de dinars tunisiens (M DT) (+22 %) pour le budget de l’État, la réduction de la valeur des importations de 12 M DT (3 % des importations de bois et ouvrages en bois), et l’accroissement de la valeur ajoutée du secteur bois de 4 M DT, en plus de la création d’emploi au niveau de l’ex- ploitation et la transformation.
2

Pinon, Jean. "Les travaux forestiers vus par les peintres." Revue forestière française 72, no. 3 (June 30, 2020): 233–46. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5323.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
De nombreux travaux forestiers ont été peints, essentiellement par les impressionnistes. Peu d’actes sylvicoles sont illustrés, la majorité des toiles portant sur la récolte de bois (grumes, bois de chauffage). Le transport des bois est assuré par l’homme seul ou avec le recours à la traction animale, souvent en condition hivernale sur sol enneigé ou rivière gelée, ou par le flottage. Le bois énergie constitue une priorité jusqu’à la fin du XIXe siècle. La transformation des produits forestiers en forêt concerne le charbon de bois et la sève d’Érable. Les techniques modernes d’exploitation forestières ne sont guère illustrées.
3

BOILLEY (Eric). "La Distribution des produits en bois face à l'écocertification." Revue Forestière Française, no. 6 (2001): 707. http://dx.doi.org/10.4267/2042/4959.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
4

Boudouaya, Manel, Hachemi Benhassaini, Fatima Zohra Bendimered-Mouri, Frédéric Mothe, and Meriem Fournier. "ÉVALUATION DE LA DURABILITÉ NATURELLE DU BOIS DE PISTACIA ATLANTICA DESF. DU NORD DE L’ALGÉRIE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 325, no. 325 (July 17, 2015): 49. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.325.a31272.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La connaissance de la durabilité naturelle du bois des essences des zones arides et semi-arides est nécessaire pour décider de leur exploitation future. Ceci permet- trait de réduire l’utilisation des produits de préservation. La présente recherche a pour but de contribuer à la valorisation qualitative du bois d’une espèce ligneuse répandue en Algérie mais très peu étu- diée. Il s’agit du pistachier de l’Atlas, Pistacia atlantica Desf. C’est un taxon vivace, rustique et endémique qui peut vivre plusieurs siècles en s’adaptant par- faitement aux conditions édaphiques et climatiques contraignantes de son habi- tat. La durabilité naturelle a été évaluée au moyen d’éprouvettes normalisées de bois d’aubier et de duramen d’arbres provenant de deux régions différentes du point de vue bioclimatique en Algérie nord-occidentale. Les tests ont été effec- tués conformément aux normes euro- péennes NE 113 (1996) et NE 350-1 (1994)qui permettent l’évaluation de la durabi- lité du bois contre l’attaque fongique. Les résultats obtenus sur la perte de masse font ressortir deux faits particulièrement intéressants : le duramen et l’aubier des arbres des deux provenances présentent la même durabilité et aucune différence significative n’a été observée entre les deux provenances pour le même type de bois. Ce bois se classe parmi les bois très durables.
5

Fraysse, Patrick, and Viviane Couzinet. "L’art de la bibliographie: de l’objet à sa patrimonialisation." Em Questão 25 (October 17, 2019): 123–36. http://dx.doi.org/10.19132/1808-5245250.123-136.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Comme technique qui produit des métadonnées sur les textes, la bibliographie est un art de faire documentaire, un bricolage de présentation des savoirs produits par d’autres. Cette pratique professionnelle se renouvelle régulièrement jusqu’à l’ère numérique actuelle et les objets qu’elle produits entrent peu à peu dans un processus de patrimonialisation qui conduit les premiers objets médiateurs créés par les bibliographes, les catalogues imprimés, les fiches cartonnées et les meubles en bois qui les présentaient aux lecteurs, jusqu’au musée. Le rôle médiateur de la bibliographie et son caractère patrimonial sont présentés ici, dans une approche infocommunicationnelle à partir de l’exemple de banque de données numériques sur les manuscrits médiévaux et l’exposition des techniques bibliographiques au Mondaneum de Mons.
6

Derbal, Wassila, Abdellatif Zerizer, Jean Gérard, and Daniel Guibal. "CARACTÉRISATION D’ABOUTAGES À ENTURES MULTIPLES POUR TROIS ESSENCES D’ALGÉRIE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 325, no. 325 (July 17, 2015): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.325.a31273.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le pin d’Alep, Pinus halepensis, le chêne zéen, Quercus canariensis, et le chêne afa- rès, Quercus afares, sont trois essences parmi les plus abondantes en Algérie. Leur utilisation est cependant limitée par la pré- sence de défauts dans le bois et par leur nervosité. Les techniques de reconstitution par collage, notamment l’aboutage, per- mettent de s’affranchir de ces problèmes par la fabrication de produits purgés de défauts et beaucoup plus stables que les bois massifs. Pour ces trois essences, le comportement des bois a été étudié en déterminant comparativement sur bois massifs et sur bois aboutés la masse volu- mique, le module d’élasticité longitudinal, le module de cisaillement transverse et la contrainte de rupture en flexion. Les essais ont montré que, pour les trois essences, les bois massifs et les bois aboutés ont des rigidités équivalentes. Les résistances en flexion des bois aboutés sont toujours inférieures à celles des bois massifs du fait de la qualité très variable des aboutages : séchage hétérogène des bois, profilage imprécis des entures, défaut de pression de serrage lors du collage. Malgré cela, les valeurs caractéristiques obtenues pour la contrainte de rupture en flexion sont glo- balement conformes aux préconisations de la norme-référence. Les résultats de l’étude montrent que l’application indus- trielle de la technique de l’aboutage est envisageable pour ce type d’essences peu utilisées, sous réserve d’être mise en œuvre dans le respect des règles de l’art. L’entreprise algérienne Transbois, en charge de la transformation des bois et de la fabrication des éprouvettes aboutées pour l’étude, va poursuivre les travaux en- gagés en passant à un stade de fabrication préindustrielle.
7

Leturcq, Philippe. "Empreinte carbone de la forêt et de l’utilisation de son bois." Revue forestière française 72, no. 6 (December 31, 2020): 525–37. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5348.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Une idée répandue est que le remplacement par du bois des combustibles fossiles et des matériaux énergivores est une meilleure stratégie pour atténuer le changement climatique que le stockage de carbone dans les forêts. Cette opinion découle de l’assertion de « neutralité carbone de la biomasse » à laquelle se réfèrent, à tort, les politiques forestière et énergétique d’un grand nombre de pays, notamment en Europe. Les objections de nombreux scientifiques sont restées jusqu’à présent sans effet, sans doute par manque d’une description suffisamment simple, compréhensible par tous, de la véritable empreinte carbone des produits ligneux récoltés. Cet article montre, à partir des fondamentaux, que l’augmentation de la récolte et des usages du bois est contre-productive pour les objectifs d’atténuation du changement climatique, notamment lorsque le bois est utilisé comme combustible.
8

Buttoud, Gérard. "La dynamique des échanges internationaux de bois et de produits dérivés." Économie rurale 174, no. 1 (1986): 25–29. http://dx.doi.org/10.3406/ecoru.1986.3765.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
9

Desclos, Pierre-Marie. "Quinze ans de commerce international du bois et des produits forestiers." Revue Forestière Française, no. 3 (2014): Fr.], ISSN 0035. http://dx.doi.org/10.4267/2042/56053.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
10

Chatonnet, Pascal, and Jean-Noël Boidron. "Incidence du traitement thermique du bois de chêne sur sa composition chimique. 1ere partie : définition des paramètres thermiques de la chauffe des fûts en tonnellerie." OENO One 23, no. 2 (June 30, 1989): 77. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1989.23.2.1725.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
<p style="text-align: justify;">La chauffe des fûts est une opération fondamentale de la fabrication d'une barrique. En effet, poursuivi au-delà des simples nécessités du cintrage, le brûlage (ou bousinage) entraîne l'apparition de nouveaux composés par thermolyse et hydrothermolyse du bois. Ces derniers sont susceptibles d'influencer ultérieurement les propriétés organoleptiques des vins élevés en barriques.</p><p style="text-align: justify;">La chauffe des bois est encore réalisée totalement empiriquement, les écarts entre tonneliers peuvent être importants. De plus, il n'existe pas de classification objective des niveaux de brûlage. L'optimalisation de cette opération passe préalablement par la connaissance de ses caractéristiques thermiques. A cette fin, on a mesuré les températures du bois au cours des processus de cintrage et de brûlage, en fonction de différents modes de chauffe et rythmes d'humidification.</p><p style="text-align: justify;">Les données recueillies permettront d'établir un modèle thermique de la chauffe traditionnelle en tonnellerie qui aidera à mieux comprendre les mécanismes de thermodégradation du bois de chêne. Une prochaine étude précisera l'évolution de la nature et de la quantité des produits de thermolyse en fonction du niveau de brûlage et du gradient thermique du bois. La modélisation de ces réactions devrait permettre l'optimisation de la régularisation de la chauffe du bois en tonnellerie.</p>
11

Morel, Hélène, Éric Nicolini, Julie Bossu, Lilian Blanc, and Jacques Beauchêne. "Qualité et usages du bois de cinq espèces forestières adaptées à la plantation à vocation de bois d’œuvre et testées en Guyane française." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 61. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31492.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Des essais de plantations forestières ont été menés en Guyane française depuis le début des années 1960 sur plus de 138 espèces (70 espèces natives et 68 espèces exotiques). Une étude récente sur la productivité de ces espèces en plantation (projet ForesTreeCulture, 2013-2015) a mis en avant le fort potentieldeproductiondetroisespècesnatives (Simarouba amara Aubl., Vochysia tomentosa (G. Mey.) DC., Bagassa guianensis (Aubl.)) et d’une espèce d’Afrique de l’Ouest (Tarrietia utilis Sprague) avec des volumes de bois produits supérieurs à 20 m3/ha/an. Cependant, les propriétés du bois de ces espèces commerciales ne sont connues qu’au travers d’arbres issus de forêt naturelle. Nous présentons les propriétés du bois de ces espèces en conditions de plantation – densité, retrait, élasticité, angle du fil, durabilité – et discutons de leurs potentiels et de leurs usages respectifs futurs. Une autre espèce, Cordia alliodora ((Ruiz et Pavon) Oken), a également été retenue bien qu’elle n’ait pas encore été plantée en Guyane française. Cette espèce, native de Guyane, est bien connue en Amérique latine pour son BOIS & son fort potentiel de croissance en milieu anthropisé.
12

Lescuyer, Guillaume, and Moulnang Tal. "EXPORTATIONS DE BOIS DU CAMEROUN VERS LE TCHAD : UN SUCCÈS COMMERCIAL MAIS UNE LÉGALITÉ DÉFAILLANTE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 329, no. 329 (July 21, 2017): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.329.a31313.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L’importance et les moyens mis en œuvre pour importer des sciages au Tchad en pro- venance du Cameroun sont peu documen- tés. Deux enquêtes ont été réalisées pour dresser le diagnostic actuel de cette filière. D’une part, un suivi des flux de sciages a été assuré à N’Djamena et à Moundou de juillet à décembre 2015. D’autre part, des entretiens ont été conduits avec 16 personnes pour caractériser les proces- sus suivis pour importer et dédouaner le bois provenant du Cameroun. Selon nos enquêtes, le volume de sciages arrivant au Tchad à partir du Cameroun s’établit à 79 000 m3 sur la période d’enquête, soit probablement environ 210 000 m3 par an. C’est plus qu’un doublement de l’activité par rapport aux estimations réa- lisées en 2009. Presque la totalité des sciages importés au Tchad est constituée de « bois blancs » et ils sont produits avec des moyens artisanaux. Seulement 25% de ce volume est enregistré par les douanes tchadiennes. Les procédures officielles d’importation sont longues et coûteuses au Tchad. Les acteurs de la filière ont donc mis en place une « filière courte » de dédouanement du bois, qui se caractérise par une sous-déclaration des volumes importés et le versement de pots-de-vin. Cette pratique engendre un manque à gagner fiscal d’environ 3 mil- liards de FCFA pour l’État tchadien, mais elle procure des bénéfices importants aux officiers des douanes, aux transitaires, aux commerçants et aux consommateurs finaux de sciages. Plusieurs mesures sont envisageables pour modifier ces pratiques informelles. Côté demande, au Tchad, le changement de statut fiscal des produits bois, la sanction au moins ponctuelle de certains fraudeurs, et l’instauration de primes liées à l’application de la loi par les contrôleurs pourraient être combinés pour faciliter la légalisation de ce commerce. Côté offre, au Cameroun, l’enjeu majeur est de mieux réguler les pratiques d’ex- ploitation et de commerce du bois dans les forêts communautaires.
13

Godmaire, Hélène, and Quentin Galvez. "Le bois de chauffage utilisé dans les campings de la Montérégie : un vecteur potentiel de propagation de l’agrile du frêne." Entomologie 137, no. 2 (May 10, 2013): 34–40. http://dx.doi.org/10.7202/1015489ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L’agrile du frêne (Agrilus planipennis) est un insecte ravageur exotique qui s’attaque et tue toutes les espèces de frênes. Depuis sa détection à Carignan en Montérégie en 2008, la région fait l’objet de surveillance, car le potentiel destructeur de l’insecte est immense. Un des plus grands risques de dispersion de l’agrile du frêne réside dans le déplacement de produits infestés, en particulier du bois de chauffage. Dans le cadre de cette étude, nous nous sommes penchés sur les déplacements du bois de chauffage en Montérégie en interrogeant les commerçants de bois ainsi que les usagers et les propriétaires de camping. Le but de l’étude a été de documenter ces déplacements de bois de chauffage afin d’évaluer s’il existe réellement un risque et, dans l’affirmative, d’identifier des pistes de solution. L’enquête a révélé qu’il y avait un manque de connaissance de l’agrile du frêne et des risques qu’il pose tant chez les propriétaires de camping que chez les campeurs. Elle a aussi montré qu’environ 20 à 30 % des campeurs apportaient leur propre bois de chauffage, une voie potentielle de dispersion de l’insecte. Nous avons éprouvé beaucoup de difficultés à entrer en contact avec les commerçants, de sorte que nous devons revoir notre stratégie de collecte d’information pour cette catégorie d’utilisateurs. En conclusion, la mise sur pied d’une campagne d’information et de formation intensive s’avère essentielle afin de mobiliser tous les intervenants du milieu. De la même manière, la création d’un système de traçabilité du bois permettrait d’assurer qu’aucun bois infesté ne soit déplacé sur le territoire de la Montérégie.
14

Mbikay Kadima, Pierrot. "Enquête sur l’impact socio-environnemental de l’utilisation de bois et stratégies de remédiation dans les ménages de la ville de Kisangani (Province de la Tshopo) en République Démocratique du Congo." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 2, no. 4 (February 10, 2022): 516–23. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i4.58.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Cette étude avait pour objectifs l'évaluation de l’impact socio-environnemental de l'utilisation du bois dans les ménages de Kisangani, province de la Tshopo, en République Démocratique du Congo, ainsi que l'identification et l'analyse des stratégies de remédiation susceptible d’atténuer leurs impacts. A cet effet, l'étude a visé à comprendre les pratiques actuelles des ménages en matière d'utilisation du bois en vue de proposer des recommandations pour une utilisation plus durable des ressources forestières. Il ressort de cette étude que l'utilisation du bois est une source d'externalités négatives dans les ménages de Kisangani notamment elle provoque des maladies telles que la pneumonie, l’irritation des surfaces oculaires (conjonctivite allergique), la bronchopneumonie et conduit aussi à la récession forestière, à la perte de produits forestiers non ligneux, au dérèglement climatique, etc. En conclusion, la présente étude souligne la nécessité d'adopter des stratégies de remédiation durables. Les résultats mettent en évidence l'urgence de sensibiliser la communauté sur des pratiques de gestion forestière responsable et de promouvoir l'utilisation d'alternatives écologiques. La collaboration entre les autorités locales, les ONG et la population locale est essentielle pour préserver l'environnement tout en répondant aux besoins énergétiques des ménages. Mots clés: Déforestation, bois de chauffage, ménage, environnement, Kisangani
15

Proces, Pierre, Emilien Dubiez, Franck Bisiaux, Adrien Péroches, and Adeline Fayolle. "Production d’Acacia auriculiformis dans le système agroforestier de Mampu, plateau Batéké, République démocratique du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 23. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31489.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Géré par des communautés locales depuis plus de vingt ans, le massif agroforestier à Acacia auriculiformis de Mampu, sur le plateau Batéké en République démocratique du Congo (RDC), contribue à l’approvisionnement de Kinshasa en produits vivriers et en bois énergie. Grâce aux subventions internationales, ce système agroforestier, qui intègre la pratique de l’abattis-brûlis, est reproduit un peu partout en RDC, bien que sa performance n’ait jamais été évaluée. L’objectif de cette étude était d’estimer la production d’Acacia auriculiformis en biomasse totale et exploitable pour le charbon de bois (tige et branches de plus de 4 cm de diamètre) dans le système agroforestier. À cet effet, deux équations allométriques locales, portant sur la biomasse totale et exploitable, ont été ajustées à partir de données destructives. Des données d’inventaire existantes (n = 112 parcelles) ont permis d’identifier une grande hétérogénéité structurale sur l’ensemble de la rotation (8-10 ans) mais également entre parcelles du même âge. Malgré cette hétérogénéité qui peut s’expliquer par la diversité des conditions environnementales sur le site et/ou les disparités dans l’appropriation de l’itinéraire technique, la production reste néanmoins comparable à celle observée sur d’autres sites avec, en moyenne, 145 tonnes par hectare en 10 ans. Le système agroforestier de Mampu présente de nombreux avantages, des services directs avec la création d’emplois ruraux, et la production combinée de produits vivriers et de charbon de bois, mais aussi des services indirects, comme la déforestation évitée, et le stockage du carbone. La durabilité et la diffusion de ce système agroforestier peuvent néanmoins être discutées.
16

LEVET, Anne-Laure, Ludovic GUINARD, and Indradev PUROHOO. "LE COMMERCE EXTÉRIEUR DES PRODUITS BOIS : EXISTE-T-IL RÉELLEMENT UN PARADOXE FRANÇAIS ?" Revue Forestière Française, no. 1 (2014): 51. http://dx.doi.org/10.4267/2042/54052.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
17

SOULERES (Gérard). "L'Evolution des prix des bois sur pied (1955-1995) 1 : Les principaux produits." Revue Forestière Française, no. 5 (1997): 451. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5644.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
18

Vantomme, Paul, and Sophia Gazza. "Le défi de la sylviculture en faveur des produits forestiers non ligneux sous les tropiques : de la cueillette à l'agriculture ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 304, no. 304 (June 1, 2010): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.304.a20447.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Pour passer en revue la sylviculture destinée à favoriser les produits forestiers non ligneux (Pfnl), il faut avant tout bien comprendre et utiliser des définitions et des termes clairs afin d'éviter toute confusion pour les lecteurs et les utilisateurs quant aux " techniques sylvicoles " décrites, à savoir si elles font actuellement partie de la " foresterie " ou du " secteur agricole ". La production sylvicole des Pfnl entre à la fois dans le domaine de la " foresterie " et de l'" agriculture " du fait que la majorité des espèces de Pfnl sont actuellement prises dans un processus dynamique de domestication qui remplace progressivement les pratiques traditionnelles de récolte et de chasse en forêt, pour aller vers des cultures plus intensives d'exploitation agricole. Les interventions sylvicoles qui favorisent le développement des Pfnl au sein des forêts tropicales sont assujetties aux nouvelles perspectives des utilisateurs, qui peuvent aller de la satisfaction des besoins de subsistance jusqu'à la production de produits de base en vue d'une transformation industrielle et d'une commercialisation internationale. Cet article propose une approche descriptive de la complexité des différentes interventions sylvicoles, qui ont pour objectif de gérer les forêts pour produire non seulement des biens et services ligneux mais aussi des Pfnl. La planification des interventions sylvicoles en faveur des Pfnl, en vue de la gestion des forêts, est encore rarement pratiquée. Elle exige une approche intersectorielle pour intégrer les nombreuses demandes, souvent conflictuelles, des utilisateurs sur le plan tant alimentaire que des besoins en bois d'oeuvre, bois énergétique et Pfnl. En outre, s'agissant des activités récréatives et de loisirs, elle implique de multiples acteurs qui ne sont pas uniquement concernés par l'exploitation du bois. Les organisations internationales et non gouvernementales jouent un rôle essentiel pour sensibiliser et renforcer les capacités techniques et institutionnelles des pays et faire en sorte qu'ils intègrent la sylviculture des Pfnl dans la gestion durable des forêts. (Résumé d'auteur)
19

AMADJI, Togbé Armel, Edmond Codjo ADJOVI, Jean GÉRARD, Jonathan BARÉS, and Vincent HUON. "Étude des propriétés technologiques d’un composite bois-plastique élaboré au Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 348 (July 5, 2021): 49–63. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.348.a36750.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Au Bénin, les déchets issus de la transformation du bois sont très insuffisamment valorisés dans une perspective de réutilisation par l’industrie du bois. Les technologies de transformation de ces produits connexes, économiquement accessibles aux populations des pays en développement, constituent un domaine très peu abordé dans la littérature internationale. Dans le présent travail, un matériau constitué d’un mélange de sciure de bois de teck et de pâte de polystyrène recyclés, suivant une technologie simple à mettre en œuvre et de type low-tech, a été caractérisé. Les résultats obtenus ont montré que les propriétés du composite varient significativement avec la granulométrie de la sciure utilisée. La masse volumique apparente du matériau est comprise entre 686 à 826 kg/m3, son taux d’absorption d’eau est inférieur à 15 % et son taux de gonflement en épaisseur est inférieur à 5 % après 24 heures d’immersion. Une corrélation élevée a été observée entre ses propriétés physiques et sa porosité qui varie de 34 et 43 % suivant la granulométrie des sciures de bois utilisées. Le composite présente un module d’élasticité en traction compris entre 582 à 1 057 MPa, une résistance en traction comprise entre 2 et 3 MPa et un coefficient de Poisson variant de 0,14 à 0,24. En compression, son module d’élasticité varie entre 270 à 470 MPa et sa résistance entre 6 à 9 MPa. Une mise en œuvre du composite ainsi élaboré peut être envisagée en substitution du bois pour des éléments faiblement chargés comme des pièces de coffrage de construction légère.
20

Arsène, EWOSSAKA, KOUBOUANA Felix, AYESSA LECKOUNDZOU, and MAYIKA Ivan Arnold. "Processus Technologique de Fabrication Du Contre-Plaque." Forestry & Agriculture Review 2, no. 1 (February 4, 2021): 37–51. http://dx.doi.org/10.47285/far.v2i1.72.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
It should be remembered that in the Congo Basin, investments in new wood processing plants or in the extension of existing ones are still very limited. In addition, the 3 wood products exported from this region are mainly sawn timber, veneers, and plywood. It should be noted that despite some timid existing opportunities, some companies operating in the Congo Basin are struggling to invest in wood processing and therefore do not effectively contribute to the development of national and sub-regional economies. To better capitalize on these opportunities, it is important to create a business environment conducive to new investments in advanced wood processing. Ultimately, this study made it possible to assimilate the techniques and processes of obtaining veneers and plywood successfully through the technology of the machines developed, with the application of our theoretical knowledge in order to gain experience of professionally enhanced intellectual capacities. The plywood production is fixed at 6,651 m3; 8,452 m3 respectively in 2011 and 2012 showing a gradual increase in the order of 1,801 m3 due to strong demand from the local market. With regard to the annual volume of veneers obtained, the yield of veneers and plywood obtained were the following R1 ≈ 44% and R2 ≈ 30%. Exports of peeled veneers recorded a drop of 8.20% in volume, reaching 25,893.244 m3 in 2019 against 28,206.341 in 2018. However, peeled veneers each ranked 4th, in order reached 25,893.244 m3 or 2.60%. Okoumé, with 391,030,067 m3, or 39.31% of the total volume, was the main forest species among the various exported products, out of more than sixty exported concerned. Rappelons que dans le Bassin du Congo, les investissements dans les nouvelles usines de transformation du bois ou dans l’extension de celles existantes restent encore très limités. En outre, les 3 produits de bois exportés de cette région, sont majoritairement les bois sciés, les placages et les contreplaqués. Soulignons qu´en dépit de quelques timides opportunités existantes, certaines entreprises opérant dans le Bassin du Congo peinent à investir dans la transformation du bois et de ce fait, ne contribuent pas efficacement au développement des économies nationales et sous-régionales. Pour mieux capitaliser ces opportunités, il s´avère important de créer un environnement d´affaires propice aux nouveaux investissements dans la transformation poussée du bois. En effet depuis l’année 2000, le Congo s’était doté de la loi forestière, loi n° 16 - 2000 du 20 novembre 2000 portant code forestier qui consacre la gestion durable des forêts garantissant une exploitation soutenue des bois et une conservation des écosystèmes ; et jusqu’à la promulgation de la nouvelle loi forestière n°33 – 2020 du 8 juillet 2020 portant code forestier qui aborde de nouvelles questions climatiques et environnementales ; le développement et la diversification de la transformation constitue l’une des principales stratégies pour la mise en œuvre de cette politique, avec une utilisation rationnelle des bois, avec une valeur ajoutée plus importante du secteur forêt – bois et la création de plus d’emplois.
21

Vallières, Marc, and Yvon Desloges. "Les échanges commerciaux de la colonie laurentienne avec la Grande-Bretagne, 1760-1850." Dossier Québec 61, no. 3-4 (October 17, 2008): 425–67. http://dx.doi.org/10.7202/019126ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Résumé Le port de Québec a joué un rôle majeur dans l’important commerce colonial transatlantique avec les métropoles française et britannique. L’historiographie canadienne a depuis longtemps mis l’accent sur le volet exportation des ressources naturelles de ces échanges, tant les fourrures que les produits du bois, mais a rencontré des obstacles à cerner la place des importations des produits autres que les alcools et certaines denrées taxées. Se fondant sur un dépouillement et une analyse statistique critique des importants registres de la douane britanniques (Archives nationales du Royaume-Uni, séries CUST), cet article fait ressortir la prédominance des produits industriels britanniques, essentiellement les textiles, ainsi que d’une multitude de produits métallurgiques, alimentaires et autres reflétant tout l’éventail des milliers de produits arrivés sur le marché de consommation canadien de 1760 jusqu’à 1850. Il amorce dans deux cas (textiles et métallurgie) une étude plus approfondie de la composition de ces importations et de leurs retombées sur la production locale, tant artisanale qu’industrielle. Globalement, il en ressort aussi que la valeur des importations surpasse nettement celle des exportations pour cette période, une conclusion surprenante et controversée.
22

Günter, Sven, Michael Weber, Bernd Stimm, and Reinhard Mosandl. "Lier la sylviculture tropicale à la gestion forestière durable." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (December 1, 2012): 25. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20487.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Depuis l'émergence du concept de la " gestion durable des ressources " dans les dernières décennies du XXe siècle, les aspects écologiques, technologiques et socio-économiques constituent les piliers de la gestion forestière durable. Alors que la production de bois et de produits forestiers non ligneux (PFNL) a longtemps été l'objectif premier de la gestion forestière, la demande de services forestiers écologiques s'accroît aujourd'hui en parallèle. Cependant, les systèmes de gestion forestière tropicale ont été conçus pour la plupart il y a fort longtemps, avec pour but principal la production de bois. Cet article présente une approche en six étapes pour passer de la sylviculture tropicale classique axée sur la production de bois à des approches plus globales visant à assurer une gestion réellement durable des ressources forestières. Cet objectif est particulièrement important sous les tropiques, où la production de bois est désormais menacée par un rythme de déforestation alarmant et par l'importance accrue des ressources forestières pour assurer la subsistance des populations locales. L'augmentation des superficies forestières concurrence fortement les autres objectifs d'utilisation des terres, et l'intensification permettant d'accroître la production à l'hectare est donc une approche prometteuse pour résoudre ce problème majeur, par exemple par la mise en oeuvre des techniques sylvicoles à rotations courtes, la domestication d'essences ou l'aménagement des sites. La diversification des structures et des services forestiers est une stratégie complémentaire importante visant à remédier à la dégradation éventuelle des forêts et aux pénuries d'autres biens ou services, et de ce fait à contribuer à la gestion durable à l'échelle d'un paysage. Les échelles de gestion, temporelles et spatiales, doivent donc être adaptées aux besoins des exploitants forestiers individuels (pour la production de bois, par exemple) mais aussi à ceux de la collectivité (eau, biodiversité, stockage du carbone...). La gestion forestière durable dépend fortement de son acceptation par l'ensemble des intéressés, et les approches participatives peuvent y contribuer de façon significative. Cet article présente des exemples montrant comment l'intégration de la sylviculture et de la gestion forestière permet, en englobant tous les aspects indiqués ci-dessus, de contrer la gestion de conception purement extractive pour aboutir à une approche sylvicole moderne en termes de gestion adaptive de l'écosystème. L'autonomie des acteurs sociaux et des mécanismes de marché opérationnels pour les produits et services autres que le bois sont des éléments incontournables de la planification sylvicole moderne, mais n'ont aucune utilité pour la gestion forestière durable tant qu'ils ne s'accompagnent pas d'une solide connaissance des fonctions et processus écologiques et d'une bonne compréhension des impacts des interventions humaines. La sylviculture tropicale et la gestion durable des forêts dépendent l'une comme l'autre de la connaissance des écosystèmes et de son application pratique sur le terrain.
23

Temgoua, Lucie Félicité, Raphaël Njoukam, and Régis Peltier. "Plantations ingénieuses de bois d'oeuvre par les paysans de l'Ouest-Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 63. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20467.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les services de développement impliqués en sylviculture paysanne adoptent souvent des paradigmes tels que : " la plupart des paysans n'envisagent que des productions à court terme, leurs systèmes traditionnels agroforestiers sont immuables ou en voie d'abandon et il n'est possible que de leur proposer des techniques bien rodées, simples et normalisées incluant la plantation d'espèces exotiques à croissance rapide pour la production de bois de service ". En fait, l'étude des pratiques sylvicoles dans l'Ouest Cameroun montre qu'il existe une grande diversité de comportements vis-àvis de l'arbre et que des paysans-sylviculteurs font preuve d'ingéniosité pour adapter les systèmes traditionnels et aussi pour intégrer des technologies extérieures selon leurs besoins. Pour les plantations d'eucalyptus, ils ont su intégrer les techniques utilisées par les services de développement rural et de recherche, en innovant en ce qui concerne la production de plants, le semis direct, l'association avec des cultures, la coupe en taillis ou la diversité des produits. Quant aux boisements de pins, encouragés par l'État et les projets, peu de plantations paysannes ont été réalisées, faute de débouchés ou d'utilisations pratiques des produits. Pour ce qui est du système traditionnel de bocage, les espèces n'ayant plus d'usage courant sont éliminées au profit de nouvelles espèces qui sont choisies en fonction des besoins familiaux ou locaux et des opportunités du marché. En outre, il est surprenant de constater que, contrairement aux projets étatiques, certains paysans plantent dans leurs haies des espèces de forêt naturelle productrices de bois d'oeuvre à longue révolution, tels que le kosipo, Entandrophragma candollei. Par ailleurs, les boisements d'État ou communaux brûlent dans une indifférence quasi générale, malgré les efforts des gestionnaires soulevant la question de savoir si les crédits d'aide au reboisement public ne seraient pas mieux utilisés sous forme d'aide au reboisement privé. (Résumé d'auteur)
24

Hernandez Bautista, Emilio, Sadoth Sandoval Torres, Juan Rodriguez Ramirez, and Omar Ali Velasco Cruz. "Modélisation du séchage du bois de Pinus pseudostrobus selon la méthode de la courbe caractéristique." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 306, no. 306(4) (December 1, 2010): 71. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.306.a20434.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Actuellement il existe une augmentation de la demande en produits forestiers au niveau mondial. Le séchage est une étape importante à l'intérieur du processus de transformation du bois, une opération qui bonifie sa qualité et accroît sa valeur. L'article présente l'analyse des expérimentations de séchage du bois Pinus pseudostrobus par convection d'air chaud, avec l'objectif de modéliser les cinétiques de séchage en utilisant la méthode de la courbe caractéristique de séchage. Les expérimentations ont été menées sous différentes conditions de température, obtenant ainsi un modèle pour la simulation de l'évolution du niveau d'humidité dans le matériau en fonction du temps. Le modèle part de l'analyse de la vitesse réduite et de l'identification de phases dans le séchage. Les paramètres du modèle ont été évalués en utilisant la méthode de réduction de la somme des erreurs quadratiques, calculées en comparant les cinétiques expérimentales avec les simulées. (Résumé d'auteur)
25

Elbariji, Sbah, Maria Elamine, Habiba Eljazouli, Hassan Kabli, Abdellah Lacherai, and Abdallah Albourine. "Traitement et valorisation des sous-produits du bois. Application à l'élimination des colorants industriels." Comptes Rendus Chimie 9, no. 10 (October 2006): 1314–21. http://dx.doi.org/10.1016/j.crci.2006.05.006.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
26

Djoudi, Tarek, Mabrouk Hecini, Daniel Scida, Youcef Djebloun, and Belhi Guerira. "Caractérisation physique et mécanique du bois et des fibres issus d’une palme mûre de palmier dattier." Matériaux & Techniques 106, no. 4 (2018): 403. http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2018056.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La disponibilité en quantité importante des sous-produits renouvelable des palmiers dattiers laisse envisager leur utilisation comme renfort dans les matériaux composites et les structures d’isolation. Ceci nécessite la caractérisation physico-mécanique des différentes composantes du palmier. Dans ce contexte, cette étude a été entamée pour la caractérisation d’une composante importante du palmier qui est la palme mûre. La palme étant décomposée essentiellement en deux parties, le Pétiole et le Rachis, la caractérisation a été portée alors sur le bois fibreux et les fibres de ces deux parties. La caractérisation physique concernera la masse volumique des fibres et de la matrice végétale (lignine) ainsi que le taux d’humidité dans les différentes parties de la palme. Les essais mécaniques ont permis de déterminer les caractéristiques mécaniques du bois fibreux et des fibres extraites des deux parties de la palme après le séchage. À l’issue de cette étude, les résultats obtenus montrent l’influence de la position de l’échantillon testé sur les propriétés physico-mécaniques. Ils ont permis également de situer ce type de bois fibreux et ces fibres parmi d’autres résultats de la littérature scientifique et d’envisager de les utiliser dans la mise en œuvre des matériaux composites et dans des éléments d’isolation.
27

Chatonnet, Pascal, Guy Guimberteau, Denis Dubourdieu, and Jean-Noël Boidron. "Nature et origine des odeurs de « moisi » dans les caves. Incidences sur la contamination des vins." OENO One 28, no. 2 (June 30, 1994): 131. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1994.28.2.1148.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
<p style="text-align: justify;">Les goûts et odeurs à caractère "moisI" retrouvés dans les vins encore stockés en cuves ou en barriques sont généralement dus à des chloroanisoles du type 2,3,4,6-tétrachloroanisoleet pentachloroanisole. Ces composés malodorants proviennent de la dégradation microbienne de chlorophénols utilisés comme traitement insecticide de différents matériaux à base de bois principalement employés dans la construction des bâtiments, leur isolation ou dans la fabrication de caisses de stockage des bouteilles. Dans certaines conditions, humidité de l'air élevée et ventilation réduite, on assiste à une contamination rapide de l'atmosphère des caves et des vins qui y sont entreposés. De la même façon, la conservation dans une atmosphère viciée de certains produits destinés à entrer en contact avec le vin peut être responsable de sa pollution.</p><p style="text-align: justify;">L'élimination de la source de contamination en chlorophénols et en chloroanisoles, ainsi que l'amélioration du renouvellement de l'air, suffisent généralement à solutionner le problème. La prohibition de tous les produits de traitements à base de chlorophénols est conseillée dans tous les locaux destinés à recevoir du vin en vrac où à le conditionner en bouteille.</p><p style="text-align: justify;">La cuverie contaminée en même temps que les vins peut être réutilisée après nettoyage et éventuellement réfection. A l'inverse, les contenants en bois conservés dans une atmosphère polluée doivent le plus souvent être éliminés.</p>
28

Mazet, M., O. Dusart, M. Roger, and D. Dussoubs-Marmier. "Elimination de colorants de l'industrie textile par des sciures de bois." Revue des sciences de l'eau 3, no. 2 (April 12, 2005): 129–49. http://dx.doi.org/10.7202/705068ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L'élimination de la couleur de rejets de petites industries textiles peut être réalisée à l'aide de sciures d'essences de bois diverses dont le choix est fait après étude de leur relargage dans l'eau (couleur et DCO); les sciures de chêne, de châtaignier, de pin Douglas conduisent à des relargages de substances fortement colorées correspondant à des DCO d'environ 60 mg d'oxygène par gramme de sciures sèches et ceci en réacteur discontinu. Par contre, les sciures de hêtre, bouleau, sapin et peuplier relarguent nettement moins de produits colorés ou non et conduisent à des DCO plus faibles, excepté pour le bouleau (30 mg d'O2.g-1). Le pH de l'eau est également modifié par addition de sciures et l'on obtient des valeurs de pH d'équilibre atteint en 10 min., de 4,3; 5; 5,8 et 7 pour le bouleau, le sapin, le hêtre et le peuplier respectivement. L'élimination de colorants à 25 mg.l-1 dans l'eau par des doses de sciures de 50 g.-1 pour 2 h de temps de contact, montre qu'une meilleure décoloration (98 à 100 %) est obtenue pour le colorant cationique Basic Red 22 avec les quatre sciures sélectionnées, qu'avec les colorants anioniques (ou acides) dont les valeurs de rétention, variables selon les sciures (de 4 à 8 %) peuvent être très bonnes également. Les isothermes d'adsorption permettent de déterminer les capacités d'adsorption à saturation; à titre d'exemple, des valeurs de 0,1 à 0,2 mmol.g-1 sont obtenues sur des sciures de peuplier et de hêtre pour le colorant BR 22 et de 4 à 8.10- mmol.g-1 pour le colorant anionique Acid Blue 25, sur ces mêmes sciures. Contrairement à d'autres matériaux, on observe que les résultats obtenus ne dépendent que très peu de la température (entre 15 et 35 °C). Une étude dynamique sur colonne confirme les écarts pour les deux types de colorants, mais les résultats dépendent de la vitesse de passage : des pourcentages d'élimination de 0,4 à 1 % en masse peuvent être obtenus pour l'AB 25 le BR 22 sur la sciure de hêtre. Il faut cependant signaler que les produits minéraux et organiques contenus dans les effluents colorés industriels diminuent l'efficacité des sciures par rapport à leur efficacité sur des solutions de colorants purs.
29

El Haouzali, Hafida, Rémy Marchal, and Fatima Sahban Kifani. "Les performances mécaniques des panneaux LVL : Revue bibliographique des principaux facteurs d’influence." Matériaux & Techniques 108, no. 1 (2020): 102. http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2020012.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les lamibois ou LVL (Laminated Veneer Lumber) sont des produits dérivés du bois, ils sont constitués de placages collés fil sur fil. Ils permettent de gagner amplement sur les valeurs mécaniques. La présente revue de littérature montre que les performances mécaniques des panneaux LVL peuvent être influencées par plusieurs facteurs notamment, l’épaisseur du placage, la fissuration du placage, le mode de jointage longitudinal et le type de colle employé. La direction de sollicitation par rapport aux plans de collage semble aussi avoir un effet non négligeable sur la résistance du LVL à la flexion statique.
30

Bisiaux, Franck, Régis Peltier, and Jean-Claude Muliele. "Plantations industrielles et agroforesterie au service des populations des plateaux Batéké, Mampu, en République Démocratique du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 301, no. 301 (September 1, 2009): 21. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.301.a20404.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
En République démocratique du Congo, Kinshasa, la capitale accueillant les populations issues de l'exode rural et de l'insécurité accrue, concentre environ huit millions d'habitants. La ville est principalement entourée de savanes et d'îlots forestiers dégradés. La consommation en bois énergie est estimée dans une fourchette de trois à six millions de tonnes d'équivalent bois énergie par an (ce qui représenterait 0,6 à 1,2 million de tonnes de charbon de bois par an si tout le bois était carbonisé). Le projet Mampu a été conçu comme la phase pilote d'un projet de reboisement de cent mille hectares sur les sols sableux du plateau Batéké pour faire face à la pénurie de bois et de charbon. Malgré les conflits, environ huit mille hectares de plantations d'Acacia auriculiformis ont été principalement réalisées de 1987 à 1993. À partir de 1998, la plantation de Mampu a été divisée en lots de 25 ha attribués à 320 familles d'agriculteurs. La culture se fait suivant un modèle agroforestier de jachère améliorée, inspiré du modèle traditionnel de culture sur brûlis. La production totale de charbon de ce massif varie de 8 000 à 12 000 tonnes annuelles, à laquelle il faut ajouter 10 000 tonnes de manioc, 1 200 tonnes de maïs et 6 tonnes de miel. Pour le seul charbon, cela correspond à un revenu brut annuel de 2,6 millions de dollars US pour le pays. Au moins un quart revient aux propriétaires agrisylviculteurs. Le succès du projet incite à appliquer ce modèle sur les savanes des plateaux Batéké, en prenant en compte les droits fonciers traditionnels et en poursuivant la diversification et la transformation locale des produits. Cela contribuera à couvrir une part plus importante des besoins urbains en énergie renouvelable, tout en créant des emplois ruraux. Cependant, d'autres modèles de systèmes agroforestiers méritent d'être testés ou développés dans les autres conditions écologiques et socio-économiques du pays, comme la gestion du recrû naturel d'espèces locales à usages multiples appliquée dans le système traditionnel de jachère enrichie (nkunku) du Bas-Congo. (Résumé d'auteur)
31

Zaremski, Alba, Louis Gastonguay, Clara Zaremski, Fanny Chaffanel, Gaetan Le Floch, and Jacques Beauchêne. "Capacité des sols forestiers tropicaux de Guyane et de la Réunion à dépolluer les bois imprégnés de biocides." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 318, no. 318 (December 1, 2013): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.318.a20518.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le matériau bois a depuis longtemps fait l'objet de traitements fongicides ou insecticides dont l'impact sur les sols après lessivage constitue un réel problème écologique. À ce jour, l'essentiel des études sur la dégradation de ces produits toxiques a été mené à partir des micro-organismes isolés en laboratoire. La présente étude a cherché à affiner les connaissances concernant ces microorganismes, en particulier les champignons lignivores dégradant les polluants in situ, pour lesquels peu de données sont en fait disponibles. En vue de dépolluer des bois traités, la capacité des micro-organismes lignivores issus de sols forestiers tropicaux de la Guyane et de la Réunion pour dégrader des biocides toxiques a été évaluée. Il s'agit du pentachlorophénol (PCP) et des composés à base de cuivre chrome arsenic (CCA). Le suivi de la dégradation d'éprouvettes de pin rouge, Pinus resinosa, montre que le sol de Guyane est plus performant que celui de la Réunion en termes d'activité microbienne vis-à-vis de ces deux biocides. Une différence significative de la perte de masse des éprouvettes de pin rouge traitées au CCA et au PCP peut aller du simple au double (respectivement 18 % et 30 %). Ces résultats confirment que le CCA est moins lessivable et moins dégradable par les microorganismes de ces sols que le PCP. D'après le barème des pertes de masse en essais de laboratoire, ces bois ainsi traités seraient classés peu durables après trois ans de mise en contact avec le sol, alors que le traitement est prévu comme très durable.
32

NDUWIMANA, André, Richard HABONAYO, Bernadette HABONIMANA, Vénérand NDORERE, Salvator KABONEKA, and Jan BOGAERT. "Regard critique sur les impacts socio-économiques et écologiques des peuplements d’eucalyptus au Burundi." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 357 (October 1, 2023): 85–96. http://dx.doi.org/10.19182/bft2023.357.a37103.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La forte adoption de l’eucalyptus dans le reboisement et son expansion rapide dans des parcelles villageoises au Burundi font l’objet de fortes critiques et les décisions politiques, bien que contestées, risquent de saper les efforts de reboisement pour un pays dont le paysage naturel ne subsiste qu’au sein des aires protégées. L’objectif de l’étude est de démontrer que le genre Eucalyptus est fortement apprécié par les populations burundaises comme essence de production de bois et que son succès socio-économique est un élément à ne pas sous-estimer dans les programmes de reboisement et de gestion de l’environnement. La méthodologie a consisté en une collecte de données de terrain sur l’importance de l’eucalyptus au Burundi, ceci en estimant la fréquence de ses produits dans les principaux points de vente des produits ligneux à Bujumbura et des plants produits par les projets et programmes ayant le volet reboisement dans leurs attributions. Les résultats montrent que, malgré de potentiels effets environnementaux, l’eucalyptus est de loin l’essence préférée et adoptée au Burundi comme essence de reboisement. Il domine en effet les plants produits pour le reboisement et les produits vendus. Il est prisé par les populations locales pour son apport en termes de revenu et pour ses multiples utilisations, de sorte que l’image négative qu’on a tendance à lui attacher relève alors de fausses attentes et de mauvaises pratiques (conduite des peuplements et traitements du sol, durée de rotation, etc.). Les données de cette étude clarifient des informations relevant de polémiques, et contribuent à une meilleure compréhension des plantations d’eucalyptus et d’espèces exotiques, ceci au service d’une meilleure gestion.
33

Louppe, Dominique. "Plantations forestières : un sujet d'actualité ? [Editorial]." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 4. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20465.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L'Afrique intertropicale sert de cadre à notre réflexion bien que les autres continents tropicaux regorgent d'exemples tout aussi édifiants. Forêt naturelle et forêt plantée ont bien souvent été considérées comme deux pôles opposés de la foresterie, pôles entre lesquels les projets de développement effectuent un mouvement de balancier. Déjà en 1953, Alba1 écrivait : " Il semble inutile d'opposer la sylviculture basée sur la régénération naturelle et celle basée sur la régénération artificielle. D'une part, cela risque d'entraîner des querelles qui, quoique faites sur un ton toujours extrêmement courtois, peuvent blesser inutilement les uns et les autres qui croient le plus souvent, et en toute bonne foi, il faut bien le dire, détenir la vérité en la matière, ce dont on ne saurait les blâmer. " Cette mise en garde n'a pas empêché les deux " clans " d'être plus souvent en opposition qu'en synergie. Dans les années 1960-1970, le balancier était du côté des plantations. C'était l'époque des grands programmes de reboisement, teck en Afrique francophone : gmélina au Mali, pins à Madagascar et okoumé au Gabon dans les années 1950- 1960, puis des grands reboisements périurbains des années 1970 pour le bois énergie. Ces projets étatiques onéreux se sont avérés peu rentables en raison des faibles prix du bois de forêt naturelle pratiqués sur les marchés locaux, ce qui a découragé les bailleurs de fonds. Les plantations sont un investissement à long terme alors que le financement des projets est à court ou moyen terme. Même lorsque les premières rentrées financières des plantations arrivent après six à sept ans (pour le bois de trituration), la faible valeur marchande de ce bois fait que plusieurs rotations sont nécessaires pour rentabiliser l'investissement. Pour les bois d'oeuvre, la révolution est de plusieurs décennies, incompatible avec les cycles des bailleurs de fonds. Ceux-ci considèrent généralement que l'investissement forestier s'arrête quelques années après la plantation et les premiers entretiens. Pourtant, il est nécessaire de financer les travaux ultérieurs pour obtenir in fine des bois de haute qualité à forte valeur marchande car les élagages de pénétration et la première éclaircie fournissent des bois de faibles dimensions qui sont abandonnés sur place en l'absence d'usine de trituration, ce qui est le cas en Afrique. Les éclaircies suivantes produisent des perches et des piquets dont la vente ne finance au mieux que le coût des travaux. Cette absence de retour financier rapide a généré, dans les années 1980, des problèmes au sein des programmes nationaux de reboisement. Par exemple, la Société de développement des forêts ivoiriennes a, faute de pouvoir vendre les premières éclaircies, cessé de planter des tecks pendant plusieurs années, jusqu'au jour où des acheteurs étrangers se sont intéressés à ces produits. À Madagascar, le bailleur de fonds voulait arrêter de financer les plantations de pins initialement destinées à la pâte à papier ; une longue négociation permit de modifier l'objectif du projet et de faire comprendre que les éclaircies et l'élagage étaient indispensables à la production d'un bois de qualité à haute valeur commerciale, et d'obtenir la poursuite du financement des travaux : ce n'est que 26 ans après les premières plantations de pins que les plantations ont commencé à s'autofinancer. Les calculs financiers montrent de très faibles taux de rentabilité interne des plantations ; mais ces calculs ne prennent pas en compte les emplois créés dans les plantations ni le développement des filières de transformation et de commercialisation en aval. (Résumé d'auteur)
34

ZAREMSKI, Clara. "Pour une production contrôlée d’agarwood d’Aquilaria crassna Pierre ex Lecomte en Guyane : approches métagénomique, biochimique et histologique." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 344 (July 21, 2020): 73–74. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.344.a31900.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Aquilaria Lam. est un genre d’arbre tropical de la famille des Thymelaeaceae dont le bois sain est de couleur blanche. Lorsque l’arbre est blessé, en interactions avec des micro-organismes environnementaux, l’arbre produit un bois transformé par sa forte teneur en composés secondaires : l’agarwood. L’agarwood, de couleur brun-noir, est particulièrement apprécié pour son odeur boisée intense. L’huile essentielle obtenue par hydrodistillation d’agarwood est très prisée en parfumerie. Ainsi, le marché mondial des produits dérivés d’Aquilaria est estimé, en 2018, à 11 milliards de dollars US. Face à la demande croissante sur le marché mondial, des agriculteurs guyanais ont réalisé des plantations expérimentales d’Aquilaria en Guyane. Ainsi, l’objectif du projet Aquil@Guyane est d’aider ces planteurs à produire une huile essentielle de composition chimique contrôlée, respectueuse de la biologie de l’arbre et de l’environnement. Dans ce contexte, le sujet de thèse a été orienté en vue de promouvoir la production de connaissances académiques de nature à contribuer au développement de la production d’agarwood d’Aquilaria crassna en Guyane. Après caractérisation des communautés fongiques présentes dans les arbres d’Aquilaria crassna en Guyane, permettant de révéler l’importance des Basidiomycètes dans la production d’agarwood, deux méthodes d’induction d’agarwood ont été comparées : une méthode d’induction par blessure, avec ou sans ajout de terre ; une méthode d’induction par inoculation de souches guyanaises sélectionnées de Basidiomycètes. Cette dernière méthode, notamment par inoculation de champignons de pourriture fibreuse, comme Pycnoporus sanguineus, est la plus performante pour obtenir un agarwood de qualité proche d’un agarwood de référence provenant du Laos. La spectrométrie proche infrarouge (SPIR) a été utilisée pour différencier le bois blanc et l’agarwood et pour distinguer différentes compositions chimiques d’agarwood. Les résultats obtenus sont cohérents avec ceux de l’analyse biochimique après hydrodistillation : l’utilisation de la SPIR pour trier et contrôler la qualité de l’agarwood avant son hydrodistillation est envisageable. Enfin, une méthode de culture de cals d’Aquilaria a été mise au point afin de comprendre, en laboratoire, les mécanismes moléculaires qui aboutissent à la production d’agarwood. Les résultats indiquent une production de terpènes par les cals d’Aquilaria contaminés par des souches de champignons de pourriture fibreuse.
35

Trébucq, Stéphane. "Mise en place d'une comptabilité carbone à l'échelle des produits : le cas d’une PME de la filière bois." Recherches en Sciences de Gestion 118, no. 1 (2017): 65. http://dx.doi.org/10.3917/resg.118.0065.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
36

Weida, Courtney Lee, Carlee Bradbury, and Jaime Chris Weida. "Poetics of the Fairy Tale Princess: Products, Problems, & Possibilities / Poésie de la princesse des contes de fées : produits, problèmes et possibilités." Canadian Review of Art Education / Revue canadienne d’éducation artistique 46, no. 2 (September 13, 2019): 17–32. http://dx.doi.org/10.26443/crae.v46i2.67.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Abstract: In the following paper, the authors analyze the prevalence of princess culture in the literature, film, and visual culture of young people. An art educator, art historian, and professor of English literature, the authors propose creative interventions through alternative resources and readings. Focusing on foundations of media studies and literature of Fairy-Tale Studies and girlhood studies, this interdisciplinary collaboration investigates complex creative predicaments of girlhood and princess media. Utilizing Princess Aurora and Sleeping Beauty as a case study and focal point, the authors discuss their collaborative arts research intended to explore problems and possibilities of princess culture. Keywords: Art Education; Arts Research; Fairy Tales; Media Studies, Princesses.Résumé : Les auteurs analysent la prévalence de la culture des princesses dans la littérature, les films et la culture visuelle des jeunes. Les auteures, une éducatrice artistique, une historienne et une professeure de littérature anglaise, proposent des actions créatives par le biais de ressources et lectures alternatives. Axée sur les fondements de l’étude des médias et sur la littérature liée à l’étude des contes de fées et de la jeunesse féminine, cette collaboration interdisciplinaire se penche sur les difficultés créatrices complexes des histoires de jeunesse féminine et de princesses. À partir d’une étude de cas de la princesse Aurora et de la Belle au bois dormant, les auteurs utilisent leur recherche artistique concertée pour analyser les problèmes et les possibilités de cette culture des princesses.Mots-clés : éducation artistique ; recherche artistique ; contes de fées ; étude des médias, princesses.
37

Bayoi, Emmanuel Armel, Florent Menyene Etoundi, Elvis Mouyakan A. Moumbock, and Mbezele Junior Yannick Ngaba. "Amenagement des produits forestiers ligneux et non ligneux dans la region de l’Est-Cameroun : Cas de la station polyvalente de recherche agricole d’Abong Mbang." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 17, no. 1 (November 2, 2021): 3–16. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v17i1.1.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les produits forestiers ligneux (PFL) et non ligneux (PFNL) jouent un rôle important pour le bien-être des populations au Cameroun. Malheureusement, elles font face à plusieurs menaces telle que l’exploitation commerciale de la ressource et l’exploitation anarchique de bois d’œuvre ; l’absence ou l’insuffisance de donnée scientifiques nécessaires pour les prises de décision d’aménagement. L’objectif de l’étude est d’identifier et d’évaluer la disponibilité des espèces végétales dans la forêt de la station polyvalente de recherche agricole d’Abong Mbang. Un inventaire d’aménagement a été effectué avec un taux de sondage de 5%. Il ressort de cette étude qu’il y une extrême diversité des PFL et PFNL dans la zone d’étude. Un total de 69 PFL (bois d’œuvre) et 18 PFNL sont utilisées dans la localité pour l’alimentation, la santé ou l’ornement. Les fruits et les feuilles sont généralement utilisés pour la consommation alors que les écorces sont à usage médicinale. Les connaissances ancestrales des populations locales sur cette ressource est approfondie et contribue à leur bien-être ont une des PFNL. Timber and non-timber forest products (NTFPs) play an important role for the well-being of the populations in Cameroon. Unfortunately, they face several threats such as the commercial exploitation of the resource and the uncontrolled exploitation of timber; the lack or insufficiency of scientific data necessary for management decisions. The objective of the study is to identify and evaluate the availability of plant species in the forest of the Abong-Mbang Agricultural Research Station. A management inventory was conducted with a sampling rate of 5%. The study revealed that there is an extreme diversity of LFAs and NTFPs in the study area. A total of 69 LFWPs (timber) and 18 NTFPs are used in the locality for food, health or ornamental purposes. Fruits and leaves are generally used for consumption while barks are used for medicinal purposes. The ancestral knowledge of local populations on this resource is deep and contributes to their well-being have a NTFP.
38

Geoffroy, F., Michel Naves, G. Saminadin, H. Borel, and G. Alexandre. "Utilisation des ressources alimentaires non conventionnelles par les petits ruminants." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (May 1, 1991): 105–12. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9227.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L'utilisation des ressources alimentaires non conventionnelles (RANC) par les petits ruminants est une solution originale. Leurs conditions d'utilisation sont passées en revue. L'utilisation des sous-produits de la canne (peu consommés) et celle du manioc (toxique) peuvent difficilement être envisagées. Les feuilles de bananier, du fait de leur composition chimique (MS, MAT, ADF et NDF) se rapprochent d'un bon fourrage tropical. Mais leur utilisation digestive est faible. Les stipes ont des caractéristiques inverses. Ces deux organes sont des substituts fourragers et ont donné satisfaction dans les essais où ils ont été testés. La banane se caractérise par une teneur élevée en glucides cytoplasmiques, sous forme d'amidon lorsqu'elle est verte et de sucres solubles dans le fruit mûr, mais par des teneurs en composants membranaires, en protéines et en minéraux faibles. Ces caractéristiques en font un produit intéressant de substitution des céréales et concentrés énergétiques. Les résidus d'ananas pressés conservés de manière satisfaisante sous forme d'ensilage et complémentés par du tourteau de soja et de l'urée donnent des résultats probants avec des agneaux en croissance. Sont présentés deux exemples d'utilisation, dans de petits élevages, de patate douce et de pâturage de sous-bois.
39

Graf, Eliane, Lanto Herilala Andriambelo, and Jean-Pierre Sorg. "Disponibilité et utilisations de quatre essences à bois d'oeuvre dans la région de Ménabé, Madagascar." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 302, no. 302 (December 1, 2009): 33. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.302.a20398.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les forêts sèches de l'Ouest de Madagascar ont une grande valeur écologique et sociale. D'une grande diversité biologique, elles sont une source importante de produits forestiers ligneux et non ligneux pour les populations rurales. Au Ménabé central, l'abattage sélectif accroît la pression sur plusieurs essences appréciées, qui semblent se raréfier. Cela pose des problèmes à la fois écologiques et sociaux, car la raréfaction de ces essences contraint les populations à prélever d'autres essences moins adaptées. Cette étude est centrée sur la disponibilité et les utilisations des quatre essences privilégiées pour le bois d'oeuvre dans le Ménabé central, Securinega seyrigii, Cedrelopsis grevei, C. gracilis et C. microfoliolata. Plus précisément, il a été déterminé les stocks disponibles et leur utilisation annuelle dans deux villages, Ampataka et Mandraotra. La question principale était de savoir si la demande villageoise peut être satisfaite à long terme. Il apparaît que la régénération fait globalement défaut. À Ampataka, l'essence Cedrelopsis grevei est absente dans l'étage végétatif tandis qu'à Mandraotra les quatre essences étaient absentes. Il est donc vraisemblable que la disponibilité des quatre essences est insuffisante pour satisfaire la demande villageoise à long terme. Afin de réduire ce déficit à l'avenir, les plans de gestion forestière et les modes d'utilisation devront être améliorés et adaptés, et des études devront être menées sur les processus de régénération afin d'en améliorer la connaissance. (Résumé d'auteur)
40

Lescuyer, Guillaume, and Julienne Nadège Essoungou. "Gestion forestière multi-usages en Afrique centrale : perceptions, mises en oeuvre et évolutions." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20536.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Quoique la gestion forestière multiusages (Gfmu) soit promue par les codes forestiers d'Afrique centrale, cette approche reste mal comprise et peu mise en oeuvre pour les forêts de production et les forêts communautaires. L'article présente les résultats de 62 entretiens avec des personnes impliquées dans la gestion forestière au Cameroun, au Gabon et en République démocratique du Congo, et fait ressortir trois interprétations de la Gfmu : une exploitation durable du bois intégrant secondairement les usages des autres acteurs ; une utilisation coutumière des ressources par les populations locales ; une gestion planifiée et formelle de la diversité des biens et fonctions fournis par ces écosystèmes. L'analyse détaillée de huit études de cas montre en pratique que l'aménagement durable de la forêt se focalise presque toujours sur l'exploitation du bois ; quoique l'utilisation du gibier et la collecte des produits forestiers non ligneux soient systématiquement mentionnés dans les documents d'aménagement. À l'inverse, les services environnementaux - séquestration du carbone, protection des bassins versants - ou les biens publics y sont quasi absents. L'inscription de différents usages dans les documents de gestion ne suffit toutefois pas pour qu'ils soient toujours mis en oeuvre sur le terrain. Trois pistes sont explorées pour renforcer l'application de la Gfmu dans le bassin du Congo : concevoir la Gfmu à l'échelle du paysage et non à celle du massif forestier ; améliorer le contenu des documents d'aménagement forestier pour y inclure et valoriser l'ensemble des usages de la forêt ; renforcer le contrôle de l'application effective des documents de gestion, grâce à la certification ou à un meilleur contrôle du respect de la légalité.
41

Sablayrolles, Philippe, Hildemberg Cruz, Marcelo Santos Melo, Isabel Garcia Drigo, and Plinio Sist. "Le potentiel de la production forestière paysanne en Amazonie brésilienne." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20539.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Dans l'État du Pará, 60 % des forêts destinées à l'aménagement sont des forêts paysannes. Les concessions forestières d'entreprise ne pourront fournir au mieux que la moitié de la consommation actuelle. À quelques exceptions près, les communautés traditionnelles et les familles paysannes n'ont ni l'expérience technique ni la capacité économique pour conduire l'exploitation commerciale des bois : l'aménagement est réalisé par le biais d'accords avec une entreprise, selon différentes modalités. Dans ce contexte, les contrats entre communautés et entreprise sont de nature très variée et aboutissent au contrôle total par les entreprises privées de toutes les opérations, du plan d'aménagement à l'exploitation. Les politiques publiques et la législation forestière cherchent aujourd'hui à améliorer les capacités des communautés locales à défendre leurs intérêts dans le cadre de tels partenariats. Cette étude analyse le cadre financier de l'entreprise par rapport à l'organisation paysanne pour son exécution, et les éléments clés qui permettent un meilleur contrôle : les inventaires pré- exploitation, la diversification de la production de bois d'oeuvre et de produits forestiers non ligneux, la commercialisation, le suivi et le contrôle des opérations d'exploitation. Il est proposé des pistes de politiques publiques qui doivent aider à la diffusion de l'aménagement paysan dans différentes contextes fonciers : unités de conservation et forêts de production, périmètres de colonisation agricole. L'article discute des modalités d'action et d'implantation d'un service public d'assistance technique et financière au profit des agriculteurs et des communautés. Le potentiel de l'intégration de la gestion forestière au sein des systèmes de production paysans est discuté dans le cadre du débat actuel de réforme du code forestier. (Résumé d'auteur)
42

Goh, Dorenn Kim Soh, and Olivier Monteuuis. "Comportement des clones de teck "Ysg Biotech TG1-8" dans des conditions de site variées : premières observations." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 311, no. 311 (March 1, 2012): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.311.a20511.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Au début des années 1990 au Sabah (Malaisie orientale), la division " Biotech " du groupe Yayasan Sabah a développé avec des chercheurs du Cirad Forêt une technique efficiente de clonage industriel par bouturage et microbouturage de tecks, Tectona grandis, de tous âges. Les premiers clones ont été produits à partir de huit tecks "Plus" sélectionnés au Sabah, pour leurs caractéristiques phénotypiques et de croissance supérieures, sous 2 500 mm de pluie bien répartis sur l'année. Le comportement tout à fait convaincant au champ des premiers représentants de ces clones a favorisé rapidement leur propagation à grande échelle pour répondre aux fortes demandes, locales et internationales. Depuis, plusieurs millions de tecks clonés ont été produits à partir de ces huit têtes de clone initiales et la demande ne cesse d'augmenter. Cette situation nous a incités à synthétiser les informations disponibles sur le comportement de ces clones dans les différents sites où ils ont été introduits. Les premières observations indiquent que ce matériel a fait preuve d'une grande faculté d'adaptation dans des conditions environnementales très variées, surpassant dans chaque site d'introduction toutes les autres origines de tecks, tant du point de vue de la quantité que de la qualité du bois produit. Cette remarque vaut également pour des lieux ne recevant que 1 000 mm de pluie par an avec huit mois de saison sèche, conditions pluviométriques bien inférieures à celles du Sabah. Des situations bénéficiant d'une forte pluviométrie équitablement répartie sur l'ensemble de l'année sont néanmoins préférables pour garantir le meilleur de ces clones. Un de leurs attraits majeurs demeure la formation précoce de fûts droits et hauts avec un minimum de branches, ce qui encourage leur utilisation en agroforesterie et réduit les opérations d'élagage. La disponibilité en clones de tecks présentant de tels avantages comparatifs est à l'origine de l'essor actuel des plantations clonales industrielles de tecks dans de nombreux pays.
43

Poissonnier, Bertrand, Vincent Bernard, Philippe Guillonnet, and Paul Bacoup. "Pirogues et travail du bois au Néolithique. Caractérisation des traces et des déchets produits expérimentalement en vue de la constitution d’un référentiel." Archeopages, no. 49 (October 1, 2023): 102–11. http://dx.doi.org/10.4000/archeopages.16448.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
44

Masengo, Lucien Nkulu, Delphin Kimbala Kyembo, Christian Masangu Kasongo, Moise Kalambaie Bin Mukanya, and Nkulu Jules Mwine Fyama. "Caractérisation des systèmes de production de charbon de bois et produits maraîchers dans la région de Lubumbashi : analyse de typologie et productivité des facteurs de production." Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, no. 3 (October 21, 2023): 54–66. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i3.6.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Description du sujet. Par manque d’occupations, les populations locales recourent à l’exploitation des écosystèmes forestiers pour couvrir les différents besoins des ménages. Cependant, 80 % des problèmes écologiques reviennent à l’exploitation abusive des Miombo par les activités anthropiques avec une perte de la surface forestière estimée près de 45 km² par an manifesté par un éloignement d’au moins 30 à 50 km.Objectifs. Généralement, l’étude fait une analyse de typologie et productivité des facteurs de production par la spécification des systèmes de production de charbon de bois et produits maraichers dans la région de Lubumbashi, Province du Haut-Katanga en RDC. Spécifiquement, l’étude vise à : (i) identifier et cartographier les sites d’intense activité ainsi que la détermination du profil sociodémographique des maraichers et charbonniers, (ii) analyser la typologie de système de production, les contraintes et les motivations des producteurs, et d’évaluer la productivité des facteurs travail – capital de production en rapport avec le maraichage et le charbonnage.Méthodes. À travers une enquête (entretiens et interviews), 94 chefs de ménages charbonniers, maraichers et charbo – maraichers ont été sélectionnés de façon aléatoire par axe et boule de neige dans les différents sites en vue de collecter les données en rapport les objectifs de l’étude.Résultats. La production de charbon de bois et le maraichage restent encore artisanaux et traditionnels. Il ressort de ces enquêtes que 11 espèces d’arbres ont été identifiées comme essences appréciées dans l’exploitation pour la production de charbons de bois. De l’évaluation de la productivité des facteurs de production, il ressort que l’expérience, la superficie emblavée et le volume de meule sont des facteurs importants dans la production maraichère et le charbonnage qui influent le niveau de rendement à 75 % (volume de meule) et 25 % (superficie emblavée).Conclusion. Le maraichage et le charbonnage des activités capitales qui contribuent au revenu des ménages dans les milieux urbains et périurbains de la ville de Lubumbashi. Face à la conjoncture économique difficile, aux effets néfastes de l’urbanisation et de la croissance démographique, le maraichage et le charbonnage constituent des activités stratégiques pour faire face à l’insécurité alimentaire, au chômage et à la pauvreté. Description of the subject. Due to lack of occupation, local populations resort to the exploitation of forest ecosystems to cover the different needs of households. However, 80 % of ecological problems are due to the abusive exploitation of the Miombo by human activities with a loss of forest area estimated at nearly 45 km² per year manifested by a distance of at least 30 to 50 km.Objectives. Generally, the study makes an analysis of typology and productivity of production factors by specifying charcoal production systems and vegetable products in the region of Lubumbashi, Haut Katanga Province in DRC. Specifically, the study aims to: (i) identify and map sites of intense activity as well as determine the socio-demographic profile of market gardeners and charcoal workers, (ii) analyze the typology of production system, the constraints and motivations of producers, and evaluate the productivity of labour factors – production capital in relation to market gardening and coal mining.Methods. Through a survey (interviews and interviews), 94 heads of charcoal, market gardening and charbo households were randomly selected by axis and snowball in the different sites in order to collect data related to the objectives of the study.Results. Charcoal production and market gardening are still artisanal and traditional. These surveys show that 11 tree species have been identified as valued species on the farm for charcoal production. From the evaluation of the productivity of the factors of production, it appears that experience, the area sown and the volume of grinding wheel are important factors in vegetable production and coal mining which influence the level of yield at 75 % (volume of millstone) and 25% (area sown).Conclusion. Market gardening and coal mining capital activities that contribute to household income in urban and peri-urban areas of the city of Lubumbashi. In the face of difficult economic conditions, the adverse effects of urbanization and population growth, market gardening and coal mining are strategic activities to cope with food insecurity, unemployment and poverty.
45

Déchery, Laura. "Le littoral du Latium méridional et de la Campanie septentrionale entre le ixe et le iiie s. av. J.‑C." Investir la frontière, no. 4 (June 12, 2021): 37–50. http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.608.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Nous traitons ici des contacts et des réseaux d’échanges dans le Latium méridional et la Campanie septentrionale entre le ixe et le iiie s. av. J.‑C. Depuis le dernier quart du xxe s., plusieurs études menées dans ces espaces littoraux ont permis de mettre en lumière le dynamisme des échanges culturels et commerciaux dans cette région de rencontre de divers peuples méditerranéens. Ainsi l’association du régime des courants et des vents de la mer tyrrhénienne avec les particularités d’un littoral marécageux permet l’installation de nombreux mouillages et abris nécessaires pour le cabotage le long de la côte. Les navires qui s’y arrêtent peuvent alors profiter de produits locaux tels que le sel ou le vin. Un réseau dense de communication mariant voies fluviales, routes et chemins terrestres permet également d’intégrer dans cette économie les ressources de l’arrière-pays, comme le bois et la poix. Les sanctuaires semblent jouer un rôle particulier dans ce système complexe d’échanges : tout d’abord en tant que marqueurs du territoire mais aussi comme lieux de rencontre et d’asile où les commerçants peuvent profiter d’une protection divine pour leurs activités et leur voyage.
46

THÉVENON, Marie-France, Kévin CANDELIER, and Jean-François TRÉBUCHON. "Printemps et Journées internationale et mondiale des forêts, du bois et de l’eau." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 359 (February 29, 2024): 3–4. http://dx.doi.org/10.19182/bft2024.359.a37458.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L’équinoxe de printemps, symbole de renouveau dans plusieurs régions du monde, se célèbre en mettant souvent à l’honneur des éléments de la nature. Le printemps annonciateur de jours longs, lumière, bourgeons et fleurs, se décline à l’envi selon les pays et on l’accueille de manière festive et différente : avec des couleurs (Holi) en Inde1 et au Népal ; des feux de joie, une table et une gastronomie toute particulière pour Nowrouz1 (jour de l’an) en Asie centrale ; en admirant les fleurs de cerisier (Hanami) au Japon, et avec tant de chants, de poèmes, toutes cultures confondues. C’est aussi en cette période de l’année que l’Organisation des Nations Unies a proclamé la Journée internationale des forêts2 et la Journée mondiale de l’eau3, les 21 et 22 mars respectivement, auxquelles s’est adossée la Journée mondiale du bois soutenue par la World Wood Day Foundation4 (reconnue par l’Organisation des Nations Unies), nous rappelant ainsi le nexus entre l’eau, la forêt et le bois. Aborder les liens complexes et multiples entre eau, forêt et bois, leurs différentes facettes, les variantes et variables associées, les changements, les modèles, les prévisions et prospectives, est un travail titanesque devant agglomérer des champs de compétences immenses et variés. Ces Journées internationale et mondiale ont vocation à donner de la visibilité à des enjeux majeurs en permettant une sensibilisation du plus grand nombre via les pouvoirs publics et la société civile. Chaque année, ces Journées internationale et mondiale abordent un thème et en 2024, « Forêts et innovation : de nouvelles solutions pour un monde meilleur » côtoiera « La diversité des bois dans la Culture » et « L’eau pour la paix ». Sans eau, pas de vie, pas de forêt et pas de bois, est un poncif. L’eau est nécessaire à la germination des graines, à la croissance des arbres et autres végétaux. Les arbres produisent, entre autres, du bois : un matériau utilisé depuis des temps immémoriaux, stock de carbone pendant sa durée de vie, recyclable et biodégradable. La forêt, quant à elle, assure des fonctions écosystémiques considérables : (1) un service de production de ressources multiples ; (2) un service de régulation (des sols, de l’air, du cycle de l’eau et des températures) permettant un bon fonctionnement de l’écosystème, le maintien de la biodiversité (photos 1), le stockage de CO2 et l’atténuation du réchauffement climatique ; (3) un service sociétal et culturel7. Les forêts couvrent 4,06 milliards d’hectares et contiennent plus de la moitié du stock de carbone (dans les sols et les végétaux), et les bassins versants forestiers et zones humides fournissent 75 % de l’eau douce accessible et dont plus de la moitié de la population mondiale est tributaire (Sarre, 2019). Outre ces faits à exposer et/ou à rappeler pendant ces Journées internationale et mondiale, l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture7 (FAO) a dégagé des messages clés à transmettre. Innovations et technologies développées ces dernières années : (1) permettent d’utiliser de nouveaux moyens importants de surveillance des forêts et de communiquer et d’échanger des informations à ce sujet ; (2) sont nécessaires pour mettre un terme à la déforestation et à la dégradation des forêts, en particulier lors des incendies ; (3) donnent des moyens aux populations autochtones de cartographier et protéger des terres coutumières (photo 2) ; (4) contribuent à trouver des solutions pour la restauration des écosystèmes, afin de limiter le réchauffement climatique. De plus, la recherche relative aux produits forestiers ligneux ou non, permettra de trouver des matériaux de construction, mais aussi de nouvelles molécules, fibres et solutions pour la chimie innovante de substitution ou non. Ces messages clés, se déclineront différemment selon les zones géographiques, les interlocuteurs et le niveau décisionnel des parties prenantes. À l’innovation technologique, qu’elle soit incrémentale, transformatrice ou disruptive, il faudra ajouter des considérations politiques, de formations et de rémunérations afin que ces innovations profitent aux innovateurs, ainsi qu’aux communautés et aux acteurs qui les mettront en œuvre (Nasi, 2024). Au regard des enjeux, des innovations, des gouvernances à venir, il apparaît crucial de publier les nouvelles connaissances relevant de questions scientifiques souvent socialement vives, en adoptant une évaluation rigoureuse et impartiale (Bergandi, 2018). En les partageant librement, Bois et Forêts des Tropiques et toute son organisation contribueront sans relâche à leur transmission et à la progression certaine du savoir. Ainsi, à l’issue du cycle inexorable des saisons, le printemps prochain et ces Journées internationale et mondiale seront sans doute annonciateurs de nouveautés et de découvertes qu’il nous faudra continuer à diffuser. 1 UNESCO, Patrimoine culturel immatériel, https://ich.unesco.org/ 2 Organisation des Nations Unies, Journée internationale des forêts, https://www.un.org/fr/observances/forests-and-trees-day 3 Organisation des Nations Unies, Journée mondiale de l’eau, https://www.un.org/fr/observances/water-day 4 World Wood Day Foundation, http://www.worldwoodday.org/foundation.php 5 Unesco, Convention du patrimoine mondial, https://whc.unesco.org/fr/list/486 6 Organisation des Nations autochtones de Guyane (ONAG), https://www.ohchr.org/sites/default/files/Documents/Issues/IPeoples/EMRIP/Session13/submissions/LAC/2020-12-03-organisationdesnations-autochones-de-guayane-nag.pdf 7 Food and Agriculture Organization (FAO) of the United Nations, International Day of Forest 2024, Key messages, https://www.fao.org/international-day-of-forests/key-messages/
47

Mama, Adi, Issouf Bamba, Brice Sinsin, Jan Bogaert, and Charles De Cannière. "Déforestation, savanisation et développement agricole des paysages de savanes-forêts dans la zone soudano-guinéenne du Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (October 17, 2014): 66. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31237.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les communes de Banté-Glazoué-Ouessé (département des Collines) en zone sou- dano-guinéenne du Bénin constituent le domaine des mosaïques de forêts et une des principales pourvoyeuses en produits agricoles et en charbon de bois. Ces mosaïques de forêts sont soumises à de multiples formes de dégradation. Une étude de la dynamique spatio-temporelle basée sur une interprétation des images de types Landsat (MSS 1972, TM 1986 et ETM+ 2006) a été réalisée grâce à l’utili- sation du système d’information géogra- phique et des outils d’écologie du paysage afin d’envisager un programme de restau- ration forestière. Les résultats de cette étude ont permis, grâce à des matrices de transition et des indices de structure spa- tiale, d’évaluer les mutations liées aux pratiques agricoles. Quatre grands pro- cessus de transformation spatiale ont été mis en évidence et quantifiés pour la période de 34 ans (1972 à 2006) retenue pour cette étude : (i) la formation des savanes, (ii) la déforestation, (iii) le déve- loppement des activités agricoles et, enfin,(iv) une restauration forestière. La dyna- mique de la structure spatiale est dominée pendant cette période d’étude par une séquence de création suivie d’agrandis- sement pour les taches des classes de champs-jachères et de plantations arbo- rées ; d’agrégation pour les classes de savanes et de sols nus-agglomérations ; et de suppression pour les taches de forêt.
48

CANDELIER, Kévin, and Jean-François TRÉBUCHON. "Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 349 (October 11, 2021): 2–3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.349.a36797.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société Les connaissances et les savoirs sont essentiels pour faire évoluer les sociétés. Ils constituent un élément-clé pour mieux cerner le monde qui nous entoure et mieux comprendre les changements et les défis auxquels nous devons faire face. Le métier de chercheur consiste à exploiter ce gisement intarissable représenté par l’inconnu. Les chercheurs apportent au grand public cette ressource en la modelant de façon à la rendre accessible aux diverses strates de la société. Malgré la multitude de formes imaginées pour interagir, il s’avère que ces dialogues peinent encore à tisser les liens solidaires indispensables entre les différentes parties prenantes pour transformer ensemble le monde. Les citoyens se sentent bien souvent exclus et les scientifiques ont le sentiment de ne pas toujours être bien entendus. La communication ou médiation scientifique, notamment celle liée aux sciences du bois, sciences forestières et sciences de l’environnement, doit aujourd’hui amener à considérer tout public en tant qu’acteur essentiel, en l’invitant à participer aux réflexions scientifiques. Cette ouverture vers le grand public aidera à mieux le préparer aux évolutions de son environnement scientifique tout en développant une pensée critique et rationnelle. Cela amènera tous les citoyens à participer de manière responsable aux grands enjeux sociétaux et environnementaux. C’est donc en introduisant la science dans la société, et vice versa, que les évolutions scientifiques et sociétales seront mieux acceptées. Le travail des chercheurs ne se résume pas uniquement à la publication de leurs expériences et de leurs résultats dans des articles ou tout autre support destiné et réservé uniquement aux univers académique et scientifique. Ce travail de partage de connaissances et savoirs attire le chercheur bien au-delà de cette sphère d’évaluation et de publication nécessaire à la profession. Les chercheurs trouvent des occasions et des solutions pour familiariser le grand public à la démarche scientifique. C’est dans cette perspective que Bois et Forêt des Tropiques s’associe à cette démarche de médiation scientifique et de diffusion des savoirs au sein de la société et vers le grand public. Cette action se traduit par la mise en avant de quelques exemples d’implications de chercheurs des sciences du bois et des sciences forestières. Il est essentiel que le grand public prenne connaissance du fonctionnement des forêts, de leur utilité pour l’environnement, ainsi que des multiples services qu’elles rendent à l’humanité. Pour mieux comprendre tous ces phénomènes observés et les méthodes scientifiques employées, le citoyen a besoin de pratiquer par une mise en situation. Il s’impliquera ainsi plus facilement dans des réflexions collectives relatives aux grands enjeux planétaires et locaux, pour lesquels chacun d’entre nous joue un rôle, qu’il s’agisse de la conservation de la biodiversité, de la protection et de la valorisation des forêts, ou de l’atténuation du changement climatique. Cet engagement sociétal se manifeste par exemple lorsqu’un chercheur intervient auprès d’un jeune public, en accompagnant des enfants à découvrir la démarche scientifique et les postures adoptées dans son travail. C’est ce que nous rapporte l’expérience menée par Candelier et al., en partenariat avec le dispositif « Savanturiers – École de la Recherche », publié ici dans ce numéro de Bois et Forêts des Tropiques. À cette occasion, les auteurs nous décrivent la fraîcheur du candide face à l’inconnu et les nouveaux savoirs qu’ils tentent de faire émerger et d’intégrer avec méthode et rigueur, encadrés par le chercheur. Ce qu’ils nous disent, c’est que cet échange entre la sphère scientifique et la société doit s’adosser aux principes d’une éducation aux sciences et à la démarche scientifique, à un accès équitable à la connaissance, mais aussi, et surtout, à l’incontournable entrelacement collaboratif des différents acteurs en quête de savoirs. Dans ce cas, le chercheur et l’enseignant inscrivent l’élève dans une démarche de pédagogie collaborative tout en le rendant acteur de son auto-apprentissage. Elle déclenche chez l’apprenant les mécanismes pour observer, expérimenter, exposer son jugement et le discuter à travers des jeux, des mises en scène, des ateliers, et via des expériences sensorielles, sociologiques, écologiques. Les possibilités de transmission de savoirs vers la société sont sans limites et parfois même imperceptibles. Elles peuvent apparaître dans des festivals, des expositions, des ateliers pédagogiques, des randonnées nature, dans la presse quotidienne, dans des films, des livres, les bandes dessinées, etc. Les chercheurs sont libres de faire jouer leur imagination et d’utiliser à loisir les médias afin de mieux se connecter avec le citoyen. Cette médiation peut prendre la forme d’une exposition itinérante sur la manière de préserver et de valoriser les forêts d’Afrique centrale, telle qu’organisée par Rossi et Lescuyer (2021), ou un livre adressé au grand public sur les pistes possibles de préservation et de valorisation des forêts tropicales, tel Vivre avec les forêts tropicales rédigé et illustré par le collectif de recherche Forêts et Sociétés (Sist et al., 2021), ou encore un jeu de rôle comme Foster forest (Fouqueray, 2019 et 2020) pour adapter les pratiques professionnelles de la foresterie afin de faire face aux changements climatiques, produit émergeant du parcours d’un doctorant encadré par une équipe de chercheurs. L’énumération serait longue tant elle est foisonnante. Les scientifiques encouragent les différentes strates de la société à s’approprier les savoirs et les connaissances qui les amèneront à prendre des décisions individuelles et collectives éclairées. Par le canal médiatique de Bois et Forêts des Tropiques, ils promeuvent les produits de la recherche autrement que les articles qui y sont publiés traditionnellement. C’est pourquoi paraissent dans les pages de cette revue scientifique et technique des résumés de thèse et des descriptifs techniques. Dans l’avenir, les chercheurs pourront occasionnellement s’y exprimer sous d’autres formes encore, comme l’ont proposé Candelier et al. (2021). Ces efforts de médiation aident à réagir face aux petits et grands défis qui tapissent les paysages de l’environnement dans lesquels nous évoluons tous, tels que les grands changements sociétaux liés à la démographie, le partage des ressources et savoirs, les changements des climats, pour ne citer que ceux-là. L’exposé de ces quelques exemples d’entrelacement sociétal témoignent donc de l’implication quotidienne de la recherche dans la société, et vice versa. Kévin Candelier, Jacques Tassin, Jean-François TrÉbuchon Membres de l’équipe éditoriale de la revue Bois et Forêts des Tropiques
49

Karsenty, Alain. "La déforestation et le commerce international." Futuribles N° 461, no. 4 (June 12, 2024): 5–21. http://dx.doi.org/10.3917/futur.461.0005.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Dans un contexte de changement climatique plus rapide qu’envisagé, la forêt est une ressource cruciale : en moyenne (car variable selon le type de forêt) un hectare de forêt filtre 50 tonnes de poussières par an, stocke 338 tonnes de CO 2 , produit 21 tonnes d’oxygène et filtre 1 000 mètres cubes d’eau ; la forêt est aussi un réservoir de biodiversité (faune, flore et nombreuses molécules ou espèces encore inconnues), etc. Ce rôle essentiel à la préservation de la vie sur Terre mobilise de nombreux acteurs, associatifs, gouvernementaux, internationaux, pour lutter contre la déforestation — l’exemple le plus emblématique concernant sans doute la protection de la forêt amazonienne. Et ces dernières années, un certain nombre d’États (Royaume-Uni, États-Unis, Union européenne) ont décidé de renforcer leur action en adoptant des mesures plus ciblées en matière de lutte contre la déforestation, afin de tenir compte de la déforestation dite « importée », à savoir l’importation de matières premières ou de produits transformés dont la production a contribué, directement ou indirectement, à la déforestation, à la dégradation des forêts ou à la conversion d’écosystèmes naturels dans les pays producteurs. Mais la définition précise de la déforestation légale, importée…, et la façon de la contrôler effectivement dans les pays producteurs font l’objet de controverses. Alain Karsenty, après avoir rappelé l’évolution de la déforestation ces dernières décennies, sa localisation et les différents facteurs qui y contribuent, examine la teneur de ces débats. S’appuyant sur le cas du Règlement européen sur la déforestation et la dégradation des forêts, il montre la complexité des mesures censées mieux réguler le commerce international du bois et ses conséquences sur la forêt, ainsi que leur impact potentiel sur les producteurs et les pays concernés. Dans un secteur encore très informel, il va sans doute falloir réajuster les réglementations pour tendre vers le résultat escompté de la manière la plus équitable possible. S.D.
50

Montagnini, Florencia, Beatriz Eibl, and Sara R. Barth. "Yerba maté biologique : un système agroforestier en phase avec l'environnement et l'économie sociale et financière." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (June 1, 2011): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20475.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le commerce de la yerba maté, Ilex paraguariensis Saint-Hilaire, est un négoce lucratif en Argentine, au Paraguay et au Brésil. Ses feuilles sont consommées comme du thé avec un marché en croissance aux États-Unis, en Europe et en Asie, car elles contiennent des antioxydants, sont énergisantes et constituent ainsi une alternative au café. Environ 5% de la superficie de la province de Misiones en Argentine sont consacrés à la production de la yerba maté. Beaucoup de paysans n'atteignent pas les rendements escomptés faute de techniques appropriées. La yerba maté en culture organique (sans intrants agrochimiques) peut atteindre un prix plus élevé pour les coopératives qui en font un de leurs produits. Tradition nel lement gérée en monoculture, son exploitation peut entraîner l'érosion et l'épuisement des sols. Toutefois, la yerba maté pousse en forêt subtropicale et tolère l'ombrage ce qui permet de la cultiver dans des systèmes agroforestiers (SAF). Cette étude examine les SAF avec la yerba maté en culture organique à l'aide d'interviews semi-structurées auprès des paysans de la province de Misiones, y compris les fermes familiales, les grandes fermes, les compagnies privées et les réserves. Un grand nombre d'espèces naturelles poussant en association avec la yerba maté ont été identifiées. Le travail supplémentaire requis par les pratiques de la culture organique est compensé par un meilleur prix de vente. Les SAF, associant yerba mate et arbres, améliorent la fertilité des sols sans recourir aux fertilisants tout en procurant des revenus supplémentaires. Pour cette association l'étude recommande les espèces locales suivantes: Balfourodendron riedelianum, Cordia trichotoma, Nectandra lanceolata, Bastardiopsis densiflora, Cedrela fissillis, Jacaranda micrantha, Araucaria angustifolia, et Ocotea puberula, du fait de leur développement monopodial et de leur capacité d'auto-élagage; ainsi que Tabebuia heptaphylla, Enterolobium contortisiliquum, Peltophorum dubium, Parapiptadenia rigida et Anadenanthera macrocarpa avec une couronne plus large; toutes ont une bonne croissance et un bois de qualité. Il est aussi suggéré d'introduire d'autres espèces arborées, herbacées et arbustives de valeur fruitière, médicinale ou ornementale, diversifiant les produits fermiers. Finalement, cette agroforesterie associant yerba maté et espèces locales va promouvoir la diffusion de cette plante en culture organique et diversifier les revenus en Argentine et ailleurs. (Résumé d'auteur)

До бібліографії