Статті в журналах з теми "Production artificielle"

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HOCQUETTE, J. F., P. MAINSANT, J. D. DAUDIN, I. CASSAR-MALEK, D. RÉMOND, M. DOREAU, P. SANS, et al. "La viande du futur sera-t-elle produite in vitro ?" INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 363–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3164.

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Анотація:
La production de viande artificielle par culture de cellules est proposée par certains scientifiques comme une des solutions pour répondre aux grands enjeux de l’élevage : i) réduire le mal-être supposé des animaux dans les élevages modernes, voire ne pas tuer les animaux pour les manger, ii) réduire la possible dégradation de l’environnement par l’élevage et iii) réduire la faim dans le monde en augmentant le niveau des ressources protéiques alimentaires. La viande artificielle supprimerait en effet le mal-être supposé des animaux lié à l’élevage et permettrait de ne pas abattre les animaux pour les manger. L’impact environnemental de la viande artificielle est difficile à évaluer en l’absence de données sur le fonctionnement d’une usine de production. La viande artificielle présenterait toutefois un intérêt modéré pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution par les nitrates, un intérêt limité quant à l’utilisation des énergies fossiles, voire très limité pour limiter les besoins en eau, mais elle libérerait des terres cultivables. Elle entraînerait probablement dans l’eau des résidus de molécules de synthèse. De nombreux experts estiment que les causes de la malnutrition actuelle de certaines populations sont multiples et ne sont pas directement liées à un manque de ressources alimentaires. Bien que la culture de cellules soit couramment pratiquée en laboratoire, il existe des verrous techniques importants à lever pour une production à grande échelle, tels que le coût rédhibitoire des technologies actuelles et le manque de ressemblance du produit obtenu à de la viande issue d’animaux. Sur le plan nutritionnel, la viande artificielle ne présente pas d’avantage particulier par rapport à un autre aliment élaboré à partir de l’ensemble des nutriments nécessaires à sa production. Les critères d’acceptabilité de la viande artificielle renvoient, d’une part, à des questions d’ordre moral ou éthique concernant la technologie et les inquiétudes qu’elle soulève, et d’autre part, à des considérations classiques relatives aux produits alimentaires (prix, qualité, naturalité…). Par le passé, les expériences de substitution des protéines animales par des produits analogues ont échoué en raison, notamment, de contraintes économiques, du temps nécessaire pour l’éventuelle acceptation des produits par les consommateurs et pour la délivrance des autorisations de mise sur le marché. Face aux questionnements importants concernant l’élevage, la production de viande artificielle ne présente pas aujourd’hui d’avantages majeurs par comparaison à la viande naturelle ou à d’autres alternatives possibles telles que rééquilibrer notre alimentation en diversifiant les sources de protéines végétales et animales, ou encore développer des systèmes d’élevage plus respectueux des animaux et de l’environnement.
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Cardoso, Stéphanie. "Images exportées, images partagées. Les pouvoirs de l’Extrême Orient autour de l’Occident sur l’affectivité artificielle." Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques 11, no. 1 (2006): 85–92. http://dx.doi.org/10.3406/fdart.2006.1401.

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Анотація:
Image archaïque de l’être artificiel, image fictionnelle, image prospective, l’exportation des robots humanoïdes en Occident véhicule de manière analogique une partie de la cyberculture nipponne. Or, la représentation anthropomorphe et stéréotypée de l’intelligence artificielle à travers la science fiction semble remettre en question les rapports sensibles face à cette production visuelle, ceci autant en Occident qu’en Extrême Orient. Il s’avère alors intéressant d’étudier l’image et ses pouvoirs culturels sur les potentialités d’affectivité envers le factice.
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LEBOEUF, B., B. RESTALL, and S. SALAMON. "Production et conservation de la semence de bouc pour l’insémination artificielle." INRAE Productions Animales 16, no. 2 (April 10, 2003): 91–99. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.2.3650.

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Chez les races caprines saisonnées, les méthodes d’amélioration de production et de conservation de semence doivent prendre en considération l’influence de l’environnement et en particulier de la photopériode. Par la fonction qu’elle exerce sur la régulation du développement gonadique, celle-ci contribue indirectement au contrôle du comportement sexuel et de la production de sperme, tant du point de vue quantitatif que qualitatif. L’utilisation de traitements photopériodiques constitue donc un outil efficace pour augmenter la production des doses de sperme destinées à l’insémination artificielle durant la carrière de reproducteur du bouc. Afin d’optimiser la production et la qualité de la semence, une sélection préalable des mâles est cependant nécessaire. Un problème spécifique dans la conservation de la semence de bouc est l’effet délétère du plasma séminal sur la viabilité des spermatozoïdes après congélation / décongélation, principalement lorsqu’ils sont dilués dans des milieux à base de lait ou de jaune d’œuf. La protéine responsable de cet effet est une enzyme sécrétée par les glandes bulbo-uréthrales appartenant à la famille des lipases pancréatiques et qui possède une double activité lipasique et phospholipasique. La conservation de la semence à l’état liquide, peu coûteuse, est un complément à la cryconservation pour développer l’insémination artificielle à grande échelle. Mais la diminution de la fécondance après 12 heures de conservation est un frein à l’utilisation de cette technique. Les méthodes de congélation disponibles actuellement diffèrent sur plusieurs aspects. Les plus efficaces incluent le lavage de la semence pour éliminer le plasma séminal dès la collecte.
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MALLARD, J., and J. C. MOCQUOT. "Insémination artificielle et production laitière bovine : répercussions d’une biotechnologie sur une filière de production." INRAE Productions Animales 11, no. 1 (February 2, 1998): 33–39. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.1.3914.

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L’insémination artificielle à partir du sperme congelé de taureau est une des plus anciennes biotechnologies, apparue dans les années 40. Elle a induit des modifications profondes dans les pratiques et les structures de la filière bovine laitière. L’article en fait un recensement, en allant des plus immédiates aux plus indirectes. Elles vont de la création de marges liées à la disparition des taureaux de l’exploitation jusqu’à l’intégration de l’éleveur dans un réseau de relations professionnelles. Il devient ainsi un acteur et le bénéficiaire d’une sélection collective particulièrement efficace. Mais ce canal ouvre au-delà la voie à la pénétration du progrès technique et à la prise en charge des intérêts collectifs. On essaie de démontrer que ce ne sont pas forcément les conséquences les plus directes qui ont été les plus importantes, concluant qu’il est sans doute bien difficile de prévoir l’impact de biotechnologies récentes.
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LEBOEUF, B., E. MANFREDI, P. BOUE, A. PIACÈRE, G. BRICE, G. BARIL, C. BROQUA, P. HUMBLOT, and M. TERQUI. "L’insémination artificielle et l’amélioration génétique chez la chèvre laitière en France." INRAE Productions Animales 11, no. 3 (June 3, 1998): 171–81. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.3.3936.

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En France, l’insémination artificielle caprine (IA) joue un rôle important dans les systèmes intensifs de production laitière, pour la maîtrise de la reproduction et en relation avec le schéma national d’amélioration génétique de la production laitière. Environ 60 000 chèvres ont été inséminées en 1996, après induction hormonale de l’oestrus et de l’ovulation, avec de la semence conservée congelée. 95 % des IA ont été réalisées avant la saison sexuelle. L’efficacité de cette méthode de reproduction est d’environ 65 % de mise bas. En 1996, les résultats de 290 000 lactations de chèvres ont été enregistrés par le contrôle laitier officiel. Le principal objectif du schéma de sélection, qui inclut la sélection des meilleures boucs et chèvres comme parents des futurs boucs d’IA, concerne l’amélioration de la teneur en matières protéiques et le taux protéique du lait. L’IA permet une forte intensité de sélection des mâles, une évaluation génétique convenable à travers les élevages connectés génétiquement et la sélection des boucs porteurs de gènes majeurs comme celui de la caséine alpha S1. Depuis 1992, un Groupe National de Reproduction Caprine, incluant tous les partenaires de la filière caprine, est actuellement focalisé sur l’étude des facteurs de variations de la fertilité après IA afin de poursuivre le développement de cette technique.
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ORGEUR, P., and J. P. SIGNORET. "L’activité sexuelle du taureau : Revue bibliographique." INRAE Productions Animales 3, no. 4 (October 10, 1990): 235–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.4.4382.

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L’activité de reproduction du taureau est fonction de facteurs internes (génétiques, physiologiques) et externes (environnement social, conditions de stimulation), expliquant des variations interindividuelles importantes de l’efficacité sexuelle et de la production spermatique. Au cours de la période de développement, des privations sociales importantes (élevage en boxes individuels, absence de contact hétérosexuel) pendant la période prépubertaire n’ont pas, comme dans d’autres espèces (notamment chez le bélier), de conséquences défavorables sur le comportement sexuel ultérieur du taureau. Chez les taurillons d’engraissement, le comportement homosexuel peut avoir des répercussions économiques négatives non négligeables. A l’âge adulte, les relations socio-sexuelles dans un groupe de taureaux sont principalement influencées par l’âge et la densité de population. L’élevage en groupes peut, en fonction de l’âge à la réunion, influer sur l’agressivité intraspécifique et la stabilité de la hiérarchie, elles-mêmes en relation avec l’efficacité des taureaux en compétition sexuelle, dans le cas d’une utilisation en saillie naturelle. En insémination artificielle, les techniques d’élevage et de stimulation sexuelle lors des collectes de semence sont parfaitement maîtrisées, de même que les risques d’agressivité interspécifiques (relations homme-animal). L’arrêt volontaire et temporaire des collectes de semence (lay-off), pendant l’attente des résultats de testage n’a pas de conséquences défavorables sur le comportement sexuel ultérieur, ni sur la production spermatique. Elle permet des économies substantielles. Les nombreuses études portant sur le comportement sexuel des bovins mâles et ses conséquences permettent une utilisation optimum des reproducteurs, tant en saillie naturelle qu’en insémination artificielle et une adaptation des conditions d’élevage des jeunes mâles destinés à l’engraissement.
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THEBAULT, R. G., and H. DE ROCHAMBEAU. "Le lapin angora : production et amelioration génétique." INRAE Productions Animales 2, no. 2 (May 10, 1989): 145–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.2.4409.

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Cet article présente l’état actuel des connaissances sur les niveaux de productivité quantitatifs et qualitatifs des lapins angora, et plus précisément dans les deux grandes souches sélectionnées : allemande et française. Dans leur système de production respectif, la souche allemande a un potentiel de production quantitative supérieure d’environ 20 % à la souche française, mais cette dernière produit un angora spécial nécessaire à la fabrication de fil fleuffé de haut de gamme. Les paramètres zootechniques sont précisés : quantité individuelle de poil produit, qualité laineuse ou jarreuse de la toison : proportion de poils à colonnes médullaires multiples (jarres) (critère allemand), homogénéité, structure, dureté (critères français). Les systèmes de production diffèrent selon les souches au niveau de l’habitat, mais surtout par le procédé de récolte de la toison : tonte pour les allemands, épilation pour les français. Les facteurs de variations de la production de poil sont le sexe, le numéro de récolte, l’intervalle entre récoltes, la saison, la reproduction. Les paramètres démographiques : taux de renouvellement, taux de fécondité ... doivent être améliorés, en France, par la modification de pratiques d’élevage et l’utilisation de l’insémination artificielle. Un nouveau programme d’amélioration génétique de la souche française est en place, dans le but d’améliorer la productivité, au point de vue quantitatif, tout en conservant sa spécificité qualitative (angora « jarreux »).
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De REVIERS, M. "Photopériodisme, développement testiculaire et production de spermatozoïdes chez les oiseaux domestiques." INRAE Productions Animales 9, no. 1 (February 17, 1996): 35–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.1.4033.

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La reproduction du Coq peut être dans une large mesure contrôlée par la durée quotidienne d’éclairement. Ce sont les variations de cette durée qui permettent le mieux de maîtriser la précocité de la production de spermatozoïdes, tandis que la persistance de cette production peut, sauf cas particulier, être la plus satisfaisante en jours courts. Cette condition est donc contradictoire à la fois avec une production de spermatozoïdes précoce, qui nécessite des jours croissants, et avec le maintien d’une intensité de ponte élevée, car on ne sait l’obtenir qu’en jours longs. Comme palliatif, on utilise donc dans la pratique un large effectif de coqs dont l’alimentation est par ailleurs rationnée afin de maintenir leur libido. L’insémination artificielle serait sans doute plus satisfaisante, en permettant d’adopter des conditions d’élevage spécifiques des coqs tout en réduisant leur nombre au minimum. Largement employée dans les autres espèces avicoles, son utilisation pour produire des poussins de chair bute encore sur des habitudes, sur la nécessité d’employer plus de personnel, plus qualifié et plus motivé, et sur une structure de filière où l’éleveur est encore parfois client de l’accouveur.
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CHEMINEAU, P., B. MALPAUX, J. P. BRILLARD, and A. FOSTIER. "Saisonnalité de la reproduction et de la production chez les poissons, oiseaux et mammifères d’élevage." INRAE Productions Animales 22, no. 2 (February 15, 2009): 77–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.2.3336.

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Les diverses productions issues d’animaux d’élevage sont fréquemment saisonnières, et par là même leur disponibilité en produits frais sur les marchés (viandes, lait et fromages, oeufs). Ceci relève, en partie, de la décision de l’éleveur qui vise à commercialiser ses produits à la période la plus favorable. Cette saisonnalité peut être aussi imposée par l’accès à des ressources alimentaires saisonnières, comme chez les herbivores, ou par des contraintes biologiques spécifiques, comme celle de la température de l’eau pour les poissons. Les variations saisonnières de la disponibilité en produits animaux sont aussi la conséquence de contraintes résultant d’une saison de reproduction plus ou moins marquée des animaux d’élevage qu’il s’agisse de poissons, d’oiseaux ou de mammifères. Sous des latitudes moyennes et hautes, la plupart des animaux d’élevage, comme leurs «cousins» sauvages, donnent en effet naissance à leurs petits en fin d’hiver et/ou au début du printemps, période souvent la plus favorable pour la survie des jeunes et la mise en place d’une nouvelle génération. En conséquence, la plupart des espèces manifestent des variations saisonnières de la fréquence d’ovulation (présence ou absence d’ovulations chez les mammifères et les poissons ; variations ou suppression des taux de ponte chez les oiseaux), de la qualité des gamètes (variations des taux de fécondation et de survie embryonnaire), mais aussi du comportement sexuel. Parmi les espèces d’intérêt en production animale, les oiseaux et les poissons sont généralement considérés comme plus directement sensibles aux facteurs externes (majoritairement température, mais aussi photopériode, pour les poissons et photopériode pour les oiseaux). Cependant, chez de nombreuses espèces incluant des mammifères, il est intéressant de constater que des traitements photopériodiques artificiels consistant en un éclairement supplémentaire pendant les jours courts naturels (chez le poulet, la dinde, la pintade, le mouton et la chèvre) ou de la mélatonine pendant les jours longs (chez le mouton et la chèvre), sont utilisés largement pour ajuster la période de reproduction aux souhaits de l’éleveur et/ou pour abolir complètement les variations saisonnières de la production spermatique dans les centres producteurs de semence destinée à l’insémination artificielle (mammifères), et dans les élevages (volaille, poissons). Par ailleurs, des traitements photopériodiques « purs » (sans mélatonine), en particulier lorsqu’ils sont appliqués en bâtiments ouverts, sont non invasifs et donc respectent pleinement le bien-être animal.
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Dündar, Oğuz İbrahim. "Utilisation Potentielle De Chatgpt Dans L'apprentissage Des Langues Etrangères : Exploration Des Possibilités Selon Les Niveaux Langagiers Du CECRL." Kahramanmaraş Sütçü İmam Üniversitesi Sosyal Bilimler Dergisi 21, no. 1 (April 30, 2024): 63–75. http://dx.doi.org/10.33437/ksusbd.1384040.

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Cet article explore les possibilités d'utiliser ChatGPT, un agent conversationnel basé sur l'intelligence artificielle, dans l'apprentissage des langues étrangères. L'article commence par définir les termes tels que "Chatbot", "Intelligence Artificielle", "Traitement Automatique des Langues" et "Génération de Langage Naturel", afin de fournir un contexte approprié. Ensuite, il examine les différentes activités langagières définies et propose des utilisations potentielles de ChatGPT pour chacune de ces activités. Les possibilités d'utilisation de ChatGPT dans l'apprentissage des langues étrangères comprennent la pratique de la conversation écrite, la correction grammaticale, l'enrichissement du vocabulaire, la compréhension écrite, les jeux de rôles et simulations écrites, la préparation aux examens écrits, les activités de traduction, les exercices de grammaire et de conjugaison, les explications grammaticales et bien d’autres. L'article propose également une illustration des avantages de ChatGPT selon les niveaux langagiers du CECRL avec l’utilisation des exemples de questions de production écrite ainsi que des extraits de textes pour la compréhension écrite.
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CACOT, P., and J. LAZARD. "Domestication d’espèces de poissons-chats du Mékong de la famille des Pangasiidae." INRAE Productions Animales 17, no. 3 (July 29, 2004): 195–98. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.3.3591.

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Parmi les 28 espèces de la famille des poissons-chats Pangasiidae présents en Asie, 13 sont représentées dans le fleuve Mékong. Huit de ces espèces présentent un intérêt aquacole et deux d’entre elles sont actuellement élevées sur une grande échelle dans le delta du Mékong au Vietnam. Jusqu’en 1995, pour ces deux espèces, Pangasius bocourti, élevée en cages flottantes, et Pangasius hypophthalmus, élevée en étangs, l’approvisionnement des élevages était assuré par la capture de juvéniles dans le milieu naturel. La disponibilité en juvéniles ayant été identifiée comme le principal frein au développement de la production, le CIRAD, en collaboration avec l’IRD et plusieurs organismes français et vietnamiens, a développé des travaux visant à maîtriser la reproduction de ces deux espèces en captivité. Celle-ci a pu être obtenue grâce à des traitements hormonaux d’induction de l’ovulation et de la spermiation, associés à la technique de fécondation artificielle. Des recherches ont ensuite été conduites sur l’élevage et la nutrition des alevins. L’application des résultats obtenus a permis d’augmenter considérablement la production (de 50 000 tonnes en 1996 à 200 000 tonnes en 2003) et s’est accompagnée d’importantes modifications des pratiques d’élevage.
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BOICHARD, D., B. BONAÏTI, and A. BARBAT. "Effet du croisement Holstein sur les caractères laitiers en population Pie Noir." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 25–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4184.

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La population Pie Noir française a subi un croisement d’absorption avec la souche Holstein nord-américaine. Les taureaux d’insémination artificielle sont purs Holstein depuis 1980. Chez les femelles, le pourcentage de gènes Holstein est passé de 5 % en 1970 à 83 % en 1990. Les effets d’hétérosis et de pertes de recombinaison ont été estimés pour les quantités de lait, de matières grasse et protéique et pour les taux butyreux et protéique, à partir de 12,4 millions de lactations réalisées par 5,6 millions de vaches de 1975 à 1992. Sur les quantités, l’hétérosis représente 2 à 2,5 % du niveau de production tandis que les pertes de recombinaison sont négatives et représentent 40 à 86 % de l’hétérosis. Sur les taux, les effets non additifs du croisement sont très faibles. Le fait d’avoir négligé ces effets sur les quantités de lait et de matière a conduit à surestimer d’environ 10 % la supériorité de la souche Holstein, qui atteint encore 1,5 écart-type génétique, soit 20 kg de matière protéique. De même, le progrès génétique réalisé intra lignée a été sous-estimé de 10 à 20 %.
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Tounsi, Hafssa, and Ahmed Rouabhi. "Congélation artificielle des terrains : de la modélisation à l’application." Revue Française de Géotechnique, no. 172 (2022): 2. http://dx.doi.org/10.1051/geotech/2022008.

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La congélation artificielle des terrains est utilisée depuis des décennies comme technique de stabilisation et d’imperméabilisation temporaires des terrains pour résoudre des problèmes de génie civil ou minier à moindres coûts. Toutefois, elle peut engendrer, tout comme le gel naturel, des déplacements en surface ou au niveau des ouvrages souterrains adjacents, dont l’amplitude dépend, entre autres, des conditions géologiques et hydrogéologiques. Ainsi, pour évaluer les risques liés à l’utilisation de la congélation artificielle, nous proposons dans cet article un modèle thermo-hydro-mécanique et chimique (THMC) couplé, permettant de prédire l’étendue de la zone congelée et la stabilité des terrains. Ce modèle s’inscrit dans le cadre de la mécanique des milieux poreux et utilise des hypothèses simplificatrices afin d’aboutir à un formalisme facilement utilisable en pratique pour réaliser des simulations de longues durées à l’échelle de la mine. Le modèle a été appliqué au cas de la mine de Cigar Lake (Canada), à travers des simulations thermo-hydro-mécaniques couplées, qui ont permis de prédire proprement l’évolution de la congélation dans le massif et les tassements observés autour des tunnels de production excavés en dessous du massif congelé.
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BIDEUX, Gilles, and Bertrand VANDEN BOSSCHE. "Comment les jumeaux numériques vont révolutionner la gestion patrimoniale des usines." TSM 12 2023, TSM 12 2023 (December 20, 2023): 35–39. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202312035.

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L’utilisation de jumeaux numériques associés à de l’intelligence artificielle devient de plus en plus fréquente pour gérer les installations de production d’eau potable et de traitement des eaux usées. Depuis plusieurs années Suez propose aux collectivités une nouvelle manière d’appréhender la gestion de leur patrimoine qui va leur donner accès non seulement à une représentation virtuelle de la réalité du terrain, mais également à une connaissance accrue, source de données fiables pour une gestion patrimoniale maîtrisée.
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Kouamo, Justin, and Paul Pa-ana. "Typology of cattle farms in the northern regions of Cameroon." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 3 (March 15, 2018): 73. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31520.

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La présente étude, menée dans les élevages bovins des régions du nord du Cameroun, a eu pour objectif d’établir la typologie des exploitations afin de révéler les caractéristiques structurelles et fonctionnelles pouvant être sélectionnées dans un programme d’insémination artificielle. Une enquête a été réalisée auprès de 54 éleveurs. Les résultats ont montré qu’ils étaient majoritairement de l’ethnie peuhle (81,5 %) avec une prédominance d’hommes (92,6 %). Leur niveau d’éducation était le primaire (31,5 %), le secondaire (18,5 %) et le supérieur (25,9 %). Ils avaient une activité de production agricole à temps plein (42,6 %), élevage bovin et agropastoralisme. Les fonctionnaires représentaient plus du tiers de l’échantillon. La structure génétique des troupeaux était dominée par des races locales : 53,7 % de zébus Gudali, 44,4 % de Djafoun et 5,6 % d’Akou. De plus, 44,4 % élevaient des races croisées et 16,7 % des Holstein. Une analyse des correspondances multiples a été effectuée pour déterminer la typologie des exploitations étudiées. En fonction des caractéristiques structurelles (taille du troupeau, superficie fourragère, productivité laitière par vache et par jour, et infrastructure connexe) et fonctionnelles (alimentation, gestion du troupeau, choix technologique) des fermes, trois types ont été identifiés. Les éleveurs de type I (37 %) pratiquaient le système extensif et ceux de type II (18,5 %) le système semi-intensif. Ils étaient présents dans la région d’Adamawa et préféraient, respectivement, la saillie naturelle (56 %) et l’insémination artificielle (100 %) comme moyen de reproduction. Les éleveurs de type III (44,5 %) pratiquaient le système semi-extensif. Ils n’étaient présents que dans les régions du Nord et de l’Extrême-Nord et ils préféraient la saillie naturelle (98 %) comme moyen de reproduction. Les agriculteurs de type II étaient localisés dans la division de Vina (Adamawa) et présentaient les meilleures potentialités avec la pratique de l’insémination artificielle. Ces éleveurs peuvent être considérés comme des pilotes pour la relance de la filière laitière dans cette partie du Cameroun.
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BODIN, L., J. M. ELSEN, E. HANOCQ, D. FRANÇOIS, D. LAJOUS, E. MANFREDI, M. M. MIALON, et al. "Génétique de la reproduction chez les ruminants." INRAE Productions Animales 12, no. 2 (June 30, 2020): 87–100. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.2.3868.

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La réussite de la reproduction est primordiale pour la rentabilité de l’élevage, elle constitue un préalable indispensable à toute production. L’aptitude à la reproduction d’un animal au cours d’une carrière dépend des caractères de précocité sexuelle, de fertilité et de prolificité, cette dernière pouvant être décomposée en termes de taux d’ovulation et de mortalité embryonnaire. Ces différents aspects font l’objet de recherches en génétique animale et sont intégrés à des degrés divers dans les schémas de sélection, en race pure ou en croisement. La précocité sexuelle et la prolificité doivent être améliorées quand elles sont limitantes, mais certains seuils ne doivent pas être dépassés sous peine de voir se réduire le gain économique espéré. S’intéresser aux composantes de la prolificité devrait en permettre un meilleur contrôle. Une fertilité maximale est toujours recherchée mais elle revêt différentes facettes qui en compliquent son amélioration. Elle est à la fois dépendante du sexe (la fertilité femelle reste souvent la plus limitante) de la technique de reproduction employée (naturelle ou artificielle) et du moment choisi pour la mise à la reproduction (intervalle mise bas - reproduction, saison). Les recherches sur la génétique des caractères de reproduction doivent être poursuivies tout en intégrant les résultats de cartographie génétique.
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CHEMINEAU, P., G. BARIL, B. LEBOEUF, M. C. MAUREL, F. ROY, M. PELLICER-RUBIO, B. MALPAUX, and Y. COGNIE. "Implications des progrès récents en physiologie de la reproduction pour la conduite de la reproduction dans l’espèce caprine." INRAE Productions Animales 12, no. 2 (April 30, 1999): 135–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.2.3873.

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Le contrôle de la reproduction caprine est intéressant pour des raisons techniques (synchronisation des mise bas, ajustements aux disponibilités fourragères ou aux contraintes économiques), et pour des raisons génétiques (identification et dissémination des génotypes améliorateurs). L’utilisation de rythmes photopériodiques accélérés conduit à une augmentation très importante des doses produites pour l’insémination artificielle (IA) et évite l’apparition d’une contre-saison sexuelle. L’identification récente d’une lipase bulbo-uréthrale dans le sperme de bouc offre de nouvelles perspectives pour la conservation de la semence. Chez la chèvre, les traitements " lumière + jours courts " permettent également l’induction de cycles oestriens et ovulatoires à contre-saison, ce qui conduit à une amélioration de la fertilité des troupeaux. En revanche, l’utilisation répétée de eCG (autrefois appelée PMSG) provoque l’apparition d’anticorps, retarde le moment de l’ovulation et induit une baisse de fertilité après IA, lorsqu’elle est réalisée après un délai fixe après la fin du traitement. Toutes les étapes de la production d’embryons, de leur congélation et de leur transfert sont maintenant maîtrisées et permettent d’atteindre des taux satisfaisants de chevreaux nés par femelle donneuse, qui sont compatibles avec le développement de la technique dans le but d’échanger du matériel génétique entre les pays. La production in vitro d’embryons permet des taux élevés de développement après maturation et fécondation in vitro des ovocytes et pourrait permettre l’obtention de populations synchrones de zygotes au stade unicellulaire, nécessaire à l’application des biotechnologies.
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BOICHARD, D., C. GROHS, F. BOURGEOIS, F. CERQUEIRA, R. FAUGERAS, A. NEAU, D. MILAN, et al. "La recherche de QTL à l’aide de marqueurs : résultats chez les bovins laitiers." INRAE Productions Animales 13, HS (December 22, 2000): 217–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.hs.3841.

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Un programme de détection de QTL est conduit dans les races bovines Prim’Holstein, Normande et Montbéliarde. Ce dispositif dit ‘petites-filles’ implique 1554 taureaux d’insémination artificielle, fils de 14 pères et indexés sur descendance pour 24 caractères de production laitière, conformation, fertilité, résistance aux mammites et facilité de traite. Ces taureaux sont génotypés pour 169 marqueurs répartis sur le génome. La recherche de QTL est réalisée par régression linéaire intra père, en prenant en compte toute l’information marqueurs par groupe de liaison. Des QTL sont détectés pour chaque caractère, y compris pour les caractères peu héritables. L’effet de substitution allélique est souvent compris entre 0,6 et 1 écart type génétique. Une minorité de pères (entre 1 et 5 seulement sur 14) apparaissent hétérozygotes pour chaque QTL identifié. La localisation des QTL est peu précise, l’intervalle de confiance étant toujours supérieur à 20 cM. Ce travail se poursuit d’une part avec la mise en place d’une sélection assistée par marqueurs, d’autre part avec la caractérisation de certains QTL dans le cadre du programme européen Euribdis.
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Vaquero, Stéphan. "Figure et vérité chez Baltasar Gracián." Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques 5, no. 1 (2001): 93–111. http://dx.doi.org/10.3406/fdart.2001.1239.

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L'Agudeza y arte de ingenio détermine les formes de l’activité de l’ingenio dont l’agudeza est constitutive : accorder, artificiellement, les figures de rhétorique aux circonstances singulières et contingentes. L’activité de l'ingenio est une production artificielle de vérité et la figure est cette vérité : figuration de l’adéquation des expressions de l'ingenio et d’un être dont la plénitude est complexité et variété. L'ingenio est une faculté autonome de figuration : la figure est fiction, c’est-à-dire invention ingénieuse de la réalité. L’acuité figurale de l’esprit est donc poïétique et la figuration se substitue à la signification comme la figure au signe.
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VANDEPUTTE, M., and S. LAUNEY. "Quelle gestion génétique de la domestication chez les poissons ?" INRAE Productions Animales 17, no. 3 (July 29, 2004): 237–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.3.3597.

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Depuis 1950, le nombre d’espèces de poissons en production est passée de 42 à 186. La grande diversité des espèces concernées, le caractère récent de la mise en élevage et l’existence de ressources génétiques sauvages pour la plupart des espèces font de la domestication une question récurrente en aquaculture. Les aspects génétiques de la domestication concernent deux aspects majeurs : la phase de mise au point des élevages et de création des souches de départ, et la gestion des populations au cours de l’élevage pour assurer à la fois l’efficacité de la production et le bien-être du poisson. Pour le premier aspect, les études existantes, peu nombreuses, indiquent qu’il est sans doute difficile de conclure sur les aptitudes d’une souche particulière à l’adaptation aux conditions d’élevage sur la simple base de sa variabilité génétique aux marqueurs neutres ou d’observations écologiques en milieu naturel. Un testage de souche peut être pratiqué avant la mise en élevage, mais, pour être pertinent, il doit être réalisé en conditions contrôlées, les plus proches possibles des conditions réelles d’élevage. Dans tous les cas, le choix d’une souche de départ ayant une base génétique la plus large possible et une bonne gestion des reproductions permet d’assurer le maintien de la variabilité génétique au cours des générations. Le processus de domestication s’accompagne de modifications d’un grand nombre de caractères, mais dont les mécanismes génétiques ne sont pas toujours maîtrisés. Il pourrait cependant être possible d’orienter volontairement l’évolution des caractères d’adaptation au milieu d’élevage, à l’aide de programmes de sélection artificielle dirigés.
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BRUN, J. M., M. M. RICHARD, C. MARIE-ETANCELIN, R. ROUVIER, and C. LARZUL. "Le canard mulard : déterminisme génétique d’un hybride intergénérique." INRAE Productions Animales 18, no. 5 (December 18, 2005): 295–308. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.5.3534.

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Le mulard, qui assure plus de 90 % de la production française de foie gras, est un hybride intergénérique entre le canard de Barbarie et la cane commune. L’hybride réciproque (canard commun x cane Barbarie) ne présente pas d’intérêt zootechnique. Depuis les années 80, le mulard est obtenu par insémination artificielle, avec un taux de fertilité voisin de 70 % à condition d’inséminer les canes deux fois par semaine à cause de la courte durée de la période fertile en hybridation. L’article envisage d’abord les aspects zoologiques de cette hybridation (cytogénétique, accouplement, fertilisation et développement embryonnaire, stérilité des hybrides). Il aborde ensuite, d’un point de vue zootechnique, les performances de reproduction de la cane commune mère du mulard (ponte, fertilité et durée de la période fertile, éclosabilité) et les caractères du mulard (croissance, couleur du plumage, comportement, efficacité alimentaire, composition corporelle, aptitude au gavage et qualité des produits). L’objectif est d’abord de décrire les spécificités de cet hybride relativement aux espèces parentales et lorsque c’est possible (présence de l’hybride réciproque), d’interpréter ses performances en fonction des contributions parentales. Il s’agit ensuite de réaliser une synthèse sur les estimées des paramètres génétiques des caractères des mulards dans les populations parentales et des corrélations génétiques entre performances en pur et en croisement. Ces paramètres conditionnent les possibilités d’amélioration du mulard par sélection génétique dans ces souches. Enfin, sont présentés des éléments de génétique moléculaire (marqueurs génétiques, cartographie comparée).
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CHEMINEAU, P., G. KHALDI, N. LASSOUED, Y. COGNIÉ, J. THIMONIER, P. POINDRON, B. MALPAUX, and J. A. DELGADILLO. "Des apports originaux sur l’« effet mâle », une technique agro-écologique de maîtrise de la reproduction des brebis et des chèvres, fruits d’une longue collaboration scientifique entre la Tunisie, le Mexique et la France." INRA Productions Animales 30, no. 5 (June 29, 2018): 427–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.5.2273.

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Les recherches sur la maîtrise de la reproduction des brebis et des chèvres ont abouti à des traitements hormonaux de synchronisation des chaleurs très largement utilisés. Leurs coûts sont supportés par la valeur ajoutée de la production laitière et le progrès génétique rapide permis par l’insémination artificielle associée à la synchronisation. Les éleveurs des pays en développement ne disposent pas des mêmes moyens financiers et des programmes de coopération conduits avec les chercheurs de ces pays portent sur des moyens moins coûteux de synchronisation, comme « l’effet mâle » qui ne nécessite que des manipulations de lots d’animaux, sans intervention hormonale. En France, l’effet mâle ne suscite d’intérêt que chez les éleveurs et professionnels ovins et caprins en Agriculture Biologique. Pendant plus de 20 ans, des programmes de coopération scientifique entre la France, la Tunisie et le Mexique ont permis de mieux connaître les mécanismes physiologiques de la réponse à l’effet mâle et les conditions de son utilisation. Ils ont produit de nombreuses publications et permis le développement de techniques durables de maîtrise de la reproduction, adoptées avec succès par les éleveurs tunisiens et mexicains. L’émergence récente de préoccupations environnementales a changé le point de vue des professionnels français, désormais plus soucieux de durabilité de leurs systèmes. Les informations accumulées lors de ces programmes internationaux de coopération sont maintenant utiles dans les systèmes d’élevage français et européens, pour accélérer la mise au point de nouvelles techniques alternatives à l’utilisation des traitements hormonaux.
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COUROT, M., and P. VOLLAND-NAIL. "Conduite de la reproduction des mammifères domestiques : présent et futur." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 5, 1991): 21–29. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4314.

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Les techniques modernes de reproduction appliquées aux mammifères domestiques ont pour but d’accroître l’efficacité de la production de jeunes dans les conditions choisies par les éleveurs. Cette revue présente les différentes techniques disponibles pour atteindre un tel objectif. Pour les mâles, en plus de l’utilisation de semence par insémination artificielle désormais possible chez toutes les espèces domestiques, l’accent est mis sur deux stratégies : d’une part, distribuer par insémination intra-utérine un petit nombre de spermatozoïdes des meilleurs reproducteurs (sur un plan génétique) à un maximum de femelles avec les plus grandes chances de fécondation, d’autre part, maintenir en permanence les mâles d’espèces saisonnées au maximum de leurs capacités de production spermatique par un régime photopériodique approprié. Pour les femelles, des techniques efficaces de contrôle de l’oestrus et de l’ovulation étant maintenant disponibles pour toutes les espèces domestiques, la reproduction peut être conduite au moment choisi par l’éleveur. Des techniques de reproduction plus complexes ont été développées avec la manipulation des embryons dans le but de diffuser plus largement le haut potentiel génétique des meilleurs reproducteurs. Si le transfert d’embryons est parvenu à un stade de développement commercial, la fécondation in vitro et les techniques de sexage ou de clonage des embryons sont encore au stade des études de laboratoire. Ces techniques sont néanmoins présentées car elles modifieront certainement la pratique de l’élevage dans l’avenir. En vue d’objectifs peut-être plus lointains, la transgenèse est aussi abordée chez les animaux domestiques. Enfin, une brève réflexion prospective évoque plusieurs aspects qui font déjà l’objet de recherches afin de mieux maîtriser ou rendre plus efficace la reproduction animale.
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PELLICER-RUBIO, M. T., S. FERCHAUD, S. FRERET, H. TOURNADRE, A. FATET, S. BOULOT, J. PAVIE, B. LEBOEUF, and F. BOCQUIER. "Les méthodes de maîtrise de la reproduction disponibles chez les mammifères d’élevage et leur intérêt en agriculture biologique." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 255–70. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3352.

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La maîtrise de la reproduction contribue à optimiser la productivité de l’exploitation. La réglementation de la production biologique n’impose pas de conduite de reproduction spécifique, mais limite les pratiques autorisées parmi l’ensemble des stratégies disponibles pour les éleveurs. Les conséquences de ces limitations sont plus ou moins pénalisantes selon l’espèce animale considérée. Ainsi, l’interdiction des traitements hormonaux représente le principal obstacle pour la maîtrise de la reproduction en agriculture biologique (AB) chez les petits ruminants et les porcins. La maîtrise de la saisonnalité de la reproduction est un objectif pour la plupart des éleveurs ovins et caprins. Dans ces deux espèces, la reproduction est possible tout au long de l’anoestrus saisonnier grâce à des traitements lumineux sans recours à la mélatonine, mais des difficultés de mise en œuvre font qu’ils sont aujourd’hui peu utilisés en AB. En élevage conventionnel ovin et caprin, l’insémination artificielle (IA) est réalisée à un moment fixe après synchronisation hormonale des ovulations et sans détection d’oestrus. En AB, l’IA est autorisée sur chaleurs naturelles : cela implique la pratique systématique de la détection des chaleurs sur plusieurs jours pour identifier les femelles à inséminer. Pour cette raison, l’IA est très peu pratiquée en AB chez ces deux espèces. La synchronisation des ovulations par effet mâle est une alternative prometteuse pour simplifier les protocoles d’IA, facilitant l’accès des éleveurs AB aux schémas de sélection et donc la généralisation de cette pratique. La conduite de reproduction la plus courante en élevage de porc conventionnel est dite en 7 bandes. La durée du cycle d’une bande est de 21 semaines dont 4 semaines d’allaitement. En AB, le règlement européen impose l’augmentation du temps d’allaitement des porcelets à 40 j minimum. En pratique, le sevrage a lieu à 42 j avec une conduite en 8 bandes, le cycle de reproduction s’étend donc à 23 semaines. En AB comme en conventionnel, le sevrage est la principale méthode utilisée pour la synchronisation de l’oestrus des truies dans leur bande. L’efficacité de la conduite en bandes est toutefois pénalisée en AB par l’interdiction des traitements hormonaux, utilisés fréquemment en conventionnel pour intégrer les cochettes dans les bandes, pour recycler des femelles décalées ou pour prévenir des oestrus de lactation. Cependant, l’interdiction de l’utilisation d’hormones ne pénalise pas la pratique de l’IA car elle est réalisée sur oestrus naturels synchronisés par le sevrage chez la majorité des producteurs en AB et en élevage conventionnel. Chez les bovins, l’insémination est pratiquée de manière générale sur chaleurs naturelles. Lors de la mise à la reproduction, la mise en place de la semence est réalisée par insémination artificielle (majoritaire en élevage laitier) ou par monte naturelle (majoritaire en élevage allaitant). L’interdiction des traitements hormonaux d’induction et de synchronisation des chaleurs n’est donc pas pénalisante en AB par rapport à l’élevage conventionnel. La mise à la reproduction est possible toute l’année, avec des contraintes qui diffèrent selon les objectifs de production. Les voies de recherche pour le développement de méthodes naturelles de maîtrise de la reproduction utilisables en AB sont très diverses, multidisciplinaires et souvent communes aux différentes espèces de mammifères d’élevage. L’INRA contribue fortement à l’amélioration des méthodes existantes et à leur adaptation aux contraintes d’élevage. Il s’implique également dans la conception et la validation de nouvelles approches de maîtrise de la reproduction sans hormones. Ce développement ne pourra connaître un véritable essor que dans le cadre d’une relation étroite entre la recherche finalisée et les professionnels.
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de REVIERS, M. "Effets du rationnement alimentaire chez le coq de type chair. Interactions avec la durée quotidienne d’éclairement." INRAE Productions Animales 3, no. 1 (February 3, 1990): 21–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.1.4357.

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La tendance des coqs reproducteurs de type chair à prendre trop de poids à l’âge adulte doit être corrigée par le rationnement de l’aliment pour qu’ils puissent exprimer leur potentiel de reproduction et le faire dans des conditions économiques. Appliqué pendant la seule période adulte, ce rationnement ne permet que difficilement de corriger les effets d’un régime trop libéral pendant la croissance car il peut provoquer une diminution rapide et importante de la production des spermatozoïdes. Le rationnement utilisé pendant la seule période de croissance peut induire un très important retard de maturité sexuelle. Il n’empêche pas la récupération rapide d’une forte production de spermatozoïdes après retour à une alimentation libérale. Mais celle-ci conduit les coqs à surconsommer et à récupérer un poids vif très élevé. Il faut donc les rationner leur vie durant, ce qui est possible même dans le cas de la reproduction naturelle, grâce à l’alimentation séparée des mâles et des femelles. L’utilisation de jours croissants pendant la période 16-22 semaines d’âge permet de limiter le retard de maturité sexuelle et synchronise le démarrage de la production spermatique. Mais le maintien ultérieur des coqs en jours longs induit un déclin rapide et important de cette production. Ce déclin ne se produit pas, ou a lieu plus lentement, si les coqs rationnés sont maintenus toute leur vie en jours courts. Leur production de spermatozoïdes est alors tardive, mais se maintient à un niveau élevé s’ils sont rationnés dès le très jeune âge ; elle est plus précoce, mais reste à un niveau moins important, si le rationnement n’a lieu qu’à partir de 6 semaines d’âge. Ces résultats sont particulièrement intéressants en vue de l’insémination artificielle car ils peuvent permettre de limiter à 1 % la proportion des coqs d’un troupeau reproducteur et par conséquent de n’utiliser que ceux les plus aptes à transmettre à leur descendance vitesse de croissance et bonne conformation.
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Le Floch-Prigent, Patrice, Juliette Nguyen, and Jean-Bernard Gillot. "Un livre de Camille Dareste, de 1877 : « Recherches sur la production artificielle des monstruosités ». Paris, Reinwald." Morphologie 102, no. 338 (September 2018): 164. http://dx.doi.org/10.1016/j.morpho.2018.07.064.

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Cristofori, F., G. Quaranta, M. Sidibe, M. Mattoni, G. Trucchi, and Désiré Belemsaga. "Essais de production et de collecte d’embryons chez la vache Somba." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 3-4 (March 1, 2001): 263. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9783.

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Des essais de collecte d’embryons ont été menés dans un troupeau de vaches trypanotolérantes de race Somba, pendant quatre cycles de polyovulation réalisés en différentes saisons. Un progestatif (Norgestomet, Crestar® Intervet) et des gonadotrophines (soit p-FSH Pluset® Serono, soit Folltropin® Vetrepharm) ont été utilisés selon des dosages modifiés en raison du poids des animaux. Les donneuses ont été ensuite fécondées deux fois à 12 heures d’intervalle, par saillie naturelle ou insémination artificielle, la semence de trois taureaux ayant été récoltée et congelée sur place en paillettes. Le taux général de réponse à la polyovulation a été de 72 p. 100. Les embryons ont été collectés à 6,5 jours, au stade de morula compactée ou de jeune blastocyste. Sur l’ensemble des 30 collectes, 87 embryons ont pu être récupérés. Parmi ces embryons, 39 (45 p. 100) appartenaient aux catégories Q1 et Q2 et étaient congelables, 19 (22 p. 100) appartenaient à la catégorie Q3 et les 29 restants (33 p. 100) appartenaient à la catégorie Q4 (non transférables). La production moyenne d’embryons transférables (1,9 par donneuse) n’a pas été affectée significativement par le type de gonadotrophine utilisé, mais le taux d’embryons congelables a été plus élevé en saison humide fraîche qu’en saison humide chaude (respectivement 59 vs 38 p. 100).
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ROUSTAN, A. "L’amélioration génétique en France : le contexte et les acteurs - Le lapin." INRAE Productions Animales 5, HS (December 29, 1992): 45–47. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4260.

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L’élevage du lapin de chair s’est organisé au début des années 60 pour combler la chute de la production traditionnelle. Caractérisé par son comportement de caecotrophie, le lapin est un des meilleurs transformateurs d’aliments grossiers, fixant sous forme de viande comestible 20 % des protéines ingérées. Les types génétiques utilisés pèsent environ 4 kg à l’âge adulte. Les animaux abattus vers 2,3 kg ont un rendement moyen de 60 %. Femelle à ovulation provoquée par l’accouplement (ou stimulation hormonale), la lapine produit 7 à 10 portées de 7 à 8 lapereaux par an dans les systèmes actuels. Les carrières des reproductrices sont généralement beaucoup plus courtes, nécessitant un renouvellement annuel moyen de 150 %. La saillie naturelle est la règle générale, même si quelques élevages utilisent l’insémination artificielle qui suscite un intérêt croissant. L’amélioration génétique pour la production de viande a démarré dès 1960, dans le cadre d’études menées à l’INRA sur plusieurs populations de race pure et leurs croisements. Ces travaux ont permis la mise en place du Schéma National d’Amélioration Génétique du lapin de chair, confiant à l’INRA la sélection des souches femelles pour produire une femelle croisée et à la profession, aidée par l’INRA, la sélection des mâles de croisement terminal destinés à être accouplés à ces femelles. Au jourd’hui, la sélection des femelles associe à l’INRA plusieurs sélectionneurs dans le cadre d’un schéma de "démultiplication", chacun d’entre eux entretenant également des souches de mâles sélectionnés indépendamment. La profession s’est dotée de règles régissant contractuellement, les rapports sélectionneurs - utilisateurs.
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Ritchot, Gilles. "La géomorphologie dans l’œuvre de Blanchard au Québec. La part de l’utopie." Cahiers de géographie du Québec 30, no. 80 (April 12, 2005): 161–73. http://dx.doi.org/10.7202/021797ar.

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La figure textuelle utopienne prétend qu'un « modèle spatial » — dessin planaire selon l'esprit de la géométrie euclidienne et de la perspective artificielle de la Renaissance — fait partie intégrante et nécessaire d'une « société modèle » délestée, entre autres, de la contrainte du droit de propriété privée. La géographie régionale de Blanchard au Québec, d'ascendance vidalienne, applique à la connaissance du rapport homme-nature la notion déterministe de « genre de vie », qui fait abstraction de la propriété nominative contradictoire, réduisant l'institution de la propriété en général à l'usage des moyens anonymes de production. Cette lecture utopienne avait besoin d'un « modèle spatial », auquel Blanchard a destiné la partie géomorphologique de son oeuvre. La description des « pénéplaines » cycliques évoque les paramètres du système du rang, ce fameux « cadastre » largué sur l'ensemble du couloir laurentien dès le XVIIe siècle.
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LOCATELLI, Y., and P. MERMILLOD. "Caractéristiques et maîtrise de la fonction de reproduction chez les cervidés." INRAE Productions Animales 18, no. 1 (March 14, 2005): 3–25. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.1.3505.

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Ces dernières années, l’élevage de cervidés s’est considérablement développé en Nouvelle-Zélande pour devenir une industrie profitable. Alors que quelques cervidés (daim d’Europe et cerf élaphe) font l’objet de domestication et d’élevage dans un but commercial, d’autres espèces et sous-espèces de cervidés sont menacées d’extinction dans le milieu naturel. Les travaux de recherches effectués afin de mieux caractériser et maîtriser la fonction de reproduction de ces ruminants sont présentés dans cette étude bibliographique. Il apparaît qu’à l’instar de nos ruminants domestiques (ovins, caprins), les cervidés originaires des zones tempérées sont généralement caractérisés par un saisonnement marqué de leur fonction de reproduction. Ces variations saisonnières d’activité sexuelle sont dictées par les variations photopériodiques et permettent la naissance des jeunes en fin de printemps. Chez les cervidés, les différences entre les périodes d’activité et de repos sexuels semblent beaucoup plus marquées en comparaison de nos ruminants domestiques. La période d’activi-té sexuelle est variable d’une espèce à l’autre (été, automne ou début de l’hiver) mais très fixe pour une espèce donnée. La période de repos sexuel traduit des modifications importantes dans les sécrétions de gonadotrophines et se caractérise notamment par une aspermie complète chez le mâle. Chez la femelle, l’état d’anoestrus est profond et associé à une absence d’ovulation. La durée de gestation est également variable d’une espèce à l’autre mais est remarquablement fixe pour une espèce donnée. Chez les cervidés originaires des zones subtropicales et selon les espèces, les variations d’activité sexuelle sont plus discrètes permettant une répartition des mises bas plus ou moins homogène au cours de l’année, y compris lorsque les animaux sont transportés sous des latitudes élevées. Dans le cas des espèces de cervidés menacés d’extinction, l’utilisation des biotechnologies de la reproduction et des méthodes de procréation assistée pourrait, à terme, faciliter la réalisation des programmes conservatoires. Les techniques classiques de production in vivo d’embryons basées sur l’ovulation multiple, l’insémination artificielle et le transfert embryonnaire se sont avérées difficilement applicables aux cervidés. Aussi, les recherches portent actuellement sur le développement de techniques de production in vitro d’embryons.
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CHEMINEAU, P., B. MALPAUX, J. PELLETIER, B. LEBOEUF, J. A. DELGADILLO, F. DELETANG, T. POBEL, and G. BRICE. "Emploi des implants de mélatonine et des traitements photopériodiques pour maîtriser la reproduction saisonnière chez les ovins et les caprins." INRAE Productions Animales 9, no. 1 (February 17, 1996): 45–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.1.4034.

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La mélatonine est une substance naturellement sécrétée par la glande pinéale pendant la période obscure du nycthémère, qui transmet l’information photopériodique chez les mammifères. L’administration continue par un implant sous-cutané, comme dans les expérimentations décrites ici, permet de mimer les jours courts alors que les yeux des animaux perçoivent les jours longs naturels du printemps et de l’été. Il est nécessaire de faire subir une alternance de jours longs et de jours courts pour pouvoir maîtriser la période d’activité sexuelle. Chez la brebis conduite en lutte naturelle, un implant sous-cutané de mélatonine (Mélovine®) est inséré de 30 à 40 jours avant l’introduction des béliers. Les différents essais réalisés depuis plusieurs années chez 5 races françaises, et qui mettaient en comparaison, dans les mêmes élevages, des femelles traitées et des femelles témoins, montrent que la fécondité des brebis traitées est très supérieure à celle des brebis témoins (16 agneaux nés en plus pour 100 brebis mises en lutte). Les dates moyennes de mise bas sont plus précoces et moins étalées chez les traitées que chez les témoins. Chez la brebis également, cette fois-ci en association avec un traitement hormonal de synchronisation de l’oestrus et une insémination artificielle, la fécondité des brebis traitées, pour l’ensemble oestrus induit plus retours, est aussi très significativement supérieure à celle des brebis témoins (30 agneaux nés en plus pour 100 brebis mises à la reproduction). Chez la chèvre, du fait de la forte demande existante pour une lutte en pleine contre-saison (avril à juillet), il est recommandé de faire subir un traitement lumineux (éclairement supplémentaire avec aube fixe et "flash" nocturne) pendant une période d’au moins 2 mois avant la pose de l’implant de mélatonine. Les boucs recoivent le même traitement ; les femelles sont séparées de tout contact avec les mâles à partir de la pose de l’implant. La lutte naturelle se fait en introduisant les boucs traités parmi les femelles, de 35 à 70 jours après la pose de l’implant, de façon à bénéficier de "l’effet bouc". Dans ces conditions, la fertilité est voisine de celle observée en lutte naturelle pendant la saison sexuelle (supérieure à 80 %) et les fécondations ont lieu environ 10 jours après l’introduction des mâles. La prolificité est équivalente à celle observée en saison sexuelle. L’association de ce traitement avec un traitement progestatif classique de synchronisation hormonale des oestrus et avec l’insémination artificielle est en cours d’essai. Chez le bélier, l’insertion d’implants permet une avance de la croissance testiculaire et une amélioration de la production spermatique. Si l’on souhaite obtenir une activité spermatogénétique intense en pleine contre-saison, comme chez les mâles des centres d’IA, il est nécessaire de faire précéder la pose de l’implant d’une période de jours longs réels ou mimés par une heure d’éclairement nocturne. Un tel traitement stimule la croissance testiculaire, améliore le comportement sexuel, la production spermatique et augmente la fertilité après IA, par rapport aux béliers non traités. Il est également possible de faire subir aux béliers reproducteurs une alternance d’un mois de jours longs et d’un mois de jours courts, ce qui induit le maintien d’une activité spermatogénétique élevée et constante pendant plusieurs années. En bâtiment ouvert, sur des mâles laissés en photopériode naturelle, l’alternance d’un mois d’éclairement nocturne avec un mois d’implant de mélatonine permet d’aboutir aux mêmes résultats, la dépose de l’implant en fin de traitement devenant toutefois délicate. Chez le bouc, le même type d’alternance rapide entre jours longs et jours courts permet de maintenir une production spermatique élevée de bonne qualité pendant au moins trois années consécutives. Dans ces conditions, le nombre de doses de semence congelée produites est très supérieur chez les animaux traités par rapport aux animaux témoins (+41 à +69 %). La fertilité des chèvres inséminées artificiellement avec de telles doses n’est pas différente de celle des chèvres inséminées avec la semence des boucs témoins. Les implants de mélatonine Mélovine®, ont obtenu en 1995 l’autorisation de mise sur le marché.
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COGNIÉ, Y. "Nouvelles méthodes utilisées pour améliorer les performances de reproduction chez les ovins." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 83–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4438.

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Les périodes d’anœstrus (saisonnier ou post-partum) et le faible taux d’ovulation limitent l’efficacité de la reproduction chez la brebis. Cet article résume les recherches récentes effectuées dans le but d’améliorer les paramètres de la reproduction dans différents systèmes de production. Plusieurs méthodes sont disponibles pour synchroniser les chaleurs. Le choix de la méthode doit dépendre du système de lutte utilisé et du niveau de prolificité souhaité par l’éleveur. Les avantages découlant de l’utilisation de la technique associant un progestagène à PMSG sont présentés. Cette technique permet avec succès la mise en place de l’insémination artificielle, mais une réduction de la variabilité du moment d’ovulation doit être recherchée. Afin d’éliminer les problèmes liés aux difficultés de passage des spermatozoïdes à travers le cervix, l’insémination utérine sous contrôle cœlioscopique est proposée, surtout lorsque de la semence congelée est utilisée. L’induction d’ovulations fertiles pendant l’anoestrus saisonnier peut également être obtenue en utilisant "l’effet bélier" associé à un traitement progestagène et/ou à des manipulations de la photopériode ou de la mélatonine. Le taux de prolificité peut être augmenté par injection de gonadotropines (PMSG ou pFSH) ou immunisation contre les stéroïdes. L’immunisation active contre l’androsténedione permet d’obtenir entre 18 et 40 % d’agneaux nés en plus chez les brebis traitées de différents génotypes et dans différents systèmes de conduite des troupeaux. Chez la brebis Charmoise immunisée pendant 4 années successives à l’automne, un gain moyen de 0,31 agneau sevré a été obtenu. L’importance des pertes embryonnaires précoces, d’origine non génétique, peut être minimisée par l’apport de progestérone exogène ou la stimulation de la sécrétion endogène de progestérone par les gonadotropines. L’estimation du nombre de foetus effectuée en milieu de gestation par échographie permet d’adapter les rations des mères à leurs besoins et de réduire la mortalité périnatale des agneaux.
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Nazoumou, Y., and M. Besbes. "Simulation de la recharge artificielle de nappe en oued par un modèle à réservoirs." Revue des sciences de l'eau 13, no. 4 (April 12, 2005): 379–404. http://dx.doi.org/10.7202/705399ar.

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Dans la zone semi-aride de Tunisie centrale, un grand barrage a été construit en 1982 sur l'oued Zeroud, dont l'infiltration des crues naturelles constituait jadis la principale source d'alimentation des nappes de la plaine de Kairouan. Ce barrage est destiné à l'écrêtement des crues, l'irrigation et à la recharge des nappes à l'aval de la retenue. Entre 1988 et 1996, plus de 70 millions de m3 d'eau ont été mobilisés sous forme d'ondes de lâchers à partir du barrage pour la recharge artificielle par infiltration dans le lit de l'oued. Le suivi des ondes de lâchers est effectué sur 3 stations de contrôle disposées sur une distance de 40 km le long du lit. L'analyse de l'évolution des débits a révélé que la capacité d'infiltration du lit augmente progressivement avant de se stabiliser, mettant en évidence l'effet de l'air sur le processus de recharge. Un modèle conceptuel à réservoirs conjuguant fonctions de production et de transfert avec discrétisation spatiale a permis de modéliser la propagation et l'infiltration des ondes de lâchers le long de l'oued. Son ajustement sur un échantillon de six événements de lâchers a fourni des résultats satisfaisants. Même si la validation reste insuffisante en raison de la rareté des données, ce modèle peut constituer un premier outil d'évaluation de l'efficacité de la recharge et de prédiction de son impact sur la nappe souterraine de la plaine de Kairouan.
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LEBOEUF, B., J. A. DELGADILLO, E. MANFREDI, A. PIACERE, V. CLEMENT, P. MARTIN, M. T. PELLICER-RUBIO, P. BOUÉ, and R. DE CREMOUX. "Place de la maîtrise de la reproduction dans les schémas de sélection en chèvres laitières." INRAE Productions Animales 21, no. 5 (November 27, 2008): 391–402. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.5.3414.

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La saisonnalité de la reproduction chez les chèvres originaires des latitudes tempérées ou subtropicales peut maintenant être contrôlée par des changements artificiels de la photopériode. Les jours courts stimulent l’activité sexuelle tandis que les jours longs l’inhibent. Ces connaissances ont permis le développement de traitements photopériodiques pour le contrôle de l’activité sexuelle des chèvres et des boucs. En France, l’Insémination Artificielle (IA) des chèvres joue un rôle central pour le contrôle des appariements et l’organisation du schéma de sélection. La plupart des chèvres sont inséminées en dehors de la saison sexuelle avec de la semence cryoconservée, après induction hormonale de l’ovulation seule ou en combinaison avec des traitements photopériodiques. Les taux de fertilité sont en moyenne de 65%. De nouvelles stratégies sont en cours d’expérimentation. Elles sont basées sur l’IA après un effet mâle pour réduire l’utilisation des hormones. Le schéma de sélection s’est développé grâce aux progrès de l’IA. Ce schéma repose sur des plans d’accouplements entre reproducteurs d’élite, le testage sur descendance en fermes et la diffusion des semences de boucs améliorateurs. Après les caractères laitiers, les caractères fonctionnels sont désormais pris en compte. Actuellement, l’accent est mis sur la morphologie de la mamelle. La résistance à certaines maladies est à l’étude. Outre cette approche de génétique quantitative, de nouvelles perspectives basées sur une approche moléculaire permettront de détecter des gènes économiquement intéressants pour l’élevage caprin.
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Joly, Bernard. "À propos d’une querelle concernant la production artificielle du fer. Les divergences entre Nicolas Lémery et son fils Louis." Revue d'histoire de la pharmacie 103, no. 391 (2016): 375–84. http://dx.doi.org/10.3406/pharm.2016.23176.

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Tapsoba, Mamounata, Théodore P. Bayili, Boureima Traore, Auguste T. Yamboue, and Moussa Zongo. "Induction d’oestrus au moyen du protocole à base de spirale ‶ Progesterone Releasing Intra-vaginal Device ″ dans les élevages bovins de la zone péri-urbaine de Ouagadougou." International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no. 1 (June 8, 2022): 390–99. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i1.33.

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L’insémination artificielle sur oestrus induit constitue une alternative intéressante pour améliorer la production laitière bovine et de contourner aux problèmes de détection de chaleur naturelle. L’objectif de cette étude était de déterminer l’efficacité des traitements d’induction d’oestrus à base de spirale Delta associé à la prostaglandine (PGF2α) et à l’équine chorionic gonadotropin (eCG) et la fertilité après IA dans les élevages de zébu de la zone péri-urbaine de Ouagadougou. L’expérimentation a concerné 156 femelles zébus regroupant des nullipares (n=77) et des multipares (n=79). Elles ont été soumises à un protocole d’induction d’oestrus à base de spirale vaginale Prid® Delta imprégnée de 1,55 ml de progestérone. La pose de la spirale correspondait à la date J0 et suivie d’une Injection Intramusculaire (IM) de 5 ml de PGF2α (enzaproste) au 8ème jour et de 5 ml (en IM) d’eCG au 10ème jour. Le retrait de la spirale est intervenu à J10. Tous les animaux ont été inséminés systématiquement 48 h après l’arrêt du traitement. Le diagnostic de gestation a été réalisé à 60 jours plus tard après l’insémination artificielle par palpation transrectale (PTR). Les taux d’induction et de fertilité ont été respectivement de 100% et de 61,59%. Les paramètres tels que la race, le poids et la parité ont influencé significativement (p ≤ 0,05) la fertilité à l’IA. Le taux de gestation a été de 61,33% pour les Métis, 58,33% pour les zébus Peulh et 42,10% pour les zébus Goudali. Les animaux de poids excédant 300 kg ont donné un taux de gestation de 60,60% contre 44,89% pour les animaux de poids inférieur à 300 kg. Un taux de gestation de 64,51% a été obtenu chez les vaches de parité 2 et 3 contre 74,07% chez celles de parité ≥ 4. L’application du protocole à base de spirale vaginale Prid® Delta associé à la PGF2α et à l’eCG dans les élevages bovins de la zone péri-urbaine de Ouagadougou a été efficace pour l’induction d’oestrus et l’IA. Par ailleurs, il est envisageable avec l’échographie, de suivre l’évolution folliculaire pour déterminer les dates et les qualités des ovulations afin de mieux ajuster les interventions.
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MAGISTRINI, M. "L’insémination artificielle chez les équins." INRAE Productions Animales 12, no. 5 (December 1, 1999): 347–49. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.5.3909.

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EZANNO, Pauline, Sébastien PICAULT, Nathalie WINTER, Gaël BEAUNÉE, Hervé MONOD, and Jean-François GUÉGAN. "Intelligence artificielle et santé animale." INRAE Productions Animales 33, no. 2 (September 15, 2020): 95–108. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.2.3572.

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Mobiliser les approches issues de l’intelligence artificielle (IA) en santé animale (SA) permet d’aborder des problèmes de forte complexité logique ou algorithmique tels que rencontrés en épidémiologie quantitative et prédictive, en médecine de précision, ou dans l’étude des relations hôtes × pathogènes. L’IA peut dans certaines situations faciliter le diagnostic et la détection de cas, fiabiliser les prédictions et réduire les erreurs, permettre des représentations plus réalistes et lisibles par des non informaticiens de systèmes biologiques complexes, accélérer les décisions, améliorer la précision des analyses de risque et permettre de mieux cibler les interventions et d’en anticiper les effets. De plus, les fronts de science en SA engendrent de nouveaux challenges pour l’IA, du fait de la spécificité des systèmes, des données, des contraintes, et des objectifs d’analyse. Sur la base d’une revue de la littérature à l’interface entre IA et SA couvrant la période 2009-2019, et d’entretiens conduits avec des chercheurs français positionnés à cette interface, cette synthèse explicite les grands domaines de recherche en SA dans lesquels l’IA est actuellement mobilisée, comment elle contribue à revisiter les questions de recherche en SA et lever des verrous méthodologiques, et comment des questions de SA stimulent de nouveaux travaux en IA. Après avoir présenté les freins et leviers possibles, nous proposons des recommandations pour se saisir au mieux de l’enjeu que représente cette interface SA/IA.
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Blagna, Seydou, Blami Koté, Madjina Tellah, Ardjoun Khalil Djalal, Jean Ouédraogo, Youssouf Mopaté Logtené, and Hamidou Boly. "Survie et aptitudes des veaux issus de croisements entre Brunes des Alpes et Zébus Peuls dans la région des Cascades au Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 4 (November 25, 2020): 239–46. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31942.

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L’amélioration du potentiel génétique des bovins au Burkina Faso s’appuie sur des programmes de croisements avec des races exotiques par la promotion de l’insémination artificielle (IA) depuis un quart de siècle. Néanmoins, l’adaptation des veaux métis obtenus est controversée aussi bien en élevage périurbain que traditionnel. L’objectif de cette étude a été de déterminer le taux de survie et les aptitudes de métis F1 issus de croisements entre des bovins de races Brune des Alpes et Zébu Peul dans des élevages de la région des Cascades au Burkina Faso. L’étude a été menée sur 142 veaux répartis dans 60 élevages extensifs et semi-intensifs entre octobre 2013 et août 2017. Les animaux ont fait l’objet d’un suivi sanitaire rigoureux et d’une alimentation améliorée grâce à la production locale de fourrages. Le taux de survie des veaux à 42 mois a été estimé à 88 % avec une différence significative (p < 0,05) entre saisons avant sevrage, et entre systèmes d’élevage après sevrage. Au total, 26,76 % des métis F1 ont été atteints de cowdriose, dermatophilose, fièvre aphteuse ou trypanosomoses avant et après le sevrage. Rustiques (82,4 %) avec un rythme cardiaque normal (85,6 %), les croisés ont été dociles et affectueux (64,8 %). Les mâles et les femelles F1 ont été respectivement de potentiels reproducteurs et de véritables conductrices de troupeaux. Les femelles sont d’emblée utilisées pour améliorer la production laitière mais l’utilisation des mâles dans les croisements doit éviter la consanguinité dans les élevages. La survie des métis nécessite un suivi sanitaire permanent et une bonne conduite d’élevage. Cependant, considérant le taux de survie élevé, la bonne adaptation et la docilité des métis, l’IA est en mesure d’améliorer les productions animales bovines au Burkina Faso.
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Sow Dia, F., J. Somda, and Mulumba Kamuanga. "Dynamique des filières laitières en zone sahélienne : cas de l’offre et de la demande du lait en zone agropastorale centre du Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (January 1, 2007): 77. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9980.

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Au Sénégal, comme dans beaucoup de pays de l’Afrique de l’Ouest, le poids des importations de lait et de produits laitiers dans la balance commerciale a fini par faire de l’amélioration de la production laitière locale une priorité. Dans cette perspective, un programme d’insémination artificielle a été lancé en 1994 au Sénégal. Cette étude, initiée dans le cadre du Programme concerté de recherche-développement sur l’élevage en Afrique de l’Ouest (Procordel), a eu pour objectif de mieux comprendre la filière dans le bassin arachidier du Sénégal. Les données ont été collectées auprès de 96 éleveurs, 50 commerçants en produits laitiers et 120 consommateurs, repartis dans les régions de Kaolack et de Fatick. Les résultats ont montré que les modes de production animale tendaient vers l’intensification, avec une réduction des effectifs du fait de la restriction de l’espace pastoral. Dans les deux régions de l’étude, la production laitière des métisses a atteint en moyenne 5,6 L/vache/jour. L’alimentation a été identifiée comme la principale contrainte à la production chez les agroéleveurs, surtout en saison sèche. Le système de commercialisation était caractérisé par un circuit très court. Cette commercialisation était assurée par les femmes qui faisaient face à des contraintes importantes liées à l’insuffisance de l’offre de lait et le manque fréquent de moyens de transport, en particulier dans les zones enclavées. En plus de la faiblesse de l’offre, une quasi- absence d’unités de transformation et de valorisation des produits laitiers dans la région a été observée. A cela s’ajoutait le manque de performance des organisations de producteurs intervenant dans la filière. La demande en produits laitiers devenait cependant de plus en plus importante et diversifiée avec le développement des importations. Elle était corrélée aux niveaux de revenus et aux préférences ou habitudes alimentaire des consommateurs
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Soloviev, Pierre, Guibien Cléophas Zerbo, Djingdia Lompo, Lucien Bakré Yoda, and Dominique Jacques. "Acacia senegal au Burkina Faso : état de la ressource et potentiel productif." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 300, no. 300 (June 1, 2009): 15. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.300.a20411.

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Acacia senegal est une espèce largement répandue dans les zones sèches d¿Afrique. Elle constitue la principale source de production de gomme arabique, un hydrocolloïde utilisé localement ainsi que pour de nombreuses applications industrielles alimentaires ou non. Un inventaire réalisé en 1997 au Burkina Faso a établi une superficie en peuplements naturels de 286 000 ha. Des travaux ultérieurs ont démontré la présence dans ces peuplements d¿espèces apparentées, du sous-genre Aculeiferum (Acacia dudgeoni, Acacia gourmaensis et Acacia laeta). Une actualisation de l¿état des peuplements naturels et artificiels est apparue nécessaire dans le cadre de l¿adaptation de la stratégie de développement de la filière de la gomme arabique. La méthodologie mise en oeuvre a comporté deux phases, la première consistant à identifier les peuplements naturels et artificiels, la seconde à réaliser un inventaire par placettes d¿échantillonnage en vue de caractériser la composition spécifique et la densité des peuplements naturels. L¿étude a abouti à identifier des superficies fort limitées en peuplements naturels et artificiels de A. senegal, ainsi qu¿à constater l¿importance des peuplements naturels de A. laeta et des peuplements mélangés des espèces du sous-genre Aculeiferum. L¿aire naturelle de distribution de A. senegal au Burkina Faso a été précisée et les stations ont été caractérisées. Le potentiel de production de gomme arabique issue de A. senegal s¿établit à environ 25 tonnes/an. En conclusion, l¿accroissement de la production de gomme arabique de A. senegal au Burkina Faso implique l¿établissement de gommeraies artificielles. Un potentiel de production de gommes issues de A. seyal et A. laeta existe. (Résumé d'auteur)
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Bationo, Babou André, Niéyidouba Lamien, Nicole Demers, and Serigne Kandji. "Culture du baobab Adansonia digitata L. (Bombacaceae) en planche maraîchère : une méthode pour simplifier sa récolte et favoriser sa propagation au Sahel." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (March 1, 2009): 79. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20426.

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Le baobab (Adansonia digitata L.) est l'une des principales espèces ligneuses alimentaires des pays sahéliens. Les feuilles et les fruits sont largement consommés. Sa régénération artificielle reste cependant marginale au Sahel. La technique de production maraîchère du baobab développée par le World Agroforestry Centre (Icraf) et les instituts nationaux de recherche agricole du Sahel apparaît comme une alternative pour accroître l'approvisionnement des populations en feuilles de baobab. L'étude entreprise en station et en milieu paysan a pour objectifs d'évaluer la productivité des planches de baobab soumises à différentes techniques de récolte, de suivre le comportement végétatif des plants après exploitation et de tester l'aptitude du baobab à la transplantation. Deux techniques de récolte sont appliquées : la récolte sur pied en épargnant les bourgeons terminaux et la récolte par coupes rases successives à 5 cm du sol. Les essais de transplantation sont réalisés avec trois stades (I, II, III) de développement. Les résultats montrent que le rendement en feuilles dépend de la saison et de la technique de récolte. Un an après la germination, les rendements sont en moyenne de 2 kg/m2 et 0,6 kg/m2 respectivement sur les planches soumises à la récolte sur pied et à la coupe rase. Les plants transplantés au stade III donnent les meilleurs taux de survie et de croissance. La technique de récolte des feuilles sur pied, en épargnant les bourgeons terminaux, permet ainsi d'intensifier la production de feuilles fraîches et de plants vigoureux pour régénérer les parcs agroforestiers. (Résumé d'auteur)
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BRILLARD, J. P., and M. De REVIERS. "L’insémination artificielle chez la poule. Bases physiologiques et maîtrise du taux de fécondation." INRAE Productions Animales 2, no. 3 (July 10, 1989): 197–203. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.3.4413.

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Chez la poule, l’insémination artificielle, exigeante en main d’oeuvre (+ 1,5 UTH par 10 000 reproductrices) et en investissements (+ 10 à 25 %, surtout dûs aux batteries de cages), n’en permet pas moins une réduction significative (- 8 à 10 %) du prix de revient des poussins qui, par ailleurs, sont souvent de meilleure qualité (vigueur et poids à l’éclosion, état sanitaire, vitesse de croissance). Elle connaît donc un regain d’intérêt chez les reproductrices de type chair. L’insémination artificielle permet en effet de réduire le nombre des coqs (2 à 4 pour 100 poules au lieu de 8 à 12 en reproduction naturelle) d’augmenter, pendant la seconde moitié de la période de reproduction, le taux de fécondation des oeufs, d’élever séparément les reproducteurs des deux sexes avec un éclairement et une alimentation adaptés à leurs besoins spécifiques. Des cages collectives (femelles) ou individuelles (mâles) autorisent un rationnement alimentaire plus strict qu’au sol et l’élimination progressive des animaux les moins productifs. Mais la réussite de l’insémination artificielle suppose qu’il y ait collecte fréquente du sperme (1 par jour), ajustement des nombres de spermatozoïdes (100 à 200 millions par dose) et de l’intervalle entre inséminations (en moyenne 7 jours) suivant l’âge et l’origine génétique des poules. De plus, la mise en place du sperme doit être faite pendant la période favorable du cycle ovulatoire, c’est-à-dire au moins 4 h avant ou 4 h après l’oviposition, en raison des contractions utérines qui accompagnent cette dernière et limitent les quantités de spermatozoïdes stockés dans les glandes utérovaginales. Cette réussite nécessite aussi un personnel qualifié, motivé et apte à persévérer dans un travail répétitif et à cadence élevée (par exemple 1 500 inséminations/ jour/personne pendant 40 semaines de suite...).
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SELLIER, N., D. ROUSSELOT-PAILLEY, and M. De REVIERS. "L’insémination artificielle chez l’oie grise des Landes : bilan et perspectives." INRAE Productions Animales 8, no. 2 (April 22, 1995): 127–33. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.2.4119.

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L’insémination artificielle chez l’oie, actuellement peu utilisée, pourrait permettre une amélioration de la productivité numérique de cette espèce. Une série de travaux a été réalisée à la Station Expérimentale des Palmipèdes à Foie Gras, visant à en établir les bases physiologiques et techniques. La méthode de massage dorso-abdominale permet de récolter chez le jars gris des Landes en moyenne 0,3 ml de sperme renfermant 150 millions de spermatozoïdes. L’adaptabilité des mâles à la méthode de collecte est très variable (environ 40 % de "mauvais " ou non-donneurs), mais un tri en début de saison de reproduction pourrait permettre de ne garder que les bons donneurs. La fréquence de prélèvement optimale des mâles se situe entre 3 et 5 fois par semaine. Les taux de fécondation les plus élevés (80 % oeufs fécondés / incubés) sont obtenus avec deux inséminations hebdomadaires (espacées de 72 ou 96 heures) de 20 millions de spermatozoïdes. L’emploi d’un dilueur adapté semble améliorer le pouvoir fécondant des spermatozoïdes, ce qui permet d’envisager la réduction du nombre de spermatozoïdes inséminés. Par ailleurs, la semence peut être diluée et conservée pendant une courte période (6 heures) sans entraîner une chute importante du taux de fertilité (71,9 % vs 75,1 % avec du sperme frais non dilué), assouplissant ainsi les "chantiers" d’insémination artificielle.
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DUCOS, A., H. M. BERLAND, A. PINTON, A. SEGUELA, C. BRUN-BARONNAT, A. DARRE, and R. DARRE. "Contrôle chromosomique des populations animales d’élevage." INRAE Productions Animales 13, no. 1 (February 18, 2000): 25–35. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.1.3765.

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Le contrôle chromosomique des populations animales d’élevage a pour principal objectif d’éviter la mise à la reproduction d’individus porteurs d’anomalies chromosomiques, ces dernières étant généralement responsables d’une dégradation importante des performances de reproduction des individus porteurs ou de leurs conjoint(e)s. La quasi totalité des contrôles (2000/an environ pour l’ensemble des espèces) est réalisée, en France, au sein de l’Unité mixte de recherches INRA-ENVT de Cytogénétique des Populations Animales. Ils concernent principalement les espèces bovine et porcine. Chez les bovins, la recherche de translocation Robertsonienne 1/29 concerne 1000 individus par an environ, dont 90 % sont des jeunes taureaux candidats à l’insémination artificielle. La fréquence de l’anomalie est la plus élevée en race Blonde d’Aquitaine (10,9 %). L’application des techniques de coloration en bandes des chromosomes a permis de mettre en évidence quatre anomalies chromosomiques nouvelles dans cette espèce. Chez le porc, environ 650 contrôles sont effectués annuellement. 80 % sont réalisés avant la mise à la reproduction des animaux et concernent majoritairement les verrats de race pure utilisés dans les centres d’insémination artificielle. Deux systèmes complémentaires de détection des verrats hypoprolifiques complètent le dispositif de contrôle. Vingt-quatre anomalies chromosomiques nouvelles ont été diagnostiquées dans ce laboratoire pour l’espèce porcine, dont 10 au cours des trois dernières années.
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Ginot, V., Y. Souchon, and P. Roger. "Impact de l'élévation artificielle de température induite par le fonctionnement du Centre Nucléaire de Production Electrique du Bugey (fleuve Rhône) sur les communautés de poissons." Hydroécologie Appliquée 8 (1996): 1–33. http://dx.doi.org/10.1051/hydro:1996001.

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BOCQUIER, F., B. LEBOEUF, J. ROUEL, and Y. CHILLIARD. "Effet de l’alimentation et des facteurs d’élevage sur les performances de reproduction de chevrettes Alpines." INRAE Productions Animales 11, no. 4 (October 3, 1998): 311–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.4.3957.

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Nous avons étudié, au cours de quatre essais sur des chevrettes Alpine (n=158), les facteurs de variation de la réussite à l’insémination artificielle (IA) réalisée à un âge moyen de 8 mois. Après une mise en lot sur des critères zootechniques, les régimes expérimentaux ont été appliqués depuis 25 jours avant et jusqu’à 21 jours après l’IA. En moyenne, en régime Bas, les croissances des chevrettes ont été diminuées (- 22 g/j), alors qu’elles se sont maintenues (+ 54 g/j) lorsque les chevrettes étaient en régime Haut. L’évolution des métabolites plasmatiques juste après la mise en régime est conforme aux résultats de la bibliographie. En revanche, l’application des traitements hormonaux (pose des éponges vaginales 11 jours avant IA) provoque des évolutions qui ne sont plus conformes à l’état nutritionnel des animaux. Chez les chevrettes en alimentation restreinte, le pic pré-ovulatoire de LH apparaît en moyenne plus tôt que chez les chevrettes correctement alimentées (28,6 h vs 31,3 h ; P<0,003). La variabilité du moment d’ovulation est vraisemblablement à l’origine des écarts de fertilité après IA. Lorsque le pic de LH apparaît tardivement, le taux d’ovulation est plus élevé. La fertilité après IA est en moyenne positivement reliée au poids vif avant la mise en régime. L’amélioration de la réussite à l’insémination artificielle des chevrettes de renouvellement passe par un contrôle simultané des facteurs zootechniques (mise en lots) et de l’alimentation (niveau alimentaire).
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Manning, Joseph G., and Paul Schor. "État et irrigation en Égypte antique." Annales. Histoire, Sciences Sociales 57, no. 3 (June 2002): 611–23. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900034594.

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RésuméCet article examine la relation entre l’irrigation et l’État égyptien antique. En dépit de la persistance de la théorie de la «bureaucratie hydraulique» développée par Engels, Marx et Weber, et de ce que l’on appelle «l’hypothèse hydraulique» de Karl Wittfogel, il n’y a pas de preuve permettant d’établir un lien entre le système d’irrigation et une forme de gouvernement «despotique» en Égypte antique. L’idéologie du contrôle centralisé doit être soigneusement distinguée de la nature diffuse du contrôle de l’eau. Durant la plus grande partie de son histoire, l’exploitation de la terre, en Égypte, a été organisée dans des bassins inondables, et l’irrigation suivait le rythme annuel des crues et des décrues. Ce n’est qu’à partir du XIXesiècle de notre ère, avec le concept d’un État mercantiliste, et la construction des barrages et déversoirs, la culture de rapport du coton et de la canne à sucre, que l’irrigation permanente est devenue courante. L’irrigation artificielle est connue depuis les débuts de l’État unifié (environ 3100 avant J.-C.) mais, jusqu’à l’époque romaine, son utilisation était limitée. Cette interprétation générale de la relation entre irrigation et État a des conséquences importantes pour la compréhension de l’intervention ptolémaïque en Égypte. En dépit de la planification centrale antérieure et du modèle étatiste des Ptolémées, l’économie agraire, comme cela avait été le cas auparavant, était à cette période plus réactive que planifiée, et elle se fondait sur la structure administrative locale pour taxer la production agricole.
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Lahatte, Agenor, and Frédérique Sachwald. "Dynamique des publications scientifiques : le cas de la France." Futuribles N° 458, no. 1 (December 12, 2023): 53–71. http://dx.doi.org/10.3917/futur.458.0053.

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Alors que les attentes à l’égard de l’innovation vont croissant dans le contexte des transitions numérique et écologique, et que le regain de tensions à l’échelle internationale ravive la concurrence en matière de recherche, où en est la France ? Forte de son héritage et longtemps placée sur le devant de la scène scientifique mondiale, sa production de connaissances apparaît désormais moins dynamique dans un contexte international très exigeant. Au niveau national, les chercheurs expriment des difficultés, que ce soit du fait d’un manque de moyens ou face aux complexités du système de recherche. Agénor Lahatte et Frédérique Sachwald, s’appuyant sur les tout derniers chiffres de l’Observatoire des sciences et techniques (OST), proposent un coup de projecteur sur la dynamique comparée des publications scientifiques du pays depuis 2010. Après avoir rappelé comment sont effectuées ces comparaisons internationales, ils analysent différents indicateurs au niveau agrégé et par discipline. Si les chiffres globaux ne sont pas alarmants en soi (avec des publications en croissance), la dynamique observée mérite attention. Le pays apparaît modérément engagé dans des domaines en forte croissance à l’échelle mondiale (comme l’informatique dont l’intelligence artificielle) ou les plus importants en nombre de publications (chimie). Symétriquement, son engagement reste marqué dans des disciplines relativement peu dynamiques (physique, mathématiques, sciences humaines). Ces évolutions combinées pourraient se traduire par un éloignement de domaines stratégiques. Les tendances observées dans cet article devront être précisées par des analyses complémentaires, mais elles permettent déjà de mieux appréhender la trajectoire du système de recherche de la France et de contribuer aux réflexions sur son évolution. S.D.
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Haras Nationaux, INRA. "Dossier : Actualités en reproduction équine." INRAE Productions Animales 12, no. 5 (July 1, 1999): 331–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.5.3901.

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La production par une jument d’un poulain par an (et pourquoi pas de plusieurs) avec de la semence d’étalon conservée fraîche ou congelée est l’objectif appliqué actuel de toutes les équipes de recherche. Un point très détaillé en français dans les domaines couverts par notre équipe avait été fait en 1992 dans le Recueil de Médecine vétérinaire (volume 168, numéro 11-12). Depuis, de nouvelles connaissances ou de nouvelles technologies ont vu le jour et il était important de les mettre à disposition d’un large public. Le phénomène d’inactivité ovarienne en début de saison de monte limite le nombre de cycles disponibles pour une fécondation. Des études ont permis d’affiner les conditions des traitements lumineux. Des traitements longs à la mélatonine pourraient permettre de décaler le rythme annuel de reproduction de la jument. Le développement des follicules ovariens est sous le contrôle des hormones hypophysaires FSH et LH, et de facteurs intra-ovariens dont l’inhibine. La maîtrise du nombre d’ovulations permettrait (lors de transfert embryonnaire) de pouvoir produire plusieurs embryons par cycle. Des essais de superovulation sont en cours qui utilisent la FSH exogène ou l’effet anti-inhibine. La maîtrise du moment de l’ovulation peut se faire classiquement par injection d’hCG mais aussi par l’administration de GnRH sous forme d’implant. La croissance et la maturation du follicule dominant, ainsi que l’atrésie des follicules dominés, se caractérisent par l’évolution intrafolliculaire de nombreux paramètres biochimiques dont certains ont été étudiés dans l’espèce équine. Sous échographie transvaginale, le rythme de collecte d’ovocytes le plus rentable est de deux ponctions au cours du même cycle (l’une en fin de croissance folliculaire, l’autre en phase lutéale) : on obtient alors 9 ovocytes en moyenne. La maturation de l’ovocyte provient des maturations respectives du cumulus, du cytoplasme et du noyau. La fécondation in vitro (FIV) n’ayant donné que des résultats moyens, d’autres techniques de reproduction assistée sont utilisées actuellement avec plus de succès au laboratoire : 1) la mise en place de l’ovocyte d’une donneuse soit dans l’oviducte (GIFT), soit dans le follicule (TOIF) d’une receveuse, avec fécondation de la receveuse et 2) l’introduction d’un spermatozoïde directement dans le cytoplasme de l’ovocyte (ICSI). Le transfert d’embryon est utilisé sur le terrain en France principalement pour des juments de haute valeur génétique. Le transport d’embryons frais, mais surtout l’utilisation de la congélation des embryons, simplifieront la gestion entre donneuse et receveuse. La baisse de fertilité observée sur les étalons de plus de 15 ans est fréquemment associée à un profil hormonal caractéristique (niveau basal de FSH et de LH élevé, d’oestrogène diminué, niveau de testostérone non modifié après induction à l’hCG). Ceci pourrait être la conséquence d’une dégénérescence testiculaire primaire. L’évolution des travaux sur la conservation de la semence a abouti à la mise au point de deux grands types de techniques d’insémination : en semence fraîche et en semence congelée. Les résultats obtenus dans les Haras Nationaux montrent que la fertilité par cycle est proche pour les deux types de technique. L’effort doit porter en partie sur des améliorations techniques qui permettront d’avoir accès à toutes les techniques de conservation et d’insémination artificielle pour la grande majorité des étalons. Les critères d’évaluation de la qualité de la semence utilisés en routine (examen de la mobilité essentiellement) ne donnent pas entièrement satisfaction puisqu’ils ne permettent pas de "détecter" certains étalons dont la fertilité se révèle réduite. La plupart des fonctions cellulaires des spermatozoïdes peuvent être explorées : intégrité des membranes, de l’acrosome, stabilité de la chromatine, activité des mitochondries... Cependant les relations de ces fonctions entre elles et, surtout, les relations entre ces fonctions et la fertilité ne sont pas encore très claires.

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