Добірка наукової літератури з теми "Pic préovulatoire de l’hormone lutéinisante"

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Статті в журналах з теми "Pic préovulatoire de l’hormone lutéinisante"

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Zongo, Moussa, W. Pitala, Laya Sawadogo, Hamidou Boly, N. Melo de Sousa, J. Sulon, and J. F. Beckers. "Concentrations de l’hormone lutéinisante et de la progestérone chez des vaches zébus Azawak soumises à différents protocoles de synchronisation de l’oestrus." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 61, no. 3-4 (March 1, 2008): 221. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9993.

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Анотація:
Quinze vaches zébus Azawak ont été soumises à deux protocoles de synchronisation de l’oestrus. Les concentrations plasmatiques de LH et le pourcentage des femelles ayant exhibé un comportement d’oestrus ont été répertoriés. Le premier traitement de synchronisation (T1, n = 9) a été effectué avec des implants sous-cutanés de norgestomet placés sous la peau de l’oreille pendant 10 jours. Le traitement a été complété par des injections de valérate d’oestradiol, de prostaglandine F2α et de pregnant mare serum gonadotropin (PMSG). Le deuxième protocole (T2, n = 6) a consisté en deux injections de prostaglandine F2α à 11 jours d’intervalle, suivies d’une injection de PMSG deux jours après la deuxième injection de prostaglandine. Des échantillons de sang ont été prélevés à trois heures d’intervalle pendant cinq jours après le retrait de l’implant (T1) ou l’injection de PMSG (T2) pour mesurer les taux de LH. Le taux d’oestrus induit a été plus élevé chez les vaches du groupe T2, mais cette différence n’a pas été significative. En général, le temps observé entre la fin du traitement et le début de l’oestrus a été plus court chez les femelles traitées au norgestomet (35,9 ± 3,9 h) que chez celles traitées à la prostaglandine (49,5 ± 5,8 h). Sept sur les neuf femelles traitées au norgestomet et seulement deux sur les six traitées à la prostaglandine ont présenté un pic de LH. L’intervalle moyen entre la fin des traitements et le pic de LH a eu tendance à être plus long chez les femelles traitées à la prostaglandine que chez celles traitées au norgestomet. Une femelle a présenté des concentrations de LH anormalement élevées après le retrait de l’implant. Toutefois, aucun pic de LH n’a été observé pendant la période de suivi.
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Issa, M., Hamani Marichatou, A. Yenikoye, and M. Banoin. "Paramètres de l'endocrinologie sexuelle des béliers Peuls et Touaregs : influence du type génétique et de la saison." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 59, no. 1-4 (January 1, 2006): 75. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9958.

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Анотація:
Les paramètres endocriniens de deux hormones sexuelles [l’hormone lutéinisante (LH) et la testostérone] ont été étudiés chez trois béliers Touaregs et deux béliers Peuls bicolores au cours des mois d’avril et d’octobre 1997. Les prélèvements sanguins ont été effectués de 1 h 00 à 7 h 00 du matin à 15 minutes d’intervalle. Les moyennes (± erreur-type) obtenues pour les différents paramètres étudiés ont été respectivement pour les béliers Peuls et Touaregs : niveaux de base de la testostérone 4,17 ± 1,82 et 4,55 ± 2,71 ng/ml, et de la LH 0,80 ± 0,13 et 0,96 ± 0,33 ng/ml ; amplitudes des pics de la testostérone 10,16 ± 3,11 et 11,09 ± 2,82 ng/ml, et de la LH 1,75 ± 0,9 et 2,65 ± 1,29 ng/ml ; durées des pics de la testostérone 85 ± 18,7 et 88,63 ± 27,47 min, et de la LH 75 ± 23,71 et 61,87 ± 24,23 min ; fréquences des pics de la testostérone 2,38 ± 1,3 et 2,03 ± 1,2 pics/6 h, et de la LH 1,08 ± 0,15 et 1,85 ± 0,97 pics/6 h ; et durée de l’intervalle entre le pic de LH et la première élévation significative de la testostérone 26,25 ± 6,49 et 31,87 ± 15,79 min. Les deux races de béliers n’ont été significativement différentes (p < 0,05) qu’au niveau de leur amplitude moyenne de LH. Les béliers Touaregs ont eu une amplitude plus élevée que les béliers Peuls (2,65 ± 1,29 contre 1,75 ± 0,90 ng/ml). Pour tous les autres paramètres étudiés, la différence entre les deux races n’a pas été significative (p > 0,05). La durée du pic de LH a été significativement affectée par la saison (p < 0,05), les autres paramètres étudiés ne l’ont pas été. Les évolutions parallèles des niveaux de base de testostérone et de LH au cours des deux saisons ont mis en évidence l’interaction entre les deux hormones.
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Дисертації з теми "Pic préovulatoire de l’hormone lutéinisante"

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Simonneaux, Marine. "Évaluation de l’impact de la perturbation du rythme circadien sur la fonction de reproduction des mammifères femelles." Electronic Thesis or Diss., Strasbourg, 2024. http://www.theses.fr/2024STRAJ096.

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Анотація:
Chez les mammifères femelles, une fertilité optimale repose sur la synchronisation des évènements neuroendocriniens et comportementaux régulant la fonction de reproduction. Pour cela, l’horloge circadienne principale, entrainée par l’alternance lumière/obscurité, rythme l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien. Ainsi, des cycles jour/nuit irréguliers, comme lors du travail en horaires décalés, peuvent altérer la fonction de reproduction et diminuer la fertilité, notamment chez les femmes. Ce travail de recherche visait à évaluer les effets de la perturbation du rythme circadien sur la fonction de reproduction féminine et à étudier les mécanismes neuroendocriniens sous-jacents. Chez la souris femelles, l’exposition à un décalage horaire chronique a entrainé une désynchronisation majeure du pic préovulatoire de LH, persistant plusieurs semaines. Cette altération était associée à une modification de la transmission de l’information journalière de l’horloge principale aux neurones à kisspeptine qui régulent la sécrétion de LH. De plus, la capacité reproductive des souris était diminuée, mais sans effet majeur sur le développement de leur descendance
In female mammals, optimal fertility relies on the synchronization of neuroendocrine and behavioral events regulating reproductive function. To this end, the circadian timing system, entrained by the light-dark cycle, sets the pace for the hypothalamic-pituitary-ovarian axis. Therefore, irregular light-dark cycles, such as those experienced in shift work, can disrupt reproductive function and compromise fertility, especially in women. This research aimed to assess the effects of circadian disruption on female reproductive function and investigate the underlying neuroendocrine mechanisms. In female mice, exposure to a light-based shift work model led to a major desynchronization of the preovulatory LH surge, which persisted for several weeks. This disruption was associated with altered transmission of daily signals from the master circadian clock to kisspeptin neurons, which regulate LH secretion. Additionally, reproductive outcomes in mice were affected, though without any major impact on offspring development
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Freitas, Vicente José De Figueiredo. "Etude des facteurs responsables de la variabilité du moment d'apparition de l'oestrus et du pic préovulatoire de LH après traitement hormonal de synchronisation et/ou induction de l'oestrus chez la chèvre." Tours, 1996. http://www.theses.fr/1996TOUR4022.

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Ben, Said Samia. "Etude de la sensibilité différentielle de l'hypothalamus à l'œstradiol pour induire le pic préovulatoire de LH et le comportement sexuel : comparaison entre Brebis Ile-de-France et Romanov." Thesis, Tours, 2009. http://www.theses.fr/2009TOUR4006/document.

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Анотація:
En utilisant un modèle de phase folliculaire artificielle, la quantité minimale d’œstradiol (E) nécessaire pour induire le pic préovulatoire de LH et le comportement sexuel a été comparée chez des brebis de prolificité différentes : Ile de France (IF) vs Romanov (ROM). Un signal œstrogénique très faible induit le comportement sexuel chez la brebis ROM mais pas chez l’IF. L’induction du pic préovulatoire de LH nécessite des quantités d’E très supérieures chez la ROM par comparaison à l’IF. Le pic de LH apparaît plus tard chez la ROM. L’étude de la sensibilité hypophysaire et hypothalamique à l’E a montré que le moment du pic préovulatoire de LH est essentiellement contrôlé par l’hypothalamus. Chez la ROM, des doses modérées d’E stimulent une faible libération de GnRH dans le liquide céphalorachidien, sans qu’elle ne soit traduite au niveau hypophysaire par une augmentation de libération parallèle de LH. Ce peptide, participerait au contrôle du comportement sexuel induit par l’E. La grande différence de sensibilité à l’E entre les deux races semble être liée à un seuil de « lecture » différent du signal œstrogénique pour induire le pic de LH et le comportement sexuel
Using an artificial follicular phase model, the minimum estradiol (E) requirement to induce the preovulatory LH surge and estrous behaviour, was compared between two breeds of ewes having either single (Ile de France= IF) or multiple (Romanov= ROM) ovulations. While a small E signal is sufficient to induce estrous behaviour, in ROM ewe, the same treatment has no effect on IF ewe. A much larger amount of E is required to induce the LH surge in the ROM compared to the IF. The onset of the LH surge occurred earlier in IF. Pituitary and hypothalamic sensitivity to E were studied in vivo and in vitro. The timing of the LH surge is essentially under the control of the hypothalamus. The latency to the onset of the LH surge is timed by a negative feedback effect of E at the hypothalamic level which is longer in ROM ewes. A moderate E signal stimulates a light GnRH secretion into the cerebrospinal fluid, which was not accompanied by a parallel pituitary LH discharge. GnRH appears involved in the control of estrous behaviour. The difference in sensitivity to E between IF and ROM ewes to induce LH surge and estrous behaviour is more than likely due to a different threshold in the lecture of the E signal
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