Статті в журналах з теми "Presque accident"

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Bichet, E., and A. Bioy. "Hyperactivité et fibromyalgie : la douleur en relais ? À propos d’un cas clinique." Douleur et Analgésie 32, no. 4 (December 2019): 210–13. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2020-0079.

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Анотація:
Cet article met en avant la spécificité de l’expression douloureuse dans le syndrome fibromyalgique en lien avec les questionnements identitaires, en l’illustrant par une situation clinique, celle d’Émilie. La patiente s’est en effet structurée au prix d’une hyperactivité, permettant de pallier un équilibre psychique difficile. À la suite d’un accident de la voie publique, cette hyperactivité est empêchée, précipitant la patiente dans un risque majeur d’effondrement dépressif de décompensation d’une histoire de vie chaotique. C’est alors que la douleur chronique va venir prendre le relais afin de maintenir l’économie psychique du sujet, avec un fonctionnement presque analogue à ce qu’avait permis l’hyperactivité. Ce travail interroge l’apparition de la pathologie qui peut être envisagée comme un moment charnière dans le parcours de vie afin d’élaborer certaines angoisses jusque-là évitées.
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Lironi, Battaglin, Thévenod, and Le Coultre. "Unpowered Scooter Trauma or the Beginning of an Epidemic." Swiss Surgery 7, no. 4 (August 1, 2001): 180–83. http://dx.doi.org/10.1024/1023-9332.7.4.180.

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Анотація:
But: Au vu de l'accroissement important et récent des accidents secondaires à la pratique de la trottinette à Genève et de l'absence de données disponibles sur ce sujet dans la littérature, nous avons décidé de lancer une étude exploratoire prospective afin de déterminer les circonstances et les conséquences de ce type de traumatisme. Méthode: du 15 ao-t au 15 novembre 2000, chaque enfant se présentant aux urgences de l'Hôpital des Enfants pour un traumatisme survenu lors de la pratique de la trottinette a été interrogé de façon détaillée sur les circonstances de son accident et la pratique générale de cette activité. Toutes les lésions et leurs traitements ont été répertoriés. Résultats: 32 enfants (16G/16F) avec une moyenne d'âge de 10.1 +/- 2.3 ans ont été interrogés . Huit enfants (25% de l'effectif) ont du être hospitalisés. La chute a été provoquée pour des raisons directes ou indirectes de matériel dans près de la moitié des cas. Aucun enfant ne portait d'équipement de protection lors de l'accident. La fracture est la lésion la plus fréquemment rencontrée (55%) et le membre supérieur a été concerné par presque la moitié des lésions. Quatre fractures ont nécessité une ostéosynthèse (12.5%) et 6 traitements (19%) une anesthésie générale. Les lésions semblent plus graves et leur prise en charge plus lourde en cas de déplacement qu'en cas de jeu lors de l'accident. Conclusion: Notre courte étude permet une première illustration du danger potentiel de la trottinette et de sa confrontation avec la voie publique, prévue ni par la loi, ni par les caractéristiques du produit, qui peut conduire parfois à des traumatismes graves.
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Quivoron, Lola, Antonia Buresi, and Vannina Micheli-Rechtman. "Rodéo." Figures de la psychanalyse 45, no. 1 (April 23, 2024): 197–212. http://dx.doi.org/10.3917/fp.045.0197.

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Анотація:
Cet entretien avec la réalisatrice Lola Quivoron et l’actrice et co-scénariste Antonia Buresi s’inscrit dans mon projet de faire dialoguer des personnalités du monde de la culture et de l’art avec des psychanalystes, afin de montrer la créativité et la modernité de la psychanalyse, toujours à l’écoute des mouvements contemporains. Lola Quivoron a réalisé Rodéo , son premier long métrage, avec l’actrice et co-scénariste Antonia Buresi. Il est sorti en salle en 2022, puis en dvd et sur les plates-formes en 2023. Il a concouru dans la sélection « Un certain regard » au Festival de Cannes en 2022. Ce film aborde les thèmes du cross-bitume, des banlieues, mais aussi du masculin, du féminin et du genre : « Julia vit de petites combines et voue une passion dévorante, presque animale, à la pratique de la moto. Un jour d’été, elle fait la rencontre d’une bande de motards adeptes du cross-bitume et infiltre ce milieu clandestin, constitué majoritairement de jeunes hommes. Avant qu’un accident ne fragilise sa position au sein de la bande… » Les questions soulevées par ce film sont abordées avec beaucoup de modernité et de créativité et cet entretien met en lumière la finesse des personnages et du processus de réalisation et d’écriture.
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Oba, Masato, Kuniyuki Teruya, Makoto Yoshitsugu, and Takeshi Ikeuchi. "ICONE23-1213 DEVELOPMENT OF INSTRUMENTATION SYSTEMS FOR SEVERE ACCIDENTS : 4. NEW ACCIDENT TOLERANT IN-CONTAINMENT PRESSURE TRANSDUCER FOR CONTAINMENT PRESSURE MONITORING SYSTEM." Proceedings of the International Conference on Nuclear Engineering (ICONE) 2015.23 (2015): _ICONE23–1—_ICONE23–1. http://dx.doi.org/10.1299/jsmeicone.2015.23._icone23-1_110.

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Näf, Anton. "Le malentendu: le cas normal de la compréhension humaine?" Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 44 (March 23, 2016): 115–29. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2016.535.

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Анотація:
Le présent article plaide pour une vision de la communication humaine dans laquelle les malentendus ne représentent pas – comme pour le linguiste Antoine Culioli – le cas normal, mais plutôt des accidents de parcours somme toute assez rares voire exceptionnels. Nous essayons de démontrer que presque tous les malentendus potentiels – dus au caractère ambigu et vague de la langue – sont neutralisés, notamment par la redondance et par la situation de communication dans laquelle ils s’insèrent
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Amouzou, K. S., Y. A. Agbobli, T. E. Kouevi-Koko, S. Dadjo, G. Edorh, A. Morou, L. Mensah, and A. Abalo. "Blood and body fluids exposure (BBFE): knowledge, attitudes, and practices of healthcare workers involved in plastic and reconstructive surgery in Togo." Journal de la Recherche Scientifique de l’Université de Lomé 26, no. 1 (April 18, 2024): 99–107. http://dx.doi.org/10.4314/jrsul.v26i1.17.

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Анотація:
Introduction: Infectious risk among healthcare workers (HCW) is a major public health issue, especially in developing countries. This study aimed to assess the awareness and frequency of blood and body fluids exposure (BBFE) among HCW involved in plastic surgery care activities at the Sylvanus Olympio Teaching Hospital (SOTH). Methods: A cross-sectional study was conducted among HCW involved in plastic and reconstructive activity in the SOTH from July 1st to September 30th, 2021. The study assessed knowledge, attitude, and practices of HCW in face of BBFE using an anonymous selfadministered questionnaire. Results: A total of 101 participants were included (participation rate 91.8%). There was a male predominance; Male/Female ratio was 3.04. The mean age was 35.5 ± 9.4 years [18-65 years]. More than half of the responders (68.32%) had less than 5 years’ professional experience. Nearly half (48.5%) of the participants already had at least one BBFE. Sting (84.2%), blood splashes (61.4%), or skin cuts (54.5%) were the main mechanisms of occurrence. HIV was the most known hazard mentioned by 99/101 (98%) of the participants followed by hepatitis B (91/101, 90%), hepatitis C (71/101, 70%). No participant mentioned the risk of syphilis, Human Papilloma Virus (HPV), or COVID-19 infection. The approach towards the relative measures to be taken including accident declaration were unsatisfactory. Conclusion: The results of this study highlighted the seriousness of BBFE among HCW involved in plastic and reconstructive activities in the SOTH. There is a need for training and information to increase the awareness and knowledge among this specific staff and by extension among all the technical staff in the SOTH. Introduction : Les risques d’infection chez les professionnels de santé constituent un problème de santé publique particulièrement dans les pays en voie de développement. Cette étude a eu pour but d’évaluer les connaissances, attitudes et pratiques par rapport aux accidents avec exposition au sang ou aux produits sanguins (AES) du personnel impliqué dans les activités de chirurgie plastique et reconstructive au Centre Hospitalier Universitaire Sylvanus Olympio (CHU SO). Méthode : Une étude transversale a été menée auprès du personnel impliqué dans les activités de chirurgie plastique et reconstructrice du CHU SO dans la période du 1er Juillet au 30 septembre 2021. Les connaissances, attitudes, et pratiques du personnel face aux AES a été évaluées par un questionnaire rempli de façon anonyme. Résultats : Un nombre de 101/110 participants (91,8%) ont répondu au questionnaire et ont été inclus dans l’étude. Il y avait une prédominance masculine avec une sex-ration de 3/1. L’âge moyen des participants était de 35,5 ± 9,4 ans avec des extrêmes de 18 et 65 ans. Plus de la moitié des participants (68,32%) avait une expérience professionnelle de moins de 5 ans. Presque la moitié des participants (48,5%) ont déjà été victime au moins une fois d’accident avec exposition au sang ou aux liquides biologiques. Les piqûres (84,2%), les éclaboussements de sang (61,4%), les lacérations cutanées (54,5%) étaient les mécanismes les plus fréquents. L’infection à HIV était le risque le plus connu mentionné par 99/101 (98%) des participants suivis de l’infection à hépatite B (91/101, 90%), et hépatite C (71/101, 70%). Aucun des participants n’a mentionné le risque de contamination par la syphilis, le Human Papilloma Virus (HPV), ou la COVID-19. Les connaissances des premières mesures à prendre ainsi que la déclaration de l’accident étaient insuffisantes chez la majorité des participants. Conclusion : Les résultats de cette étude montrent un déficit de connaissance d’attitudes et de pratiques du personnel impliqué dans les activités de chirurgie plastique et reconstructrice au CHU SO. Il en sort la nécessité de former ce personnel et par extension tout le personnel du CHU SO sur les AES.
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Poznanski, Thaddée. "Loi modifiant la loi des accidents du travail." Commentaires 22, no. 4 (April 12, 2005): 558–65. http://dx.doi.org/10.7202/027838ar.

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Le Bill 79 modifiant la Loi (québécoise) des accidents du travail a été sanctionné le 12 août 1967 et est entré en vigueur le même jour, mais plusieurs dispositions essentielles de la nouvelle loi ne prennent effet qu'à compter du 1er septembre 1967. Les changements principaux apportés par ce Bill concernent l'amélioration des prestations versées aux accidentés et à leurs survivants; ceci non seulement pour les accidents qui surviendront à compter du 1er septembre 1967, mais aussi celles versées présentement pour les accidents antérieurs à cette date. Mentionnons, cependant, que pour les accidents survenus à compter du 1er septembre 1967 la limite du salaire annuel compensable est haussée à $6,000, cette limite n'étant avant cette date que de $5,000 et cela à partir du 1er janvier 1960 ($4,000 à partir du 1er janvier 1955, $3,000 à partir du 1er février 1952, $2,500 à partir du 1er juillet 1947 et $2,000 depuis 1931 — l'année d'entrée en vigueur de la Loi des accidents du travail). Pour saisir l'importance de la modification du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000, on peut mentionner qu'en 1966 presque 40% des accidentés ayant droit à une prestation pécuniaire ont eu un salaire dépassant la limite de $5,000, et dans quelques classes de risque le pourcentage en question dépasse 75% (par exemple: aciéries, etc.). Pour les accidentés d'avant le 1er septembre 1967 le salaire compensable reste le même que lors de l'accident (« gains moyens pendant les douze mois précédant l'accident si son emploi a duré au moins douze mois, ou de ses gains moyens au cours de toute autre période moindre pendant laquelle il a été au service de son employeur »),avec les limites alors en vigueur, même si le salaire effectif de l'accidenté (calculé de la manière précitée) dépassait la limite en question. Mais déjà lors de la revalorisation des rentes effectuée en 1964 (avec effet du 1er octobre 1964) on a tenu compte, dans une certaine mesure, des modifications successives du plafond et les pourcentages ajoutés aux montants des rentes des accidentés d'antan sont basées justement sur l'échelle de ces plafonds et leurs relations. Toutefois, dans l’intention de vouloir couvrir la capitalisation des majorations dues à la revalorisation par le fonds disponible, on s'est vu obligé de n'accorder que 40% de l'augmentation; ainsi, par exemple, pour les accidents des années 1931-1947, quand la limite des salaires compensables était de $2,000 par année, la revalorisation accordée en 1964 était de 60%, tandis que le plafond a augmenté de 150%, à savoir de $2,000 à $5,000; de la même façon, les rentes pour les accidents survenus entre le 30 juin 1947 et le 1er février 1952 ont été augmentées de 40% et celles pour les accidents survenus entre le 31 janvier 1952 et le 1er janvier 1955 de 27% et celles des années 1955-1959 de 10%. La revalorisation prévue présentement, par le Bill 79, est basée sur d'autres principes que celle effectuée en 1964. En premier lieu, il est à noter que lors de la revalorisation en 1964 on n'a pas tenu compte, du moins explicitement, du fait que les rentes des bénéficiaires dont les accidents datent d'avant 1956 sont calculées d'après un taux inférieur à 75% présentement (à partir du 1er janvier 1956) applicable pour l'incapacité permanente totale (et des taux proportionnels en cas d'incapacité permanente partielle), à savoir selon un taux de 66 2/3% pour les accidents survenus de 1931 au 31 janvier 1952 et selon le taux de 70% du 1er février 1952 au 31 décembre 1955. On peut toutefois signaler que les montants des rentes revalorisées en 1964 selon les pourcentages consignés à l'art. 38 de la loi (donc de 40% à 10% selon l'année de l'accident) sont, dans tous les cas, supérieurs aux montants théoriques provenant d'un ajustement hypothétique selon le taux de 75%. En passant, il est à mentionner que dans les autres provinces canadiennes le seul ajustement effectué à date, c'est de recalculer les rentes en les basant sur le taux de 75%. * La revalorisation prévue par le Bill 79 tient compte de trois facteurs. En premier lieu, la majoration de la rente ne part pas du montant initial de la rente, mais de celui augmenté par la revalorisation de 1964. Le deuxième facteur amène toutes les rentes au taux de 75%, expliqué plus haut. Le troisième facteur tient compte du changement de l'indice du coût de la vie entre la date de l'octroi de la rente (date de l'accident) et l'année 1966, avec correction que la rente ainsi ajustée, d'après le coût de la vie, ne soit pas inférieure à celle d'après le principe du taux de 75%. Voici donc la table des majorations prévue par le Bill 79 (annexe A), applicable aux rentes payables le 30 septembre 1967, donc déjà augmentées, le cas échéant d'après la revalorisation de 1964. ANNEXE "A" A LA LOI Année de l'accident Taux de majoration 1931 -1939 40 % 1940 34 % 1941 26 % 1942 21 % 1943 19 % 1944 18 % 1945 7 % 1946 14 % 1947 -1951 12.5 % 1952 -1954 7.14 % 1955 10 % 1956 9 % 1957 5 % 1958 2.2 % 1959 1.1 % 1960 10 % 1961 9 % 1962 8 % 1963 6 % 1964 4 % 1965 2 % Cette échelle des majorations selon l'année de l'accident nécessite, peut-être, quelques explications par des exemples suivants: a) Les rentes provenant des accidents survenus après le 1er janvier 1960, n'étaient pas revalorisées en 1964. D'après l'échelle maintenant adoptée, elles seront majorées selon un taux de 2% par année écoulée depuis l'année de l'accident jusqu'à 1966. b) Les rentes provenant des accidents de la période 1955-1959 ont été revalorisées en 1964 de 10%; pour tenir compte de l'indice du coût de la vie, l'échelle prévoit des augmentations allant de 1.1% à 10% selon l'année de l'accident. c) Les rentes provenant des accidents de la période 1952-1954 ont été revalorisées en 1964 de 27%; après la revalorisation d'un tel pourcentage, les rentes sont déjà plus élevées que d'après l'indice du coût de la vie; l'échelle du Bill prévoit donc pour ces rentes un ajustement de 70% à 75%, c'est-à-dire une majoration de 7.14%. d) Les rentes provenant des accidents de la période 1948-1951 ont été revalorisées en 1964 de 40%; maintenant, d'après le Bill 79, elles sont majorées de 12.5% pour tenir compte de la relation de 75% à 66 2/3%. e) La même chose s'applique aux rentes provenant de la première moitié de l'année 1947, revalorisées en 1964 de 60%. f) Pour les rentes provenant des accidents d'avant le 1er janvier 1947, l'échelle du Bill 79 prévoit une majoration selon l'indice du coût de la vie, car un ajustement de 66 2/3% à 75% serait inférieur. En plus de la revalorisation des rentes aux accidentés, tel que décrit plus haut, le Bill 79 prévoit une majoration substantielle des rentes aux survivants; ces rentes sont, en principe, indépendantes du salaire compensable de l'ouvrier — victime d'un accident. D'après le Bill 79 les rentes mensuelles versées aux veuves (ou veufs invalides) seront portées de $75 à $100, donc une majoration de 33 1/3%. Les rentes pour les enfants seront portées de $25 à $35 par enfant, donc une majoration de 40%, et les rentes aux orphelins de père et de mère de $35 à $55. Mentionnons, en passant, que lorsque de la revalorisation en 1964 des rentes aux accidentés, les montants des rentes aux survivants n'ont pas été modifiés; la rente de veuve au montant de $75 existe depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement à cette date elle était de $40 de 1931 à 1947 et de $45 durant la période 1947-1954). De même les rentes pour les enfants au montant de $25 et $35 aux orphelins existent depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement elles étaient de $10 resp. $15 durant la période 1931-1947 et de $20 resp. $30 durant la période 1947-54). Il est à remarquer que dans tous les cas le montant des rentes était fixé selon la date du paiement (de l'échéance) quelle que soit la date de l'accident. La loi prévoit à l'art. 34, par. 10 qu'en principe, le total des rentes mensuelles payées au décès d'un ouvrier, ne peut excéder 75% de son salaire compensable et, le cas échéant, les rentes sont réduites proportionnellement. Cependant la rente mensuelle minimum payable à une veuve (ou un veuf invalide) avec un seul enfant est fixée d'après le Bill 79 à $135 en prévoyant ainsi une augmentation de la situation précédente de $35; pour une veuve avec deux enfants la rente est portée de $125 à $170 (une augmentation de $45) et pour une veuve avec plus de deux enfants de $150 à $205 (une augmentation de $55). S'il y a plus que deux enfants admissibles à ces rentes (donc âgés de moins de 18 ans ou aux études ou invalides) le montant à la veuve (y compris pour les enfants) peut excéder le dit montant de $205 par mois lorsque le salaire mensuel de la victime dépasse $273.33 (car 75% de $274 est de $205.50). Le Bill 79 en majorant les rentes en cours payables aux survivants des victimes des accidents survenus avant le 1er septembre 1967, prévoit une augmentation identique aux rentes qui seront accordées aux survivants des victimes des accidents survenus à compter du 1er septembre 1967. En outre, le Bill stipule que l'allocation spéciale payable à la veuve (ou à la mère adoptive) en plus des dépenses encourues pour les funérailles de l'ouvrier, devient $500 au lieu de $300. Une autre amélioration des prestations provient du fait que dorénavant les rentes accordées dans le cas d'incapacité permanente (totale ou partielle) seront versées jusqu'à la fin du mois durant lequel décède un tel rentier. D'après le texte précédent l'ouvrier n'a droit à sa rente que « sa vie durant »; ainsi les rentes exigibles pour le mois dans lequel a eu lieu le décès n'étaient payables (à la succession) que proportionnellement selon le nombre de jours qu'il a vécus (il est à mentionner à cette occasion que la loi parle toujours de la « rente hebdomadaire » quoique ces rentes sont versées en termes mensuels). La modification à ce propos est d'ailleurs conforme aux principes du Régime de rentes où on stipule que « le paiement d'une prestation est dû au début du mois, mais il est versé à la fin de chaque mois pour le mois écoulé ». En parlant des rentes aux victimes des accidents, il peut être intéressant de signaler que la très grande partie de ces rentes sont: payées pour l'incapacité partielle; ainsi selon l'état au 31 décembre 1966 le nombre des rentiers dont l'incapacité ne dépasse pas 20% est d'environ 63% du total et même la proportion de ceux avec une incapacité ne dépassant pas 50% est de 91%. Le degré moyen d'incapacité s'élevait à 24.4%. Parmi d'autres modifications apportées par le Bill 79, on peut mentionner l'article qui couvre le cas d'aggravation d'un mal d'un accidenté du travail. L'amendement prévoit que dans de tel cas la compensation pour l'incapacité temporaire ou permanente sera basée sur le salaire de l'ouvrier au moment de l'aggravation (rechute, etc.) si celle-ci survient plus que trois (3) ans après cet accident, bien entendu lorsque ce salaire est plus élevé que ceux qui ont servi de base pour établir la compensation antérieure. Dans le passé ce délai était de 5 ans. Une autre modification, inspirée celle-ci par la Loi sur le Régime de rentes, prévoit que la CAT peut déclarer morte une personne disparue à la suite d'un accident survenu par le fait ou à l'occasion du travail, dans les circonstances qui font présumer son décès et reconnaître, la date de l'accident (ou la disparition) comme date de son décès, et par le fait même, de verser aux survivants les prestations requises. Une disposition spéciale du Bill 79 concerne le cas de pneumoconiose (silicose et amiantose); d'après la nouvelle teneur de l'article en question la CAT peut accepter une réclamation à cette fin, aussi si la pneumoconiose « est accompagnée d'une autre complication »; dans le passé il existait justement la restriction que la pneumoconiose ne soit « accompagnée d'aucune complication » (art. 108 de la Loi) pour avoir droit à une compensation. Enfin un article du Bill 79 donne droit aux compensations à toute personne qui serait blessée ou tuée alors qu'elle accompagne un inspecteur des mines, en vertu de la Loi des mines, même si c'est un travail d'occasion ou étranger à l'industrie de l'employeur, lesquels cas, règle générale, ne donnent droit aux compensations. De la revalorisation des rentes en cours vont profiter en 1967 environ 15 mille bénéficiaires (soit accidentés ou atteints de maladie professionnelle) et l'augmentation des rentes atteindra $62,500 par mois ou $750,000 par année; cela fait en moyenne environ 10% des montants versés avant la revalorisation. En ce qui concerne les rentes aux veuves leur nombre est d'environ 2,300, tandis que le nombre d'enfants admissibles atteint environ 3,800 (y compris les orphelins de père et de mère, ainsi que les étudiants au dessus de 18 ans et les enfants-invalides). L'article 5 du Bill 79 prévoit que l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux accidentés découlant de la revalorisation incombe au fond d'accident ou à l'employeur de la même manière que celle de la rente de base; une disposition semblable se trouvait dans l'amendement de la Loi lors de la revalorisation en 1964. Par contre le Bill 79 ne dit pas explicitement à qui incombe l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux survivants décrétée par ce Bill. On peut toutefois déduire de l'art. 3 de la Loi que l'employeur dont l'industrie est mentionnée dans la cédule II (et qui par le fait même ne contribue pas au fond d'accident) est personnellement tenu de payer la compensation y compris la modification accordée par le Bill. D'autre part, toujours d'après le même article, l'employeur dont l'industrie est mentionnée à la cédule I, n'est pas responsable de payer la compensation, étant tenu de contribuer au fond d'accident de la Commission. La réforme des prestations aux survivants (des rentes et de l'allocation spéciale) causées par les accidents mortels, survenus après le 31 août 1967 aura comme conséquence l'augmentation des dépenses de la Commission et, par ricochet, amènera une faible majoration des taux de contributions. On estime que de ce fait le taux futur de contribution devra subir une majoration moyenne de moins de 4% du taux actuel; la majoration ne sera pourtant uniforme dans toutes les classes d'industries ou de risque; elle dépendra, en premier lieu, de la fréquence des accidents mortels qui est très différente selon la classe. Par contre, la revalorisation des rentes aux accidentés et l'ajustement de celles aux survivants (veuve, enfants)en cours en septembre 1967, c'est-à-dire causées par les accidents antérieurs soulève un problème particulier. Lors de la revalorisation des rentes en 1964, la Commission pouvait se prévaloir d'un excédent qui se trouvait (implicitement) dans son fond d'accident, pour former la capitalisation des augmentations des rentes provenant de la dite revalorisation. Contrairement à la position de 1964, la situation financière de la CAT en 1967 n'accuse pas de tel excédent (ni explicitement, ni implicitement) pour former la capitalisation des majorations décrétées par le Bill 79. D'après une déclaration du ministre du Travail en Chambre, les majorations en question exigeraient une capitalisation d'environ $21,5 millions. Il serait impossible (et même illogique) de prélever des employeurs une telle somme d'un seul coup. La Commission pourra donc se prévaloir, paraît-il, des dispositions de l'art. 32 de la Loi qui prévoit que « la Commission peut, de la manière et à telle époque ou à telles époques qu'elle croit le plus équitable et le plus en harmonie avec les principes généraux et les dispositions de la présente loi, prélever des employeurs qui ont exploité dans le passé, qui exploitent actuellement ou qui exploiteront à l'avenir une des industries visées par la présente loi, les sommes additionnelles résultant de l'augmentation des compensations payables en vertu des dispositions de la présente loi ». En vertu de cet article (qui est rédigé quasi « sur mesure » de notre problème) il est donc loisible à la Commission de répartir le montant nécessaire sur une longue période, par exemple 25 ans, en prélevant annuellement à titre de sommes additionnelles (sans nécessairement les identifier comme telles) aux contributions régulières; une telle répartition sur une période de 25 ans exigerait environ 6.4% du montant de la capitalisation nécessaire de $21,5 millions, donc environ $1,400,000 par année; ce montant tient compte d'intérêt à raison de 4% composé annuellement, c'est-à-dire le même que le taux d'escompte appliqué pour évaluer la valeur présente des augmentations accordées. Dans l'hypothèse que les contributions annuelles régulières dépasseront $50 millions, la cotisation additionnelle serait d'ordre de 3% et possible moins, si on envisage que la hausse du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000 et l'assujettissement projeté de nouveaux groupes des travailleurs augmentera sensiblement le volume global des contributions régulières. D'après le plan quinquennal préparé par la Commission et annoncé par le ministre du Travail dans la Gazette du Travail du Québec (juillet 1967) on peut s'attendre que le nombre des salariés couverts par la Loi augmentera dans 5 ans de 50%, en passant de un million en 1966 à un million et demi en 1972, ceci selon les données disponibles actuellement concernant les nouvelles entreprises qui deviendront progressivement assujetties à la Loi. Lors de la discussion du Bill 79 à l'Assemblée législative on a soulevé la question du rajustement ou de l'adaptation automatique au coût de la vie des prestations de la Commission aux accidentés (et à leurs survivants), tout comme cela est prévu pour les prestations du Régime de rentes (au Québec et dans les autres provinces canadiennes) et aussi pour les pensions (fédérales) de la sécurité de la vieillesse. Selon l'explication donnée en Chambre par le ministre du Travail, le gouvernement a envisagé d'une manière objective la question de la revalorisation automatique future des rentes de la CAT, mais le gouvernement n'a pas voulu cette année, selon l'expression du ministre, en faire une disposition particulière dans la loi, bien qu'on y avait songé; et cela surtout, d'après le ministre, à cause du coût supplémentaire pour les employeurs (lesquels, comme on sait, sont les seuls qui contribuent à la CAT), lequel serait occasionné par un tel ajustement automatique. Le ministre a ajouté que le gouvernement est bien conscient du problème et qu'il ne l'a pas abandonné. Il faut donc comprendre qu'il sera étudié plus tard, peut-être, avec l'ajustement automatique d'autres prestations payables par le gouvernement.1 A ce propos, il est à signaler qu'à date, à notre connaissance, il y a une seule province au Canada, celle de la Colombie-Britannique, dans laquelle les prestations périodiques sont sujettes à un accroissement automatique, selon l'indice des prix à la consommation. En substance, si cet indice augmente d'une année à l'autre de pas moins de 2%, les rentes seront accrues de 2% pour chaque augmentation de 2% de l'indice.
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Popov, N. K., P. Santamaura, C. Blahnik, V. G. Snell, and R. B. Duffey. "ICONE15-10806 THE MANAGEMENT OF SEVERE ACCIDENTS IN MODERN PRESSURE TUBE REACTORS." Proceedings of the International Conference on Nuclear Engineering (ICONE) 2007.15 (2007): _ICONE1510. http://dx.doi.org/10.1299/jsmeicone.2007.15._icone1510_411.

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9

Jo, Byeongnam, Wataru Sagawa, and Koji Okamoto. "ICONE23-1605 BUCKLING FAILURE OF TUBE COLUMNS UNDER EXTERNAL PRESSURE AT SEVERE ACCIDENTS." Proceedings of the International Conference on Nuclear Engineering (ICONE) 2015.23 (2015): _ICONE23–1—_ICONE23–1. http://dx.doi.org/10.1299/jsmeicone.2015.23._icone23-1_291.

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Gopala Krishna, BS. "Can Optic Nerve Sheath Diameter Diagnose Raised Intracranial Pressure Before Neuroimaging Results in Cerebrovascular Accidents?" Indian Journal of Emergency Medicine 6, no. 1 (2020): 23–29. http://dx.doi.org/10.21088/ijem.2395.311x.6120.4.

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Munafiah, Durrotun. "MANFAAT ASUHAN COUNTER-PRESSUER DALAM MEMPERCEPAT PERSALINAN KALA II." Jurnal SMART Kebidanan 5, no. 1 (August 2, 2018): 73. http://dx.doi.org/10.34310/sjkb.v5i1.148.

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Анотація:
Persalinan merupakan proses membuka dan menipisnya serviks sehingga janin turun kedalam jalan lahir. Nyeri selama proses persalinan merupakan kondisi yang fisiologis. Namun, jika dibiarkan nyeri dapat mempengaruhi kondisi ibu berupa kelelahan, kecemasan dan menimbulkan stress yang mengakibatkan penyempitan pembuluh darah dan mengurangi aliran darah yang membawa oksigen ke rahim sehingga terjadi penurunan kontraksi rahim yang akan menyebabkan memanjangnya waktu persalinan. Salah satu cara untuk mengurangi rasa nyeri dengan cara non-farmakologi yaitu counter-pressure. Mengetahui pengaruh asuhan counter-pressure pada persalinan multipara terhadap lama kala II di RSUD KRMT Wongsonegoro. Jenis penelitian ini adalah kuantitatif dengan metode true eksperimen menggunakan rancangan post test control group design. Sampel penelitian sebanyak 36 ibu bersalin multipara. Teknik pengambilan sampel dilakukan dengan menggunakan accidental sampling. Analisis menggunakan uji Independent sample t-test. Rata-rata lama kala II pada kelompok kontrol adalah 34.56, rata-rata lama kala II pada kelompok eksperimen adalah 21.00. Uji Independen sample t-test menunjukkan bahwa ada perbedaan lama kala II pada kelompok kontrol dan kelompok eksperimen dengan nilai p-value 0.000 (p < 0,05). Ada pengaruh asuhan counter-pressure pada ibu bersalin multipara terhadap lama kala II. Kata kunci : Counter-pressure; lama kala II
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Parmar, Robin. "The Garden of Adumbrations: Reimagining environmental composition." Organised Sound 17, no. 3 (January 11, 2012): 202–10. http://dx.doi.org/10.1017/s1355771811000392.

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Анотація:
R. Murray Schafer's soundscape, predicated on a schizophonic engagement with sound, and Pierre Schaeffer's musique concrète, based on an acousmatic relationship, have for some time been the dominant approaches for those who wish to compose with sounds sourced from the environment. Following Brian Kane and Timothy Morton, this paper critiques the ideologies behind these systems, instead suggesting an approach that uses Deleuze and Guattari's rhizome as a generative metaphor. The Garden of Adumbrations, a multi-channel electroacoustic piece, is used to illustrate several compositional possibilities: the tracing of place through subjectivity, the machinic phylum as emergent intelligence, the interplay between Katharine Norman's self-intended and composer-intended listening, and the encouragement of accidents of listening. Also discussed are Antonin Artaud's Body without Organs, conceptions of Nature and the garden, and Luc Ferrari's Presque rien ou le lever du jour au bord de la mer. The goal is to develop an integrated and sustainable model of sonic practice that addresses the acousmatic while supporting an embedded and non-hierarchical relationship with our ecological milieu.
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Roy, Jean-Yves. "Médecine : crise et défi." Articles 16, no. 1 (April 12, 2005): 43–67. http://dx.doi.org/10.7202/055674ar.

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Анотація:
Bombe au cobalt. Poignée de main chaleureuse. Accident de la route. Immuno-fluorescence. Accouchement. Greffe du cœur. Appel de nuit. Un enfant de trois ans qui se lamente. Radiothérapie d'une tumeur du lobe limbique. Prothèse électronique pour un jeune phocomèle victime de la thalidomide. Poignée de main chaleureuse. Une épouse qui voudrait revendiquer un petit peu d'attention, mais dont les demandes n'ont pas la dimension de cet appel d'urgence auprès d'un patient comateux. Chirurgie esthétique pour madame la comtesse. Poignée de main chaleureuse. Pontiac ou Cadillac. Comité de citoyens. Cours sur la sexualité pour des jeunes qui se préparent au mariage. La compagnie qui demande de préserver ses intérêts, qui demande d'être sévère dans les examens de routine de ses employés. Pontiac, Cadillac. Un appel en pleine nuit : le petit, chez madame Chose perce ses premières dents. Salle d'urgence. Moniteur cardiaque. Toute une quincaillerie électronique où le patient se sent dépaysé. Épidémie de grippe espagnole. Leçons d'hygiène à cette mère dont on devine, au fond, qu'elle n'a ni le temps ni l'énergie pour s'occuper convenablement de ses tâches ménagères. Cours universitaire sur les ultra-virus. Comité de citoyens. Pontiac ou Cadillac. Un comptable qui veille compulsivement à ce que l'on paie le moins d'impôt possible. Tromper l'impôt... Un comptable qui veut administrer les biens de monsieur le docteur parce que le docteur n'est pas un bon administrateur. Se méfier du comptable... Docteur, mon petit ne dort pas ; il pleure. Pourriez- vous venir tout de suite ? Le représentant pharmaceutique veut vous convaincre d'essayer le dernier produit de sa compagnie. La panacée qui fait tant de miracles, sur le pamphlet publicitaire. Les cours du professeur Untel sur les prostaglandines. Hypertension artérielle. Ampoules aux pieds. Anxiété. Fièvre des foins. J'ai hâte que tu t'occupes un peu de moi, j'en ai un petit peu marre de ces appels de l'hôpital. Ils veulent socialiser la médecine. Il paraît même que la médecine, c'est une affaire de politique. Comité de citoyens. Ils veulent mettre sur pieds un C.L.S.C. Radiothérapie. Chirurgie cardiaque. Psychothérapie à long terme des schizophrènes chroniques. Changer l'asile. L'accès aux soins pour tous. Pontiac ou Mercedes? Le conférencier, l'autre jour, prétendait que la médecine se situait comme une petite entreprise de services... Qui est donc le médecin ? Un petit commerçant qui comme tous les petits commerçants paie de sa personne pour arriver à soutirer de sa petite entreprise le maximum de bénéfices monétaires possibles? Un être dévoué qui a la vocation? Un saint? Un technicien qu'on accuse volontiers de s'être déshumanisé au cours des dernières années? Un spécialiste de la santé, ou de la maladie? Docteur, mon petit pleure. Il a eu cinq selles liquides aujourd'hui. Pontiac ou Cadillac? Ah ! et puis à quoi bon ? La mère Garneau est morte, hier. Un cancer de l'intestin : une saloperie. Je lui ai tenu la main, à ses derniers moments. On ne pouvait plus rien faire. Une saloperie, je te dis... La mère Garneau est morte sans qu'on puisse lui greffer un cœur, un intestin. La mère Garneau a déjoué la médecine. Dans les salles d'urgence des hôpitaux, les gens ne se retrouvent plus, encore plus égarés qu'à l'hypermarché. Un spécialiste pour l'œil gauche. Un psychiatre pour ses émotions. Le médecin de famille n'existe plus. La médecine est en pleine crise. On dit que la médecine est en pleine crise. On l'écrit dans les journaux. Presque partout. Et c'est peut-être vrai. En tout cas, la médecine vit une situation difficile. Une situation dont nous allons tenter un inventaire. Et nous commencerons cet inventaire par un regard, par une considération sur le statut scientifique de la médecine. Car la situation actuelle remet en cause ce statut scientifique lui-même. Nous analyserons également ce qui advient, présentement, du schéma médical classique. Car il nous apparaît que ce schéma subit des modifications majeures, des altérations sensibles. Des transformations que nous devons repérer, cerner, si nous voulons comprendre un tant soit peu ce qui a lieu dans ce champ nouvellement contesté de la médecine. Modestement, nous nous hasarderons à proposer un modèle synthétique de l'exercice médical qui pourrait tenir compte des interrogations récentes, tout en rendant justice à une médecine qui se voudrait « savoir sur l'homme ». Ce projet d'une médecine reformulée n'est pas une solution définitive : il est seulement proposé à la discussion, amené pour « faire progresser la question » comme on dit, non pour bâcler un débat qui, de toute évidence, doit se poursuivre tant dans l'intérêt de la population que de la profession médicale.
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Tabutin, Dominique, and N'cho Sombo. "Tendances et causes de la mortalité à Maurice depuis 1940." Population Vol. 40, no. 3 (March 1, 1985): 435–53. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p1985.40n3.0453.

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Résumé N'cho Sombo et Ta butin Dominique. — Tendances et causes de la mortalité à Maurice depuis 1940. L'Ile Maurice a connu une chute brutale de la mortalité en 1949-50, due aux campagnes d'éradication de la malaria. Le taux de mortalité est tombé de 24 à 14 p. 1 000. La mortalité a ensuite décru régulièrement, puis a ralenti ces dernières années, sans mouvements majeurs, dans l'ensemble, pour atteindre un taux de 7,3 p. 1 000 en 1979-80. Les femmes, en particulier, ont plus profité des progrès accomplis et ces quelques dernières années, elles confirment cet avantage alors que la mortalité masculine stagne. La surmortalité féminine entre 1 et 35 ans disparaît presque en 1977. La mortalité due aux maladies infectieuses s'effondre littéralement et représente seulement 6 % de la mortalité totale; d'un autre côté, les maladies dues à l'appareil circulatoire se sont considérablement accrues depuis 1950, et principalement depuis 1970 (près de 30% des décès en 1978). La mortalité due à la violence et aux accidents, bien que très basse, s'accroît aussi régulièrement depuis 1950. Plus surprenante est la reprise depuis 1966 de la mortalité due aux maladies endocriniennes et nutritionnelles (avitaminoses, anémies...) où apparaît une surmortalité féminine en 1977.
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Bull, D. A., L. A. Neumayer, G. C. Hunter, J. Keksz, G. K. Sethi, K. E. McIntyre, and V. M. Bernhard. "Risk Factors for Stroke in Patients Undergoing Coronary Artery Bypass Grafting." Cardiovascular Surgery 1, no. 2 (April 1993): 182–85. http://dx.doi.org/10.1177/096721099300100220.

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Stroke is a significant cause of morbidity and mortality following coronary artery bypass grafting (CABG). Over a 30-month period, 245 consecutive patients undergoing elective CABG were prospectively examined to determine which risk factors might predispose to stroke following surgery. The risk factors evaluated included hypertension, diabetes, hypercholesterolemia, hypertriglyceridemia, smoking, atrial fibrillation, a history of cerebrovascular accident or transient ischemic attack, carotid artery stenosis > 60% documented by duplex scanning, severe atherosclerosis of the ascending aorta, and the presence of ventricular thrombus. Postoperative stroke occurred in five of the 245 patients (2%), four evident immediately on awakening and one on day 7 after surgery. The probable causes of the immediate strokes were atheroembolism in three patients and severe ipsilateral carotid stenosis in one. Hypertensive hemorrhage was responsible for the one case of delayed stroke. In this study, carotid artery stenosis did not presage stroke following CABG, but ventricular thrombus was highly predictive of stroke after surgery.
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Antoine, Philippe. "Derecho internacional humanitario y protección del medio ambiente en caso de conflicto armado." Revista Internacional de la Cruz Roja 17, no. 114 (December 1992): 545–67. http://dx.doi.org/10.1017/s0250569x00016332.

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Hoy resulta poco decir que «el estado del planeta» es sumamente inquietante. «Vivimos en un período de transitión histórica, caracterizado por una crisis de conciencia literalmente explosiva del conflicto entre las actividades humanas y los imperativos del medio ambiente», declaró recientemente la señora Gro Harlem Brundtland, primera ministra de Noruega, que preside la Comisión Mundial sobre el Medio Ambiente y el Desarrollo. Se comienza a librar una batalla decisiva, porque el planeta está efectivamente amenazado.El accidente de Chernobil, la muerte de los bosques y la contaminatión de las aguas, el recalentamiento de la atmósfera y la amenaza que se cierne sobre la capa de ozono, así como la destrucción de nuestro patrimonio genético son otros tantos fenómenos que ilustran la necesidad de inspirar, apoyar y, llegado el caso, dirigir una acción tendente a proteger el medio ambiente a nivel local, zonal y mundial.
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Agbokounou, Aristide Mahoutin, Gbênagnon Serge Ahounou, René Coovi Dossoukpèvi, Issaka Youssao Abdou Karim, and Marc T. T. Kpodekon. "Facteurs de risque associés aux performances de croissance et à la survie des porcelets de race locale sous la mère au Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 74, no. 2 (June 30, 2021): 105–14. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36364.

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Afin d’identifier les facteurs de risque associés aux taux de mortalités élevés et à la faible vitesse de croissance des porcelets en postsevrage observés dans les élevages porcins au Sud-Bénin, une étude diagnostique a été conduite en 2019 dans 129 élevages des départements de l’Ouémé et du Plateau sous forme d’enquêtes rétrospectives et d’observations directes sur ces élevages. Les résultats ont montré que les pratiques des éleveurs étaient surtout traditionnelles, basées sur la race locale, et tributaires des modes de divagation et de claustration. Les principaux facteurs de risque liés au statut de l’éleveur étaient l’âge moyen de 42 à 45 ans (supérieur à l’âge économiquement actif des agriculteurs), la presque absence de formation et le faible taux d’instruction. Les principaux facteurs de risque liés aux pratiques de reproduction étaient la divagation, la consanguinité entre verrat et femelles reproductrices, le non-respect des normes pour le logement des truies gravides et lactantes, l’absence de mesures d’hygiène et de soins préventifs et curatifs aux reproductrices et aux nouveau-nés, le non-respect des normes zootechniques d’alimentation des reproductrices, et la non-assistance de la truie lors de la mise bas. Dans ce contexte, les principales causes de mortalités étaient le cannibalisme, les accidents divers, le manque de lait, l’écrasement des porcelets et les pathologies. Les truies présentaient des mises bas difficiles et le syndrome agalactie-mammite. Chez les porcelets, les diarrhées, la conjonctivite, les plaies et le poids faible à la naissance étaient le plus souvent signalés. La prise en compte de ces facteurs et des atouts certains des élevages de porc local béninois contribuera à améliorer le système de gestion de la reproduction, et la productivité.
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Clibbon, Peter B. "Changing Land Use in Terrebonne County, Québec." Cahiers de géographie du Québec 8, no. 15 (April 12, 2005): 5–39. http://dx.doi.org/10.7202/020460ar.

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Le comté de Terrebonne, situé directement au nord-ouest de la ville de Montréal, enjambe la zone de contact entre les basses terres du Saint-Laurent et le plateau accidenté des Laurentides. Dans la zone des basses terres s'étendent de vastes superficies de sols argileux fertiles dont la plus grande partie fut colonisée pour des fins agricoles dès le début du XIXe siècle. La terre arable de qualité est beaucoup plus rare sur les hautes terres du plateau. Seules les grandes vallées fluviales, particulièrement celles des rivières du Nord et du Diable, en rassemblent des étendues de quelque importance. Ces sols fertiles de vallée furent défrichés et convertis à l'agriculture tout au début de l'occupation du territoire. Quant aux parties du plateau offrant le moins d'intérêt, parce que dotées d'un relief assez rude, de sols sablonneux et d'une courte saison de croissance, elles firent également l'objet, durant la deuxième moitié du XIXe siècle, d'une colonisation vigoureuse sous l'impulsion de l'Eglise et de l'Etat. Les terres défrichées, généralement tout au plus propres à la culture de foin de médiocre qualité et au pâturage des moutons, furent progressivement abandonnées : vers la fin des années 30, la plus grande partie de ces terres étaient en voie d'être réoccupées par la forêt. Durant le dernier demi-siècle, et surtout depuis les années de la seconde guerre mondiale, le comté de Terrebonne s'est considérablement urbanisé. Alors que le plateau s'équipe rapidement de facilités pour la pratique des sports d'été et d'hiver et transforme son habitat villageois en des centres de services pour le tourisme, dans la plaine ont surgi, le long de la rivière des Milles Isles, de nombreuses « villes-dortoirs » où s'écoule le trop-plein de la main-d'oeuvre montréalaise. Ces changements ont transformé l'agriculture du comté : les superficies de terres cultivées ont diminué de 60% depuis 1921 dans l'ensemble du comté tandis que l'exploitation agricole est presque complètement disparue des Laurentides depuis la même époque.
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SILVA, ROXANE WIRSCHUM, DÉBORA DO ROCIO KLISIOWICZ, DORALICE MARIA CELLA, OLDEMIR CARLOS MANGILI, and IVES JOSÉ SBALQUEIRO. "Distribuição diferencial da heterocromatina constitutiva em duas espécies da aranha marrom: Loxosceles intermedia e L. laeta (Araneae, Sicariidae) da região metropolitana de Curitiba, PR (Brasil)." Acta Biológica Paranaense 31 (December 31, 2002). http://dx.doi.org/10.5380/abpr.v31i0.612.

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As aranhas do gênero Loxosceles são pequenas, apresentam distribuição cosmopolita, hábitos noturnos e não agressivos. Na região metropolitana de Curitiba, são encontradas duas espécies de aranha marrom: L. intermedia e L. laeta. A primeira é a mais abundante e responsável, nos últimos anos, por inúmeros acidentes denominados de Loxoscelismo. O presente trabalho tem como objetivo estudar citogeneticamente estas aranhas, através de técnicas de coloração comum (Giemsa) e de bandeamento C, em células prémeióticas, meióticas e embrionárias. Exemplares foram coletados em domicílios ou fornecidos pelo Laboratório Interdisciplinar de Pesquisa em Animais Peçonhentos (LIPAPE). As preparações citológicas foram obtidas a partir de testículos de aranhas adultas ou de células embrionárias. Os dados mostram que as duas espécies são cariotipicamente similares e caracterizam-se por apresentar um número diplóide diferenciado entre os sexos: 2n=23 nos machos e 24 nas fêmeas. Esta diferença é devida ao sistema cromossômico de determinação sexual múltiplo, do tipo X1X2Y (machos) e X1X1X2X2 (fêmeas). A aplicação da técnica de bandeamento C revelou que em L. intermedia poucos cromossomos apresentam banda pericentromérica, incluindo os sexuais, X1 e X2, ao passo que em L. laeta, diferentemente, todos os cromossomos do genoma apresentaram bandas pericentroméricas conspícuas. Em ambas as espécies, o cromossomo Y mostrou-se quase que totalmente heterocromático. Este tipo de bandeamento, além de ser inédito em Loxosceles, revelou ser uma importante característica na diferenciação cariotípica entre L. intermedia e L. laeta. ABSTRACT The genus Loxosceles includes cosmopolitan small spiders, which have nocturnal and non-agressive habits. Two species of brown spiders are found in the metropolitan area of Curitiba: L. intermedia and L. laeta. The first one is more abundant, and responsible for many accidents (Loxoscelism). The aim of this study is to analyze cytogenetically these spiders, through conventional (Giemsa) and c-banding techniques in pre-meiotic, meiotic and embrionary cells. The specimens were collected in houses or kindly provided by Laboratório Interdisciplinar de Pesquisa em Animais Peçonhentos (LIPAPE). Cytological preparations were obtained from embrionic cells or from testis of adult specimens. The data showed that both species are karyotipically similar, and had different diploid numbers in males and females (2n=23 and 2n=24, respectively). This difference is the result of a multiple sex chromosome system (X1X2Y/ X1X1X2X2). The use of c-banding technique revealed that a few chromosomes of L. intermedia showed pericentromeric blocks of constitutive heterochromatin, including gonosomes X1 and X2. On the other hand, all the chromosomes of L. laeta showed conspicuous pericentromeric C-positive segments. In both species, the Y chromosome revealed to be almost tottaly heterochromatic. This study described the result of the use of c-banding technique for the first time in Loxosceles, which revealed an important karyotypical distintion between L. intermedia and L. laeta. RÉSUMÉ Les araignées du genre Loxosceles sont petites, présentent une distribution cosmopolite, ont des habits nocturnes et ne sont pas agressives. Dans la region métropolitaine de Curitiba, on y trouve deux espèces de l’araignée marron: L. intermedia et L. laeta. La premiere c’est la plus abondante et responsable, dans les dernières années par des nombreux accidents connus sous le nom de loxoscelisme. Le but de cet article est celui d’étudier la cytogénétique de ces araignées, par moyen des colorants ordinaires dont le Giemsa et par le technique du bandage C en utilisant des cellules C, des cellules pré-meyotiques, meyotiques et embryonnaires. Des échantillons ont été soit obtenues dans des maisons particulières, soit fournies par le Laboratório Interdisciplinar de Pesquisa em Animais Peçonhentos (LIPAPE), et les préparations cytologiques obtenues des testicules des adultes ou des cellules embryonnaires. Les résultats montrent que les deux espèces sont similaires du point de vue caryotype et se caractérisent par avoir un numéro diploíde différencié entre les sexes : 2n=23 dans les mâles et 24 dans les femelles. Cette différence dans le numéro diploïde est due ao système chromosomique de détermination sexuelle – multiple du type X1X2Y (mâles)/X1X1X2X2 (femelles). L’utilisation du bandage C a montré que chez L. intermedia pas beaucoup de chromosomes présentent la bande pericentrométrique, y compris les sexuels X1 et X2. Par contre, chez L. laeta, tous les chromosomes du génome présentent des bandes pericentrométriques visibles. Dans toutes les deux, le chromosome Y s’est montré presque hétérochromatique. Cet type de bandage, en plus d’inédite chez Loxosceles, s’est montré aussi important dans la séparation caryotypique entre L. intermedia et L. laeta.
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Hindriks, Jean, and Pierre Devolder. "Numéro 178 - février 2023." Regards économiques, February 17, 2023. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2023.02.17.01.

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En 1980 le ministre des pensions, Mr Herman De Croo appelait à une réforme des pensions pour faire face aux vieillissements démographiques à venir. En 2013, son fils Mr Alexander De Croo, ministre des pensions à son tour, mettait en place la Commission de réforme des pensions 2020-2040 avec à sa présidence l’actuel vice-premier ministre Mr Frank Vandenbroucke. En Juin 2014, la Commission remettait un rapport détaillé adopté à l’unanimité de ses membres (dont les auteurs de ce numéro faisaient partie). Ce rapport proposait une réforme structurelle de nos pensions légales. Depuis une décennie s’est écoulée et rien ne s’est produit à l’exception du report de l’âge légal à 66 ans en 2025 et 67 ans en 2030. Cette politique de l’âge est en elle-même assez paradoxale car le rapport proposait de «privilégier le kilométrage sur l’âge» en proposant un âge de pension variable selon l’âge de début de carrière. Dans ce numéro de Regards Economiques, nous souhaitons contribuer à débloquer une réforme des pensions qui s’enlise progressivement. Nous proposons un cadre cohérent et un mécanisme concret pour organiser une transition progressive vers un système de pension plus simple et transparent qui offre des garanties réelles sur les pensions pour les jeunes et moins jeunes. Notre système de pension est devenu incompréhensible avec un enchevêtrement de conditions d’accès et des règles de calcul spécifiques aux différents régimes et qui posent un problème dans le cas des carrières mixtes de plus en plus fréquentes. Même dans le cas a priori le plus simple d’une pension minimum à 1500 euros net, les choses sont compliquées. Les conditions d’accès varient de 20 ans pour les fonctionnaires statutaires à 30 ans pour les fonctionnaires contractuels ou les salariés. Ensuite, le calcul des années de carrière est variable selon l’intensité de travail et selon les régimes. Il n’est pas cumulable entre régimes en cas de carrière mixte. Enfin, le montant de la pension minimum est proratisé à la durée de carrière effectivement prise en compte. Bref on a presque autant de pension minimum que l’on a de personnes potentiellement éligibles. Les gens ne s’y retrouvent plus et la méfiance s’installe insidieusement. Un progrès notable réalisé durant la dernière décennie est la plateforme MyPension.be qui offre une estimation d’un montant attendu de pension pour une personne qui approche l’âge de la retraite. Nous proposons de poursuivre la logique du Mypension.be jusqu’au bout en ouvrant un compte universel pension pour toutes et tous en cours ou en début de carrière et y compris pour ceux et celles qui sont déjà à la retraite. L’enjeu est de sécuriser les droits de pension de chacun au cours du temps par la matérialisation de ces droits au sein d’un compte universel pension (en répartition). Des sécurités sont en place qui empêchent la baisse des droits de pension au cours du temps. Un mécanisme d’indexation variable pourrait permettre la convergence des régimes. Les droits du passé sont protégés et seuls les droits futurs peuvent être modulés pour assurer la soutenabilité à long terme de nos pensions. Cette soutenabilité est réalisable moyennant des adaptations modérées mais soutenues des droits futurs de pension. Ces ajustements devraient pouvoir s’appliquer sans baisser la pension moyenne à condition de se faire au plus vite. Les plus fragiles sont protégés des «accidents de la vie» par des mécanismes de solidarité intégrés qui couvrent les périodes non prestées mais assimilables (chômage, maladie, …). Notre mécanisme du compte universel pension permet aussi d’organiser en toute cohérence une sortie progressive du marché du travail par l’intermédiaire d’une pension partielle en veillant à ne pas encourager des départs anticipés et à encourager la poursuite de l’activité par des corrections actuarielles adéquates. Il est possible de moduler le rythme de constitution des droits de pension en cours de carrière pour mieux compenser la pénibilité des métiers et les inégalités d’espérance de vie en introduisant notamment des mécanismes progressifs. Soutenabilité financière et adéquation sociale sont de ce fait parfaitement conciliables. Enfin, en cette période de Saint Valentin, il est concevable de mutualiser les droits de pension entre conjoints au travers du compte universel pension, ce qui apporte une touche additionnelle de solidarité qui est aujourd’hui absente de nos régimes de pension. Cette solidarité intra-familiale contribuerait fortement à réduire les écarts de pension entre hommes et femmes.
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Taylor, Josephine. "The Lady in the Carriage: Trauma, Embodiment, and the Drive for Resolution." M/C Journal 15, no. 4 (August 14, 2012). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.521.

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Dream, 2008Go to visit a friend with vulvodynia who recently had a baby only to find that she is desolate. I realise the baby–a little boy–died. We go for a walk together. She has lost weight through the ordeal & actually looks on the edge of beauty for the first time. I feel like saying something to this effect–like she had a great loss but gained beauty as a result–but don’t think it would be appreciated. I know I shouldn’t stay too long &, sure enough, when we get back to hers, she indicates she needs for me to go soon. In her grief though, her body begins to spasm uncontrollably, describing the arc of the nineteenth-century hysteric. I start to gently massage her back & it brings her great relief as her body relaxes. I notice as I massage her, that she has beautiful gold and silver studs, flowers, filigree on different parts of her back. It describes a scene of immense beauty. I comment on it.In 2008, I was following a writing path dictated by my vulvodynia, or chronic vulval pain, and was exploring the possibility of my disorder being founded in trauma. The theory did not, in my case, hold up and I had decided to move on when serendipity intervened. Books ordered for different purposes arrived simultaneously and, as I dipped into the texts, I found startling correspondence between them. The books? Neurologist Jean-Martin Charcot’s lectures on hysteria, translated into English in 1889; psychiatrist W.H.R. Rivers’s explication of a biological theory of the neuroses published in 1922; and trauma neurologist Robert C. Scaer’s interpretation, in 2007, of the psychosomatic symptoms of his patients. The research grasped my intellect and imagination and maintained its grip until the ensuing chapter was done with me: my day life, papers and books skewed across tables; my night life, dreams surfeited with suffering and beauty, as I struggled with the possibility of any relationship between the two. Just as Rivers recognised that the shell-shock of World War I was not a physical injury as such but a trigger for and form of hysteria, so too, a few decades earlier, did Charcot insistently equate the railway brain/spine that resulted from railway accidents, with the hysteria of other of his patients, recognising that the precipitating incident constituted trauma that lodged in the body/mind of the victim (Clinical 221). More recently, Scaer notes that the motor vehicle accident (MVA) from which whiplash ensues is usually of insufficient force to logically cause bodily injury and, through this understanding, links whiplash and the railway brain/spine of the nineteenth century (25).In terms of comparative studies, most exciting for a researcher is the detail with which Charcot described patient after patient with hysteria in the Salpêtrière hospital, and elements of correspondence in symptomatology between these and Scaer’s patients, the case histories of which open most chapters of his book, titled appropriately, The Body Bears the Burden.Here are symptoms selected from a case study from each clinician:She subsequently developed headaches, neck pain, panic attacks, and full-blown post-traumatic stress disorder, along with significant cognitive problems [...] As her neck pain worsened and spread to her lower back, shoulders and arms, she noted increasing morning stiffness, and generalized pain and sensitivity to touch. With the development of interrupted, non-restorative sleep and chronic fatigue, she was ultimately diagnosed by a rheumatologist with fibromyalgia (Scaer 107).And:The patient suffers from a permanent headache of a constrictive character [...] All kinds of sound are painful to his ear, and he does his best to avoid them. It is impossible for him to fix his attention to any matter, or to devote himself to anything without speedily experiencing very great fatigue [...] He has insomnia and is frequently tormented by horrible dreams [...] Further, his memory appears to be considerably weakened (Charcot, Clinical 387).In the case of both patients, there was no significant physical injury, though both were left physically, as well as psychically, disabled. In the accidents that precipitated these symptoms, both were placed in positions of terrified helplessness as potential destruction bore down on them. In the case of Scaer’s patient, she froze in the driver’s seat at traffic lights as a large dump truck slowly reversed back on to her car, crushing the bonnet and engine compartment as it moved inexorably toward her. In the case of Charcot’s patient, he was dragging his barrow along the road when a laundryman’s van, pulled at “railway speed” by a careering horse, bore down on him, striking the wheel of his barrow (Clinical 375). It took some hours for the traumatised individuals of each incident to return to their senses.Scaer describes whiplash syndrome as “a diverse constellation of symptoms consisting of pain, neurologic symptoms, cognitive impairment, and emotional complaints” (xvii), and argues that the somatic or bodily expressions of the syndrome “may represent a universal constellation of symptoms attributable to any unresolved life-threatening experience” (143). Thus, as we look back through history, whiplash equals shell-shock equals railway brain equals the “swooning” and “vapours” of the eighteenth century (Shorter Chap. 1). All are precipitated by different causes, but all share the same outcome; diverse, debilitating symptoms affecting the body and mind, which have no reasonable physical explanation and which show no obvious organic cause. Human stress and trauma have always existed.In modern and historic studies of hysteria, much is made of the way in which the symptoms of hysterics have, over the centuries, mimicked “real” organic conditions (e.g. Shorter). Rivers discusses mimesis as a quality of the “gregarious” or herd instinct, noting that the enhanced suggestibility of such a state was utilised in military training. Here, preparation for combat focused on an unthinking obedience to duty and orders, and a loss of individual agency within the group: “The most successful training is one which attains such perfection of this responsiveness that each individual soldier not merely reacts at once to the expressed command of his superior, but is able to divine the nature of a command before it is given and acts as a member of the group immediately and effectively” (211–12). In the animal kingdom, the herd instinct manifests in behaviour that impacts the survival of prey and predator: schools of sardines move as one organism, seeking safety in numbers, while predatory sailfish act in silent concert to push the school into a tighter formation from which they can take orchestrated turns to feed.Unfortunately, the group mimesis created through a passive surrender of the individual ego to the herd, while providing a greater sense of security and chance of survival, also made World War I soldiers more vulnerable to the development of post-traumatic hysteria. At the Salpêtrière, Charcot described in meticulous detail the epileptic-like convulsions of hysteria major (la grande hystérie), which appeared to be an unwitting imitation of the seizures of epileptic inmates with whom hysteria patients were housed. Such convulsions included the infamous arc en circle, or backward-arched bodily semicircle, through which the individual’s body was thrust, up into the air, in an arc of distress only earthed by flexed feet and contorted neck (Veith 231). The suffering articulated in this powerful image stayed with me as I read, and percolated through my dreams.The three texts in which I remained transfixed had issued from different eras and used different language from each other, but all three contained similar and complementary insights. I found further correspondence between Charcot and Scaer in their understanding of the neurophysiology underlying hysteria/trauma. Though he did not have the technology to observe it, Charcot insisted that the symptoms of hysteria were the result of real changes in the nervous system. He distinguished between “organic” causes of disease, and the “functional” or “dynamic” causes of such disorders as hysteria and epilepsy: as he noted of the “hystero-traumatic paraplegia” of a patient, “it depends upon a dynamic lesion affecting the motor and sensory zones of the grey cortex of the brain which in a normal state preside over the functions of that limb” (Clinical 382). He proposed a potentially reversible “dynamic alteration” in the brain of the hysteric (Clinical 223–24). Compare Scaer: “Clinical syndromes previously categorized as ‘nonphysiological,’ ‘psychosomatic,’ or ‘functional’ may be based on demonstrable dynamic neurophysiological changes in the brain” (xx–xxi).Another link between the work of Charcot and Scaer is their insistence on the mind/body as a continuum, rather than separate entities. The perspicacity of the two researcher/clinicians forms bookends to a model separating mind from body that, in the wake of the popularisation and distortion of Freudian theory, characterised the twentieth-century. Said Charcot: “the physician must be a psychologist if he wants to interpret the most refined of cerebral functions, since psychology is nothing else but physiology of a part of the brain” (cited by Goetz 32). Says Scaer: “The distinction between the ‘psychological’ and physical pathological manifestations of traumatic stress, as suggested in the term ‘psychosomatic,’ needs to be discarded” (127). He proposes that, instead, we consider a mind/brain/body continuum which more accurately reflects, “the pathophysiological, neurobiological, endocrinological, and immunological changes induced by trauma” and the bodily manifestations of disease which follow (127).Charcot’s modernity is perhaps most evident in his understanding of equivalence between mind and brain, and his belief in what we now call “neuroplasticity”. Dealing with two patients with hysterical (traumatic) paralysis, Charcot recognised the value of friction, massage, and passive movements of the paralysed limb, not to build muscle strength, but to “revive” the “motor representation” in the brain as a necessary precursor to voluntary movement (Clinical 310). He noted the way in which, through repetition, movement strengthens. The parallel between Charcot’s insight, and recent research and practice which indicates that intense exercise for stroke victims assists the retrieval of motor programmes in the nervous system, in turn facilitating increased strength and movement, is quite astounding (Doidge Chap. 5).Scaer, like Rivers before him, understands the “freeze” or immobility response to threat as a very primitive or arcane level of the survival instinct. When neither fight nor flight will ensure an animal’s survival, it often manifests the freeze response, playing “dead”. After danger has passed, the animal might vibrate and shake, discharging the stored energy, physiologically “effecting” its defence or escape, and becoming fully functional again. Scaer describes this discharge process in animals as being “as imperceptible as a shudder, or as dramatic as a grand mal seizure” (19). The human, being an animal, also instinctually resorts to immobility when that is the reaction that will best ensure survival. As a result of this response, energy that would have been discharged in fighting or fleeing is bound up in the nervous system, along with accompanying terror, rage and helplessness. Unlike other animals that naturally discharge this energy when safe, humans often cognitively override the subtle but essential restorative behaviours that complete the full instinctual response, leaving them in a vicious cycle of fear and immobility and ultimately generating the symptoms of trauma.Scaer writes, “this apparent lack of discharge of autonomic energy after the occurrence of freezing [...] may represent a dangerous suppression of instinctual behavior, resulting in the imprinting of the traumatic experience in unconscious memory and arousal systems of the brain” (21). He proposes a persuasive model of “somatic dissociation” in which the body continues to manifest a threat to survival through impairment of the region of the body that perceived the sensory messages, and disability that reflects the incomplete motor defence (100). He writes of his patients in a chronic pain programme: “We invariably noticed that the patient’s unconscious posture reflected not only the pain, but also the experience of the traumatic event that produced the pain. The asymmetrical postural patterns, held in procedural memory, almost always reflect the body’s attempt to move away from the injury or threat that caused the injury” (84).Scaer’s concept of somatic dissociation, when applied to some of Charcot’s case studies, makes sense of their bodily symptoms. Charcot’s patient P— experiences no life threat, but a shock that involves grief and shame (Clinical 131–39). On a fox-hunting outing, he mistakes his friend’s dog for a fox, accidently shooting it dead. The friend is distraught, and P— consequently deeply distressed. He continues with the hunt, but later, when he raises his fire-arm to shoot a rabbit, collapses with a paralysis of the right side (he is right-handed), and then a loss of consciousness, with consequent confused recollection. Charcot’s lecture focuses on the “word-blindness” P— evidences, apparently associated with post-traumatic memory-deficits, but what is also arresting is the right-sided paralysis which lasts for some days, and the loss of vision on his right side. It is as if the act to shoot again is prevented by a body, shocked by its former action. The body parts affected hold meaning.In the case of the barrow man discussed earlier; although he has no lasting organic damage to his legs, nevertheless, his “feet remain literally fixed to the ground” (Clinical 378) when he is standing, perhaps reproducing the immobility with which he faced the rapidly looming van as it bore down on him. His paralysis speaks of his frozen helplessness, the trauma now locked in his body.In the case of the patient Ler—, aged around sixty, Charcot links her symptoms with a “series of frights” (Lectures 279): at eleven she was terrorised by a mad dog; at sixteen she was horrified by the sight of the corpse of a murdered woman; and, at the same age, she was threatened by robbers in a wood. During her violent hystero-epileptic attacks Ler— “hurls furious invectives against imaginary individuals, crying out, ‘villains! robbers! brigands! fire! fire! O, the dogs! I’m bitten!’” (Lectures 281). Here, the compilation of trauma is articulated through the body and the voice. Given that the extreme early childhood poverty and deprivation of Ler— were typical of hysterical patients at the Salpêtrière (Goetz 193), one might speculate that the hospital population of hysterics was composed of often severely traumatised women.The traumatised person is left with a constellation of symptoms familiar to anyone who has studied the history of hysteria. These comprise, but are not limited to, flashbacks, panic attacks, insomnia, depression, and unprovoked rage. The individual is also affected by physical symptoms that might include blindness or mutism, paralysis, spasms, skin anaesthesia, chronic fatigue, irritable bowel, migraines, or chronic pain. For trauma theorist Peter A. Levine, the key to healing lies in completing the original instinctual response; “trauma is part of a natural physiological process that simply has not been allowed to be completed” (155). The traumatised person stays stuck in or compulsively relives trauma in order to do just that. In 1885, Jean-Martin Charcot lectured at the Salpêtrière hospital in Paris, including among his case studies the patient he names Deb—. She resides more evocatively in my imagination as “the lady in the carriage”, a title drawn from Charcot’s description of her symptoms, and from the associated photographs which capture static moments of her frenzied and compulsive dance:Now look at this patient [...] In the first phase, rhythmical jerkings of the right arm, like the movements of hammering, occur [...] Then after this period there succeeds a period of tonic spasms, and of contortions of the arm and head, recalling partial epilepsy [...] Finally, measured movements of the head to the right and the left occur; rapid movements defying all interpretation, for I ask you, what do they correspond to in the region of physiological acts? At the same time the patient utters a cry, or rather a kind of plaintive wail, always the same [...] You see by this example that rhythmical chorea may be in certain cases a grave affection [affliction]. Not that it directly menaces life, but that it may persist over a very long period of time, and become a most distressing infirmity [...] The chorea has lasted for more than thirty years [...] The onset occurred at the age of thirty-six. About this time, when out driving in a carriage with her husband, she fell over a precipice with the horse and carriage. After the great fright which she had thus experienced she lost consciousness for three hours. This was followed by a convulsive seizure of hysteria major, by rigidity of the limbs of the right side, and cries like the barking of a dog (Clinical 193–95).I found this case study early in my reading of Charcot, but the lady in the carriage stayed with me as a trope of the relentless embodiment of trauma in its drive to be conclusively expressed, properly acknowledged, and potentially understood. Hence the persistent pain and distress of Scaer’s MVA patients; the patients treated by Rivers, with limbs and vocal-chords frozen in a never-ending moment of self-defence; the dramatic hysterical attacks of the impoverished patients in Charcot’s Salpêtrière; and the rhythmical chorea of the lady in the carriage, her involuntary jerky dance a physical re-enactment of her original trauma, when the carriage in which she was driving went over a precipice. Her helplessness in the event which precipitated her hysteria is a central factor in her continuing distress, her involuntary passivity removing her sense of agency and, like the soldier confined endlessly and powerlessly in the trenches waiting for inevitable terrifying action, rendering her unable to fight or flee.The fact that the lady in the carriage may be stuck in a traumatic incident experienced more than thirty years before attests to the way in which trauma insistently pushes to be resolved. Her re-enactment is literal, but Levine acknowledges the relevance of a “repetition compulsion” (181), expressed originally by Freud as the “compulsion to repeat” (19). This describes the often subtle way in which we continue to involve ourselves in situations that are replays of traumatic themes from childhood—symbolic re-enactments. Levine revitalises the idea however, by focusing on the interrupted instinctual response that calls for physiological resolution: “the drive to complete the freezing response remains active no matter how long it has been in place” (111).The knowledge a traumatised person seeks is, in trauma, literally locked in the body/mind. It rises up through dreams and throws itself aggressively at one in memories that are experienced as a terrifying present. It twists limbs in painful contractures and paralyzes the limb that was lifted in defence. The fear of turning to face this knowledge locks the individual in a recurring cycle of terror and immobility. At its end-point, s/he survives in the pathological limbo of Post-Traumatic Stress Disorder (PTSD), avoiding any arousal that might trigger all the physiological and emotional events of the original trauma. The original threat or trauma continues to exist in a perpetual present, with the individual unable to relegate it to the past as a bearable memory.It is possible to interpret such suffering in many ways. One might, for instance, focus on the pathology of an apparent system malfunction, which keeps the body/mind inefficiently glued to an unsolvable past. I choose to emphasise here, however, the creativity and persistence of the human body/mind in its drive to resolve the response to trauma, recover equilibrium and face effectively the recurrent challenges of life. As well as physical symptoms which exact attention, this drive or instinct might include the prompting of dreams and the meaningful coincidences we notice as we open our eyes to them, all of which can lead us down previously unconsidered paths. Does the body/mind only continue to malfunction due to our inability to correctly decipher its language? In relation to trauma, the body/mind bears the burden, but it might also hold the key to recovery.References Charcot, Jean-Martin. Lectures on the Diseases of the Nervous System. Trans. George Sigerson. London: The New Sydenham Society, 1877.---. Clinical Lectures on Diseases of the Nervous System: Volume 3. Trans. Thomas Savill. London: The New Sydenham Society, 1889.Doidge, Norman. The Brain That Changes Itself: Stories of Personal Triumph from the Frontiers of Brain Science. Melbourne: Scribe, 2008.Freud, Sigmund. “Beyond the Pleasure Principle.” The Standard Edition of the Complete Psychological Works of Sigmund Freud. Ed. and Trans. James Strachey. London: Hogarth Press, 1955. 7–64.Goetz, Christopher G, Michel Bonduelle, and Toby Gelfand. Charcot: Constructing Neurology. New York: Oxford University Press, 1995.Levine, Peter A. Waking the Tiger: Healing Trauma: The Innate Capacity to Transform Overwhelming Experiences. Berkeley, CA: North Atlantic Books, 1997.Rivers, W. H. R. Instinct and the Unconscious: A Contribution to a Biological Theory of the Psycho-Neuroses. 2nd ed. Cambridge: Cambridge University Press, 1922.Scaer, Robert C. The Body Bears the Burden: Trauma, Dissociation, and Disease. 2nd ed. New York: Haworth Press, 2007.Shorter, Edward. From Paralysis to Fatigue: A History of Psychosomatic Illness in the Modern Era. New York: Free Press, 1992.Veith, Ilza. Hysteria: The History of a Disease. Chicago: University of Chicago Press, 1965.

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