Статті в журналах з теми "Panier de soins"

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Bas, Anne-Charlotte. "L’accès aux soins bucco-dentaires dans la réforme 100 % santé : contexte et perspectives." Santé Publique 35, HS1 (December 1, 2023): 119–24. http://dx.doi.org/10.3917/spub.hs1.2023.0119.

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Анотація:
Le volet bucco-dentaire de la réforme « 100 % santé » devait répondre au problème majeur des inégalités sociales d’accès aux soins dentaires en France. Nous proposons ici un résumé du contexte qui a appelé à cette réforme de la régulation des soins dentaires, une présentation de la réforme « 100 % santé » ainsi que des enjeux auxquels son application devra faire face. Les difficultés d’accès aux soins dentaires constatées étaient notamment associées à des restes à charge particulièrement élevés pour les usagers. La participation financière des usagers étaient ainsi la première cible de la réforme « 100 % santé », juste avant le renforcement d’une politique de santé préventive. L’outil principal de cette réforme est un plafonnement du tarif de certains soins. Cela permet d’organiser le financement total de ces soins par les assurances santé. Il existe désormais trois paniers de soins ayant chacun une tarification et un financement différent. Le premier panier propose des soins sans reste à charge pour le patient. Cette réforme constitue un choc dans la régulation des soins dentaires qui pourrait avoir des conséquences très différentes selon les territoires et leur dotation en chirurgiens-dentistes. L’efficacité de la réforme sur l’évolution de la consommation de soins et son efficience en matière de réduction des inégalités d’accès doivent être surveillées.
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Leguay, D. "Les trois révolutions qui amélioreraient immédiatement l’efficience de notre système de soins psychiatriques." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S6. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.027.

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Анотація:
Notre système de soins psychiatriques est à la fois sophistiqué, intelligent, et dysfonctionnel. Ses moyens restent importants. Toutefois la satisfaction de ses clients est faible. Ses résultats thérapeutiques globaux pourraient être significativement améliorés. Son efficience économique pourrait être optimisée. Des données internationales existent qui montrent que certains parcours de soins offrent davantage d’opportunités de rétablissement, à l’aune de la réduction de la pathologie, et des paramètres d’insertion. Le système français pourrait se mobiliser pour évoluer. Pour cela, trois révolutions seraient à mettre en œuvre :– la première serait de définir à la politique de santé mentale des objectifs de santé publique. C’est en poursuivant des objectifs chiffrés que l’on avance ;– la deuxième est de mettre en œuvre des structures dédiées, intersectorielles, offrant à tous le « panier de soins » nécessaires. Ce panier de soins devrait être défini, et leur mise à disposition sur chaque territoire devrait être systématique ;– la troisième est d’opérer le « virage du handicap psychique », de développer l’accompagnement médicosocial, et de tirer parti de tous les outils introduits par la loi de 2005.L’intervenant développera les données disponibles qui justifient ces propositions, déclinera les leviers à utiliser, et les modalités de mise en œuvre de ces « révolutions ».
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Piveteau, Denis. "Le « Panier de soins » : une notion en trompe-l’œil ?" Revue d'économie financière 76, no. 3 (2004): 175–86. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2004.4920.

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JANCZEWSKI, A., M. JEGO-SABLIER, and J. KHOUANI. "Droit universel à la santé pour les populations migrantes vulnérables." EXERCER 34, no. 198 (December 1, 2023): 456–59. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.198.456.

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Анотація:
L’Organisation mondiale de la santé positionne l’accès universel et l’équité des soins comme des critères d’évaluation de la performance des systèmes de santé. L’Organisation des Nations unies est en faveur d’une couverture sanitaire universelle, objectif 2030. En France, il a été proposé de redéfinir l’aide médicale d’État (AME), en argumentant une économie budgétaire. Les personnes en situation irrégulière auraient accès aux soins uniquement pour les situations médicales urgentes. L’état de santé de tous les primo-arrivants est préoccupant, avec une grande fréquence des problèmes de santé physique et psychique. Parmi eux, ceux en situation irrégulière et les demandeurs d’asile sont particulièrement vulnérables. Seule une faible proportion des personnes pouvant bénéficier de l’AME auraient ouvert leurs droits. Ce papier de position explore les interactions entre le droit universel à la santé et la vulnérabilité des populations migrantes. Il propose aux soins de santé primaires de prendre soin de ces populations vulnérables, en appliquant les principes de l’universalisme proportionné, d’aller-vers et de faire-avec. Il avertit qu’une réduction du panier de soins de l’AME aurait pour effet d’augmenter le renoncement aux soins et de dégrader l’état de santé des populations concernées.
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Leguay, D., and J. L. Roelandt. "Reh@b’ ET CCOMS – Quel « panier » de soins et de services dans la cité pour les personnes souffrant de troubles psychiatriques chroniques ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S89. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.385.

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Анотація:
Les soins de réhabilitation constituent désormais un registre incontournable de la prise en charge des personnes présentant des troubles psychiatriques chroniques et invalidants. Mais quels soins de réhabilitation sont-ils indispensables ? Prenant place dans quels parcours de santé ? Et proposés par quels dispositifs ? En d’autres termes, qu’est-ce qui constitue le « panier de soins » de réhabilitation exigible aujourd’hui par les usagers et les familles pour ne pas subir une « perte des chances » de se rétablir ? Dans le prolongement de ces soins, quels accompagnements et aménagements sociaux doivent-ils être systématiquement recherchés ? Les intervenants s’attacheront à définir ce que doit être un parcours de rétablissement, les standards de soins et les services qui doivent être mis en œuvre. Au terme de cette session, les participants auront une vue globale des outils et de l’organisation du système de santé permettant de mettre en œuvre les soins de réhabilitation.
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Clauvel Niama, Ange. "Panier de soins et assurance maladie universelle en Afrique : aspects méthodologiques." Revue française des affaires sociales 1, no. 4 (2018): 173. http://dx.doi.org/10.3917/rfas.184.0173.

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Giraud-Baro, E. "Retour sur expérience en Rhône-Alpes, réflexion sur le panier de soin." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S90. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.389.

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Анотація:
L’ARS Rhône-Alpes a eu la volonté de structurer l’offre de soins et de parcours en réhabilitation psychosociale à partir d’expériences locales et de données probantes issues des expériences étrangères. Des centres référents ont été labellisés pour des missions spécifiques et dotés en conséquences, un centre ressource a été créé pour dynamiser et aider à la construction de relais au sein des secteurs de psychiatrie. La question des équipements nécessaires et indispensables à la pratique de la réhabilitation en intégrant la dimension centrale du rétablissement a été largement discutée et tranchée selon des arguments cliniques, organisationnels.
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Nour, Kareen, Véronique Billette, and Alan Regenstreif. "Les services spécialisés en santé mentale pour des personnes âgées du CSSS Cavendish. Déjà 10 ans." Intervention 25, no. 1 (August 30, 2013): 152–78. http://dx.doi.org/10.7202/1018235ar.

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Анотація:
Plusieurs CSSS du Québec réfléchissent sur l’organisation des soins et services en santé mentale pour la clientèle âgée afin de mieux les desservir. Certains ont souligné leur intérêt à implanter un modèle organisationnel de services en santé mentale qui s’apparente à celui du CSSS Cavendish-CAU. Ce modèle, en place depuis plus d’une dizaine d’années, fut développé grâce à l’expertises cliniques et aux meilleures pratiques dans le domaine. Avant d’exporter ce modèle novateur de services, il apparaissait important d’analyser son évolution à travers le temps. Une analyse détaillée de plusieurs sources de données (ex. documents de travail, entrevues individuelles, focus groups, etc.) a permis de constater que les services imaginés en 1999 ont passablement changés. Cette analyse souligne plusieurs transformations positives telles que l’amélioration du continuum de soins, l’augmentation et la diversification du panier de services, mais également des changements de paradigmes et de pratiques sont questionnables. Le Plan d’action (2005) du MSSS a évacué deux concepts fondamentaux des services spécialisés en santé mentale 60 ans et plus (SSSM60+), soit l’autonomie psychosociale et les comportements à risques qui sont à la base d’une intervention plus sociale que médicale. Une attention particulière doit être accordée à ces concepts afin de les remettre à l’avant plan dans l’offre de services.
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Gayte, Marie, and Blandine Chelini-Pont. "L'objection de conscience opposable, nouvelle stratégie légale et judiciaire des acteurs religieux aux Etats-Unis (2011-2018)." Studies in Religion/Sciences Religieuses 48, no. 3 (September 2019): 382–409. http://dx.doi.org/10.1177/0008429819886729.

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Анотація:
En mars 2010, Barack Obama fait adopter par le Congrès une réforme visant à élargir au maximum la couverture maladie des Américains. Parmi les points de la réforme, dans le cadre des plans collectifs, les employeurs ont l’obligation de fournir à leurs salariés un panier de soins préventifs dont le contenu, édicté par le ministère de la santé, inclut les moyens de contraception. Le ministère de la Santé a écarté la prise en charge des soins contraceptifs par les employeurs religieux au sens strict comme les Eglises, puis les organisations religieuses sans but lucratif dont les universités et les hôpitaux. Mais ces exemptions ne vont pas empêcher une levée de boucliers au sein de l’épiscopat catholique qui dénonce le contraceptive mandate comme une atteinte à la liberté religieuse et en appelle à la désobéissance civile. Il est bientôt rejoint par de nombreuses organisations évangéliques, avec lesquelles il finit par faire cause commune pour défendre le droit à l’objection de conscience des chrétiens à accepter la contraception comme un soin pris en charge. Ce droit recouvre également leur refus de la légalité de l’avortement et du mariage homosexuel. Depuis 2010, plusieurs Etats, sur la base de cette posture et grâce à des majorités républicaines ont adopté des textes protégeant prioritairement la liberté religieuse incluant l’objection en cas de conflit de conscience face à la loi. Cette présentation s’attachera à mettre en évidence les racines de l’objection de conscience dans le contexte religieux américain ainsi que sa direction actuelle. Elle dressera un premier état des lieux de l’efficacité, légale et judiciaire, de cette stratégie d’objection religieuse
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Lefebvre, Pierre. "Discrimination sexuelle dans les dépenses des ménages : survol de la littérature et évidences empiriques pour le Canada." Articles 82, no. 1-2 (August 28, 2006): 119–53. http://dx.doi.org/10.7202/013467ar.

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Résumé La recherche récente suggère que le sexe d’un enfant a des effets importants et étendus sur les comportements parentaux et les résultats familiaux. Un constat général émerge de cette littérature : en matière de choix de vie familiale (mariage, divorce, fécondité) et de comportements individuels (de travail, de consommation, d’activités non marchandes) il y a des différences notables entre les hommes et les femmes. Les constats empiriques sont cohérents avec les modèles économiques qui expliquent les comportements intrafamiliaux comme le résultat d’un processus complexe de négociations concernant l’allocation du temps et des ressources familiales, et le partage du « surplus » familial et conjugal (dégagé par rapport au fait de vivre seul). Cette recherche aborde la question en examinant le panier des dépenses de consommation des familles qui ont un ou deux enfants du même sexe. L’analyse empirique cherche à identifier s’il y a un effet de « genre » dans les dépenses familiales en estimant l’effet du sexe de l’enfant sur plusieurs catégories de dépenses dont des biens familiaux à caractère public tels que l’habitation et les biens durables. D’autres types de dépenses sont aussi analysés (alimentation, soins médicaux, loisir et divertissement, aliments achetés au restaurant, services personnels, soins de santé et médicaments, dons et contributions). L’analyse utilise les microdonnées des fichiers publics de l’Enquête sur les dépenses des ménages de 1997 et 1998, les deux seules années où Statistique Canada identifie le sexe des enfants de 0-17 ans. Les résultats empiriques suggèrent que les effets sont peu marqués et systémiques.
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Dumoulin, Jeanne. "L’éthique et l’acceptation sociale des innovations technologiques." Dossier : La bioéthique 2, no. 2 (April 13, 2018): 7–14. http://dx.doi.org/10.7202/1044645ar.

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La technologie est une manière pour la science d’exprimer son côté pratique en plus d’être un moyen de traduire les connaissances lors de vraies applications scientifiques, mais ce processus peut engendrer une variété de défis moraux et éthiques. Le champ des biotechnologies laisse entrevoir de grandes réalisations pour les sociétés, y compris des traitements médicaux révolutionnaires et des aliments modifiés génétiquement, lesquels seraient sécuritaires, accessibles et largement disponibles. Mais peu de produits ont réussi le saut dans le panier du consommateur. Dans un des domaines d’application les plus prometteurs, tel celui des biotechnologies agricoles, certaines technologies n’ont pas encore entièrement émergé des laboratoires et ces produits, qui sont à l’heure actuelle sur le marché, ont été la source de polémiques significatives. L’étude présente se concentre sur le cas des vaccins faits à partir de plantes transgéniques qui, au cours des 15 dernières années, a peine à passer outre l’étape de la preuve de conception. Ces vaccins stagnent là où ils auraient dû accomplir la « promesse d’or » de fournir à bas coût une inoculation efficace pour les populations pauvres des pays en voie de développement. La question examinée dans cet essai est pourquoi, au-delà du processus de la découverte et de la conceptualisation, de telles technologies éprouvent des difficultés à atteindre leur maturité et ainsi retarde l’implantation dans les sociétés contemporaines ? Quels facteurs particuliers, sous l’angle de la bioéthique, auront besoin d’une reconsidération dans le cas échéant d’une mise en application de ces technologies pour être acceptées par les consommateurs, et avoir ainsi un impact positif sur la santé globale et l’accès équitable aux soins de santé ?
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Nahwegahbow, Alexandra Kahsenni:io. "From Great-Grandmothers to Great-Granddaughters: “Moving Life” in Baby Carriers and Birchbark Baskets." RACAR : Revue d'art canadienne 42, no. 2 (January 25, 2018): 100–107. http://dx.doi.org/10.7202/1042949ar.

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Les porte-bébés et les paniers d’écorce autochtones sont, en tant que réceptacles, conçus pour porter et tenir. Outre cette fonction, ils sont aussi détenteurs d’histoires, de mémoire, et de liens familiaux. Créés individuellement et ornementés avec soin, ces objets constituent une sorte de portrait des femmes qui les ont produits, ainsi que des générations qui ont hérité des pratiques et des motifs servant à les fabriquer. En élargissant la définition de la notion de portrait de famille, cet article considère deux objets provenant de Bear Island, en Ontario. Le premier est un porte-bébé ayant appartenu à Madeline Katt Theriault, et le deuxième est un panier d’écorce vraisemblablement créé par son arrière-grand-mère Angele Katt. Par leur parenté, ces réceptacles englobent une histoire multigénérationnelle qui s’étend de l’arrière-grand-mère à son arrière-petite-fille.
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Mira, Laurette. "Panser ou penser les soins d’hygiène." Soins Aides-Soignantes 17, no. 96 (September 2020): 20–21. http://dx.doi.org/10.1016/j.sasoi.2020.09.009.

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Skoulikas, Anne-Hélène, and Chantal Hamouda. "Panser la douleur : l'art-thérapie rencontre le soin." Revue internationale de soins palliatifs 29, no. 2 (2014): 55. http://dx.doi.org/10.3917/inka.142.0055.

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Velasco-Garrido, Marcial, Jonas Schreyögg, Tom Stargardt, and Reinhard Busse. "Description des paniers de soins dans neuf pays de l'Union européenne." Revue française des affaires sociales 1, no. 2 (2006): 63. http://dx.doi.org/10.3917/rfas.062.0063.

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Bubien, Y. "Hôpital 2,0 : du virtuel au réel." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S74. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.342.

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L’hôpital de demain sera 2,0 ou ne sera pas. Derrière ce constat prospectif et déterminé, il y a une réalité indéniable prenant ses racines dès à présent : la santé est déjà connectée et elle le restera. À l’heure des objets connectés, des patients connectés, des prémices de la médecine 2,0 et du big data, il faut dès aujourd’hui nous préparer à repenser nos façons de « panser ». Montres, bracelets, smartphones, balances, fourchettes, piluliers, vêtements ou même brosses à dents, pour chaque instant de votre journée, il y a un objet de santé connecté. Les objets de santé connectés sont en passe de révolutionner le quotidien mais aussi bientôt la conception du soin. Ainsi, d’après un sondage publié par l’institut Odoxa, 81 % des médecins estiment que « la santé connectée est une opportunité pour la qualité des soins » et 91 % jugent qu’elle est « une opportunité pour améliorer la prévention » des maladies. L’enjeu pour l’hôpital de demain est de s’adapter aux changements sociologiques de notre époque. La révolution numérique qui « digitalise » les modes d’interaction entre les patients et les établissements de santé (facebook, twitter, les objets connectés…) ne doit pas faire peur. Bien au contraire, elle doit être une opportunité pour adopter de nouveaux modèles de prise en charge sans doute moins unilatéraux et plus coopératifs. Ces nouvelles organisations devront être capables de mettre à profit les informations recueillies pour le médecin, mais aussi de pouvoir réceptionner de façon sécurisée et adaptée les données d’objets de santé connectés, en dehors de son enceinte. Le marché des big data est aujourd’hui dominé par les grands groupes américains comme google, par les mathématiciens, les informaticiens, les financiers. C’est aux hospitaliers et surtout aux médecins de reprendre la main pour façonner l’hôpital de demain à leur image, au service des patients et des citoyens.
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Gehrhardt, Marjorie. "«Sourire quand même» : La reconstruction des Gueules Cassées de la Grande Guerre en France et en Grande-Bretagne." Recherches anglaises et nord-américaines 49, no. 1 (2016): 119–29. http://dx.doi.org/10.3406/ranam.2016.1531.

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Анотація:
Durant la Première Guerre mondiale, la fréquence et la sévérité des blessures de la face rendent nécessaire la mise au point de traitements spécialisés pour «reconstruire des hommes», pour reprendre les mots du chirurgien Frederick Albee. Au-delà de la prise en charge de l’atteinte physique, la défiguration appelle une approche holistique des soins et du patient, que les soignants tentent de mettre en place malgré les pressions des autorités militaires pour renvoyer les soldats au combat dès que possible. S’appuyant sur des archives médicales, journalistiques et personnelles françaises et britanniques, cet article explore différentes facettes de la reconstruction physique, morale et symbolique des Gueules Cassées dans une perspective comparative. En effet, si les défis auxquels font face soignants et patients sont similaires dans ces deux pays alliés, les réponses apportées varient. Leur étude offre un angle d’approche original sur l’évolution des façons de «panser» et de «penser» les blessures de la face, blessures dont les implications soulignent l’importance du visage comme «miroir de l’âme» qui renvoie à soi, et comme «interface» ou ouverture sur le monde.
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Waters, Howard. "Loss Models: from Data to Decisions. By Stuart Klugman, Harry Panjer and Gordon Willmot [John Wiley & Sons, New York, 1998]." British Actuarial Journal 5, no. 4 (October 1, 1999): 823–24. http://dx.doi.org/10.1017/s1357321700000672.

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Gouabault, Emmanuel. "Michalon Jérôme, 2014, Panser avec les animaux. Sociologie du soin par le contact animalier. Paris, Presses des Mines, coll. Sciences sociales, 359 p." Anthropologie et Sociétés 39, no. 1-2 (2015): 340. http://dx.doi.org/10.7202/1030859ar.

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Sharpe, James. "Loss Models: From Data to Decisions. By Stuart A. Klugman, Harry H. Panjer & Gordon E. Willmot 3rd edition, John Wiley & Sons, 2008. 726pp. ISBN: 9780470187814." Annals of Actuarial Science 3, no. 1-2 (September 2008): 327–33. http://dx.doi.org/10.1017/s1748499500000531.

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Kothari, Hiten. "Loss Models — from data to decisions (3rd edition). By Stuart A. Klugman, Harry H. Panjer and Gordon E. Willmot (John Wiley & Sons, 2008. 726 pp. ISBN: 9780470187814)." Annals of Actuarial Science 4, no. 2 (September 2009): 343–45. http://dx.doi.org/10.1017/s1748499500000786.

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Ugwu, O. B., T. K. C. Udeani, C. L. Anigbo, and C. S. Anigbo. "Detection of microbial pathogens colonizing foot ulcers of diabetic patients in Enugu, Nigeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 25, no. 2 (April 3, 2024): 169–80. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v25i2.8.

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Анотація:
Background: Diabetic foot ulcer (DFU) is a major complication of diabetes mellitus (DM) which is associated with high morbidity and mortality. There is high rate of bacteria colonization especially in those with tendencies for poor wound dressing. This is accompanied by high rate of inappropriate antibiotic usage. The aim of this study is to characterize microbial pathogens colonizing foot ulcers of diabetic patients in Enugu, Nigeria, and to determine the antibiotic susceptibility of these isolates.Methodology: This was a descriptive cross-sectional study of consecutively enrolled diabetic patients with foot ulcers in two tertiary healthcare facilities in Enugu, Nigeria, between May 2021 and February 2022. A structured questionnaire was used to obtain socio-demographic and clinical data of the patients. Pus samples and/or tissues were collected from the ulcer lesion of each patient for aerobic and anaerobic microbial cultures and biochemical identification using standard conventional techniques.Results: A total of 310 diabetic patients with foot ulcers were recruited into the study, with 62.3% (193/310) males and 37.7% (117/310) females, and mean age of 56.0±13.9 years. Bacteria and yeast were isolated from samples of 280 (90.3%) patients while samples of 30 (9.7%) patients had no microbial growth. Males had higher frequency of microbial isolates (90.7%, 175/193) than females (89.7%, 105/117), while the age group ≤ 40 years had higher frequency of microbial isolates (100%, 43/43) compared to other age groups, although the differences are not statistically significant (p>0.05). The distribution of the isolates showed that 15.7% (44/280) were monomicrobial while 84.3% (236/280) were polymicrobial. The highest single isolate was Bacteroides fragilis with 5.0% (14/280), followed by Staphylococcus aureus with 3.2% (9/280). Bacteroides fragilis and S. aureus occurred as the highest combined bacteria isolates with 5.7% (16/280). Most of the patients were colonized by combination of bacterial isolates. The susceptibility indicates that most of the anaerobic bacteria were sensitive to metronidazole while S. aureus isolates were resistant to ofloxacin at a rate of 65.0%. Conclusion: The findings in this study showed that there is high bacteria and fungi colonization of foot ulcers of diabetic patients in Enugu, Nigeria. Routine care of wounds especially frequent changes of dressing materials and the use of potent antiseptics, are recommended. Contexte: L'ulcère du pied diabétique (UPD) est une complication majeure du diabète sucré (DM) associée à une morbidité et une mortalité élevées. Il existe un taux élevé de colonisation bactérienne, en particulier chez les personnes ayant tendance à mal panser les plaies. Cela s’accompagne d’un taux élevé d’utilisation inappropriée d’antibiotiques. Le but de cette étude est de caractériser les agents pathogènes microbiens colonisant les ulcères du pied des patients diabétiques à Enugu, au Nigeria, et de déterminer la sensibilité aux antibiotiques de ces isolats. Méthodologie: Il s'agissait d'une étude transversale descriptive portant sur des patients diabétiques recrutés consécutivement et souffrant d'ulcères du pied dans deux établissements de soins de santé tertiaires à Enugu, au Nigeria, entre mai 2021 et février 2022. Un questionnaire structuré a été utilisé pour obtenir des données sociodémographiques et cliniques du les patients. Des échantillons de pus et/ou des tissus ont été prélevés sur la lésion ulcéreuse de chaque patient pour des cultures microbiennes aérobies et anaérobies et une identification biochimique à l'aide de techniques conventionnelles standard. Résultats: Au total, 310 patients diabétiques souffrant d'ulcères du pied ont été recrutés dans l'étude, avec 62,3% (193/310) d'hommes et 37,7% (117/310) de femmes, et un âge moyen de 56,0±13,9 ans. Des bactéries et des levures ont été isolées à partir d'échantillons de 280 (90,3%) patients, tandis que des échantillons de 30 (9,7%) patients ne présentaient aucune croissance microbienne. Les hommes présentaient une fréquence plus élevée d'isolats microbiens (90,7%, 175/193) que les femmes (89,7%, 105/117), tandis que le groupe d'âge ≤ 40 ans présentait une fréquence plus élevée d'isolats microbiens (100.0%, 43/43) par rapport aux autres groupes d’âge, bien que les différences ne soient pas statistiquement significatives (p>0,05). La répartition des isolats a montré que 15,7% (44/280) étaient monomicrobiens tandis que 84,3% (236/280) étaient polymicrobiens. L'isolat le plus élevé était Bacteroides fragilis avec 5,0% (14/280), suivi de Staphylococcus aureus avec 3,2% (9/280). Bacteroides fragilis et S. aureus étaient les isolats bactériens combinés les plus élevés avec 5,7% (16/280). La plupart des patients étaient colonisés par une combinaison d’isolats bactériens. La sensibilité indique que la plupart des bactéries anaérobies étaient sensibles au métronidazole tandis que les isolats de S. aureus étaient résistants à l'ofloxacine à un taux de 65,0%. Conclusion: Les résultats de cette étude ont montré qu'il existe une forte colonisation bactérienne et fongique des ulcères du pied des patients diabétiques à Enugu, au Nigeria. Des soins de routine des plaies, des changements particulièrement fréquents des matériaux de pansement et l'utilisation d'antiseptiques puissants sont recommandés.
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Mouret, Sébastien. "Jérôme Michalon, Panser avec les animaux. Sociologie du soin par le contact animalier." Sociologie du travail 59, no. 3 (July 19, 2017). http://dx.doi.org/10.4000/sdt.912.

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Gagnon, Éric. "Care." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.031.

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Les années 1980 ont vu l'émergence, en philosophie, d’une éthique du care, qui n’a cessé de se développer et de gagner en importance. En rupture avec les conceptions kantiennes et rationalistes de la vie morale, cette éthique féministe met au centre de l’expérience morale la dépendance et le souci de l’autre, plutôt que la liberté et le détachement. Loin d’être des entités séparées, les individus dépendent des autres pour la satisfaction de besoins vitaux, et ce tout au long de leur vie, même s’ils le sont davantage à certains moments (naissance, maladie). Par delà leurs différences, les théoriciennes du care mettent au centre des discussions sur la justice et l’éthique la responsabilité à l’égard des personnes dépendantes et vulnérables, ainsi que le fait de prendre soin des autres (Paperman et Laugier, 2011). Le care désigne l’ensemble des gestes et des paroles essentielles visant le maintien de la vie et de la dignité des personnes, bien au-delà des seuls soins de santé. Il renvoie autant à la disposition des individus – la sollicitude, l’attention à autrui – qu’aux activités de soin – laver, panser, réconforter, etc. –, en prenant en compte à la fois la personne qui aide et celle qui reçoit cette aide, ainsi que le contexte social et économique dans lequel se noue cette relation. L’émergence de ce courant philosophique coïncide avec trois grands phénomènes sociaux et intellectuels. D’abord, l’accès grandissant des femmes au marché du travail, et la remise en cause de la division sexuelle du travail, qui conduisent les historiens et les anthropologues à s’intéresser aux tâches et aux métiers traditionnellement féminins (Loux, 1983), dont le travail domestique de soin ou les professions soignantes (infirmières, auxiliaires de soin). L’essor des recherches et des théories du care est ensuite lié au vieillissement de la population dans les sociétés occidentales, et aux préoccupations grandissantes touchant l’aide et les soins aux personnes âgées et dépendantes, plus nombreuses et vivant plus longtemps (Buch, 2015). Enfin, ces recherches et théories sont nourries par les débats sur l’assistance publique, la capacité de l’État-providence à prendre en charge les personnes vulnérables et à en décharger les familles (France, Canada), la situation de dépendance, négativement perçue, dans laquelle se trouvent ceux qui donnent et ceux qui reçoivent l’assistance (États-Unis). Les travaux sur le care mettent en évidence le fait que la responsabilité du soin aux autres revient davantage à certaines catégories sociales (les femmes, les groupes les plus démunis ou subordonnés comme les immigrants ou les pauvres). Un souci traverse et anime l’éthique du care : revaloriser les activités de soins, dont l’importance est ignorée et les savoirs déniés, du fait de leur association à des groupes d’un bas statut social ; dénoncer du même coup la manière dont les plus riches s’en déchargent sur les plus pauvres et les plus vulnérables, tout en ignorant ou oubliant leur dépendance à leur égard (Kittey et Feder, 2003). L’éthique du care ne peut manquer d’intéresser les anthropologues, qui peuvent y retrouver plusieurs de leurs interrogations et préoccupations. Premièrement, cette éthique remet en question un certain idéal du sujet, dominant en Occident, conçu comme un individu indépendant, délié de toute attache lorsqu’il fait ses choix. Les théories du care mettent en évidence sa profonde et naturelle dépendance aux autres pour la satisfaction de ses besoins primordiaux. Dans ces théories, comme en anthropologie, le sujet est le produit des rapports sociaux, il n’est compréhensible que replacé dans ces rapports généralement asymétriques. L’incomplétude de l’individu est posée dès le départ : se croire indépendant, c’est ne pas voir ses dépendances. S’il est possible de réduire sa dépendance, ce n’est qu’au bout d’un apprentissage, à l’intérieur de certains rapports sociaux et, paradoxalement, avec le soutien des autres. Deuxièmement, dans l’éthique du care, le jugement moral n’exige pas de s’abstraire de sa situation, de se libérer de toute passion et sentiment, mais plutôt, à partir de son expérience, de sa propre histoire et de la relation que l’on entretient avec l’autre, de chercher à comprendre son point de vue et sa situation. On se trouve là très proche de la démarche et de la compréhension ethnographique, fondée sur la relation que l’ethnologue entretient avec ceux qu’il étudie et dont il cherche à saisir le point de vue. Troisièmement, l’éthique du care attire l’attention sur des réalités négligées, oubliées ou dévalorisées ; elle conduit à une réévaluation de ce qui est précieux (Tronto, 1993). Comme l’anthropologie très souvent, elle s’intéresse à ce qui passe inaperçu ou demeure méconnu, mais aussi aux activités quotidiennes, en apparence banales, à ce qui s’exprime moins par des mots que par des gestes, dans les corps et les interactions, dont elle dévoile la richesse, la complexité, la signification et l’importance. Comme l’anthropologie, elle fait entendre des voix différentes, elle permet d’élargir le point de vue, de dépasser une vision dominante ou coutumière des choses. Quatrièmement, les recherches et les théories du care supportent une critique des inégalités et des rapports de domination, jusque dans la sphère privée. Elles s’interrogent sur le pouvoir qui s’exerce au sein de la relation d’aide et du lien affectif. Elles dénoncent les conditions de vie et la situation d’indignité dans laquelle se trouvent certaines personnes dépendantes (handicapées, âgées, seules, démunies), mais également les conditions de travail de celles et ceux qui apportent l’aide et les soins, et l’exploitation dont elles sont l’objet (travailleuses immigrantes, domestiques et femmes de ménage). Elles replacent ces rapports de domination au sein des rapports sociaux de sexe et des relations raciales, mais aussi dans les rapports entre les pays riches et les pays pauvres, comme le font les anthropologues. Enfin, cinquièmement, l’éthique du care conduit à une critique de la naturalisation de certaines dispositions et attitudes attribuées aux femmes : compassion, souci de l’autre, dévouement, oubli de soi. Ces dispositions et attitudes ne sont pas propres aux femmes, mais socialement et culturellement distribuées. Elles ne doivent pas être valorisées en les extrayant du contexte matériel et politique dans lequel elles s’expriment, au risque de renforcer les hiérarchies sociales et les injustices. Pareille critique est également menée par l’anthropologie, en montrant la relativité culturelle des dispositions et attitudes. Si l’anthropologie peut apprendre beaucoup de l’éthique du care, elle peut aussi apporter sa contribution aux débats sur le prendre soin, à partir de sa propre perspective et de ses méthodes : en décrivant et analysant les pratiques, les savoir-faire, l’organisation domestique, les institutions qui fournissent des services ; en prêtant attention aux gestes et aux rituels, aux expérience sensorielles, où la raison et les émotions, le sensible et l’intelligible ne se séparent pas (Buch, 2013); en comparant les pratiques et les situations entre différents pays et différentes époques, différents milieux socioéconomiques et différentes cultures, afin de montrer les constantes et les différences (Kaufman et Morgan, 2005); en sortant du monde occidental et en élargissant la perspective (l’éthique du care demeurant encore très marquée par la culture et les valeurs nord-américaines) ; en inscrivant le care et les pratiques de soins, non seulement dans les rapports sociaux et économiques, mais dans l’ensemble des systèmes symboliques, qui relient les individus entre eux, et qui tissent des correspondances entre les différentes dimensions de leur expérience, entre les âges de la vie, le passé et le présent, les gestes et les croyances, le corps et l’imaginaire (Verdier, 1979). L’anthropologie sera attentive au travail de la culture, au processus par lequel des expériences sont inscrites dans la culture par le biais de symboles, à la poétique des gestes et des paroles, à ce qui cherche à se dire et à s’exprimer, ainsi qu’aux résistances et à la distance que le soignant ou le soigné prend avec le groupe, ses valeurs et ses normes, à sa capacité de faire entendre autre chose, de faire voir d’autres dimensions de l’expérience (Saillant, 2000). Le care et le prendre soin ne forment pas un domaine spécifique de recherche, une anthropologie spécialisée à côté de l’anthropologie de la maladie, l’anthropologie de la famille et l’anthropologie du genre. Ce sont moins des «objets» d’étude, qu’une manière d’examiner des réalités multiples et variées. Faire de l’anthropologie du care et du prendre soin, c’est opérer un déplacement d’attention de la médecine vers les activités domestiques et quotidiennes, des savoirs scientifiques et techniques vers les arts de faire plus discrets, mais nécessitant tout autant un apprentissage, de l’intelligence et de la créativité, et reposant sur des savoirs. C’est également un moyen d’ouvrir l’anthropologie à des débats sociaux contemporains. Mais c’est aussi revenir par un autre chemin à la question anthropologique de l’articulation du biologique et du culturel, la manière dont le corps est culturellement investi, traversé de significations, façonné et transformé par les sociétés, la manière dont les faits naturels de la naissance, de la maladie et de la mort sont transformés en expériences humaines, inscrits dans un monde social spécifique et une conjoncture historique particulière (Saillant et Gagnon, 1999). Faire de l’anthropologie des soins, c’est ainsi reprendre à de nouveaux frais la question générale de l’articulation entre reproduction biologique et reproduction sociale.
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Leclerc, Véronique, Alexandre Tremblay, and Chani Bonventre. "Anthropologie médicale." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.125.

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L’anthropologie médicale est un sous-champ de l’anthropologie socioculturelle qui s’intéresse à la pluralité des systèmes médicaux ainsi qu’à l’étude des facteurs économiques, politiques et socioculturels ayant un impact sur la santé des individus et des populations. Plus spécifiquement, elle s’intéresse aux relations sociales, aux expériences vécues, aux pratiques impliquées dans la gestion et le traitement des maladies par rapport aux normes culturelles et aux institutions sociales. Plusieurs généalogies de l’anthropologie médicale peuvent être retracées. Toutefois, les monographies de W.H.R. Rivers et d’Edward Evans-Pritchard (1937), dans lesquelles les représentations, les connaissances et les pratiques en lien avec la santé et la maladie étaient considérées comme faisant intégralement partie des systèmes socioculturels, sont généralement considérées comme des travaux fondateurs de l’anthropologie médicale. Les années 1950 ont marqué la professionnalisation de l’anthropologie médicale. Des financements publics ont été alloués à la discipline pour contribuer aux objectifs de santé publique et d’amélioration de la santé dans les communautés économiquement pauvres (Good 1994). Dans les décennies qui suivent, les bases de l’anthropologie médicale sont posées avec l’apparition de nombreuses revues professionnelles (Social Science & Medicine, Medical Anthropology, Medical Anthropology Quarterly), de manuels spécialisés (e.g. MacElroy et Townsend 1979) et la formation du sous-groupe de la Society for Medical Anthropology au sein de l’American Anthropological Association (AAA) en 1971, qui sont encore des points de références centraux pour le champ. À cette époque, sous l’influence des théories des normes et du pouvoir proposées par Michel Foucault et Pierre Bourdieu, la biomédecine est vue comme un système structurel de rapports de pouvoir et devient ainsi un objet d’étude devant être traité symétriquement aux autres systèmes médicaux (Gaines 1992). L’attention portée aux théories du biopouvoir et de la gouvernementalité a permis à l’anthropologie médicale de formuler une critique de l’hégémonie du regard médical qui réduit la santé à ses dimensions biologiques et physiologiques (Saillant et Genest 2007 : xxii). Ces considérations ont permis d’enrichir, de redonner une visibilité et de l’influence aux études des rationalités des systèmes médicaux entrepris par Evans-Pritchard, et ainsi permettre la prise en compte des possibilités qu’ont les individus de naviguer entre différents systèmes médicaux (Leslie 1980; Lock et Nguyen 2010 : 62). L’aspect réducteur du discours biomédical avait déjà été soulevé dans les modèles explicatifs de la maladie développés par Arthur Kleinman, Leon Eisenberg et Byron Good (1978) qui ont introduit une distinction importante entre « disease » (éléments médicalement observables de la maladie), « illness » (expériences vécues de la maladie) et « sickness » (aspects sociaux holistes entourant la maladie). Cette distinction entre disease, illness et sickness a joué un rôle clé dans le développement rapide des perspectives analytiques de l’anthropologie médicale de l’époque, mais certaines critiques ont également été formulées à son égard. En premier lieu, Allan Young (1981) formule une critique des modèles explicatifs de la maladie en réfutant l'idée que la rationalité soit un model auquel les individus adhèrent spontanément. Selon Young, ce modèle suggère qu’il y aurait un équivalant de structures cognitives qui guiderait le développement des modèles de causalité et des systèmes de classification adoptées par les personnes. Au contraire, il propose que les connaissances soient basées sur des actions, des relations sociales, des ressources matérielles, avec plusieurs sources influençant le raisonnement des individus qui peuvent, de plusieurs manières, diverger de ce qui est généralement entendu comme « rationnel ». Ces critiques, ainsi que les études centrées sur l’expérience des patients et des pluralismes médicaux, ont permis de constater que les stratégies adoptées pour obtenir des soins sont multiples, font appel à plusieurs types de pratiques, et que les raisons de ces choix doivent être compris à la lumière des contextes historiques, locaux et matériaux (Lock et Nguyen 2010 : 63). Deuxièmement, les approches de Kleinman, Eisenberger et Good ont été critiquées pour leur séparation artificielle du corps et de l’esprit qui représentait un postulat fondamental dans les études de la rationalité. Les anthropologues Nancy Scheper-Hughes et Margeret Lock (1987) ont proposé que le corps doit plutôt être abordé selon trois niveaux analytiques distincts, soit le corps politique, social et individuel. Le corps politique est présenté comme étant un lieu où s’exerce la régulation, la surveillance et le contrôle de la différence humaine (Scheper-Hughes et Lock 1987 : 78). Cela a permis aux approches féministes d’aborder le corps comme étant un espace de pouvoir, en examinant comment les discours sur le genre rendent possible l’exercice d’un contrôle sur le corps des femmes (Manderson, Cartwright et Hardon 2016). Les premiers travaux dans cette perspective ont proposé des analyses socioculturelles de différents contextes entourant la reproduction pour contrecarrer le modèle dominant de prise en charge médicale de la santé reproductive des femmes (Martin 1987). Pour sa part, le corps social renvoie à l’idée selon laquelle le corps ne peut pas être abordé simplement comme une entité naturelle, mais qu’il doit être compris en le contextualisant historiquement et socialement (Lupton 2000 : 50). Finalement, considérer le corps individuel a permis de privilégier l’étude de l’expérience subjective de la maladie à travers ses variations autant au niveau individuel que culturel. Les études de l’expérience de la santé et la maladie axées sur l’étude des « phénomènes tels qu’ils apparaissent à la conscience des individus et des groupes d’individus » (Desjarlais et Throop 2011 : 88) se sont avérées pertinentes pour mieux saisir la multitude des expériences vécues des états altérés du corps (Hofmann et Svenaeus 2018). En somme, les propositions de ces auteurs s’inscrivent dans une anthropologie médicale critique qui s’efforce d’étudier les inégalités socio-économiques (Scheper-Hughes 1992), l’accès aux institutions et aux savoirs qu’elles produisent, ainsi qu’à la répartition des ressources matérielles à une échelle mondiale (Manderson, Cartwright et Hardon 2016). Depuis ses débuts, l’anthropologie médicale a abordé la santé globale et épidémiologique dans le but de faciliter les interventions sur les populations désignées comme « à risque ». Certains anthropologues ont développé une perspective appliquée en épidémiologie sociale pour contribuer à l’identification de déterminants sociaux de la santé (Kawachi et Subramanian 2018). Plusieurs de ces travaux ont été critiqués pour la culturalisation des pathologies touchant certaines populations désignées comme étant à risque à partir de critères basés sur la stigmatisation et la marginalisation de ces populations (Trostle et Sommerfeld 1996 : 261). Au-delà des débats dans ce champ de recherche, ces études ont contribué à la compréhension des dynamiques de santé et de maladie autant à l’échelle globale, dans la gestion des pandémies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qu’aux échelles locales avec la mise en place de campagnes de santé publique pour faciliter l’implantation de mesures sanitaires, telles que la vaccination (Dubé, Vivion et Macdonald 2015). L’anthropologie a contribué à ces discussions en se penchant sur les contextes locaux des zoonoses qui sont des maladies transmissibles des animaux vertébrés aux humains (Porter 2013), sur la résistance aux antibiotiques (Landecker 2016), comme dans le cas de la rage et de l’influenza (Wolf 2012), sur les dispositifs de prévention mis en place à une échelle mondiale pour éviter l’apparition et la prolifération d’épidémies (Lakoff 2010), mais aussi sur les styles de raisonnement qui sous-tendent la gestion des pandémies (Caduff 2014). Par ailleurs, certains auteur.e.s ont utilisé le concept de violence structurelle pour analyser les inégalités socio-économiques dans le contexte des pandémies de maladies infectieuses comme le sida, la tuberculose ou, plus récemment, l’Ébola (Fassin 2015). Au-delà de cet aspect socio-économique, Aditya Bharadwaj (2013) parle d’une inégalité épistémique pour caractériser des rapports inégaux dans la production et la circulation globale des savoirs et des individus dans le domaine de la santé. Il décrit certaines situations comme des « biologies subalternes », c’est à dire des états de santé qui ne sont pas reconnus par le système biomédical hégémonique et qui sont donc invisibles et vulnérables. Ces « biologies subalternes » sont le revers de citoyennetés biologiques, ces dernières étant des citoyennetés qui donnes accès à une forme de sécurité sociale basée sur des critères médicaux, scientifiques et légaux qui reconnaissent les dommages biologiques et cherche à les indemniser (Petryna 2002 : 6). La citoyenneté biologique étant une forme d’organisation qui gravite autour de conditions de santé et d’enjeux liés à des maladies génétiques rares ou orphelines (Heath, Rapp et Taussig 2008), ces revendications mobilisent des acteurs incluant les institutions médicales, l’État, les experts ou encore les pharmaceutiques. Ces études partagent une attention à la circulation globale des savoirs, des pratiques et des soins dans la translation — ou la résistance à la translation — d’un contexte à un autre, dans lesquels les patients sont souvent positionnés entre des facteurs sociaux, économiques et politiques complexes et parfois conflictuels. L’industrie pharmaceutique et le développement des technologies biomédicales se sont présentés comme terrain important et propice pour l’analyse anthropologique des dynamiques sociales et économiques entourant la production des appareils, des méthodes thérapeutiques et des produits biologiques de la biomédecine depuis les années 1980 (Greenhalgh 1987). La perspective biographique des pharmaceutiques (Whyte, Geest et Hardon 2002) a consolidé les intérêts et les approches dans les premières études sur les produits pharmaceutiques. Ces recherches ont proposé de suivre la trajectoire sociale des médicaments pour étudier les contextes d’échanges et les déplacements dans la nature symbolique qu’ont les médicaments pour les consommateurs : « En tant que choses, les médicaments peuvent être échangés entre les acteurs sociaux, ils objectivent les significations, ils se déplacent d’un cadre de signification à un autre. Ce sont des marchandises dotées d’une importance économique et de ressources recelant une valeur politique » (traduit de Whyte, Geest et Hardon 2002). D’autres ont davantage tourné leur regard vers les rapports institutionnels, les impacts et le fonctionnement de « Big Pharma ». Ils se sont intéressés aux processus de recherche et de distribution employés par les grandes pharmaceutiques à travers les études de marché et les pratiques de vente (Oldani 2014), l’accès aux médicaments (Ecks 2008), la consommation des produits pharmaceutiques (Dumit 2012) et la production de sujets d’essais cliniques globalisés (Petryna, Lakoff et Kleinman 2006), ainsi qu’aux enjeux entourant les réglementations des brevets et du respect des droits politiques et sociaux (Ecks 2008). L’accent est mis ici sur le pouvoir des produits pharmaceutiques de modifier et de changer les subjectivités contemporaines, les relations familiales (Collin 2016), de même que la compréhensions du genre et de la notion de bien-être (Sanabria 2014). Les nouvelles technologies biomédicales — entre autres génétiques — ont permis de repenser la notion de normes du corps en santé, d'en redéfinir les frontières et d’intervenir sur le corps de manière « incorporée » (embodied) (Haraway 1991). Les avancées technologiques en génomique qui se sont développées au cours des trois dernières décennies ont soulevé des enjeux tels que la généticisation, la désignation de populations/personnes « à risque », l’identification de biomarqueurs actionnables et de l’identité génétique (TallBear 2013 ; Lloyd et Raikhel 2018). Au départ, le modèle dominant en génétique cherchait à identifier les gènes spécifiques déterminant chacun des traits biologiques des organismes (Lock et Nguyen 2010 : 332). Cependant, face au constat que la plupart des gènes ne codaient par les protéines responsables de l’expression phénotypique, les modèles génétiques se sont depuis complexifiés. L’attention s’est tournée vers l’analyse de la régulation des gènes et de l’interaction entre gènes et maladies en termes de probabilités (Saukko 2017). Cela a permis l’émergence de la médecine personnalisée, dont les interventions se basent sur l’identification de biomarqueurs personnels (génétiques, sanguins, etc.) avec l’objectif de prévenir l’avènement de pathologies ou ralentir la progression de maladies chroniques (Billaud et Guchet 2015). Les anthropologues de la médecine ont investi ces enjeux en soulevant les conséquences de cette forme de médecine, comme la responsabilisation croissante des individus face à leur santé (Saukko 2017), l’utilisation de ces données dans l’accès aux assurances (Hoyweghen 2006), le déterminisme génétique (Landecker 2011) ou encore l’affaiblissement entre les frontières de la bonne santé et de la maladie (Timmermans et Buchbinder 2010). Ces enjeux ont été étudiés sous un angle féministe avec un intérêt particulier pour les effets du dépistage prénatal sur la responsabilité parentale (Rapp 1999), l’expérience de la grossesse (Rezende 2011) et les gestions de l’infertilité (Inhorn et Van Balen 2002). Les changements dans la compréhension du modèle génomique invitent à prendre en considération plusieurs variables en interaction, impliquant l’environnement proche ou lointain, qui interagissent avec l’expression du génome (Keller 2014). Dans ce contexte, l’anthropologie médicale a développé un intérêt envers de nouveaux champs d’études tels que l’épigénétique (Landecker 2011), la neuroscience (Choudhury et Slaby 2016), le microbiome (Benezra, DeStefano et Gordon 2012) et les données massives (Leonelli 2016). Dans le cas du champ de l’épigénétique, qui consiste à comprendre le rôle de l’environnement social, économique et politique comme un facteur pouvant modifier l’expression des gènes et mener au développement de certaines maladies, les anthropologues se sont intéressés aux manières dont les violences structurelles ancrées historiquement se matérialisent dans les corps et ont des impacts sur les disparités de santé entre les populations (Pickersgill, Niewöhner, Müller, Martin et Cunningham-Burley 2013). Ainsi, la notion du traumatisme historique (Kirmayer, Gone et Moses 2014) a permis d’examiner comment des événements historiques, tels que l’expérience des pensionnats autochtones, ont eu des effets psychosociaux collectifs, cumulatifs et intergénérationnels qui se sont maintenus jusqu’à aujourd’hui. L’étude de ces articulations entre conditions biologiques et sociales dans l’ère « post-génomique » prolonge les travaux sur le concept de biosocialité, qui est défini comme « [...] un réseau en circulation de termes d'identié et de points de restriction autour et à travers desquels un véritable nouveau type d'autoproduction va émerger » (Traduit de Rabinow 1996:186). La catégorie du « biologique » se voit alors problématisée à travers l’historicisation de la « nature », une nature non plus conçue comme une entité immuable, mais comme une entité en état de transformation perpétuelle imbriquée dans des processus humains et/ou non-humains (Ingold et Pálsson 2013). Ce raisonnement a également été appliqué à l’examen des catégories médicales, conçues comme étant abstraites, fixes et standardisées. Néanmoins, ces catégories permettent d'identifier différents états de la santé et de la maladie, qui doivent être compris à la lumière des contextes historiques et individuels (Lock et Nguyen 2010). Ainsi, la prise en compte simultanée du biologique et du social mène à une synthèse qui, selon Peter Guarnaccia, implique une « compréhension du corps comme étant à la fois un système biologique et le produit de processus sociaux et culturels, c’est-à-dire, en acceptant que le corps soit en même temps totalement biologique et totalement culturel » (traduit de Guarnaccia 2001 : 424). Le concept de « biologies locales » a d’abord été proposé par Margaret Lock, dans son analyse des variations de la ménopause au Japon (Lock 1993), pour rendre compte de ces articulations entre le matériel et le social dans des contextes particuliers. Plus récemment, Niewöhner et Lock (2018) ont proposé le concept de biologies situées pour davantage contextualiser les conditions d’interaction entre les biologies locales et la production de savoirs et de discours sur celles-ci. Tout au long de l’histoire de la discipline, les anthropologues s’intéressant à la médecine et aux approches de la santé ont profité des avantages de s’inscrire dans l’interdisciplinarité : « En anthropologie médical, nous trouvons qu'écrire pour des audiences interdisciplinaires sert un objectif important : élaborer une analyse minutieuse de la culture et de la santé (Dressler 2012; Singer, Dressler, George et Panel 2016), s'engager sérieusement avec la diversité globale (Manderson, Catwright et Hardon 2016), et mener les combats nécessaires contre le raccourcies des explications culturelles qui sont souvent déployées dans la littérature sur la santé (Viruell-Fuentes, Miranda et Abdulrahim 2012) » (traduit de Panter-Brick et Eggerman 2018 : 236). L’anthropologie médicale s’est constituée à la fois comme un sous champ de l’anthropologie socioculturelle et comme un champ interdisciplinaire dont les thèmes de recherche sont grandement variés, et excèdent les exemples qui ont été exposés dans cette courte présentation.
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Hawley, Erin. "Re-imagining Horror in Children's Animated Film." M/C Journal 18, no. 6 (March 7, 2016). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.1033.

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Introduction It is very common for children’s films to adapt, rework, or otherwise re-imagine existing cultural material. Such re-imaginings are potential candidates for fidelity criticism: a mode of analysis whereby an adaptation is judged according to its degree of faithfulness to the source text. Indeed, it is interesting that while fidelity criticism is now considered outdated and problematic by adaptation theorists (see Stam; Leitch; and Whelehan) the issue of fidelity has tended to linger in the discussions that form around material adapted for children. In particular, it is often assumed that the re-imagining of cultural material for children will involve a process of “dumbing down” that strips the original text of its complexity so that it is more easily consumed by young audiences (see Semenza; Kellogg; Hastings; and Napolitano). This is especially the case when children’s films draw from texts—or genres—that are specifically associated with an adult readership. This paper explores such an interplay between children’s and adult’s culture with reference to the re-imagining of the horror genre in children’s animated film. Recent years have seen an inrush of animated films that play with horror tropes, conventions, and characters. These include Frankenweenie (2012), ParaNorman (2012), Hotel Transylvania (2012), Igor (2008), Monsters Inc. (2001), Monster House (2006), and Monsters vs Aliens (2009). Often diminishingly referred to as “kiddie horror” or “goth lite”, this re-imagining of the horror genre is connected to broader shifts in children’s culture, literature, and media. Anna Jackson, Karen Coats, and Roderick McGillis, for instance, have written about the mainstreaming of the Gothic in children’s literature after centuries of “suppression” (2); a glance at the titles in a children’s book store, they tell us, may suggest that “fear or the pretence of fear has become a dominant mode of enjoyment in literature for young people” (1). At the same time, as Lisa Hopkins has pointed out, media products with dark, supernatural, or Gothic elements are increasingly being marketed to children, either directly or through product tie-ins such as toys or branded food items (116-17). The re-imagining of horror for children demands our attention for a number of reasons. First, it raises questions about the commercialisation and repackaging of material that has traditionally been considered “high culture”, particularly when the films in question are seen to pilfer from sites of the literary Gothic such as Mary Shelley’s Frankenstein (1818) or Bram Stoker’s Dracula (1897). The classic horror films of the 1930s such as James Whale’s Frankenstein (1931) also have their own canonical status within the genre, and are objects of reverence for horror fans and film scholars alike. Moreover, aficionados of the genre have been known to object vehemently to any perceived simplification or dumbing down of horror conventions in order to address a non-horror audience. As Lisa Bode has demonstrated, such objections were articulated in many reviews of the film Twilight, in which the repackaging and simplifying of vampire mythology was seen to pander to a female, teenage or “tween” audience (710-11). Second, the re-imagining of horror for children raises questions about whether the genre is an appropriate source of pleasure and entertainment for young audiences. Horror has traditionally been understood as problematic and damaging even for adult viewers: Mark Jancovich, for instance, writes of the long-standing assumption that horror “is moronic, sick and worrying; that any person who derives pleasure from the genre is moronic, sick and potentially dangerous” and that both the genre and its fans are “deviant” (18). Consequently, discussions about the relationship between children and horror have tended to emphasise regulation, restriction, censorship, effect, and “the dangers of imitative violence” (Buckingham 95). As Paul Wells observes, there is a “consistent concern […] that horror films are harmful to children, but clearly these films are not made for children, and the responsibility for who views them lies with adult authority figures who determine how and when horror films are seen” (24). Previous academic work on the child as horror viewer has tended to focus on children as consumers of horror material designed for adults. Joanne Cantor’s extensive work in this area has indicated that fright reactions to horror media are commonly reported and can be long-lived (Cantor; and Cantor and Oliver). Elsewhere, the work of Sarah Smith (45-76) and David Buckingham (95-138) has indicated that children, like adults, can gain certain pleasures from the genre; it has also indicated that children can be quite media savvy when viewing horror, and can operate effectively as self-censors. However, little work has yet been conducted on whether (and how) the horror genre might be transformed for child viewers. With this in mind, I explore here the re-imagining of horror in two children’s animated films: Frankenweenie and ParaNorman. I will consider the way horror tropes, narratives, conventions, and characters have been reshaped in each film with a child’s perspective in mind. This, I argue, does not make them simplified texts or unsuitable objects of pleasure for adults; instead, the films demonstrate that the act of re-imagining horror for children calls into question long-held assumptions about pleasure, taste, and the boundaries between “adult” and “child”. Frankenweenie and ParaNorman: Rewriting the Myth of Childhood Innocence Frankenweenie is a stop-motion animation written by John August and directed by Tim Burton, based on a live-action short film made by Burton in 1984. As its name suggests, Frankenweenie re-imagines Shelley’s Frankenstein by transforming the relationship between creator and monster into that between child and pet. Burton’s Victor Frankenstein is a young boy living in a small American town, a creative loner who enjoys making monster movies. When his beloved dog Sparky is killed in a car accident, young Victor—like his predecessor in Shelley’s novel—is driven by the awfulness of this encounter with death to discover the “mysteries of creation” (Shelley 38): he digs up Sparky’s body, drags the corpse back to the family home, and reanimates him in the attic. This coming-to-life sequence is both a re-imagining of the famous animation scene in Whale’s film Frankenstein and a tender expression of the love between a boy and his dog. The re-imagined creation scene therefore becomes a site of negotiation between adult and child audiences: adult viewers familiar with Whale’s adaptation and its sense of electric spectacle are invited to rethink this scene from a child’s perspective, while child viewers are given access to a key moment from the horror canon. While this blurring of the lines between child and adult is a common theme in Burton’s work—many of his films exist in a liminal space where a certain childlike sensibility mingles with a more adult-centric dark humour—Frankenweenie is unique in that it actively re-imagines as “childlike” a film and/or work of literature that was previously populated by adult characters and associated with adult audiences. ParaNorman is the second major film from the animation studio Laika Entertainment. Following in the footsteps of the earlier Laika film Coraline (2009)—and paving the way for the studio’s 2014 release, Boxtrolls—ParaNorman features stop-motion animation, twisted storylines, and the exploration of dark themes and spaces by child characters. The film tells the story of Norman, an eleven year old boy who can see and communicate with the dead. This gift marks him as an outcast in the small town of Blithe Hollow, which has built its identity on the historic trial and hanging of an “evil” child witch. Norman must grapple with the town’s troubled past and calm the spirit of the vengeful witch; along the way, he and an odd assortment of children battle zombies and townsfolk alike, the latter appearing more monstrous than the former as the film progresses. Although ParaNorman does not position itself as an adaptation of a specific horror text, as does Frankenweenie, it shares with Burton’s film a playful intertextuality whereby references are constantly made to iconic films in the horror genre (including Halloween [1978], Friday the 13th [1980], and Day of the Dead [1985]). Both films were released in 2012 to critical acclaim. Interestingly, though, film critics seemed to disagree over who these texts were actually “for.” Some reviewers described the films as children’s texts, and warned that adults would likely find them “tame and compromised” (Scott), “toothless” (McCarthy) or “sentimental” (Bradshaw). These comments carry connotations of simplification: the suggestion is that the conventions and tropes of the horror genre have been weakened (or even contaminated) by the association with child audiences, and that consequently adults cannot (or should not) take pleasure in the films. Other reviewers of ParaNorman and Frankenweenie suggested that adults were more likely to enjoy the films than children (O’Connell; Berardinelli; and Wolgamott). Often, this suggestion came together with a warning about scary or dark content: the films were deemed to be too frightening for young children, and this exclusion of the child audience allowed the reviewer to acknowledge his or her own enjoyment of and investment in the film (and the potential enjoyment of other adult viewers). Lou Lumenick, for instance, peppers his review of ParaNorman with language that indicates his own pleasure (“probably the year’s most visually dazzling movie so far”; the climax is “too good to spoil”; the humour is “deliciously twisted”), while warning that children as old as eight should not be taken to see the film. Similarly, Christy Lemire warns that certain elements of Frankenweenie are scary and that “this is not really a movie for little kids”; she goes on to add that this scariness “is precisely what makes ‘Frankenweenie’ such a consistent wonder to watch for the rest of us” (emphasis added). In both these cases a line is drawn between child and adult viewers, and arguably it is the film’s straying into the illicit area of horror from the confines of a children’s text that renders it an object of pleasure for the adult viewer. The thrill of being scared is also interpreted here as a specifically adult pleasure. This need on the part of critics to establish boundaries between child and adult viewerships is interesting given that the films themselves strive to incorporate children (as characters and as viewers) into the horror space. In particular, both films work hard to dismantle the myths of childhood innocence—and associated ideas about pleasure and taste—that have previously seen children excluded from the culture of the horror film. Both the young protagonists, for instance, are depicted as media-literate consumers or makers of horror material. Victor is initially seen exhibiting one of his home-made monster movies to his bemused parents, and we first encounter Norman watching a zombie film with his (dead) grandmother; clearly a consummate horror viewer, Norman decodes the film for Grandma, explaining that the zombie is eating the woman’s head because, “that’s what they do.” In this way, the myth of childhood innocence is rewritten: the child’s mature engagement with the horror genre gives him agency, which is linked to his active position in the narrative (both Norman and Victor literally save their towns from destruction); the parents, meanwhile, are reduced to babbling stereotypes who worry that their sons will “turn out weird” (Frankenweenie) or wonder why they “can’t be like other kids” (ParaNorman). The films also rewrite the myth of childhood innocence by depicting Victor and Norman as children with dark, difficult lives. Importantly, each boy has encountered death and, for each, his parents have failed to effectively guide him through the experience. In Frankenweenie Victor is grief-stricken when Sparky dies, yet his parents can offer little more than platitudes to quell the pain of loss. “When you lose someone you love they never really leave you,” Victor’s mother intones, “they just move into a special place in your heart,” to which Victor replies “I don’t want him in my heart—I want him here with me!” The death of Norman’s grandmother is similarly dismissed by his mother in ParaNorman. “I know you and Grandma were very close,” she says, “but we all have to move on. Grandma’s in a better place now.” Norman objects: “No she’s not, she’s in the living room!” In both scenes, the literal-minded but intelligent child seems to understand death, loss, and grief while the parents are unable to speak about these “mature” concepts in a meaningful way. The films are also reminders that a child’s first experience of death can come very young, and often occurs via the loss of an elderly relative or a beloved pet. Death, Play, and the Monster In both films, therefore, the audience is invited to think about death. Consequently, there is a sense in each film that while the violent and sexual content of most horror texts has been stripped away, the dark centre of the horror genre remains. As Paul Wells reminds us, horror “is predominantly concerned with the fear of death, the multiple ways in which it can occur, and the untimely nature of its occurrence” (10). Certainly, the horror texts which Frankenweenie and ParaNorman re-imagine are specifically concerned with death and mortality. The various adaptations of Frankenstein that are referenced in Frankenweenie and the zombie films to which ParaNorman pays homage all deploy “the monster” as a figure who defies easy categorisation as living or dead. The othering of this figure in the traditional horror narrative allows him/her/it to both subvert and confirm cultural ideas about life, death, and human status: for monsters, as Elaine Graham notes, have long been deployed in popular culture as figures who “mark the fault-lines” and also “signal the fragility” of boundary structures, including the boundary between human and not human, and that between life and death (12). Frankenweenie’s Sparky, as an iteration of the Frankenstein monster, clearly fits this description: he is neither living nor dead, and his monstrosity emerges not from any act of violence or from physical deformity (he remains, throughout the film, a cute and lovable dog, albeit with bolts fixed to his neck) but from his boundary-crossing status. However, while most versions of the Frankenstein monster are deliberately positioned to confront ideas about the human/machine boundary and to perform notions of the posthuman, such concerns are sidelined in Frankenweenie. Instead, the emphasis is on concerns that are likely to resonate with children: Sparky is a reminder of the human preoccupation with death, loss, and the question of why (or whether, or when) we should abide by the laws of nature. Arguably, this indicates a re-imagining of the Frankenstein tale not only for child audiences but from a child’s perspective. In ParaNorman, similarly, the zombie–often read as an articulation of adult anxieties about war, apocalypse, terrorism, and the deterioration of social order (Platts 551-55)—is re-used and re-imagined in a childlike way. From a child’s perspective, the zombie may represent the horrific truth of mortality and/or the troublesome desire to live forever that emerges once this truth has been confronted. More specifically, the notion of dealing meaningfully with the past and of honouring rather than silencing the dead is a strong thematic undercurrent in ParaNorman, and in this sense the zombies are important figures who dramatise the connections between past and present. While this past/present connection is explored on many levels in ParaNorman—including the level of a town grappling with its dark history—it is Norman and his grandmother who take centre stage: the boundary-crossing figure of the zombie is re-realised here in terms of a negotiation with a presence that is now absent (the elderly relative who has died but is still remembered). Indeed, the zombies in this film are an implicit rebuke to Norman’s mother and her command that Norman “move on” after his grandmother’s death. The dead are still present, this film playfully reminds us, and therefore “moving on” is an overly simplistic and somewhat disrespectful response (especially when imposed on children by adult authority figures.) If the horror narrative is built around the notion that “normality is threatened by the Monster”, as Robin Wood has famously suggested, ParaNorman and Frankenweenie re-imagine this narrative of subversion from a child’s perspective (31). Both films open up a space within which the child is permitted to negotiate with the destabilising figure of the monster; the normality that is “threatened” here is the adult notion of the finality of death and, relatedly, the assumption that death is not a suitable subject for children to think or talk about. Breaking down such understandings, Frankenweenie and ParaNorman strive not so much to play with death (a phrase that implies a certain callousness, a problematic disregard for human life) but to explore death through the darkness of play. This is beautifully imaged in a scene from ParaNorman in which Norman and his friend Neil play with the ghost of Neil’s recently deceased dog. “We’re going to play with a dead dog in the garden,” Neil enthusiastically announces to his brother, “and we’re not even going to have to dig him up first!” Somewhat similarly, film critic Richard Corliss notes in his review of Frankenweenie that the film’s “message to the young” is that “children should play with dead things.” Through this intersection between “death” and “play”, both films propose a particularly child-like (although not necessarily child-ish) way of negotiating horror’s dark territory. Conclusion Animated film has always been an ambiguous space in terms of age, pleasure, and viewership. As film critic Margaret Pomeranz has observed, “there is this perception that if it’s an animated film then you can take the little littlies” (Pomeranz and Stratton). Animation itself is often a signifier of safety, fun, nostalgia, and childishness; it is a means of addressing families and young audiences. Yet at the same time, the fantastic and transformative aspects of animation can be powerful tools for telling stories that are dark, surprising, or somehow subversive. It is therefore interesting that the trend towards re-imagining horror for children that this paper has identified is unfolding within the animated space. It is beyond the scope of this paper to fully consider what animation as a medium brings to this re-imagining process. However, it is worth noting that the distinctive stop-motion style used in both films works to position them as alternatives to Disney products (for although Frankenweenie was released under the Disney banner, it is visually distinct from most of Disney’s animated ventures). The majority of Disney films are adaptations or re-imaginings of some sort, yet these re-imaginings look to fairytales or children’s literature for their source material. In contrast, as this paper has demonstrated, Frankenweenie and ParaNorman open up a space for boundary play: they give children access to tropes, narratives, and characters that are specifically associated with adult viewers, and they invite adults to see these tropes, narratives, and characters from a child’s perspective. Ultimately, it is difficult to determine the success of this re-imagining process: what, indeed, does a successful re-imagining of horror for children look like, and who might be permitted to take pleasure from it? Arguably, ParaNorman and Frankenweenie have succeeded in reshaping the genre without simplifying it, deploying tropes and characters from classic horror texts in a meaningful way within the complex space of children’s animated film. References Berardinelli, James. “Frankenweenie (Review).” Reelviews, 4 Oct. 2012. 6 Aug. 2014 ‹http://www.reelviews.net/php_review_template.php?identifier=2530›. Bode, Lisa. “Transitional Tastes: Teen Girls and Genre in the Critical Reception of Twilight.” Continuum: Journal of Media & Cultural Studies 24.5 (2010): 707-19. Bradshaw, Peter. “Frankenweenie: First Look Review.” The Guardian, 11 Oct. 2012. 6 Aug. 2014 ‹http://www.theguardian.com/film/2012/oct/10/frankenweenie-review-london-film-festival-tim-burton›. Buckingham, David. Moving Images: Understanding Children’s Emotional Responses to Television. Manchester and New York: Manchester University Press, 1996. 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