Статті в журналах з теми "Petit mammifère"

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Abeywickrama-Samarakoon, Natali, Jean-Claude Cortay, Camille Sureau, Dulce Alfaiate, Massimo Levrero, and Paul Dény. "Réplication du génome du virus de l’hépatite delta : un rôle pour la petite protéine delta S-HDAg." médecine/sciences 34, no. 10 (October 2018): 833–41. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2018209.

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Анотація:
Le virus de l’hépatite delta, aussi appelé virus de l’hépatite D ou HDV, est un agent viral défectif à ARN de polarité négative. Il se réplique dans les cellules de mammifère et infecte l’homme. Son génome est un petit ARN circulaire monocaténaire d’environ 1 680 nucléotides. Pour se propager, HDV a cependant besoin d’un autre virus, le virus de l’hépatite B (HBV), qui lui fournit les protéines d’enveloppe nécessaires à l’assemblage de ses virions et à la propagation de l’infection. Les manifestations cliniques graves de l’infection combinée HBV-HDV vont des formes aiguës d’hépatites fulminantes aux formes chroniques de fibroses du foie (cirrhose), qui peuvent conduire à un carcinome hépatocellulaire. Une originalité de l’HDV repose sur la ressemblance de son génome avec celui des viroïdes, des agents infectieux des plantes constitués de petits ARN circulaires non encapsidés. Dépourvu de toute activité réplicase virale, l’HDV doit utiliser l’activité ARN polymérase-ADN dépendante de la cellule qu’il infecte pour répliquer son ARN génomique. Comment dès lors, cette réplication se réalise ? Nous aborderons dans cette revue les principales étapes de la transcription et de la réplication de ces ARN viraux.
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Hugueney, M., and C. Bulot. "Les petits Mammifères du Burdigalien (MN3; Miocène) d’Estrepouy (Gers, France): liste faunique actualisée." Estudios Geológicos 67, no. 2 (December 30, 2011): 427. http://dx.doi.org/10.3989/egeol.40584.200.

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Анотація:
[fr] La liste faunique des petits mammifères d’Estrepouy (Bassin Aquitain, France) est revue: du matériel nouveau est ajouté et les déterminations sont mises à jour. Les petits mammifères sont représentés par une trentaine d’espèces (dont sept insectivores), alors que le gisement un peu plus récent de Wintershof- West (Allemagne) - représentatif du niveau mammalien MN3 - atteint plus de quarante espèces (dont vingt insectivores). Les différences dans la représentation des espèces semblent indiquer à Estrepouy un paléoenvironnement plus sec; toutefois, en Espagne, le paléoenvironnement du niveau MN3 semble encore plus sec.
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TRAP, D. "Les petits mammifères sauvages, source de lesptospirose." Revue Scientifique et Technique de l'OIE 7, no. 4 (December 1, 1988): 885–99. http://dx.doi.org/10.20506/rst.7.4.374.

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Bédard, Yves, Éric Alain, Yves Leblanc, Marc-André Poulin, and Mathieu Morin. "Conception et suivi des passages à petite faune sous la route 175 dans la réserve faunique des Laurentides." Le Naturaliste canadien 136, no. 2 (May 11, 2012): 66–71. http://dx.doi.org/10.7202/1009109ar.

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Анотація:
Afin d’atténuer la perte de connectivité engendrée par l’élargissement de la route 175 dans la réserve faunique des Laurentides, 36 passages fauniques (dont 33 spécifiques pour la petite faune) ont été construits entre le km 60 et le km 144 à partir de 2006. Ces passages fauniques ont été conçus en considérant le meilleur emplacement possible pour leur implantation, le type de passage et de clôture à y installer et l’aménagement des approches. Quatre types de passage ont été retenus, soit l’aménagement du lit majeur, le passage de type marche, la tablette en porte-à-faux et le tuyau sec en béton armé. Le suivi des passages a débuté en 2009 et a d’abord été effectué à l’aide de tampons encreurs, puis avec des caméras. Durant les 2 années de suivi, 23 espèces de mammifères ont été observées dans les passages. Un inventaire exhaustif des passages est en cours afin de déterminer les caractéristiques qui influencent leur utilisation, dans le but d’optimiser la planification des futurs passages fauniques pour la petite faune ailleurs au Québec.
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Contoli, Longino, Anna Rosa Marenzi, and Ileana Napoleone. "Une banque de données sur les systèmes trophiques «rapaces-petits mammifères terrestres»." Bolletino di zoologia 52, no. 3-4 (January 1985): 309–21. http://dx.doi.org/10.1080/11250008509440533.

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COUROT, M., and P. VOLLAND-NAIL. "Conduite de la reproduction des mammifères domestiques : présent et futur." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 5, 1991): 21–29. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4314.

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Анотація:
Les techniques modernes de reproduction appliquées aux mammifères domestiques ont pour but d’accroître l’efficacité de la production de jeunes dans les conditions choisies par les éleveurs. Cette revue présente les différentes techniques disponibles pour atteindre un tel objectif. Pour les mâles, en plus de l’utilisation de semence par insémination artificielle désormais possible chez toutes les espèces domestiques, l’accent est mis sur deux stratégies : d’une part, distribuer par insémination intra-utérine un petit nombre de spermatozoïdes des meilleurs reproducteurs (sur un plan génétique) à un maximum de femelles avec les plus grandes chances de fécondation, d’autre part, maintenir en permanence les mâles d’espèces saisonnées au maximum de leurs capacités de production spermatique par un régime photopériodique approprié. Pour les femelles, des techniques efficaces de contrôle de l’oestrus et de l’ovulation étant maintenant disponibles pour toutes les espèces domestiques, la reproduction peut être conduite au moment choisi par l’éleveur. Des techniques de reproduction plus complexes ont été développées avec la manipulation des embryons dans le but de diffuser plus largement le haut potentiel génétique des meilleurs reproducteurs. Si le transfert d’embryons est parvenu à un stade de développement commercial, la fécondation in vitro et les techniques de sexage ou de clonage des embryons sont encore au stade des études de laboratoire. Ces techniques sont néanmoins présentées car elles modifieront certainement la pratique de l’élevage dans l’avenir. En vue d’objectifs peut-être plus lointains, la transgenèse est aussi abordée chez les animaux domestiques. Enfin, une brève réflexion prospective évoque plusieurs aspects qui font déjà l’objet de recherches afin de mieux maîtriser ou rendre plus efficace la reproduction animale.
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CHEMINEAU, P., B. MALPAUX, J. P. BRILLARD, and A. FOSTIER. "Saisonnalité de la reproduction et de la production chez les poissons, oiseaux et mammifères d’élevage." INRAE Productions Animales 22, no. 2 (February 15, 2009): 77–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.2.3336.

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Анотація:
Les diverses productions issues d’animaux d’élevage sont fréquemment saisonnières, et par là même leur disponibilité en produits frais sur les marchés (viandes, lait et fromages, oeufs). Ceci relève, en partie, de la décision de l’éleveur qui vise à commercialiser ses produits à la période la plus favorable. Cette saisonnalité peut être aussi imposée par l’accès à des ressources alimentaires saisonnières, comme chez les herbivores, ou par des contraintes biologiques spécifiques, comme celle de la température de l’eau pour les poissons. Les variations saisonnières de la disponibilité en produits animaux sont aussi la conséquence de contraintes résultant d’une saison de reproduction plus ou moins marquée des animaux d’élevage qu’il s’agisse de poissons, d’oiseaux ou de mammifères. Sous des latitudes moyennes et hautes, la plupart des animaux d’élevage, comme leurs «cousins» sauvages, donnent en effet naissance à leurs petits en fin d’hiver et/ou au début du printemps, période souvent la plus favorable pour la survie des jeunes et la mise en place d’une nouvelle génération. En conséquence, la plupart des espèces manifestent des variations saisonnières de la fréquence d’ovulation (présence ou absence d’ovulations chez les mammifères et les poissons ; variations ou suppression des taux de ponte chez les oiseaux), de la qualité des gamètes (variations des taux de fécondation et de survie embryonnaire), mais aussi du comportement sexuel. Parmi les espèces d’intérêt en production animale, les oiseaux et les poissons sont généralement considérés comme plus directement sensibles aux facteurs externes (majoritairement température, mais aussi photopériode, pour les poissons et photopériode pour les oiseaux). Cependant, chez de nombreuses espèces incluant des mammifères, il est intéressant de constater que des traitements photopériodiques artificiels consistant en un éclairement supplémentaire pendant les jours courts naturels (chez le poulet, la dinde, la pintade, le mouton et la chèvre) ou de la mélatonine pendant les jours longs (chez le mouton et la chèvre), sont utilisés largement pour ajuster la période de reproduction aux souhaits de l’éleveur et/ou pour abolir complètement les variations saisonnières de la production spermatique dans les centres producteurs de semence destinée à l’insémination artificielle (mammifères), et dans les élevages (volaille, poissons). Par ailleurs, des traitements photopériodiques « purs » (sans mélatonine), en particulier lorsqu’ils sont appliqués en bâtiments ouverts, sont non invasifs et donc respectent pleinement le bien-être animal.
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Mboumba, Jean-François, Brice Roxan Momboua, Eline Perin, and Fréderic Ysnel. "Influence des perturbations anthropiques sur les communautés de petits mammifères des savanes gabonaises." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 4 (November 17, 2021): 1355–68. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.5.

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Анотація:
Les savanes gabonaises connaissent des feux anthropiques récurrents, entraînant des dommages sur cet écosystème. L’influence de ce facteur sur la diversité des micromammifères n’a jamais été étudiée. Une situation préoccupante pour ce taxon qui fait l’objet de très peu de programmes de protection. A travers l’analyse de la distribution spatiale des espèces (Muridés), l’étude vise à mesurer l’empreinte écologique des activités anthropiques dans trois régions du Gabon, présentant des niveaux de perturbations différents. Au total 259 individus appartenant à six espèces de muridés ont été capturés avec un effort de 6220 nuit-pièges. Les rendements de capture varient de 0,5 à 15%. Mus minutoides (62,5%) et Lemniscomys striatus (28.9%) sont les plus abondantes. La richesse spécifique (S) varie de 1 à 4 espèces dans les savanes post -feu, alors qu’elle est de 5 dans les savanes protégées des feux, et de 2 espèces dans les savanes fauchées puis brulées. La diversité la plus élevée a été observée dans les savanes non exposées au feu (H’= 1,10 ; J= 0,68). Ceci atteste que le feu influe sur l’abondance, et lorsqu’il est préalablement associé à la fauche, il agirait à la fois sur la diversité et sur l’abondance d’espèces locales. English title: Influence of human disturbance to the small mammal communities in the Gabonese savannahs In the issue of the use of recurrent fires in Gabon, we carried out an inventory both in the Gabonese savannahs that are regularly burned and in those that are not. The study was carried out in the southern and central savannahs of Gabon during the periods from 2004, 2012 and 2013. A total of 259 individuals representing six species of small savannah rodents were captured over 6,220 trap nights. Trap success was variable (0.5 to 15%). Mus minutoides (62.5%) and Lemniscomys striatus (28.9%) are the most abundant. Small rodent abundance was significantly higher in the savannahs protected from fires. The species richness varies from 1 to 4 species in the post-fire savannahs and up to 5 species in the savannahs protected from fires. The savannahs that were mowing prior to burning have yielded only 2 species. The highest diversity index (H’) is found in savannahs not exposed to fire (H’= 1.10). Bush fires seem to have a direct effect on species abundance. Conversely, when savannahs are mown prior to burning, both the diversity and abundance of local species communities are affected. This study gave an initial idea of the diversity of the rodent population in this the recurrent use to fires.
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Berthet, Didier, François Escuillié, and Marguerite Hugueney. "Les faunes de petits mammifères de Billy-Créchy (Allier) à la transition Oligocène-Miocène." Cahiers scientifiques du Muséum d'histoire naturelle de Lyon - Centre de conservation et d'étude des collections 8, no. 1 (2005): 7–31. http://dx.doi.org/10.3406/mhnly.2005.1337.

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N’goran, N’guessan Serge Pacôme, Noémie Cappelle, Eloi Anderson Bitty, Emmanuelle Normand, and Yves Aka Kablan. "Détermination par caméra piège des périodes d’activité de quelques mammifères terrestres au Parc National de Taï." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 5 (September 14, 2020): 1673–88. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.15.

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Анотація:
Les périodes d’activité des animaux difficilement observables des forêts primaires sont peu connues. Des caméras pièges ont été utilisées pour établir les périodes d’activité de quelques mammifères au Parc national de Taï. Ces caméras non appâtées ont été installées d’octobre 2016 à août 2017. L’enregistrement de l’heure et la date de chaque observation a permis de déterminer des activités nocturnes, diurnes et cathémérales (actif le jour et la nuit) des espèces à travers le pourcentage des vidéos obtenues. Les heures d’activité pour chaque espèce étaient concentrées autour du vecteur moyen (heure moyenne autour de laquelle sont concentrées les heures d’activité de l’espèce) et réparties de manière non-uniforme pendant la période de 24h. Les mammifères de petite masse corporelle (< 10 kg) avaient des tendances nocturnes alors que ceux de grande masse corporelle (> 10 kg) avaient des tendances nocturnes, diurnes ou cathémérales. Certaines espèces cathémérales ont montré des périodes d’activité à prédominance diurne ou nocturne et doivent faire l’objet d’études supplémentaires enfin de connaître les facteurs influençant leur régime d’activité.Mots clés : caméra piège, taux de capture, mammifères, vecteur moyen. English Title: Activity periods of some terrestrial mammals by using camera traps in Taï National ParkDetermination of cryptic animal’s activity periods is problematic in primary forests and reminds poorly known. Hence, in the Tai National Park, camera traps were used to establish the periods of activity of some mammals. These non-baited cameras were installed in the research area of the park from October 2016 to August 2017. Recording the time and date of each observation enabled to determine nocturnal, diurnal and cathemeral activities of each species through the percentage of videos obtained. Hours of activity for each species were concentrated around the mean vector and were not uniformly distributed over the 24-hour period. Furthermore, mammals with smaller body mass (<10 kg) had nocturnal tendencies whereas those with larger body mass (> 10 kg) had nocturnal, diurnal or cathemeral tendencies. Certain cathemeral species have predominantly shown day or night periods of activity and must be subject to further studies to find out more about the factors influencing their regimes of activity.Keywords: camera trap, detection rate, mammals, mean vector.
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HEYMAN, Y., P. CHAVATTE-PALMER, X. VIGNON, C. RICHARD, and J. P. RENARD. "Le clonage somatique : un état des lieux chez les bovins et les petits ruminants." INRAE Productions Animales 18, no. 5 (December 18, 2005): 339–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.5.3537.

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Анотація:
Parmi les récentes biotechnologies de la reproduction chez les mammifères d’élevage, le clonage par transfert de noyaux somatiques constitue un pas en avant depuis la naissance de la brebis Dolly. Cet article fait le point sur les résultats actuels obtenus dans le monde chez les bovins et les petits ruminants, les limites de la technique et les applications potentielles. L’efficacité globale du clonage (nombre de jeunes nés /nombre d’embryons reconstitués) reste encore faible (≤ 7 %), mais elle progresse régulièrement. Elle est cependant limitée par l’existence de mortalités embryonnaires et de physiopathologies fœtales importantes après transplantation des embryons clonés dans des femelles porteuses. Après leur naissance, les bovins clonés font l’objet d’un programme de recherches à l’INRA pour évaluer leur santé, leurs performances à l’âge adulte ainsi que les éventuels risques associés au clonage. Malgré l’existence de différentes barrières biologiques encore mal maîtrisées, plusieurs applications du clonage peuvent être envisagées dont la production d’ animaux modèles de maladies, la contribution à la sélection bovine, la reproduction de génotypes rares, ou bien, l’association avec la transgénèse pour des utilisations à des fins biomédicales. Les recherches en cours prennent en compte la réflexion éthique et la perception sociale du clonage animal.
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Jaeger, Jochen A. G., Ariel G. Spanowicz, Jeff Bowman, and Anthony P. Clevenger. "Clôtures et passages fauniques pour les petits et moyens mammifères le long de la route 175 au Québec : quelle est leur efficacité ?" Routes et petite et moyenne faune 143, no. 1 (November 28, 2018): 69–80. http://dx.doi.org/10.7202/1054120ar.

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Анотація:
Au Québec, certains des premiers passages fauniques pour les petits et moyens mammifères ont été installés lors de l’élargissement de la route 175. L’efficacité de 18 structures et des clôtures près de leur entrée a été évaluée grâce à un suivi continu par des caméras de surveillance et des enquêtes sur les animaux frappés par les véhicules au cours des étés de 2012 à 2015. La plupart des espèces ont utilisé plus souvent les ponceaux secs en béton et ceux avec pied sec de type tablette de bois installée en porte-à-faux que les ponceaux avec pied sec de type tablette de béton. Il y a eu significativement plus de mortalité routière animale aux extrémités des clôtures que dans les tronçons de route clôturés et ceux non clôturés. La mortalité routière animale était moindre dans les tronçons de route clôturés (et aux extrémités de clôtures correspondantes) où la faune utilisait plus souvent les structures. Bien qu’en général, les passages installés aient été couronnés de succès, plusieurs espèces utilisent peu ou pas ces structures, et des améliorations sont nécessaires. Nous présentons plusieurs recommandations visant à améliorer l’atténuation de l’impact des routes sur la faune, ainsi que de futurs programmes de suivi et de recherche.
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Houemenou, G., B. Kassa, and R. Libois. "Ecologie, diversité spécifique et abondance des petits mammifères de la ville de Cotonou au Bénin (Afrique de l’Ouest)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 8, no. 3 (October 17, 2014): 1202. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v8i3.31.

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Paillat, Gilles, and Alain Butet. "Utilisation par les petits mammifères du réseau de digues bordant les cultures dans un paysage poldérisé d’agriculture intensive." Ecologia mediterranea 23, no. 1 (1997): 13–26. http://dx.doi.org/10.3406/ecmed.1997.1818.

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Keita, Namory, Raphael Dore, Aboubacar Hady Toure, Kerfalla Kourouma, and Mamadou Cellou Balde. "Propagation du Lyssavirus chez les petits mammifères (Muridae et Soricidae) dans la Préfecture de Kindia, République de Guinée (Basse Guinée)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 3 (September 7, 2021): 860–68. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i3.1.

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Анотація:
L’étude porte sur la propagation du Lyssavirus chez les petits mammifères dans la Préfecture de Kindia (Basse Guinée) a été réalisée entre avril 2015 et mars 2016 dans les différents biotopes (Maisons habitées, Forêts-Buissons, Champs agricoles, Entrepôts et Berges) et qui a pour objectif: Contribuée à l’amélioration de l’état de santé de la population. Pendant cette période d’étude, 412 rongeurs repartis en 12 espèces ont été capturées à savoir le rat d’herbe-Arvicanthis rufinus, les rats-Cricetomys gambianus, les rats-Crocidurinae spp., les souris rayées-Lemniscomys striatus, Lophuromys ansorgei, Lophuromys sikapusi, le rat à mamelles multiples-Mastomys spp., souris de maison-Mus musculus, Pelomys fallax, le rat de forêt-Praomys rostratus, le rat noir-Rattus rattus et le Malacomys edyardsi spp. Les plus répandus sont les Mastomys, Rattus rattus, Mus musculus et Cricetomys gambianus. En saison sèche, le nombre de rongeurs capturés dans la préfecture de Kindia a atteint 292 (71%) contre 120 (29%) rongeurs en saison pluvieuse. Pour des fins de recherches virologiques, le cerveau de 221 rongeurs a été prélevé et analysé parmi eux, 18 (8%) ont été trouvé porteurs de l’ARN de Lyssavirus. English title: Spread of Lyssavirus among small mammals (Muridae and Soricidae) in Kindia prefecture, Republic of Guinea (Lower Guinea) The study focuses on the spread of Lyssavirus among small mammals in the Prefecture of Kindia (Lower Guinea) was carried out between April 2015 and March 2016 in the different biotopes (inhabited houses, Forests-Bushes, Agricultural fields, Warehouses and Banks) and which has for objective: Contributed to the improvement of the state of health of the population. During this period, 412 rodents were caught in 12 species including the grass rat-Arvicanthis rufinus, the Cricetomys gambianus-rats, the Crocidurinae spp rats, striped mice Lemniscomys striatus, Lophuromys ansorgei, Lophuromys sikapusi, the multiple-teat rat-Mastomys spp., house mouse-Mus musculus, Pelomys fallax, forest rat-Praomys rostratus, black rat-Rattus rattus, and Malacomys edwardsi spp. The most common are: Mastomys spp., Rattus rattus, Mus musculus and Cricetomys gambianus. In the dry season, the number of rodents caught in the prefecture of Kindia reached 292 (71%) against 120 (29%) rodents caught during the rainy season. For virological research purposes, the brain of 221 rodents was collected and analyzed among them 18 rodents (8%) were found to carry Lyssavirus RNA.
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Chabasse, D., C. Guiguen, A. Couatarmanac’h, H. Launay, V. Reecht, and C. De Bièvre. "Contribution à la connaissance de la flore fongique kératinophile isolée des petits Mammifères sauvages et du lapin de garenne en France." Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 62, no. 4 (1987): 357–68. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1987624357.

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Bellefeuille, Sonia de, Nancy Gagné, Louis Bélanger, Jean Huot, Agathe Cimon, Stéphane Déry, and Jean-Pierre Jetté. "Effets de trois scénarios de régénération de la sapinière boréale sur les passereaux nicheurs, les petits mammifères et le lièvre d'Amérique." Canadian Journal of Forest Research 31, no. 8 (August 1, 2001): 1312–25. http://dx.doi.org/10.1139/x01-071.

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We compared wildlife utilization of recent clearcuts subjected to three regeneration scenarios commonly used in boreal balsam fir (Abies balsamea (L.) Mill.) forests: natural regeneration, plantation of black spruce (Picea mariana (Mill.) BSP) followed by herbicide release (glyphosate), and plantation of black spruce followed by manual release (brushsaw). The wildlife species studied were songbirds, small mammals and the snowshoe hare (Lepus americanus Erxleben). Surveys were conducted during the 2 years preceding and the 5 years following conifer release. The abundance of songbirds decreased the second and third years after both types of release, and the abundance of the red-backed vole (Clethrionomys gapperi Vigors) was reduced for 2 years following herbicide release. Snowshoe hares rarely used the stands during the 8 to 10 years that followed logging, so conifer release did not affect them. In this study, the short- and mid-term effects of the regeneration scenarios on wildlife may have been mitigated by the poor quality of clearcuts as wildlife habitats at the time of release and by the fact that plantations, like naturally regenerated sites, had a heterogeneous vegetation and a well-developed herb and shrub cover. In the humid balsam fir forest, where vegetation growth is slow and snow cover deep, the size and distribution of clearcuts would have greater effects on wildlife in the short and mid term than the regeneration scenario used for forest renewal. A landscape management approach inspired by natural disturbance dynamics is proposed as a mitigation measure.
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Rakotomalala, Zafimahery, and Steven M. Goodman. "Diversité et remplacement longitudinal des espèces de petits mammifères dans les forêts des bassins versants des fleuves de l’ouest de Madagascar." Revue d'Écologie (La Terre et La Vie) 65, no. 4 (2010): 343–58. http://dx.doi.org/10.3406/revec.2010.1541.

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Révillion, Christophe, Erwan Lagadec, Gildas Le Minter, Nadine Dessay, Vanina Guernier, Aurélie Sand, Pablo Tortosa, Koussay Dellagi, and Vincent Herbreteau. "Utilisation de la très haute résolution spatiale pour la caractérisation des habitats de rongeurs, vecteurs de zoonoses à la Réunion." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 209 (January 29, 2015): 65–71. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.212.

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Connaître la distribution des espèces vectrices de zoonoses est fondamentale pour comprendre les dynamiques épidémiologiques et caractériser les zones à risque. Cette distribution peut être appréhendée à différentes échelles : régionalement, l'aire de répartition de ces espèces définit les limites d'occurrence de la transmission d'agents pathogènes et, localement, leurs niches déterminent l'aléa. Cette dernière échelle requiert une connaissance très précise des milieux qui peut être acquise par l'analyse d'images satellite à très haute résolution spatiale. Dans le cadre d'un projet de recherche sur la leptospirose à La Réunion (LeptOI), cette étude propose de mesurer le potentiel d'utilisation d'une image Pléiades (pixels de 50 cm) pour caractériser la distribution locale de différents petits mammifères terrestres autour de l'Etang de Saint-Paul. Trois campagnes de piégeage ont permis la capture de 134 animaux appartenant à quatre des cinq espèces présentes à La Réunion (Rattus rattus, R. norvegicus, Suncus murinus et Tenrec ecaudatus). Une analyse orientée-objet de l'image Pléiades a permis de discriminer dix classes d'occupation des sols avec une précision totale de 83,6%. Des indices paysagers ont été calculés à partir de cette classification autour de chacun des pièges (distances les plus courtes aux classes d'occupation, densité de contours et pourcentages de surface des classes au sein de zones tampon de 50 et de 100 mètres). Trois zones (« humide », « anthropisée » et « sèche ») sont clairement discriminées par ces variables, qui pourront être utilisées comme déterminants écologiques de différents profils épidémiologiques : la zone humide étant propice à la leptospirose et la zone anthropisée étant un lieu de co-occurrence des quatre espèces et ainsi potentiellement une zone d'échanges de pathogènes.
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PELLICER-RUBIO, M. T., S. FERCHAUD, S. FRERET, H. TOURNADRE, A. FATET, S. BOULOT, J. PAVIE, B. LEBOEUF, and F. BOCQUIER. "Les méthodes de maîtrise de la reproduction disponibles chez les mammifères d’élevage et leur intérêt en agriculture biologique." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 255–70. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3352.

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La maîtrise de la reproduction contribue à optimiser la productivité de l’exploitation. La réglementation de la production biologique n’impose pas de conduite de reproduction spécifique, mais limite les pratiques autorisées parmi l’ensemble des stratégies disponibles pour les éleveurs. Les conséquences de ces limitations sont plus ou moins pénalisantes selon l’espèce animale considérée. Ainsi, l’interdiction des traitements hormonaux représente le principal obstacle pour la maîtrise de la reproduction en agriculture biologique (AB) chez les petits ruminants et les porcins. La maîtrise de la saisonnalité de la reproduction est un objectif pour la plupart des éleveurs ovins et caprins. Dans ces deux espèces, la reproduction est possible tout au long de l’anoestrus saisonnier grâce à des traitements lumineux sans recours à la mélatonine, mais des difficultés de mise en œuvre font qu’ils sont aujourd’hui peu utilisés en AB. En élevage conventionnel ovin et caprin, l’insémination artificielle (IA) est réalisée à un moment fixe après synchronisation hormonale des ovulations et sans détection d’oestrus. En AB, l’IA est autorisée sur chaleurs naturelles : cela implique la pratique systématique de la détection des chaleurs sur plusieurs jours pour identifier les femelles à inséminer. Pour cette raison, l’IA est très peu pratiquée en AB chez ces deux espèces. La synchronisation des ovulations par effet mâle est une alternative prometteuse pour simplifier les protocoles d’IA, facilitant l’accès des éleveurs AB aux schémas de sélection et donc la généralisation de cette pratique. La conduite de reproduction la plus courante en élevage de porc conventionnel est dite en 7 bandes. La durée du cycle d’une bande est de 21 semaines dont 4 semaines d’allaitement. En AB, le règlement européen impose l’augmentation du temps d’allaitement des porcelets à 40 j minimum. En pratique, le sevrage a lieu à 42 j avec une conduite en 8 bandes, le cycle de reproduction s’étend donc à 23 semaines. En AB comme en conventionnel, le sevrage est la principale méthode utilisée pour la synchronisation de l’oestrus des truies dans leur bande. L’efficacité de la conduite en bandes est toutefois pénalisée en AB par l’interdiction des traitements hormonaux, utilisés fréquemment en conventionnel pour intégrer les cochettes dans les bandes, pour recycler des femelles décalées ou pour prévenir des oestrus de lactation. Cependant, l’interdiction de l’utilisation d’hormones ne pénalise pas la pratique de l’IA car elle est réalisée sur oestrus naturels synchronisés par le sevrage chez la majorité des producteurs en AB et en élevage conventionnel. Chez les bovins, l’insémination est pratiquée de manière générale sur chaleurs naturelles. Lors de la mise à la reproduction, la mise en place de la semence est réalisée par insémination artificielle (majoritaire en élevage laitier) ou par monte naturelle (majoritaire en élevage allaitant). L’interdiction des traitements hormonaux d’induction et de synchronisation des chaleurs n’est donc pas pénalisante en AB par rapport à l’élevage conventionnel. La mise à la reproduction est possible toute l’année, avec des contraintes qui diffèrent selon les objectifs de production. Les voies de recherche pour le développement de méthodes naturelles de maîtrise de la reproduction utilisables en AB sont très diverses, multidisciplinaires et souvent communes aux différentes espèces de mammifères d’élevage. L’INRA contribue fortement à l’amélioration des méthodes existantes et à leur adaptation aux contraintes d’élevage. Il s’implique également dans la conception et la validation de nouvelles approches de maîtrise de la reproduction sans hormones. Ce développement ne pourra connaître un véritable essor que dans le cadre d’une relation étroite entre la recherche finalisée et les professionnels.
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Popova, L. V. "The micromammal fauna of the Dnieper modern channel alluvium: taphonomic and biostratigraphic implications [ La faune des petits mammifères des alluvions du lit fluvial actuel du Dniepr : implications taphonomiques et biostratigraphiques.]." Quaternaire 15, no. 1 (2004): 233–42. http://dx.doi.org/10.3406/quate.2004.1770.

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Fernando Simal, Adriana Vallarino, and Elisabeth Albers. "Conservation opportunities for tern species at two Ramsar sites on Bonaire, Caribbean Netherlands." Journal of Caribbean Ornithology 35 (July 26, 2022): 63–69. http://dx.doi.org/10.55431/jco.2022.35.63-69.

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Abstract The island of Bonaire is a nesting location for at least four tern species: a subspecies of the Least Tern (Sternula antillarum antillarum), the Common Tern (Sterna hirundo), the Royal Tern (Thalasseus maximus), and a subspecies of the Sandwich Tern (Thalasseus sandvicensis eurygnathus). The island is also a significant nesting site for the Caribbean Least Tern (Sternula antillarum) population. Our main objectives were to: a) measure and compare breeding success at five known nesting sites on northern Bonaire, b) document and compare the impact of natural and introduced predators on each site, and c) give management recommendations for increasing breeding success based on our results. Our nest counts from 2014 indicate a significant decline in nest abundance compared to historical observations from the 1950s, matching previous studies and observations from the last two decades. Among the five nesting sites in our study, terns at the two island sites had the largest number of breeding pairs and achieved the greatest success, fledging a maximum of ~0.8 chicks per nest, compared to all other sites which were connected to the shoreline. We recorded rats and cats as predators at the peninsula site and field observations suggested that predation by Laughing Gulls (Leucophaeus atricilla) might also be occurring at two sites. Both natural and artificial islands on hypersaline lagoons provide good nesting sites for terns on Bonaire as they are protected from mammalian predators. However, recreational disturbance remains the single most serious and pervasive threat to the future of seabird nesting on Bonaire and requires concerted action. We propose a list of management actions to increase the numbers of nesting terns throughout the sites studied. Increasing protection from predators and human disturbance by making artificial nesting islands will provide the potential for Bonaire, and its sister islands, to become major refuges for southern Caribbean metapopulations of these four tern species. Keywords Bonaire, breeding success, Caribbean Netherlands, Cayenne Tern, Dutch Caribbean, Least Tern, Ramsar, Sternula antillarum, terns, Thalasseus sandvicensis eurygnathus Resumen Oportunidades de conservación para especies de charranes en dos sitios Ramsar de Bonaire, Caribe Neerlandés • La isla de Bonaire es un lugar de nidificación para al menos cuatro especies de charranes: la subespecie Sternula antillarum antillarum, Sterna hirundo, Thalasseus maximus y la subespecie Thalasseus sandvicensis eurygnathus. También es un importante lugar de nidificación para la población caribeña de Sternula antillarum. Nuestros objetivos principales fueron: a) medir y comparar el éxito reproductivo en cinco sitios de nidificación conocidos en el norte de Bonaire, b) documentar y comparar el impacto de los depredadores naturales e introducidos en cada sitio, y c) dar recomendaciones de manejo para aumentar el éxito reproductivo en base a nuestros resultados. Nuestros conteos de nidos en 2014 indican una disminución significativa de su abundancia en comparación con las observaciones históricas de la década de 1950, lo que coincide con los estudios y observaciones de las últimas dos décadas. Entre los cinco sitios de anidación de nuestro estudio, los dos en las islas albergaron la mayor número de parejas reproductoras y tuvieron el mayor éxito reproductivo, con un máximo de ~0.8 polluelos por nido, en comparación con todos los sitios conectados a la costa. Registramos ratas y gatos como depredadores en el sitio de la península y las observaciones de campo sugirieron que la depredación por parte de Leucophaeus atricilla también podría estar ocurriendo en dos de los sitios. Tanto las islas naturales como las artificiales en las lagunas hipersalinas proporcionan buenos lugares de nidificación para los charranes en Bonaire, ya que están protegidos de los mamíferos depredadores. Sin embargo, los disturbios por actividades recreativas sigue siendo la amenaza más grave y generalizada para el futuro de la nidificación de las aves marinas en Bonaire y requiere una acción de conjunto. Proponemos una lista de acciones de manejo para incrementar el número de charranes que nidifican en los sitios estudiados. El aumento de la protección contra los depredadores y los disturbios humanos mediante la creación de islas artificiales para la nidificación, proporcionará el potencial para que Bonaire, y sus islas hermanas, se conviertan en importantes refugios para las metapoblaciones del sur del Caribe de estas cuatro especies de charranes. Palabras clave Bonaire, Caribe neerlandés, charranes, éxito reproductivo, Ramsar, Sternula antillarum, Thalasseus sandvicensis eurygnathus Résumé Possibilités de conservation des sternes sur deux sites Ramsar à Bonaire, dans les Antilles néerlandaises • Bonaire est un lieu de nidification pour au moins quatre espèces de sternes : une sous-espèce de la Petite Sterne (Sternula antillarum antillarum), la Sterne pierregarin (Sterna hirundo), la Sterne royale (Thalasseus maximus), et une sous-espèce de la Sterne caugek (Thalasseus sandvicensis eurygnathus). Cette île est particulièrement importante pour la reproduction de la population caribéenne de Petite Sterne (Sternula antillarum). Les principaux objectifs de nos travaux étaient de : a) mesurer et comparer le succès de la reproduction sur cinq sites de nidification connus au nord de Bonaire ; b) documenter et comparer l’impact des prédateurs naturels et introduits sur chaque site ; et c) formuler des recommandations pour une gestion favorisant l’augmentation du succès de reproduction. Nos comptages de nids de 2014 indiquent un déclin significatif de leur abondance par rapport aux observations des années 1950, comme le constataient les études et observations réalisées au cours des deux dernières décennies. Parmi les cinq sites de nidification de notre étude, les deux sites insulaires accueillaient le plus grand nombre de couples reproducteurs et ont obtenu le meilleur succès de reproduction, avec un maximum de ~0,8 poussin par nid, par rapport à tous les autres sites reliés au littoral. Nous avons noté la présence de rats et de chats comme prédateurs sur la péninsule, et des observations sur le terrain ont laissé supposer que la prédation par la Mouette atricille (Leucophaeus atricilla) pourrait également se produire sur deux sites. Les îles naturelles et artificielles des lagunes hypersalées constituent de bons sites de nidification pour les sternes à Bonaire, car elles sont protégées des mammifères prédateurs. Toutefois, les perturbations liées aux activités de loisir constituent la menace la plus répandue et la plus forte pour l’avenir de la nidification des oiseaux marins à Bonaire et nécessitent une action concertée. Nous proposons une liste de mesures de gestion pour favoriser l’augmentation du nombre de sternes nicheuses sur l’ensemble des sites étudiés. En renforçant la protection contre les prédateurs et les perturbations humaines par la création d’îlots de nidification artificiels, Bonaire et ses îles sœurs pourront devenir des refuges majeurs pour les métapopulations de ces quatre espèces de sternes dans le sud de la Caraïbe. Mots clés Antilles néerlandaises, Bonaire, Petite Sterne, Ramsar, sternes, Sterne caugek, Sternula antillarum, succès de reproduction, Thalasseus sandvicensis eurygnathus
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Rusk, Bonnie L. "Long-term population monitoring of the Critically Endangered Grenada Dove (<em>Leptotila wellsi</em>) on Grenada, West Indies." Journal of Caribbean Ornithology 30, no. 1 (December 16, 2017): 49–56. http://dx.doi.org/10.55431/jco.2017.30(1).49-56.

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Abstract: The Grenada Dove (Leptotila wellsi) is an IUCN-listed Critically Endangered species endemic to the island of Grenada, West Indies. Long-term population monitoring was carried out episodically between 1987 and 2007 using territory (spot) map­ping. Changes in distribution were also noted through 2016. The most recent population estimate of 136 individuals is based on territorial mapping of 68 males (assuming a 1:1 sex ratio) in 2007, representing a 25% decline from 182 individuals estimated immediately prior to Hurricane Ivan in 2003–2004. The species is limited almost exclusively to two areas in the southwest and on the west coast, with only a few individuals found outside these areas. Major threats include habitat loss and degradation due to residential and commercial development, small-scale agriculture, and fire. The impacts of these threats have been compound­ed by the impacts of extreme weather events such as Hurricane Ivan in 2004, and a high incidence of introduced mammalian predators. Keywords: abundance, endangered, endemic, Grenada Dove, Leptotila wellsi Resumen: Monitoreo poblacional a largo plazo de la En Peligro Crítico Paloma de Granada (Leptotila wellsi) en Granada, Caribe Insular—La Paloma de Granada (Leptotila wellsi) es catalogada por la UICN como una especie endémica y En Peligro Crítico en la isla de Granada, en el Caribe Insular. El monitoreo a largo plazo de la población se llevó a cabo de forma episódica entre 1987 y 2007 utilizando el mapeo de territorios (sitios). También se observaron los cambios en la distribución a lo largo de 2016. El esti­mado poblacional más reciente de 136 individuos está basado en el mapeo territorial de 68 machos (asumiendo una proporción de sexos de 1:1) en 2007, lo que representa una disminución del 25% de los 182 individuos estimados inmediatamente antes del huracán Iván en 2003–2004. La especie está limitada casi exclusivamente a dos áreas en el suroeste y la costa oeste, con sólo unos pocos individuos fuera de las mismas. Las principales amenazas incluyen la pérdida y degradación del hábitat para el desa­rrollo urbanístico y comercial, la agricultura a pequeña escala y el fuego. Los efectos de estas amenazas han sido agravados por los impactos de eventos climáticos extremos como el huracán Iván en 2004 y una alta incidencia de mamíferos depredadores. Palabras clave: abundancia, amenazada, endémica, Leptotila wellsi, Paloma de Granada Résumé: Surveillance à long terme de la population de la Colombe de Grenade (Leptotila wellsi) En danger critique sur Gre­nade, Antilles—La Colombe de Grenade (Leptotila wellsi) est une espèce endémique à Grenade, dans les Antilles, étiqueté En danger critique par l’UICN. Une étude à long terme de la population a été effectuée épisodiquement entre 1987 et 2007 en utili­sant la cartographie de territoire par secteur. Les changements dans la distribution de la colombe ont également été observés en 2016. L’estimation de la population la plus récente de 136 individus est basée sur une cartographie territoriale de 68 mâles (en supposant un ratio sexuel de 1 : 1) en 2007, ce qui représente une baisse de 25% par rapport à les 182 individus estimés im­médiatement avant l’ouragan Ivan en 2003-2004. L’espèce est limitée presque exclusivement à deux zones dans le sud-ouest et sur la côte ouest de Grenade, avec seulement quelques individus trouvés en dehors de ces zones. Les menaces principales com­prennent la perte et la dégradation de l’habitat pour le développement résidentiel et commercial, l’agriculture à petite échelle, et le feu. Les effets de ces menaces ont été aggravés par les impacts des calamités météorologiques tels que l’ouragan Ivan en 2004 et une forte incidence de mammifères prédateurs introduits. Mots clés: abondance, Colombe de Grenade, en danger, endémique, Leptotila wellsi
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Duquenne, Pauline. "Bien-être des petits mammifères médiateurs : enquête auprès de 212 structures de médiation animale de France métropolitaine et élaboration d’un guide de bonnes pratiques." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France 176 (2023). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2023.71042.

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Les petits mammifères regroupant les lapins, les petits rongeurs et les furets représentent une part non négligeable des animaux utilisés en médiation animale. Aujourd’hui, nous connaissons les nombreux bienfaits qu’ils procurent aux personnes participant à ces activités. Cependant, très peu d’études concernant le bien-être de ces animaux sont disponibles. Dans cette perspective, nous avons décidé d’interroger les intervenants en médiation animale de France métropolitaine sur la gestion des conditions de vie, de travail et du suivi médical de leurs petits mammifères. Au total, 212 réponses ont été exploitées et une dizaine d’entretiens ont été réalisés avec des intervenants afin de discuter des axes d’amélioration. Grâce à l’ensemble de ces résultats et à l’aide des intervenants et vétérinaires, l’élaboration d’un guide de bonnes pratiques a été proposé afin d’apporter des éléments de connaissances aux intervenants dans le but d’améliorer le bien-être de leurs petits mammifères médiateurs. Mots-clés : Bien-être animal, petits mammifères, médiation animale, intervenant en médiation animale, enquête
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Haddad, Nadia. "Les animaux hors d’Afrique peuvent-ils être concernés par la flambée de Monkeypox en cours, voire en devenir des acteurs importants." Bulletin de l'Académie vétérinaire de France 175 (2022). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2022.70989.

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La flambée extra-africaine inédite de monkeypox questionne sur le risque de transmission du virus Monkeypox (MPXV) à des animaux des pays nouvellement infectés et sur leur capacité à servir d’hôtes de liaison, voire à constituer des réservoirs autochtones pour ce virus zoonotique. Cette question est d’autant plus légitime que le rôle de réservoir de petits mammifères, rongeurs et écureuils en particulier, est fortement suspecté dans les pays d’Afrique centrale et de l’Ouest traditionnellement infectés. De plus, plusieurs espèces d’autres continents se sont montrées réceptives voire sensibles et capables de retransmettre le virus à d’autres animaux et/ou des humains. Du fait de la réalité de la transmission interhumaine, il devrait être recommandé, par principe de précaution, d’éviter tout contact et toute proximité entre les humains susceptibles d’excréter le virus et les animaux de compagnie, dont les NAC, les rongeurs synanthropes et les écureuils, afin d’anticiper tout risque même théorique d’infection. Mots clés : Variole du singe (monkeywpox), MPXV, Orthopoxvirus, zoonose, faune sauvage, animaux domestiques.
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Scott, Fred W., and Andrew J. Hebda. "ANNOTATED LIST OF THE MAMMALS OF NOVA SCOTIA." Proceedings of the Nova Scotian Institute of Science (NSIS) 42, no. 2 (November 1, 2004). http://dx.doi.org/10.15273/pnsis.v42i2.3600.

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Анотація:
The latest taxonomic, distributional, habitat and conservation status information is presented for a total of 91 species of marine and terrestrial mammals presently or historically known from Nova Scotia. Four of them are extirpated and one is extinct. Of the 86 remaining species 51 are terrestrial (46 native, 5 introduced). The terrestrial mammals include 9 species of Insectivora, 6 (+ one tentative) of Chiroptera, one Primate, 12 Carnivora, 1 Perrissodactyla, 3 Artiodactyla, 19 Rodentia and 1 Lagomorpha. Native species include Boreal, Transition Zone and Austral elements, the result of Nova Scotia’s mid-latitude position on the continental coast.The 32 recorded marine species include 6 Carnivora (5 seals, walrus) and 26 Cetacea: Delphinidae (10 species), Phocoenidae (1), Monodontidae (1), Kogiidae (2), Physeteridae (1), Ziphiidae (4), Eschrichtiidae (1, extirpated), Balaenopteridae (5) and Balaenidae (1).Since 1971 four small mammal species (Sorex gaspensis, S. dispar, Glaucomys volans and Microtus chrotorrhinus) have been added to the provincial fauna, as a result of the first systematic and intensive sampling ever done in Nova Scotia. All are disjunct and three of them are restricted to forested talus habitats in the Cobequid Mts. or the Cape Breton Highlands. With the two disjunct species already known (Sorex arcticus maritimensis and Peromyscus leucopus caudatus), there are 6 disjunct mammals in the province, comprising 14.3 % of native non-volant terrestrial mammals, 33 % of insectivores and 18.8 % of native rodents. Two of them (Sorex gaspensis and Microtus chrotorrhinus) occur only on Cape Breton Island. No other area of similar size north of Mexico has a comparable proportion of disjunct mammals.Cape Breton Island historically has had a depauperate mammal fauna, lacking 8 species that were present on the adjacent mainland. The building of the connecting Canso Causeway in 1953-55 had a major zoogeographic impact, as it caused the western third of the strait to freeze over in winter and allowed the invasion and establishment of four large mammal species (Canis latrans, Procyon lotor, Mephitis mephitis and Lynx rufus).Le document présente l’information la plus récente sur la taxonomie, la répartition, l’habitat et la situation de 91 espèces de mammifères marins et terrestres qui vivent actuellement ou ont déjà vécu en Nouvelle-Écosse. Quatre d’entre elles ont disparu et une est éteinte. Sur les 86 autres espèces, 51 sont terrestres (46 espèces indigènes et 5 espèces introduites). Les mammifères terrestres comprennent 9 Insectivora, 6 (+ une espèce provisoire) Chiroptera, un Primate, 12 Carnivora, un Perrissodactyla, 3 Artiodactyla, 19 Rodentia et un Lagomorpha. La Nouvelle-Écosse étant située à une latitude moyenne sur la côte continentale, les espèces indigènes qui y vivent sont des éléments de la zone boréale, de la zone de transition et de la zone australe.Parmi les 32 espèces marines signalées, on compte 6 Carnivora important a (5 phoques et le morse) et 26 Cetacea: Delphinidae (10 espèces), Phocoenidae (1), Monodontidae (1), Kogiidae (2), Physeteridae (1), Ziphiidae (4), Eschrichtiidae (1, disparue), Balaenopteridae (5) et Balaenidae (1).Depuis 1971, à la suite du premier échantillonnage systématique et intensif mené en Nouvelle-Écosse, quatre espèces de petits mammifères (Sorex gaspensis, S. dispar, Glaucomys volans et Microtus chrotorrhinus) se sont ajoutées aux espèces fauniques de la province. Ce sont toutes des espèces disjointes, et trois d’entre elles sont confinées aux talus d’éboulis boisés des monts Cobequid ou des hautes-terres du Cap-Breton. Si on inclut les deux espèces disjointes déjà connues (Sorex arcticus maritimensis et Peromyscus leucopus caudatus), il existe 6 espèces disjointes de mammifères dans la province, qui représentent 14,3 % des mammifères terrestres indigènes qui ne volent pas, 33 % des Insectivores et 18,8 % des Rongeurs indigènes. Deux d’entre elles (Sorex gaspensis et Microtus chrotorrhinus) ne sont présentes que dans l’île du Cap-Breton. Au nord du Mexique, aucune autre région de taille semblable n’a une telle proportion d’espèces disjointes de mammifères.Dans le passé, l’île du Cap-Breton renfermait relativement peu de mammifères : on y trouvait 8 espèces de moins que dans la partie continentale de la Nouvelle-Écosse. La construction de la levée de Canso en 1953-1955 a eu un impact important zoogéographique du fait que, depuis, le tiers ouest du détroit gèle durant l’hiver, ce qui a permis à quatre espèces de gros mammifères (Canis latrans, Procyon lotor, Mephitis mephitis et Lynx rufus) de gagner l’île et de s’y établir.
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Djami*, Yvan Kwidja, Davy Fonteyn*, Jean Semeki Ngabinzeke, Mvuezolo Nyimi Meeys, Florine Poulain, Ernestine Lonpi Tipi, and Cédric Vermeulen. "État des populations des mammifères terrestres dans la Réserve de Biosphère de Luki (République démocratique du Congo)." BASE, 2023. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.20430.

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Description du sujet. La faune mammalienne de la Réserve de Biosphère de Luki en République démocratique du Congo est soumise à de fortes pressions anthropiques menaçant son intégrité. Objectifs. Cette étude vise à caractériser la diversité et l’état de conservation de la communauté animale mammalienne de la réserve, non documentés à ce jour. Méthode. Pour y parvenir, une grille de 40 pièges photographiques a été déployée au cœur de la réserve durant 90 jours sur une surface de 32 km2. En parallèle, un suivi journalier de l’activité de chasse de 50 chasseurs, issus de cinq villages situés en périphérie de la réserve, a été entrepris durant 63 jours. Résultats. Les relevés des pièges photographiques ont permis de répertorier 14 taxons de mammifères, identifiés au moins au niveau du genre, parmi lesquels le chimpanzé (Pan troglotydes), espèce menacée d’extinction. Quant aux tableaux de chasse, 18 espèces ont été capturées sur la période suivie. Parmi les principaux groupes d’animaux recensés selon les deux approches, les rongeurs viennent en tête avec respectivement 86,4 % des détections par pièges photographiques et 66,9 % des prises par les chasseurs. Les espèces de taille moyenne, comme les céphalophes, sont peu détectées et peu capturées. Comparée à d’autres aires protégées d’Afrique centrale étudiées avec des dispositifs et des taux d’échantillonnages comparables, la réserve de Biosphère de Luki apparait bien pauvre en termes de diversité des espèces de mammifères. Conclusions. Ces résultats semblent indiquer une forte altération de la communauté mammalienne résidant dans la Réserve de Biosphère de Luki, malgré la présence d’une petite population relictuelle de chimpanzés. L’absence d’espèces de taille moyenne à grande dans les tableaux de chasse et leur très faible détection par pièges photographiques montrent l’urgence d’accroître l’effort de surveillance et questionnent la politique de gestion participative de la réserve mise en place depuis près de 20 années.
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Potvin, J., D. E. Cade, A. J. Werth, R. E. Shadwick, and J. A. Goldbogen. "Rorqual Lunge-Feeding Energetics Near and Away from the Kinematic Threshold of Optimal Efficiency." Integrative Organismal Biology 3, no. 1 (January 1, 2021). http://dx.doi.org/10.1093/iob/obab005.

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Abstract Humpback and blue whales are large baleen-bearing cetaceans, which use a unique prey-acquisition strategy—lunge feeding—to engulf entire patches of large plankton or schools of forage fish and the water in which they are embedded. Dynamically, and while foraging on krill, lunge-feeding incurs metabolic expenditures estimated at up to 20.0 MJ. Because of prey abundance and its capture in bulk, lunge feeding is carried out at high acquired-to-expended energy ratios of up to 30 at the largest body sizes (∼27 m). We use bio-logging tag data and the work-energy theorem to show that when krill-feeding at depth while using a wide range of prey approach swimming speeds (2–5 m/s), rorquals generate significant and widely varying metabolic power output during engulfment, typically ranging from 10 to 50 times the basal metabolic rate of land mammals. At equal prey field density, such output variations lower their feeding efficiency two- to three-fold at high foraging speeds, thereby allowing slow and smaller rorquals to feed more efficiently than fast and larger rorquals. The analysis also shows how the slowest speeds of harvest so far measured may be connected to the biomechanics of the buccal cavity and the prey’s ability to collectively avoid engulfment. Such minimal speeds are important as they generate the most efficient lunges. Sommaire Les rorquals à bosse et rorquals bleus sont des baleines à fanons qui utilisent une technique d’alimentation unique impliquant une approche avec élan pour engouffrer de larges quantités de plancton et bancs de petits poissons, ainsi que la masse d’eau dans laquelle ces proies sont situés. Du point de vue de la dynamique, et durant l’approche et engouffrement de krill, leurs dépenses énergétiques sont estimées jusqu’à 20.0 MJ. À cause de l’abondance de leurs proies et capture en masse, cette technique d’alimentation est effectuée à des rapports d’efficacité énergétique (acquise -versus- dépensée) estimés aux environs de 30 dans le cas des plus grandes baleines (27 m). Nous utilisons les données recueillies par des capteurs de bio-enregistrement ainsi que le théorème reliant l’énergie à l’effort pour démontrer comment les rorquals s’alimentant sur le krill à grandes profondeurs, et à des vitesses variant entre 2 et 5 m/s, maintiennent des taux de dépenses énergétiques entre 10 et 50 fois le taux métabolique basal des mammifères terrestres. À densités de proies égales, ces variations d’énergie utilisée peuvent réduire le rapport d’efficacité énergétique par des facteurs entre 2x et 3x, donc permettant aux petits et plus lents rorquals de chasser avec une efficacité comparable à celle des rorquals les plus grands et rapides. Notre analyse démontre aussi comment des vitesses d’approche plus lentes peuvent être reliées à la biomécanique de leur poche ventrale extensible, et à l’habilitée des proies à éviter d’être engouffrer. Ces minimums de vitesses sont importants car ils permettent une alimentation plus efficace énergétiquement.
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Henriques, Raimundo P. B., Denis C. Briani, Alexandre R. T. Palma, and Emerson M. Vieira. "A simple graphical model of small mammal succession after fire in the Brazilian cerrado / Un modèle graphique simple de repeuplement par les petits mammifères du cerrado brésilen après brûlis." mammalia 70, no. 3/4 (January 2006). http://dx.doi.org/10.1515/mamm.2006.044.

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