Статті в журналах з теми "Lois climatiques"

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R. Ignace, VISSOH, Avahounlin Ringo F, Danhossou Gilbert, Avahounlin Josaphat, and Vissin Expédit W. "Variabilité Climatique Et Vulnérabilité Des Systèmes De Productions Agropastorales Dans Le Bassin Versant De La Rivière Agbado Au Centre Du Bénin." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 38, no. 2 (May 19, 2023): 212. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v38.2.5257.

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Анотація:
L’objectif de cette étude est d’évaluer l’état de vulnérabilité des systèmes de productions agropastorales face à la variabilité climatique dans le bassin de la rivière Agbado au centre du Bénin. Ainsi à partir des chroniques de données hydroclimatiques ; des statistiques démographiques et des données planimétriques, des méthodes statistiques d’analyses climatiques ont été appliquées pour caractériser l’impact de la variabilité climatique sur les productions agricoles dans le secteur d’étude. L’analyse de la variabilité interannuelle des pluies montre une alternance des années humides et sèches suivi d’une recrudescence de crues. Puis en se basant sur les lois de probabilité statistique de l’analyse fréquentielle la fréquence des extrêmes pluviométriques et hydrologiques observés ont été déterminer. Ainsi les événements hydrologiques qui ont une probabilité de 0,01 de subvenir sont estimés à 731 m3/s. De plus il est montré que l’agriculture et l’élevage sont les activités les plus exposés avec des taux d’exposition de 90 % et 80 %.
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Degron, Robin. "La pluriannualité budgétaire : une avancée contrariée en dépit de son utilité." Gestion & Finances Publiques, no. 6 (November 2022): 5–11. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2022.6.001.

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Анотація:
La prochaine loi de programmation des finances publiques de la France 2023-2027 ne sera sans doute pas adoptée dans le contexte parlementaire actuel. Outils de pluriannualité budgétaire au service du rétablissement des équilibres financiers du pays, les lois de programmation des finances publiques ont été portées par la construction de l’ordre budgétaire européen. En France, leur pouvoir d’encadrement des finances reste faible mais elles indiquent une trajectoire et donnent une crédibilité à la France au sein de l’espace communautaire. Au-delà de leur portée financière, les lois de programmation devraient s’imposer comme des leviers des grandes transitions dans lesquelles le pays est engagé. La transition écologique, en particulier énergétique, appelle forcément une planification des efforts financiers à consentir dans le temps. Le passage d’une économie hautement émettrice de gaz à effet de serre à une société bas-carbone ne peut s’opérer très rapidement au risque de fragiliser un peu plus les équilibres financiers de l’État mais aussi des collectivités territoriales qui sont aux avant-postes de l’adaptation aux dérèglements climatiques et de leur atténuation. Il reste ainsi du chemin à parcourir pour une pluriannualité opérationnelle qui serve les desseins de la planification financière et écologique.
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Orsoni, Gilbert. "Les instruments juridiques financiers et les crises." Gestion & Finances Publiques, no. 1 (January 2022): 83–89. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2022.1.011.

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Анотація:
La récente crise sanitaire, du fait de son considérable impact économique, a conduit les gouvernements à une intervention massive d’argent public, aussi bien aux échelons nationaux qu’européen. Posant d’emblée la question de savoir quels instruments juridiques mobiliser. Fût-ce à un degré inédit, ce sont les instruments traditionnels qui ont été privilégiés (accroissement de la dépense publique au travers de lois de finances rectificatives, prêts garantis, aides d’État ou, à l’échelle européenne, un partage prêts/subventions où, outre la Commission, la BCE a été amenée à jouer un rôle décisif) tout en mesurant les risques pour l’avenir immédiat et plus lointain, hausse de la dette notamment. Ce qui devrait conduire, pour des crises ultérieures, sanitaires ou climatiques, à rechercher des méthodes et instruments nouveaux.
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Kasongo Yakusu, Emmanuel, Dominique Louppe, Franck S. Monthe, Olivier J. Hardy, Félicien Bola Mbele Lokanda, Wannes Hubau, Jan Van Den Bulcke, Joris Van Acker, Hans Beeckman, and Nils Bourland. "Enjeux et amélioration de la gestion des espèces du genre Entandrophragma, arbres africains devenus vulnérables." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 339 (April 17, 2019): 75. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.339.a31717.

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Анотація:
Par la qualité de leur bois et leurs nombreux usages traditionnels, les espèces du genre Entandrophragma font l’objet d’une intense exploitation, susceptible de compromettre leur pérennité en l’absence de gestion durable. La présente étude dresse un état de la situation de cinq espèces commerciales principales de ce genre : Entandrophragma angolense, E. congoense (souvent assimilée par erreur à E. angolense), E. candollei, E. cylindricum et E. utile. Elle propose des pistes de recherche pour améliorer les stratégies de gestion durable au sein de ce genre. L’étude est principalement basée sur les données scientifiques (publications), économiques (statistiques de production et d’exportation) et juridiques (lois et réglementations), mais aussi sur les plans d’aménagement et les rapports d’inventaire. Les connaissances sur leur gestion sont encore fragmentaires alors qu’elles sont considérées comme vulnérables dans la liste rouge de l’UICN. La forte exploitation industrielle ou artisanale de ces espèces ne s’effectue pas toujours dans le respect d’un plan d’aménagement validé, ni de la durée minimum des rotations qui permettraient l’un et l’autre un taux de reconstitution pérennisant cette ressource. Leur gestion durable exige notamment le développement et le respect de mesures d’aménagement pour rendre leur exploitation renouvelable à long terme. Cette exploitation doit s’appuyer sur une gestion adéquate des peuplements naturels et sur le reboisement ainsi que sur des mesures de conservation. Les recherches à développer doivent intéresser leur vitesse de croissance face aux évolutions climatiques, l’évaluation de leurs stocks (production, biomasse, carbone), l’actualisation de leur distribution spatiale, l’amélioration de leur régénération naturelle, les processus de leur reproduction, leurs propriétés anatomiques et technologiques, autant de pistes pertinentes pour garantir la pérennité des espèces exploitables du genre Entandrophragma.
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Allard, Michel, and Maurice K.-Seguin. "Le pergélisol au Québec nordique : bilan et perspectives." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 141–52. http://dx.doi.org/10.7202/032671ar.

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RÉSUMÉ La compilation de travaux publiés et d'études inédites permet de proposer un bilan des connaissances sur le pergélisol du Québec. Au Québec arctique, quelques études, fondées sur des mesures thermiques dans des trous de forage, ont révélé des épaisseurs de plusieurs centaines de mètres de pergélisol et permis d'en reconstituer l'évolution climatique. Cependant, la morphologie cryogène n'a presque pas été étudiée. Au Québec subarctique, les nombreuses mesures thermiques dans la région de Schefferville et les relevés régionaux, principalement en Hudsonie. mettent en évidence l'étroite relation entre la présence, l'épaisseur et le régime thermique du pergélisol et les facteurs climatiques locaux, en particulier l'enneigement. Ce dernier facteur étant lié de près à la structure du couvert végétal, une nouvelle carte du pergélisol, fondée sur les données les plus récentes de la végétation et des observations personnelles, est proposée. Trois approches ont servi à déterminer l'âge et l'évolution passée du pergélisol : 1) un modèle physico-mathématique développé à partir de mesures thermiques en milieu arctique; 2) l'analyse stratigraphique de tourbières à palses; 3) l'analyse du contexte géologique quaternaire. La dynamique récente du pergélisol a été étudiée par le biais des changements écologiques survenus dans les tourbières. Le pergélisol au Québec subarctique peut dater d'aussi loin que la déglaciation dans les régions jamais boisées; ailleurs, il apparaît être d'âge néoglaciaire. Les feux de forêts ont peut-être eu une influence sur sa dynamique. Les formes cryogènes et les gélisols les plus répandus au Québec subarctique sont brièvement mis en relation avec les différents types de formations superficielles pergélisolées. Les mesures in situ des propriétés physiques et du régime thermique du pergélisol discontinu seront nécessaires pour prévoir l'effet des changements climatiques.
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Jung, Kwan-Seon. "Étude sur Loi Climat et Résilience." Kyung Hee Law Journal 58, no. 3 (September 30, 2023): 65–97. http://dx.doi.org/10.15539/khlj.58.3.3.

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En réponse au mouvement des “Gilets jaunes” né à l’automne 2018, Emmanuel Macron lance le “grand débat national”. À la suite du grand débat, le président de la République annonce la création d'une Convention citoyenne pour le climat. À partir d’octobre 2019, la Convention citoyenne pour le climat réunit 150 citoyens tirés au sort et chargés de définir une série de mesures susceptibles de réduire d’au moins 40% les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport à 1990, dans un esprit de justice sociale. Les 149 propositions de la Convention, remises au gouvernement en juin 2020, se regroupent en cinq thématiques : consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger, se nourrir. Emmanuel Macron retient 146 propositions. Le projet de loi “climat et résilience” traduit une partie des mesures législatives préconisées par la Convention citoyenne pour le climat. La loi, adoptée le 20 juillet 2021. La “loi du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets” vise à accélérer la transition écologique de la société et de l'économie françaises. Ce texte a d’ores et déjà innové dans la façon dont les lois peuvent être construites en s’appuyant sur une expérience inédite de démocratie participative. Cet article examine les implications d’une part des expérience démocratiques dans le traveax de ladite loi d’autre part les mesures visant à réduire les gaz à effet de serre et à s'adapter au changement climatique. À la suite d’étude, on propose des mesures d'amélioration pour aller encore plus loin dans la transition écologique afin de lutte contre le dérèglement climatique.
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Gemenne, François. "Migrations et déplacements de populations dans un monde à + 4° C." Études Tome 414, no. 6 (May 31, 2011): 727–38. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4146.0727.

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Résumé Si les engagements des différents pays en matière de réduction d’émissions de gaz à effet de serre ne sont pas renforcés, l’augmentation de la température serait de l’ordre de 4°C, bien loin de l’objectif affiché de 2° C. Les impacts des changements climatiques sur les migrations et déplacements de population devraient être considérables.
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Loustau, Denis. "Forêts et changement climatique : voir loin, clair et large !" Après-demain N ° 68, no. 4 (February 15, 2024): 10–12. http://dx.doi.org/10.3917/apdem.068.0010.

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Didier, Lydie, and Jean-Jacques Brun. "Limite supraforestière et changements environnementaux : pour une approche pluriscalaire et spatialisée des écosystèmes d’altitude." Géographie physique et Quaternaire 52, no. 2 (October 2, 2002): 245–54. http://dx.doi.org/10.7202/004786ar.

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RésuméL'étude des successions post- pastorales dans l'étage subalpin en moyenne Maurienne (Savoie, France) amène les auteurs à une mise au point méthodologique et à une critique sur l'utilisation de la limite supraforestière comme indicateur des changements climatiques. Ils proposent une démarche hiérarchique et systémique pour aborder la complexité et l'hétérogénéité du phénomène « limite supraforestière ». Cette dernière est considérée comme une zone écotonale en mosaïque dont l'évolution peut être appréhendée (1) par rapport à une limite moyenne en observant cette mosaïque de loin, (2) en considérant les contacts entre les unités à la fois physionomiques et géomorphologiques qui constituent la mosaïque, ou (3) à l'échelle de lisières forestières individuelles. Les différentes trajectoires dynamiques recensées montrent que la place des lisières forestières au sein de la mosaïque phyto-morphologique est déterminante pour leurs potentialités d'évolution. La géomorphologie apparaît comme un facteur structurant fondamental des paysages et des dynamiques ligneuses. L'utilisation de la limite supraforestière comme indicateur des changements climatiques n'est envisageable que sous deux conditions : il faut décliner les paramètres climatiques à plusieurs échelles, en établissant une correspondance avec les processus dynamiques eux-mêmes pluriscalaires et il faut tenir compte du rôle du substrat, facteur fondamentalement spatial.
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Galéa, G., R. Mic, and M. Ghioca. "Modélisation statistique des modules annuels et des étiages du bassin roumain du Timis-Bega, similitudes régionales avec la Moselle française." Revue des sciences de l'eau 20, no. 1 (May 7, 2007): 71–88. http://dx.doi.org/10.7202/015738ar.

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Résumé Le bassin hydrographique du Timis-Bega, d’une superficie d’environ 13 000 km2, est situé à l’ouest de la Roumanie. Le contexte orographique, l’influence climatique méditerranéenne, la nature et l’occupation du sol font que cette zone géographique relativement restreinte présente une assez grande diversité des écoulements. Cette dernière est considérée à travers le choix de 19 sous-bassins, de quelque km2 à plusieurs centaines de km2. La régionalisation des modules et des débits d’étiage du Timis-Bega a été entreprise à la suite de travaux analogues réalisés sur le bassin hydrographique de la Moselle française (GALÉA et CANALI, 2005). Ces travaux avaient montré l’adéquation de la loi de Weibull à deux paramètres pour décrire la variabilité temporelle et spatiale des modules annuels et des étiages des sous-bassins observés. Deux principaux résultats avaient été soulignés, l’un concernait la faible différenciation des lois régionales établies pour les modules et les étiages des années moyennes à « sèches » (F ≤ 0,5), l’autre mettait l’accent sur l’usage de jaugeages épisodiques d’étiage pour améliorer la performance des modèles régionaux. Notre propos est de vérifier ces considérations, établies pour le bassin de la Moselle, dans le contexte hydro-climatique du Timis-Bega. Les résultats obtenus permettent de confirmer tant l’aspect peu différencié des lois régionales que l’aspect amélioration de la performance des modèles régionaux. Plus précisément, cette amélioration résulte d’une meilleure précision, que celle obtenue par régression multiple classique, de l’estimation du descripteur de régime local, le module annuel médian ou le débit journalier médian d’étiage qui représente une source d’incertitude importante du modèle régional respectif. L’usage d’une information épisodique sur les débits d’étiage, concomitante à un site étudié et à un sous-bassin de référence, permet l’estimation du débit journalier médian et, par extension, celle du module annuel médian. Une explication à cette extension pourrait être trouvée dans la faible différenciation des lois régionales pour les fréquences moyennes à « sèches ». L’intérêt des jaugeages épisodiques d’étiage nous semble assez porteur pour être pris en considération lors d’une démarche ultérieure de régionalisation à bases géostatistiques des descripteurs de régime. Enfin, un résultat inattendu concerne la quasi similitude des lois régionales de la Moselle et du Timis-Bega tant en ce qui concerne les modules annuels que les étiages. Ce résultat, à considérer avec prudence, abonderait dans le sens de la théorie des régions hydrologiques homogènes.
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Latour, Bruno. "Comment les arts peuvent-ils nous aider à réagir à la crise politique et climatique ?" L'Observatoire N°57, no. 1 (2021): 23. http://dx.doi.org/10.3917/lobs.057.0023.

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Launay, Jean. "L’eau et le changement climatique – la concertation entre les acteurs." Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 112, no. 4 (October 25, 2023): 33–36. http://dx.doi.org/10.3917/re1.112.0033.

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La concertation fait partie des fondamentaux de la gestion de l’eau en France et les lois sur l’eau de 1964 et 1992 sont les piliers de cette organisation décentralisée, déconcentrée, porteuse de fiscalité écologique et de démocratie participative. Des engagements d’élu local puis de parlementaire qui amènent naturellement à la recherche de solutions, lesquelles passent par le préalable de l’écoute des acteurs. Le Comité national de l’eau « Parlement de l’eau » comme lieu privilégié de la concertation. Même si nous devons nous y attacher, les conditions de l’accès à l’eau, les conditions de son partage et de sa qualité ne seront jamais définitivement stabilisées. L’eau est le marqueur du dérèglement climatique par ses manques mais aussi ses excès. Les révisions, au plan national et dans les bassins, des plans d’adaptation au changement climatique impacteront les modalités du dialogue à venir. L’eau a été portée en haut de l’agenda politique ! Des assises de l’eau au Varenne agricole de l’eau et du changement climatique, les sujets des économies d’eau, du partage de l’eau entre les différents usages, de la qualité de l’eau et des milieux aquatiques et enfin de la biodiversité ont été posés. De la difficulté de se parler. Malgré la mission du préfet Pierre-Étienne Bisch et les recherches de méthode pour l’élaboration des projets de territoire pour la gestion de l’eau, les dissensus persistent. La question se pose de savoir comment retrouver demain les voies de la concertation. L’apport de la science est indispensable. La responsabilité politique et publique impose de retrouver les voies et moyens d’un dialogue renoué entre tous les acteurs.
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Lepesant, Gilles. "Entre défis de sécurité et ambitions climatiques, l’affirmation d’une Union européenne de l’énergie." L'Information géographique Vol. 88, no. 1 (March 6, 2024): 20–36. http://dx.doi.org/10.3917/lig.881.0020.

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Le secteur de l’énergie est l’un de ceux qui ont connu les avancées les plus notables en matière d’intégration européenne, les évolutions relatives à l’ouverture des marchés, aux interconnexions entre États membres et au défi climatique s’appuyant sur un corpus réglementaire qui a été sensiblement étoffé. L’ordre des priorités a néanmoins évolué. Aux Directives européennes des années 1990 centrées sur l’ouverture des marchés à la concurrence et sur les interconnexions entre États membres se sont peu à peu ajoutées des initiatives visant à réduire la dépendance du continent et à décarboner les mix énergétiques. Loin d’être remisées après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les ambitions inscrites dans le Pacte vert adopté en 2019 pour viser la neutralité climatique d’ici à 2050 ont été réhaussées. Le coût élevé de la transformation en cours, les risques qu’elle induit pour certains territoires industriels, le manque d’acceptation sociale constituent néanmoins désormais les principaux facteurs d’incertitude.
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Boissonnet, Guillaume. "Usages énergétiques des biomasses." Reflets de la physique, no. 77 (February 2024): 50–57. http://dx.doi.org/10.1051/refdp/202477050.

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Le contexte climatique et géopolitique pousse nos sociétés à rechercher comment utiliser au mieux de nouvelles ressources d’énergie, sans contribuer à l’effet de serre. Cependant, « neutre vis-à-vis de l’effet de serre » ne veut pas dire sans carbone. Ainsi, évaluer la neutralité carbone doit se faire sur l’ensemble d’une filière de transformation, et les lois de la thermodynamique s’appliquent à chaque étape. Dans le mix énergétique actuel, le carbone fossile est majoritaire et dominant. Et, même dans un système futur, le carbone restera incontournable pour les matériaux, la chimie et l’énergie, tout comme pour l’alimentation. Nous allons voir qu’il s’agit moins de « décarboner » le système que de le « défossiliser ». Le carbone étant alors une ressource critique, il s’agit d’en favoriser les meilleurs usages et de maximiser son rendement de transformation.
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Chateauraynaud, Francis, and Cathy Dubois. "Et si la climatologie devenait une science sociale comme les autres ? À propos du colloque « Entre connaissance et action : regards croisés sur les enjeux climatiques et environnementaux »." Natures Sciences Sociétés 27, no. 1 (January 2019): 63–72. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2019022.

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Cet article revient sur les échanges qui ont eu lieu lors du colloque « Entre connaissance et action : regards croisés sur les enjeux climatiques et environnementaux » organisé au Centre national d’études spatiales à Paris en décembre 2016. Les climatologues évoquent parfois une certaine indifférence des sciences humaines et sociales face à leurs appels à la mobilisation pour « la cause du climat ». Or, des programmes de recherche récents ont favorisé des coopérations entre chercheurs de différentes disciplines, révélant aux participants l’intérêt de confrontations continues de leurs approches. Cette synthèse critique restitue les principaux enseignements de cette journée et invite à aller encore plus loin, en considérant la climatologie comme une science sociale capable de relier logique axiomatique et logique phénoménologique.
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FAYE, Mbagnick, Dome TINE, Souleymane DIALLO, and Oumar Harouna SY. "Analyse De La Pluviométrie Dans Les Rivières Du Sud : Cas De La Basse Casamance (Sénégal) Au Rio Gêba En République De Guinée." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 34, no. 1 (September 13, 2022): 154. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v34.1.4554.

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La pluviométrie est une variable climatique fréquemment utilisée pour étudier l’évolution du climat en Afrique tropicale. Les études récentes basées sur ce paramètre ont révélé une forte fluctuation de celui-ci en Afrique de l’ouest. Cette variabilité se traduit par la récurrence de la sécheresse et la migration vers le sud des isohyètes entrainant une « sahélisation » des zones soudaniennes. Ce glissement climatique est surtout noté à la fin des années 1960 traduisant un changement dans les lois de distribution des variables hydro-pluviométriques.L’objectif de cette étude consiste à mieux appréhender l’évolution de la pluviométrie dans la partie septentrionale des Rivières du Sud à travers l’indice Pluviométrique Standardisé (IPS), les tests de Pettitt et de Mann-Kendall. Il ressort des résultats de l’IPS une légère supériorité des années sèches par rapport aux années humides à Ziguinchor (20% années sèches contre 14% années humides) et à Cap Skiring avec 22% d’années sèches contre 20% d’années humides. A la station de Bissau, le nombre d’année humide est proportionnel aux années sèches (18%). Cela se traduit, selon le test de Pettitt, par une absence de rupture à Bissau et la présence de ruptures à Ziguinchor en 2004 et à Cap Skiring en 1976. Le test de Mann-Kendall révèle que seule la station de Cap Skiring présente une hypothèse alternative Ha. La p-value (0,006) étant inférieure au seuil alpha (0,05), le test affiche une tendance dans la série.
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Neppel, L., M. Desbordes, and J. M. Masson. "Caractérisation de l'aléa climatique pluvieux en région méditerranéenne : analyse statistique des surfaces pluvieuses." Revue des sciences de l'eau 11, no. 2 (April 12, 2005): 155–74. http://dx.doi.org/10.7202/705301ar.

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Ces 10 dernières années, certains épisodes pluvieux marquants ont entraîné une prise de conscience du risque encouru par les agglomérations modernes face à des phénomènes hydrologiques particuliers. La gestion du risque pluvial passe par une amélioration de la connaissance de l'aléa pluvieux. Dans cet article, on développe une approche stochastique exploitant le potentiel d'informations contenu dans un échantillon d'épisodes pluvieux extrêmes ayant ou ayant pu engendrer des crues dévastatrices. Une approche spatiale est utilisée pour caractériser l'aléa pluvieux. A partir d'un jeu d'épisodes extrêmes sélectionnés sur une région méditerranéenne entre 1958 et 1993, on estime l'aire des surfaces où les précipitations dépassent un seuil de pluviométrie fixé. L'estimation des aires des surfaces pluvieuses nécessite le recours à un modèle d'interpolation spatiale des hauteurs de pluie. La justification du krigeage climatologique est présentée ainsi que l'estimation des paramètres du modèle retenu. Les distributions des aires des isohyètes, à différents seuils de pluviométrie, sont ensuite analysées. Il apparaît que quelle que soit l'isohyète considérée, une loi gamma peut être ajustée sur l'échantillon de surface. Une relation entre les paramètres des lois permet une généralisation du modèle probabiliste à n'importe quel seuil de pluie compris entre 50 et 300 mm.
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Banos, Vincent, and Philippe Deuffic. "Après la catastrophe, bifurquer ou persévérer ? Les forestiers à l’épreuve des événements climatiques extrêmes." Natures Sciences Sociétés 28, no. 3-4 (July 2020): 226–38. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2021008.

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En dépit de l’attention croissante accordée aux catastrophes climatiques, leur influence réelle sur les changements de pratiques reste ambivalente. Pour contribuer à ce débat, nous questionnons les stratégies d’adaptation adoptées par des propriétaires forestiers suite à la sécheresse de 2003 (Aude) et la tempête de 2009 (Landes de Gascogne). L’hypothèse défendue est que ces catastrophes n’ont conduit ni à la révolution, ni au statu quo mais à une « bifurcation assistée ». En effet, les stratégies mises en œuvre dix ans après oscillent entre retour aux routines et intensification des pratiques sylvicoles. Ces changements dans la continuité s’expliquent notamment par le fait que l’autorité des experts, loin d’être ébranlée, fut renforcée par les processus de sortie de crise. Au final, cet article souligne l’intérêt de penser les catastrophes, non pas seulement comme des risques à venir, mais comme des laboratoires permettant d’éprouver la pertinence et l’efficacité des réflexions sur l’adaptation.
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Hoang, Cong-Tuan, Iouli Tchiguirinskaia, Daniel Schertzer, and Shaun Lovejoy. "Caractéristiques multifractales et extrêmes de la précipitation à haute résolution, application à la détection du changement climatique." Revue des sciences de l’eau 27, no. 3 (December 15, 2014): 205–16. http://dx.doi.org/10.7202/1027806ar.

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La qualité des statistiques des précipitations, notamment les courbes Intensité-Durée-Fréquence, dépend étroitement de la fiabilité des données disponibles. Or, il a été montré que la plupart des séries temporelles provenant de pluviomètres à augets basculants ont une fréquence effective de mesure inférieure à celle assumée. Cette question est particulièrement importante pour l'hydrologie urbaine qui doit prendre en compte les fluctuations hautes fréquences des précipitations. Des études préliminaires ont montré que le nombre d'inondations estimé à l’aide de données à basse fréquence temporelle était plus faible que celui obtenu à l’aide des données à haute fréquence temporelle. Le déficit en données à haute fréquence peut conduire à d’apparentes ruptures des lois d’échelle, ce qui complique inutilement et notoirement la modélisation des précipitations. Il est donc indispensable de quantifier la qualité des données avant de les utiliser. Nous présentons une procédure SERQUAL qui permet de répondre à cette question et nous utilisons cette procédure SERQUAL pour sélectionner les sous-séries ayant les qualités requises pour des analyses à haute résolution. L’approche multifractale est alors appliquée sur les données sélectionnées pour caractériser la structure temporelle et le comportement extrême de la pluie. Cet article présente ainsi une estimation fiable des paramètres multifractaux de la pluie à haute résolution de cinq minutes pour les départements français de l’Isère (38), des Yvelines (78), du Var (83) et du Val-de-Marne (94). Ces paramètres peuvent être utilisés pour caler ou valider des modèles statistiques ou stochastiques. D’autre part, l’évolution des caractéristiques multifractales peut être aussi utilisée pour évaluer des conséquences hydrologiques du changement climatique. Les résultats obtenus montrent que l’influence du changement climatique n’est pas perceptible sur les précipitations pour les périodes étudiées en région Ile-de-France.
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Denis, Paul-Yves. "Constantes et contraintes climatiques dans les grandes oasis du piémont du Cujo (Argentine)." Cahiers de géographie du Québec 12, no. 25 (April 12, 2005): 103–21. http://dx.doi.org/10.7202/020790ar.

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Entre les marges sèches de la Pampa et les Andes s'inscrit une région sub-aride, ancienne province chilienne du Cuyo qui regroupe aujourd'hui les provinces argentines de Mendoza, San Juan et San Luis. Au pied de la précordillère et des blocs soulevés, l'utilisation rationnelle des eaux de rivières allogènes à régime nival de montagne a permis l'irrigation de plus de 400.000 hectares de vignobles, vergers et cultures maraîchères. Trois grandes oasis se partagent ces espaces valorisés. Distribuées le long de l'étroite frange piémontaise sur une distance d'environ 500 km, les conditions climatiques offrent localement des nuances qu'on a cru bon de souligner et de décrire dans cet article. Les deux premières parties établissent les constantes climatiques ; les deux dernières font état des contraintes qui pèsent sur ces oasis. Une fois mis en place les principaux éléments qui composent le milieu désertique, l'auteur esquisse rapidement les grands traits de la circulation atmosphérique et du régime pluviométrique propre à cette région de l'Argentine. En partant de données précises, il établit ensuite le bilan hydrique et les indices d'évapotranspiration potentielle qui lui permettront de distinguer les nuances de l'aridité dans le piémont du Cuyo. Au niveau des contraintes, des gelées précoces ou tardives provoquées par des remontées de fronts froids ou encore par des inversions de températures compromettent régulièrement la production agricole, surtout dans l'oasis de San Rafaël, la plus australe ; les risques sont moins grands dans celle de Mendoza et, à San Juan, ils deviennent même très marginaux. Contre cette menace pérenne, il n'existe guère de système de défense efficace. Plus spectaculaires, les chutes de grêle, aussi dévastatrices qu'imprévisibles, grèvent lourdement les récoltes certaines années. Parmi les méthodes préventives, l'installation de grilles flexibles de fil de fer semblent avoir fourni des preuves concluantes sur leur utilité. Malheureusement les coûts de mise en place en freinent considérablement la diffusion. On doit donc se contenter d'une formule compensatoire, l’assurance-Récolte, Provinciale, dont les effets rétroactifs et partiels sont loin d'être adéquats.
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Dunbar, M. J. "The Sea Waters surrounding the Québec-Labrador peninsula." Cahiers de géographie du Québec 10, no. 19 (April 12, 2005): 13–35. http://dx.doi.org/10.7202/020561ar.

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L'histoire de l'exploration des eaux côtières de la péninsule Québec-Labrador remonte très loin dans le temps, mais c'est vraiment l'Année polaire internationale de 1882 qui marqua les débuts des premières recherches sérieuses. Les progrès les plus considérables des recherches océanographiques ont cependant été réalisés depuis la IIe guerre mondiale, grâce surtout aux travaux entrepris dans l'Arctique oriental par le Bureau des recherches sur les pêcheries. L'auteur s'étend d'abord sur l'océanographie physique de la région ; il étudie successivement la bathymétrie, la répartition et les caractères des principales masses d'eau, les courants, les glaces et les marées. Suit une analyse de la biologie marine, qui souligne en particulier l'importance d'un facteur : l'absence de brassage vertical des eaux. La répartition de la faune marine indique que si les régions dominées par les eaux arctiques sont riches en mammifères, celles où l'influence atlantique est forte sont de beaucoup les plus poissonneuses. L'auteur insiste sur l'importance des ressources biologiques de la mer dans l'économie alimentaire des Esquimaux. De même qu'il existe des preuves d'oscillations climatiques à courte période, on peut aussi conclure à un réchauffement des eaux depuis le début du siècle, bien que cette tendance soit moins évidente depuis quelques années.
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Courvoisier, Emilie, Yoann Bicaba, and Xavier Colin. "Conséquences de l’oxydation sur l’absorption d’eau dans les matrices PEEK et PEI." Matériaux & Techniques 108, no. 2 (2020): 205. http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2020025.

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Les conséquences du vieillissement thermique sur les propriétés de transport d’eau (i.e. la solubilité et la diffusivité) dans les matrices PEEK et PEI ont été étudiées dans cinq atmosphères humides : 10, 30, 50, 70 et 90 % HR, en immersion dans l’eau distillée (correspondant en théorie à 100 % HR) et à trois températures : 30, 50 et 70 °C. Les produits d’oxydation ont été caractérisés par spectrophotométrie IRTF et les propriétés de transport d’eau ont été déterminées par des essais de sorption d’eau en enceinte climatique ou en immersion dans l’eau distillée. Les hydroxyles, qui sont de loin les produits d’oxydation les plus polaires, augmentent sensiblement la concentration d’eau à l’équilibre, mais ralentissent aussi la diffusion de l’eau dans ces deux matériaux. En revanche, la perméabilité à l’eau (qui est le produit de ces deux grandeurs) ne varie pratiquement pas pendant le vieillissement thermique. Des relations entre la structure chimique et les propriétés de transport d’eau ont été établies pour permettre le calcul des évolutions des gradients de concentration d’eau dans ces deux matériaux dans leurs conditions habituelles de fonctionnement.
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Alvarado, Esmeralda Pliego, and Edith Kauffer. "La política climática mexicana en la cuenca del río Usumacinta (1992–2018)." Regions and Cohesion 13, no. 2 (June 1, 2023): 79–104. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2023.130205.

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Abstract Since 2005, Mexico has developed a national climate policy aligned with internationally defined parameters. In this article, we analyze the vertical and horizontal coherences in the process of institutionalization of climate policy during the period 1992–2018 in the Usumacinta River Basin, based on the review of laws and actions implemented at national scale, as well as by the federal states and municipalities. The analysis shows vertical coherence at the national-international scale, as well as at the legal level in the state of Chiapas. In terms of horizontal coherence, it points to a series of incoherencies in the state's legal framework and in concrete actions at the river basin scale linked to the vertical incoherencies between the national scale and states located in the river basin. Resumen Desde 2005, México ha desarrollado una política climática nacional acorde con los parámetros definidos en el ámbito internacional. En este artículo analizamos las coherencias verticales y horizontales en el proceso de institucionalización de la política climática durante el periodo 1992–2018 en la cuenca del río Usumacinta a partir de la revisión de leyes y acciones implementadas a escala nacional, así como de los estados federados y municipios. El análisis evidencia coherencias verticales a escala nacional-internacional y en el ámbito legal en el estado de Chiapas. En materia de coherencia horizontal, apunta una serie de incoherencias a escala de la cuenca en el marco legal estatal y en las acciones concretas, vinculadas con las propias incoherencias verticales entre la escala nacional y los estados de la cuenca. Résumé Depuis 2005, le Mexique a mis en œuvre une politique nationale en matière climatique conformément aux paramètres définis à l’échelle internationale. Dans cet article, nous analysons les cohérences verticale et horizontale du processus d'institutionnalisation de la politique climatique durant la période 1992-2018 dans le bassin versant du fleuve Usumacinta sur la base d'un examen des lois et des actions mises en œuvre à l’échelle nationale, des états fédérés et municipale. L'analyse met en évidence des cohérences verticales à l’échelle nationale-internationales et dans le domaine juridique au Chiapas. En termes de cohérence horizontales, elle dévoile un certain nombre d'incohérences juridiques dans les états fédérés et dans les actions concrètes liées aux incohérences verticales entre l’échelle nationale et les états du bassin versant.
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Tabti, Rabah. "De la protection de l’environnement dans les Constitutions Algeriennes." Comparative Legilinguistics 57 (January 26, 2024): 7–40. http://dx.doi.org/10.14746/cl.2024.57.1.

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Depuis son indépendance en 1962, l’Algérie a subi des transformations politiques et environnementales. Malgré les obstacles de la reconstruction, la préoccupation environnementale s’est graduellement inscrite dans les textes fondamentaux du pays, notamment les chartes et les constitutions. Même si la constitution de 1963 était muette sur l’environnement, révélant un manque d’attention à l’époque ; mais depuis 1976, des évolutions significatives ont surgi, avec l’implémentation de politiques environnementales axées sur la préservation de la nature. Les chartes nationales de 1976 et 1986, ainsi que les constitutions de 1976, 1989, 1996, 2008, 2016 et particulièrement celle de 2020, ont toutes impulsé des mesures pour la protection de l’environnement. Ces textes fondamentaux sont sans équivoque quant à l’urgence de préserver la nature face au dérèglement climatique et à la nécessité d’une action immédiate. Ces évolutions législatives, notables et révolutionnaires, ont élevé le statut de l’environnement dans le cadre législatif et juridique algérien, témoignant d’une harmonie retrouvée entre l’Algérie, ses valeurs culturelles, son histoire et ses engagements internationaux. Dans ce contexte, une lecture critique a scruté la prise en charge de l’environnement et du climat dans les diverses constitutions et textes juridiques algériens. Les résultats mettent en avant l’importance attribuée à la protection de la nature dans ces documents, tout en soulignant le besoin d’une mise en œuvre plus efficace sur le terrain. Malgré les progrès notables depuis l’indépendance, avec l’émergence de politiques environnementales et l’intégration de la question environnementale dans les textes fondamentaux, l’Algérie doit encore déployer d’importants efforts pour concrétiser ces lois et véritablement préserver la nature sur son territoire.
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Larue, Jean-Pierre, and Robert Étienne. "Les changements de cours de la Sarthe entre Le Mans et Sablé-sur-Sarthe (France)." Paléoréseaux hydrographiques quaternaires : centenaire W.M. Davis 51, no. 3 (November 30, 2007): 285–94. http://dx.doi.org/10.7202/033128ar.

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RÉSUMÉAux confins du Massif armoricain et du Bassin parisien, le tracé actuel de la Sarthe résulte d'une longue évolution depuis le Pliocène, matérialisée par des témoins alluviaux, plus ou moins bien conservés, modelés en terrasses étagées pour la plupart. Le plus haut niveau, de 40 m d'altitude relative par rapport au lit mineur, engendre un plateau d'inversion de relief alluvial qui atteste d'une paléo-Sarthe affluente du Loir, alors que le cours actuel fait un coude à Malicorne pour se diriger, par méandres, vers Sablé. Les analyses sédimentologique et géomorphologique permettent de différencier les nappes et de reconstituer l'évolution paléogéomorphologique de la vallée. Postérieurement à l'épandage continental prétiglien, le réseau hydrographique commence à s'encaisser tout en s'adaptant à la structure. À l'Eburonien, la paléo-Sarthe accumule, dans la dépression subséquente de la cuesta turonienne, la nappe d'origine périglaciaire qui sera ensuite mise en relief. L'abandon du tracé rectiligne est attribuable au soulèvement de la région de La Chapelle d'Aligné qui a contraint la rivière à se déverser vers le nord-ouest lors du creusement ultérieur. Située légèrement en contrebas, la très haute terrasse qui présente la plus forte pente longitudinale entre Auvours et Sablé, se dédouble uniquement dans la région de Malicorne, en raison de la poursuite du soulèvement de ce secteur durant le remblaiement. Les variations climatiques du Pleistocene moyen et supérieur permettent d'interpréter les phénomènes de migration latérale du cours ainsi que les recoupements de méandres. Les haute, moyenne et basse terrasses adoptent en effet des pentes longitudinales plus faibles, sans déformations notables.
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Rey, Hélène. "La stabilité financière comme bien public mondial." Revue d'économie financière N° 151, no. 3 (November 8, 2023): 305–16. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.151.0305.

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Le système financier international reste centré sur le dollar qui est, de loin, la principale monnaie de réserve ; la politique monétaire de la Federal Reserve américaine a une influence importante sur le Cycle financier mondial. Les États-Unis, en tant qu'hégémon, jouent le rôle de banquier mondial et assurent l'économie globalisée en période de crise, devenant prêteur en dernier ressort par l'intermédiaire de lignes de swap . Ils contribuent ainsi à la provision du bien public mondial qu'est la stabilité financière. Leur rôle doit bien sûr être complété par des régulations prudentielles robustes, une utilisation active des politiques macroprudentielles, voire de contrôle des capitaux, et par les actions des institutions de Bretton Woods, celles du Fonds monétaire international en particulier. La taille relative des États-Unis diminuant dans l'économie mondiale, le système monétaire international est potentiellement confronté à un nouveau dilemme de Triffin : la demande pour les liquidités en dollars croît avec l'économie mondiale, tandis que la capacité budgétaire des États-Unis, qui garantit la valeur de la monnaie américaine, décroît en termes relatifs. De plus, l'architecture financière mondiale existante semble jusqu'à présent incapable de canaliser le capital là où il aurait une valeur sociale marginale élevée, pour aider à produire ces autres biens publics mondiaux que sont la lutte contre le changement climatique et la préservation de la biodiversité. Classification JEL : F30, F33, F42.
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Orujov, Elshan. "Pandémie de Covid-19: La transition de la mondialisation à l'hyper mondialisation." InterConf, no. 39(179) (November 20, 2023): 55–66. http://dx.doi.org/10.51582/interconf.19-20.11.2023.005.

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Cette étude explore l'impact de la pandémie de COVID-19 sur la reprise en forme de U de la mondialisation plus loin, plus rapidement et plus profondément. La pandémie a déclenché un nouveau débat sur la mondialisation parmi les globalisateurs, les anti-mondialistes et les modérés sur la question de savoir si l'ordre mondial actuel entraînera un changement fondamental. Alors que les partisans de la mondialisation s'attendent à ce que la mondialisation économique se poursuive après la pandémie, les altermondialistes prônent la localisation plutôt que la mondialisation, compte tenu des effets structurels négatifs de la pandémie sur l'économie mondiale. Cependant, les modérés envisagent une reprise en « U », dans laquelle le Covid-19 ne provoquera pas de confinement mais le ralentira. Si l'impact du Covid-19 sur la mondialisation économique est fort, au contraire, il va approfondir la mondialisation économique en cours. L'étude adopte une approche historique en examinant la montée et la chute de la mondialisation économique avant et après la Grande Récession de 2008. L'auteur soutient que la mondialisation économique est en transition après la Grande Récession de 2008, et que cette période de transition prendra fin après la pandémie de Covid-19. La pandémie de Covid-19 a aidé les pays à se rapprocher et à mobiliser toutes les ressources mondiales. Les pays ont mieux compris l'importance de l'intégration et de la coopération internationales. Par conséquent, après la pandémie, ils essaieront de coopérer davantage au niveau international afin de surmonter les défis à venir. Ainsi, de nouvelles règles de la mondialisation seront formées. La communauté internationale s'efforcera de développer un mécanisme pour faire face au changement climatique, à la pollution, à la sécurité alimentaire, aux problèmes de santé majeurs et à d'autres problèmes mondiaux qui le rendra plus flexible, efficace et réactif.
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GOCKO, X. "Rupture anthropologique et Covid-19." EXERCER 32, no. 175 (September 1, 2021): 291. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.175.291.

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La pandémie de Covid-19 a brutalement modifié nos comportements et nos droits. Le masque a remplacé la poignée de main. Nous, médecins généralistes, avions l’habitude d’une poignée de main parfois ferme, parfois douce, parfois prolongée. Elle était le premier et le dernier contact interindividuel. Déjà, pour certains d’entre nous, elle était parfois remplacée par un signe de la main durant les épidémies de gastroentérite ou de grippe, mais un sourire accompagnait ce changement de rituel. Le masque cache désormais une partie de ce visage. Il est le symbole de la méfiance, de la potentielle dangerosité d’autrui. Pour Emmanuel Levinas, l’expérience d’autrui prend la forme du visage : « … l’accès au visage est d’emblée éthique ». Il nous propose de ne pas en rester à la description anatomique, à l’objectivité mais de comprendre, ressentir, la subjectivité de la personne. Il nous rappelle que « … la meilleure manière de rencontrer autrui, c’est de ne pas même remarquer la couleur de ses yeux ! »1. Cette rupture anthropologique a été très rapidement comparée à d’autres ruptures anthropologiques, comme la guerre ; en atteste le discours du président français de mars 2020. Pendant la Grande Guerre est sorti des rangs l’appel à la dignité des morts, qui est à l’origine de deux lois en 1915 : « mort pour la France » et « droit à une sépulture perpétuelle aux frais de l’État ». Ainsi, la fosse commune initiale anonyme où a été retrouvé Alain Fournier, auteur du Grand Meaulnes en 1991, est abandonnée au profit de sépultures plus dignes2. Que dire des rites funéraires pendant la Covid-19 ? De l’interdiction des familles de voir le mourant ? Des restrictions des rituels funéraires, qu’ils soient cultuels ou culturels ? Nous voyons dans nos cabinets les familles endeuillées et les effets de la mise en bière immédiate et de l’hermétisme du cercueil. Cette rupture anthropologique est aussi une justification de certaines théories eschatologiques. Dans cette fin du monde, les millénaristes en attente du Sauveur, de l’Élu ou de la parousie ont été remplacés par les collapsologues. Certains expliquent l’effondrement à venir de notre civilisation par les effets du capitalocène. La logique destructrice du capitalisme explique le réchauffement climatique, et la fonte du permafrost libère des virus inconnus… Certains répondent à cet effondrement de la biosphère et de la civilisation par la création d’« oasis survivalistes » : où la méfiance mène à l’isolement3. Ce même isolement qui, pendant la crise Covid-19, a amplifié les violences faites aux femmes… Qu’avons-nous fait, nous, médecins généralistes, face à cette rupture anthropologique ? Eh bien, nous avons poursuivi notre action. Même sans poignée de main, même derrière un masque, nous avons entretenu notre relation avec les patients. Nous les avons accompagnés tout au long de la vie. Et ce numéro 175 d’exercer va faciliter notre accompagnement. Comment ? Avec une réflexion sur notre ressenti lorsque nous dépistons les violences conjugales, et des outils d’aide à la décision pour les vaccins contre la Covid-19 et pour les soins palliatifs ambulatoires. Un article vous propose aussi de discuter l’origine du Sars-CoV-2. Ce numéro de rentrée nous rappelle que nos soins dans la globalité sont à même d’adoucir cette rupture anthropologique.
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AGABRIEL, J., and R. BAUMONT. "Avant-propos." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 91–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2235.

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Il faut remonter loin dans les archives de l’INRA, et plus précisément au numéro spécial du « Bulletin du CRZV de Theix » datant de l’année 1974 pour trouver un ouvrage entièrement dédié aux « vaches allaitantes »1. Quarante-trois ans plus tard, c’est avec plaisir que nous présentons ce nouveau dossier dans la revue INRA Productions Animales qui leur est entièrement consacré. Un tel regroupement d’articles sur cet animal et ce système d’élevage est donc assez rare et nous remercions chaleureusement les animateurs de la revue de l’avoir initié. Le numéro de 1974 constatait le développement soutenu des troupeaux allaitants en France qui accompagnait la tendance à la spécialisation des systèmes de production tant vers le lait que vers la viande. Les travaux de recherches engagés mettaient en avant les spécificités de ce système peu étudié jusque-là : la productivité de la femelle, biologiquement limitée à un veau par an, impose une stratégie générale de réduction des charges et des coûts de production et par là une maximisation de l’utilisation de l’herbe dans le système fourrager. Ils se démarquaient alors des travaux réalisés sur les vaches laitières. Et pour produire efficacement de la viande, disposer d’animaux tardifs de grands formats est un atout important par la capacité qu’ils ont à déposer efficacement de la masse musculaire. Les objectifs de sélection proposés alors ont ciblé le potentiel de croissance des veaux tout en améliorant les facilités de vêlage des vaches et le format des carcasses des vaches de réforme. Ces connaissances, développées par des chercheurs de renommée2, ont porté leurs fruits et accompagné la transformation constante du cheptel Français : le nombre de vaches allaitantes a presque été multiplié par deux (4,2 millions actuellement en France). Il est supérieur à celui des vaches laitières depuis l’année 2005 et la production de viande qui en est issue avoisine désormais 65% de la production nationale. Les vaches ont grandi et grossi (+ 5kg /an en moyenne), mais les troupeaux également. La productivité par travailleur a plus que doublé (Veysset et al 20153) sans que la productivité numérique des vaches n’en pâtisse trop. Mais cette réussite quantitative flagrante marque le pas, et ne suffit plus pour aborder sereinement l’avenir de la production. Au niveau des exploitations de nombreux signaux défavorables se sont allumés. Les revenus des éleveurs stagnent et restent parmi les plus bas des professions agricoles. L’image de l’élevage se dégrade dans notre société urbanisée. Les bovins en général sont aussi interrogés sur leur bilan environnemental qui est sujet à controverses, et désormais c’est la finalité première de production de viande de ces troupeaux allaitants qui est en débat. Ces constats sont maintenant bien connus, et rappelés brièvement dans les introductions des articles de M. Lherm et al, et d’A. Cerles et al. Ils provoquent des inquiétudes grandissantes à tous les niveaux de la filière. Que peuvent apporter aux débats en cours les recherches récentes ciblées vers les vaches allaitantes ? C’estce qui a motivé la réalisation de ce dossier qui vise à rassembler et synthétiser les connaissances récentes acquises, d’une part, à l’échelle de l’animal, et, d’autre part à celle du système de production.Pour introduire ce dossier, l’article de M. Lherm et al met en perspective les évolutions des « élevages allaitants » dans les quatre principaux pays européens producteurs : France, Royaume-Uni, Irlande et Espagne. L’analyse des trajectoires technico-économiques des élevages allaitants au cours des dernières décennies dans ces quatre pays montre que les choix d’investissements, de mécanisation, et d’agrandissement des structures n’ont pas été partout semblables. Ensuite, ce dossier fait le point des avancées dans les disciplines et dans les onnaissances zootechniques de base pour la conduite des élevages bovins allaitants : l’amélioration génétique, la physiologie de lareproduction, les facteurs de variation de la production de lait des mères, la quantification de leurs besoins nutritionnels et de leur efficience alimentaire. L’article de L. Griffon et al discute de ce que l’on peut attendre des nouveaux outils génétique comme la génomique, et comment ils vont s’intégrer dans les nouveaux schémas d’amélioration. Les nouvelles connaissances physiologiques pour la maîtrise de la reproduction, pour la prévision de la courbe de lactation et pour la maîtrise de l’alimentation des vaches allaitantes sont détaillées successivement dans les articles de B. Grimard et al, de B. Sepchat et al et d’A. De La Torre et J. Agabriel. Ils fournissent de nouveaux indicateurs sur les aptitudes des animaux dont l’élevage du futur a besoin : robustesse, autonomie, efficience. Autant de propositions pour de nouvelles mesures de routine qui participeront à la détermination des nouveaux phénotypes. L’article de M. Doreau et al éclaire le débat sur l’empreinte environnementale de l’élevage allaitant en synthétisant les connaissances actuelles permettant d’établir le bilan de ses impacts positifs et négatifs. Les controverses sur le besoin en eau, les rejets de gaz à effet de serre ou d’azote pour produire un kg de boeuf par exemple, sont encore très fortes et nécessitent des apports scientifiques de fond pour les apaiser. Même s’il est acquis qu’élevage allaitant et prairie sont liés, et que ce lien conforterait une image favorable auprès des citoyens comme auprès des consommateurs, les interrogations sociétales demandent des réponses. Les travaux en cours permettent de les affiner. Enfin, l’article d’A. Cerles et al qui clôt ce dossier pose les fondements des futurs possibles pour l’élevage bovin allaitant à partir d’un travail de prospective pour les filières viandes réalisé sur le territoire du Massif central qui analyse les conséquences de cinq scénarios contrastés prenant en compte de puissants déterminants comme le changement climatique, l’évolution de la consommation de viande, les politiques agricoles et environnementales4. La bonne utilisation des surfaces herbagères, la maîtrise complète de la qualité des viandes sont de points incontournables à travailler dans les années à venir, et les acteurs devront faire émerger ensemble les opportunités de projets qui les aideront à avancer. Nous sommes persuadés que ces divers sujets par la manière exhaustive et synthétique dont ils ont été traités dans ce dossier, aideront les lecteurs dans leurs recherches personnelles et à se forger leur propre expertise. Nous remercions encore tous les auteurs, les relecteurs et le secrétariat de la revue pour leurs investissements qui ont permis de mener ce travail à son terme. J. Agabriel, R. BaumontInra, UMR Herbivores------------1 L’exploitation des troupeaux de vaches allaitantes. 6ème journées du Grenier de Theix. Supplément du Bulletin Technique du CRZV Theix. Numéro spécial 1974 : 398pp.2 On peut ainsi citer Claude Béranger, Michel Petit, Gilbert Liénard, François Ménissier et toutes leurs équipes d’alors.3 Veysset P., Lherm M., Roulenc M., Troquier C., Bebin D., 2015. Productivity and technical efficiency of suckler beef production systems: trends for the period 1990 to 2012. Animal 9, 2050-2059.4 Cerles A., Poux X., Lherm M., Agabriel J., 2016. Étude prospective des filières viandes de ruminants du Massif central, horizon 2050. INRA Centre Auvergne-Rhône-Alpes. http://www.ara.inra.fr/Le-centre-Les-recherches/projets-et-actualites/ProspectiveViande
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Gazzaniga, Jean-Louis, and Xavier Larrouy-Castéra. "Le droit de l’eau en France entre permanences et mutations." 51, no. 3-4 (March 3, 2011): 899–922. http://dx.doi.org/10.7202/045738ar.

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Depuis toujours, l’homme a tenu, par nécessité vitale, à disposer, voire à maîtriser l’eau. Le droit n’avait d’autre fonction que d’aménager la disposition ou la maîtrise de l’eau. Toute l’évolution du droit peut s’analyser comme un contrôle de plus en plus serré de l’usage de la ressource hydraulique qui obéit à des contraintes physiques, géographiques, climatiques… Ainsi, il y a le droit de l’eau des pays arides et celui des pays humides ; il y a ceux qui luttent pour l’eau et ceux qui luttent contre elle. Car, au-dessus de la libre disposition des hommes, la nature fixe sa loi. Les contraintes peuvent être aujourd’hui plus vives, elles ne sont pas nouvelles. Ce que mettent bien en lumière l’évolution du droit de l’eau et la permanence des traditions. S’il s’agit d’un droit qui tient beaucoup à l’histoire, force est bien de reconnaître qu’il n’est pas figé et qu’il doit sans cesse s’adapter pour répondre aux évolutions de notre société. Les dernières lois en France ont mis en évidence la notion de l’eau patrimoine commun. Cette notion n’est pas propre à la France : l’eau est régulièrement proclamée comme « bien public », et plus récemment « droit humanitaire ». On ne peut négliger de nos jours les dimensions européenne et internationale du droit de l’eau. Le manque d’eau, catastrophique dans certains pays, et la pollution imposent à l’heure actuelle une plus large politique. Celle-ci dépasse les seuls cadres nationaux ; les principes juridiques classiques sont vite dépassés. On retrouve à l’échelon mondial les préoccupations économiques et sociales du droit de l’eau qui vont désormais au-delà de la simple réglementation.
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DEPECKER, Patrick, and Christian INARD. "Lois fondamentales en génie climatique." Ressources énergétiques et stockage, November 1996. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-b9055.

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"Evolution climatique, sol et résilience en Eure-et-Loir." Agronomie, Environnement et Société, June 1, 2023. http://dx.doi.org/10.54800/jle598.

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Jacquet, Olivier. "The taste of the terroir... a history of an international prescription in the twentieth century." Territoires du vin, no. 13 (December 15, 2021). http://dx.doi.org/10.58335/territoiresduvin.2269.

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L’amateur de vin d’aujourd’hui donne une place très importante aux terroirs viticoles. Un rapport positif s’est en effet établi entre le lieu de production d’un vin et le goût de ce vin. Pourtant, cette acception positive du gout du terroir n’est pas un fait donné. Elle résulte d’un processus historique d’acculturation et qui a pris toute sa mesure dans le courant du XXe siècle. En effet, au XIXe siècle et même, pour bon nombre d’amateurs, jusque dans les années 1960, le goût de terroir associé à un vin possède une connotation très négative. Si, à ce moment-là, les vertus des sols et des conditions climatiques sont déjà repérées, parler d’un vin avec un goût de terroir, c’est avant tout parler d’un vin terreux, paysan, âpre, bref, un vin mauvais. Or, en une cinquantaine d’années, nous allons assister à une inversion du rapport au terroir et, à partir des années 1970-1980, le « goût du terroir » devient gage de qualité pour les vins mis sur les marchés. Au cours de cette conférence, nous allons montrer comment ce changement de paradigme résulte de l’inédite modification des normes de production et de commercialisation des vins qui s’opère en France durant XXe siècle. En effet, avec la mise en place des réglementations sur les appellations d’origine provoquée par les lois de 1919 et 1935, l’origine des vins devient progressivement le principal critère d’expression de leur qualité. Désormais, et même s’ils étaient pour certains déjà abondamment employés par le négoce, les noms de crus supplantent les marques des maisons de commerce. Au XIXe siècle, la production, principalement dominée par le monde du négoce, pouvait tout à fait désigner un vin sous le nom d’un lieu dont il n’était que partiellement, voire pas du tout originaire. Avec les réglementations sur les AOC, cela n’est plus possible. Mais, dans ce nouveau système, les vins d’AOC vont pourtant éprouver de grandes difficultés à investir les marchés de consommation. L’appellation n’est en effet, après la seconde Guerre Mondiale, toujours pas perçue comme un critère de qualité. Il faudra dès lors attendre les années 1970 pour voir décoller la consommation de ces vins marquées par leur origine et que, finalement le consommateur accepte l’idée que la qualité d’un vin est liée à son origine. Ce processus d’acculturation positive au terroir sera mis en œuvre par tout un réseau de prescripteurs qui émerge et impose ses vues aux cours du XXe siècle. Ces pionniers sont vignerons, négociants propriétaires, journalistes gastronomiques, ou encore sommelier, jeune profession en pleine reconnaissance de légitimité. Le mouvement s’accélère au cours de la fin du second tiers du XXe siècle avec l’entrée en jeu d’une toute nouvelle organisation gouvernementale : l’Institut Nationale des Appellations d’Origine (INAO). Dès 1945, l’INAO s’emploie ainsi à rehausser la qualité des vins vendus sous appellation d’origine. Cette reconnaissance des vins de terroir passe alors par un important travail de suivi et de contrôle. Dans ce contexte, l’analyse scientifique et surtout la dégustation, deviennent des éléments incontournables de ce contrôle qualitatif des vins d’AOC c’est-à-dire, finalement, d’agrément de leur typicité, de leur lien à l’origine. Ainsi, au tournant des années 1970, les mutations des modalités de la dégustation et, de fait, les nouvelles formes de prescription des vins, vont consacrer de nouvelles manières d'appréhender la qualité de cette boisson. Elles viennent fournir, de surcroît, des outils techniques et discursifs « objectifs » (dégustation organoleptique) capables de hiérarchiser mais surtout, d'identifier les vins selon leur provenance, ancrant et pérennisant durablement le système des AOC dans le paysage viticole Français.
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15993.

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Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.03.01.

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Анотація:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.

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