Статті в журналах з теми "Mileux urbains et industriels"

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Sekkat, N., M. Guerbet, and J. M. Jouany. "Étude comparative de huit bioessais à court terme pour l'évaluation de la toxicité de lixiviats de déchets urbains et industriels." Revue des sciences de l'eau 14, no. 1 (April 12, 2005): 63–72. http://dx.doi.org/10.7202/705409ar.

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Анотація:
L'objectif de ce travail était d'apprécier l'intérêt ou la redondance de plusieurs bioessais à travers leur application à des échantillons particulièrement complexes. Huit bioessais, plus ou moins couramment utilisés en écotoxicologie, ont donc été testés sur une série de 14 échantillons liquides dont 11 étaient représentés par des effluents de lixiviation de déchets urbains et industriels. L'analyse statistique des résultats montre que les bioessais mis en œuvre présentent des réponses et sensibilités très différentes. Ils sont donc tous informatifs et une évaluation écotoxicologique globale devrait donc tous les prendre en compte, ce qui n'est pas possible dans la réalité. Il apparaît cependant que, pour une surveillances de routine de milieux complexes, le test Microtox® est globalement sensible, facile à mettre en œuvre et applicable à de grandes séries d'échantillons. Il est néanmoins peu représentatif des milieux naturels et d'autres bioessais ne peuvent que le compléter utilement, en particulier celui visant à déterminer le caractère mutagène du milieu étudié.
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2

Marchand, M. "La contamination des eaux continentales par les micropolluants organiques." Revue des sciences de l'eau 2, no. 2 (April 12, 2005): 229–64. http://dx.doi.org/10.7202/705030ar.

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Анотація:
Il y a environ 50 000 à 60 000 composés chimiques utilisés communément à des fins techniques. Certains d'entre eux sont toxiques et leur rejet dans l'environnement peut constituer une menace pour l'équilibre des écosystèmes aquatiques et pour la santé humaine. Plusieurs listes de substances dangereuses, appelées également polluants chimiques prioritaires, ont ainsi été établies par des organismes nationaux ou internationaux, notamment par l'EPA aux Etats-Unis, la CEE en Europe, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). La nécessité de protéger les milieux aquatiques et la santé humaine a par ailleurs amené le développement de standards, de critères de qualité des eaux naturelles et des eaux potables, vis-à-vis de ces contaminants chimiques. Les sources de pollution sont diverses, se partageant entre les sources localisées comme les effluents urbains et industriels et les sources diffuses comme les eaux de ruissellement en zones rurales et en zones urbaines et les retombées atmosphériques. Différentes processus biogéochimiques déterminent les mécanismes de transport et de transformation des polluants organiques dans le milieu aquatique, et la bioaccumutation dans les organismes vivants représente un important aspect de ce comportement. Une première évaluation de la qualité des eaux continentales (rivières, lacs, eaux souterraines) est effectuée en examinant les données recueillies à travers le réseau de surveillance mondiale de la qualité de l'eau (GENS/EAUX) mis en place par deux organismes des Nations Unies, l'OMS et le PNUE. D'autres sources d'informations, publiées dans la littérature scientifique, ont été également utilisées pour évaluer les niveaux de concentrations observés pour différents groupes de polluants organiques dans les eaux naturelles et les eaux potables. La plupart des données disponibles proviennent d'un nombre limité de pays industriels d'Amérique du Nord, d'Europe et du Japon. Il y a une dramatique absence d'informations concernant la qualité chimique des eaux continentales dans les pays les moins développés d'Afrique, d'Amérique Latine et d'Asie. A l'heure actuelle, la stratégie de surveillance des polluants chimiques à l'échelle mondiale est donc loin d'être réellement satisfaisante.
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3

Menye, Daniel Ébang, Serge Hubert Zébazé Togouet, Samuel Foto Menbohan, Norbert Kemka, Moïse Nola, Claude Boutin, Victor François Nguetsop, Moussa Djaouda, and Thomas Njiné. "Bio-écologie des diatomées épilithiques de la rivière Mfoundi (Yaoundé, Cameroun) : diversité, distribution spatiale et influence des pollutions organiques." Revue des sciences de l’eau 25, no. 3 (November 28, 2012): 203–18. http://dx.doi.org/10.7202/1013103ar.

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Анотація:
Sont considérés dans cette étude, l’impact des rejets polluants d’origines urbaine et industrielle sur la qualité des eaux du Mfoundi, l’abondance, la richesse spécifique et la structure des communautés diatomiques qui peuplent ce cours d’eau. Le calcul du pourcentage de taxons tolérants à la pollution organique a permis d’évaluer la réponse de ces algues à l’enrichissement du milieu en matières organiques. Les analyses physico-chimiques des eaux mettent en évidence l’existence d’un gradient de pollution croissant de l’amont à l’aval de la rivière. Le cours supérieur présente des eaux turbides avec des teneurs élevées de matières en suspension. Les cours moyen et inférieur sont fortement contaminés par les matières organiques qu’apportent les eaux usées domestiques et les effluents industriels qu’ils reçoivent. Au total, 237 taxons de diatomées épilithiques, majoritairement cosmopolites, appartenant à 39 genres répartis dans 25 familles, ont été inventoriés. Le développement dans le cours supérieur du Mfoundi de taxons tels que Gomphonema parvulum (Kützing) Kützing et variétés, Gomphonema gracile Ehrenberg et Navicula radiosa Kützing, est associé essentiellement à la turbidité des eaux de ce tronçon. La distribution de Nitzschia palea (Kützing) W. Smith, Navicula geoppertiana (Bleisch) Grunow, Navicula mutica Kützing et Pinnularia subcapitata Gregory dans les cours moyen et inférieur est étroitement liée à la charge organique et la forte minéralisation des eaux. N. palea est l’espèce la plus abondante dans les stations Mf5 (66 %) et Mf6 (53 %), indiquant une importante pollution organique de ces sites sous l’effet des rejets des industries brassicoles et vinicoles opérant dans leur voisinage. La variation spatiale de la diversité spécifique n’a pas souligné toute l’ampleur de l’altération de la qualité des eaux; toutefois, l’analyse du pourcentage de taxons polluo-tolérants révèle que les apports graduels en nutriments et en matières organiques dans les cours moyen et inférieur contribuent à l’eutrophisation progressive de ces secteurs. Il est montré que les diatomées épilithiques sont sensibles à la variation de la qualité de l’eau du Mfoundi, et peuvent être utilisées comme bioindicateurs de l’état de santé des cours d’eau urbains du Cameroun.
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Cerman, Markus. "Proto-industrialization in an urban environment: Vienna, 1750–1857." Continuity and Change 8, no. 2 (August 1993): 281–320. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000002095.

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Le concept original de ‘proto-industrialisation’ attache trop peu d'attention à deux facteurs importants, celui de la proto-industrialisation en milieux économiques urbains et celui de la production centralisée dans les manufactures pré-industrielles. Cet article essaie de définir l'impact des systèmes économiques et sociaux sur l'industrialisation d'une part et sur la production centralisée d'autre part; à cette phase de leur évolution, l'auteur suggère que l'on peut aborder aisément le problème à l'aide du concept de Gemengelage (conglomérat) des genres de production industrielle. Les dénombrements des années 1827, 1850 et 1857 fournissent alors la base d'une analyse empirique des structures du ménage et de la famille dans les industries de la soie et du textile en général à Vienne durant la période proto-industrielle. On observe des signes marquants de families protoindustrielles et ces modèles de formation des ménages qui leur sont associés, ce qui correspond, en gros, aux prévisions théoriques pour 1827. Cependant, au début de la Révolution industrielle, au milieu du 19e siècle, il y a ressemblance plutôt que différence entre les structures des ménages du milieu proto-industriel et celles de groupes choisis dans d'autres secteurs d'activité.
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Saint-Laurent, Diane. "Approches biogéographiques de la nature en ville : parcs, espaces verts et friches." Cahiers de géographie du Québec 44, no. 122 (April 12, 2005): 147–66. http://dx.doi.org/10.7202/022900ar.

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Au cours des dernières années, le thème de la nature en ville a suscité beaucoup d'intérêt dans la littérature scientifique, notamment en ce qui a trait à la végétation des milieux urbains, et en particulier à la végétation qui colonise les espaces libres, tels les lots vacants, les friches industrielles et les emprises ferroviaires. On s'est notamment intéressé aux modes de dispersion des espèces, à leur origine et à leur répartition dans l'agglomération. Certains auteurs ont d'ailleurs comparé ces îlots de végétation à des « îles urbaines », en s'inspirant de la théorie des îles biogéographiques. Ces espaces verts isolés dans la ville constituent en quelque sorte des espaces insulaires soumis aux modes de dispersion et d'échanges biologiques qui s'apparentent à ceux de la végétation des îles océaniques isolées de la terre ferme, par exemple. Dans la perspective de la conservation et de la restauration des espaces libres, le concept de « corridor » ou « lien vert » apparaît comme une alternative intéressante, non seulement pour la réhabilitation de nouveaux espaces verts, mais aussi comme faisant partie d'un ensemble plus vaste formant ainsi la trame verte de l'agglomération. Cet article fait part des principaux thèmes abordés dans la littérature scientifique en regard des approches biogéographiques en écologie urbaine et dans l'aménagement des espaces verts en milieu urbain.
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Brouillette, Normand, Laurent Deshaies, and Armand Séguin. "De la Mauricie de Blanchard à la Mauricie actuelle : continuité et changements." Cahiers de géographie du Québec 30, no. 80 (April 12, 2005): 217–33. http://dx.doi.org/10.7202/021801ar.

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Анотація:
Les auteurs examinent dans un premier temps comment la conception blanchardienne de la géographie s'incarne dans l'explication de cet espace régional et soulignent les difficultés de cette approche au plan de l'application. Cependant, grâce aux nombreux liens établis entre les divers éléments du tableau géographique, grâce également à la temporalité qui imprègne son oeuvre, Blanchard montre l'unité d'un espace que l'analyse paysagère avait eu tendance à diviser. Dans un deuxième temps, ils rendent compte des mutations qu'a connues la région depuis 1950 : effondrement des structures industrielles, déplacement du centre de gravité industriel vers le sud alors qu'en même temps, les agglomérations urbaines connaissaient une expansion spatiale soutenue malgré le ralentissement démographique. Enfin, l'espace rural mauricien a évolué vers une plus grande diversité des fonctions et son association à des degrés variables à l'espace forestier a fait place à un renforcement de son intégration au milieu urbain.
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Corniaux, Christian, Bassirou Bonfoh, A. Diallo, René Poccard Chapuis, and Gilles F. Vias. "Réseaux de collecte et de distribution du lait dans les villes d’Afrique soudano-sahélienne." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (January 1, 2007): 21. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9973.

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Анотація:
Dans les villes secondaires d’Afrique soudano-sahélienne, la proximité du milieu rural permet encore la collecte du lait auprès des producteurs situés en zone périurbaine et sa distribution auprès des consommateurs urbains. De nombreux acteurs transportent et commercialisent de petites quantités. Des minilaiteries prennent parfois une place majeure en tant que relais. En revanche, le fossé se creuse dans les capitales tant que le réseau de collecte et de distribution ne s’adapte pas aux exigences du marché. Les minilaiteries, en dépit de leur dynamisme, ne répondent que très partiellement à cette nécessité d’adaptation. La croissance démographique, l’expansion urbaine en périphérie au détriment des pâturages ou encore l’éloignement progressif de la production par rapport aux lieux de consommation rendent caduques les systèmes traditionnels de transport. Pour que la production laitière locale garde une place significative sur un marché urbain porteur, la collecte « industrielle » dans les lieux de production devrait être promue en dépit de leur éloignement, à l’instar de la laiterie Tiviski en Mauritanie. Mais les conditions de l’industrialisation ne sont pas évidentes à réunir. En outre, les réseaux de distribution du lait en poudre importé et de ses produits dérivés suivent efficacement les transformations récentes des marchés urbains (multiplication des boutiquiers, diversification des produits, présence croissante de la chaîne du froid, prix attractifs, qualité sanitaire correcte...), rendant encore plus rude, voire illusoire la compétition. Les politiques publiques doivent tenir compte de cet état de fait. L’appui aux unités de collecte et de distribution du lait local est une priorité, sous réserve que le développement de la production locale en soit une aux yeux des dirigeants.
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Gagnon, France. "Parenté et migration : le cas des Canadiens français à Montréal entre 1845 et 1875." Historical Papers 23, no. 1 (April 26, 2006): 63–85. http://dx.doi.org/10.7202/030982ar.

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Résumé Chez les ruraux canadiens-français migrant vers le milieu montréalais pendant les décennies cruciales marquant la première phase d'industrialisation (1845-1875), comme en bien d'autres milieux, la migration est loin de générer une coupure radicale avec la parenté et le milieu d'origine. Une série de mécanismes permettent aux ruraux d'intégrer aux stratégies de l'organisation familiale, le mouvement migratoire et l'adaptation à un milieu urbain et industriel. La prédominance d'une migration de familles semble se situer à la base de ces mécanismes. Elle indique la pertinence de réviser les explications de la dépopulation rurale exclusivement basées sur l'expérience des fils non héritiers, cherchant ailleurs que sur la terre le moyen de s'établir. En plus d'être intégrés à des familles migrantes, les migrants font largement partie d'une parenté aux ramifications complexes, qui intervient dans le mouvement migratoire et, tout en assurant les liens avec les milieu d'origine, manifeste sa présence en milieu d'accueil. Migrations en chaîne et formation de réseaux de parenté en milieu d'accueil indiquent en effet la présence de la parenté comme ressource potentielle. Quant à son rôle actif, il se traduit par son regroupement dans l'espace, par sa présence aux baptêmes et aux mariages, par la rencontre entre liens de parenté et pratique d'un même métier.
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Szabo, Denis. "Vie urbaine et criminalité." III. Aspects de la vie urbaine 9, no. 1-2 (April 12, 2005): 67–81. http://dx.doi.org/10.7202/055393ar.

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Les transformations quantitatives et qualitatives de la société, depuis la révolution industrielle, ainsi que les changements technologiques subséquents ont affecté profondément la santé mentale et sociale des populations. La délinquance et la criminalité constituent un aspect de ces conflits, de ces tensions et de ces déséquilibres profonds apportés par le nouveau genre de vie et désignés par le terme «milieu technique». Le changement rapide dans les relations humaines, provoquant la rupture de liens considérés comme naturels dans les sociétés rurales caractérisées par des siècles de stabilité relative, est devenu le barème d'un progrès. Ses bénéfices se comptabilisent par degrés de bien-être et son prix, par degrés de pathologie mentale et sociale. Il n'y a donc rien d'étonnant que les premiers sociologues aient accordé une attention particulière à l'étude des relations entre urbanisation et criminalité, leurs œuvres se situant au tournant du siècle. Durkheim et Tarde, pour ne citer que les Français, ont consacré des études importantes à ce phénomène; le concept d'« anomie », élaboré à propos des suicides dans les sociétés industrielles, est devenu une notion-clef dans la criminologie sociologique de la deuxième moitié du XXe siècle, grâce en particulier à des mises au point de Mer ton [15], de Cloward et d'Ohlin [7]. La sociologie a toujours privilégié l'étude des conflits, elle se soucie uniquement de ce qui va mal. Crimes et villes allient conjointement sur une toile de fond: industrialisation; changement technologique rapide; déplacement de populations par migrations massives interrégionales, internationales et intercontinentales; symptômes de la crise accompagnant la gestation d'un monde nouveau. Quelle est la situation au Québec, société où coexistent à bien des égards des caractéristiques typiques de la société pré-industrielle, aux côtés de formes nouvelles qui s'apparentent à la société « technétronique » de demain, comme l'appelle Brzezinski [3] ? Les données sont éparses, les analyses inexistantes, le chantier en friches. Néanmoins, nous esquisserons avec des moyens de fortune quelques données du problème en indiquant ce qui rapproche et ce qui distingue le modèle québécois de celui d'autres sociétés occidentales. Nous envisagerons le problème sous deux angles complémentaires : les relations entre l'urbanisation et la criminalité en termes statistiques à partir de bases régionales; quelques caractéristiques quantitatives et qualitatives de la criminalité à l'intérieur de l'espace urbain.
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Terrasa, Jacques. "Le regard et la trace. Paysages industriels et urbains dans l’œuvre de Joan Fontcuberta." Cahiers d'études romanes, no. 11 (December 15, 2004): 145–56. http://dx.doi.org/10.4000/etudesromanes.2762.

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Marchand, M. "Les PCB dans l'environnement marin. Aspects géochimiques d'apports et de distribution. Cas du littoral français." Revue des sciences de l'eau 2, no. 3 (April 12, 2005): 373–403. http://dx.doi.org/10.7202/705036ar.

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Les PCB représentent un groupe de substances chimiques chlorées particulièrement rémanent dans l'environnement. La production mondiale cumulée est évaluée à 1 200 000 tonnes et environ 30 % de cette production sont dispersés dans l'environnement, essentiellement dans le milieu océanique. La distribution de ces substances dans l'environnement aquatique est fonction des mécanismes d'échanges aux interfaces eau/atmosphère, eau/sédiment, aux processus de transformation abiotiques et biotiques, et aux processus de bioconcentration dans les organismes vivants. Les travaux réalisés depuis une vingtaine d'années permettent de décrire assez précisément le cycle biogéochimique des PCB dans le milieu océanique. La contamination du milieu marin côtier français est examinée plus particulièrement. La production totale des PCB en France est estimée à 123 000 tonnes et les apports polluants vers le milieu marin côtier, par les fleuves et l'atmosphère, sont évalués entre 2,5 et 3,0 tonnes par an. Les zones côtières les moins touchées par la contamination des PCB sont localisées en Manche sur le littoral nord de la Bretagne jusqu'en Normandie (Ouest Contentin) et en Méditerranée sur le littoral est de la Corse. La zone la plus contaminée est l'estuaire et la baie de Seine qui reçoivent les apports contaminants fluviaux de la Seine. De fortes contaminations sont également observées dans les zones industrielles et urbaines, et dans les secteurs qui reçoivent les effluents urbains non traités (ex : Marseille).Plusieurs études réalisées régulièrement suggèrent une décroissance générale des niveaux de contamination le long du littoral français depuis une décennie.
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Bégin, Benoît. "Sociologie politique et éthique urbaine." Thème 3, no. 1 (March 16, 2009): 89–101. http://dx.doi.org/10.7202/602416ar.

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RÉSUMÉÉtroitement reliée à la révolution industrielle, l’urbanisation connaît aujourd’hui une expansion à une échelle absolument inconnue dans toute l’histoire de l’humanité et constitue un milieu de vie qui comporte des transformations majeures dans la manière de penser, de sentir et de vivre des personnes. Des études récentes plus radicales en sociologie et en théologie nous montrent que ce n’est pas d’abord la ville elle-même qui est la cause de l’aliénation et de l’isolement dont sont victimes les personnes et les communautés, mais avant tout le système fondamental de valeurs qui place la rationalité technologique et la concurrence économique au-dessus des valeurs culturelles et sociales. C’est le système capitaliste lui-même, à la source des maux de la ville, qui est remis en question.
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HUIBAN, Jean-Pierre, Francis Aubert, and Anne-Marie Dussol. "La démographie des établissements industriels : une différenciation entre espaces urbains, périurbains et ruraux." Revue d'Économie Régionale & Urbaine décembre, no. 5 (2006): 751. http://dx.doi.org/10.3917/reru.065.0751.

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Mulero Mendigorri, Alfonso. "Residuos solidos urbanos e industriales: situación y gestión en España." Estudios Geográficos 59, no. 232 (July 6, 2018): 473. http://dx.doi.org/10.3989/egeogr.1998.i232.612.

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Residuos sólidos urbanos e industriales: situación y gestión en España. En el presente artículo se recogen diversos aspectos fundamentales para comprender la situación de los residuos sólidos urbanos e industriales y, específicamente, las causas de que éstos se hayan convertido en uno de los grandes retos de la política medioambiental española. Se analizan la producción y el tratamiento de los residuos, incidiendo en su evolución reciente, en los logros obtenidos y en las carencias estructurales que aún persisten. Éstas son el resultado de una gestión desigual e insuficiente, caracterizada, entre otras cosas, por la aparición de profundos contrastes territoriales que se destacan en el artículo. Finalmente se aborda el debate en tomo al futuro de los residuos españoles y se analizan los grandes instrumentos planificadores que se han diseñado para hacer frente al problema. [fr] Résidus Solides Urbains e Industriels: situation et gestion en Espagne. Dans cet article on étudie divers aspects fondamentaux pour comprendre la situation des résidus solides urbains et industriels, et spécifiquement, les causes qui ont fait que ceux-ci soient devenus l'im des plus grands défis de la politique de l'environnement en Espagne. On analyse la production et le traitement des résidus, leur récente évolution, les réussites et les carences structurelles qui persistent encore. Ces dernières sont le résultat d'une gestion inégale et insuffisante caractérisée, entre autres choses, par le surgissement de profonds contrastes territoriaux soulignés dans l'article. Finalement on aborde le débat sur le futur des résidus espagnols et l'on analyse les grands instruments de planification dessinés pour affronter le problème.
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Ruddel, David-Thiery. "La main-d’oeuvre en milieu urbain au Bas-Canada : conditions et relations de travail." Revue d'histoire de l'Amérique française 41, no. 3 (September 24, 2008): 389–402. http://dx.doi.org/10.7202/304584ar.

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RÉSUMÉ Selon un ancien spécialiste de l’histoire du travail au Canada, Clare Pentland, le système des relations paternalistes (« personal ») est remplacé vers le milieu du 19e siècle par celui du capitalisme. Notre analyse des contrats d’engagement et des articles de journaux indique que beaucoup de caractéristiques du capitalisme industriel précèdent de près d’un demi-siècle la vaste mécanisation des années 1850-1870. Certaines méthodes de capitalisme industriel sont surtout appliqués dans les centres urbains, mais nous les observons également dans les scieries et les distilleries situées à la campagne. Ainsi, les concepts de paternalisme et de pré-industrialisation ne devraient pas être utilisés dans la description des conditions et des relations de travail coloniales qu’avec beaucoup de circonspection.
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Paquier, Serge, and Géraldine Pflieger. "L'eau et les services industriels de Genève : aux sources du modèle suisse des services urbains." Entreprises et histoire 50, no. 1 (2008): 36. http://dx.doi.org/10.3917/eh.050.0036.

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Hiernaux Nicolas, Daniel. "L’État et le territoire : bilan de trois sexennats de politiques urbaines et régionales au Mexique (1970-1985)." II. Urbanisation et situations de crise, no. 17 (December 18, 2015): 103–13. http://dx.doi.org/10.7202/1034372ar.

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La crise économique est particulièrement grave au Mexique aujourd’hui. Elle s’explique sans doute par la conjoncture internationale (chute des prix du pétrole), mais aussi par un certain nombre d’orientations internes données au développement durant les dernières décennies, en particulier par le modèle du « développement stabilisateur ». L’article analyse plus précisément l’évolution des politiques d’aménagement du territoire depuis 1970, sous chacun des trois sexennats qui se sont succédé. L’auteur montre l’émergence des préoccupations pour les questions d’aménagement et les difficultés de mise en oeuvre des politiques de décentralisation économique et administrative. Il constate l’importance des grands capitaux industriels privés et publics comme force motrice du développement régional, et les contraintes qui se posent aux pouvoirs publics pour assurer une véritable maîtrise étatique de cette force en dehors des grandes branches que l’État possède. Ainsi, malgré les intentions et les efforts concrets de l’État en matière d’aménagement, le développement économique tend à se polariser autour de quelques grands centres urbains.
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Dion, Gérard. "La langue de travail dans l’industrie au Québec." Relations industrielles 23, no. 3 (April 12, 2005): 387–88. http://dx.doi.org/10.7202/027918ar.

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La question de la langue de travail dans l’industrie au Québec n'est pas sans poser un problème sérieux pour l'existence, le maintien et le développement de la culture canadienne-française. Il y va aussi de la dignité et du respect de l'homme. Comment, en effet, les canadiens-français, même s'ils sont en majorité au Québec, pourront-ils conserver leur identité et se développer selon leur culture s'ils sont obligés à la journée longue d’utiliser une langue qui n'est pas la leur ? Le problème n'est pas nouveau au Québec et surtout dans les milieux urbains, car, pour une bonne part, l'initiative économique et la direction des grandes entreprises a été entre les mains de personnes de langue anglaise. Dans le passé, il n'était cependant pas aussi aigu qu'il l'est aujourd'hui, alors que la plus grande partie des travailleurs canadiens-français s'adonnaient à l'agriculture ou travaillaient dans de petites entreprises et vivaient soit dans des milieux ruraux ou des petites villes. Avec la montée de l’industrialisation et la concentration des travailleurs dans de grandes agglomérations urbaines, la situation s'est aggravée et peut même devenir catastrophique. Plusieurs en sont conscients. Il faut alors rechercher une solution. Pour certains, il n'y en a pas et on devrait simplement laisser les choses évoluer spontanément sans se soucier de l’avenir. Pour d'autres, il faut frapper un grand coup et imposer par la loi l'unilinguisme français dans les limites du territoire québécois. En dehors de ces deux catégories extrémistes, d'autres, attachés aussi à la valeur de la culture canadienne-française et au respect des hommes, reconnaissent la complexité du problème et ne croient pas à la possibilité d'une solution simpliste. C'est alors qu'il faut faire montre de réalisme, d'imagination et d’initiative. Depuis quelques années, la direction de Relations industrielles a colligé un certain nombre de témoignages, d'opinions et de documents. Dans le but d'aider à cerner différentes dimensions de ce problème elle les publie ensemble dans ce numéro. Nous avons été aidé dans cette tâche par notre ancien collègue Roger Chartier. Nous le remercions de même que tous les autres collaborateurs qui nous ont permis de reproduire leur texte. Il va sans dire que chacun assume la responsabilité de son opinion et que celle-ci n'est pas nécessairement partagée par la revue.
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Lemelin, André. "L’estimation de l’emploi à partir de la distribution des établissements par taille." Articles 76, no. 2 (February 5, 2009): 299–318. http://dx.doi.org/10.7202/602325ar.

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RÉSUMÉ La rareté des données est un problème endémique dans les recherches économiques appliquées à l’échelle régionale, a fortiori à l’échelle inframétropolitaine. Cet article discute trois méthodes pragmatiques d’estimation de l’emploi à partir de la distribution des établissements par taille : la méthode du point milieu de l’intervalle (méthode PM), le lissage lognormal et le lissage log-logistique. On compare les méthodes au moyen de deux ensembles de données : celles du Recensement des établissements et de l’emploi de Montréal de 1996 (Banque de Données et d’Information urbaine, INRS-Urbanisation et Ville de Montréal) et celles de Statistique Canada sur les industries manufacturières à deux chiffres de la Classification Type des Industries (CTI) au Québec en 1995. Les résultats montrent que les modèles lognormal et logistique sont nettement supérieurs à la méthode PM, notamment à cause du biais à la hausse inhérent à cette méthode.
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Diop, Cheikh, Dorothée Dewaele, Aminata Toure, Mathilde Cabral, Fabrice Cazier, Mamadou Fall, Baghdad Ouddane, and Amadou Diouf. "Étude de la contamination par les éléments traces métalliques des sédiments cotiers au niveau des points d’évacuation des eaux usées à Dakar (Sénégal)." Revue des sciences de l’eau 25, no. 3 (November 28, 2012): 277–85. http://dx.doi.org/10.7202/1013107ar.

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Les écosystèmes marins côtiers sont des milieux de plus en plus affectés par l’activité humaine à cause des rejets urbains et l’utilisation de l’océan comme dépotoir pouvant mener à de hauts niveaux de pollution. L’objectif de cette étude était de déterminer les profils de concentration en éléments traces métalliques (Cd, Cr, Cu, Co, Ni, Pb et Zn) des sédiments dans des zones présumées être contaminées par les rejets des eaux usées à Dakar et d’évaluer leur qualité. Pour ce faire, des échantillons de sédiments ont été prélevés au niveau de cinq points d’évacuation des eaux usées vers la mer à Dakar (Sénégal). Les résultats montrent des caractéristiques géochimiques (granulométrie, alcalinité, teneur en carbone organique et en soufre) comparables. L’évaluation de la qualité des sédiments a été effectuée par le calcul de divers indices. Un enrichissement important des sédiments en cadmium et en plomb a surtout été noté. L’Indice de Pollution Sédimentaire (IPS), qui estime le degré de contamination d’un site en fonction de la toxicité relative de chaque métal considéré, fait état d’une forte pollution, voire même d’une dangerosité des sédiments étudiés. En effet, le cadmium et le plomb, présents en fortes teneurs dans les sites, contribuent respectivement à l’ordre de 94 % et 5 % à la dangerosité potentielle des sédiments (selon le classement de l’indice de pollution sédimentaire) alors que le zinc, le cuivre, le nickel et le chrome, également présents en fortes concentrations, ne représentent que 1 % de la pollution globale. Des corrélations positives élevées et modérées sont observées entre Pb/Cd, Pb/Co, Cr/Cu, Cr/Zn, Cr/Fe, Cr/Mn, Cu/Ni, Cu/Fe, Cu/Mn et Zn/Mn, indiquant leurs sources communes possibles à partir des activités industrielles et/ou urbaines ainsi que des comportements comparables dans le sédiment.
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Bougherira, Nabil, Azzedine Hani, Fayçal Toumi, Nadjib Haied, and Larbi Djabri. "Impact des rejets urbains et industriels sur la qualité des eaux de la plaine de la Meboudja (Algérie)." Hydrological Sciences Journal 62, no. 8 (June 5, 2017): 1290–300. http://dx.doi.org/10.1080/02626667.2015.1052451.

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SAVIGNAC, J., J. BOISSON, M. POMIES, F. CUNY, P. BOUCARD, J. M. BRIGNON, R. PHILIPPE, and H. X. HUMBEL. "Réduction à la source des micropolluants : outil d’aide au diagnostic et à l’élaboration d’un plan d’actions." Techniques Sciences Méthodes 4, no. 4 (April 23, 2021): 29–43. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202104029.

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Анотація:
Le projet Lumieau-Stra est un des lauréats de l’appel à projets « Micropolluants et innovation », lancé en 2013 par le ministère de la Transition écologique, l’Office français de la biodiversité et les agences de l’eau, dont l’objectif principal était d’aider les collectivités à agir pour mieux connaître et réduire l’impact des micropolluants sur les milieux et les ressources aquatiques de leur territoire. Un outil innovant d’aide à l’identification des sources et à l’élaboration d’un plan d’actions de réduction des émissions de micropolluants à l’échelle d’un territoire urbain a été développé dans le cadre de ce projet porté par l’Eurométropole de Strasbourg et réunissant huit partenaires. L’outil développé se base sur une approche évolutive en deux modules. Dans sa partie « diagnostic », l’outil permet d’identifier les bassins versants et émetteurs (industries, artisans, particuliers, eaux pluviales) qui contribuent potentiellement aux rejets aux exutoires du réseau d’assainissement (déversement vers les milieux récepteurs en temps de pluie et déversoir en tête de station de traitement des eaux usées (STEU)) et en entrée de station d’épuration. Les actions de réduction à mettre en place peuvent être priorisées sur la base de cette identification. Dans la partie « plan d’actions », une boîte à outils de solutions de réduction des micropolluants permet d’identifier celles qui sont adaptées au contexte local. L’outil permet alors de simuler des scénarios de mise en place d’actions sur le territoire étudié. L’outil permet ainsi d’évaluer l’impact de la mise en place d’un plan d’actions sur les sources d’émissions de micropolluants, sur les milieux récepteurs et sur l’effluent en entrée de STEU. Il a été développé puis appliqué au territoire de l’Eurométropole de Strasbourg. L’outil peut, dans une version adaptée, être utilisé pour accompagner la réalisation des diagnostics vers l’amont des STEU demandés réglementairement par la note technique du 12 août 2016.
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Gaid, A., and P. Sauvignet. "Les micropolluants organiques : présence dans les effluents urbains et traitement – Résultats d’essais pilotes industriels sur la station d’épuration d’Herford (Allemagne)." Techniques Sciences Méthodes, no. 7-8 (July 2019): 81–92. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/201907081.

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Анотація:
Cet article présente les résultats des essais effectués sur la station de traitement des eaux usées (STEU) d’Herford (Allemagne) en vue d’éliminer les micropolluants organiques présents dans les eaux traitées, cela au moyen d’une unité mobile de traitement complémentaire (Mobile Water Services). Un traitement tertiaire constitué par un pilote Actiflo Carb – réacteur à charbon actif en poudre (CAP) – a ainsi été mis en oeuvre. Le charbon actif en poudre testé, choisi après essais en laboratoire, est l’Aquasorb MP23 de la société Jacobi. Les résultats obtenus montrent que la plupart des micropolluants organiques sont éliminés à plus de 80 % pour des concentrations en CAP qui se situent autour de 18 g/m3. Les expérimentations permettent de souligner l’efficacité du pilote en matière tant de qualité d’eau produite (turbidité, demande chimique en oxygène) que d’efficacité vis-à-vis des composés responsables des perturbations endocriniennes.
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Villeneuve, Lynda. "Mythe et vécu territorial : Charlevoix à travers l’art du paysage au XIXe siècle." Cahiers de géographie du Québec 40, no. 111 (April 12, 2005): 341–62. http://dx.doi.org/10.7202/022586ar.

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Анотація:
Les représentations du paysage charlevoisien au cours du XIX e siècle font une large place aux normes dictées par l'art du paysage européen, britannique en particulier. Le mouvement esthétique romantique interpréta les signes du paysage charlevoisien en référence à une idéologie agriculturiste et anti-urbaine présente à partir de la décennie 1840 en particulier. Le paysage fut intégré à l'idéologie nationale canadienne dans la seconde moitié du XIXe siècle par les artistes torontois qui recherchaient, à cette époque, l'authenticité des paysages ruraux du Canada. Le paysage charlevoisien fut alors représenté comme un paysage rural authentique du Canada français, ayant su préserver la beauté de son milieu naturel et le mode de vie typique de ses habitants. Ces représentations picturales, en raison des idéologies conservatrices qui les sous-tendent, accordaient peu d'importance au vécu territorial d'une région en mutation rapide au cours de la période 1831-1871, sous l'impulsion de la nouvelle économie urbaine industrielle.
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Bouchard, Gérard. "Co-Intégration et reproduction de la société rurale. Pour un modèle saguenayen de la marginalité." Acteurs, culture, structure 29, no. 2-3 (April 12, 2005): 283–310. http://dx.doi.org/10.7202/056370ar.

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Анотація:
Cet article a été rédigé dans le cadre d'une enquête sur les structures et l'évolution de l'économie et de la société rurale saguenéenne depuis le milieu du 19e siècle. ' Plus précisément, l'objectif général de nos travaux est de faire ressortir les traits sociaux, économiques et culturels qui apparaissent dans un contexte de peuplement caractérisé par l'éloignement, la marginalité et des difficultés de développement.2 Traitant de l'économie rurale entre 1840 et 1930, nous soumettons ici un modèle qui voudrait rendre compte de la situation de l'agriculture saguenéenne et de ses rapports avec l'économie extrarégionale, notamment avec l'industrie forestière. Seront donc visées les économies mixtes qui caractérisent les sociétés dites marginales, Essentiellement, nous suggérons que l'étude de l'économie agraire et des rapports qu'elle entretient avec le capitalisme extrarégional (ou avec des activités économiques dites externes) doit absolument tenir compte de la dynamique sociale qui est propre à la collectivité rurale, et du développement de l'économie urbaine et industrielle.
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Tassin, Jacques. "Les plantations forestières industrielles à l'épreuve des représentations de la nature." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 9. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20469.

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Les plantations industrielles, qui couvrent de l'ordre de 100 millions d'hectares, ne bénéficient pas d'un regard universel et consensuel. Leur représentation dépend de la notion culturelle de la nature. Les modèles occidentaux privilégient le concept d'une nature non modifiée par l'homme. De tels modèles ne s'ajustent pas aux représentations paysannes en milieu tropical, qui s'accommodent plus aisément d'une nature domestiquée et susceptible d'assurer les besoins vitaux. En outre, la vitesse de croissance, telle celle des eucalyptus, peut constituer un attrait auprès des populations rurales. En sylviculture, une ambiguïté tient également à la démarche consistant à " imiter la nature ", qui s'exprime de manières contrastées selon qu'il s'agit de forçage anthropique ou de simple pilotage. Les populations urbaines et les organisations non gouvernementales environnementalistes ont une image négative des plantations industrielles, dont elles estiment généralement qu'elles sont peu porteuses de leur propre idée de nature. En outre, le regard occidental exacerbe le dualisme entre espèces indigènes et exotiques, dont on sait pourtant qu'il repose sur l'adoption consensuelle de seuils arbitraires. Les exemples malheureux d'espèces végétales qualifiées de " plantes miracles " renforcent ce clivage. Mais les plantations industrielles sont aussi l'expression d'une monoculture souvent mal perçue car porteuse d'homogénéisation biologique, voire culturelle, et ces peuplements artificiels se heurtent de fait à la norme positive de la diversité. Il importerait de considérer de telles plantations comme des objets hybrides, dotés d'une double dimension biophysique et socioculturelle, qu'il s'agit de situer dans leur contexte. Il convient d'accepter que le regard porté sur les plantations d'essences exotiques puisse relever de représentations divergentes. (Résumé d'auteur)
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Philibert, Jean-Marc. "Erakor ou la lente consommation d'un capital collectif imaginaire." Anthropologie et Sociétés 18, no. 3 (September 10, 2003): 75–89. http://dx.doi.org/10.7202/015329ar.

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Résumé Erakor ou la lente consommation d'un capital collectif imaginaire Quand les membres d'une société du Tiers-Monde consomment des objets/signes en provenance de l'Occident, ils empruntent ipso facto les idées et perceptions qui sont responsables initialement de la production de tels objets. La consommation de ces objets est donc aussi la consommation de signes/idées associés au capitalisme industriel. Les sociétés du Tiers-Monde peuvent-elles résister à une telle pénétration idéologique? Ont-elles les moyens de neutraliser ces systèmes d'idées qui s'étendent des vêtements jusqu'aux modes de communication en passant par l'habitat et les systèmes de santé ? Le résultat doit-il être nécessairement l'assujettissement consommatoire et la recolonisation? Cet article tente d'offrir des éléments de réponse à ces questions au moyen d'une analyse des comportements consommatoires en milieu rural et urbain au Vanuatu, analyse qui met l'accent sur les rapports entre formes de consommation, construction identitaire et reproduction idéologique.
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Paaza, Namira El Amrani, Marie Larocque, and José Benavente Herrera. "Modèle conceptuel de circulation hydrogéologique au niveau de l’aquifère plioquaternaire de Settat (Maroc) : étude hydrogéochimique." Revue des sciences de l’eau 31, no. 4 (January 21, 2019): 401–14. http://dx.doi.org/10.7202/1055597ar.

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La région de Settat a connu durant ces deux dernières décennies une croissance démographique importante et un essor économique majeur par l’implantation d’une zone industrielle. En plus, cette région est connue par son caractère agricole, surtout en cultures céréalières (grenier du Maroc). Cette croissance a été accompagnée par une augmentation des débits des effluents liquides urbains et industriels qui sont directement évacués dans l’oued Boumoussa considéré comme égout à ciel ouvert et qui ont induit une détérioration de la qualité de ces eaux. Tout cela a eu un impact sur l’aquifère de Settat du point de vue hydrodynamique et de qualité des eaux souterraines. Pour pallier à cette problématique, une étude pluridisciplinaire a été menée au moyen de l’analyse physicochimique et de l’analyse des isotopes stables de l’eau. Les études antérieures et les analyses présentées ici révèlent une pollution chimique des eaux de la nappe par les écoulements superficiels de l'oued Boumoussa. Les résultats montrent la présence d’un phénomène d’évaporation de l’eau souterraine ainsi que la présence d'un recyclage des eaux d’irrigation qui se mêlent à la recharge naturelle (précipitation) pour alimenter l'aquifère de Settat. Les résultats ont permis de proposer, sur la base des données physicochimiques et isotopiques, un modèle conceptuel de circulation des eaux au niveau de l’aquifère plioquaternaire de Settat pour une meilleure gestion de la ressource en eau.
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Malecki, Edward J., and Deborah M. Tootle. "Réseaux de PME manufacturières aux États-Unis." Revue internationale P.M.E. 9, no. 3-4 (February 16, 2012): 95–122. http://dx.doi.org/10.7202/1008269ar.

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Une tendance croissante aux États-Unis en matière de politique de développement rural consiste à créer des réseaux flexibles d’entreprises manufacturières, d’entreprises interreliées selon le modèle des districts industriels européens au Danemark et en Italie. Cet article étudie l’expérience de plusieurs réseaux en milieu rural et urbain aux États-Unis dans le but d’évaluer leur performance et leurs effets sur les entreprises qui en sont membres. Les entrevues en profondeur effectuées montrent que les réseaux sont plus utiles pour les nouvelles et les très petites entreprises (micro-entreprises). Comme institutions, les réseaux contribuent à la promotion des interactions interentreprises et à l’apprentissage collectif dans leur région. En plus, ils fournissent des services aux entreprises qui en sont membres. Il ressort que les réseaux enracinés dans leur région tendent à fournir plus à leurs membres que les réseaux moins intégrés. L’enracinement se manifeste par l’implication et le soutien financier (et matériel) des institutions locales et des résidents influents, en particulier la communauté d’entrepreneurs. Dans certaines régions où des réseaux n’étaient pas en opération, des entreprises ont été, en quelque sorte, en mesure de remplacer le réseau par un réseautage informationnel actif avec des entreprises situées en dehors de leur localité. Dans la plupart des régions, certaines politiques publiques de promotion semblent être nécessaires pour stimuler la formation de réseaux entre les entreprises locales.
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Darroch, Gordon, and Michael D. Ornstein. "Family Coresidence in Canada in 1871: Family Life‑Cycles, Occupations and Networks of Mutual Aid." Historical Papers 18, no. 1 (April 26, 2006): 30–55. http://dx.doi.org/10.7202/030898ar.

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Résumé Depuis les dernières années, les problèmes relatifs à la maisonnée ont assumé une place de plus en plus prépondérante en histoire sociale. Des recherches récentes ont d'ailleurs démontré que, loin d'être réduites à leur état nucléaire de par les impératifs du capitalisme industriel, les maisonnées ont au contraire gagné en complexité en plusieurs endroits au début de la période d'industrialisation. Ainsi, dans plusieurs maisonnées du XIXe siècle, la famille nucléaire fut augmentée de d'autres membres de la parenté, de pensionnaires ou même de locataires. Voire, certaines maisonnées ont été encore plus complexes puisqu'elles étaient formées de plus d'une famille ou de plus d'un couple non apparentés. Ce sont ces derniers aspects de la complexité des maisonnées que les auteurs privilégient dans cet article. A partir d'un échantillonnage de 10 000 maisonnées tiré du recensement canadien de 1871, ils étudient les quelque 1022 ménages composés de plus d'un couple ou de plus d'une famille non liés par des liens de parenté. Dans un premier temps, l'analyse porte sur la répartition de ces maisonnées par province, sur leur appartenance aux milieux rural ou urbain et sur la composition même des familles qu'elles comprenaient. Dans un deuxième temps, les auteurs étudient l'incidence possible de la présence parmi elles de membres d'une famille-souche en dépit de noms différents: par exemple, celle d'une fille et de son époux vivant avec les parents de celle-ci. Ils se penchent ensuite sur les cycles de vie de ces familles et, enfin, ils examinent les différents aspects des rapports qui ont pu les lier en relevant, entre autres éléments, l'occupation des chefs de famille et leur origine ethnique. Il ressort de tout ceci que la corésidence de familles non apparentées était beaucoup plus répandue au pays qu'on ne l'avait soupçonné jusqu'à date. De plus, la composition des maisonnées était également plus complexe que ce que l'on avait escompté. Bien souvent, en effet, les familles qui corésidaient comptaient des adolescents en âge de travailler et, parfois aussi, ces familles étaient issues d'un milieu bourgeois. En somme, ce sont là des incidences qui obligent à remettre en question certaines idées reçues et, en particulier, celle qui veut que les familles du XIXe siècle n'aient corésidé que dans des moments de difficultés économiques.
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Coquery-Vidrovitch, Catherine. "De la ville en Afrique noire." Annales. Histoire, Sciences Sociales 61, no. 5 (October 2006): 1085–119. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900039949.

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RésuméLe continent africain sub-saharien, pour toute une série de raisons qui continuent d’interpeller les historiens mais qu’il n’y a pas lieu de réexaminer ici, a été jusqu’à une époque récente très peu urbanisé. Avec l’urbanisation, qui s’est accélérée à partir du milieu du XXe siècle, la population des villes est seulement aujourd’hui en passe de devenir majoritaire, même si nombre d’États, pour des raisons d’ailleurs diverses, ont fait le saut depuis une vingtaine d’années au moins: comme l’Afrique du Sud en raison de l’avance industrielle des Blancs, le Gabon, le Congo ou la Mauritanie pour des raisons en grande partie minières, ou le Sénégal malgré des statistiques trompeuses, comme elles le sont toutes d’ailleurs, sans même parler des villes sud-africaines de l’apartheid, où la majorité des citadins africains n’était guère prise en compte puisqu’ils étaient clandestins. Auparavant, si les villes anciennes d’Afrique ont pu jouer un rôle fort important et parfois déterminant sur le plan politique et économique, elles ont été en général peu nombreuses et relativement peu densément peuplées. Mais cela ne signifie pas qu’elles ont été inexistantes.
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Beauchamp, Claude. "Le permanent syndical de la Confédération des syndicats nationaux." Articles 8, no. 3 (April 12, 2005): 319–49. http://dx.doi.org/10.7202/055374ar.

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Dans la société canadienne-française traditionnelle, le leadership était assez simple. Il était constitué du curé et des notables locaux, ordinairement le médecin et le notaire. Aujourd'hui, la situation est beaucoup plus complexe et les élites traditionnelles sont loin d'avoir le même pouvoir d'attraction. En milieu rural, elles ont perdu de l'influence au profit du gérant de la caisse populaire ou de l'instituteur, par exemple. Dans les milieux plus industrialisés, le syndicalisme a, lui aussi, favorisé chez nous l'émergence de nouvelles élites. Il n'est pas rare de voir le président d'un syndicat local sollicité pour occuper un poste au conseil municipal ou à la commission scolaire. De plus en plus, les officiers syndicaux exercent une influence, non seulement dans l'usine, mais aussi dans la municipalité, parfois même dans la région. À un autre échelon, nous retrouvons les permanents syndicaux. Peu nombreux il y a quelques années, ils sont aujourd'hui environ deux cents dans la seule Confédération des syndicats nationaux et ils sont répartis dans les principaux centres industriels de la province. Ces permanents syndicaux exercent un véritable leadership, d'abord sur les officiers et les membres des syndicats avec lesquels ils ont particulièrement à travailler, ensuite dans leur propre milieu, car eux aussi sont souvent sollicités pour assumer des responsabilités dans leur paroisse ou dans leur municipalité. Nous croyons que l'étude de ces nouvelles élites constitue une voie privilégiée pour expliquer l'évolution du Canada français. Elle nous permet de la saisir dans son dynamisme interne, en nous adressant à ceux-là qui sont non seulement les témoins de cette évolution mais qui la provoquent et l'orientent. Nous avons choisi de nous intéresser plus particulièrement aux permanents syndicaux. Parmi ceux-ci, nous retrouvons deux groupes : ceux qui ont accédé à cette fonction après avoir fait des études supérieures, généralement un cours universitaire ; ceux qui viennent de la base, ceux qui ont travaillé en usine ou dans des chantiers de construction, ont occupé diverses fonctions à l'intérieur de leur syndicat et qui, par la suite, furent libérés pour devenir permanents syndicaux. Il ne sera question ici que de ces derniers. Quelques permanents syndicaux sont au service de certains syndicats locaux dont les effectifs sont assez considérables mais la plupart sont à l'emploi, soit d'une fédération ou d'un conseil central, soit de la Confédération des syndicats nationaux comme telle. Le permanent syndical peut s'occuper de l'organisation de nouveaux syndicats, de la négociation des conventions collectives, de la discussion des griefs, de la préparation et de la direction des grèves ; il peut aussi être affecté à divers services comme le Service d'éducation. Il est habituellement agent d'affaires, organisateur ou conseiller technique. La plupart des permanents sont attachés à une fonction particulière, mais d'autres voient à l'ensemble des problèmes touchant la vie syndicale. Nous avons centré notre recherche sur les seuls permanents syndicaux d'origine ouvrière travaillant à l'intérieur des cadres de la Confédération des syndicats nationaux. Nous avons aussi limité notre échantillon aux permanents syndicaux travaillant à Montréal et à Québec. Ne disposant pas d'une longue période de temps pour effectuer ces entrevues, celles-ci ont été faites auprès des permanents qui pouvaient nous consacrer quelques heures sans trop de délais. Nous devons dire qu'ils étaient plutôt rares ; nous avons pu en rencontrer cinq à Montréal et quatre à Québec. L'âge de ces permanents varie entre trente-deux et soixante-sept ans. Six d'entre eux sont originaires d'un milieu industriel et urbain, les trois autres sont fils de cultivateurs. Leur degré d'instruction est en moyenne plus élevé que celui de l'ensemble des gens de leur génération. Le plus vieux a quitté l'école après la cinquième année, deux après la sixième, mais les autres ont fait une dixième année ou, encore, quelques années du cours classique. Presque tous ont pu parfaire leur instruction, surtout à la suite de leur participation à diverses associations, particulièrement à la Jeunesse ouvrière catholique ou au syndicalisme. Comme permanents syndicaux, ils ont de plus participé, chaque année, à diverses sessions d'étude. Tous nos informateurs ont commencé à travailler assez tôt : l'un à douze ans, les autres avant dix-sept ans. C'est dire que tous connurent pendant au moins quelques années, certains même pendant quinze ou vingt ans, la vie de travail en usine ou dans des chantiers de construction. Tous furent membres actifs d'une ou plusieurs associations avant de devenir permanents syndicaux. Et ils sont unanimes pour dire que ces diverses expériences ne sont pas étrangères à leurs préoccupations actuelles. Trois furent membres de la Jeunesse ouvrière catholique : un fut responsable au plan diocésain et un autre au plan national. La plupart s'occupèrent activement de syndicalisme, huit ayant été membres d'un syndicat, dont sept officiers. Un de nos informateurs fut, pendant quelques années, permanent pour le mouvement créditiste « Vers Demain ». Quelques-uns furent officiers d'une caisse populaire ; un autre participa à la formation d'une coopérative de consommation. Nous aborderons successivement les thèmes suivants : les comportements et les activités des permanents syndicaux, leurs motivations, leur perception de la société canadienne-française, quelques problèmes de la classe ouvrière, la mentalité des travailleurs, la signification du syndicalisme.
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Darroch, A. Gordon, and Michael Ornstein. "Ethnicity and Class, Transitions Over a Decade: Ontario, 1861‑1871." Historical Papers 19, no. 1 (April 26, 2006): 111–37. http://dx.doi.org/10.7202/030920ar.

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Résumé Suite aux travaux pionniers de Pentland, un grand nombre d'historiens canadiens du 19e siècle ont postulé l'existence d'un marché du travail partagé pendant la période cruciale s'étendant de 1850 à 1870. D'après cette hypothèse, on assiste à cette époque à la création d'un prolétariat sans terres, élément essentiel à la transformation du pays, d'une économie agricole et commerciale à une économie industrielle et capitaliste. Ce groupe naissant était partagé suivant l'ethnie, les travailleurs Anglais et Ecossais occupant les emplois spécialisés, les Irlandais étant relégués aux emplois non spé- cialisés. On soutient que ce partage interne, s ajoutant aux salaires élevés versés aux travailleurs les plus prévilégiés, permit au Canada d'éviter en grande partie le radi- calisme ouvrier, alors que la réserve de personnel compétent épargna aux industries canadiennes les coûts élevés de la formation. Cependant une étude des recensements de 1861 et 1871 dans le centre-sud de l'Ontario indique que, en majorité, les immigrants irlandais catholiques et protestants travaillaient non pas à des emplois industriels peu rémunérés, mais bien à Vagriculture. Une enquête informatisée sur 10,000 hommes cou verts par les deux recensements et dont l'emploi est connu, fournit des renseignements sur un certain nombre de questions. L'analyse des données révèle les différences suivantes dans la composition de la population active masculine entre 1861 et 1871: a) la proportion de personnes nées en Ontario passer de 27 à 40 pour cent, alors que le nombre de personnes nées en Irlande baisse de 24 à 15 pour cent; la proportion de personnes nées en Ecosse et en Angleterre demeure essentiellement inchangée: b) pour ce qui est des emplois, il y aun mouvement du travail d'ouvriers vers iagriculture et, dans une moindre mesure, vers les occupa- tions artisanales et non-manuelles; la grande majorité des fermiers (84 pour cent en 1871) est propriétaire et non locataire; c) ni l'ethnicité ni la religion ne déterminaient l'occupation; à l'exception d'une concentration d'Irlandais d'origine dans les milieux ouvriers, la population active ne semble pas avoir été départagée suivant l'ethnicité ou Vappartenance religieuse. Une proportion relativement élevée de travailleurs nés en Ontario (30 pour cent en 1861 et 25 pour cent en 1871) était constituée de fermiers et de leurs fits; d) pendant cette période les différences entre nationalités au sein des groupes occupationnels s'aténuent, quoique les Irlandais catholiques continuent d'être sur- représentés chez les ouvriers, tout comme les Anglais d'origine dans les occupations bourgeoises et artisanales. S'il y a une certaine spécialisation occupationnelle par groupe ethnique, la concertration n'est pas assez prononcée pour appuyer l hypothèse selon laquelle la population était profondément partagée suivant l'ethnicité; e) une analyse des emplois par groupes d'âge laisse croire qu'il n'y a pas de mouvement d'abandon de l'agriculture et, conséquemment, pas de prolétarisation de la population au cours des années 1860. Au contraire, il y eu un accroissement de la proportion de fermiers et une diminution de la proportion d'ouvriers. Chaque groupe occupationnei suit un modèle de croissance particulier, avec des variations dans le temps; f) i établisse- ment de liens entre les données des deux recensements permet certaines conclusions sur la question de la permanence dans l'emploi. Près de 90 pour cent de ceux qui étaient fermiers en 1861 se réclamaient du même groupe occupationnei une décennie plus tard, alors que seulement un tiers des ouvriers faisaient de même. Dans l'ordre, les artisants, les professionnels et les marchands/fabricants se situent au centre de l'échelle pour ce qui est de la permanence. Un nombre relativement peu élevé de fils de fermiers (7 pour cent) sont devenus ouvriers ou artisans. Le groupe occupationnei le moins stable est celui des travailleurs non-manuels, où seulement 30 pour cent ont gardé le même genre d'emploi. Les données indiquent une mobilité occupationnelle assez élevée dans le temps, et l'absence de dépeuplement rural ou d'une crise de l'agriculture; g) sauf pour les travailleurs non-spécialisés, la mobilité semble dépendre plus de l'occupation que de l'âge. Le taux de mobilité est le plus élevé pour les travailleurs âgés de moins de 25 ans, particulièrement chez les ouvriers, alors qu'il est moins prononcé entre 25 et 54 ans. Au delà de cet âge, seuls les artisans ont une certaine mobilité. En tenant compte de l'ethnicité dans les calculs, un seul phénomène important peut être identifié: les ouvriers Irlandais catholiques avaient plus fortement tendance à demeurer dans cette catégorie pendant assez longtemps. A une époque où Vindustrialisation urbaine prenait de l'ampleur, la production indé- pendante de produits de base pas des familles d'agriculteurs devint également plus courante. La mobilité occupationnelle était généralisée, ce manifestant particulière- ment du groupe des ouvriers, vers celui des agriculteurs.
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Kowasch, Matthias. "Le développement de l'industrie du nickel et la transformation de la valeur environnementale en NouvelleCalédonie." Journal of Political Ecology 19, no. 1 (December 1, 2012): 202. http://dx.doi.org/10.2458/v19i1.21727.

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Abstract:New Caledonia is characterized by cultural diversity, and human occupation of the territory is divided. A Melanesian, Kanak agrarian society (about 40% of the total population), and a largely urban society, of European and other origins (about 60%), co-inhabit a territory of approximately 19,000 km2. The duality of occupation is also shown in the juxtaposition of common and customary land laws. These are the result of a painful history of land dispossession during colonial times and restitution of some land to the Kanak from 1970. Kanak identity is built on the clan's history inscribed in a natural milieu where the environment, and land, has customary value, more than use value. New Caledonia has considerable mineral resources, especially nickel. Mining often creates conflict, as it raises the use value of land. Therefore, the establishment of a mine, refinery or industrial zone can often initiate assertions of clan ownership and land claims. Land rights are constantly updated, and can be renegotiated. The remodeling of the territory under mining pressures and new land allocations is a means for upward social mobility and prestige in Kanak society. These issues are demonstrated for the Federation "Djelawe" and two tribes (Oundjo and Baco) near the site of the future nickel ore processing plant and port (the Koniambo project) in the north of Grande Terre built by the local SMSP company and the Swiss Xstrata group. A discourse of environmental protection was used to restrain industrial activity but also to assert rights to clan land. But development pressures have also been used to achieve political control over land, and thus to increase clan recognition, and possible royalty payments. Thus, land claims are part of a game of prestige and power between clans and families. Socio-economic access to land, it emerges, is clearly more important in these cases than the protection of its bio-physical assets. Key words: New Caledonia, Kanak, land conflicts, nickel mining, regional development.Résumé:La Nouvelle-Calédonie se caractérise par une grande diversité culturelle, mais également par une dualité des espaces de vie. Une société agraire multiséculaire, d'origine kanak (environ 40% de la population totale), et une société majoritairement urbaine, d'origine européenne, mais largement métissée (environ 60% de la population totale), co-habitent sur un territoire d'environ 19,000 km2 qui possèdent des ressources minérales considérables, surtout en nickel. La dualité des espaces de vie se montre également dans la juxtaposition de terres soumises au droit commun et de terres soumises au droit coutumier. Ces dernières sont le fruit d'une histoire douloureuse de spoliations foncières lors de l'époque coloniale et de rétrocessions à partir des terres 1970. La perception territoriale de la population kanak s'oriente vers un modèle où la valeur patrimoniale prime sur la valeur d'usage, car l'identité kanak se construit sur l'histoire du groupe inscrit dans un environnement où tous les objets environnementaux possèdent une certaine valeur. La co-existence des lieux à forte valeur patrimoniale, les lieux sacrés, et une activité minière ou économique au sens large peut entraîner une transformation de la valeur et suscite souvent des conflits, car une légitimité foncière signifie un plus de prestige. De ce fait, la mise en place d'un projet économique – c'est-à-dire une mine, une usine métallurgique ou une zone industrielle – réveille souvent des revendications foncières. Ces revendications démontrent que les légitimités foncières sont en perpétuelle réactualisation et peuvent être renégociées. Le remodelage du territoire représente un moyen pour une ascension sociale au sein de la société kanak. Ces enjeux fonciers sont démontrés à l'exemple de la fédération « Djelawe » et de deux tribus (Oundjo et Baco) en proximité du site industriel de la future « usine du Nord », construite par un consortium de la SMSP locale et du groupe suisse Xstrata (projet Koniambo). Depuis un certain temps, la protection de l'environnement devient une préoccupation de plus en plus importante des acteurs locaux. Ce discours environnementaliste est cependant souvent instrumentalisé pour atteindre des objectifs « politico-fonciers »: une reconnaissance foncière et des royalties. Ainsi, les revendications foncières s'inscrivent dans un jeu de prestige et de pouvoir entre clans et familles. L'aspect socio-économique de l'environnement semble être clairement plus important que l'aspect bio-physique. Mots clés: Nouvelle-Calédonie, Kanak, les conflits fonciers, l'exploitation minière du nickel, du développement régional.
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Chicha, Marie-Thérèse. "La participation des travailleuses à la formation en entreprise et l'accès à l'égalité." Articles 50, no. 1 (April 12, 2005): 147–63. http://dx.doi.org/10.7202/050995ar.

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Alors que la médiation la plus souvent utilisée survient dans le cadre de la négociation d'une première convention collective ou d'un renouvellement de convention, des programmes de médiation préventive tels celui des relations par objectifs (RPO) se situent en dehors du contexte de la négociation collective. Après avoir séparer les sujets d'ordre distributif des sujets de relations, les seules différences demeurant entre les parties sont celles des questions de fond. Cet article évalue 24 programmes de RPO menés par la Education Relations Commission d'Ontario entre 1981 et 1991. Nous avons utilisé une méthodologie combinée, quantitative et qualitative, pour mesurer l'impact général des RPO sur les conflits en milieu de travail et pour fournir quelques raisons de leurs échecs. L'approche générale des RPO est de réunir des représentants clefs de l'employeur et du syndicat dans un séminaire de deux ou trois jours dirigé par des animateurs qualifiés, en dehors des heures de travail et pendant une année de non-négociation. Les parties tentent alors d'identifier les problèmes qui affectent leurs relations, développant des plans spécifiques d'action, désignant des responsabilités pour leur implantation. Les parties établissent en outre un processus et un échéancier pour mesurer les progrès réalisés dans l'implantation des différents engagements contenus au plan d'action. Plusieurs résultats positifs sont attribuables aux RPO : une réduction du nombre de griefs, moins d'arbitrages et de grèves sauvages, des ententes rapides et faciles pour le renouvellement de la convention collective et une amélioration générale dans les relations du travail. Cependant, les recherches visant mesurer la part des RPO dans l'atteinte de ces résultats sont non concluantes. Même lorsque des démarches raisonnables ont été prises pour inclure des mesures pré- et post-RPO, des moyens inadéquats furent retenus pour contrôler des facteurs tels les différences entre industries, entre tailles d'organisation, entre durée et qualité des relations, entre types de syndicat et entre régions. De plus, on a fait aucun effort pour inclure un groupe contrôle. Pour compenser cela, nous avons comparé les résultats moyens de conflits des 24 conseils de RPO, avant et après les RPO, avec le résultat moyen de conflits dans les secteurs de l'éducation. Nous avons construit un groupe contrôle à partir de commissions scolaires qui n'ont pas eu recours à l'approche RPO et qui ressemblaient le plus au groupe qui a expérimenté les RPO. Les membres du groupe contrôle ont été jumelés selon les résultats de conflits (incluant la médiation des griefs, les arbitrages de griefs, les plaintes pour négociation de mauvaise foi, les votes de grèves, l'arbitrage volontaire des différends, les grèves, les lock-out et les avertissements au gouvernement que l'année scolaire peut être compromise), le niveau scolaire (secondaire ou élémentaire), la région géographique (rurale ou urbaine) et l'année de négociation. Notre analyse inclut une courte période (trois conventions) et une longue période (toutes les conventions) avant et après l'expérience RPO pour le groupe RPO et pour le groupe contrôle. Il y a certaines preuves de l'effet à court terme pour les programmes RPO vu que les résultats des conflits après l'expérience RPO reviennent au même niveau que la moyenne avant l'expérience RPO pour le groupe RPO. Les commissions scolaires de notre groupe contrôle n'ont pas connu une croissance similaire. Cependant, les RPO semblent efficaces pour réduire les conflits si on mesure le temps pour atteindre une entente et le nombre d'arbitrages de griefs portant sur des questions de langue. Nos résultats confirment l'utilisation des RPO comme moyen de réduire à court et à long termes le niveau global de conflits dans 16 des 24 cas. Pour les huit autres cas, on note un certain nombre de circonstances faisant en sorte que les RPO sont peu ou pas du tout efficaces : les commissions scolaires élémentaires et secondaires sont fusionnées, les RPO sont utilisés à titre préventif dans l'anticipation de problèmes à venir, l'économie locale ne suit pas l'économie provinciale, une approche dure en relations du travail, l'absence de véritables processus de décisions, le fait de forcer des gens qui ne le veulent pas à participer aux programmes de RPO, les querelles sur les questions de langue. Finalement, nous concluons qu'une évaluation des RPO comme technique de résolution de conflits requiert une approche combinée quantitative et qualitative.
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Deshaies, Michel. "Introduction : réhabilitation, reconversion et renouvellement des espaces industriels et urbains dégradés." Revue Géographique de l'Est 46, no. 3-4 (June 1, 2006). http://dx.doi.org/10.4000/rge.1384.

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Gagné, François, Christian Blaise, Jocelyne Pellerin, and Michel Fournier. "Études de biomarqueurs chez la mye commune (Mya arenaria) du fjord du Saguenay : bilan de recherches (1997 à 2006)." 22, no. 2 (June 15, 2009): 253–69. http://dx.doi.org/10.7202/037484ar.

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RésuméCet écrit se veut une synthèse des principales trouvailles afférentes aux études de terrain conduites annuellement de 1997 à 2006 en zones intertidales du fjord du Saguenay, et de celles situées autour de sa confluence avec l’estuaire du Saint-Laurent, dans le but de mieux comprendre les stress anthropiques auxquels est soumise la mye commune (Mya arenaria), bivalve ubiquiste de ces habitats sédimentaires. À l’aide d’une batterie variée de biomarqueurs, lesquels ont fait l’objet de mesures chez l’animal entier, certains de ses tissus ou cellules, nous avons pu mettre en évidence divers effets écotoxiques qui sont vraisemblablement imputables aux sources (urbaines, industrielles, portuaires, diffuses ou atmosphériques) de contamination chimique impactant le Saguenay. Dépendant du site et de ses caractéristiques pollutionnelles, nous avons noté des dérèglements de santé chez la mye qui incluent des effets sur son système reproducteur (divers types de perturbation endocrine associés aux substances estrogéniques, aux métaux ou aux TBT), sur son système immunitaire (stimulation ou dépression d’immunocompétence jaugée par la capacité de phagocytose d’hémocytes), ainsi que des effets cumulatifs de polluants qui se traduisent par des réponses, à la hausse ou à la baisse, de biomarqueurs de défenses (e.g., métallothionéines, CYP1A1, glutathione S-transférases), de dommages (e.g., augmentation de brins d’ADN, augmentation de l’activité de cyclo-oxygénase témoignant d’inflammation, peroxydation des lipides) et morphologiques (e.g., inhibition de croissance, baisse d’indice gonado-somatique). Nous démontrons aussi une plus grande dépense en énergie au niveau mitochondrial (transport d’électrons mitochondrial dans la gonade ou glande digestive) chez les myes de zones impactées, laquelle semble pouvoir être exacerbée en conditions de stress thermiques que laissent présager les changements climatiques à venir. Au final, ce bilan d’études de biomarqueurs confirme l’utilité du modèle bivalveMya arenariacomme bio-indicateur de la qualité hydrique du Saguenay et il renseigne sur les divers affronts que subissent ces invertébrés dans ce milieu toujours aux prises avec des sources de contamination variées. D’autres études envisagées affineront nos connaissances au sujet des risques cumulatifs liés à la contamination chimique du fjord.
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Bazet-Simoni, Cédric, Thierry Bréchet, Pierre Obsomer, Fiorella Quadu, and Véronique Rousseaux. "Numéro 87 - avril 2011." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15083.

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En Wallonie (les chiffres sont peu ou prou les mêmes pour la Belgique), 80 % du transport de personnes et de marchandises se fait par la route et 97 % de l’énergie utilisée pour le transport routier provient du pétrole. Le pétrole est aussi largement utilisé pour le chauffage des habitations. Il constitue également un intrant dans de nombreux procédés industriels, par exemple les plastiques. En fait, la quasi-totalité des biens et services que nous utilisons requièrent du pétrole à un stade ou l'autre de leur fabrication. Face à l'épuisement annoncé du pétrole, va-t-on se retrouver paralysés ? Au-delà des tensions actuelles sur le marché pétrolier, ce numéro de Regards économiques analyse, d'une part, la vulnérabilité des communes wallonnes à un choc pétrolier qui serait pérenne, d'autre part, la manière dont des mesures d'aménagement du territoire permettraient de faire face, sur le long terme, à la raréfaction du pétrole. A cette fin il est nécessaire de jouer de manière complémentaire sur la mobilité des individus, sur la manière dont ils bougent et sur la localisation des emplois et des lieux de résidence. Une analyse en deux temps est menée. Tout d'abord une analyse de temps court, c’est-à-dire un horizon de temps où les choses restent "plus ou moins comme maintenant" (disons, 2025) : pas de révolution technologique, pas de révolution comportementale et, surtout, pas de modifications majeures dans l’organisation spatiale de la Wallonie. Nous évaluons la vulnérabilité des communes wallonnes à un doublement du prix du baril (part des dépenses pour les déplacements domicile - travail et pour le chauffage dans le revenu médian). Ensuite, une analyse de temps long est menée. A cet horizon (disons, 2050) maints changements drastiques sont imaginables. Notre objet est de nous concentrer sur le potentiel offert par les mesures d'aménagement du territoire : comment localiser les emplois ou les populations ? Quelles sont les implications sur la mobilité et, partant, sur la consommation de pétrole ? Quelle est la contribution des solutions technologiques par rapport aux mesures liées à l’aménagement du territoire ? Cette analyse est réalisée sur base de scénarios prospectifs en termes de mobilité (déplacements et modes de transport) et de localisation des emplois et des populations entre les communes wallonnes. Des scénarios concernant l'agriculture ont également été étudiés. Enfin, la dernière partie de l'article est consacrée à des recommandations de politique économique et d'aménagement du territoire. En quelques mots, les principaux résultats de l'étude sont les suivants. Sur le temps court, les communes rurales sont plus vulnérables à un choc pétrolier que les villes. Sur le temps long, bouger moins est plus efficace pour réduire la dépendance au pétrole que bouger mieux. En termes de recommandations de politique économique, favoriser une réduction des déplacements domicile - travail est essentiel, ce qui peut passer par des mesures parafiscales adéquates et une réorganisation de l'espace en pôles urbains raisonnés. En ce qui concerne l'agriculture, le mode d'alimentation est fondamental pour libérer de l'espace.
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Bazet-Simoni, Cédric, Thierry Bréchet, Pierre Obsomer, Fiorella Quadu, and Véronique Rousseaux. "Numéro 87 - avril 2011." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2011.04.01.

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En Wallonie (les chiffres sont peu ou prou les mêmes pour la Belgique), 80 % du transport de personnes et de marchandises se fait par la route et 97 % de l’énergie utilisée pour le transport routier provient du pétrole. Le pétrole est aussi largement utilisé pour le chauffage des habitations. Il constitue également un intrant dans de nombreux procédés industriels, par exemple les plastiques. En fait, la quasi-totalité des biens et services que nous utilisons requièrent du pétrole à un stade ou l'autre de leur fabrication. Face à l'épuisement annoncé du pétrole, va-t-on se retrouver paralysés ? Au-delà des tensions actuelles sur le marché pétrolier, ce numéro de Regards économiques analyse, d'une part, la vulnérabilité des communes wallonnes à un choc pétrolier qui serait pérenne, d'autre part, la manière dont des mesures d'aménagement du territoire permettraient de faire face, sur le long terme, à la raréfaction du pétrole. A cette fin il est nécessaire de jouer de manière complémentaire sur la mobilité des individus, sur la manière dont ils bougent et sur la localisation des emplois et des lieux de résidence. Une analyse en deux temps est menée. Tout d'abord une analyse de temps court, c’est-à-dire un horizon de temps où les choses restent "plus ou moins comme maintenant" (disons, 2025) : pas de révolution technologique, pas de révolution comportementale et, surtout, pas de modifications majeures dans l’organisation spatiale de la Wallonie. Nous évaluons la vulnérabilité des communes wallonnes à un doublement du prix du baril (part des dépenses pour les déplacements domicile - travail et pour le chauffage dans le revenu médian). Ensuite, une analyse de temps long est menée. A cet horizon (disons, 2050) maints changements drastiques sont imaginables. Notre objet est de nous concentrer sur le potentiel offert par les mesures d'aménagement du territoire : comment localiser les emplois ou les populations ? Quelles sont les implications sur la mobilité et, partant, sur la consommation de pétrole ? Quelle est la contribution des solutions technologiques par rapport aux mesures liées à l’aménagement du territoire ? Cette analyse est réalisée sur base de scénarios prospectifs en termes de mobilité (déplacements et modes de transport) et de localisation des emplois et des populations entre les communes wallonnes. Des scénarios concernant l'agriculture ont également été étudiés. Enfin, la dernière partie de l'article est consacrée à des recommandations de politique économique et d'aménagement du territoire. En quelques mots, les principaux résultats de l'étude sont les suivants. Sur le temps court, les communes rurales sont plus vulnérables à un choc pétrolier que les villes. Sur le temps long, bouger moins est plus efficace pour réduire la dépendance au pétrole que bouger mieux. En termes de recommandations de politique économique, favoriser une réduction des déplacements domicile - travail est essentiel, ce qui peut passer par des mesures parafiscales adéquates et une réorganisation de l'espace en pôles urbains raisonnés. En ce qui concerne l'agriculture, le mode d'alimentation est fondamental pour libérer de l'espace.
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Adje, Koudjo, Kamilou Ouro-Sama, Hodabalo Dheoulaba SOLITOKE, Gnon Tanouayi, Sadikou AGBERE, Tchaa Esso-Essinam BADASSAN, Housseni AHOUDI, and Kissao GNANDI. "State of trace element contamination of sediments from the Nangbéto hydroelectric dam lake (Togo)." Environnement, Ingénierie & Développement Unlabeled volume (November 26, 2021). http://dx.doi.org/10.46298/eid.2021.7304.

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The Nangbéto hydroelectric dam lake, which is a spillway for agricultural input residues, urban and industrial effluents present in the Mono basin, is exposed to all forms of pollution. The aim of this work is to estimate the content of seven trace elements present in the sediments of the aforementioned lake in order to assess the ecological risk incurred by the aquatic biocenosis and therefore by man. Forty-two sediment samples (21 per season) are realized in different areas of the Lake. Cd, Pb, Ni, Cu, Cr, As and Hg are measured out in the sediments by the flame atomic absorption spectrophotometer in these pre-mineralized samples. The results show average contents varying from the lowest level 0.04 mg / kg for Hg to the highest 12.15 mg / kg for Cu in the rainy season and from 0.03 mg / kg for Hg and for As to 9.14 mg/kg for Cu in the dry season. All of these values are below Canadian sediment quality standards. The strongest average geoaccumulation indices (Igeo) are obtained for Pb with values less than 2. The mean values of the contamination factor (FC) are less than 1. The mean indices of contamination (Im) are less than 2, threshold d 'an onset of polymetallic contamination. The ecological risk (Ri) in relation to the contamination of the sediments of the Lake with trace elements is low in any season (Ri <40) and this implies a low risk of contamination of the biocenosis. However, the present study only deals with metallic trace elements. It does not take into account other pollutants, nor the potential "cocktail" effects between them. Additional work should therefore be continued in this direction to consolidate the low risk recorded for the biocenosis. Le Lac du barrage hydroélectrique de Nangbéto qui constitue un déversoir des résidus des intrants agricoles, des effluents urbains et industriels présent dans le bassin du Mono est exposé à toutes formes de pollution. Le but de ce travail est de quantifier les teneurs de sept (7) éléments traces dans les sédiments dudit Lac afin d’évaluer le risque écologique encouru par la biocénose aquatique et partant par l’homme.Quarante-deux (42) échantillons de sédiments (21 par saison) sont échantillonnés dans différentes zones du Lac. Le Cd, Pb, Ni, Cu, Cr, As et Hg sont dosés dans les sédiments par le spectrophotomètre d’absorption atomique à flamme dans ces échantillons minéralisés. Les résultats montrent des teneurs moyennes variant de la plus faible teneur 0,04mg/kg pour le Hg à la plus forte (12,15mg/kg) pour le Cu en saison pluvieuse et de 0,03 mg/kg pour le Hg et pour l’As à la plus forte (9,14 mg/kg) pour le Cu en saison sèche. Toutes ces valeurs sont inférieures aux normes canadiennes de qualité des sédiments. Les plus forts indices de géoaccumulation (Igeo) moyens sont obtenus chez le Pb avec des valeurs inférieures à 2. Les valeurs moyennes de facteur de contamination (FC) sont inférieures à 1. Les indices moyens de contamination (Im) sont inférieurs à 2, seuil d’un début de contamination polymétallique. Le risque écologique (Ri) par rapport à la contamination des sédiments du Lac en éléments traces est faible en toute saison (Ri < 40) et cela implique un faible risque de contamination de la biocénose. La présente étude ne porte toutefois que sur les éléments traces métalliques. Elle ne tient compte ni des autres polluants, ni des effets "cocktail" potentiels entre eux. Un travail complémentaire devra donc être poursuivi dans ce sens pour consolider le faible risque enregistré pour la biocénose.
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Elliott, Susie. "Irrational Economics and Regional Cultural Life." M/C Journal 22, no. 3 (June 19, 2019). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.1524.

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IntroductionAustralia is at a particular point in its history where there is a noticeable diaspora of artists and creative practitioners away from the major capitals of Sydney and Melbourne (in particular), driven in no small part by ballooning house prices of the last eight years. This has meant big changes for some regional spaces, and in turn, for the face of Australian cultural life. Regional cultural precincts are forming with tourist flows, funding attention and cultural economies. Likewise, there appears to be growing consciousness in the ‘art centres’ of Melbourne and Sydney of interesting and relevant activities outside their limits. This research draws on my experience as an art practitioner, curator and social researcher in one such region (Castlemaine in Central Victoria), and particularly from a recent interview series I have conducted in collaboration with art space in that region, Wide Open Road Art. In this, 23 regional and city-based artists were asked about the social, economic and local conditions that can and have supported their art practices. Drawing from these conversations and Bourdieu’s ideas around cultural production, the article suggests that authentic, diverse, interesting and disruptive creative practices in Australian cultural life involve the increasingly pressing need for security while existing outside the modern imperative of high consumption; of finding alternative ways to live well while entering into the shared space of cultural production. Indeed, it is argued that often it is the capacity to defy key economic paradigms, for example of ‘rational (economic) self-interest’, that allows creative life to flourish (Bourdieu Field; Ley “Artists”). While regional spaces present new opportunities for this, there are pitfalls and nuances worth exploring.Changes in Regional AustraliaAustralia has long been an urbanising nation. Since Federation our cities have increased from a third to now constituting two-thirds of the country’s total population (Gray and Lawrence 6; ABS), making us one of the most urbanised countries in the world. Indeed, as machines replaced manual labour on farms; as Australia’s manufacturing industry began its decline; and as young people in particular left the country for city universities (Gray and Lawrence), the post-war industrial-economic boom drove this widespread demographic and economic shift. In the 1980s closures of regional town facilities like banks, schools and hospitals propelled widespread belief that regional Australia was in crisis and would be increasingly difficult to sustain (Rentschler, Bridson, and Evans; Gray and Lawrence 2; Barr et al.; ABS). However, the late 1990s and early 21st century saw a turnaround that has been referred to by some as the rise of the ‘sea change’. That is, widespread renewed interest and idealisation of not just coastal areas but anywhere outside the city (Murphy). It was a simultaneous pursuit of “a small ‘a’ alternative lifestyle” and escape from rising living costs in urban areas, especially for the unemployed, single parents and those with disabilities (Murphy). This renewed interest has been sustained. The latest wave, or series of waves, have coincided with the post-GFC house price spike, of cheap credit and lenient lending designed to stimulate the economy. This initiative in part led to Sydney and Melbourne median dwelling prices rising by up to 114% in eight years (Scutt 2017), which alone had a huge influence on who was able to afford to live in city areas and who was not. Rapid population increases and diminished social networks and familial support are also considered drivers that sent a wave of people (a million since 2011) towards the outer fringes of the cities and to ‘commuter belt’ country towns (Docherty; Murphy). While the underprivileged are clearly most disadvantaged in what has actually been a global development process (see Jayne on this, and on the city as a consumer itself), artists and creatives are also a unique category who haven’t fared well with hyper-urbanisation (Ley “Artists”). Despite the class privilege that often accompanies such a career choice, the economic disadvantage art professions often involve has seen a diaspora of artists moving to regional areas, particularly those in the hinterlands around and train lines to major centres. We see the recent ‘rise of a regional bohemia’ (Regional Australia Institute): towns like Toowoomba, Byron Bay, Surf Coast, Gold Coast-Tweed, Kangaroo Valley, Wollongong, Warburton, Bendigo, Tooyday, New Norfolk, and countless more being re-identified as arts towns and precincts. In Australia in 2016–17, 1 in 6 professional artists, and 1 in 4 visual artists, were living in a regional town (Throsby and Petetskaya). Creative arts in regional Australia makes up a quarter of the nation’s creative output and is a $2.8 billion industry; and our regions particularly draw in creative practitioners in their prime productive years (aged 24 to 44) (Regional Australia Institute).WORA Conservation SeriesIn 2018 artist and curator Helen Mathwin and myself received a local shire grant to record a conversation series with 23 artists who were based in the Central Goldfields region of Victoria as well as further afield, but who had a connection to the regional arts space we run, WideOpenRoadArt (WORA). In videoed, in-depth, approximately hour-long, semi-structured interviews conducted throughout 2018, we spoke to artists (16 women and 7 men) about the relocation phenomenon we were witnessing in our own growing arts town. Most were interviewed in WORA’s roving art float, but we seized any ad hoc opportunity we had to have genuine discussions with people. Focal points were around sustainability of practice and the social conditions that supported artists’ professional pursuits. This included accessing an arts community, circles of cultural production, and the ‘art centre’; the capacity to exhibit; but also, social factors such as affordable housing and the ability to live on a low-income while having dependants; and so on. The conversations were rich with lived experiences and insights on these issues.Financial ImperativesIn line with the discussion above, the most prominent factor we noticed in the interviews was the inescapable importance of being able to live cheaply. The consistent message that all of the interviewees, both regional- and city-based, conveyed was that a career in art-making required an important independence from the need to earn a substantial income. One interviewee commented: “I do run my art as a business, I have an ABN […] it makes a healthy loss! I don’t think I’ve ever made a profit […].” Another put it: “now that I’m in [this] town and I have a house and stuff I do feel like there is maybe a bit more security around those daily things that will hopefully give me space to [make artworks].”Much has been said on the pervasive inability to monetise art careers, notably Bourdieu’s observations that art exists on an interdependent field of cultural capital, determining for itself an autonomous conception of value separate to economics (Bourdieu, Field 39). This is somewhat similar to the idea of art as a sacred phenomenon irreducible to dollar terms (Abbing 38; see also Benjamin’s “aura”; “The Work of Art”). Art’s difficult relationship with commodification is part of its heroism that Benjamin described (Benjamin Charles Baudelaire 79), its potential to sanctify mainstream society by staying separate to the lowly aspirations of commerce (Ley “Artists” 2529). However, it is understood, artists still need to attain professional education and capacities, yet they remain at the bottom of the income ladder not only professionally, but in the case of visual artists, they remain at the bottom of the creative income hierarchies as well. Further to this, within visual arts, only a tiny proportion achieve financially backed success (Menger 277). “Artistic labour markets are characterised by high risk of failure, excess supply of recruits, low artistic income level, skewed income distribution and multiple jobholding” (Mangset, Torvik Heian, Kleppe, and Løyland; Menger). Mangset et al. point to ideas that have long surrounded the “charismatic artist myth,” of a quasi-metaphysical calling to be an artist that can lead one to overlook the profession’s vast pitfalls in terms of economic sustainability. One interviewee described it as follows: “From a very young age I wanted to be an artist […] so there’s never been a time that I’ve thought that’s not what I’m doing.” A 1% rule seems widely acknowledged in how the profession manages the financial winners against those who miss out; the tiny proportion of megastar artists versus a vast struggling remainder.As even successful artists often dip below the poverty line between paid engagements, housing costs can make the difference between being able to live in an area and not (Turnbull and Whitford). One artist described:[the reason we moved here from Melbourne] was financial, yes definitely. We wouldn’t have been able to purchase a property […] in Melbourne, we would not have been able to live in place that we wanted to live, and to do what we wanted to do […]. It was never an option for us to get a big mortgage.Another said:It partly came about as a financial practicality to move out here. My partner […] wanted to be in the bush, but I was resistant at first, we were in Melbourne but we just couldn’t afford Melbourne in the end, we had an apartment, we had a studio. My partner was a cabinet maker then. You know, just every month all our money went to rent and we just couldn’t manage anymore. So we thought, well maybe if we come out to the bush […] It was just by a happy accident that we found a property […] that we could afford, that was off-grid so it cut the bills down for us [...] that had a little studio and already had a little cottage on there that we could rent that out to get money.For a prominent artist we spoke to this issue was starkly reflected. Despite large exhibitions at some of the highest profile galleries in regional Victoria, the commissions offered for these shows were so insubstantial that the artist and their family had to take on staggering sums of personal debt to execute the ambitious and critically acclaimed shows. Another very successful artist we interviewed who had shown widely at ‘A-list’ international arts institutions and received several substantial grants, spoke of their dismay and pessimism at the idea of financial survival. For all artists we spoke to, pursuing their arts practice was in constant tension with economic imperatives, and their lives had all been shaped by the need to make shrewd decisions to continue practising. There were two artists out of the 23 we interviewed who considered their artwork able to provide full-time income, although this still relied on living costs remaining extremely low. “We are very lucky to have bought a very cheap property [in the country] that I can [also] have my workshop on, so I’m not paying for two properties in Melbourne […] So that certainly takes a fair bit of pressure off financially.” Their co-interviewee described this as “pretty luxurious!” Notably, the two who thought they could live off their art practices were both men, mid-career, whose works were large, spectacular festival items, which alongside the artists’ skill and hard work was also a factor in the type of remuneration received.Decongested LivingBeyond more affordable real estate and rental spaces, life outside our cities offers other benefits that have particular relevance to creative practitioners. Opera and festival director Lindy Hume described her move to the NSW South Coast in terms of space to think and be creative. “The abundance of time, space and silence makes living in places like [Hume’s town] ideal for creating new work” (Brown). And certainly, this was a theme that arose frequently in our interviews. Many of our regionally based artists were in part choosing the de-pressurised space of non-metro areas, and also seeking an embedded, daily connection to nature for themselves, their art-making process and their families. In one interview this was described as “dreamtime”. “Some of my more creative moments are out walking in the forest with the dog, that sort of semi-daydreamy thing where your mind is taken away by the place you’re in.”Creative HubsAll of our regional interviewees mentioned the value of the local community, as a general exchange, social support and like-minded connection, but also specifically of an arts community. Whether a tree change by choice or a more reactive move, the diaspora of artists, among others, has led to a type of rural renaissance in certain popular areas. Creative hubs located around the country, often in close proximity to the urban centres, are creating tremendous opportunities to network with other talented people doing interesting things, living in close proximity and often open to cross-fertilisation. One said: “[Castlemaine] is the best place in Australia, it has this insane cultural richness in a tiny town, you can’t go out and not meet people on the street […] For someone who has not had community in their life that is so gorgeous.” Another said:[Being an artist here] is kind of easy! Lots of people around to connect—with […] other artists but also creatively minded people [...] So it means you can just bump into someone from down the street and have an amazing conversation in five minutes about some amazing thing! […] There’s a concentration here that works.With these hubs, regional spaces are entering into a new relevance in the sphere of cultural production. They are generating unique and interesting local creative scenes for people to live amongst or visit, and generating strong local arts economies, tourist economies, and funding opportunities (Rentschler, Bridson, and Evans). Victoria in particular has burgeoned, with tourist flows to its regions increasing 13 per cent in 5 years and generating tourism worth $10 billion (Tourism Victoria). Victoria’s Greater Bendigo is Australia’s most popularly searched tourist destination on Trip Advisor, with tourism increasing 52% in 10 years (Boland). Simultaneously, funding flows have increased to regional zones, as governments seek to promote development outside Australia’s urban centres and are confident in the arts as a key strategy in boosting health, economies and overall wellbeing (see Rentschler, Bridson, and Evans; see also the 2018 Regional Centre for Culture initiative, Boland). The regions are also an increasingly relevant participant in national cultural life (Turnbull and Whitford; Mitchell; Simpson; Woodhead). Opportunities for an openness to productive exchange between regional and metropolitan sites appear to be growing, with regional festivals and art events gaining importance and unique attributes in the consciousness of the arts ‘centre’ (see for example Fairley; Simpson; Farrelly; Woodhead).Difficulties of Regional LocationDespite this, our interviews still brought to light the difficulties and barriers experienced living as a regional artist. For some, living in regional Victoria was an accepted set-back in their ambitions, something to be concealed and counteracted with education in reputable metropolitan art schools or city-based jobs. For others there was difficulty accessing a sympathetic arts community—although arts towns had vibrant cultures, certain types of creativity were preferred (often craft-based and more community-oriented). Practitioners who were active in maintaining their links to a metropolitan art scene voiced more difficulty in fitting in and successfully exhibiting their (often more conceptual or boundary-pushing) work in regional locations.The Gentrification ProblemThe other increasingly obvious issue in the revivification of some non-metropolitan areas is that they can and are already showing signs of being victims of their own success. That is, some regional arts precincts are attracting so many new residents that they are ceasing to be the low-cost, hospitable environments for artists they once were. Geographer David Ley has given attention to this particular pattern of gentrification that trails behind artists (Ley “Artists”). Ley draws from Florida’s ideas of late capitalism’s ascendency of creativity over the brute utilitarianism of the industrial era. This has got to the point that artists and creative professionals have an increasing capacity to shape and generate value in areas of life that were previous overlooked, especially with built environments (2529). Now more than ever, there is the “urbane middle-class” pursuing ‘the swirling milieu of artists, bohemians and immigrants” (Florida) as they create new, desirable landscapes with the “refuse of society” (Benjamin Charles Baudelaire 79; Ley New Middle Class). With Australia’s historic shifts in affordability in our major cities, this pattern that Ley identified in urban built environments can be seen across our states and regions as well.But with gentrification comes increased costs of living, as housing, shops and infrastructure all alter for an affluent consumer-resident. This diminishes what Bourdieu describes as “the suspension and removal of economic necessity” fundamental to the avant-garde (Bourdieu Distinction 54). That is to say, its relief from heavy pressure to materially survive is arguably critical to the reflexive, imaginative, and truly new offerings that art can provide. And as argued earlier, there seems an inbuilt economic irrationality in artmaking as a vocation—of dedicating one’s energy, time and resources to a pursuit that is notoriously impoverishing. But this irrationality may at the same time be critical to setting forth new ideas, perspectives, reflections and disruptions of taken-for-granted social assumptions, and why art is so indispensable in the first place (Bourdieu Field 39; Ley New Middle Class 2531; Weber on irrationality and the Enlightenment Project; also Adorno’s the ‘primitive’ in art). Australia’s cities, like those of most developed nations, increasingly demand we busy ourselves with the high-consumption of modern life that makes certain activities that sit outside this almost impossible. As gentrification unfolds from the metropolis to the regions, Australia faces a new level of far-reaching social inequality that has real consequences for who is able to participate in art-making, where these people can live, and ultimately what kind of diversity of ideas and voices participate in the generation of our national cultural life. ConclusionThe revival of some of Australia’s more popular regional towns has brought new life to some regional areas, particularly in reshaping their identities as cultural hubs worth experiencing, living amongst or supporting their development. Our interviews brought to life the significant benefits artists have experienced in relocating to country towns, whether by choice or necessity, as well as some setbacks. It was clear that economics played a major role in the demographic shift that took place in the area being examined; more specifically, that the general reorientation of social life towards consumption activities are having dramatic spatial consequences that we are currently seeing transform our major centres. The ability of art and creative practices to breathe new life into forgotten and devalued ideas and spaces is a foundational attribute but one that also creates a gentrification problem. Indeed, this is possibly the key drawback to the revivification of certain regional areas, alongside other prejudices and clashes between metro and regional cultures. It is argued that the transformative and redemptive actions art can perform need to involve the modern irrationality of not being transfixed by matters of economic materialism, so as to sit outside taken-for-granted value structures. This emphasises the importance of equality and open access in our spaces and landscapes if we are to pursue a vibrant, diverse and progressive national cultural sphere.ReferencesAbbing, Hans. Why Artists Are Poor: The Exceptional Economy of the Arts. Amsterdam: Amsterdam UP, 2002.Adorno, Theodor. Aesthetic Theory. London: Routledge, 1983.Australian Bureau of Statistics. “Population Growth: Capital City Growth and Development.” 4102.0—Australian Social Trends. 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