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Статті в журналах з теми "Objets funéraires"

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Teleaga, Emilian, Adrian Bălăşescu, Andrei Soficaru, and Werner Schoch. "Die Scheiterhaufen aus Cugir und Tarinci. Ein Beitrag zu den Bestattungssitten der Balkanhalbinsel und des vorrömischen Dakiens in der Spätlatènezeit." Praehistorische Zeitschrift 89, no. 2 (June 30, 2014): 305–36. http://dx.doi.org/10.1515/pz-2014-0021.

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Анотація:
Zusammenfassung: Die genaue Grabungsdokumentation der Scheiterhaufengräber unter den Tumuli aus Cugir und Tarinci, die paläobotanischen, anthropologischen und -zoologischen Untersuchungen sowie die Metallanalysen der Bronzegegenstände aus dem Wagengrab in Cugir, die ethnografischen und (experimentell-)archäologischen Analysen der Scheiterhaufenverbrennung eröffnen neuen Wege in der Forschung der Scheiterhaufenbestattungen der Spätlatène- bzw. der frühen Kaiserzeit an der unteren Donau, auf der Balkanhalbinsel und für das vorrömische Dakien. Zunächst wurden die Anlage der Verbrennungsstellen und der Aufbau der Scheiterhaufen herausgearbeitet: Die bei den Ausgrabungen entdeckten Bestattungsspuren mit dem für die Verbrennung des Leichnames, der Tierkadaver und der Grabausstattung benötigtem Brennmaterial sowie die Untersuchung der Verbrennungsspuren an den Knochen und den Gegenständen ermöglichten sowohl die Rekonstruktion des Scheiterhaufens als auch die des Verlaufs der Begräbniszeremonie. Der Scheiterhaufen, die Grabausstattung und der Grabhügel selbst vermitteln den Aufwand (d. h. die soziale Energie) bei der jeweiligen Bestattung auch durch den Vergleich mit anderen Gräbern aus dem Umfeld. Auf diesem Wege wird die Position des Toten in der jeweiligen Gemeinde beleuchtet. Somit kann die Scheiterhaufenbestattungssitte sowohl in den griechisch-westpontischen Kolonien – in denen sie eine traditionelle Grabform war – als auch in den Bestattungen des Typus Padea-Panagiuriski kolonii (zumeist Waffengräber) sowie in den frühkaiserzeitlichen Hügelgräbern Thrakiens nachvollzogen werden. Résumé: La documentation de fouilles de bûchers funéraires découverts sous les tumulus de Cugir et de Tarinci, les analyses archéobotaniques, archéozoologiques et ostéologiques, l’examen de la composition métallurgique des objets en bronze de la tombe à char de Cugir, ainsi que les enquêtes ethnologiques et expérimentales de bûchers funéraires ouvrent de nouvelles perspectives sur les rites de crémation pendant le période de La Tène Finale et des débuts de l’époque Romaine dans les régions du bas Danube, des Balkans et de la Dacie. Notre enquête commence par établir comment les sites d’incinérations étaient organisés et comment les bûchers funéraires étaient construits. Les données relatives à la crémation des défunts et au combustible nécessaire, les carcasses d’animaux et le mobilier funéraire ainsi que l’examen de traces de combustion sur les ossements et les objets nous permettent de reconstruire non seulement les bûchers mais aussi les rites funéraires. Les bûchers, le mobilier funéraire et les tumuli nous permettent du juger l’investissement (donc l’énergie sociale) que représentent ces monuments funéraires par rapport à d’autres sépultures de la région et ainsi de mieux comprendre le niveau social des défunts au sein de leurs communautés. Le rite de la crémation sur bûcher, documenté dans les colonies grecques et de l’ouest du Pont Euxin (riches en traditions funéraires) comme aussi dans les sépultures de type Padea-Panagiuriski kolonii et les tumulus du Haut Empire en Thrace, peut ainsi être mieux appréhendé. Abstract: The detailed excavation records of the pyres under the barrows of Cugir and Tarinci, the analysis of the human, animal and plant remains they contained, the metallurgical examination of the bronze objects from the vehicle burial of Cugir, and the ethnographic and experimental investigations of pyre cremations open new research perspectives concerning cremations of the Late La Tène and Early Roman period in the lower Danube, Balkan and Dacian regions. This investigation attempts to ascertain how cremation sites were set up and how pyres were constructed. The archaeological evidence for cremated bodies and the fuel needed for the incineration of humans, animal corpses and grave goods, as well as the examination of traces of cremation on bones and artefacts enable us to reconstruct not only the pyres themselves but also the funerary rites involved. Pyres, grave goods and barrows give an indication of the level of funerary investment (i.e. social energy) when compared to other burials in the region. From this it becomes possible to gain insights into the social position of the deceased within their communities. The rite of cremation on pyres documented in the Greek/western Pontic colonies (which is rich in such traditions) as well as the burials of the Padea-Panagiuriski kolonii type (mainly weapon burials) and those of the Early Roman barrow burials of Thrace can thus be better comprehended.
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Breton, Luc. "Suivre le cadavre, du décès à l’exposition." Intervention 23, no. 2 (January 18, 2012): 38–42. http://dx.doi.org/10.7202/1007588ar.

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Анотація:
Les pratiques funéraires sont consignées à des lieux spécifiques et soustraites aux regards. Ce sont des « boîtes noires » en ce sens que leur fonctionnement dépend de la méconnaissance des rouages qui assurent leur réussite. Dès lors, la description de ces rouages doit s’appuyer sur une approche empirique. Une micro-enquête dans un complexe funéraire de Québec nous a donné l’occasion d’entrer dans la fabrique de la mort. Suivre le cadavre du décès à l’exposition, c’est lui conférer un statut d’acteur et constater l’importance de l’engagement symétrique d’humains et de non-humains (objets, instruments, produits, etc.) dans l’action. Le cadavre commande un temps et un lieu pour sa prise en charge. C’est avec les soins thanatopraxiques et la mise en bière que se termine cette chaîne de transformations.
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Fontaine--Gastan, Marie. "Objets funéraires du Moyen Âge, distinction et analyse factorielle." Histoire & mesure XXXVII, no. 1 (June 30, 2022): 37–70. http://dx.doi.org/10.4000/histoiremesure.15784.

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Gabacurta, Giovanna, and Angela Ruta Serafini. "Être reliés dans la mort: deux exemples du rituel funéraire de l'Âge du Fer de Padoue et d'Este." European Journal of Archaeology 1, no. 1 (1998): 91–115. http://dx.doi.org/10.1179/eja.1998.1.1.91.

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L'étude comparative de deux tombes crématoires de la Vénétie (à Padoue et à Este), chacune datant de la fin du sixième siècle av. J-C, nous permet de mieux comprendre les étapes du rituel mortuaire. La complexité des découvertes archéologiques ne peut s'expliquer qu'au moyen d'une définition tout aussi complexe du système mortuaire, en tenant compte d'éléments tels que: le nombre d'individus à l'intérieur d'une tombe, les modifications apportées à un cercueil ou à une urne cinéraire, le mélange des objets présents dans la tombe et des os incinérés de plusieurs individus à l'intérieur de la même urne etc. Afin de constituer un organigramme, on a pris en compte à la fois les analyses micro-stratigrafiques, la soigneuse restauration des objets découverts, l'analyse de vestiges humains ainsi que des reconstructions expérimentales. Ce travail vise à acquérir une meilleure compréhension des codes/pratiques funéraires dans les sociétés complexes de l'Italie pendant l'Âge du Fer.
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Hosoi, Noémie. "Objets de l’offrande : représentations funéraires sur les lécythes attiques du ve siècle avant J.‑C." Revue de l'histoire des religions, no. 4 (December 1, 2014): 619–44. http://dx.doi.org/10.4000/rhr.8320.

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CHARLES-LAFORGE, Marie-Odile. "Rites et offrandes dans la religion domestique des Romains : quels témoignages sur l’utilisation de l’encens ?" Archimède. Archéologie et histoire ancienne Archimède n° 9 (December 2022): 46–58. http://dx.doi.org/10.47245/archimede.0009.ds1.05.

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Анотація:
Résumé Si l’encens trouve sa place dans la plupart des rites publics des religions de l’Antiquité, qu’en est-il sur le plan du culte privé chez les Romains ? Les auteurs anciens, notamment les poètes, évoquent fréquemment la libation du vin et l’offrande de l’encens qui interviennent avant le sacrifice proprement dit. Ceci se retrouve dans les témoignages iconographiques qui sont tout aussi indispensables que les témoignages littéraires pour l’analyse des rites. C’est pourquoi cette étude sera menée à partir des peintures de laraires et objets de culte découverts dans les maisons pompéiennes afin de déterminer quelle est la place accordée à l’encens dans les cérémonies du culte domestique mais aussi lors des rites funéraires. Nous devrions être à même de trouver des témoignages archéologiques de sa présence et d’en tirer des conclusions. Nous les enrichirons par une approche du domaine funéraire à Pompéi afin de compléter nos témoignages sur l’utilisation de l’encens lors des rites organisés par la famille. Abstract Title: Rites and offerings in the domestic religion of the Romans: what testimonies on the use of incense? If frankincense finds its place in most of the public rites of religions of Antiquity, what about the Romans’private worship ? Ancient authors, especially poets, frequently mention the libation of wine and the incense’s offering that occur before the sacrifice itself. Nevertheless, the sacrifices’ scenes don’t give them much importance whereas they are as indispensable as the literary testimonies for the rites’ analysis. Therefore, this study will be carried out from lararia paintings and cult objects discovered in Pompeian houses to determine the place given to incense in the ceremonies of domestic cult but also in funeral rites. We should be able to find archaeological evidence of its presence and draw conclusions. We will complete with an approach to the funerary field to look for evidence of incense use in the funeral in Pompeii.
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NDIAYE, Matar. "LE SITE MÉGALITHIQUE DE WANAR AU SÉNÉGAL : ANALYSES TECHNOLOGIQUES ET TRACÉOLOGIQUES DES PERLES EN OR." Liens, revue internationale des sciences et technologies de l'éducation 1, no. 3 (December 5, 2022): 303–18. http://dx.doi.org/10.61585/pud-liens-v1n303.

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Mots-clés : Mégalithes, Nécropoles, Wanar, Perles en or, Techno-fonctionnelles Résumé Au cœur de nombreux débats de la recherche archéologique en Afrique de l’ouest, la question des mégalithes du Sénégal est devenue un enjeu majeur. En effet, les grands monuments en pierres de ce pays ont toujours été perçus comme seulement des nécropoles funéraires sacrés pour inhumer nos ancêtres au point de faire oublier qu’ils sont également de véritables lieux qui abritent une riche culture matérielle. Parmi ces vestiges matériels, les objets en or découverts dans les monuments ont joué un rôle socio-économique important, d’autant plus qu’ils servaient de monnaie d’échanges, de signes distinctifs et d’insignes du pouvoir. Les récentes découvertes des perles en or sur le site mégalithique de Wanar apportent des informations cruciales sur ces bijoux prestigieux et leur impact sur les échanges commerciaux transsahariens et à longue distance. Symboles de richesse ou objets d’ornements, ces perles ont engendré un savoir-faire, des enjeux politiques et économiques régionales très complexes. En confrontant les résultats des études technologiques et tracéologiques des perles en or, le site mégalithique de Wanar apporte de nouvelles hypothèses scientifiques pouvant permettre d’aller au-delà des simples observations sur les types d’inhumations dans les nécropoles, en abordant notamment la place des objets en or dans les sociétés protohistoriques au Sénégal.
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Marion, Stéphane. "Des objets dans les tombes : éléments d’interprétations des assemblages funéraires du IIIe siècle dans les sépultures des environs de Paris." Revue archéologique de Picardie 3, no. 1 (2009): 233–44. http://dx.doi.org/10.3406/pica.2009.3194.

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Lacroix, Laurier. "L’art des Huronnes vu par le frère récollet Gabriel Sagard en 1623-1624." Les Cahiers des dix, no. 66 (April 8, 2013): 323–38. http://dx.doi.org/10.7202/1015077ar.

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Анотація:
Parmi les récits qui présentent la vie des missionnaires en milieu autochtone, le texte du frère récollet Gabriel Sagard, Le Grand voyage au pays des Hurons, suivi du Dictionnaire de la langue huronne (1632), est reconnu comme le premier qui soit aussi complet sur cette nation. Sagard y relate son séjour de 1623-1624 auprès de la communauté de Carahouga, groupe huron qui n’a encore été que peu exposé directement au contact avec les Blancs. C’est un aspect particulier de sa relation qui m’intéresse ici, soit sa capacité de reconnaître comme des oeuvres d’art les artefacts produits par les femmes autochtones même si ce concept n’existait pas pour les Amérindiens. « Elles font […] des paniers de jonc, & d’autres avec des escorces de Bouleaux […] elles font aussi comme une espece de gibesiere de cuir, ou sac à petun, sur lesquels elles font des ouvrages dignes d’admiration, avec du poil de porc espic, coloré de rouge, noir, blanc & bleu, qui sont les couleurs qu’elles font si vives, que les nostres ne semblent point en aprocher. […]. » Son regard émerveillé et curieux détaille ainsi les peintures corporelles, les wampums, les peaux peintes, les bijoux et l’ensemble de la production visuelle. Sagard reconnaît la richesse et la diversité de leur production et il accorde à ces oeuvres des propriétés décoratives et esthétiques, les objets servant également comme moyens de communication ou comme offrandes lors des cérémonies funéraires. Son système de valeur l’empêche cependant de reconnaître la portée symbolique et mythologique de ces objets. Le texte de Sagard rend visible un moment de la culture matérielle des Hurons à la période de contact, production disparue à laquelle un travail d’interprétation pluridisciplinaire pourra en partie redonner vie.
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Ziolko, Caroline. "Le photographique mémoriel." Articles 23, no. 1 (June 7, 2011): 33–39. http://dx.doi.org/10.7202/1004020ar.

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Анотація:
Des médaillons de porcelaine, fabriqués dès les années 1850, aux plaques funéraires, aujourd’hui gravées au laser, la plastique de la photo funéraire évolue dans son propos sur la représentation commémorative du corps. Ce sujet trop rarement abordé est ici considéré en termes d’image et d’imaginaire et de propos mémoriel. En effet, la photographie funéraire ne médiatise pas seulement le portrait du défunt, sa plastique renseigne indirectement sur l’image retenue par les proches pour faire leur deuil d’un défunt selon une esthétique et des codes partagés par la famille, les amis, concitoyens et/ou compatriotes. Sur les tombes, la disposition de ces portraits peut reproduire métaphoriquement une hiérarchie familiale ou sociale, effective ou fantasmée. Selon cette enquête, le photographique funéraire se révèle un objet de culture populaire évolutif qui, en Europe comme en Amérique du Nord, fait image, sens et propos dans l’espace de la tombe comme dans l’espace du cimetière.
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Desiderio, Anna Maria. "Frontières et mobilités en Campanie à l’époque orientalisante : questions de culture matérielle." La mort et ses frontières, no. 6 (July 25, 2022): 25–35. http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.1382.

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La contribution vise à étudier les formes de distinction des individus, induites par des facteurs ethniques et sociaux, au sein de trois secteurs funéraires inédits de Pontecagnano (viiie‑viie siècles av. J.‑C.). Le site représente un observatoire privilégié des phénomènes de mobilité et d’intégration culturelle, objet d’un débat interdisciplinaire qui touche des thèmes aussi bien anthropologiques qu’archéologiques. À partir de ces prémisses, l’analyse portera sur des zones funéraires dont la formation relève de la réorganisation du site au passage à l’âge orientalisant. La récurrence d’indicateurs spécifiques dans le mobilier funéraire des sépultures examinées sera considérée en relation avec le rituel et avec la stratigraphie horizontale et verticale des sépultures. Ainsi, la réflexion cherchera à mettre en évidence la matérialisation des frontières culturelles entre les différentes composantes sociales de Pontecagnano à l’époque orientalisante. Enfin, la contribution soulève d’importantes questions méthodologiques concernant le rapport problématique qu’entretiennent ethnicité et culture matérielle, dont on souligne la valeur active dans la formation et la représentation des constructions identitaires.
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Duman, Delphine. "La perception de la mort à travers la migracriture." Études sur la mort 158, no. 2 (July 18, 2023): 27–40. http://dx.doi.org/10.3917/eslm.158.0027.

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Cet article soulève la question de la place de la mort dans la migracriture (la littérature de l’émigration d’expression turque). À travers la fiction, la mort de Gurbetçi (les émigrants turcs) à l’étranger, loin de leur terre natale, est étroitement conjuguée au principe du retour en terre ancestrale. Ce retour concerne, à la fois, les vivants et les morts. La mort à l’étranger, se présentant sous des formes inédites, rompt avec la convention. De même, les pratiques funéraires rompent, elles aussi, avec les traditions islamo-turques. Alors qu’en règle générale, les défunts doivent être rapatriés en Turquie, les exceptions se font très nombreuses dans l’imaginaire littéraire, où le corps occupe une place centrale et devient un objet d’autodérision, et parfois un outil de critique.
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Barba, Pablo. "Objectual violence: some remarks on deliberate pottery fragmentation from Predynastic Egypt." Archéo-Nil. Revue de la société pour l'étude des cultures prépharaoniques de la vallée du Nil 31, no. 1 (2021): 13–28. http://dx.doi.org/10.3406/arnil.2021.1354.

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Анотація:
Alors que la violence exercée sur les corps humains fait partie des thèmes les plus étudiés en archéologie, la violence infligée aux objets a reçu beaucoup moins de considération. J’explore ici de nouvelles perspectives anthropologiques qui définissent la violence non pas sous l’aspect du «dommage physique humain» mais de celui de la «véhémence». La violence nous oblige en effet à reconsidérer les relations et les limites entre humains et non-humains. J’analyse de manière qualitative des exemples provenant du registre de l’archéologie funéraire qui témoignent de la destruction violente et délibérée d’objets céramiques dans des rituels mortuaires puis leur éparpillement. Bien que la diversité et la complexité du phénomène soient bien mises en évidence, je suggère que cette pratique est importante en tant que «technologie des émotions» provocant le deuil au sein des participants et comme un dispositif mnémonique associant les populations, les temporalités et les espaces sociaux.
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Blanchet, Edgar, Geneviève Treyvaud, and Jean-Nicolas Plourde. "Le patrimoine archéologique de la Nation w8banaki." Revue d’études autochtones 51, no. 1 (September 6, 2022): 61–74. http://dx.doi.org/10.7202/1092140ar.

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Le Bureau du Ndakina du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki a développé un protocole de gestion du patrimoine archéologique. Ce protocole se positionne en réaction aux abus passés et présents dans la gestion du matériel archéologique sur le territoire ancestral de la nation. Nous présentons dans cet article les défis auxquels le Bureau est confronté, illustrés par trois cas de figure : 1) les limites du rapatriement d’objets situés sur la portion états-unienne du territoire ancestral ; 2) l’enjeu des archéologues amateurs et de la constitution de collections privées ; 3) le cas du rapatriement d’une collection provenant d’un site funéraire w8banaki. Ces exemples nous mènent à affirmer que la vie des objets se poursuit bien au-delà de leur abandon dans le sol. Leur muséification constitue parfois leur mort sociale, mais une vie symbolique persiste, car ce matériel devient vecteur de revendications et de reconstruction symbolique. Les objets sont porteurs de savoirs et ils sont centraux à la construction identitaire des groupes et des individus. De plus, dans le contexte précis des nations autochtones, ils occupent un rôle de médiateur et sont sujets à diverses formes de politisation. Comme nous tentons de le démontrer en ancrant cet article dans l’expérience récente de la Nation w8banaki, les objets peuvent être instrumentalisés simultanément à diverses fins. C’est dans ce contexte que s’inscrivent les démarches récentes et croissantes de rapatriement de matériel archéologique et ethnologique, un concept qu’il importe de considérer avec beaucoup de vigilance.
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Darbo-Peschanski, Catherine. "Condition humaine, condition politique. Fondements de la politique dans la Grèce archaïque et classique." Annales. Histoire, Sciences Sociales 51, no. 4 (August 1996): 711–32. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1996.410882.

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Quand on s'interroge sur la politique en Grèce ancienne, on associe régulièrement cette question à deux autres, objets de débats toujours ouverts : celle de la naissance de la cité, bien que la cité ne soit pas la seule forme d'organisation politique du monde grec et, inextricablement, celle d'une définition générale de la politique ou du politique.Peut-on dire que la cité naît au 8esiècle avant notre ère, quand s'affirme un mouvement d'implantation centralisé et planifié que vient confirmer l'érection d'édifices communs, religieux ou militaires? Ou bien ces données archéologiques et d'autres qui les accompagnent (augmentation et changement de nature du matériel funéraire, diffusion de l'écriture alphabétique et de l'art figuré, implantations de colonies) demandent-elles des interprétations nuancées et n'ont-elles rien de vraiment probant? Par ailleurs, à supposer que la cité naisse à cette époque et non pas plus tôt ou plus tard, sa véritable naissance n'est-elle pas marquée par une certaine manière de vivre en commun que ne révéleront jamais directement les traces matérielles interprétées par les archéologues?Dès lors, il convient de savoir ce qu'on entend par politique.
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Treffort, Cécile. "Vertus prophylactiques et sens eschatologique d'un dépôt funéraire du haut Moyen Âge : les plaques boucles rectangulaires burgondes à inscription." Archéologie médiévale 32, no. 1 (2002): 31–53. http://dx.doi.org/10.3406/arcme.2002.1587.

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Prophylactic and eschatological virtues of Early Middle Age grave goods : Burgundian rectangular belt plates with inscriptions. Since the nineteenth century, numerous rectangular belt fittings of bronze, usually decorated with an image of Daniel in the lion’s den, have been found on the ancient territory of Burgundia (Switzerland and the Jura, Savoy and Burgundy regions of France). The inscriptions that border some of these include the signatures of the craftsmen and/or the commissioners, providing us with information about the production of the objects, and the status of the craftsmen within Early Medieval society. The epigraphic texts also help us to understand the prophylactic and eschatological values of the objects, especially when they are placed in graves.
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Christin, Lucie, Franck Ducreux, Carole Fossurier, Dominique Sordoillet, Florence Cattin, David Cambou, and Alexa Dufraisse. "Crémations et monument funéraire campaniformes à Genlis « le Nicolot » (Côte-d’Or, France)." Bulletin de la Société préhistorique française 118, no. 4 (2021): 643–69. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2021.15248.

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The building of the high-speed rail track linking the Rhine to the Rhone led to the discovery of two Bell Beaker burials in an Iron Age cemetery located in the plain to the east of Dijon. The Tilles plain is an alluvial environment, shaped by the valleys of the Tille and the Ouche and populated since Late Prehistory, particularly during the Bell Beaker and Early Bronze periods, which have yielded settlements located on the rivers. These burials are the first funerary features discovered in the area. The two Bell Beaker cremation burials excavated at Genlis “ le Nicolot” are remarkable, as still too little is known of the funerary practices of the period in the east of France and in particular in Burgundy. Few Bell Beaker cremation burials are documented in Western Europe, whereas this practice is well known in Central Europe and the Genlis burials underline the strong cultural links with this area. The Genlis cremations are unprecedented in an area where until now only individual inhumations have been found. One of the burials has a remarkable funerary monument, with a complex layout of corner posts connected by shallow side pits. This architecture delimits a quadrangular space 1.4 m long and 1.2 m wide. The remains of a cremation, certainly originally located in the middle of the monument, were found scattered in the fill of the features that delimit it. The cremation contained two beakers with corded decoration and the remains of an ox skull. The painstaking excavation of this funerary monument and the micro-morphological analyses carried out on the ditch fill provide new data, which has contributed to precise reconstructions of the architecture and the funerary space. The detailed analysis of the bone material in the fill of the post holes and the monument''s boundary pits, has also identified unburnt animal offerings, including a bovid skull, which again refers to funerary practices attested from the Final Neolithic and Bell Beaker graves in Central Europe or in the Rhine area as well as in Britain. This cremation has yielded two beakers with corded motifs and a set of animal bones that may have been offerings. Goblets with corded decor are rare in Burgundy and bear witness to an early Bell Beaker phase that is still difficult to define from a chrono-cultural point of view, but for which corded influences seem more than likely. This early Bell Beaker phase has also been highlighted in the area of Genlis with typical features identified at the sites of Labergement-Foigney, “ les Côtes-Robin” and Genlis, “ la Moussenière”. These features represent the first stages of an occupation that develops during the second half of the Bell Beaker phase and the Early Bronze Age. The other burial is located in a shallow square pit interpreted as a small wooden chest. The pit housed the cremated remains, which were contained in a perishable envelope and the accompanying grave goods. These are similar to the typical Bell Beaker funerary sets containing a vessel with a Burgundian-Jurassian comb decoration, an archer''s cuff made of schist, a small copper dagger and a flint tool, which was probably a lighter. The dagger with its relatively atypical shape is without doubt the oldest metal object found in a funerary context in Burgundy. Unfortunately, the metallographic analyses carried out on this object have not pinpointed the origin of the ore used in its manufacture. These two burials provide important new information on Bell Beaker funerary practices within a regional chronocultural framework, in establishing links between central Eastern France and Central Europe. Funerary monuments, which are delimited by corner posts remain rare in France and show connections with Central Europe where this type of architecture built to house cremation burials, is more frequent. The cultural links between Central and Eastern France and Central Europe are only part of the story, as there are other probable links with northern Europe, but also the Netherlands and Britain, where funerary practices similar to those at Genlis have also been identified. These burials have shed new light on the role of Burgundy within the Bell Beaker group. They have also contributed to clarifying the place of Burgundy in the Bell Beaker network, as it transpires that this area played an important role as a buffer zone between the eastern Bell Beaker group influenced by Central and, to a lesser extent, Northern Europe, and the Atlantic Bell Beaker group, for which the cultural links are less obvious. In fact, the so-called Maritime pottery types are not found in the region. This paper provides detailed analysis of two exceptional and unprecedented Western European Bell Beaker tombs, which also raise the question of the longevity of certain funerary sites used from the beginning of the Bronze Age to the end of the Iron Age, as attested by other local necropolises.
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Rigaud, Solange. "Les objets de Parure associés au dépôt funéraire mésolithique de GroΒe Ofnet : implications pour la compréhension de l'organisation sociale des dernières sociétés de chasseurs-cueilleurs du Jura Souabe". Anthropozoologica 48, № 2 (грудень 2013): 207–30. http://dx.doi.org/10.5252/az2013n2a2.

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Baduel, Nathalie. "La collection des palettes prédynastiques égyptiennes du Muséum (Lyon). Étude des objets (traces de fabrication et d'utilisation) et présentation des palettes et du fard prédynastiques dans leur contexte historique, archéologique, social et funéraire." Cahiers scientifiques du Muséum d'histoire naturelle de Lyon - Centre de conservation et d'étude des collections 9, no. 1 (2005): 5–63. http://dx.doi.org/10.3406/mhnly.2005.1341.

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Chapa Brunet, Teresa. "Muerte, ritos y tumbas: una perspectiva arqueológica." Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 12 (June 28, 2023): 125–43. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2023.12.06.

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RESUMENUna de las manifestaciones más significativas de cada sociedad es el diseño de su ritual funerario, puesto que refleja las bases religiosas e ideológicas en las que se sustenta su organización. Aunque muchos de los procesos implicados en los funerales son efímeros, los cementerios y las sepulturas contienen información material que es estudiada por la arqueología con métodos cada vez más sofisticados, entre los que destacan los análisis isotópicos y genéticos. No menos importantes son los nuevos planteamientos teóricos. Si en la arqueología de la muerte tradicional los enterramientos eran ordenados por riqueza, sexo y cronología, en la actualidad se añaden otras perspectivas de estudio, como el papel asignado al género o la manipulación ideológica del ceremonial fúnebre. Finalmente, las nuevas ideologías del presente plantean retos y cortapisas que estimulan, pero también dificultan, el trabajo arqueológico. Palabras clave: arqueología funeraria, muerte, ideología, ritual, género, excavación de cementerios ABSTRACTOne of the most significant manifestations of every society is the design of its funeral ritual since it reflects the religious and ideological frames on which its organization is based. Although many of the processes involved in funerals are ephemeral, cemeteries and graves contain material information that is studied by archeology with increasingly sophisticated methods, including isotopic and genetic analyses. No less important are the new theoretical approaches. Within the traditional “Archeology of Death”, burials were ordered by wealth, sex, and chronology. Nowadays, other study perspectives are added, such as the role assigned to gender or the ideological manipulation of the funerals. Finally, the new ideologies of the present pose challenges and obstacles that stimulate, but also hinder, archaeological work. 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RESUMENLa historiografía sobre la muerte, desarrollada entre finales de los años setenta y noventa de la pasada centuria, tuvo especial interés y proyección a partir de las investigaciones trazadas por la tercera generación de Annales. Los planteamientos de esta corriente, en sintonía con los modelos de dicha escuela y avalados por la renovación del objeto histórico tras el estructuralismo, giraron alrededor del estudio de las condiciones materiales, actitudes, imágenes y gestualidad del hombre medieval ante la muerte. El cuerpo de esta fructífera reflexión, como parcela de la “historia de las mentalidades”, albergó novedades metodológicas, facilitando una visión y proyección heurística, debido al impacto que tuvo dentro del diálogo de la historia con las ciencias sociales y otras disciplinas del quehacer humanístico. A finales del siglo xx y comienzo del presente, el giro producido en el quehacer histórico ha otorgado un mayor protagonismo a lo social y cultural, colocando en el lugar protagonista ocupado durante décadas por la “historia de la muerte” otros intereses. Compete, por tanto, plantearse qué horizontes cabría dibujar, dentro de las coordenadas historiográficas de la actualidad, para las investigaciones sobre la muerte, cuyas paradojas siguen vigentes como recurso para conocer los fenómenos y manifestaciones propias de la civilización medieval.Palabras clave: Muerte medieval, historiografía de la muerte ABSTRACTThe historiography of death developed between the late 1970s and the 1990s was of special interest and projection. It was based on research carried out by the third generation of the Annales. The approaches developed in line with the models of this school of thought and underpinned by the renewal of the historical object following structuralism, revolved around the study of material conditions, attitudes, images and gestures of the medieval man in the face of death. The core of this prolific reflection as part of the “history of mentalities” contained methodological novelties facilitating a heuristic vision and projection due to the impact it had on the dialogue between History and Social Sciences and other humanistic disciplines. At the end of the 20th century and the beginning of the current the shift in historical endeavour has given greater prominence to what is social and cultural, placing other interests in the key role for decades occupied by the “history of death”. For researching into death, it is necessary therefore to consider what perceptions can be drawn within the historiographical coordinates of the present day whose paradoxes are still valid as a resource to understand the phenomena and manifestations of medieval civilisation.Keywords: mediaeval death, historiography of death REFERENCIASActas de las I Jornadas de Metodología Aplicada de las Ciencias Históricas. V. Paleografía y archivística, Santiago de Compostela, Universidade de Santiago de Compostela, Servicio de Publicaciones, 1975.Alexandre-Bidon, D., La mort au Moyen Âge: xiiie-xvie, París, Editorial Hachette, 1998.Alexandre-Bidon, D. y Treffort, C. (dirs.), A reveiller les morts. La mort au quotidien dans l’Occident médieval, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, 1993.Ariès, P., Essais sur l’histoire de la mort en Occident du Moyen Âge á nous jours, París, Éditions du Seuil, 1975 (trad. Historia de la muerte en Occidente. 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Quertinmont, Arnaud. "Contribution à l’interprétation archéologique des fragments de quotidien. L’exemple du mobilier des chapelles funéraires méroïtiques." Mosaïque, no. 6 (January 1, 2011). http://dx.doi.org/10.54563/mosaique.1263.

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Анотація:
À travers la présentation du sujet de recherche en cours, un jeune chercheur s’interroge sur le sens de celle-ci et les liens qui l’unissent à notre quotidien, au-delà des variables chronologiques, géographiques et méthodologiques. Arnaud Quertinmont, dont les recherches portent sur le mobilier des chapelles funéraires méroïtiques (Soudan), a pour objectif de contribuer à la connaissance d’une civilisation encore relativement méconnue et notamment de ses pratiques funéraires. Des exemples tirés du catalogue de ses recherches illustrent l’intérêt de tous les objets, y compris les moins spectaculaires.
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Edme, Anne-Laure. "The “steles of winegrowers” in ancient Gaul: criticism of a forced interpretation." Des cépages sans noms, des noms sans cépages. Comment désigner la vigne ?, no. 6 (December 15, 2023). http://dx.doi.org/10.58335/crescentis.1399.

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Анотація:
Les scènes de métiers figurant sur les reliefs funéraires sont autant de témoignages quant à la pratique locale d’activités agricoles, artisanales et commerciales. Pour ce qui est de la culture de la vigne en Gaule romaine – et plus particulièrement dans les territoires éduen et lingon, la présence de certains attributs spécifiques a longtemps été perçue comme la confirmation de l’existence de domaines à vocation viti-vinicole. Pourtant, que savons-nous vraiment de ces objets identifiés comme propres à ce domaine d’activité ? À quelles activités font-ils référence ?
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Venier, Claudia. "L’équipement funéraire des dames de l’Égypte ancienne. Réflexions méthodologiques sur quelques exemples issus des nécropoles de Gourob." C@hiers du CRHIDI, 2023. http://dx.doi.org/10.25518/1370-2262.1805.

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En fonction des sources mobilisées, la documentation offre une vision contrastée de la femme dans l’Égypte ancienne. Après une remise en contexte, cette recherche se concentre sur ce que l’archéologie des assemblages funéraires peut apporter à notre connaissance de la société de cour du Nouvel Empire et en particulier de ses dames, à travers l’examen des nécropoles de Gourob. Le site de (Médinet el-)Gourob est associé, à partir du règne de Thoutmosis III (ca. 1479-1425 avant notre ère), à un domaine et une résidence des femmes de la famille royale et de la cour, souvent désignés par l’égyptologie contemporaine sous l’appellation de « palais-harem ». Les objets de Gourob, en particulier ceux mis au jour durant la campagne entreprise par la British School of Archaeology in Egypt en 1920 (G. Brunton et R. Engelbach), sont utilisés comme cas d’étude pour évaluer les possibilités de caractérisation sociologique des femmes inhumées dans les nécropoles qui entourent ce complexe palatial.
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Pampanay, Élise. "Dialogues d’époux sur les stèles funéraires attiques." Dépasser la frontière, no. 1 (January 30, 2020). http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.170.

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Les monuments funéraires attiques classiques, pour la plupart conventionnels, rendent hommage, à travers la composition iconographique choisie et l’épigramme funéraire, au défunt ou à la défunte. Toutefois, dans certains cas, l’étude des relations entre le relief figuré et l’inscription révèle desprincipes de structuration qui dépassent ce caractère conventionnel, en cherchant à rétablir un dialogue rompu, en particulier entre époux. Le séma est précisément un objet de médiation entre les vivants et les morts, qu’il s’agisse des proches du défunt, ou des passants se trouvant face à ce lieu mémoriel. Un tiers peut en effet intervenir dans ce dépassement de frontière entre vivants et morts au sein d’un dispositif de communication virtuel : il s’agit du passant, invité à contempler ces figures éternellement figées et à lire à haute voix le contenu de l’épigramme pour redonner un souffle à la voix des disparus. Plusieurs types de dialogues se mettent ainsi en place, à la fois entre plusieurs éléments visuels du bas-relief, mais aussi entre l’iconographie et l’inscription funéraire. Les choix énonciatifs des épigrammes sont également déterminants. Nous verrons que ces dialogues sont particulièrement intéressants dans le cas de trois exemples de dialogues entre époux, à la fois au niveau de la représentation figurée et de l’inscription funéraire.
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Vargas, David Andres. "El duelo: UN-a batalla." Affectio Societatis 6, no. 10 (May 26, 2010). http://dx.doi.org/10.17533/udea.affs.5314.

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El presente ensayo aborda el duelo desde su doble acepción: desde la connotación freudiana de trabajo frente a la pérdida de un objeto de amor; y en tanto batalla. Se señalan diferentes tiempos lógicos del duelo y las implicaciones estructurales que estos conllevan. Igualmente, se advierte el estatuto ético del duelo por el acto que la resolución de todo duelo exige vía el sacrificio que el sujeto realiza de un trozo de sí. Los cambios a nivel del fantasma, la función de los rituales funerarios, así como la relación entre castración y muerte, son otras de las temáticas desarrolladas en este texto. Palabras Clave: duelo, falta, ética, fantasma Le deuil un-e bataille Résumé Dans cet essai le deuil est abordé dès son double acception : à partir de la connotation freudienne de travail face à la perte d'un objet d'amour; et en tant que bataille. Des différents temps logiques du deuil sont signalés ainsi que les implications structurales qu’ils entraînent. De même, l’on remarque le statut éthique du deuil à travers l'acte que la résolution de tout deuil exige au moyen du sacrifice que le sujet fait d’un morceau de lui-même. Les changements qui deviennent au niveau du fantôme, la fonction des rites funéraires, ainsi que la relation entre castration et mort, seront aussi des sujets développés dans ce texte. Mots-clés: deuil, manque, éthique, fantôme The mourning, a struggle Summary The current essay deals with the mourning from its double meaning: from Freudian connotation of work facing up the loss of an object of love; and as a struggle. Several normal times of mourning and the structural implications they involved are highlighted. As well, an ethical status of the mourning is noticed, due to the determination every mourning demands through the sacrifice of a part of the subject itself. The changes concerning the ghost, the function of funeral rites, as well as the relation between castration and death are other topics to be developed in this text.Key words: mourning, lack, ethics, ghost. .
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Garaguso, Maria Pina. "Surmonter les limites naturelles : l’exemple des populations indigènes de la Basilicate." Frontière·s, Supplément 1 (May 30, 2022). http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.1058.

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La Basilicate, une région de l’Italie du Sud, apparaît comme un territoire de forts contrastes orographiques, où les implantations antiques ont été organisées en s’adaptant aux caractéristiques territoriales. En particulier, cette région se caractérise par un fort relief montagneux et par cinq rivières qui la traversent d’ouest en est. Ces éléments ont toujours constitué des limites naturelles, mais en même temps, ont joué le rôle de voies de communication privilégiées, en permettant aux populations indigènes de l’intérieur des terres d’entretenir de nombreuses relations avec les poleis de la côte ionienne. Sur cette côte, en effet, deux villes grecques ont été fondées à l’embouchure des fleuves principaux : Siris, entre l’Agri et le Sinni, et Métaponte, entre le Bradano et le Basento. Dès la fin du viie siècle av. J.‑C., il est ainsi possible de retracer des itinéraires privilégiés selon lesquels les objets issus des productions grecques ont franchi la frontière de la chora et ont été intégrés au répertoire funéraire indigène.
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Papadaniel, Yannis. "Mort." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.020.

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L’être humain, pense-t-on communément, est le seul être vivant à avoir conscience de sa finitude. D’un point de vue anthropologique, il serait plus juste de s’en tenir au fait que les humains sont les seuls êtres vivants à pouvoir envisager la mort et l’anticiper même lorsque cette dernière ne les menace pas. Cette conscience induit un chassé-croisé entre résignation face à l’inéluctable et une aspiration à une vie éternelle après la mort. La mort semble ainsi marquée du sceau d’un paradoxe que les êtres humains ne peuvent résoudre autrement que par le recours à l’imaginaire. L’anthropologie, avec le concours de l’histoire, s’est longtemps attachée à décrire la variété des mythes et de rites autour de la mort. Elle a ainsi démontré le peu d’accord existant d’une époque à une autre, ainsi qu’entre sociétés, ou entre religions. Les territoires de « la vie après la mort » sont situés dans des mondes souterrains, dans les cieux ou encore sur terre selon la façon dont les défunts décédés et les survivants les ont accompagnés. L’inhumation, l’incinération et la conservation des ossements sont tantôt prescrites, tantôt proscrites. Les conceptions de la bonne « mort » oscillent, quant à elles, entre différentes figures. Parmi d’autres : la figure antique du soldat, tel Achille, mort au combat (voir Vernant 1989), celle du mourant contemporain acceptant son sort dans la dignité (Castra 2003), ou celle d’un individu, qui après le jugement divin, peut jouir d’une vie éternelle et sereine (Le Goff 1981). A ces idéaux correspondent également des figures négatives dont dépend le statut du défunt condamné à l’errance, ou à la damnation de sa descendance. Les anthropologues ne se sont toutefois pas contentés de compiler les différentes pratiques autour du mourir. Très tôt – le texte fondateur de Robert Hertz (1905) en constitue le modèle – ils se sont donnés pour tâche de saisir les composantes élémentaires des ritualités funéraires : traitement du cadavre ; transfiguration du corps puis de l’esprit dirigé dans un « ailleurs » après une suite d’épreuves ; temporalité du deuil étalée sur des cycles mensuels voire annuels. Des désaccords subsistent sur le statut de cette ritualité – quant à savoir notamment si elle constitue le point d’origine des religions. Ces réflexions ont cependant en commun de désigner les rites funéraires comme objet principal de l’anthropologie de la mort. Dans le prolongement, les travaux centrés sur la société contemporaine soulignent la dilution de la ritualité, recourant à une terminologie plutôt radicale : l’absence de ritualité commune en Occident serait la marque d’un déni ou, à tout le moins, d’une mise à distance croissante de la mort (pour Thomas 1975 ou pour Ariès 1975 dans une veine plus historique) et aboutirait à un rapport à la mort aseptisé. Ces propositions ont été nuancées par des auteurs comme Déchaux (2000), en France, ou Kellehear (1984), Walter (1994) et Seale (1998) et) au Royaume-Uni. Ces auteurs démontrent comment, avec la sécularisation progressive de la société, le rapport contemporain à la mort est placé sous le sceau de l’intime : les individus sont libres de se façonner en privé la « fiction » de leur choix avec l’inconvénient majeur qu’ils ne trouvent que peu l’occasion de la partager et de la faire reconnaître socialement. Ces approches ont le mérite de rompre avec une association par trop mécanique entre mort et tabou : l’absence d’un code commun en matière de mort ne signifie pas que ces codes n’existent pas à une échelle individuelle et intime où chacun mélange à sa guise les références et les traditions religieuses (c’est ainsi que dans les sociétés occidentales des agences rituelles voient le jour, offrant contre rétribution des « rites sur mesure »). Au-delà de leur nuance respective, ces travaux reposent sur une définition particulière de l’objet « mort ». Cette définition induit que toutes les activités qui se déploient à son entour, ne semblent compréhensibles qu’au prisme d’un schéma "réactif", impliquant une neutralisation : la mort crée un trouble et la vocation de toute symbolique serait d’y répondre et d’en diminuer la portée. Dans sa thèse de doctorat qu’il a mené au Ghana, Jack Goody (1962) a étudié la posture ambivalente dans laquelle se retrouvent les héritiers immédiatement après le décès de leurs aïeux : à la fois endeuillés mais objectivement récompensés par le gain de richesses matérielles et symboliques. Adaptant à l’anthropologie des préceptes issus de la psychanalyse, Goody illustre de façon plus générale comment le rapport des humains avec la mort est partagé entre chagrin et intérêt. Cet intérêt n’est pas nécessairement soumis à la logique réactive du deuil mais s’inscrit dans un registre particulier qui oppose – parfois – ceux qui partent et ceux qui restent. Par extension, on peut tirer de la réflexion de Goody la conclusion suivante. Au gré des situations, le rapport à la mort peut revêtir des formes singulières : l’indifférence, lorsque l’on apprend qu’un quidam que l’on ne connaît pas est décédé ; l’affliction la plus durable lors de la perte d’un être cher ; ou encore l’intérêt attisé par le gain que l’on peut en tirer (le mobile d’un crime, en définitive). La finitude humaine est donc envisagée différemment selon le type de liens qui unit le défunt à ceux qui lui survivent. Il existe dans un même espace social une pluralité de rapports possibles à la mort, dont la neutralisation est une occurrence parmi d’autres. Pour des raisons morales, ces rapports se jouent souvent dans une certaine oblicité – à travers les non-dits, les silences ou les euphémismes – bien illustrée dès 1968 par Glaser et Strauss. L’anthropologie contemporaine s’intéresse désormais aux possibilités et orientations de la médecine moderne qui appréhende la mort comme la maladie dont il faut guérir : atténuation de la souffrance morale et physique lors d’une maladie incurable ; assistance au suicide ; éradication du vieillissement et perfectibilité du corps humain dans le passage à une société « post-mortelle » (Lafontaine 2008). La mort n’est plus appréhendée au prisme de sa seule dimension funéraire, mais à travers les tentatives bien réelles dans lesquelles se lancent les humains pour contrer son inéluctabilité. A ces travaux s’ajoutent des analyses (Esquerre 2011) sur la façon dont les restes humains se retrouvent au centre des préoccupations collectives : régulation étatique face à l’intensification de la crémation ; restitution de restes humains autochtones à leur patrie d’origine ; régime d’humanité variable selon qu’il s’agit d’abattre un animal de compagnie ou un animal « comestible » (Remy 2009) ; scandales autour de charniers – que l’on croyait révolus en Europe – et des crimes contre l’humanité dont ils sont la preuve (Claverie 2011). Autant de phénomènes dont l’analyse démontre que, loin d’être refoulée, la problématique de la mort se déploie dans des processus sociaux contemporains et pluriels.
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Guille-Escuret, Georges. "Cannibalisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.119.

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Le terme cannibalisme, issu de la découverte par Christophe Colomb des Canibs antillais (les Caraïbes), cristallise la réunion de deux phobies millénaires au sein de la civilisation occidentale : d’une part, le refus politique par la Grèce antique de l’allélophagie (se manger les uns les autres), incompatible avec la cité au même titre que la société féminine des Amazones, et, d’autre part, la répulsion mystique que l’anthropophagie inspire au monothéisme, par la rémanence trouble d’un caractère sacré de la chair humaine. Dès lors, la notion unit deux « bestialités » en une dépréciation ultime de l’exotisme que, malgré un essai rebelle et lumineux de Montaigne, la science de l’homme subira en pensant a priori le cannibalisme sous forme de crime contre l’humanisme, à travers trois phases : l’accusation, tant que l’ethnologie s’associe au colonialisme, puis le silence, après la Première Guerre mondiale, et enfin la disculpation, voire une dénégation « faute de preuves », depuis le dernier quart du XXe siècle. Cela posé, au-delà du défi permanent lancé à une sérénité scientifique que l’anthropologie se devrait d’acquérir face à tout objet de réflexion, le thème du cannibalisme contient une multitude de questions d’autant plus intéressantes qu’elles sont demeurées en friche pendant que « le reste de l’ethnologie » affinait son élaboration. Toutes les sociétés pensent spontanément l’hypothèse d’un cannibalisme, ne serait-ce que pour en commenter l’indécence : par exemple, en tant qu’inceste alimentaire (Polynésie, Micronésie). Certaines ont pratiqué une anthropophagie médicale non cannibale, en ce sens que le traitement des organes destinés à une absorption n’entretient aucun rapport avec l’identité de leur porteur (Europe, Chine), ou bien que le prélèvement partiel sur un parent n’implique pas sa mort (Chine). Il arrive, cependant, que l’existence d’une sorcellerie utilisant régulièrement le corps humain s’étende par moments à une fébrilité guerrière (Afrique centrale et occidentale), intégrant ainsi un constat général : la pratique culturellement assumée du cannibalisme « clignote » le plus souvent sur la planète comme un phénomène inconstant, ou selon le mot de Claude Lévi-Strauss, « labile ». Plus précisément, le sentiment d’une fréquence à long terme dans de grandes aires (Mélanésie, Amazonie), ou certains types d’environnements (la forêt tropicale en tête), voile une instabilité de la pratique chez les peuples. Les exceptions éventuelles correspondent non à des modes de vie présumés « sauvages » ou « primitifs », mais à des peuples marqués au contraire par des hiérarchies instituées : en Amazonie et en Amérique centrale, la consommation de l’ennemi imprégna si nettement certaines cosmogonies (Tupi-Guaranis, Caraïbes, Nahuas) qu’elle s’y fixa sur une longue durée. Le rapport prédateur/proie y était ressenti à travers une circularité où les groupes échangent continuellement les rôles : l’affirmation de la parité chez les guerriers s’accorde à la stratification sociale, dans un schéma analogue à la conjonction du chevaleresque et de l'aristocratique chez les Occidentaux. Les Bataks de Sumatra, dont l’anthropophagie fut signalée sur sept siècles, constituent un cas limite différent : punitive, elle s’applique aussi bien aux membres de la communauté (cannibalisme dit « juridique ») qu'aux ennemis. Autre point remarquable : si l'on considère les grandes zones culturelles de la planète, l'exocannibalisme (c'est-à-dire, la consommation alimentaire de l'ennemi) ne couvre jamais, fut-ce provisoirement, la totalité de l'espace habité, loin s'en faut. D'une part, il existe toujours des groupes qui la rejettent parmi des voisins qui s'y adonnent. D'autre part, on trouve régulièrement la présence de deux usages assortis : l'endocannibalisme funéraire sur le corps du parent défunt, voire spécialisé sur les os (Amazonie), et la chasse aux têtes où le trophée se rapporte systématiquement à un seuil décisif du cycle vital (naissance, mariage, cérémonie agraire de fécondité). Les trois orientations surgissent dans les mêmes régions, mais s'assemblent rarement. La conjonction sur la chair humaine des anthropophagies guerrière et funéraire émerge ponctuellement en Amazonie et en Nouvelle-Guinée, où elle singularise une population par rapport aux autres. L'incompatibilité se révèle, certes, moins tranchée entre exocannibalisme et chasse aux têtes (Océanie), d'autant que le rituel d'adoption sur le trophée prévoit habituellement une absorption infime à un instant déterminé de son déroulement. Cela dit, chaque fois que ces deux opérations se combinent, la prépondérance de l'une d'elles s'affirme clairement aux dépens de l'autre. Enfin, entre endocannibalisme et chasse aux têtes, aucun compromis n'affleure. Sous le foisonnement des enregistrements d'une « prédation » à l'encontre du congénère, les interprétations globales ont confirmé le contrecoup d'une hantise idéologique par un antagonisme grossier des positions défendues : un matérialisme ultra-rudimentaire soutient la cause nutritive, malgré d'innombrables objections, en miroir d'aperçus psychologiques qui se contentaient jadis de rétorquer un désir de vengeance, ou de s'approprier la force de l'ennemi, et qui, aujourd'hui, défendent les impératifs de la faculté symbolique. Chacune de ces tendances persiste uniquement en exploitant les insuffisances de la vision adverse, ce qui masque une inaptitude à décrypter la logique des rapports sociaux inférés. Une troisième attitude souligne depuis le XVIIIe siècle la difficulté de protéger la rationalité devant l'aversion : le déni du fait, suivi d'une disculpation « faute de preuves », au nom de la malveillance des témoins (colons, soldats, etc.), opération qui élude la pertinence de « l'acte d'accusation » occidental. Là encore, cette vision rencontre un négatif : le panachage débridé de tous les cas enregistrés, y compris des anecdotes « modernes », en vue de ramener le problème à une pulsion abjecte. L'analogie entre un acte individuel d'anthropophagie dans une société qui la maudit et une coutume exotique est évidemment aussi absurde qu'odieuse. Pourtant, sur un mode moins spectaculaire, des récurrences sociologiques existent. Elles sont particulièrement prononcées dans des sociétés guerrières mais acéphales, qui reposent sur une économie horticole, forestière (Amazonie, Afrique, Asie du Sud-Est) ou insulaire (Océanie). Sous couvert d'une loi du talion d'où ressort un statut d'égalité jusque dans la relation prédateur/proie, et qui réclame que tout meurtre et toute consommation soit compensée, le cannibalisme habite les combats et participe souvent à une limitation de leurs dévastations en dissuadant les vainqueurs de pousser leur avantage. Des paix ont ainsi été conclues par le cadeau d'un membre du groupe avantagé aux adversaires pénalisés par l'affrontement (Nouvelles-Hébrides) : le repas consécutif scelle la fin des hostilités. Il arrive, cependant, que le cannibalisme se débride : il témoigne alors d'une crise grave et les Européens ont rarement compris que leur arrivée « tambour battant » avait décuplé par divers biais les violences auxquelles ils assistaient. La bestialité alimentaire qui les scandalisait, dans laquelle ils devinaient une pré-histoire, était en réalité toujours imprégnée par une lourde crise historique. En contraste, il s'avère plus aisé de cerner la prohibition intransigeante de l'anthropophagie guerrière qui s'étend continuellement en tache d'huile. D'abord, parmi les sociétés centrées sur le traitement d'un bétail, la domestication des animaux entraînant peu à peu une modification parallèle des rapports entre les hommes, à commencer par les étrangers, en y insinuant la perspective d'un assujettissement durable. L'ennemi quitte la scène de la chasse et les proies se transforment en troupeau. Chez les cannibales, le scénario majoritaire place le captif devant une alternative : être assimilé physiquement (repas), ou socialement (adoption). Chez les éleveurs, le choix tend à disparaître, et une gradation de l'asservissement semble s'y substituer. À un autre étage, l'interdit alimentaire se cristallise sous l'autorité centralisée de sociétés étatiques qui revendiquent une supériorité politique et culturelle, en dénigrant l'infériorité des modes de vie différents : en Europe et en Orient, mais aussi chez les Incas, ou à Hawaï, le refus de l'anthropophagie se soude à la sensation d'un rôle souverain qui rejette un principe de contigüité essentielle entre les peuples. En somme, il existe une multitude de motifs susceptibles de valider la consommation du congénère, alors qu'il n’y en a qu’un pour asseoir durablement la proscription de cette pratique : la domination. Un préjugé occidental tenace discerne une humiliation indubitable dans le fait de se repaître du combattant terrassé ou capturé, alors que, justement, elle n'effleure pas la plupart des cannibales. Montaigne a superbement démenti l'intuition et conclut par cette formule : « il est tué, non pas vaincu ». Inversement, celui qui se proclame civilisé, tout en accablant et opprimant « pour leur bien » les arriérés, primitifs ou barbares, ne tolère pas l'idée de les manger : ne subodore-t-il pas dans cette fusion un dédit de ses prétentions à rompre avec un passé qui perdure en l'autre? Pour leur part, lorsque les Fidjiens souhaitaient insulter la mémoire d'un homme singulièrement détesté, ils laissaient sa dépouille sur place après l'avoir terrassé, signifiant par là qu'ils ne daigneraient pas s'en nourrir.
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