Добірка наукової літератури з теми "Petits espaces (habitations)"

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Статті в журналах з теми "Petits espaces (habitations)":

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Nordiguian, Lévon. "Saint-Élie de Deir khouna dans le Mont Liban." Chronos 24 (March 28, 2019): 93–102. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v24i0.431.

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Анотація:
Deir Khouna est un petit hameau situé sur le versant septentrional de la vallée du Nahr Metn, juste en contrebas du bourg de Ras el-Matn (Fig. I). D'après Ibrahim al-Assouad, il comportait au début du XXe siècle 100 habitants grecs-orthodoxes2, essentiellement de la famille Abou Rjeilé3. L'huile d'olive constituait alors la principale production. Progressivement dépeuplé par ses habitants, il fut entièrement saccagé au tout début de la guerre civile du Liban en 19754. La chapelle Saint-Élie, qui domine les quelques habitations du village, avait subi le même sort quant à son mobilier intérieur (Fig. 2). Son mur de chevet est étonnement tourné vers le nord-est, alors que généralement les églises sont bien orientées, avec une marge d'erreur négligeables. Sa structure extérieure, presque intacte, présente un aspect massif (L : II, 50 m, I : 7,85 m), sans aucun élément saillant, semblable en tout point aux nombreuses chapelles rurales de la montagne libanaise. Elle s'en distingue cependant par son plan intérieur qui offe une disposition assez caractéristique pour un petit groupe de chapelles, formant ainsi un type à part. Dans la majorité des cas en effet, I 'espace intérieur de ces édifices mononefs est formé de deux travées voûtées d'arêtes, portées par trois paires de piliers, quatre placés aux angles et les deux autres au milieu des murs latéraux
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Rakotomavo, Andriamparamy, and François Fromard. "Stratégies d'utilisation des ressources végétales chez les Vezo et les Masikoro du delta de Mangoky (Madagascar)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 300, no. 300 (June 1, 2009): 45. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.300.a20414.

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Анотація:
Vezo et Masikoro font partie des 18 ethnies existant officiellement à Madagascar. Habitant le delta de Mangoky (Sud-Ouest malgache), les deux populations occupent respectivement le littoral et l¿intérieur des terres. Si la pêche est la principale source de revenus des Vezo, l¿agriculture et l¿élevage de bovins et de petits ruminants constituent les principales activités des Masikoro. Sur le plan spatial, les premiers vivent dans un milieu fortement tributaire de la mer et de la mangrove tandis que les seconds dépendent, a priori, de la terre ferme où les formations sèches dominent le paysage végétal. Compte tenu de cette dualité socio-économique et spatiale entre les pratiques vezo et masikoro, il apparaît que les stratégies de gestion du bois et de la forêt appliquées à l¿intérieur du delta diffèrent d¿une ethnie à une autre. Le présent article consiste à comparer le comportement des Vezo et des Masikoro du delta vis-à-vis de la gestion de la mangrove et des formations continentales locales. Il met en parallèle les spécificités de ces deux populations dans la pratique d¿utilisation du bois et des différents types de forêt. Les impacts de leurs stratégies sur la végétation du delta sont aussi analysés. Chez les Vezo, la mangrove constitue un pourvoyeur principal de bois. Chez les Masikoro, cet écosystème sert à combler le manque de bois ressenti depuis le début des années 1980 dans leur espace d¿habitation. L¿analyse comparative des stratégies vezo et masikoro montre que la végétation sèche est fortement influencée par l¿agriculture sur brûlis et l¿élevage extensif. Là où vivent les Vezo, le milieu reste relativement intact et peu exploité. Par contre, dans la zone de contact entre la terre ferme et la limite interne de la mangrove, les palétuviers font l¿objet d¿un important «écrémage». Diminution de la superficie des palétuviers, développement du processus de tannification, disparition des formations forestières sèches et savanisation accrues en pays masikoro, tels sont les impacts des pratiques locales sur la végétation du delta de Mangoky. (Résumé d'auteur)
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Gagnon, Éric. "Vieillissement." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.062.

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Анотація:
L’anthropologie de la vieillesse a contribué à remettre en question des idées reçues et plusieurs préjugés tenaces, dont celle voulant que les sociétés modernes déconsidèrent la vieillesse et abandonnent leurs vieux, alors que les sociétés dites traditionnelles valorisent leur ainés et leur font une place honorable. Elle a écarté certaines images d’Épinal, comme l’Ancêtre trônant au milieu de sa famille, ou des clichés, comme le vieillard abandonné à l’hospice. Elle a appelé à se méfier de la mémoire toujours sélective et parfois enjoliveuse («Le bon vieux temps»). Elle a rappelé qu’il faut distinguer les représentations des comportements, que le prestige accordé à la vieillesse ne se traduit pas toujours en un véritable respect ou une réelle affection, et cache parfois des conditions de vie matérielle difficiles. Elle a surtout montré que le vieillissement n’est pas un phénomène purement biologique, partout identique, et qu’il est extrêmement variable d’une société, d’un groupe, d’une classe ou d’un genre à l’autre. Cette fonction critique, l’anthropologie a pu l’exercer au moyen de ce qui demeure son principal outil théorique et méthodologique : la comparaison. En comparant deux communautés au sein d’une même société, un même groupe avant et après des bouleversements historiques, deux culture très éloignées l’une de l’autre, la condition des ainés dans un pays avec celle des ainés originaires du même pays mais ayant migré dans un autre pays, ou encore différentes communautés au sein d’une même diaspora, elle a montré la diversité des conditions et des expériences, le poids des facteurs culturels, politiques ou économiques sur le vieillissement (Solokovski 1990). L’étude de cette diversité a non seulement permis de mieux comprendre le vieillissement, mais également de nourrir la réflexion touchant quatre grandes questions de l’anthropologie, que sont l’articulation du biologique et du social, les échanges familiaux, ce qui fait une communauté et le rôle des sciences et des techniques. Sur la première question, l’anthropologie du vieillissement a montré comment les transformations du corps sont étroitement déterminées par les conditions de vie, comment les changements biologiques, leur compréhension et leur perception, la manière dont les individus en font l’expérience et les réponses que les collectivité y apportent, sont façonnés par la culture, les normes sociales, l’organisation économique et les politiques publiques. L’étude de Margaret Lock (1993) sur la ménopause au Japon et en Amérique du Nord est à cet égard exemplaire. La sénescence, c’est-à-dire la dégradation des capacités générales de l’organisme biologique avec l’avancée en âge, connaît d’importantes variations. Non seulement la définition et les critères du vieillissement varient selon les milieux, les époques, les secteurs d’activité ou le genre (nombre d’années vécues, altérations physiques, incapacités, apparence physique, naissance de petits-enfants…), mais également ce qui est tenu pour un vieillissement normal ou souhaitable, le statut des personnes âgées, leurs obligations et leurs rôles. Si les conditions sociales d’existence ralentissent ou accélèrent le vieillissement biologique, elles donnent aussi à ce dernier une importance et une signification, qui font varier jusqu’aux formes d’expression de la douleur, de son histoire et de son identité (Keith 1985; Fry 2010). L’étude du vieillissement met en lumière la «biologie locale», le façonnement du corps propre à une culture ou un groupe. Sur la seconde question, l’étude anthropologique de la vieillesse s’est beaucoup intéressée aux échanges intergénérationnels, ainsi que le statut et la protection dont les personnes âgées bénéficient. Goody (1976) s’est efforcé de montrer comment les systèmes de parenté et de résidence, les modes transmission et le type d’économie favorisent ou non la dépendance des ainés envers les plus jeunes pour leur subsistance, le contrôle sur les biens, la possibilité de continuer d’habiter la demeure familiale et l’autorité qu’ils continuent d’exercer. La perspective permet non seulement la comparaison entre des sociétés d’aires culturelles très éloignées, mais l’articulation des questions anthropologiques touchant le vieillissement à celles liées à la famille et à l’économie, ainsi qu’à des enjeux politiques contemporains touchant les soins et la «prise en charge» des personnes vieillissantes (Buch 2015). Dans une perspective plus historique, on s’est intéressé aux impacts de l’allongement de la durée de vie, des transformation de l’économie (salariat, travail des femmes), des mutations de la famille, de l’essor des politiques de protection sociale (retraite, pension, allocation) et des migrations, sur les solidarités familiales, la sécurité et l’autonomie des ainés (Fry 2010). Les recherches sur les grands-parents et les transformations de leur rôle et statut (Attias-Donfut et Segalen 2007) ont alimenté l’étude des échanges et de la circulation des biens et des services au sein des familles, mais également de la transmission de la mémoire et du patrimoine familial, matériel et symbolique. Sur la troisième question, les anthropologues se sont intéressés à diverses communautés résidentielles d’ainés, que ce soit les grandes habitations et les foyers, les établissement de soins de longue durée (Hendersen et Vesperi 1995), ou encore les quartiers et villages sécurisés (gated communities), qui regroupent exclusivement ou en forte majorité des ainés. Ils se sont interrogés sur l’homogénéité de ces populations, le fonctionnement et les rites de passage propres à ces regroupements, les hiérarchies, les clivages et l’exclusion par delà le discours égalitariste, les relations avec le monde «extérieur» (les familles des résidents et la société dans son ensemble), en somme: la continuité et la discontinuité de ces communautés. Ces travaux ont nourri la réflexion sur ce qui fait une communauté en général (territoire, sentiment d’appartenance et organisation sociale), et sur la formation de communautés spécifiques de personnes âgées et le contexte dans lequel elles émergent (Keith 1985). Enfin, sur la question la place des savoirs scientifiques et techniques dans les sociétés contemporaines, les anthropologues ont porté une grande attention aux phénomènes de médicalisation et de professionnalisation du vieillissement. Celui-ci est en effet l’objet de savoirs et d’expertises qui en changent la signification et la réalité. Les transitions et transformations liées à l’âge sont devenues des problèmes, qu’il appartient à la médecine et à d’autres disciplines (la gérontologie au premier chef) de guérir, de soigner ou de «gérer» (Corin 1982). Ces interventions visent la préventions des maladies et des incapacités (gestion des risques), l’évaluation des «déficits» (physiques ou cognitifs) au moyen d’instruments diagnostics et de protocoles standardisés, pour déterminer les services ou l’aide dont la personne âgée a besoin, l’aménagement des espaces, la distribution des services spécialisés, les critères d’admission en institutions, etc. (Kaufmann 1994; Lock 1993). Ces interventions et les politiques qui les fondent, changent non seulement la façon dont le vieillissement est conçu et perçu dans une société, mais la manière dont les personnes le vivent (identité, image de soi, conduites, attentes). La vieillesse est redéfinie autour des catégories d’autonomie, de fragilité, d’activité et de dépendance – en Occident du moins – qui changent le statut de la personne âgée, sa place, ses relations aux autres, les critères culturels du vieillissement «normal» ou «réussi». Les personnes âgées sont largement considérées comme des patients et des usagers de services, mais aussi comme un marché pour les biotechnologies qui promettent un ralentissement du vieillissement. L’étude des savoirs et pratiques touchant plus spécifiquement les démences (ex : Alzheimer), du point de vue des savoirs et des pratiques professionnelles (Leibing et Cohen 2006) ou sous un angle plus expérientiel (Taylor 2008), est révélatrice de la manière dont une société conçoit la «personne», ce qui fait son «humanité» ou son identité, et comment, selon le contexte culturel et institutionnel, cette personne et cette humanité se défont ou se maintiennent. Ces travaux rejoignent une riche tradition de recherche sur la construction sociale de la «personne» et du «soi», particulièrement de la personne âgée (Lamb 1997 pour un exemple). Ces quatre grandes questions sont liées entre elles. La médicalisation et la professionnalisation renvoient à l’articulation du biologique et du social, ainsi qu’au soutien et à la prise en charge des personnes âgées; la question des communautés est indissociable des solidarités familiales. Le vieillissement est un phénomène aux multiples facettes, touchant toutes les dimensions de l’existence. Il n’est d’ailleurs compréhensible que mis en relation avec à un ensemble de réalités qui le débordent, et auxquelles, en retour, il apporte un éclairage : la famille, l’économie, la démographie, les soins de santé, les politiques, l’imaginaire social et les valeurs, la personne comme construit culturel. Si, comme le soutient Simone de Beauvoir (1970), on se découvre vieux dans le regard des autres, il reste à comprendre ce regard : les représentations, les normes, les savoirs et les pratiques qui le cadrent et l’orientent, ceux qui posent ce regard et les contextes dans lesquels il est posé, ainsi que les comportements et les expériences que ce regard induit.

Дисертації з теми "Petits espaces (habitations)":

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Lafdal, Bouaza. "Étude expérimentale et numérique des feux sous-ventilés." Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2022. http://www.theses.fr/2022LORR0200.

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Анотація:
Ce travail a pour objectif d'étudier le développement des feux de compartiment. Des essais ont été réalisés à petite échelle en utilisant des bacs d'heptane comme foyer et à une échelle intermédiaire avec un brûleur alimenté au propane. En plus des deux régimes classiques (bien-ventilé et sous-ventilé), pendant les tests à échelle intermédiaire, un régime transitoire avec un comportement oscillatoire a été observé. Une méthode expérimentale a été mise au point pour mesurer la puissance libérée pendant la combustion à l'intérieur et à l'extérieur du compartiment. Cette méthode nous a permis de caractériser la transition entre les différents régimes de combustion. Des simulations numériques ont également été réalisées à l'aide de FDS et FireFOAM. L'accord entre les simulations et les expériences varie en fonction du régime de combustion considéré. Pour le régime bien ventilé, les résultats numériques montrent un bon accord avec les expériences. Pour un régime modérément sous-ventilé, les simulations FDS sont en accord satisfaisant avec les expériences, alors que, FireFOAM a montré une surestimation des différentes variables. Cela s'explique par des différences dans le modèle d'extinction en particulier. Pour un régime sévèrement sous-ventilé, les résultats numériques ont montré un comportement différent de ce qui a été observé expérimentalement
The aim of this work is to study the development of compartment fires. Tests were conducted on a small scale using a heptane pool as the fire source. A second set of experiments was conducted at an intermediate scale using a propane-fueled burner. In addition to the two classical regimes (well-ventilated and under-ventilated), during the intermediate scale tests, a transient regime with oscillatory behavior was observed. An experimental method was developed to measure the heat release rate inside and outside the compartment during an under-ventilated fire. This allowed us to characterize the transition between the different combustion regimes. Numerical simulations were also performed using FDS and FireFOAM. The agreement between simulations and experiments varies, depending on the combustion regime. Indeed, it was found that for the well-ventilated regime, the numerical results show a good agreement with the experiments. For a moderately under-ventilated regime, the FDS simulations are in good agreement with the experiments, while, FireFOAM simulations showed an overestimation of the different variables. diffrences in the extinction model may explain this observation. For a severely under-ventilated regime, the numerical results showed a different behavior from what was observed experimentally
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Foussette, Karen. "Nouveaux rapports socio-spatiaux & marges métropolitaines : quel espace pour les couches intermédiaires en Gironde ?" Bordeaux 3, 2011. http://www.theses.fr/2011BOR30060.

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Анотація:
Les marges métropolitaines bordelaises connaissent les mêmes transformations, générées par les processus de métropolisation et de périurbanisation que l’espace urbanisé français depuis les années 1970. Dans le cas de Bordeaux, le premier processus vient alimenter le second. Cependant, les petites villes et gros bourgs de ces espaces ruraux ne sont pas pour autant dévitalisés ou changés en cités-dortoirs. Ils demeurent un élément fondamental des pratiques spatiales de leurs habitants. Ils restent un référent important pour les classes moyennes observées. Leur rôle s’est complexifié. Leurs représentations, sociales surtout, sont assimilées à une forme de ruralité, tandis que leurs pratiques en font les éléments urbains de base des spatialités. L’éclatement des territorialités des individus des couches intermédiaires est concomitant d’une nouvelle forme de perception spatiale. L’espace n’est plus considéré selon la dialogique traditionnelle ville-campagne. Bien que ces deux notions en soient des hauts-lieux. L’espace n’est plus perçu comme un continuum. L’enchaînement dans le vécu et les trajectoires de vie des résidences urbaines et rurales est corrélé aux représentations de la ville, de la campagne, de l’individu, de la famille, de la mobilité, de l’immobilité et du cycle de vie. L’espace est désormais, pour ces personnes, de forme archipellaire structurée par des réseaux en rhizomes. Il intègre le rapport à la mobilité. Il est également associé à la perception du temps avec les espaces-temps du quotidien de l’individu qui séquencent les espaces et les temps de l’individu et de la famille. L’espace de vie des classes moyennes est articulé par des lieux synaptiques, des trajets, la forme archipellaire, un rapport social et temporel différent selon les lieux et les espaces interconnectés. Le point central, le nœud principal de ces territorialités est l’univers pavillonnaire, il est recentré sur la famille, valeur primordiale pour ces individus
Since the seventies, Bordeaux’s urbain fringes experience the same tranformations as the French urbanized space, generated by the processes of metropolisation and urban sprawl. In Bordeaux’s case study, the first process feeds the second. However, small towns and major boroughs of theses rural spaces are not necessarily devitalized or changed into dormitory-town. They stay a fundamental element of their spatial practices. They remain an important referent for the observed middle-classes. Their role has been made more complex. Their representations, mostly social, are assimilated to a form of rurality, while their practices become the basic urban elements of spatialities. The territorialities outburst of the middle class’s individuals is concomitant to a new form of spatial perception. Space is not considered anymore in terms of the traditional dialogical city-campaign. Although both notions are landmarks, space is not perceived anymore as a continuum. The sequencing in life and life trajectories of urban and rural residences are correlated to the representations of the city, countryside, individual, family, mobility, stillness and life cycle. From now on, space takes the shape of an archipelago structured by rhizomes networks for these persons. It includes the link with mobility. The space is also associated with time perception and with individual’s daily spaces-times, which cut into sequences spaces and times of the individual and the family. The middle-classes’living space is articulated by synaptic places, transtis, the shape of an archipelago, a different social and temporal relationship according to interconnected places and spaces. The key element, the principal knot of these territorialities, is the (suburban) private housing universe, which is reoriented on the family, which is the primordial value for theses individuals

Книги з теми "Petits espaces (habitations)":

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Damidot, Valérie. Décorer et aménager un studio: Tous les conseils et astuces de Valérie Damidot. [Paris]: Hachette pratique, 2008.

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Cañizares, Ana Cristina G. Small urban interiors: 500 solutions for living. Edited by Asensio Cerver Francisco. New York, NY: Universe, 2002.

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Canizares, Ana G. Small Urban Interiors: 500 Solutions for Living. Universe Publishing, 2002.

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