Добірка наукової літератури з теми "Patrimoine culturel – Maurice"

Оформте джерело за APA, MLA, Chicago, Harvard та іншими стилями

Оберіть тип джерела:

Ознайомтеся зі списками актуальних статей, книг, дисертацій, тез та інших наукових джерел на тему "Patrimoine culturel – Maurice".

Біля кожної праці в переліку літератури доступна кнопка «Додати до бібліографії». Скористайтеся нею – і ми автоматично оформимо бібліографічне посилання на обрану працю в потрібному вам стилі цитування: APA, MLA, «Гарвард», «Чикаго», «Ванкувер» тощо.

Також ви можете завантажити повний текст наукової публікації у форматі «.pdf» та прочитати онлайн анотацію до роботи, якщо відповідні параметри наявні в метаданих.

Статті в журналах з теми "Patrimoine culturel – Maurice":

1

Harvey, Fernand. "Le gouvernement Duplessis, l’éducation et la culture, 1944-1959." Les Cahiers des dix, no. 68 (March 31, 2015): 169–247. http://dx.doi.org/10.7202/1029294ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L’intervention du gouvernement de Maurice Duplessis dans les domaines de l’éducation et de la culture a peu retenu l’attention des historiens, sauf sous l’angle négatif pour l’un et l’autre cas. Le présent article se propose de mieux cerner l’idéologie, les stratégies et les réalisations de ce gouvernement dans ces deux domaines jugés inséparables dans l’esprit de Duplessis. Une première partie analyse les actions entreprises en regard de l’enseignement primaire, secondaire et professionnel mis sous pression avec le baby boom d’après-guerre et avec l’amplification des problèmes de financement des infrastructures scolaires. Le rôle des ministres Paul Sauvé, Omer Côté et de leurs collaborateurs y est abordé et, également, les contradictions qui émergent entre l’idéologie confessionnelle et le rôle croissant de l’État. La seconde partie est consacrée à la culture dans son rapport avec les arts, les lettres et le patrimoine. Dans quelle mesure le gouvernement Duplessis a-t-il contribué à développer des institutions culturelles publiques et à financer l’aide à la culture ? Après avoir analysé les dépenses du gouvernement à cet effet, le présent article passe en revue les différents secteurs culturels en considérant le rôle des principaux acteurs dont Maurice Duplessis, Omer Côté et Jean Bruchési. À la lumière de ce bilan, peut-on qualifier les années 1944-1959 comme étant celles de « la grande noirceur » ? Les faits permettent de dresser un portrait beaucoup plus nuancé de la situation.
2

Ruiz de Lacanal, Mª Dolores. "La otra lista del Patrimonio Mundial. El cambio cultural." Ge-conservacion 18, no. 1 (December 10, 2020): 82–91. http://dx.doi.org/10.37558/gec.v18i1.751.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Se trata de un artículo de opinión sobre aspectos teóricos de la Conservación del Patrimonio Cultural, concretamente sobre conceptos y términos. El artículo parte de un concepto bien conocido como es la Lista del Patrimonio Mundial realizada por la UNESCO con el fin de proteger aquellos lugares que tienen un valor universal excepcional, lugares con historia y/o dignos de ser conservados por su extraordinaria belleza. Tomando como referencia esta lista, el artículo plantea y propone hacer otra o completarla de manera que comprenda los lugares del planeta donde existe un vacío cultural, lugares donde la cultura y la identidad cultural están siendo destruidas o lugares donde se manifiesta claramente la pérdida de valores humanos y culturales.Se revisará el concepto de lugares de la memoria desarrollado por Pierre Nora y los lugares que se quieren olvidar de Pierre Vidal-Naquet. Se presentarán las ideas de Maurice Halbwachs y Marc Augé sobre los lugares de la memoria colectiva y los no-lugares y finalmente se recurrirá a los conceptos de humanidad, destrucción y barbarie abordados por notables filósofos y pensadores del siglo XX y XXI como el español José Ortega y Gasset y el francés Tzvetan Todorov. El artículo se realiza desde la conciencia de que el hombre y el patrimonio cultural se encuentran en peligro por distintas causas en diferentes partes del planeta. Se reconoce que los niveles de protección nacional e internacional no son suficientes y que junto a la lista de los lugares de interés cultural, podemos hacer otro mapa del mundo con los lugares que sufren los efectos del cambio cultural.
3

Mota Rodríguez, Arturo. "Hermenéutica de la identidad cultural y la arquitectura." Gremium 4, no. 7 (January 1, 2017): 11–18. http://dx.doi.org/10.56039/rgn07a03.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
En este trabajo se analizan las condiciones por las que puede establecerse una perspectiva hermenéutica en la comprensión de la identidad cultural, en su relación con la arquitectura. Tal análisis se realiza en cuatro partes, a saber: primeramente se plantea el problema de la relación entre identidad y cultura; en la segunda y tercera partes, se incluye la hermenéutica como guía de la reflexión de la identidad cultural, que sin ser unívoca, y sin perderse tampoco en la fragmentación de la diversidad equívoca, conserva una vinculación moderada, guiada por la reflexión que posibilita la Hermenéutica Analógica de Mauricio Beuchot; finalmente se argumenta a favor de un pensamiento que justifique la importancia de la hermenéutica de la identidad cultural simbólica para la configuración de la arquitectura como disciplina (lo que contribuye a la expresión de la identidad de una cultura y del sentido de patrimonio para un pueblo o comunidad)
4

Bideran, Jessica de. "Numérisation et mise en scène du patrimoine littéraire dans les maisons d’écrivains : la visite virtuelle du Centre François-Mauriac de Malagar." Culture & musées, no. 38 (December 1, 2021): 149–74. http://dx.doi.org/10.4000/culturemusees.6947.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
5

Gauvin, Gilles. "Une certaine idée de la francophonie dans l’océan Indien : l’académicien et vice-recteur de La Réunion Hippolyte Foucque (1887-1970)." La F/francophonie dans l’aire indiaocéanique : singularités, héritages et pratiques, no. 11 (July 17, 2023). http://dx.doi.org/10.35562/rif.1442.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Hippolyte Foucque a été un des plus grands érudits réunionnais de la première moitié du xxe siècle. Agrégé de lettres classiques, il devient proviseur du prestigieux lycée Leconte-de-Lisle en 1930, puis chef de Service de l’instruction publique de la colonie, avant d’être nommé, à partir du 1er janvier 1948, inspecteur d’académie faisant fonction de vice-recteur du jeune département de La Réunion. C’est à l’Académie de l’île de La Réunion, société savante créée en 1913, que Foucque participe principalement à la valorisation des travaux menés par l’élite intellectuelle de l’île. Benjamin de cette institution coloniale en 1918, il en devient le président de 1932 à son décès, le 1er août 1970. Il a été l’auteur de plusieurs ouvrages mettant en valeur l’histoire, la géographie et plus globalement la culture littéraire et scientifique de l’île à travers ses « grands hommes » et en particulier ses poètes (c’est un grand spécialiste de Baudelaire). Foucque est en fait le pur produit de l’école de la IIIe République, celle qui a construit l’identité nationale sur l’amour des « petites patries ». Après son départ à la retraite, c’est à travers des formes d’éducation populaire que Foucque poursuit son engagement intellectuel. D’abord par la presse écrite, mais c’est en particulier à travers une émission de radio intitulée, « Le vol du Paille-en-queue », diffusée sur l’ORTF à un rythme bimensuel, qu’il diffuse, sous le pseudonyme de « Grand-Père Onésime », entre 1964 et 1969, des connaissances à un public très large de Réunionnais qui ignoreront sa vraie identité. L’étude du corpus inédit de 168 émissions radiodiffusées entre 1964 et 1969 nous permet d’appréhender la vision que se fait Foucque de la francophonie dans l’océan Indien et qu’il diffuse à ses jeunes auditeurs. On peut alors constater que l’érudit porte un regard nostalgique sur l’époque où Maurice, « l’Île Sœur » était avec l’île Bourbon, le porte-drapeau d’une certaine grandeur de la civilisation et de la culture françaises. Si la part prise par les Hindous dans son peuplement, du fait de l’engagisme mis en œuvre par les Anglais, a fait basculer, à ses yeux, l’île Maurice vers un autre destin, il existe pour lui dans cette île un important patrimoine culturel français qui continue de vivre. On constate, par ailleurs, que le continent africain est le grand absent du tour du monde radiophonique qu’Hippolyte Foucque entreprend. S’il existe bien un lien entre le peuplement initial de Bourbon et Madagascar, qui est signalé à travers la place tenue par les femmes, la Grande Île est finalement la grande oubliée. Rien n’est dit sur son destin depuis l’indépendance de 1960, comme rien n’est finalement dit de l’importance tenue par les esclaves malgaches et africains dans l’histoire de Bourbon, ou que rien n’est dit sur la volonté réunionnaise de coloniser Madagascar à la fin du xixe siècle, ou encore sur l’expérience de la Sakay mise en œuvre à partir de 1952. À l’inverse, l’Inde, dont est également originaire une partie de la population réunionnaise, est largement évoquée dans son histoire coloniale et depuis l’indépendance. C’est dans les départements français de la Martinique et de la Guadeloupe que Foucque trouve une communauté de destin à La Réunion et à la France, à la fois par le passé colonial, mais également par les enjeux économiques et démographiques qui restent à relever. Cependant pour Foucque, La Réunion reste davantage à l’abri des difficultés politiques et des tensions communautaires que les départements antillais. Finalement Hippolyte Foucque témoigne d’une certaine vision « de la plus grande France » qui s’est poursuivie, sous des formes diverses, en particulier dans l’Éducation et les médias, et qui a contribué à couper les Réunionnais de leur environnement géographique proche pour les faire regarder avant tout vers la France continentale.
6

Lapierre, Nicole. "Mémoire." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.055.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La mémoire ne fait pas partie des notions classiques de l’anthropologie. Dans l’étude des traditions, des mythes, des croyances ou des rituels, elle est restée longtemps non problématisée. Incluse dans les mécanismes de reproduction de la culture, implicite dans la transmission des manières de faire et de penser, elle n’était que le support indistinct d’une permanence. Pourtant, il n’y a pas plus de sociétés sans mémoire qu’il n’y a de sociétés sans histoire. Ce constat s’est finalement imposé. A partir des années 1970, la mémoire est devenue un objet d’enquête et de réflexion pour les anthropologues (Candau 1996, 1998). La prise en compte grandissante des phénomènes d’interaction ou de domination culturelles les a conduits à analyser la façon dont pratiques et croyances se transmettent, se transforment ou se dégradent dans les cultures et les sociétés. Ainsi, Roger Bastide, s’intéressant à « la survie des religions africaines dans le Nouveau Monde » (Bastide 1970), a mobilisé des concepts empruntés à Claude Lévi-Strauss et à Maurice Halbwachs et proposé la notion de « bricolage de la mémoire collective ». Celui-ci permettant de remplir les manques par des images nouvelles afin de réparer le scénario du mythe ou du rituel. Beaucoup d’autres auteurs se sont intéressés depuis à cette plasticité de la mémoire, susceptible d’être réorganisée, voire recomposée, en prenant directement pour objet et sujet de réflexion les vecteurs et canaux des transmissions culturelles. Jack Goody, étudiant la circulation orale du Bagré chez les LoDagaa du nord-ouest du Ghana, a constaté que ce récit de près de 12 000 vers, réinterprété au fil du temps, varie selon le lieu, le moment et le récitant. Une variation, alliant continuité et changement, qu’il attribue à la flexibilité de la culture orale, par rapport à une plus grande fixité de la culture écrite (Goody 1977). Dans une approche différente, Carlo Severi a montré comment le recours à l’image pouvait être support et outil de la mémoire rituelle dans des sociétés « sans écriture », (Severi 2007). Et Monder Kilani a observé que dans la société oasienne, la référence à une trace écrite vient conforter une construction généalogique et mémorielle modulée selon les enjeux du présent (Kilani 1992). On retrouve là l’affirmation première d’Halbwachs selon laquelle « la mémoire collective » est toujours sélective et « ne retient du passé que ce qui en est encore vivant ou capable de vivre dans la conscience du groupe qui l’entretient. » (Halbwachs [1950] 1969 : 70). Toutefois, la multiplicité des temporalités dans lesquelles s’inscrivent désormais les sociétés altère les processus de transmissions eux-mêmes. Ce qui oriente les recherches vers la manière dont leurs membres perçoivent et organisent leur rapport au passé. Les ethnologues sont fréquemment confrontés à ce point de bascule où, à un moment donné, pour les membres d’un groupe ou d’une communauté, le passé, à la fois encore disponible et déjà hors de portée, devient un bien commun fragilisé. Ils se trouvent alors sollicités pour en être les conservateurs ou les passeurs. Jack Goody raconte ainsi qu’en consignant par écrit une version du Bagré, il a enfreint le secret de l’initiation, mais il a également répondu au souhait de certains LoDagaa qui considéraient cette récitation comme un fonds culturel à préserver. Il se faisait, en somme, le scribe d’une mémoire orale menacée (Goody 1996 : 71). Les sollicitations sont d’autant plus vives que la mémoire est devenue un enjeu d’affirmation ou de revendication pour les populations concernées. Partout, les mobilisations et les célébrations du passé prolifèrent. Dans ces conditions, où la curiosité des anthropologues, confrontés à l’impermanence des mondes, rencontre la demande de mémoire des peuples, les travaux se sont développés dans plusieurs directions. Lieux et milieux de mémoire, commémorations, patrimonialisation et muséification, demandes de reconnaissance des préjudices anciens et conflits mémoriels sont autant de nouveaux objets pour une anthropologie de la mémoire attentive à la façon dont les groupes humains, de diverses manières, sont à la fois héritiers et inventeurs de leur passé. La notion de patrimoine, d’invention occidentale (Choay 1999), connaît une extension considérable, du local au planétaire et soulève la question de la pluralité des expériences et des récits. Dans la Lorraine sidérurgique, par exemple, la transformation d’usines désaffectées en écomusées et en « lieux de mémoire », a fait l’objet de luttes de représentation auxquelles participaient, aux côtés de divers acteurs économiques, sociaux, politiques et artistiques, une partie de ceux qui travaillaient là auparavant (Tornatore 2010). En Nouvelle Calédonie, de même, un projet muséographique lié à l’édification du Centre culturel Jean-Marie Tjibaou, a suscité un débat entre représentants de l’État français, institutionnels kanak, acteurs du monde international de l’art, sur le sens de ce qui devait être exposé. Des discussions où affleuraient les tensions d’un passé très présent, celui des luttes indépendantistes (Bensa 2006: 199-215). A une autre échelle, les revendications des peuples autochtones, qui ont obtenu en 2007 une déclaration de l’ONU reconnaissant leurs droits, suscitent des controverses sur la définition de leur patrimoine, la reconnaissance de leur héritage, la « propriété » de leur territoire et la défense de leurs traditions, y compris quand celles-ci sont entièrement reconstruites (Bellier 2011). Les conflits passés, surtout quand ils sont restés occultés, laissent des traces dans le présent, sous la forme de mémoires en conflits (Baussant 2007). Les demandes de reconnaissance, de justice, d’établissement des responsabilités, s’opposent alors aux silences, aux impunités ou aux amnisties. Les divers protagonistes, témoins, acteurs, ou leurs descendants s’affrontent sur les représentations et interprétations divergentes des évènements. Des milieux de mémoire se constituent, des associations interviennent dans l’espace public, comme en Argentine, à propos des « disparus » sous la dictature (Crenzel 2010), mais aussi dans de nombreux pays où une lecture plurielle du passé n’a pas réussi à se faire accepter. L’héritage des tragédies collectives constitue une ressource identitaire particulièrement forte (Candau 1998). Et la mémoire de la Shoah en est devenu « le cadre référentiel » (Lapierre 2007). Des mouvements luttent pour obtenir la reconnaissance, voire la réparation, des crimes du passé, notamment ceux de la traite transatlantique et de l’esclavage. La mémoire qu’ils mobilisent a une dimension stratégique, mais ne s’y réduit pas. Elle est à la fois produit - agrégat de traces, de fragments de récits, de transmissions diffuses sur les souffrances anciennes -, et produite à l’aune des attentes du présent (Chivallon 2011). Ces attentes, elles-mêmes, s’insèrent dans une configuration éthico-politique qui a promu la figure de la victime et redéfini la notion de traumatisme, issue de la clinique, en « traumatisme culturel ». A travers celui-ci, le souvenir des souffrances endurées par les persécutés et les vaincus de l’histoire se ravive et fonde une cause pour des générations ultérieures. Et force est de constater que « la découverte de cette mémoire douloureuse est un fait anthropologique majeur des sociétés contemporaines. » (Fassin et Rechtman 2011: 19). Déployée sur de très nombreux terrains et questionnements, l’anthropologie de la mémoire est donc devenue un ample domaine de recherche. Au point que certains s’inquiètent désormais d’un « memory boom », dans lequel une conception trop extensive de la mémoire tendrait à se confondre avec une continuité de la culture (Berliner 2005). Les anthropologues seraient ainsi d’autant plus saisis par l’engouement mémoriel général qu’ils y retrouveraient le goût des permanences à l’origine de leur discipline. C’est néanmoins omettre qu’un tel engouement naît précisément des ruptures et des oublis
7

Mosquera, Andrés Mauricio. "Enamórate del Chocó: imágenes como flechas." revista PH, April 21, 2015, 192. http://dx.doi.org/10.33349/2015.0.3611.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
“Somos una idea que te enamora del Chocó”. Así se define una experiencia de uso y puesta en valor del patrimonio cultural cuya particularidad estriba en que parte de la iniciativa de un “joven cupido” que ama su tierra natal. Enamórate del Chocó es un proyecto personal impulsado por Andrés Mauricio Mosquera, diseñador gráfico publicitario, en uno de los 32 departamentos de Colombia: El Chocó, región selvática y de alta pluviosidad, situada al noroeste del país, con una economía frágil, que depende de la minería y la explotación forestal fundamentalmente, y que carece de grandes infraestructuras comunicativas terrestres.Con la fotografía y las redes sociales como herramientas de trabajo, el impulsor de Enamórate del Chocó lleva seis años volcado en una empresa que persigue el fomento del sentimiento de autoestima e identidad colectiva de la población chocoana a partir de la construcción de una imagen positiva de su cultura. Un proyecto en el que es fundamental la implicación activa de la gente. En sus más de 5.000 fotografías, Andrés Mauricio Mosquera invita a compartir las emociones que él mismo experimenta en su interacción con las personas y los lugares que transita, el amor a su tierra.
8

Fonseca Porras, Liana Marcela. "Marca país. Estrategias de comunicación orientadas al posicionamiento de Colombia como destino turístico emergente en la demanda internacional (2014)." Cuadernos del Centro de Estudios de Diseño y Comunicación, no. 65 (September 27, 2019). http://dx.doi.org/10.18682/cdc.vi65.1159.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Colombia, por su privilegiada posición geográfica –dos océanos, tres cordilleras, selvas y llanuras– ha sido calificado como un lugar inmensamente rico en paisajes y lugares aún inexplorados, por lo tanto, con una alta oferta turística, por la que ha adquirido fama por su biodiversidad, café, flores, música y manifestaciones artísticas, además, por ser uno de los países con mayor diversidad étnica en el hemisferio occidental y el segundo país más rico en biodiversidad en el mundo, ya que posee uno de los ecosistemas más complejos y frágiles del mundo; esto le ha permitido perfilarse como uno de los destinos más visitados por el turismo internacional en Latinoamérica. Como muestra de su situación, las noticias registradas en los medios de comunicación internacionales acerca del turismo colombiano, resaltan la belleza, el encanto y la imagen renovada del país. Principales diarios impresos y portales online, como el New York Times (Estados Unidos), La Monde (Francia), La Nación (Argentina), The Guardian (Reino Unido), entre otros, dan ejemplo de experiencias positivas de turistas internacionales y recomiendan lugares mágicos por conocer en el país. El turismo emergente1 surge como la respuesta a un cambio en los gustos de los viajeros, que en la actualidad buscan destinos reconocidos por su singularidad, diferencia y autenticidad, permitiendo a países en vía de desarrollo, enfocarse a mostrar sus recursos naturales y recursos turísticos. En el caso de Colombia, la diversidad en lugares emergentes, permiten que el país cuente con una alta oferta en actividades turísticas, cómo turismo de aventura, sol y playa, naturaleza, turismo verde, historia y cultura, gastronomía, cruceros y hoteles de lujo, los cuales permiten que el país proyecte su potencial al mundo. El auge del turismo emergente ha crecido de tal manera, que actualmente representa unos de los principales ingresos económicos de países en vía de desarrollo, generando a su vez, desarrollo cultural de las regiones y compromisos de los ciudadanos por proteger y preservar las distintas plazas emergentes. La Organización de las Naciones Unidas para la Educación, la Ciencia y la Cultura (UNESCO), por medio del Comité de Patrimonio Mundial, promueve la identificación, protección y la reservación del patrimonio cultural y natural de todo el mundo considerado valioso para la humanidad. Colombia actualmente cuenta con siete piezas que han sido declaradas patrimonio de la humanidad por la UNESCO; el Parque Nacional de los Katíos, el Parque Arqueológico Nacional de Tierradentro, el Parque Arqueológico de San Agustín, el Centro Histórico de Santa Cruz de Mompóx, el Corregimiento de San Basilio de Palenque y el Santuario de Fauna y Flora Malpelo, el puerto, fortalezas y conjunto monumental de Cartagena2 , los cuales reafirman a Colombia como destino turístico de talla internacional y a su vez, son el eje central de esta investigación, debido a la importancia cultural, material e inmaterial y el compromiso del pueblo colombiano de intervenir en su gestión, protección y salvaguardia. Los sitios declarados Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO para Colombia, son un ejemplo de crecimiento, conservación y desarrollo de las zonas emergentes del país. Estas zonas han sido puestas a disposición del turismo, mostrando que turismo y naturaleza pueden ir de la mano. El trabajo de conservación de los sitios declarados Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO, han motivado, a través del Ministerio de Cultura, la creación de la Dirección de Patrimonio en Colombia, como una estrategia para fomentar la participación ciudadana, encaminada hacia la apropiación social del patrimonio cultural y el respeto por la diversidad cultural. Por su parte, la Organización Mundial de Turismo (OMT) hace referencia al turismo emergente como un “fenómeno económico y social, se ha convertido en uno de los principales actores del comercio internacional y representa al tiempo una de las principales fuentes de ingresos de numerosos países en desarrollo” (OMT, 2011, par. 2). Sin embargo, en el caso de Colombia, la violencia y el narcotráfico, a partir de los años ochenta, se convirtieron en la barrera que impedía que el país fuese visto como un producto confiable para invertir y visitar. Por ende, en pos de potencializar el turismo, el Gobierno colombiano ha aumentado la inversión para fortalecer la infraestructura turística y mejorar la imagen y promoción de los destinos emergentes con el fin de generar crecimiento económico en las regiones. En este contexto, en el año 2006, de mano del Ministerio de Industria y Turismo (Min Turismo) se creó la marca país “Colombia es pasión”, con el fin de respaldar la imagen del país, bajo una marca que pretendió generar percepciones positivas tanto interna como externamente. Analizando la realidad nacional frente al tema de construcción de imagen país, es necesario evaluar las respuestas tanto positivas como negativas que la Marca País ha generado en la percepción que se tiene de Colombia y que contribuyeron a que los extranjeros tomaran la decisión de visitar el país. “Colombia es pasión” inicialmente trabajó a nivel interno, logrando cambiar la percepción que los mismos colombianos tenían del país y generando respuestas positivas y sentimiento de identidad con el país, lo que ayudó a dar otra visión a nivel externo. Como consecuencia de esto, actualmente el país está perfilado como uno de los destinos más visitados en el turismo internacional. Partiendo de la situación descrita anteriormente, la presente investigación establece un marco temporal, los años 2008 a 2012, para analizar las estrategias comunicacionales internas que favorecieron el posicionamiento de Colombia como destino turístico emergente en la demanda internacional. Iniciando en el año 2008, con la campaña “Colombia es pasión” a nivel internacional y cerrando en el año 2012, con el relanzamiento de la marca país y los nuevos objetivos comunicacionales. El relanzamiento de la marca país Colombia, es muestra de la evolución del país en materia de imagen, a nivel internacional. “Colombia realismo mágico” (2012) hace parte del desarrollo y el cambio que ha mostrado el país ante el mundo en el tema de seguridad, a su vez, potencia el turismo, que actualmente es uno de los motores de crecimiento del país, después del petróleo y el carbón. Para esto, es necesario hacer un recorrido de lo que se ha trabajado de Colombia a nivel interno y externo, indagar por qué fueron favorables los cambios del país, mostrando una imagen renovada ante el mundo. Un producto bien percibido genera confianza, lo mismo ocurre con un país. Una imagen país bien gestionada, con objetivos comunicacionales contundentes, permiten que un país –como es el caso de Colombia– evolucione y crezca económicamente. Objetivo general Como Objetivo General se propone analizar las estrategias comunicacionales internas entre los años 2008 a 2012 de marca país, y su incidencia en el desarrollo y posicionamiento de Colombia como destino turístico en el ámbito internacional y su contribución al crecimiento de los destinos turísticos emergentes nacionales. Objetivos específicos El análisis de las estrategias comunicacionales lleva a plantear de una serie de objetivos específicos que se van desarrollando a lo largo de la investigación, los cuales se mencionan a continuación: • Analizar las piezas graficas empleadas en las dos etapas —interna y externa— de la marca país “Colombia es pasión”. • Identificar y analizar los nuevos destinos turísticos emergentes en Colombia a partir de la selección de lugares “patrimonio de la humanidad” elaborada por la UNESCO. • Determinar el crecimiento del turismo mediante un análisis estadístico durante el periodo seleccionado. • Analizar, la posición actual y las transformaciones de Colombia como destino turístico internacional durante el periodo propuesto. Contenido de los capítulos En el primer capítulo se analizaron los conceptos claves de la investigación que ayudaron a descubrir el impacto generado, a través de la imagen país en el posicionamiento de Colombia como destino turístico emergente en la demanda internacional. Las estrategias comunicacionales dirigidas correctamente benefician el crecimiento y desarrollo de un país. En el caso de Colombia, el aprovechamiento de los lugares emergentes y la inyección de capital en las regiones, han motivado que el país, a través de las entidades gubernamentales y privadas, promocione y promueva el cambio de imagen a nivel interno y externo. El capítulo dos muestra la evolución del turismo tradicional al turismo emergente, hace un recuento de los tipos de turismo que Colombia tiene para ofrecer a los turistas y señala el listado de los siete sitios declarados Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO para Colombia. El capítulo tres hace un análisis de identidad y simbólico de la marca país “Colombia es Pasión” a través de las características que hicieron que el país se identificara con la marca y se apropiara de ella. El capítulo cuarto realiza un análisis del proceso socio-cultural que se ha llevado a cabo a partir del posicionamiento de Colombia como destino turístico emergente en la demanda internacional, a través de entrevistas a actores vinculados en la evolución de las plazas emergentes del país y un estudio estadísticos de datos secundarios obtenidos de entidades oficiales. Hipótesis La hipótesis plantea que desde el año 2008 al 2012, las estrategias de comunicación aplicadas a la marca país Colombia contribuyeron a fortalecer la preferencia de sus destinos turísticos emergentes en la demanda internacional. Antecedentes y Estado de la Cuestión Al hablar de posicionamiento es ineludible referirse a fuentes bibliográficas que brindan información y demuestran la necesidad que se tuvo de generar una nueva imagen como aliciente a un cambio del contexto social del país. De la mano de consultores como David Logthle, se han desarrollado estrategias que han tenido tanto éxito como en el cas de Colombia y han logrado dar el paso de ser países poco conocidos o mal conceptuados a mostrarse como potencias emergentes en oferta turística. Con relación al estudio de marca país, existen diversas investigaciones que dan un plano panorámico de lo importante que este tema ha resultado en ciertos países que han optado por cambiar su posicionamiento desde este ámbito. Autores como Michael Porter (1994) en su libro “Creando la ventaja competitiva de Colombia”, desarrollaron las posibilidades de abrirse a oportunidades competitivas en el ámbito internacional y generar apertura económica. Por otro lado las monografías universitarias aportan un panorama importante en cuestión de investigaciones relacionadas con la marca país “Colombia es Pasión”. En primer lugar la investigación de autores como Lina María Echeverri, Eduardo Rosker y Martha Lucía Restrepo (2008), bajo el título de “El país como una marca. Estudio del caso: Colombia es Pasión”, muestran resultados sobre la creación y puesta en marcha de la marca país “Colombia es pasión”, el recorrido logrado desde el análisis de las raíces colombianas para la creación del logo, hasta las acciones y resultados de la marca país. En segundo lugar, la monografía escrita por Paola Andrea Villa Araque (2009) bajo el título “Hacia una estrategia de marca país: caso: “Colombia es Pasión” estuvo orientada a mostrar la importancia de la creación de una estrategia de marca país, la mala imagen del país, los beneficios para el sector privado de una marca país y los orígenes de “Colombia es Pasión”. En tercer lugar la monografía de Oscar Mauricio Salazar Loaiza (2009) bajo el nombre “Ideología de la marca país “Colombia es Pasión” de estuvo orientada a mostrar la ideología e identidad colombiana, la publicidad, persuasión ideológica y análisis semántico y visual de algunas de las piezas de la estrategia comunicacional de “Colombia es Pasión”. En cuarto lugar la investigación realizada por Carolina Salazar Silva y Daniela Segovia Segrera (2009) bajo el nombre “análisis crítico de la marca Colombia es Pasión. Su estrategia, componentes y efectividad, tuvo como objetivo analizar porque es necesaria una marca país, los beneficios, hace un recorrido por diferentes marcas país exitosas a nivel mundial y por último expone el caso “Colombia es Pasión”, orientando la investigación a la responsabilidad Social Empresarial. Dichas investigaciones son algunos de los registros más significativos que existen de universidades colombianas con respecto al tema de creación de la marca país “Colombia es Pasión”. Por otro lado, los pilares de la presente investigación se centraron en autores que referencia conceptos como posicionamiento, marca país, comunicación estratégica, estrategias de publicidad, evolución del turismo y turismo emergente. Estos conceptos, dan referencia –para este caso en específico– de la importancia que tiene, para un país, estar bien posicionado tanto interna como externamente. El desarrollo económico, aprovechamiento de recursos, la inversión, son algunos de los temas que motivan una campaña país. Esta investigación tuvo como fin analizar las diferentes estrategias implementadas en la marca país “Colombia es Pasión” y que ayudaron al desarrollo de los destinos turísticos emergentes de Colombia. Mostrando la importancia que tiene el desarrollo de los destinos turísticos en el crecimiento económico de un las diferentes zonas emergentes del país. Marca país Colombia, a través de sus campañas “Muestra tu pasión” y “Colombia el riesgo es que te quieras quedar”, mostraron el compromiso del sector gubernamental y privado de trabajar en pro de cambiar la imagen negativa, que durante años fueron referentes del conflicto interno del país a nivel internacional. Las políticas de seguridad que el país implementó de mano del gobierno nacional y el desarrollo del proyecto marca país, creado con objetivos contundentes de mejorar la percepción del país, fueron fundamentales en la evolución de Colombia como destino turístico emergente y el posicionamiento positivo en la demanda internacional. La marca país enmarcó objetivos que a largo plazo han dado frutos positivos, el trabajo que se ha realizado seguirá siendo continuo, ya que permite que el país ambicione no solo con el incremento de turistas o inversión extranjera, a su vez, incentiva el crecimiento interno de infraestructura, educación y compromiso de los colombianos por mantener y preservar las reservas naturales del país. En el caso de los destinos turísticos emergentes, la preservación de las zonas emergentes, de mano del gobierno nacional y el incentivo por el desarrollo de las regiones, han generado que el país, actualmente cuente con una alta oferta turística atrayente y diferente para los turistas. Línea Temática de la Investigación La línea temática de esta investigación se alinea a medios y estrategias de comunicación, la importancia actual de una estrategia comunicacional orientada correctamente y con fines específicos, permiten, como en este caso, evidenciar un proceso de cambio a largo plazo. La correcta utilización de medios masivos cómo la radio, televisión, eventos e internet, son motores fundamentales, para trasmitir un mensaje. En el caso de “Colombia es pasión”, la comunicación positiva, ha generado las respuestas esperadas en el cambio de imagen del país externamente. El proyecto comunicacional planeado para “Colombia es pasión” ha fomentado un crecimiento positivo para el país, el trabajo continuo y liderado por un país entero, genera que el compromiso por potencializar un país sea en conjunto y a su vez beneficie diferentes sectores. Los países en vía de desarrollo, necesitan incentivos de capital para desarrollarse, crecer y evolucionar. Seguir trabajando, desde otra perspectiva comunicacional, es un aliciente al trabajo logrado a través de los años, como es el caso de Colombia. “Colombia es Pasión” fue una estrategia comunicacional que nació y murió con el tiempo a medida en que el un país crecía y cambiaba su entorno económico. Colombia ha tenido un desarrollo importante y estas referencias se ven para este caso, en la amplia oferta turística emergente con la que cuenta actualmente y las nuevas campañas comunicacionales orientadas a aprovechar la nueva imagen que el país ha logrado externamente y que ha fomentado el desarrollo de los diferentes sectores económicos. Notas 1. Los destinos turísticos emergentes, son territorios próximos a centros turísticos de gran interés, disfrutan de unas ciertas actividades turísticas que puede ser mejorada. Pero no constituyen por sí mismos destinos convencionales. 2. El Puerto, fortalezas y conjunto monumental de Cartagena, fue el primer sitio elegido Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO en 1984, actualmente es uno de los lugares referencia de turismo en Colombia a nivel mundial por su alto potencial turístico.
9

Admin, Admin. "Colaboradores." Contrapulso - Revista latinoamericana de estudios en música popular 3, no. 2 (August 5, 2021). http://dx.doi.org/10.53689/cp.v3i2.134.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Luis Pérez Valero es doctorando en música por la Pontificia Universidad Católica Argentina “Santa María de los Buenos Aires”; Máster universitario en música española e hispanoamericana (Universidad Complutense de Madrid, 2012); Magister en música (Universidad Simón Bolívar, 2009); Licenciado en música mención composición (Instituto Universitario de Estudios Musicales-UNEARTE, 2005). Sus investigaciones giran en torno al análisis de la música popular, la producción musical, estética de la grabación, entre otros. Ha publicado en diversas revistas académicas artículos de investigación en musicología para la producción musical y en artes. Ha publicado los libros El discurso tropical. Producción musical e industrias culturales (2018) y coautor de Producción musical. Pedagogía e investigación en artes (2020). Es compositor asociado a Cayambis Music Press. Actualmente se desempeña como docente, investigador y coordinador de la Unidad de Titulación en la Escuela de Artes Sonoras de la Universidad de las Artes, Carrera de Producción Musical. Juan Diego Parra Valencia tiene un PhD en Filosofía, especialista en literatura y músico. Docente-Investigador de la Facultad de Artes y Humanidades del Instituto Tecnológico Metropolitano de Medellín. Ensayista y escritor con diversos artículos en áreas de filosofía, estética, arte, filosofía de la técnica, semiótica, cine y música. Ganador del Premio Nacional de Periodismo Simón Bolívar por el trabajo investigativo en el reportaje documental Cuando el chucu-chucu se vistió de frac (2014). Director y coguionista del documental Paparí. El pionero del rock tropical (2018). Publicaciones sobre música: El libro de la Cumbia. Resonancias, transferencias y transplantes de las cumbias latinoamericanas (2019-autor/compilador); Deconstruyendo el chucu-chucu. Auges, declives y resurrecciones de la música tropical colombiana (2017); Arqueología del chucu-chucu. La revolución sonora tropical urbana antioqueña. Medellín, años 60 y 70 (2014), Afrosound acústico para dúo de guitarras. Tramas y urdimbres de la interpretación clásica en el rock tropical colombiano (2020-coautor) Mónica Alexandra Herrera Colorado es Magíster en Artes Digitales del Instituto Tecnológico Metropolitano, Licenciada en Música de la Universidad de Antioquia. Músico y cantante desde hace más de 20 años en diferentes agrupaciones musicales, además tiene estudios técnicos en música, Tecnóloga en Informática Musical de Instituto Tecnológico Metropolitano de Medellín y Administradora de empresas Agropecuarias. Nacida en Caldas Antioquia, Colombia. Ha participado en diferentes seminarios y asociaciones como ponente de investigaciones en temas relacionados con el análisis expresivo de la voz de la mujer y el canto de la música tropical colombiana. Actualmente es docente en el área de música del Instituto Tecnológico Metropolitano. Juan Francisco Sans es Doctor en Humanidades, Magister Scientiarum en Musicología Latinoamericana y Licenciado en Artes de la Universidad Central de Venezuela, Profesor Ejecutante de Piano de la Escuela de Música Juan Manuel Olivares, y Maestro Compositor del Conservatorio Nacional de Música Juan José Landaeta en Caracas. Ha publicado cuatro libros, 60 artículos en revistas especializadas y capítulos en libros monográficos, 35 ediciones críticas de partituras, 13 discos compactos como productor, pianista y compositor. Ha ganado diversos premios y reconocimientos como compositor, ejecutante y musicólogo. Es profesor titular de la Universidad Central de Venezuela. Desde hace dos años y medio se desempeña como profesor-investigador en el Instituto Tecnológico Metropolitano de Medellín. Ana María Díaz-Pinto es doctoranda en Etnomusicología por la Universidad de California, Davis y Licenciada en Música mención Musicología por la Pontificia Universidad Católica de Chile. Ha sido merecedora de la Beca del Rector en Artes, Humanidades y Ciencias Sociales para estudios doctorales de su casa de estudios y ha presentado sus trabajos académicos en conferencias organizadas por sociedades como IASPM-AL, Sociedad Chilena de Musicología y Asociación Latinoamericana de Antropología, entre otras. Sus intereses de investigación se relacionan con la música popular latinoamericana, cultura juvenil, performance y movimiento. Macarena Robledo-Thompson cursa el Magíster en Artes mención Música por la Pontificia Universidad Católica de Chile y Licenciada en Música mención Musicología por la misma casa de estudios. Es becaria ANID para Magíster Nacional y se ha desempeñado como asistente de investigación en proyectos FONDECYT y como ayudante de cátedra en el Instituto de Música de la PUC, de forma paralela a su trabajo como anotadora de programas en instituciones culturales. Sus principales intereses de investigación tienen relación con la música en Chile y Latinoamérica, específicamente los ámbitos relativos a la música y género y los estudios sobre ópera y voz. Paula Cristina Vilas es cantora, trabajadora vocal e investigadora. Profesora de la Universidad Nacional de Avellaneda, Departamento de Humanidades y Artes, y Maestría en Estéticas Latinoamericanas Contemporáneas. Es docente de Canto Colectivo I y II Escuela de Música Popular de Avellaneda y Escuela de Arte de Florencio Varela, provincia de Buenos Aires. Es Doctora en Artes Escénicas por la Universidad Federal de Bahía, Brasil con tesis y realización escénica centradas en la voz entre la etnografía y el trabajo vocal en escena. Realizó estudios en el Departamento de Etnomusicología de la Escuela de Antropología e Historia, México DF. Ha sido profesora visitante del Instituto de Arte de la Universidad de Brasilia y ha dictado seminarios en la Maestría en Arte Latinoamericano de Universidad Nacional de Cuyo. Coordinó el grupo de investigación Voces y Vocalidades del Instituto de Investigación en Etnomusicología de la ciudad de Buenos Aires. Ha publicado artículos, capítulos de libros y libros en coautoría; realizó conciertos, registros fonográficos y algunas producciones audiovisuales. María Pía Latorre es musicoterapeuta egresada de la Universidad del Salvador, Buenos Aires, y docente en el Instituto Vocacional de Arte “José Manuel de Labardén”, dependiente del Ministerio de Cultura de la Ciudad de Buenos Aires. Coordina talleres de Canto y Técnica Vocal para estudiantes de música y teatro. Se ha desempeñado como adjunta en el grupo de Investigación Voces y Vocalidades del Instituto de Investigación en Etnomusicología, del Ministerio de Cultura de la Ciudad de Buenos Aires y en los en seminarios: Voces y Vocalidades, Voces y técnicas en perspectiva de la vocalidad (2011- 2016) y proyectos de Investigación (2013-2016) coordinados por la Dra. Paula Vilas, con quien también ha presentado ponencias y talleres en congresos (UNNE, EMPA). Como cantante ha realizado diversas presentaciones y grabaciones y actualmente es integrante de Comando Pampero, trío de estilos pampeanos y milongas. Gabriela Mariana Castelli es Directora del Centro Fonoaudiológico Fonoar de la ciudad de La Plata y docente de la Tecnicatura en Fonoaudiología ISFDyT9 Es Doctoranda de la Universidad del Museo Social Argentino, UMSA y licenciada en Fonoaudiología por la Universidad Nacional de La Plata, entrenada en Voz, con formación de postgrado en Análisis Acústico de la Voz. Es cantante y compositora de canciones. Maria Virginia Zangroniz es Licenciada en Fonoaudiología por la Universidad Nacional de La Plata, entrenada en Voz y actriz de la Escuela de Teatro de La Plata. Integró la comisión de Voz del Colegio de Fonoaudiólogos de Buenos Aires, La Plata, y fue profesora de su posgrado en Voz profesional. Fue profesora titular de Eufonía y Educación vocal en la Licenciatura en Fonoaudiología, UCALP. Es docente a cargo de materias de Voz y Trabajo vocal, profesora del curso Una voz libre, formación de posgrado para docentes universitarios de la UNAJ, Florencio Varela. Profesora invitada de la Facultad de Medicina y Ciencias de la Salud de la Universidad de Barcelona; la Facultad de Trabajo Social, Universidad Nacional de La Plata; la Diplomatura en Salud Sexual y Reproductiva, Universidad Nacional de San Martín; y del proyecto de extensión “Más y más voces trans”, Universidad Nacional de San Luis. Es concurrente ad honorem desde el 2013 al Hospital “Dr. Ricardo Gutiérrez” de La Plata, integra el Equipo de atención de la Salud Integral de la Diversidad Sexual. Trabaja en el acompañamiento en la transición vocal de personas trans. Marcelo Fabián Martínez es músico, compositor y artista sonoro. Licenciado en Composición con Medios Electroacústicos por la Universidad Nacional de Quilmes, UNQ, es también clarinetista por el Conservatorio Nacional de Música “Carlos López Buchardo” y técnico en electrónica. Desde el año 2001 se dedica a realizar música original, diseño sonoro y puesta sonora para espectáculos escénicos y audiovisuales en festivales de arte de diversos países: Chile, Uruguay, Brasil, Colombia, México, Cuba, Canadá, Polonia, Holanda, Francia, España, Bélgica, Alemania y Argentina.Como docente, se desarrolla en el Área Transdepartamental de Artes Multimediales, y en la Especialización en Teatro de Objetos de la Universidad Nacional de las Artes; en el Conservatorio Superior de Música de la Ciudad de Buenos Aires y en la Maestría en Arte Sonoro, (UNQ). Como docente investigador integra proyectos en la UNQ y en la UNA. Actualmente es director y profesor de la carrera “Producción Musical y Nuevas Tecnologías” de la UNQ. Liliana Toledo es doctoranda en Historia y Etnomusicología por la Universidad de Arizona, Maestra en Historia especializada en la historia cultural del México posrevolucionario y licenciada en Música. En sus tesis de maestría estudió el proyecto de educación musical rural de las Misiones Culturales. De 2010 a 2017 fue investigadora del CENIDIM, donde clasificó, describió y organizó el Archivo Histórico. Sus artículos han sido publicados en dos ocasiones en la Oxford Research Encyclopedia of Latin American History. Entre 2016-2020 fue parte del proyecto del CIESAS La razón cultural en el capitalismo contemporáneo. Un análisis comparativo sobre las representaciones y los estereotipos culturales en México y América Latina, auspiciado por el CONACYT. Los trabajos derivados de este proyecto fueron publicados en 2019 y 2020 en los volúmenes Cultura en venta 1 y 2, publicados por Random House. Se interesa en temas de género, migración y nacionalismo. Lorena Ardito Aldana es doctoranda en Estudios Latinoamericanos por la Universidad de Chile y Docente asociada de la Universidad Academia de Humanismo Cristiano. Es música y tiene un magíster en Estudios Latinoamericanos de la UNAM. Ha desarrollado investigaciones y proyectos culturales sobre música, carnavales, afrodescendencia, género y derechos colectivos, e integrado diversas agrupaciones musicales y carnavaleras, así como colectivos de investigación interdisciplinaria. Actualmente es parte de la Escuela de Artes Comunitarias y Carnavaleras “La Remolino”, la Colectiva Tiesos pero Cumbiancheros, la Cooperativa T´ikana Ediciones, el Núcleo Kuriche, la Red Chilena de Estudios Afrodescendientes y el Festival de Marimbas Tradicionales Chile. Coordina junto a Mauricio Fidel Camacho el proyecto web La Caracola, dedicado a compilar y divulgar el legado de la maestra, intelectual, activista y folclorista afrocolombiana Alicia Camacho Garcés, y produce el Programa radial comunitario online Cultoras, junto a la percusionista chilena Karen Gómez. César Puentes Arcos es sociólogo de la Universidad de Chile y Magíster en Educación en la Universidad Academia de Humanismo Cristiano. Desarrolló tareas de asesor para la Agencia de Calidad de la Educación y el Programa Interdisciplinario de Investigación en Educación. Desarrolla asesorías organizacionales con visión sistémica de integralidad. Además se desempeña como gestor cultural en el área del carnaval y la música popular. Actualmente trabaja como asesor educacional en innovación para la calidad y mediación de conflictos además de realizar gestión territorial desde una concepción participativa. Marisol García es periodista independiente, Premio Pulsar 2019 al Fomento de la Música y el Patrimonio. Cursa un magíster en Arte, Pensamiento y Cultura Latinoamericanos en el instituto IDEA-USACh. Mantiene desde 1995 un constante trabajo de colaboración en diarios, revistas y radios en escritura, entrevistas e investigación sobre canción popular, y ha desarrollado el mismo tema en encargos para documentales, libros y exposiciones en museos y bibliotecas. Consultora de bandas sonoras de cine chileno –Una mujer fantástica y Gloria, entre otras–. Es coeditora del sitio enciclopédico MusicaPopular.cl y parte del equipo que anualmente organiza el Festival IN-EDIT Chile, dedicado al cine y documental musical mundial. Es autora de los libros Canción valiente. 1960-1989. Tres décadas de canto social y político en Chile (Premio Municipal 2014 a la Mejor Investigación Periodística), Llora, corazón. El latido de la canción cebolla (Premio Pulsar 2018 a la Mejor Publicación Musical Literaria), Claudio Arrau (Finalista Premio Municipal 2020, en Género Referencial) y Lucho Gatica (2019). Además, ha editado libros sobre Violeta Parra, Los Jaivas, Osvaldo Gitano Rodríguez y Panteras Negras. Ricardo Salton ejerce la crítica y el periodismo musical en la ciudad de Buenos Aires; actualmente en la revista Noticias, el diario La Nación y Radio Nacional Clásica. Por décadas, fue el redactor sobre música popular del diario Ámbito Financiero. Además, trabaja en gestión cultural y, actualmente, en el Ministerio de Cultura nacional, como productor artístico y programador de elencos nacionales. Recibió los premios Konex y José Arverás por su labor periodística. Es Licenciado en Musicología por la Universidad Católica Argentina. Su área es la música popular y, en especial, el tango. Fue investigador del Instituto Nacional de Musicología Carlos Vega. Ejerció la docencia en distintas universidades del país. Publicó artículos en revistas académicas y presentó artículos en congresos y conferencias de musicología. Fue uno de los redactores sobre música popular argentina para el Diccionario de la Música Española e Hispanoamericana. Nelson Rodríguez Vega es doctorando en Artes mención Música –modalidad investigación– por la Pontificia Universidad Católica de Chile. Es Profesor de Música y Licenciado en Educación por la Universidad de Concepción de Chile. Es Magíster en Artes mención Musicología por la Universidad de Chile. Actualmente. Es Becario de la Agencia Nacional de Investigación y Desarrollo/Programa de Becas/Beca de Doctorado Nacional 21200805. También posee un diplomado en Estética y Filosofía por la Pontificia Universidad Católica de Chile. Se especializa en el estudio del rap/hip-hop chileno atendiendo problemáticas relativas a la identidad, práctica musical, influencia de la industria cultural y autenticidad. Su actual tesis de doctorado se centra en la emergencia del freestyle o batallas de gallos en Chile, una performance del hip-hop que basa en los duelos de improvisación. Ha publicado artículos y reseñas de libros, preferentemente sobre hip-hop, en revistas académicas chilenas y extranjeras. Este número fue arbitrado por Alejandro Gana, Carolina Santa María, Enrique Cámara, Fernanda Vera, Javier Silva, Jordi Tercero Bustamante, Juan Carlos Poveda, Julio Arce, Leonardo Díaz, Lizette Alegre, Natalia Bieletto, Nayive Ananías, Omar García Brunelli, Pablo Alabarces, Paloma Martin, Sebastián Muñoz, Silvia Martínez y Soledad Venegas.

Дисертації з теми "Patrimoine culturel – Maurice":

1

Forest, Corinne. "Le rôle du patrimoine dans la construction nationale à l'île Maurice." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH149.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Ce travail de thèse étudie la patrimonialisation dans le contexte mauricien afin d’examiner les enjeux liés à la constitution de l’identité nationale dans un cadre institutionnel qui privilégie une logique communautaire. Le cadre mauricien voit différents groupes coexister et interagir dans la tolérance, le respect et la paix tout en distinguant diverses unités sociales en fonction de leurs origines géographiques, culturelles, religieuses et ethniques. L’Etat met en œuvre une politique culturelle basée sur la reconnaissance officielle des unités culturelles dont l’union formerait la représentation nationale mauricienne. Au sein de cette diversité, le patrimoine est devenu un instrument de marquage de la différence et un moyen de symboliser la contribution de chacun à la fondation de la nation arc-en-ciel dans l’espace national. Dans ce cadre mémoriel fragmenté, notre approche est d’examiner l’émergence et la constitution du patrimoine à l’île Maurice de l’époque coloniale (1721-1968) à l’époque contemporaine afin d’en étudier les processus de reconnaissance et les usages comme instrument de la construction nationale. En cela, mon travail considère que l’étude de la patrimonialisation constitue un champ d’investigation sur la manière dont le passé est utilisé dans le présent pour légitimer et positionner les identités. Dans cette perspective, cette étude considère que le patrimoine est un instrument qui nourrit l’adhésion collective nécessaire à l’établissement d’une entité nationale
This PhD thesis focuses on the heritage processes in the Mauritian context in order to examine the issues related to nation- building resulting from an institutional framework that recognizes communal identities. The Mauritian context comprises diverse groups coexisting and interacting in tolerance, respect and peace while distinguishing multiple communities based on their geographical, cultural, religious and ethnic origins. The state developed a cultural policy that officially recognizes the diverse cultural entities and considers that their combination would form the Mauritian national identity. Within this diversity, heritage is used to mark cultural differences and the contribution of each group to the foundation of the rainbow nation in the national space. In this fragmented memorial framework, our approach is to examine the emergence and the constitution of heritage in Mauritius from the colonial period (1721-1968) to nowadays in order to study the processes of recognition and the uses of heritage as an instrument for nation building. This study considers that heritage processes constitute a field of investigation on the way the past is used in the present to legitimate and position identities. In this perspective, this study considers that heritage is an instrument that supports collective adhesion required for the establishment of the national identity
2

Hurnath, Chaya. "Appropriation et territorialisation du patrimoine : quels enjeux pour quelles ambitions ? Cas d'étude de l'île Maurice." Thesis, La Réunion, 2019. http://www.theses.fr/2019LARE0022.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le Patrimoine Mondial, appartient-il à vraiment à l'humanité, à tout le monde ? À cette question, les enjeux de la territorialisation et de l'appropriation d'un espace patrimonialisé ont été étudiés afin de mettre en lumière les rapports de force et les inégalités sociales produites tels qu'ils se donnent à voir dans la dimension spatiale. Pour cela, l'île Maurice a constitué le terrain d'étude car malgré sa petite taille, la mise en mémoire des espaces et des identités y font toujours débat. L'analyse des représentations ainsi que les pratiques d'appropriation et de territorialisation de deux espaces reconnus sur la prestigieuse liste du Patrimoine Mondial produisent des décalages multi-scalaires et ainsi, des mouvements d'appropriation ainsi que de désappropriation. Se jouent dans ces espaces, la légitimation et la hiérarchisation de différentes composantes de la société mauricienne
O World Heritage sites really belong ta humanity, to everyone? Ta this question, the issues of territorialisation and appropriation of a heritage site have been studied in order ta highlight the balance of power and social inequalities produced as they appear in the spatial dimension. Mauritius has been the focus of this study because despite its small size, the memory of its population and their identities are still being debated. The analysis of the representations as well as the practices of appropriation and territorialisation of its two World Heritage Sites produce multi-scalar offsets and thus, movements of appropriation as well as of dis-appropriation. Thus, are played in these spaces, the legitimization and the hierarchy of different components of the Mauritian society
3

Gauthier, Eglantine. "De cadencer à danser "jupes en l'air" : anthropologie des appropriations mémorielles et spectaculaires du séga mauricien." Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2023. http://www.theses.fr/2023EHES0162.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L’objectif de cette thèse est de partir de l’observation de la danse séga pour étudier les enjeux des appropriations mémorielles et artistiques du passé colonial dans la société post-esclavagiste mauricienne. L’entrée par la danse a alors été heuristique pour appréhender la culture populaire du séga comme un processus. À différents moments de son histoire la requalification du séga a permis d’inscrire cet objet dans une culture tantôt envisagée comme noire, africaine, créole, multiculturelle, de lui attribuer des racines, et d’orienter les débats sur les circulations et branchements qui entourent cet objet, ou encore de légitimer certains emprunts tout en accusant les appropriations culturelles. Absent du marché global de la musique ou de celui des loisirs, c’est sous la forme du spectacle chorégraphique que le séga circule comme étendard national, principalement sur les marchés touristiques. La récente inscription du séga traditionnel sur la liste représentative du PCI à l’UNESCO vient s’inscrire dans ces formes hégémoniques de spectacularisation et de commercialisation. Le caractère innovant de ce travail de recherche a été d’examiner la place des danseurs – et surtout des danseuses –, qui cristallise la réputation ambivalente du séga, à la fois dénigré et admiré, et de montrer les enjeux de requalification qui se concentrent autour de la spectacularisation de cette culture populaire, révélant différents rapports de pouvoir
The objective of this thesis is to start from the observation of the sega dance to study the stakes of the memory and artistic appropriations of the colonial past in the Mauritian post-slavery society. The entry through dance was then heuristic to apprehend the popular culture of sega as a process. At different times in its history the requalification of the sega allowed to register this object in a culture sometimes considered as black, African, creole, multicultural, to attribute to it roots, and to direct the debates on the circulations and connections that surround this object, or to legitimize certain borrowings while accusing cultural appropriations. Absent from the global music or leisure market, it is in the form of the choreographic show that the sega circulates as a national standard, mainly on the tourist markets. The recent inscription of the traditional sega on the representative list of the ICH at UNESCO is part of these hegemonic forms of spectacularization and commercialization. The innovative nature of this research work was to examine the place of dancers – and especially women – which crystallizes the ambivalent reputation of sega, both denigrated and admired, and to show the challenges of requalification that focus on the spectacularization of this popular culture, revealing different power relations

До бібліографії