Дисертації з теми "Histoire, sociologie et philosophie des sciences"

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Bouilloud, Jean-Philippe. "La réception de la sociologie par l'épistémologie des sciences de la nature." Paris 7, 1995. https://buadistant.univ-angers.fr/login?url=https://www.cairn.info/sociologie-et-societe--9782130486312.htm.

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Анотація:
L'epistemologie classique, a partir de bacon, poincare et meme jusqu'a popper, s'est fondee dans une tres large mesure sur l'etude des sciences de la nature. En cela, elle n'a pas vraiment ete a meme de rendre compte de la specificite des sciences sociales, souvent accusees de ne pas satisfaire de criteres suffisants de justification. Or la sociologie etablit un lien propre avec son objet, contrairement aux sciences de la nature : la sociologie nous parle de nous, s'adresse a la societe toute entiere, et s'occupe des problemes qui sont l'actualite meme du monde social. A cause de ce lien, la sociologie n'est donc ni un strict equivalent d'une physique du social, ni une simple discipline historique qui se centrerait sur le monde contemporain : elle repond aussi, d'une certaine maniere, aux attentes de la societe, et l'analyse historique du developpement de la sociologie permet de montrer comment elle a repondu a ces attentes, a travers les metamorphoses de la question sociale. Des lors, l'approche idealiste du rationalisme critique popperien, ou meme les approches de la sociologie des sciences, se doivent d'etre completees par une analyse specifique de ce lien double entre sociologie et societe : a la logique de la decouverte et a celle de la justification, traditionnelles dans la philosophie des sciences, il faut adjoindre ce que l'on pourrait appeler une logique de la reception. C'est ce que nous proposons, a travers une approche phenomenologique et dans la lignee des travaus, entre autres, de gadamer, habermas et jauss, sous le terme plus generique d'epistemologie de la reception
Classical epistemology, since bacon, poincare and until popper, studied mainly nature's sciences. Therefore, it has been unable to take into account the specificity of the social sciences, often considered as unscientific from the justification point of view. The point is that sociology develops a specific link with its subject, unlike the nature's sciences : sociology speak to us about us, and its production is for the whole society, not only the scientific world, and it takes in charge of the problems that belongs to the actuality of the social world. Because of this, sociology is not a mere physics of the social world, nore a simple history of the contemporary world : it is dedicated, in a certain way, to the expectations of society, and the whole history of sociology demonstrates this. Therefore, classical approach es like popperian critical rationalism or even sociology of sciences have to be completed by a specific analysis of this double link between sociology and society : following the works of gadamer, habermas and jauss, and through a phenomenological approach, it is what we propose under the name of epistemology of reception
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Gonthier, Frédéric. "L' esprit sociologique et son destin." Paris 5, 2001. http://www.theses.fr/2001PA05H047.

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Анотація:
Ce que nous voulons faire, ce n'est pas résoudre les difficultés impliquées par la tradition sociologique en tant que pluralité irréductible de perspectives théoriques sur le social. A partir d'une réflexion sur les textes fondateurs de la pensée sociologique classique, il s'agit de retrouver à un autre niveau de signification, au double plan de l'histoire des idées et de la pensée collective, la manière dont la sociologie représente une certaine façon pour les individus d'organiser leur installation dans le monde et de penser leur communauté d'activités. La genèse de son discours appelle à être réinscrite dans un espace symbolique et imaginaire particulier, celui de la modernité, qui se caractérise paradoxalement par l'assomption de l'homme en fondement absolu du sens, et par une division infiniment reconduite de la société avec son sens à être. En riposte contre cette scission d'avec le sens, la tradition sociologique érige la figure d'une société réconciliée dans l'acte scientifique où elle prend connaissance de soi. Elle définit une forme spécifique de conscience sociale, qui est intégralement subordonnée à la possibilité d'une science objective de la société. La connaissance du social doit alors donner aux hommes la maîtrise de leur société ; elle doit les élever vers la domination métascientifique sur leur propre monde de significations. (. . . )
This is not an attempt to solve the inherent complexity of sociology which is a plurality of theoretical views on social phenomena. From an analysis of classical texts, the aim is to consider sociology as a fundamental element giving mankind the possibility to assimilate the meaning of its community and to organize itself in the world. The genesis of sociology is linked to modernity, which represents a symbolical and imaginary space characterized by the assumption of mankind to the origin of sense and, therefore, by a permanent division of society with itself. Against the principle of this division, the sociological tradition erects a principle of reconciliation. It sets itself up as allowing a social conscience that could completely be founded in the scientifical objectivity it defines. The knowledge of social phenomena is supposed for manking to master its own world of meaning. (. . . )
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Flipo, Fabrice. "Statut et portée de l'écologie politique : Contribution à une anthropologie de la globalisation et de la modernité." Habilitation à diriger des recherches, Université Paris-Diderot - Paris VII, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00957817.

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Анотація:
Dans ce travail nous examinons la réception de l'écologisme en tant que mouvement social à l'intérieur des deux grandes idéologies qui dominent l'horizon du sens à l'époque de sa naissance : le libéralisme et l'anticapitalisme. Nous mettons en évidence quatre sites de controverse : les droits de la nature, le comportement des écologistes en politique, l'économie écologique et la question du réenchantement du monde.
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Klein, Alexandre. "Du corps médical au corps du sujet. Etude historique et philosophique du problème de la subjectivité dans la médecine française moderne et contemporaine." Phd thesis, Université de Lorraine, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00943709.

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Анотація:
La médecine connaît actuellement en France une crise de ses repères et de ses valeurs conséquente aux bouleversements scientifiques, techniques et sociologiques qu'elle a connue au cours du XXe siècle. Cette thèse vise à explorer les tenants et les aboutissants de cette situation, à partir d'une étude historique et philosophique de l'émergence et du développement de la médecine française moderne puis contemporaine, entendue à la fois comme profession, discours scientifique et pratique sociale. De la formation du corps médical à l'apparition d'un discours autonome des usagers de santé, nous défendons l'idée selon laquelle la genèse et l'évolution du discours médical, depuis le XVIIIe siècle jusqu'à nos jours, repose sur sa capacité à répondre à la question fondatrice des possibilités d'objectivation scientifique et technique de la subjectivité humaine. Ce problème, originairement épistémologique, se révèle au cours de notre généalogie de nature tant philosophique qu'éthique et sociopolitique, nous conduisant finalement à rechercher les outils de problématisation de la crise contemporaine au fondement de la relation médicale moderne. L'étude de la correspondance du médecin des Lumières Samuel-Auguste Tissot (1728-1797) nous offre finalement un contre-point essentiel pour préciser les conditions de possibilités d'une médecine, que nous souhaitons pour le XXIe siècle, et au sein de laquelle est assuré le respect de l'autonomie et de l'identité propres à l'ensemble des sujets, qu'ils soient soignés ou soignants.
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Barbié, Olivier. "Convergences entre économie et sociologie autour du concept de réseau social." Phd thesis, Université Panthéon-Sorbonne - Paris I, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00612275.

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Il est notoire que la relation traditionnelle entre économie et sociologie est le conflit. Mais je montre que l'importance de ce conflit est minorée par les économistes. Car si la sociologie, initialement positiviste, s'est construite par opposition à l'économie classique, l'ensemble des écoles économiques marginalistes se sont elles aussi construites par opposition à la sociologie positiviste. Lorsque le dialogue théorique existe, il passe par la sociologie économique. Certains voudraient assimiler la sociologie économique à une branche de la sociologie [Smelser, Swedberg, 1994]. Je montre que la forme traditionnelle prise par la sociologie économique passe par la reconstruction de l'autre science (et non la coopération) et que ce processus de reconstruction à mobilisé des auteurs de chaque camp, et pas seulement des sociologues durkheimiens. Actuellement, le pilier sociologique de la sociologie économique est fortement associé au courant de pensée gravitant autour du sociologue Mark Granovetter, et se réclamant de Max Weber [Smelser, Swedberg, 1994, repris par Steiner, 1999]. Ce courant de pensée se sent quelques affinités avec le courant institutionnaliste. Il a aussi été signalé des affinités avec les travaux d'Alan Kirman. [Steiner, 2005]. En sélectionnant trois concepts issus de la nouvelle sociologie économique (le capital social, l'encastrement social et le réseau social), je montre qu'en fait Alan Kirman représente ici de nombreux économistes. Sachant que les concepts de capital social et d'encastrement social peuvent se ramener au concept de réseau social, il est tentant de réduire l'étude des réseaux sociaux à la seule analyse des réseaux sociaux produite par les granovetteriens tels que Linton Freeman et Stanley Wasserman [Freeman, 2004]. Or, une ligne de clivage importante sépare la définition des réseaux qui les considère comme des objets réels (substantivisme) et la définition qui les considère comme de purs concepts mathématiques (structuralisme) [Mercklé, 2004]. Je montre que cette ligne de clivage a laissé des traces au coeur même de l'analyse des réseaux sociaux. Il est connu que l'approche structurale des réseaux est dominante, et représenté l'état le plus avancé de l'analyse des réseaux sociaux [Mercklé, 2004]. Mais si cette approche existe, c'est parce que les sociologues qui l'ont fondée (Harrison White et Mark Granovetter) ont identifié structure sociale et réseau social. Autrement dit, le point central de convergence entre économistes et sociologues n'est pas méthodologique (l'usage des réseaux sociaux définis structuralement) mais théorique (l'identification de la structure sociale à un réseau social). Je montre ensuite que l'économie des réseaux, largement initiée par Alan Kirman à partir des années 1990, s'inscrit dans une logique où le système des prix est déterminé par une structure sociale réticulaire. Parmi toutes les approches économiques qui utilisent le concept de réseau, l'économie des réseaux est donc celle qui est la plus proche de la sociologie de Harrison White et de Mark Granovetter. Je me suis alors attaché à retracer l'histoire de l'économie des réseaux, ce qui n'avait pas été fait jusqu'à ce jour. Une fois assuré que la sociologie économique contemporaine concentre l'essentiel des relations théoriques entre sociologie et économie, et que le lien le plus étroit unie d'une part la nouvelle sociologie économique, formalisée ou non par l'analyse des réseau sociaux, et d'autre part l'économie des réseaux, j'ai ensuite cherché à décrire cette proximité méthodologique et théorique, en auscultant les modèles mathématiques existants. L'économie des réseaux repose sur un formalisme apte à uniformiser l'écriture de la plupart des modèles économiques [Sanjeev Goyal, 2007]. Malheureusement, ce méta modèle n'a été que partiellement construit. Je me suis donc attaché à achever sa formalisation. Ensuite, j'ai vérifié que ce méta-modèle pouvait prendre en charge l'intégralité de l'analyse des réseaux sociaux. Le propos de la thèse est donc démontré : le concept de réseau social permet l'établissement d'une convergence méthodologique et théorique entre l'économie des réseaux et la sociologie structurale, que cette dernière soit formalisée selon l'analyse des réseaux sociaux ou non. Toutefois, ce résultat peut être étendu. Je montre en effet que les modèles d'Alan Kirman, typiques de l'analyse des réseaux, peuvent être traduits dans le langage de l'analyse complexe, y compris pour les modèles les plus proches de la sociologie. En appliquant le formalisme de l'analyse complexe à la théorie des marchés de Harrison White, je montre enfin que cette forme particulière de sociologie économique s'intègre parfaitement au cadre général de l'analyse systémique. La conclusion qui s'impose est que l'important rapprochement entre disciplines permis par l'analyse des réseaux sociaux fusionnée à la théorie des jeux au sein de la théories des jeux en réseaux (telle que pratiquée par l'économie des réseaux) n'est qu'une modeste partie des convergences bien plus importantes encore qui sont en train de se mettre en place entre sciences à travers l'émergence du paradigme de la complexité.
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Omarjee, Ismaël. "Aspects de la relation entre science de l'univers et spiritualité dans l'histoire de la pensée : Isaac Newton et Georges Lemaître. La quête de la vérité." Phd thesis, Université Paris-Diderot - Paris VII, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00991210.

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Анотація:
La question de la réalité, de la nature et du rôle de la relation entre science de l'univers et spiritualité dans l'oeuvre de connaissance scientifique, plus généralement dans l'histoire de la pensée, motive le présent travail. Afin de traiter cette question, l'auteur a choisi d'étudier la pensée de deux savants spiritualistes : Isaac Newton et Georges Lemaître, qui façonnent deux moments majeurs de l'histoire des sciences, celui de la fondation de la mécanique céleste, creuset de la science moderne, et celui de la fondation de la cosmologie moderne, lieu d'une définition radicalement nouvelle de l'univers et de la place de l'homme en son sein. Ces deux moments, newtonien et lemaîtrien, s'apparient l'un à l'autre, d'une part en raison de l'objet d'étude commun : le tout, et d'autre part en termes de succession et d'avancées dans l'histoire des sciences, puisqu'ils nous entraînent de la science du ciel en l'absolu newtonien, à la science du commencement et de l'évolution cosmologique en la relativité générale. La relation entre science de l'univers et spiritualité se révèle, sur la base de l'étude détaillée des deux pensées, comme une relation dynamique à double sens : de la science à la spiritualité et inversement, et une dimension cruciale de l'histoire conceptuelle, plus généralement de l'histoire de la pensée. Chez Newton et Lemaître, la recherche et les résultats scientifiques entraînent réflexion et conclusion spirituelles. Inversement, la recherche spirituelle représente une motivation de l'étude scientifique, conçue comme étude de l'ordre, de l'arrangement divin du monde. La présente thèse procure par conséquent des éléments de synthèse et de comparaison des deux pensées et permet d'asseoir plus largement, aux plans historique et philosophique, le choix du sujet. Celui-ci en ressort étayé. Mais au-delà des termes mêmes de l'histoire de la pensée, la démarche première de l'auteur a consisté à comprendre des acteurs éminents de celle-ci, comprendre, à travers leur démarche de pensée, l'être, l'esprit, par la lettre de l'histoire. Ce travail, le premier en son genre, en traitant de certains ressorts essentiels de la dynamique de l'esprit et de l'histoire de la pensée, traite des fondements de la connaissance.
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Ducourant, Sam. "Bien-être en cage : normes juridiques, disciplines scientifiques et système technique." Electronic Thesis or Diss., Université Paris sciences et lettres, 2023. http://www.theses.fr/2023UPSLE007.

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Le bien-être animal est le nom d’une tension entre production de normes et production de connaissances. En étudiant ses mobilisations dans les interactions entre science, politique et élevage industriel, cette thèse met en lumière les opérateurs concrets du dispositif de pouvoir qu’est l’exploitation des non-humain·es. Pour écrire l’histoire des cages de batterie, du début du XXe siècle aux années 1980, elle présente des archives inédites et variées, toujours aux points de contact entre la science et son monde (archives institutionnelles, rapports techniques, publications scientifiques, journaux à grands tirages, textes de lois, brevets, réglementations industrielles). Elle décrit la constitution des disciplines du bien-être animal, c’est-à-dire à la fois leur histoire, les éléments et relations qui les constituent, et les règles qui les régissent. La distinction entre production de normes, de connaissances et de marchandises est remise en question : elles fonctionnent ensemble comme opérateurs de l’exploitation des non-humain·es, et leurs points de contact sont autant de possibles contre-pouvoirs
Animal welfare is the name of a tension between the production of norms and the production of knowledge. Through the study of the interactions between science, politics and factory farming, this dissertation sheds light on the concrete operators of non-human exploitation, conceptualized as a power system (dispositif). To write the history of battery cages from the early 20th century to the 1980s, I go through a wide range of unpublished archives, hubs between science and its world (institutional archives, technical reports, scientific publications, masscirculation newspapers, legal texts, patents, industrial regulations). I describe the constitution of animal welfare disciplines, i.e. their history, the elements and relationships that make them up, and the rules that govern them. I question the distinction between norm, knowledge and commodities production : they work together as operators of animal exploitation, but could possibly act as counterweights against it
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Barbié, Olivier. "Convergences entre économie et sociologie autour du concept de réseau social." Phd thesis, Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010050.

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Le point de départ de cette thèse est le fort développement de la nouvelle sociologie économique initiée dans les années 1970 par les sociologues américains Harrison White et Mark Granovetter. Cette sociologie a d'abord été très critique vis à vis de la théorie économique en lui reprochant d'ignorer volontairement les déterminants historiques et culturels des faits économiques. Dans mon travail, j'ai proposé une ré-évaluation de la réaction des économistes par rapport à cette critique. Dans les années 1990 à 2000, la nouvelle sociologie économique a intéressé des économistes habituellement taxés d'hétérodoxes et que l'on peut rapprocher de la mouvance institutionnaliste. . Comme les sociologues, ces économistes critiques on toujours accusé l'économie orthodoxe d'être trop réductionniste. Mais je soutiens ici que la sympathie des institutionnalistes vis à vis de la nouvelle sociologie économique n'arrive pas à déboucher sur un rapprochement théorique et que, paradoxalement, les convergences théoriques les plus prometteuses entre économie et sociologie passent maintenant par une branche de l'économie plus orthodoxe, bien que récente, que l'on peut appeler l'économie des réseaux. L'économie des réseaux se définit en première approximation comme la partie de l'économie complexe qui se réfère concept de réseau social. Pour mémoire, l'économie complexe est une approche économique qui emploie des modèles souvent issus de la physique statistique pour modéliser les marchés. Ses grands noms sont Thomas Schelling, Kenneth Arrow et David Arthur.
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Delmotte, Florence. "La question de l'Etat dans la sociologie historique de Norbert Elias: enjeux épistémologiques et politiques." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2006. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210763.

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Charlotte, Pollet. "Comparaison des pratiques algebriques de la Chine et de l'Inde medievales." Phd thesis, Université Paris-Diderot - Paris VII, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00770493.

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L'objectif de ce travail est de montrer la diversité des objets que nous appelons couramment "équations", "polynôme" et "inconnues". Sous ces titres universalisant auxquels s'ajoute une langue mathématique uniformisée, se cachent des modes de raisonnements uniques, des pratiques mathématiques particulières et des objectifs stratégiques différents. Dans le but de souligner cette diversité, notre étude se concentre sur la lecture de deux traités médiévaux : le Yigu yanduan écrit par Li Ye au 13eme siècle et le Bījagaṇitavātamsa écrit par Nārāyana au 14eme siècle. Chacun des traités concerne la construction d'équation. Mon approche se fonde sur des traductions littérales et des analyses de texte empruntant des techniques de la philologie. Nous abordons les textes sous l'angle de leur structure. Il en résulte plusieurs hypothèses.
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Roux, Sophie. "Recherches sur la philosophie naturelle à l'âge classique. Vol. I, Mémoire de synthèse." Habilitation à diriger des recherches, Ecole normale supérieure de lyon - ENS LYON, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00806476.

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Je récapitule mon itinéraire intellectuel. l'identité que je défends n'est pas l'identité d'un programme ou d'une spécialisation. C'est une forme d'identité intellectuelle un peu plus risquée, qui se constitue à travers un itinéraire dont les étapes sont initialement incertaines. Contrairement au programme et à la spécialisation, l'itinéraire fait place à une contingence qui n'était pas anticipée et il autorise une diversité d'interventions. Faire le récit d'un itinéraire rend cependant rétrospectivement sa cohérence manifeste. Il y a bien des rencontres, mais tout ne se fait pas au petit bonheur la chance : certains sentiers se barrent pour avoir été parcourus, et, même lorsqu'on peut revenir en arrière, ce ne sont plus exactement sur les mêmes lieux, car d'autres chemins ont été empruntés entretemps. Il y a bien diversité dans les interventions, mais, d'une intervention à l'autre, des thèmes sont repris et des questions méthodologiques sont approfondies, de sorte qu'on se retrouve effectivement avoir accompli un voyage. Ainsi, ce mémoire de synthèse commence-t-il comme un récit. Dans " Les années d'apprentissage ", je retrace le parcours qui m'a menée d'un mémoire de maîtrise aux premiers articles conséquents que j'ai publiés après ma thèse. Il s'agit à la fois d'exposer les origines de mon intérêt pour l'histoire de la philosophie naturelle à l'âge classique et de présenter les questions de méthode qui ont mis en branle mes recherches. C'est cependant la seule partie où je me conforme à peu près à un récit chronologique ; pour des raisons de simplicité discursive, les trois parties suivantes ont été ordonnées thématiquement. Dans chacune de ces trois parties, " Réception de la physique cartésienne ", " Mécaniques à l'âge classique " et " Recherches en épistémologie ", avant de présenter les travaux particuliers que j'ai effectivement menés à bien, je commence par expliciter ce qui fut, sinon le programme auquel ils furent subordonnés, du moins l'horizon dans lequel ils s'inscrivirent ou bien, dans le cas de la troisième, l'intention générale qui l'anima.
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Montanaro, Mara. "Françoise Collin : La révolution permanente d'une pensée discontinue." Phd thesis, Université René Descartes - Paris V, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00974109.

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Résumé Thèse Mara Montanaro. Université Paris Descartes- Université du Salento. Direction de Madame Michela Marzano et Madame Marisa Forcina Françoise Collin. La révolution permanente d'une pensée discontinue (1928-2012) Françoise Collin était écrivaine, féministe, philosophe qui connue surtout dans le monde francophone, n'en a pas moins exercé une influence certaine dans les pays méditerranéens -telle bien sûr l'Italie - mais aussi dans les pays anglophones, ainsi qu'en attestent les hommages qui lui ont été rendus dans Radical Philosophy et Signs. Dans ma thèse, la première sur Françoise Collin, je me suis employée à reconstruire, problématiser et interpréter ses écrits, ses essais, ses articles (qui, pour la plupart ne sont pas traduits en italien) en ayant comme fil rouge le concept de praxis dans l'écriture, dans l'engagement féministe et dans la philosophie. J'ai entrepris de montrer qu'il y a une cohérence dans la discontinuité, une cohérence structurelle. Dans le premier chapitre j'ai analysé comment née à l'écriture par la poésie - ses premiers poèmes ont été publiés dans les années 1960 dans la revue Ecrire, dirigée par Jean Cayrol - elle a écrit ses premiers romans Le Jour fabuleux (1961) et Rose qui peut (1962) au Seuil, pour se consacrer ensuite à la philosophie et publier, chez Gallimard, une étude de l'oeuvre de Maurice Blanchot, Maurice Blanchot et la question de l'écriture, quand Blanchot n'était encore connu que dans un cercle restreint. Ce premier essai consacré à Blanchot en France reste aujourd'hui encore une des monographies de référence sur ce grand auteur du siècle précédent. J'ai donc, dans mon premier chapitre, exploré son rapport à l'écriture comme mouvement perpétuel, les concepts de négation, négativité et négatif, le rapport entre littérature et philosophie. Il y a aussi une digression avec l'oeuvre de Maurice Merleau-Ponty (les concepts de corps en langage), enfin j'ai vu la comparaison que Françoise Collin a fait entre l' "entretien infini" chez Blanchot et "le dialogue pluriel" chez Arendt. Dans le deuxième chapitre j'ai reconstruit la chronologie et la généalogie de son engagement féministe. En 1973, de retour d'un voyage à New York, elle crée et anime la première revue féministe en langue française, Les Cahiers du Grif (Groupe de recherche et d' information féministes). Le premier numéro des Cahiers du Grif paraît en octobre 1973. La revue assume très tôt une dimension internationale dans le monde francophone. J'ai aussi analyse la polysémie des leitmotiv du féminisme : mon corps à moi, le privé est politique, un enfant si je veux quand je veux, le rapport entre insurrection et institution, fondamentale pour comprendre le cheminement de Françoise Collin, je retrace aussi la figure de Simone De Beauvoir telle qu'elle émerge dans les articles de Collin. Enfin j'ai problématisé, interrogé les théories féministes et j'ai reconstruit brièvement l'historie du mouvement féministe en Belgique et en France (MLF). Le troisième chapitre de ma thèse porte sur le rapport intellectuel que Françoise Collin a développé avec l'oeuvre de Hannah Arendt. Dans les années 1980, Françoise Collin a introduit sur la scène philosophique française la lecture de gauche de Hannah Arendt en co-organisant au Collège international de philosophie, le colloque international Ontologie et Politique. En 1999 elle écrit L'homme est-il devenu superflu ? Hannah Arendt. (Odile Jacob). Dans le remarquable entretien qu'elle eut avec Florence Rochefort et Danielle Haase-Dubosc en 2001, elle dit : L'articulation complexe entre poétique et politique est même peut-être le support permanent de ma réflexion. S'il y a tension entre ces deux dimensions de l'expérience humaine, il y a aussi rapport dans la mesure où il ne peut y avoir bouleversement politique (dans les rapports de sexe) sans bouleversement symbolique, lequel n'est pas réductible à la ponctualité de lois ou de mesures sociales. Le changement se cherche mais n'obéit pas au commandement. C'est dans ma réflexion sur l'écriture que j'ai appris ce que je continue à nommer "aller en direction de l'inconnu ". On a voulu donc retracer son itinéraire, un parcours atypique et original, entre écriture et politique, littérature et philosophie, engagement féministe et art. Dans l'oeuvre de Françoise Collin l'idée de praxis introduit et soutient la cohérence incohérente d'un itinéraire de plus de quarante ans de réflexion et d'écriture. C'est une idée qui jette une nouvelle lumière sur les dimensions qui semblent disparates d'un parcours, soit dans ses moments singuliers soit dans ses moments collectifs. Collin, en effet, a forgé le concept de praxis de la différence et à articulé cette idée à celle de différend des sexes dans la mesure où la différence des sexes est un agir, une praxis sans représentation préalable, un acte qui se rejoue en chaque conjointure. On se trouve face à un agir, un faire être sans représentation de sa fin et sans postulat d'une quelconque totalité potentielle. C'est, en effet, dans le sens arendtien que Collin lit la praxis, l'agir, opposé à la fabrication, au poéisis. C'est aussi important de souligner que Collin a voulu que Arendt, une femme dont le pensée a été pour elle cruciale, soit reconnue comme source et ressource de pensée tout court. Le terme le plus apte à décrire le parcours de Collin entre écriture, féminisme et philosophie est peut-être "cheminement", un cheminement en même temps fait de continuité et de déplacements et ouvert à un certain polymorphisme. Comme écrit Rosi Braidotti : Françoise l'inachevée, non pas par manque, mais par excès de talent et d'intensité, car l'écriture, elle, est infinie et à jamais. Elle aura peut-être la dernière d'une génération des femmes, féministes, qui ont effacé les lignes de démarcation entre philosophie, l'écriture littéraire, les arts et la politique, les entraînant tous dans un tourbillon créatif qui dépasse et déplace tous bornes .
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Flipo, Fabrice. "En quoi la crise environnementale contribue-telle à renouveler la question de la justice ? Le cas du changement climatique." Phd thesis, Université de Technologie de Compiègne, 2002. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00957797.

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Savoir qui peut émettre quelle quantité de gaz à effet de serre engage la question de la justice internationale et la justice vis-à-vis des générations futures. La justice est à la fois la cause et la solution du conflit. Pour apporter des éléments de réponse, cette thèse procède en trois parties. La première vise à établir comment le problème a été construit, et dans quel contexte il se pose. Elle montre que l'industrialisme, paradigme né au XIXe siècle en Occident et qui se généralise à la fin du XXe siècle, rencontre deux objections à son déploiement : la croissance des inégalités, et la dégradation de l'environnement. Ces objections sont lourdes de conséquences. La seconde examine d'une manière critique les trois théories de la justice actuellement disponibles : l'anarchie des Etats, l'éthique du droit naturel et le cosmopolitisme néolibéral. Elle constate que le volet relatif à la nature est faible voire inexistant, tandis que la dimension internationale est partielle. La troisième partie vise à jeter les bases d'une théorie capable de surmonter les principales difficultés rencontrées précédemment. Après avoir reconstruit le concept de nature, nous abordons l'éthique de la nature et la question du développement. Constatant qu'une théorie de la justice ne peut pas être achevée dans aucune théorie, nous achevons l'analyse en l'ouvrant sur le débat politique. Cette thèse veut montrer que la crise environnementale a sa source dans deux types de justice qui ont été négligés : la justice vis-à-vis du lointain, spatialement et temporellement (nations, générations futures), et la justice vis-à-vis des êtres vivants non humains. La crise environnementale contribue à renouveler la question de la justice en reposant la question de la définition de la liberté dans quatre dimensions : l'étendue et le contenu des libertés, la définition et la qualification des identités porteuses de ces libertés, l'identification et la construction des institutions techniques et culturelles susceptibles de réaliser ces libertés, et enfin l'identification des éléments et régulations naturels dont l'intégrité ne doit pas être menacée par l'exercice de ces libertés.
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Mazaleigue-Labaste, Julie. "" Histoire de la perversion sexuelle. Émergence et transformations du concept de perversion sexuelle dans la psychiatrie de 1797 à 1912 "." Phd thesis, Université de Picardie Jules Verne, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00780176.

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Si l'histoire des sexualités marginales est bien abordée du point de vue de l'histoire culturelle depuis les années 1970, peu de travaux philosophiques s'attachent aujourd'hui à fournir une élucidation épistémologique critique du concept de perversion sexuelle. Ce dernier est pourtant un objet tout à fait étrange. C'est une catégorie médico-psychologique présente depuis plus d'un siècle et demi dans l'univers psychopathologique. Elle présente cependant des aspects indéniablement moraux, dont il semble que la simple présence aurait du la disqualifier depuis longtemps aux yeux des savoirs de l'esprit malade. Comment rendre compte de la stabilité historique et épistémologique d'un concept au sein duquel convergent deux dimensions en apparence contradictoires ? Cette thèse se propose d'explorer cette articulation du discours moral et du discours psychopathologique sur la sexualité, à travers la généalogie du concept de perversion sexuelle dans la psychiatrie française durant le long XIXème siècle (1797-1912). Deux questions traversent l'histoire de cette catégorie : quelle est la relation de la perversion sexuelle avec les écarts individuels aux normes morales, sociales, et juridiques, c'est à dire à la déviance ? Et quelles sont les images de la relation du sexe et du mal produites par le discours psychopathologique ? Ces deux problématiques engagent alors un questionnement plus large sur la fonction et les effets politiques du concept de perversion sexuelle, interrogation relative à la gestion sécuritaire des écarts sociaux, mais aussi à la place de la jouissance dans la civilisation occidentale contemporaine.
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Pigeard-Micault, Natalie. "Charles Adolphe Wurtz, doyen de l'École de médecine de Paris (1866-1875)." Phd thesis, Université de Nanterre - Paris X, 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00910297.

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Le chimiste Charles Adolphe Wurtz (1817-1884) réputé pour ses travaux en chimie, pour l'école de recherche qu'il a fondée à Paris, et pour ses engagements en faveur de l'atomisme est déjà bien étudié. Cette thèse présente un aspect moins connu de sa carrière : Wurtz, doyen de l'Ecole de médecine de Paris de 1866 à 1875, confronté à de lourdes responsabilités administratives, dans une période de débats doctrinaux et surtout de troubles politiques. Cette étude délibérément centrée sur un champ et une période bien cernés vise à ouvrir une fenêtre sur l'histoire de l'Ecole de médecine de Paris tout comme à analyser le comportement social et politique d'un savant dans la France du XIXe siècle. On analyse les positions de ce chimiste face aux évènements auxquels il est confronté. Le débat sur les doctrines médicales qui oppose des partisans du clergé à des professeurs soupçonnés de matérialisme ouvre la période de son décanat. Les manifestations des étudiants dévoilent une certaine conception de l'éducation de la part du doyen. Le projet de loi sur la liberté de l'enseignement supérieur provoque une préoccupation constante. La question de l'admission des femmes au doctorat de médecine montre un Wurtz déterminé. Ainsi, on caractérise le style de direction de Wurtz à la tête de l'Ecole de médecine aussi bien durant la période agitée du Siège de Paris et de la Commune, que dans les efforts répétés pour améliorer les conditions matérielles de l'enseignement médical. En focalisant l'étude sur cet épisode de la carrière de Wurtz, on s'interroge sur l'articulation entre l'ethos du chimiste alsacien, protestant, atomiste convaincu et sa conduite à la tête d'un établissement d'enseignement médical.
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Robette, Nicolas. "De l'espace de vie à l'espace d'une vie : décrire les espaces de vie individuels." Phd thesis, Université Panthéon-Sorbonne - Paris I, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00360203.

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Un large courant de recherche en sciences sociales vise à l'identification de catégories d'analyse intermédiaires, entre individu et population, parmi lesquelles figure la notion d'espace de vie. Cette notion est initialement proposée en géographie, puis des démographes, le plus souvent intéressés par les migrations, s'en emparent : l'individu n'est plus rattaché uniquement à son lieu de résidence mais à l'ensemble des lieux avec lesquels il est en rapport.
La mise en œuvre empirique de la description d'espaces de vie en démographie nécessite deux étapes préalables : délimiter les contours de l'espace de vie étudié, selon les différentes dimensions qui le caractérisent, et trouver les corpus de données spécifiques nécessaires.
Plusieurs types d'espaces de vie sont ainsi explorés et des indicateurs à même de les synthétiser dans une approche quantitative sont proposés. Ces espaces sont tout d'abord définis à un moment donné. Néanmoins, l'espace et le temps se combinent. D'une part, les lieux qui constituent les espaces de vie changent. D'autre part, les espaces de vie évoluent au fil de la trajectoire des individus. La complexité de la succession de ces transformations amène à envisager des trajectoires, de manière globale, qui forment ce que l'on peut appeler l'espace de toute une vie. Leur analyse nécessite de recourir à des méthodes adaptées : des approches novatrices de construction de typologies de trajectoires.
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Baillot, Anne. "Genèse et réception de la pensée esthétique de K.W.F. Solger entre 1800 et 1830." Phd thesis, Université Paris VIII Vincennes-Saint Denis, 2002. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00783069.

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La pensée esthétique de K.W.F. Solger (1780-1819) constitue un axe essentiel de ses réflexions philosophiques et philologiques, et marque chacune des étapes de son évolution intellectuelle. Ce travail en éclaire la genèse et la réception à partir de ses manuscrits et de leurs premières éditions posthumes. Sont d'abord présentées les sources dont nous disposons (imprimées et manuscrites), ainsi que les rpaports entre ces différents textes, et les concepts forts de la pensée esthétique de Solger (symbole, tragique et ironie). Une analyse historique permet ensuite de dégager les grandes lignes de la biographie intellectuelle de Solger, et plus spécifiquement son rôle au sein de l'université de Berlin entre 1811 et 1819. Un travail sur les différents états de textes montre pour finir les enjeux littéraires d'une oeuvre laissée inachevée par son auteur et largement remanièe par ses éditeurs posthumes. L'ensemble de cette recherche s'appuie plus spécifiquement sur la correspondance de Solger, et s'attache à retracer les relations de l'un des protagonistes du Berlin romantique et idéaliste avec ses contemporains.
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Maronne, Sebastien. "La théorie des courbes et des équations dans la Géométrie cartésienne : 1637-1661. [version corrigée]." Phd thesis, Université Paris-Diderot - Paris VII, 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00203094.

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Dans cette thèse, nous étudions trois thèmes qui nous sont apparus centraux dans la Géométrie cartésienne : le problème de Pappus, le problème des tangentes et des normales, et un problème de gnomonique connu sous le nom de Problema Astronomicum. Par " Géométrie cartésienne ", nous entendons le corpus formé non seulement par la Géométrie, publiée en 1637, mais également par la Correspondance cartésienne et les deux éditions latines placées sous la direction de Frans van Schooten, publiées respectivement en 1649 et 1659-1661. Nous étudions la genèse de la théorie des courbes géométriques définies par des équations algébriques en particulier à travers les controverses qui apparaissent dans la correspondance cartésienne : la controverse avec Roberval sur le problème de Pappus, la controverse avec Fermat sur les tangentes, et la controverse avec Stampioen sur le Problema astronomicum. Nous souhaitons ainsi montrer que la Géométrie de la Correspondance constitue un moyen terme entre la Géométrie de 1637 et les éditions latines de 1649 et 1659-1661, mettant en lumière les enjeux et les difficultés du processus de création de la courbe algébrique comme objet. D'autre part, nous examinons la méthode des tangentes de Fermat et la méthode des normales de Descartes, en les rapportant à une matrice commune formée par le traité des Coniques d'Apollonius, plus précisément, le Livre I et le Livre V consacré à une à théorie des droites minimales.
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Maronne, Sebastien. "La théorie des courbes et des équations dans la Géométrie cartésienne : 1637-1661. [version déposée]." Phd thesis, Université Paris-Diderot - Paris VII, 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00204125.

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Dans cette thèse, nous étudions trois thèmes qui nous sont apparus centraux dans la Géométrie cartésienne : le problème de Pappus, le problème des tangentes et des normales, et un problème de gnomonique connu sous le nom de Problema Astronomicum. Par " Géométrie cartésienne ", nous entendons le corpus formé non seulement par la Géométrie, publiée en 1637, mais également par la Correspondance cartésienne et les deux éditions latines placées sous la direction de Frans van Schooten, publiées respectivement en 1649 et 1659-1661. Nous étudions la genèse de la théorie des courbes géométriques définies par des équations algébriques en particulier à travers les controverses qui apparaissent dans la correspondance cartésienne : la controverse avec Roberval sur le problème de Pappus, la controverse avec Fermat sur les tangentes, et la controverse avec Stampioen sur le Problema astronomicum. Nous souhaitons ainsi montrer que la Géométrie de la Correspondance constitue un moyen terme entre la Géométrie de 1637 et les éditions latines de 1649 et 1659-1661, mettant en lumière les enjeux et les difficultés du processus de création de la courbe algébrique comme objet. D'autre part, nous examinons la méthode des tangentes de Fermat et la méthode des normales de Descartes, en les rapportant à une matrice commune formée par le traité des Coniques d'Apollonius, plus précisément, le Livre I et le Livre V consacré à une à théorie des droites minimales.
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Doron, Claude-Olivier. "Races et dégénérescence : l'émergence des savoirs sur l'homme anormal." Phd thesis, Université Paris-Diderot - Paris VII, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00876157.

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Cette thèse fait l'histoire conjointe des notions de " race " et de " dégénération/ dégénérescence " entre le XVIIe et le XIXe siècle. Elle envisage cette histoire tant du point de vue d'une épistémologie historique - " comment race et dégénérescence sont devenues les concepts de savoirs divers " (histoire naturelle, anthropologie, psychiatrie) - et d'une histoire des pratiques de gouvernement - " comment race et dégénérescence sont devenues des problèmes de gouvernement ". En prenant au sérieux la liaison entre ces deux notions, on vise à rendre compte de la formation, au XIXe siècle, d'un champ de savoirs qui se donnent pour objet ce que nous appelons " l'homme anormal ", c'est-à-dire cette figure bien particulière en laquelle la folie, la criminalité et les races " inférieures " viennent communiquer comme autant de déviations de la norme humaine, à la lisière du normal et du pathologique. Notre thèse décrit les catégories fondamentales qui organisent ce champ de savoirs. Plus profondément, il s'agit ainsi de montrer comment, loin d'être exclusif d'un discours universaliste et humaniste, loin d'être systématiquement corrélé à un dispositif d'exclusion, le discours de la race et de la dégénérescence est intimement lié à un humanisme théorique et pratique, ainsi qu'à des pratiques d'inclusion qui se focalisent non sur la race, la folie et le crime comme altérités radicales, mais comme des altérations qu'il convient de régénérer, de corriger et de perfectionner par des dispositifs de pouvoir particuliers. Ce sont les ambiguïtés et les apories qui logent au cœur de cette volonté d'inclusion et dans cette analyse de réalités hétérogènes en termes d'altérations d'une norme que nous étudions à travers ce parcours historique. Nous démontrons en particulier le lien profond qui existe entre l'entrée de la notion de " race " dans le champ naturaliste et une position monogéniste ; et d'autre part, qu'on ne saurait comprendre l'entrée de la même notion dans le champ politique et - plus généralement - le développement de tout un ensemble de savoirs sur l'homme anormal, sans les resituer dans la logique du libéralisme politique du début du XIXe siècle.
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Doron, Claude-Olivier. "Races et dégénérescence : l'émergence des savoirs sur l'homme anormal." Phd thesis, Paris 7, 2011. https://theses.hal.science/tel-00876157.

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Cette thèse fait l'histoire conjointe des notions de « race » et de « dégénération/ dégénérescence » entre le XVIIe et le XIXe siècle. Elle envisage cette histoire tant du point de vue d'une épistémologie historique -« comment race et dégénérescence sont devenues les concepts de savoirs divers » (histoire naturelle, anthropologie, psychiatrie) - et d'une histoire des pratiques de gouvernement - « comment race et dégénérescence sont devenues des problèmes de gouvernement ». En prenant au sérieux la liaison entre ces deux notions, on vise à rendre compte de la formation, au XIXe siècle, d'un champ de savoirs qui se donner pour objet ce que nous appelons « l'homme anormal », c'est-à-dire cette figure bien particulière en laquelle folie, la criminalité et les races « inférieures » viennent communiquer comme autant de déviations de la non humaine, à la lisière du normal et du pathologique. Notre thèse décrit les catégories fondamentales qui organisent ce champ de savoirs. Plus profondément, il s'agit ainsi de montrer comment, loin d'être exclusif d'un discours universaliste et humaniste, loin d'être systématiquement corrélé à un dispositif d'exclusion, le discours de la race et de la dégénérescence est intimement lié à un humanisme théorique et pratique, ainsi qu’à des pratiques d'inclusion qui se focalisent non sur la race, la folie et le crime comme altérités radicales, mai comme des altérations qu'il convient de régénérer, de corriger et de perfectionner par des dispositifs de pouvoir particuliers. Ce sont les ambiguïtés et les apories qui logent au cœur de cette volonté d'inclusion et dans cette analyse de réalités hétérogènes en termes d'altérations d'une norme que nous étudions à travers c parcours historique. Nous démontrons en particulier le lien profond qui existe entre l'entrée de la notion de « race » dans le champ naturaliste et une position monogéniste ; et d'autre part, qu'on ne saurait comprendre l'entrée de la même notion dans le champ politique et - plus généralement - le développement de tout un ensemble de savoirs sur l'homme anormal, sans les resituer dans la logique du libéralisme politique du début du XIXe siècle
This Ph-D thesis develops the twofold history of the notions of "race" and "degeneration" between the XVIIth and the XIXth century. This history is studied from two points of view: historical epistemology that is "how race and degeneration became the concepts of various knowledges (natural history, anthropology, psychiatry)"; and history of government practices, that is "how race and degeneration became problems government". Focusing on the historical link between these notions gives us the possibility to analyze the emergence, in the XIXth century, of a field of knowledge that dealt with what we call the "abnormal mar that is this very specific entity which agglomerates madness, criminality and "inferior" races as deviations human normality, in an ambiguous space between the normal and the pathological. Our thesis describes the various categories that organise this field of knowledge. More deeply, we want to argue that the notions race and degeneration, far from being external to humanism and universalism, far from being systematical correlated to practices of exclusion, are intimately connected to a practical and theoretical humanism and practices of inclusion, that deal with race, madness and crime as alterations of a norm one has to regenerate correct and improve through specific apparatus of power. Through this historical lens, we want to study ; the ambiguities and aporias that lurk in the very heart of this will of inclusion and this analysis heterogeneous realities as alterations of a norm. We show in particular how we can establish a very stronglink between the insertion of the concept of "race" into natural history and monogenism; and, on the other side, how it is important to study the insertion of "race" into the political field and, more broadly, the emergence of the knowledge of the abnormal, to take into consideration its logical links with political liberalism in the beginning of XIXth century
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Llored, Jean-Pierre. "Chimie, chimie quantique et concept d'émergence : étude d'une mise en relation." Phd thesis, Ecole Polytechnique X, 2013. http://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00922954.

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Cette thèse prend pour point de départ l'exploration de quelques pratiques chimiques contemporaines en vue d'identifier certains réquisits que devrait satisfaire un concept d'émergence pour être mis en relation avec la chimie. Cette épistémologie distribuée prend appui sur l'histoire de la chimie. Dans cette perspective seront mis en évidence : la dépendance mutuelle des niveaux d'organisation ainsi que celle des relations et des relata, et le rôle constitutif des modes d'intervention dans la définition, toujours ouverte et provisoire, de ce à quoi les chimistes disent avoir affaire. Un détour par l'histoire de la philosophie est alors envisagé pour étudier comment les émergentistes britanniques ont mis en relation la chimie avec l'émergence. L'étude attentive de ces textes est l'occasion d'une mise au banc d'essai de mon étude préliminaire. Nous revenons ensuite aux définitions formelles de l'émergence, et en particulier aux analyses de Kim, en montrant que la clause ceteris paribus sur laquelle elles s'appuient prend un autre sens en métrologie chimique. Cette étude nous permet d'insister sur le rôle et l'importance de deux types de méréologie pour penser l'émergence d'un point de vue formel en tenant compte de la spécificité du travail des chimistes. La thèse envisage enfin de prolonger son enquête en explorant les travaux en chimie quantique et la façon très particulière avec laquelle ils entre-définissent un tout, ses parties et le milieu qui leur est associé. Une mise en relation est alors tentée et ouvre plusieurs pistes : une approche ontologique et pragmatique adaptant à la chimie le concept d'habitude de Peirce repris par Claudine Tiercelin ou celui d' " affordance " proposé par Rom Harré ; une approche pragmatique et transcendantale inspirée des travaux menés par Michel Bitbol en philosophie de la physique quantique ; et, enfin, une approche qui prend en charge les conséquences des transformations chimiques sur les humains et les non-humains, en réintégrant les conditions pragmatiques, socio-politiques, institutionnelles et technologiques de la chimie dans le débat à propos de l'émergence.
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Raynaud, Philippe. "Comprehension et politique dans l'oeuvre de max weber." Reims, 1987. http://www.theses.fr/1987REIMD001.

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Le but de ce travail est, a partir d'une reconstruction systematique de la pensee de max weber, d'analyser la situation creee par le developpement des sciences sociales, a travers l'etude des rapports entre philosophie politique et sciences sociales et de la transformation des principes de legitimite herites de la philosophie moderne (democratique et liberale). L'introduction montre d'abord comment, des les origines de la politique moderne, apparait une opposition entre deux conceptions de la theorie politique qui sousentend, aujourd'hui encore, les discussions contemporaines (la "technologie politique" de hobbes, l'hermeneutique historique de vico), pour determiner la place de max weber dans l'histoire de la pensee politique. La premiere partie reconstitue l'arriere-plan philosophique de la sociologie de max weber, en montrant la portee anti-speculative de son epistemologie, qui s'inscrit dans la tradition criticiste et en analysant la place de son oeuvre dans la tradition des "sciences de l'esprit". La deuxieme partie est consacree a la problematique weberienne de la rationalisation. On propose d'abord une reconstruction de l'architecture systematique de la theorie de weber, a travers la discussion de certaines grandes interpretations (r. Aron, j. Habermas, a. Schutz) et une analyse de sa pensee politique, consideree comme une dialectique de la raison moderne; on analyse ensuite les limites de la pensee de weber et les conflits qui divisent sa posterite (g. Lukacs, c. Schmitt). La conclusion montre la coherence de l'oeuvre de max weber, et sa valeur fondatrice pour la pensee politique contemporaine, qui tient au fait qu'elle articule la sociologie de la domination sur l'analyse de la legitimite
The purpose of this work, starting from a systematic reconstruction max weber's thought, is to analyse the situation created by the development of social sciences, through the study of the relationships between political philosophy and social sciences, and of the transformation of the principles of legitimacy inherited from democratic and liberal modern philosophy. The introduction shows how, since the origins of modern politics, appears an opposition between two conceptions of political theory (the "political technology" of hobbes and the "historical hermeneutics" of vico), which sutbends, still today, the contemporary discussion, in order to define the specific place of max weber in the history of modern political thought. The first part reconstitutes the philosophical background of max weber's sociology, by showing the anti-speculative implications of his epistemology, which belongs to the kantian tradition, and by analysing the place of his work within the tradition of the human sciences ("geistes-wissenschaften"). The second part treats the weberian problematic of rationalisation. First, is proposed a reconstruction of the systematic architectonic of weber's theory, through a critical examination of some great interpretations (r. Aron, j. Habermas, a. Schutz) and then, an analysis of his political thought, considered as a dialectical wiew of the modern reason. Are analysed afterwards the limits of weber's thought and the conflicts which are dividing his posterity. The conclusion shows the coherence of max weber's work, and its fondamental value for the contemporary political thought, which comes from the fact that it articulates the sociology of domination and the analysis of legitimacy
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Calberac, Yann. "Terrains de géographes, géographes de terrain. Communauté et imaginaire disciplinaires au miroir des pratiques de terrain des géographes français du XXe siècle." Phd thesis, Université Lumière - Lyon II, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00551481.

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Cette thèse interroge les représentations que les géographes français du XXe siècle se font de leurs activités de recherche en explorant les multiples significations que recouvre pour eux le terrain, et notamment la place qu'il occupe dans les dispositifs heuristiques et dans l'imaginaire disciplinaire. Cette recherche entend appliquer à l'histoire de la géographie les approches et les méthodes de la sociologie des sciences. Tout au long de la période, le terrain constitue un ordre du discours dominant qui structure durablement les représentations et les pratiques : face aux lectures inspirées par la théorie des révolutions scientifiques, cette thèse met au contraire en lumière la stabilité des discours. La " crise de la géographie " qui désigne la période de doutes que traverse la discipline durant les années 1960 et 1970 apparaît alors davantage comme une mutation des discours et non comme un changement radical des pratiques. Ce changement de focale sur l'histoire de la discipline oblige donc à repenser les cadres avec lesquels l'écrire : le terrain - envisagé comme un " objet scientifique total " - constitue alors une entrée pertinente pour appréhender la géographie dans son ensemble, c'est-à-dire à la fois ses contenus, ses méthodes, ses finalités et ses acteurs.
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Morin, Olivier. "La transmission culturelle : questions philosophiques et méthodes quantitatives dans l'étude des traditions." Paris, EHESS, 2010. http://www.theses.fr/2010EHES0057.

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Pourquoi existe-t-il des traditions — des pratiques et des idées qui se diffusent loin dans le temps ou dans l'espace en se transmettant d'un individu à d'autres ? Les approches cognitives de la culture cherchent d'abord la réponse dans les mécanismes qui assurent sa transmission - enseignement, imitation, mémorisation. Ce travail explore une autre possibilité : la diffusion d'une tradition ne dépend pas de la fidélité de sa transmission ou de sa rétention, mais avant tout de la quantité d'épisodes de transmission qu'elle suscite. Pour arriver a cette conclusion, la thèse combine des questions venues de la philosophie des sciences sociales avec des éléments de réponse empruntés à diverses méthodes quantitatives : la méthode expérimentale en psychologie, la modélisation mathématique, et l'histoire culturelle quantitative. Selon elle, le principal mécanisme de transmission utilisé dans notre espèce n'est pas l'enseignement ni l'imitation, mais la communication. Celle-ci repose sur la faculté, sans doute proprement humaine, qui nous permet de comprendre et de manifester des intentions récursives. Elle n'est pas particulierement fidèle. Comment une tradition peut-elle être Iargement diffusée sans étre fidèlement transmise ? Une théorie est présentée, qui explique dans quelles conditions une grande quantité d'épisodes de transmission peut pallier la faible qualité des mécanismes de transmission mis en oeuvre. Nous l'avons utilisée, par exemple, pour concevoir un modèle quantitatif permettant d'expliquer la conservation des traditions qui se transmettent à l'intérieur des groupes d'enfants
Why are there traditions - ideas and practices whose diffusion reaches far and wide in time or space, by way of transmission from one individual to others ? Cognitive approaches of culture have focused above all on the mechanisms that ensure accurate transmission - like teaching, imitation or memorisation. This work explores another possibility : a tradition's diffusion does not depend on the faithfulness with which it is transmitted or retained. Its chief cause is the quantity of transmission episodes that a given tradition is able to provoke. In order to reach this conclusion, the dissertation combines questions coming from the philosophy of social sciences with a range of quantitative methods : the experimental method as used by psychologists, mathematical modelling, and quantitative cultural history. One of its conclusions is that the main mechanism of cultural transmission used in our species is not imitation, nor teaching, but communication. Communication rests on our (possibly unique) ability to understand recursive intentions and make them manifest. It is not particularly faithful. How can a tradition be widely diffused when its transmission lacks fidelity? A theory is presented, that specities in which conditions a great quantity of transmission episodes may compensate the poor quality of the transmission mechanisms used at each step. We have used it, for example, to propose a quantitative model that explains the conservation of traditions in children's peer cultures
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Heintz, Christophe. "Cognition scientifique et évolution culturelle : outils théoriques pour incorporer les études cognitives aux études sociales de la science." Phd thesis, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00145899.

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Cette thèse préconise d'utiliser des outils théoriques de l'anthropologie cognitive pour l'étude scientifique de la science. Ces outils sont l'´epidémiologie des représentations, développée par Dan Sperber, et l'étude de la cognition distribuée, telle qu'elle à été développée par Ed Hutchins. Ces deux théories, qui sont par ailleurs étroitement liées, ont pour apport essentiel de permettre d'intégrer les études cognitives et sociales de la science. Deux études d'histoire des mathématiques illustrent le potentiel explicatif de ces théories : le développement du calcul infinitésimal en France au début du 18ème siècle, et l'avènement des ordinateurs dans la pratique des mathématiques, marqué par la preuve du théorème des quatre couleurs.
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Quet, Mathieu. "Politiques du savoir : une approche communicationnelle des rapports entre sciences, technologies et participation en France (1968-1983)." Phd thesis, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00808650.

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Le champ scientifique n'a pas été épargné par les contestations sociales de l'après 1968. Au cours des années 1970, il fait l'objet de débats intenses et se trouve sous le feu de critiques en provenance de milieux divers. Militants, universitaires, ou encore journalistes et administrateurs de politique de recherche s'interrogent sur les voies d'un développement scientifique et technologique plus démocratique. Dans ce contexte, de nouvelles manières de dire la science et de régler ses rapports avec le politique apparaissent. Un régime de discours émerge, réclamant la participation du public aux choix scientifiques et technologiques. L'analyse de cette émergence est l'objet de ce travail. L'apparition d'une exigence de participation aux sciences et aux techniques est décrite, à travers l'étude de trois pôles de réflexion particulièrement attentifs à la question de la participation : le courant d'autocritique des sciences, la division des politiques scientifiques de l'OCDE et la nouvelle sociologie des sciences. L'approche privilégiée est généalogique et centrée sur les discours. Elle permet d'observer à la fois la diversité des conceptions de la participation en jeu à cette époque, et la façon dont elles s'articulent pour donner lieu à une définition commune. De plus, elle invite à reconsidérer les enjeux de la participation à l'aune de son inscription historique. L'exigence participative formulée au cours des années 1970 joue un rôle dans la généalogie de la participation contemporaine, mais ne s'y réduit pas. Elle couvre un champ de significations variées qu'il importe de mieux caractériser. Ceci conduit à prendre la mesure des autres interprétations, mais aussi des autres " modes de gouvernementalité " auxquels correspond la participation. Une attention spécifique est portée au modèle de la politique expérimentale. Le premier chapitre, sur les modes de désignation du pouvoir, fonde la démarche théorique et méthodologique adoptée, et indique la perspective d'une approche communicationnelle. Puis, après un état des lieux des discours sur " science et politique " au tournant des années 1970 (chapitre 2), l'analyse porte successivement sur trois définitions émergentes de la participation, données par la critique des sciences, l'OCDE et le domaine STS (chapitres 3, 4, 5). Le chapitre 6 analyse les opérations de circulation par lesquelles ces définitions se rencontrent et forment un régime de discours nouveau. Ce régime de discours, en reconfigurant les représentations de la science et de la politique, impose des modes de gouvernement. L'un d'eux fait l'objet d'une analyse plus développée et sera caractérisé par l'expression de " politique expérimentale ".
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Pouvreau, David. "Une histoire de la "systémologie générale" de Ludwig von Bertalanffy - Généalogie, genèse, actualisation et postérité d'un projet herméneutique." Phd thesis, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00804157.

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Le projet d'une " théorie générale des systèmes " fut avancé à partir de 1937 par le philosophe et biologiste autrichien Ludwig von Bertalanffy (1901-1972). Une histoire en est entreprise dans la présente thèse, décrivant cette " théorie " comme une science générale de l'interprétation systémique du " réel ", ou " systémologie générale ". L'enquête généalogique ici menée révèle les origines des valeurs et de schèmes conceptuels qui structurèrent le projet bertalanffien, ainsi que la problématique initiale dont il fut issu. Les dynamiques intellectuelles ayant présidé à sa genèse sont ensuite considérées : l'attention est focalisée sur la théorie " perspectiviste " de la connaissance de von Bertalanffy, sur les conséquences qui en découlèrent pour sa philosophie des sciences et son concept de système, et sur ses multiples contributions à la biologie théorique (en particulier à la biologie mathématique). Les premières publications sur la " systémologie générale " sont analysées, et il est rendu compte de la rapide transformation de celle-ci en un projet collectif au milieu des années 1950. Il suscita la création aux États-Unis de la Society for General Systems Research, où convergèrent les diverses composantes d'un " mouvement systémique ". Sont mises en évidence les difficultés des promoteurs de la " systémologie générale " à trouver les voies de son actualisation dans cette société scientifique. Mais il est aussi montré que ce projet a jusqu'aux années 1970 bénéficié de contributions significatives. Un cadre systématique est proposé, qui établit leur complémentarité et leur unité tout en clarifiant la structure et les fonctions de ce qui est nommé ici l'" herméneutique systémologique ".
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Tinel, Bruno. "ORIGINES ET FONCTIONS DE LA HIERARCHIE : TRENTE ANS DE DEBATS, 1968 - 1998." Phd thesis, Université Lumière - Lyon II, 2000. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00935771.

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L'essor de la théorie économique de la firme depuis une trentaine d'années a donné lieu à d'intenses débats sur les origines et les fonctions de la hiérarchie et de l'autorité. Ces discussions sont abordées du point de vue de l'histoire de la pensée économique, sur la période 1968 - 1998. Jusqu'au début des années 1970, le courant dominant ne s'intéressait pas à l'organisation intra-firme. La publication, en 1972, par Alchian et Demsetz d'un article visant à expliquer l'existence de la firme à partir des coûts d'information, apparaît comme une première réponse de l'approche standard au "défi radical". À partir de 1968, l'économie politique radicale, qui est la traduction dans le champ académique du vaste mouvement protestataire anti-hiérarchique ayant traversé la société nord américaine à la fin des années 1960, a cherché à donner sa propre réponse à la question "à quoi servent les patrons ?". Les radicaux américains ont tenté de montrer que la hiérarchie ne vise pas à promouvoir l'efficience de l'organisation mais au contraire le pouvoir de l'employeur. Elle serait un moyen de "diviser pour régner" en vue de dégager de plus grands profits. D'autres auteurs du courant dominant, tels que Arrow et Williamson, s'emploieront à répondre aux radicaux et souligneront les avantages, en terme d'efficience, de l'autorité et de la hiérarchie. Les radicaux se tourneront alors, au début des années 1980, vers la micro-économie standard afin d'élaborer une théorie du pouvoir dans le cadre du paradigme dominant. Enfin, à son tour, la théorie des contrats incomplets répondra implicitement à l'approche radicale du pouvoir, au cours des années 1990, en soutenant que les relations de pouvoir sont organisées dans la firme de manière efficiente.
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Moatti, Alexandre. "Gaspard-Gustave de Coriolis (1792-1843) : un mathématicien, théoricien de la mécanique appliquée." Phd thesis, Université Panthéon-Sorbonne - Paris I, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00645154.

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Cette thèse à caractère biographique est une étude de la carrière et de l'œuvre scientifiques de Gaspard-Gustave de Coriolis (1792-1843), polytechnicien, ingénieur des ponts et chaussées, dont le nom est universellement connu (force de Coriolis), mais dont le parcours et l'œuvre multiforme sont peu connus. Le fait que Coriolis fasse l'intégralité de sa carrière comme enseignant, puis directeur des études à l'École polytechnique, et que par ailleurs il participe à l'évolution de l'École et du Corps des ponts et chaussées à partir de 1830, nous donne un éclairage intéressant sur ces institutions (notamment grâce à la correspondance privée de Coriolis de 1838 à sa mort). Concernant son œuvre scientifique, sont rappelés ses apports de mathématicien. Son œuvre se caractérise principalement, toutefois, par une approche avant tout mathématique et théorique de la mécanique appliquée aux machines - il établit les fondements d'une théorie du travail. Cette approche et les résultats importants qui peuvent être attribués à ce savant, comme la définition physique du travail, les forces d'entraînement ou les forces centrifuges composées (forces de Coriolis), témoignent du lien tissé par Coriolis entre la mécanique rationnelle des géomètres et la mécanique appliquée à l'industrie naissante des machines.
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Fugier, Pascal. "Dits et écrits de sociologues et d'apprentis sociologues : histoire de vie et prise de positions sociologiques." Besançon, 2010. https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-01682100.

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À partir d’un corpus d’écrits sociologiques, d’entretiens et de récits de vie, nous étudions les airs de famille, les affinités de style mais aussi les incohérences, les contradictions ou encore les non-dits qui circulent entre, d’un côté, les expériences biographiques des « apprentis sociologues » et de leurs directeurs de thèse respectifs et, de l’autre côté, leurs expériences de recherche et prises de position sociologiques. Nous mettons alors en évidence le fait que des dispositions (ethnographique, scolastique…) s’interposent entre ces deux formes d’expériences, les structurant et médiatisant leurs influences réciproques. Corrélativement, nous avançons que des registres d’identifications (symboliques, imaginaires et réelles) circulent aussi entre l’histoire de vie des (apprentis) sociologues et leurs prises de position sociologiques. Aussi, s’ils peuvent se traduire en diverses dispositions (critique, paranoïaque et sceptique), ces registres identificatoires structurent des formes d’assujettissement (par lesquelles le sociologue peut être sujet de « l’Autre de la culture », de « la culture du narcissisme » ou encore de sa situation socio-historique) mais ils peuvent aussi participer à l’advènement de sa subjectivation. Par ailleurs, ce travail de recherche révèle que les diverses tensions épistémologiques opposant les professeurs « établis » et « marginaux » de la section étudiée, reposent notamment sur leurs écarts dispositionnels. Le processus par lequel les apprentis sociologues intègrent cette configuration et rencontrent ses figures professorales (symboliques et imaginaires) pouvant prendre la forme de l’entrée progressive dans un « ordre du discours »
From a body of sociological writings, interviews and life stories, we study the family resemblances, affinities of style but also the inconsistencies, contradictions or even unspoken passing between, one hand, experiences biographical of "apprentices sociologists’’ and their respective supervisors and, on the other hand, their research experiences and sociological stances. We put in evidence the fact that dispositions (ethnographic, scholastic. . . ) are interposed between these two forms of experience, structuring and mediating their reciprocal influences. Correspondingly, we argue that registers of identification (symbolic, imaginary and real) also circulate between the history of life of (apprentices) sociologists and their sociological stances. So, these registers of identification can be translated into various dispositions (critical, skeptical and paranoid), which structured also forms of subjugation (for which the sociologist can be a subject of "Other of culture" and "culture of narcissism "or its sociohistorical situation). However, these registers can also participate in the event of their subjectivity. Moreover, this research reveals that various epistemological tensions between teachers 'established' and 'outsiders' of the section studied, especially based on their dispositional differences. The process by which apprentice sociologists incorporate this configuration and meet his professorial figures (symbolic and imaginary) may take the form of gradual entry into an "order of discourse"
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Moulin, Anne-Marie. "Histoire du système immunitaire : immunologie et médecine (1880-1984)." Lyon 3, 1986. http://www.theses.fr/1986LYO31014.

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La these retrace les principales etapes de la formation de l'immunologie et soutient l'idee que l'immunologie ne s'est pas developpee comme science autonome avant les annees 60. Malgre les efforts de certains de ses pionniers, entre les deux guerres, l'immunologie s'est trouvee ecartelee entre la serologie medicale et l'immunochimie. La these repose sur deux idees principales : - l'histoire de l'immuno- logie peut etre decrite comme le passage d'un savoir empirique portant sur l'immunite a la science du systeme immunitaire. La notion de systeme immu- nitaire a tout a la fois resolu les impasses conceptuelles de la periode pasteurienne en autorisant une theorie multifactorielle de la causalite en pathogenie et rempli le programme elabore dans les annees 30 par les precurseurs de la biologie moleculaire; - le lien avec la medecine fournit la cle des peripeties de la discipline. La these s'interroge sur les rapports entre biologie et medecine en les envisageant sous l'angle de l'adoption d'un langage commun. Bien que faisant une large part a l'analyse des institutions et des personnalites scientifiques, cette these est une these d'epistemologie appliquee sur la constitution d'un champ scientifique nouveau et les multiples signifi- cations du concept de progres en medecine
The history of immunology was until recently a meglected field. This thesis is an attempt to redress that neglect by focusing on certain landmarks and to show that immunology as a fully-fledged science developed only in the 1960s. Two central ideas will be explored : - the first is that the history of immunology can be summarized by the shift from an empirical knowledge of immunity to the science of the immune system ; - the second is that the whole history of immunology pivots around its link with medicine. The thesis attempts to argue that immunology only achieved its auto- nomy by focusing on the idea of immune system. This choice epitomized the requirements of the new biology of the 1930s (when molecular biology started), namely emphasis on the holistic approach with the importance it attaches to organization and regulation. General immunology provides a frame work for the interpretation of immunological phenomena in a medical context and elaborates a model of causality which it applies to the understanding of disease. The lusive nature of the historical relationship between biology and medicine is brought here into sharp focus. Medicine usually achieves its so-called revolutions by adopting a new scientific language that enables it to reformulate its scope and reorientate its methods of investigation. The relationship of medicine with biology may be defined as a dialectical linguistic relationship. Using the available material on scientific net- works and institutions, this thesis aims to contribute to applied epistemolo gy and the philosophy of medicine and to promote the linguistic approach to the constitution of a new scientific field, irrespective of the traditional opposition between social and physicochemical sciences, between theoretical and applied sciences
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Ben, Saïd Cherni Zeïneb. "Biologie, sociologie et histoire des sciences chez Auguste Comte." Paris 7, 1999. http://www.theses.fr/1999PA070090.

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Bien que portee par des objectifs encyclopediques la conception de l'histoire des sciences chez a. Comte reproduit les preoccupations theoriques des historiens des sciences du 18e siecle (tel j. S. Bailly). Son but est de degager les moyens theoriques qui nous permettent de connaitre une nature qui se devoile a nous par bribes. Traversee par la renonciation et le controle limitatif, la conceptionde l'histoire des sciences chez comte se comprime. Celle-ci est alors dogmatique et historique, se voulant une, elle se ramifie. Elle est, alors, une ordination "analogique" a partir d'une norme statique et dynamique, elle est, aussi, un proces d'instrumentalisation technique, polytechnicien, des sciences, indique par la division theorie pratique. Elle se penche enfin sur elles pour les apprehender comme des objets d'observation (methode qui puise ses reperes chez les jussieu et blainville). En optant pour une marche dogmatico-historique, c'est la premiere qu'il tente de faire prevaloir, celle-ci trouve son repondant dans l'essai philosophique sur les probabilites de laplace. C'est l'astronomie qui nous en procure le modele sur lequel on "doit s'efforcer autant que possible de constituer toutes les sciences fondamentales". Une transposition "analogique" statique et dynamique est portee sur elles, mais leur examen effectif menera a devoiler des domaines et des faits refractaires a de tels transferts. Comte indique, enfin, que l'objectivite ne peut jamais construire une synthese quelconque. L'unite des sciences est subjective, elle est l'oeuvre de la biologie reinstituee dans son expression morale par la sociologie. Cette derniere annonce "un ordre nouveau": celui de l'historicite comme expression d'une totalite de l'experience genealogique des sciences, mais comprime ses ambitions. Elle finit par accepter le partiel et le momentane. Elle devient une reflexion autour des limites de la connaissance, de ses carences et de ses reports, elle est epistemologique.
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Sanchez, Pascal. "Les théories explicatives de la magie : les sciences sociales à l'épreuve d'une croyance collective." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040174.

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La magie constitue un champ d'observation intéressant pour étudier les mécanismes explicatifs des théories dans un domaine aussi fondamental que la compréhension des croyances collectives. En première lecture, les débats qui ont agité l'anthropologie et la sociologie font apparaître une constellation de positions diverses. En fait, cette complexité est apparente, dans la mesure où la magie a suscité trois interrogations majeures. La première porte sur la définition de la magie élaborée en fonction de la religion et de la science. La seconde concerne les différentes fonctions psychologiques, sociales et cognitives exercées par la magie. La troisième a pour objet d'identifier les conditions de la variation, dans le temps et dans l'espace, des croyances magiques. Ces débats fournissent ainsi un fil conducteur et offrent la possibilité de comparer le pouvoir explicatif de théories confrontées à une croyance apparemment irrationnelle. Parmi les diverses expressions adoptées par l'anthropologie et par la sociologie, une seule semble apte à répondre aux critères d'une bonne théorie. Expliquer la magie, c'est restituer les raisons qui amènent des croyants à adhérer à des représentations subjectivement fondées, c'est donc restituer un point de vue qui conduit un croyant à se convaincre de la cohérence et de la validité empirique de ses représentations. Cette approche de la croyance magique est notamment perceptible dans les écrits d'Emile Durkheim, de Max Weber et d'E. E. Evans-Pritchard, écrits qui combinent une ample description du contexte dans lequel la magie s'insère à une analyse fine et complexe des facteurs cognitifs concourant à l'adhésion à cette croyance
Magic makes up an interesting range of observation in order to study the explanatory mechanisms of the theories in a field that is as fundamental as the understanding of collective beliefs. At first reading, the disputes which have stirred anthropology and sociology circles reveal a myriad of miscellaneous, even contradictory opinions. Actually, this complexity is apparent in so far as magic has roused three major questions. The first one is concerned with the definition of magic worked out in relation with religion and science. Then the second bears on the different psychological, social and cognitive functions which magic exerts on people. The third one aims at identifying in what conditions of time and space magical beliefs change. Thus these debates provide a leading thread and offer the possibility to compare the explanatory power of theories with an apparently irrational belief. Among the various formulations taken up by anthropology and sociology, only one seems to be able to meet the criteria of a good theory. Explaining magic is to restore the reasons which lead believers to adhere to subjectively founded representations, is then to restore a point of view which leads a believer to convince himself of the consistency and the empirical validity of his representations. This approach to magical belief can be especially detected in the writings of Emile Durkheim, Max Weber and E. E. Evans-Prichard; these writings associating an extensive description of the context in which magic is inserted to a sharp and complex analysis to the cognitive factors contributing to bringing people to this belief
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Dehdouh, Rachid. "Histoire et philosophie des sciences biologiques et médicales chez Georges Canguilhem." Paris 8, 2007. http://octaviana.fr/document/122023617#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Georges Canguilhem (1904-1995), en s’inspirant de la philosophie de Nietzsche et de la phénoménologie de M. Merleau-Ponty, développait une anthropologie biologique, qualifiant le vivant en général et le vivant humain, en dernier ressort comme : une rationalité, une puissance vitale, une rectitude et une sagesse. Cette anthropologie de la vie ou de la « corporéité », est caractérisée selon Canguilhem par deux aspects essentiels et complémentaires : le premier, c’est sa démarcation, voir son rejet de toute normalité voulant assujettir le vivant à des normes conventionnelles sous forme de disciplines chargées de régulariser ses diverses activités : physiologie, psychologie et sociologie. Le deuxième aspect, résidait dans la restitution au corps vivant, l’humain en particulier, son essence bafouée par une tendance scientifique technique. Cette essence manifeste une normativité créatrice, et qui échappe a toute norme ou valeur préétablie ou extrinsèque. Or, le vivant en tant que variations, multiplicité, individualité et création accrues, ne donne pas l’occasion pour une étude scientifique normalisâtes, sauf dans ses dimensions mécaniques et physico-chimiques. En revanche seule une approche phénoménologique -selon Canguilhem- peut se rendre compte de cette corporéité, qui est en elle-même une création, une raison et une sagesse
Georges Canguilhem (1904-1995) inspiring of Nietzsche’s philosophy and Merleau-ponty’s phenomenology developed a biologic anthropology distinguishing the being in general and the human being at last as a: rationality, a vital power and a wisdom. This anthropology of life and “corporeity” is characterized according canguilhem by two essentials and complementary aspects: the first is: its reject with all normality wanting to imposed the being at conventional norms under the form of disciplines charged to regulate its diverse activities: physiology, psychology, and sociology. The second aspect resided in the restitution in the body living, the human being in particular. His essence battered by a technique and scientific tenancy. This “corporeity” manifested a creative normativity that escape from all norms or pre-established value. The being with its variations, multiciplity, individuality and creations doesn’t give the opportunity for a normalisates studies, except in its mechanicals and physical-chemical dimensions. In reach of this corporeity which is it a creation, a reason and wisdom
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Hiernaux, Quentin. "Individuation et philosophie du végétal." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2018. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/269874.

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Résumé de la thèse :Individuation et philosophie du végétalQu’est-ce qu’un individu végétal ?Comment définir cette notion et pourquoi poser une telle question ?Tout d’abord, d’un point de vue très général, l’individualité a trait autant à la philosophie qu’à la biologie. On peut donc se demander si l’acception traditionnelle de l’individu en philosophie est différente de celle(s) des biologistes. Ensuite, c’est une question dont on peut suivre l’évolution historique à travers les avancées scientifiques (non sans son lot de nouvelles questions philosophiques). La conception antique de l’individualité de la plante n’est pas la même que celle de la botanique de la Renaissance, du XIXe siècle ou de la biologie néoévolutionniste. Des approches spécifiques à la botanique existent au sein de la problématique de l’individualité biologique. Elles croisent à de nombreuses reprises la philosophie. De même, des philosophes contemporains du végétal ne sont-ils pas influencés par les avancées récentes de l’écologie et des sciences environnementales ?Les idées de certains philosophes de la tradition sont ainsi parfois convoquées en dialogue avec les découvertes scientifiques de leur temps. Du point de vue méthodologique, notre enquête philosophique sur l’individualité végétale repose sur un dialogue avec les sciences biologiques contemporaines. Pour commencer, nous introduisons les concepts, définitions et critères de départ à partir desquels nous pouvons comprendre ce que sont un végétal et un individu du point de vue des sciences biologiques. Cette entrée en matière est mise en perspective et problématisée avec les définitions philosophiques traditionnelles de l’individualité et les conceptions habituellement occupées par les plantes dans la philosophie occidentale. Dans ce cadre, nous introduisons la pensée de Simondon qui nous sera utile au fil de la réflexion. Sur un plan formel, nous élaborons une tripartition des critères de l’individualité biologique afin de structurer l’enquête. L’individualité végétale est ainsi investiguée dans un premier temps selon un axe morphologique et spatio-temporel. Celui-ci nous permet de résumer plusieurs grandes positions de l’histoire de la botanique sur la question qui nous occupe. Nous étudions aussi dans quelle mesure la botanique contemporaine peut nous instruire à ce sujet selon différents points de vue et échelles. Ensuite, nous abordons la question de l’individualité selon un axe évolutionniste et génétique. Nous montrons plus en détail comment la question de l’individualité est liée à des concepts comme le génome, l’espèce ou la sexualité et quelles implications bien particulières le végétal leur fait subir au sein de ce contexte. Enfin, une troisième partie est dédiée à l’étude de l’individualité selon une perspective physiologique et fonctionnelle. Outre le contraste que cette approche permet d’introduire à propos de certains des concepts susmentionnés, elle pose de façon plus générale la question des limites de l’individu végétal à travers la problématique des symbioses, du système immunitaire ou du système nerveux. Ces points nous conduisent à interroger l’individu végétal en le mettant à l’épreuve d’une possible unité comportementale. Il n’est en effet a priori pas certain que l’on puisse lui appliquer un tel concept avec son cortège de conséquences (la sensibilité, la mémoire, l’intelligence…).Ces questions épistémologiques ne manquent pas de soulever des problèmes et enjeux proprement philosophiques comme le lien de l’individualité à la subjectivité, la place des vivants non-animaux en philosophie ou le rapport essentiel du végétal à l’environnement. Finalement, nous nous demandons, dans une perspective plus simondonnienne, dans quelle mesure poser la question de l’individualité végétale en termes de processus d’individuation avec son milieu pourrait déplacer la problématique et apporter ou non quelque chose à la compréhension du végétal dans ses rapports aux sciences biologiques contemporaines. À cet effet, nous sommes amenés à nous positionner vis-à-vis de plusieurs thèses contemporaines d’auteurs, que l’on peut qualifier de façon très libérale de philosophes de la nature (Marder, Coccia…), pour en tirer des conclusions originales sur le statut de l’individu végétal.De manière plus transversale, l’une des spécificités de notre enquête consiste à partir de problèmes concrets et situés posés par l’individualité végétale. Nous montrons comment ceux-ci entrent en tension ou induisent des décalages et ambigüités avec les modèles théoriques préalablement proposés. La perspective végétale, par les résistances qu’elle suscite, se révèle un formidable moteur de la réflexion philosophique. Elle nous amène ainsi à remettre en question de nombreux points de vue sur l’individualité et sur les plantes. Sur cette base, cette thèse ouvre ainsi des perspectives philosophiques novatrices, parfois contre-intuitives au regard des préjugés dont le végétal a été victime dans notre tradition moderne occidentale.
Doctorat en Philosophie
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Morin, Dominique. "Esprit, origines et fondation de la sociologie positive : Penser la liberté de l'homme en société dans la nature et l'histoire." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27704/27704.pdf.

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Dans la perspective des chercheurs qui développent une science, la réalité de sa fondation se présente comme la solution imaginaire de quatre énigmes relatives à l’unité et aux progrès de leurs travaux : 1- La fondation est la source stable des principes d’une science qui se maintiennent au fil de ses développements. 2 – Elle donne à lire la finalité commune des développements individuels de ses recherches. 3 – Elle opère une rupture avec la pensée antérieure en définissant le projet d’un savoir original et plus désirable que ce que l’on croyait savoir auparavant. 4 – Elle institue l’esprit distinctif d’une recherche qui estime que le savoir qu’elle procure vaut la peine d’être développé. En sociologie, il y a consensus pour affirmer que la discipline est fondée, mais on ne s’entend ni sur la ou les œuvres qui la fondent ni même sur l’époque où elle débute. À partir d’une analyse comparée des sociologies d’Auguste Comte et d’Émile Durkheim avec d’autres œuvres depuis les études de l’homme et de la cité d’Aristote, nous explorons la réalité d’une fondation qui pourrait résoudre ces quatre énigmes ainsi qu’une cinquième qui est particulière à cette science sociale : 5 – La fondation de la sociologie initie un mode d’organisation de la recherche incompatible avec le modèle kuhnien de la science normale qui progresse dans le développement d’un paradigme commun.
In the perspective of researchers developing a science, the foundation is presented as the imaginary solution to four enigmas regarding the unity and progress of their work: 1- Its foundation is the stable source of the principles of a science that remain throughout its development. 2- It provides a common finality of the individual developments of its research. 3- It contrasts from previous schools of thought by defining the project of an original and more desirable one. 4- It introduces the distinctive characteristics of a research, emphasizing that the knowledge it brings is worth it. In sociology, there is general agreement about sociology having a beginning, only no one agrees on the works that make it, nor the time it all started. By comparing the works of Auguste Comte and Emile Durkheim with other works since Aristotle, we explore those four enigmas and even a fifth one that is specific to sociology: 5- The foundation of sociology initiates an organisation of research that is incompatible with the kuhnian model of normal science.
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OSSAH, EBOTO CHARLES. "Science et histoire des sciences dans la philosophie des sciences du positivisme logique." Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010664.

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Dans le positivisme logique, toute la demarche de la science moderne constitue le paradigme sur lequel la philosophie doit se regler, depuis galilee jusqu'a einstein. Cette conception de la science comme paradigme de la philosophie ne tient en aucun cas compte de la maniere dont les theories ont ete produites. Ce qui importe pour l'empirisme logique c'est l'entreprise de reconstruction qui s'effectue au sein de la science objective. En effet, a l'interieur de la science, il y a une place importante pour la clarification des concepts. Il s'agit la d'un travail philosophique effectue par la science elle-meme. La philosophie intervient pour faire ce travail de reconstruction rationnel de l'exterieur. Par consequent, l'empirisme logique ne s'interesse pas a la science en tant que phenomene historique. Seul le contexte de justification releve de la philosophie des sciences, envisagee comme logique des sciences. Le contexte de decouverte concerne la sociologie des sciences et la psychologie
In logical positivism, the whole processes of modern science are the paradigm on which philosophy has to model itself, from galilee to einstein. This approach to science as a philosophical paradigm takes no account of the way theories are built. What matters for logical empirism is the process of reconstruction in the framework of objective science. Indeed, within science, there is ample room for conceptual clarification. This is a philosophical work to be done by science itself. Philosophy is called upon to assume this rebuilding task, which is rational from outside. As a consequence, logical empirism is not relevant to science as a historical process. Only the context of justification is a matter for science philosophy, considered as the logic of sciences. The context of discovery is concerned with science sociology and psychology
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Chabas-Bues, Christiane. "Histoire du concept de Mole (1869-1969) : à la croisée des disciplines physique et chimie." Paris 10, 1999. http://www.theses.fr/1999PA100041.

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En 1969, une septieme unite de base est ajoutee au systeme international d'unites de mesure: la mole est l'unite de quantite de matiere. Cette grandeur, introduite sans bruit, n'est pas encore passee dans les habitudes scientifiques. D'ou procede la creation d'une nouvelle grandeur? a quelles exigences repond la definition d'une unite de mesure pour les chimistes? on montre que l'invention de cette notion se situe a la croisee de trois histoires independantes. Elle implique d'abord la notion de poids atomique issue de la chimie du xixe siecle. Ce nombre proportionnel, relatif a une reference conventionnelle, est une carateristique strictement individuelle qui definit l'identite de chaque element. La molecule-gramme ("mole" en abrege), fut introduite dans la chimie physique a la fin du xixe siecle. Elle associe le poids moleculaire a une unite de masse. Elle fonctionne comme une "jauge" chimique et permet d'exprimer des lois generales en nombre de moles. Ainsi pas plus que les chimistes, les physico-chimistes ne definissaient la dimension de la grandeur qu'ils mesuraient. Cependant, grace a la theorie cinetique des gaz, les physiciens referent la molecule-gramme au nombre de molecules contenues dans un volume donne, bref au nombre d'avogadro. La definition de la mole resulte donc avant tout d'une volonte d'harmonisation entre les mesures des physiciens et des chimistes qui s'est concretisee par l'adoption d'une echelle commune de poids atomiques fondee sur l'isotope 12 du carbone. Cette premiere tentative de standardisation ne fut cependant que le prelude a une reflexion metrologique approfondie sur la nature et la dimension de la grandeur mesuree en chimie, menee conjointement par les unions internationales de chimie et de physique. Chimie, physique, metrologie, ces trois disciplines concourent a la definition actuelle de la mole. D'ou la complexite de cette notion de base qui tresse trois logiques distinctes. D'ou l'originalite de son histoire car l'acte fondateurde l'unite de mesure des chimistes ne constitue pas une solution triomphale qui perimerait les concepts anterieurs.
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Poizat, Jean-Claude. "Les intellectuels juifs français contemporains : l'invention d'une nouvelle pensée juive en France aujourd'hui (1967-2010) : sociologie, histoire, politique." Paris, Institut d'études politiques, 2011. http://www.theses.fr/2011IEPP0029.

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« L’antisémite reproche au Juif d’être Juif ; le démocrate lui reprocherait volontiers de se considérer comme Juif. Entre son adversaire et son défenseur, le Juif semble assez mal en point : il semble qu’il n’ait rien d’autre à faire qu’à choisir la sauce à laquelle on le mangera ». La situation a-t-elle beaucoup changé depuis l’époque où Jean-Paul Sartre écrivait ces lignes, juste au lendemain de la Seconde Guerre mondiale ? De nouveau, dans la France des années 2000, on a vu ressurgir, avec une vigueur pour le moins inattendue, une « question juive » dont on avait cru jusque-là qu’elle appartenait à des temps définitivement révolus. Et, comme au temps de Sartre, des intellectuels, juifs comme non juifs, se sont emparés de la « question » pour en débattre sur la place publique. Toutefois, une différence saute aux yeux : certains intellectuels juifs ne veulent plus se contenter aujourd’hui de « choisir la sauce à laquelle on les mangera ». Ainsi, un nombre significatif d’intellectuels juifs français contemporains, quelles que soient leurs orientations politiques, n’acceptent plus désormais (bien que quelques « démocrates » au sens sartrien les y invitent encore parfois) de dissimuler leur « identité », leur « judaïsme » ou leur « judéité », derrière le sujet abstrait et universel des droits de l’homme et du citoyen. Qu'est-ce à dire? Que ces "nouveaux venus" dans le débat intellectuel seraient moins universalistes que leurs aînés? Qu'ils auraient "trahi" la cause des "clercs" si chère à Julien Benda? Que s'est-il passé? Comment comprendre ce changement? Quels en sont la signification et les enjeux? C'est à ces questions que nous entendons nous consacrer dans ce travail
“The ante-Semite blames the Jew for being Jewish; the democrat would gladly blame him for considering himself to be Jewish. Between his enemy and his supporter, the Jew appears to be in pretty bad shape. It seems that the only thing he can choose is the way he will be tricked”. Has the situation changed a lot since the time when Jean-Paul Sartre was writing these lines, just after World War II? In France, since the start of the new century, we have observed the unexpectingly forceful reemergence of a “Jewish question”, a question we thought belonged to past days for good. And, like in the days of Sartre, some Jewish and non-Jewish intellectuals have picked up the question to discuss it in public. Yet, one difference is blindingly obvious today: some Jewish intellectuals won’t make do with choosing “the way they will be tricked” any more. Thus, a significant number of contemporary French Jewish intellectuals, whatever their political views, won’t conceal their”identity”, their “judaism” or their “judeity” behind the abstract and universal subject of human and civil rights any longer (though a few “democrats” in the Sartrian sense of the word still encourage them to do so from time to time). What does this imply? That these "newcomers" in the French intellectual debate are not as universalist as their senior? That they have "betrayed" the cause of the "scholars", which is so dear to Julien Benda? What has happened? How can we understand this change? What is the meaning of it and what is at stake? We intend to devote ourselves to this set of questions
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Baroudi, Abdallah. "Thèse sur travaux : pour le doctorat d'Etat de Sociologie et de Sciences Humaines." Paris 5, 1985. http://www.theses.fr/1985PA05H018.

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Safou, Jean-Aimé. "Les reconstructions rationnelles et les apories méthodologiques en histoire des sciences." Aix-Marseille 1, 2008. http://www.theses.fr/2008AIX10104.

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La notion de reconstruction rationnelle, qui se présente d’abord comme la conquête d’une certaine tradition de la pensée philosophique de la science », devrait permettre aussi d’éclairer le travail de l’historien des sciences : c’est la thèse de ce travail. La philosophie des sciences contemporaine, par le biais de l’épistémologie poppérienne et du positivisme logique, a abordé ce problème uniquement sous l’angle de la méthodologie, manquant ainsi l’explication et l’approche historique des reconstructions. Seule une partie de la philosophie des sciences, dans sa version historiciste, représentée par Kuhn et Lakatos, pour ne citer que ces deux auteurs, considère que l’explication rationnelle, et la compréhension historique que l’on attend viennent d’une « réorganisation historicisante » des découvertes et des connaissances scientifiques du passé. Appliquant à l’analyse méthodologique, l’étude des systèmes scientifiques (copernicien et newtonien), mais revenant également sur l’heuristique des mathématiques, ce travail vise à montrer que l’on peut parfaitement combiner réflexion méthodologique et étude des faits historiques ; seule perspective permettant d’interpréter et de comprendre réellement les reconstructions rationnelles en histoire des sciences.
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Fouquet, Gérard. ""Les arts martiaux" : histoire, aspects, rapports avec le sport et l'éducation physique." Paris 1, 1989. http://www.theses.fr/1989PA010522.

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Etudier les "arts martiaux", c'est inévitablement se poser deux sortes de questions. Que faut-il entendre par "arts martiaux" ? Quels sont les rapports que l'on peut établir entre ces pratiques physiques de combat, le sport et l'éducation physique ? Pour définir les "arts martiaux", il convient de recourir à l'histoire. Celle du pays dans lequel ils se sont formés, le japon mais celle également de certaines sociétés occidentales qui les ont accueillis et transformés. C'est le cas de la France, par exemple. Bien que les références historiques permettent de lever certaines contradictions, il est beaucoup plus malaisé qu'il n'y parait de véritablement distinguer les "arts martiaux" du sport et de l'éducation physique. Les relations qu'ils entretiennent peuvent être analysées soit de façon formelle soit de façon concrète. Les "arts martiaux", le sport et les éducations physiques se sont réciproquement influencés. Ils sont en rapport également avec la morale et en reçoivent des fins mais ils contribuent aussi à les déterminer.
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Kouneiher, Joseph. "Etudes épistémologiques et histoire récente de la gravitation quantique." Paris 7, 1998. http://www.theses.fr/1998PA070119.

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Dans la plupart de revues récentes de la gravitation quantique, on reconnaît, malgré la diversité des schémas adoptés depuis 1949, l'absence d'un cadre de travail adapté à cette discipline. Ces schémas exhibent des caractéristiques différentes, mais épistémologiquement ils partagent un trait crucial: l'approche adopte pour résoudre le problème de la quantification de la gravité est exclusivement formelle, perçu par les auteurs comme des problèmes mathématiques purement techniques qui une fois résolus apporteraient une réponse aux nombreux problèmes fondamentaux rencontres en gravitation quantique. Notre but dans ce travail est de reconsidérer les différentes attitudes et le cheminement de la pensée impliquées dans la recherche en gravitation quantique du point de vue épistémologique et historique. Nous montrons que la faiblesse épistémologique de la mode de pensée conventionnelle est illustrée par les divers traitements des anciens schémas adoptés (canonique et covariant). Nous discutons le sens de la gravite, l'idée quantique et la géométrie qui les implante. Nous analysons le programme de la quantification géométrique et clarifions les problèmes inhérents dans les deux approches, canonique et covariante, de la quantification de la gravité. Nous examinons la limite de l'applicabilité de la relativité générale et nous inspectons la question de l'observable, l'unitarité, la causalité et le temps en gravitation quantique. Finalement, nous essayons d'élucider la dualité qui existe entre la relativité générale et la mécanique quantique
In the most recent reviews of quantum gravity it is acknowledged that there is as yet no successful and generally accepted framework for this discipline, despite the multitude of schemes for quantizing gravity that have been proposed since 1949. These schemes exhibit a remarkable variety of formally distinctive features, but epistemologically they all share one crucial feature: the problem of quantizing gravity is approached on purely formal grounds, as if it were a problem of mere mathematical technique which, once resolved, would automatically provide the solution to the plethora of foundational problems encountered by quantum general relativity. From a foundational perspective, however, the basic issues are not quite that simple. Our aim in this work is to reconsider the different attitudes and the thought processes involving in the quantum gravity subject from either epistemological and historical point of view. We show that the epistemological weakenesses of the conventional mode of thinking about these issues are well illustrated by the various treatements of the oldest scheme for quantizing gravity. We discuss the meaning of gravity, the quantum idea and the geometry behind. We analyse the geometric quantization program , we clarify the problems inherent in the two approaches of quantum gravity, the canonical and the covariant one. We review the limit of the application of general relativity and we inspect the question of observables, unitarity, causality and time in quantum gravity. Finally, we tried to elucidate the duality between general relativity and quantum mechanics
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Simont, Juliette. "Gérard Lebrun et les Critiques de Kant: structuralisme et histoire de la philosophie." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2007. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210697.

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Lambert, Jacques. "Le chirurgien de papier : études d'histoire et de philosophie de l'hygiène." Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010643.

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L'étude épistémologique (1ere partie) permet de définir les différents hygiènes et leurs problèmes à partir de l'analyse des indicateurs de la gestion de la santé. Elle fait ressortir les problèmes philosophiques de l'hygiène partagée entre la nature et la culture. Deux grandes traditions s'opposent historiquement et philosophiquement. L'hygiène medio-philosophique (2eme partie), codifiée par Galien, repose sur une conception essentialiste de la santé et des philosophies de la nature, de la prudence, de l'usage, de la sobriété, de l'équilibre. A l'opposé, l'hygiène collective (3eme partie), issue des épidémies par la jonction de la police et de la médecine, repose sur une conception populationnelle de la santé, une philosophie de la culture, des besoins et de la sauvegarde, grâce a une quantification (calcul des risques) et une socialisation de la prudence. Elle tend à subordonner la santé à la salubrité, qui s'élargit aujourd'hui jusqu'à l'écologie, et à la sécurité, qui s'approfondit avec l'immuno-génétique (du préventif au prédictif). Quelle part (réduite mais essentielle, illusoire mais inévitable) reste-t-il à la gestion personnelle dans une sante publique (concept longtemps impensable) située entre une gestion du patrimoine planétaire et une gestion du patrimoine héréditaire?
The epistemological study (first part) is carried out to define different notions of hygiene and associated problems starting from an analysis of health administration indicators. The cultural and natural philosophical problems of hygiene are discussed. Two principal philosophical and historical traditions are in opposition. Medico-philosophical hygiene (2nd part), codified by Galen, is based on an "essentialist" concept of health and philosophy of nature, of carefulness practice, sobriety and equilibrium. Collective hygiene, (third part) on the contrary, the result of epidemies and the joint efforts of the police and medical profession, is based on the notion of the health of the population, and cultural philosophy, measurements of needs, protection and a social concept of risk. The tendancy is to put the accent on salubrity rather than health, with ecological repercussions nowadays, and on security, with immuno-genetic repercussions (going from prevention to prediction). What part (reduced but essential, an illusion but inevitable) remains for personal participation in public health (an idea that was unthinkable in itself), placed between the administration of both our human and planetary inheritance?
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Karsenti, Bruno. "Sociologie, anthropologie et philosophie dans l'oeuvre de marcel mauss contribution a une reflexion sur les rapports de la philosophie et des sciences humaines." Lille 3, 1996. http://www.theses.fr/1996LIL30006.

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Ce travail etudie l'oeuvre du sociologue francais marcel mauss en l'affectant du double statut d'operateur privilegie et de symptome d'un bouleversement theorique global ou se produit une reformulation complete des rapports des sciences de l'homme et de la philosophie. L'objet de l'analyse, historiquement resitue dans une premiere partie, est celui de la configuration epistemologique specifique qui se met en place au debut du xxeme siecle, a partir des trois axes de la philosophie, de l'anthropologie et de la sociologie. Deux lignes sont ensuite suivies ou apparait l'originalite du projet maussien. La premiere consiste dans l'examen du rapport du social et du psychique, et dans le depassement de l'alternative de l'individuel et du collectif qui y est impliquee. La seconde est celle tracee par le developpement de la linguistique, et par le mouvement singulier qui la rapporte a l'etude des phenomenes sociaux. A l'issue de cet examen, le noyau theorique de l'approche maussienne, le concept de symbolisme, est etudie pour lui-meme, d'un point de vue philosophique. Il est enfin repris et illustre en suivant l'etude que le sociologue consacre au phenomene du don. La these contient une bibliographie et un index des noms
This dissertation is a study of the work of the french sociologist marcel mauss, which gives this work a double status : it is both the main source and the symptom of a general theoretical seachange and a whole reformulation of the relation between human sciences and philosophy. The first part of the thesis defines in historical terms the object of the analysis : specific epistemological setting wich emerges at the begining of the xxth century from those three lines constitued by philosophy, anthropology and sociology. The originality of mauss' project is then studied following tow directions : first, a close examination of the social-psychic relation, overcoming the implied dualism of the individual and the collective. Second, a study of the development of linguistic, and its relation to the study of social phenomena. Closing the examination is a study of the theoretical core of the whole maussian approach, the concept of symbolism, wich is illustrated with the study of the gift phenomenon. The thesis includes a bibliography and an index of names
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Gomez, Quiles Maria Luisa. "La généralisation de la créativité : le rapport entre rupture du quotidien aliéné et créativité sociale." Caen, 1993. http://www.theses.fr/1993CAEN1132.

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Definir la quotidiennete creative comme se limitant a une somme d'impressions vecues ou a quelques anecdotes de la vie de tous les jours opposees aux moments exceptionnels de l'histoire, serait la mystifier. Une definition de la praxis creative quotidienne des subalternes comme etant le depassement de la pensee et de la pratique ordinaire dans son elevation vers une conscience philosophique de la praxis, c'est-a-dire vers une praxis hautement reflexive, suppose a son tour la definition de la base materielle de la societe, dans l'elucidation de leurs mutuels rapports. Etudier la praxis quotidienne, ou la quotidienne du point de vue de la pedagogie sociale, suppose donc une prise de parti, l'acceptation d'une fonction ideologique. Elle suppose aussi une intention scientifique qui consiste a etablir le niveau de verite et d'erreur de la pensee et la pratique quotidienne des subalternes, de la stagnation ou de l'avancement de leur pratique a l'egard de leurs finalites d'epanouissement generique. La caracterisation de la pensee et la pratique quotidienne de la classe subalterne a un moment donne de l'histoire, dans un certain pays ou region et dans une communaute donnee suppose aussi la definition du facteur principal qui la regit: malgre ce developpement inegal
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Dupuis-Mc, Donald Grégorie. "Entre logique et histoire : la place du contexte de découverte en philosophie des sciences." Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/33852.

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Le thème de ce mémoire est la dynamique entre la découverte et la justification en science. Plus précisément, notre mémoire prend pour objet la distinction entre le contexte de découverte et le contexte de justification (distinction D/J) proposée par Hans Reichenbach. La question principale qui nous occupera concerne la signification et la pertinence de cette distinction. Nous chercherons à préciser si la distinction nous permet de mieux étudier et conceptualiser l’activité scientifique. Cela dit, notre attention se portera sur deux dimensions du problème que crée la distinction : d’une part, elle met l’étude de la découverte scientifique de côté et, d’autre part, elle a pour effet d’isoler la philosophie des autres perspectives d’études sur la science. Dans cet ordre d’idées, nous tenterons de dégager les difficultés qui pèsent sur la conception de Reichenbach tout en montrant comment une distinction entre découverte et justification peut néanmoins être conservée, cela en incluant l’étude de la découverte, mais aussi en intégrant une perspective historique à la philosophie des sciences. Le premier chapitre de ce mémoire présente la distinction D/J et fait une revue critique de la littérature secondaire visant à interpréter et mieux comprendre la distinction. Le deuxième chapitre se concentre sur la possibilité d’une logique de la découverte et se penche sur l’idée de Norwood Russell Hanson que l’abduction, ou plutôt l’inférence à la meilleure explication, selon Peter Lipton, permet d’expliquer le raisonnement soutenant le choix des hypothèses scientifiques et conduisant à la découverte. Enfin, le troisième chapitre considère la deuxième dimension du problème de la distinction et étudie certaines propositions visant à défendre l’intégration de l’histoire et de la philosophie des sciences et à définir la fonction de l’épistémologie historique. Au final, notre mémoire présentera un point de vue critique sur la distinction D/J de Reichenbach et, en tentant de corriger ses difficultés, tentera d’établir non seulement sa pertinence et sa cohérence, mais aussi comment elle favorise une meilleure compréhension de la dynamique entre la découverte et la justification scientifique.
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Li, Vigni Guido Fabrizio. "Les systèmes complexes et la digitalisation des sciences. Histoire et sociologie des instituts de la complexité aux États-Unis et en France." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH134/document.

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Comment penser la relation entre les cultures scientifiques contemporaines et l’usage grandissant de l’ordinateur dans la production des savoirs ? Cette thèse se propose de donner une réponse à telle question à partir de l’analyse historique et sociologique d’un domaine scientifique fondé par le Santa Fe Institute (SFI) dans les années 1980 aux États-Unis : les « sciences des systèmes complexes » (SSC). Rendues célèbres par des publications grand-public, les SSC se répandent au cours des années 1990 et 2000 en Europe et dans d’autres pays du monde. Ce travail propose une histoire de la fondation de ce domaine en se concentrant sur le SFI et sur le Réseau National des Systèmes Complexes français. Avec un regard sociologique ancré dans les Science & Technology Studies et dans le courant pragmatiste, elle pose ensuite des questions sur le statut socio-épistémique de ce domaine, sur les modalités de l’administration de la preuve dans des savoirs fondés sur la simulation numérique et enfin sur les engagements épistémiques tenus par les spécialistes des systèmes complexes. Le matériau empirique – composé d’environ 200 entretiens, plusieurs milliers de pages d’archives et quelques visites de laboratoire – nous amène non seulement à mieux connaître ce champ de recherche – dont le langage est très répandu aujourd’hui, mais peu étudié par les historiens et les sociologues ; il nous porte aussi à questionner trois opinions courantes dans la littérature humaniste à propos des sciences numériques. À savoir : 1) l’ordinateur produit des connaissances de plus en plus interdisciplinaires, 2) il donne vie à des savoirs de type nouveau qui nécessitent une toute autre épistémologie pour être pensés et 3) il fait inévitablement advenir des visions du monde néolibérales. Or, cette thèse déconstruit ces trois formes de déterminisme technologique concernant les effets de l’ordinateur sur les pratiques scientifiques, en montrant d’abord que, dans les sciences computationnelles, les rapports interdisciplinaires ne se font pas sans effort ni pacifiquement ou sur pied d’égalité ; ensuite que les chercheurs et les chercheuses des SSC mobilisent des formes d’administration de la preuve déjà mises au point dans d’autres disciplines ; et enfin que les engagements épistémiques des scientifiques peuvent prendre une forme proche de la vision (néo)libérale, mais aussi des formes qui s’en éloignent ou qui s’y opposent
How to think the relationship between contemporary scientific cultures and the rising usage of computer in the production of knowledge ? This thesis offers to give an answer to such a question, by analyzing historically and sociologically a scientific domain founded by the Santa Fe Institute (SFI) in the 1980s in the United States : the « complex systems sciences » (CSS). Become well-known thanks to popular books and articles, CSS have spread in Europe and in other countries of the world in the course of the 1990s and the 2000s. This work proposes a history of the foundation of this domain, by focussing on the SFI and on the French Complex Systems National Network. With a sociological take rooted into Science & Technology Studies and into pragmatism, it then asks some questions about the socio-epistemic status of such a domain, about the modalities of production of evidence as they are employed in the context of digital simulation and, finally, about the epistemic engagements hold by complexity specialists. Empirical material – composed by circa 200 interviews, several thousands archival pages and a small number of laboratory visits – allows us not only to improve knowledge about this field – whose language is very common today, but little studied by historians and sociologists ; it also brings us to question three current opinions in the human and social sciences literature regarding digital sciences. That is : 1) that the computer produces more and more interdisciplinary knowledge, 2) that it gives birth to a new type of knowledge which needs an entirely new epistemology to be well understood and 3) that it inevitably brings about neoliberal visions of the world. Now, this thesis deconstructs these three forms of technological determinism concerning the effects of computer on scientific practices, by showing firstly that, in digital sciences, the interdisciplinary collaborations are not made without any effort and in a symetrical and pacific way ; secondly, that CSS’ researchers mobilize a kind of evidence production techniques which are well known in other disciplines ; and, thirdly, that scientists’ epistemic engagements can take (neo)liberal forms, but also other forms that depart from neoliberalism or that stand against it

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