Статті в журналах з теми "Guerre et virtuel"

Щоб переглянути інші типи публікацій з цієї теми, перейдіть за посиланням: Guerre et virtuel.

Оформте джерело за APA, MLA, Chicago, Harvard та іншими стилями

Оберіть тип джерела:

Ознайомтеся з топ-30 статей у журналах для дослідження на тему "Guerre et virtuel".

Біля кожної праці в переліку літератури доступна кнопка «Додати до бібліографії». Скористайтеся нею – і ми автоматично оформимо бібліографічне посилання на обрану працю в потрібному вам стилі цитування: APA, MLA, «Гарвард», «Чикаго», «Ванкувер» тощо.

Також ви можете завантажити повний текст наукової публікації у форматі «.pdf» та прочитати онлайн анотацію до роботи, якщо відповідні параметри наявні в метаданих.

Переглядайте статті в журналах для різних дисциплін та оформлюйте правильно вашу бібліографію.

1

Boaventura, Sara Lago de São, Ema Filipa Coias Gomes, Nuno André Peres Palos Ladeiro, Tiago Filipe Pontes Catela de Miranda, Joana Amélia Maio Sardinha, and Isabel Maria Gonzalez Duarte da Cunha. "Jeux vidéo: Espace pour la (proto)construction dans et par le Rorschach." Revista Latinoamericana de Psicopatologia Fundamental 25, no. 1 (January 2022): 119–39. http://dx.doi.org/10.1590/1415-4714.2022v25n1p119.7.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les jeux vidéo sont une réalité de la culture d’aujourd’hui. Cet article est basé sur un échantillon de neuf protocoles de Rorschach appliques à de jeunes adultes qui sont des joueurs actifs. Les résultats du Rorschach montrent une difficulté à bien appréhender la réalité, une dynamique affective introvertie et un niveau élevé d’angoisse —des caractéristiques liées à un mouvement psychique où se posent des questions de force et d’autorité (I et IV), des arsenaux de guerre (VII), avec inscription dans des relations affectives (II et III) ou des logiques régressives (VIII, IX et X). Cette étude nous a permis de construire un (proto)virtuel, avec de nouveaux Avatars au Rorschach, une construction tridimensionnelle qui entrelace le réel et le virtuel, dans un domaine de la projection sur la perception, où le (proto)mentale est (re)signifié.
2

Uvarova, Svetlana. "Les trames et les sens du travail psychanalytique en temps de guerre." psychologie clinique, no. 55 (2023): 188–99. http://dx.doi.org/10.1051/psyc/202355188.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les processus mondiaux contemporains menacent la pratique psychanalytique, du moins dans sa forme traditionnelle. Après tout, les événements de ces dernières années (par exemple, la pandémie) ont changé brutalement et presque partout dans le monde la clinique psychanalytique, tout d’abord, son fondament - le cadre psychanalytique - en transférant le travail psychanalytique dans l’espace virtuel. Nous sommes témoins du fait que la pratique psychanalytique (ses règles, son cadre et ses principes) subit aujourd’hui des changements radicaux et nécessite donc une révision totale. Dans ces situations extrêmes, il est nécessaire de repenser certains aspects de l’éthique clinique et du cadre, ainsi que d’introduire quelques règles et mesures supplémentaires. Dans cet article, l’auteure tente de cerner la place et les possibilités de la pratique psychanalytique en temps de guerre.
3

Goya, Michel. "The Invention of Virtual War." Inflexions N° 50, no. 2 (May 2, 2022): 167–75. http://dx.doi.org/10.3917/infle.050.0167.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La guerre que l’on se prépare à faire est toujours une guerre virtuelle ; c’est une anticipation que l’on reproduit sur les terrains d’exercice sans jamais pouvoir l’imiter parfaitement. La difficulté est encore plus grande lorsqu’on perçoit à partir du milieu du xix e siècle que sous la poussée de changements considérables et rapides dans les sociétés de l’époque, cette guerre future sera forcément très différente de la dernière que l’on a menée. On met donc en place en France après 1871, à l’imitation de l’armée prussienne, toute une structure de simulation expérimentale de la guerre dont on espère qu’elle permettra de se préparer au mieux au grand conflit futur. Le résultat concret est très mitigé, mais cet effort aura au moins permis de former une génération d’officiers à analyser et débattre, ce qui sera essentiel pour obtenir la victoire.
4

Stanziani, Alessandro. "La puissance des céréales." Multitudes 92, no. 3 (September 21, 2023): 51–57. http://dx.doi.org/10.3917/mult.092.0051.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Tous les empires dans l’histoire ont pu faire ce constat : la puissance n’est pas seulement une question d’armement, mais aussi de contrôle des céréales. Elles ont constitué, jusqu’à l’essor de la consommation de viande, le carburant du travail humain. Cet article permet une charnière bienvenue entre histoire et actualité (« pénurie » et déstabilisation des marchés mondiaux des céréales avec la guerre d’Ukraine). Il retrace l’histoire longue des marchés des céréales dans le monde, les successions des politiques visant leur contrôle (stockage, contrôle des prix, blocage des approvisionnements) ou donnant libre cours à la spéculation, les effets de ces cycles sur les famines et les guerres. Ce qui spécifie le « nouveau capitalisme agraire » contemporain depuis les années 1980, c’est la spéculation totalement dérégulée sur les céréales : marchés virtuels, futures , accaparement des terres, contrôle du vivant et monopoles des semences, entrée de nouveaux acteurs comme banques, fonds de pension, hedge funds . L’auteur propose en conclusion quelques options politiques pour lutter contre cette hégémonie.
5

Marini, Mirella. "The entangled history of nobilities and borders in the sixteenth century." Virtus | Journal of Nobility Studies 30 (December 31, 2023): 167–69. http://dx.doi.org/10.21827/virtus.30.167-169.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
6

Morris-Suzuki, Tessa. "Le missile et la souris: Mouvements virtuels pour la paix dans un âge de terreur." Annales. Histoire, Sciences Sociales 58, no. 1 (February 2003): 163–78. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900002614.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
RésumésDepuis le 11 Septembre 2002, de nombreux groupements militant pour la paix ont utilisé internet pour diffuser l’information et rechercher des solutions au conflit. L’article examine les modalités de l’émergence de tels groupes et propose quelques réflexions préliminaires sur leur potentiel et leurs limites, en prenant l’exemple de deux mouvements pré-internet, le groupe Beheiren contre la guerre au Viêt-nam, au Japon, et le mouvement féminin de Greenham Common, en Grande-Bretagne, pour explorer le lien entre les supports de communication ainsi que les répertoires d’actions alors mises en oeuvre par les mouvements pacifistes. Puis, à travers le cas actuel de quelques-uns d’entre eux, on examine l’évolution de leur gamme d’actions dans le contexte de la diffusion des nouveaux médias et le déplacement d’une guerre mondiale à une guerre globale.
7

Wasinski, Christophe. "Comment la guerre devint virtuelle et vertueuse." Critique 792, no. 5 (2013): 454. http://dx.doi.org/10.3917/criti.792.0454.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
8

Delattre, Bastien. "Exposition virtuelle : Jacques Poudensan, « Reporter de guerre, Guéret entre 1939 et 1945 » [R 209 Pharmacie et photographie]." Revue d'histoire de la pharmacie 108, no. 411 (2021): 442–43. http://dx.doi.org/10.3406/pharm.2021.24461.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
9

Guillot, Philippe, and Marie-José Durand-Richard. "Informatique et cryptologie : un déplacement des frontières." Intellectica. Revue de l'Association pour la Recherche Cognitive 72, no. 1 (2020): 141–57. http://dx.doi.org/10.3406/intel.2020.1950.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les travaux de Turing ont montré les liens étroits qu’entretiendront cryptologie et mécanisation du calcul. Leur évolution parallèle va déplacer de nombreuses frontières : entre secret et transparence, entre sphère publique et sphère privée, entre contrôle social et liberté individuelle, entre art et science. Cet article explore ce mouvement à la lumière des domaines où il s’est manifesté. Depuis la Seconde Guerre mondiale, la cryptologie a évolué d’un usage presque exclusivement militaire à son ubiquité actuelle. Cette mutation d’usage s’est doublée d’une transformation de nature, en particulier sous l’angle du rapport à la science. Les techniques artisanales ont cédé la place à une nouvelle branche des mathématiques dont le caractère scientifique est autant revendiqué que controversé, tant la sécurité est matière à spéculation. Les questions ouvertes par la théorie de la complexité trouvent une illustration imagée avec les mondes virtuels de Russel Implagliazzo. L’impact sociétal de la cryptologie est aussi abordé du point de vue de la nature des échanges : contrôle institutionnel ou maintien au sein de cercles privés. L’histoire de l’opposition entre contrôle étatique et liberté d’usage sera exposé au regard du droit. Sont enfin abordées les nouvelles applications et menaces de la cryptologie, reculant les frontières du possible, de l’informatique en nuage aux monnaies virtuelles.
10

Giladi, Amotz. "Le Portrait de l'écrivain en entrepreneur: Blaise Cendrars et ses projets éditoriaux." Nottingham French Studies 55, no. 3 (December 2016): 362–77. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2016.0160.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les années 1920 constituent une période charnière dans le parcours de Blaise Cendrars: ayant entamé sa carrière au sein des avant-gardes parisiennes, il commence à s'éloigner de ces milieux après la Grande Guerre. Le centre de gravité de son écriture se déplace alors de la poésie au roman. Au même moment, il joue un rôle de conseiller ou de directeur de collection auprès de deux maisons d'édition qui publient ses œuvres: La Sirène et Le Sans Pareil. Devenant un « entrepreneur » éditorial, il conçoit, pour son propre travail littéraire, une multitude de titres, dont une grande partie ne sera jamais réalisée. Cendrars utilise ces projets « virtuels » dans la construction de la dimension mythologique de son œuvre, marquée par le thème du mouvement perpétuel. Cela correspond aux techniques littéraires du plagiat, de la réécriture et de l'intertextualité, employées par Cendrars afin de façonner ses œuvres en tant que textes « imaginaires ».
11

Langeard, Eric. "La place des services de qualité dans une économie mondiale." Décisions Marketing N° 16, no. 1 (January 1, 1999): 53–56. http://dx.doi.org/10.3917/dm.016.0053.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Si la place de la qualité dans les services ne peut être remise en question, il est possible que sa pratique soit handicapée, à court terme, en raison de la mise en œuvre de la mondialisation pour être relancée, à moyen terme, compte tenu de nouvelles évolutions. La mondialisation entraîne quatre réponses de la part des entreprises de service : nombre et importance record des concentrations d’entreprises, diminution forte du nombre des innovations de service, développement de la néo-taylorisation et politiques agressives de baisse de prix. Aucune de ces réponses n’est favorable à la qualité. On peut espérer que la mondialisation sera digérée en quelques années et deux évolutions fortes rendront les stratégies de qualité indispensables. Il s’agit d’une évolution juridique vers l’obligation de résultat pour le prestataire. La seconde évolution, c’est Internet. Les réseaux virtuels vont entraîner une exigence de valeur ajoutée et donc de qualité pour éviter des guerres de prix destructrices .
12

Martins, Suelen. "Sobre metáfora, cognição, emoção e reframe: reflexões em tempos de pandemia." Revista da ABRALIN 19, no. 2 (October 21, 2020): 1–5. http://dx.doi.org/10.25189/rabralin.v19i2.1642.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Neste texto, resenham-se as considerações feitas por Filardo-Llamas et al. na mesa redonda Metáfora, cognición y emoción: reflexiones en tiempos de pandemia no evento virtual Abralin ao Vivo: Linguists Online. Na ocasião, as pesquisadoras apresentaram a iniciativa internacional, aberta e colaborativa #ReframeCovid, projeto surgido a partir de conversas no Twitter entre linguistas da área cognitiva de vários países. Metodologicamente, as apresentadoras tomaram como referência o menu de metáforas para pessoas que vivem com câncer de Semino (2019), a fim de haver uma reflexão sobre os possíveis enquadres metafóricos acerca da pandemia de Covid-19, com destaque para a utilização das metáforas bélicas, e de propor a discussão sobre enquadres alternativos àqueles relacionados à ideia de guerra. Filardo-Llamas et al. debateram os consequentes efeitos emocionais negativos causados pelas metáforas bélicas usadas em textos de diversos gêneros, principalmente, nos multimodais.
13

Corderot, Didier. ""Biblioteca Rocío" (1937-1939) o las virtudes de la novela rosa durante la Guerra Civil española." Tropelías: Revista de Teoría de la Literatura y Literatura Comparada, no. 23 (January 26, 2015): 26. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_tropelias/tropelias.201523993.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Las colecciones literarias populares no dejaron de desarrollarse en España en la primera mitad del siglo XX. Contrariamente a ciertas ideas erróneas, estas no desaparecieron durante la Guerra Civil sino que se adaptaron a las circunstancias, tanto más cuanto que su naturaleza híbrida y su extensión calibrada, corresponden a la disponibilidad reducida de su público lector. Sin embargo, su dispersión y la fragilidad de su soporte no permiten a esas colecciones seriadas ocupar su verdadero sitio en las historias literarias del periodo. Aún víctimas de prejuicios estéticos que las relegan a la categoría de infraliteratura, necesitan estudios monográficos para que se las reconozca en tanto que género de pleno derecho de la edición española. Este artículo se dedica a una de ellas : Biblioteca Rocío, que sale a la luz a partir de 1937, en Sevilla, es decir en el campo de los rebeldes nacionales y que se interrumpe a priori en 1945. La mayor parte de las novelas rosas que la componen son en apariencia de una total inocuidad ideológica en la medida en que son la repetición de títulos publicados en Francia en los años 1920, escritos por autores franceses. Su función consiste en volver a entronizar un modelo conservador, verdadero baluarte contra cualquier cambio que amenazaría el equilibrio de la sociedad. Se encuentra también en esta serie un conjunto de textos de escritores españoles –muchos de ellos son panegiristas del carlismo– que abogan de la misma manera por la superioridad de valores tradicionales, antídoto supuesto contra la subversión del proletariado. Biblioteca Rocío participa según sus responsables en la empresa de reconstruction moral de España. Les collections littéraires populaires n’ont cessé de se développer en Espagne dans toute la première moitié du XXe siècle. Contrairement à certaines idées reçues, celles-ci ne disparaissent pas durant la Guerre d’Espagne mais s’adaptent aux circonstances, d’autant que leur nature hybride ainsi que leur extension calibrée, correspondent à la disponibilité réduite de leur lectorat. Cependant, leur dispersion et la fragilité de leur support ne permettent pas à ces collections d’occuper la place qui leur revient dans les histoires littéraires de la période. Encore victimes de préjugés esthétiques qui les relèguent à la catégorie d’infralittérature, elles nécessitent des études monographiques pour qu’on les reconnaisse comme genre à part entière de l’édition espagnole. Cet article est consacré à l’une d’entre elles : Biblioteca Rocío, qui paraît à partir de 1937 à Séville, c’est-à-dire dans le camp des rebelles nationalistes et qui s’interrompt a priori en 1945. La pluplart des romans à l’eau de rose qui la composent sont en apparence d’une totale inocuité idéologique dans la mesure où ils sont la reprise de titres parus en France au cours des années 20, écrits par des auteurs français. Leur fonction consiste à réintroniser un modèle conservateur, véritable rempart contre tout changement qui menacerait l’équilibre de la société. On trouve également dans cette collection un ensemble de textes d’écrivains espagnols – bon nombre sont des chantres du carlisme – qui prônent de la même façon la supériorité des valeurs traditionnelles, antidote supposé contre la subversion du prolétariat. Biblioteca Rocío participe selon ses responsables à l’entreprise de reconstruction morale de l’Espagne.
14

Rigoni Filho, Júlio César. "Os enquadramentos do usuário de drogas na Folha de S. Paulo ao longo da Ditadura Militar." Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 12, no. 1 (June 27, 2023): 90–105. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v12.n1.2023.526.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
PT. O período da Ditadura Militar no Brasil (1964 – 1985) envolve uma série de práticas dentre as quais destaca-se a influência dos Estados Unidos na condenação internacional do uso de substâncias psicoativas, principalmente com o acirramento da Guerra Fria e as repercussões cotidianas do combate ao comunismo. Além disso, uma série de medidas legais e penais oficializaram o usuário de drogas enquanto criminoso, gerando enquadramentos penais ou em tratamentos de saúde, para os sujeitos considerados doentes. Nesse contexto, diversos meios de comunicação e diferentes práticas artísticas passaram a ser considerados pela Escola Superior de Guerra como instrumentos de subversão, ao passo que a imprensa apoiadora do regime divulgava informações sobre os perigos das drogas, alimentando as representações sobre o usuário de drogas. É em tal período que ocorre a ascensão do jornal Folha de S. Paulo, como empresa de mídia aliada do governo ditatorial que logo tornou-se um dos jornais de maior circulação do país. Com isso, identificam-se os enquadramentos do usuário de drogas a partir de matérias nacionais veiculadas na Folha de S. Paulo durante a Ditadura. No acervo virtual do periódico, identificaram-se 325 textos jornalísticos, e após um processo de afunilamento e categorização, elegeram-se algumas para a análise. A partir delas constatou-se os elementos constituintes dos enquadramentos do usuário de drogas como criminoso (geralmente pertencente às camadas mais pobres da população e que além de usuários tornavam-se traficantes, sendo que em casos mais graves envolviam-se em homicídios) ou como doente (indivíduos cujo grau de dependência da substancia comprometia sua vida em sociedade, necessitando de tratamentos em clínicas, grupos de apoio ou comunidades terapêuticas), bem como o destaque dado pelo veículo de comunicação sobre o tema ao longo do período ditatorial. *** EN. The period of military dictatorship in Brazil (1964 - 1985) was shaped by a variety of factors, including the influence of the United States in the international repression of the use of psychoactive substances, which became more pronounced with the intensification of the Cold War and the day-to-day side-effects of the fight against communism. A series of legal and penal measures criminalized this consumption, establishing penal or health care provisions for individuals considered to be ill. Various media and artistic practices were perceived at the time as instruments of subversion by the Military Academy, while pro-regime press outlets disseminated information on the dangers of drugs, constantly fueling representations of drug users. During the same period, the daily Folha de S. Paulo gained traction as a media company backing the dictatorship. It rapidly became one of the country's most widely circulated newspapers. We examine the framing of drug users in articles on national topics published in Folha de S. Paulo during the dictatorship. After extracting 325 journalistic texts from the newspaper's electronic archives, we sorted and classified them to select some for analysis. This corpus enabled us to identify the key elements employed to frame drug users either as criminals (generally from the poorest strata of the population, who, in addition to being consumers, were also traffickers and, in the most serious cases, involved in homicides) or sick persons (individuals whose degree of addiction threatened ability to live in society, in need of medical treatment in a clinic, via a support group or a therapeutic community). It allows to understand the importance given to this topic by this press outlet throughout the dictatorship. *** FR. La période de la dictature militaire au Brésil (1964 - 1985) a été marquée par diverses pratiques, notamment l'influence des États-Unis dans la répression internationale de la consommation de substances psychoactives, qui s'est accentuée avec l'intensification de la guerre froide et les répercussions quotidiennes de la lutte contre le communisme. Un ensemble de mesures légales et pénales a par ailleurs criminalisé cette consommation, établissant des cadres en matière pénale ou de soins de santé pour les individus considérés comme malades. Divers médias et pratiques artistiques ont alors été perçus par l'École supérieure de guerre comme des instruments de subversion, tandis que les organes de presse favorables au régime diffusaient des informations sur les dangers des drogues, alimentant ainsi les représentations du consommateur de stupéfiant. C'est à cette époque que le quotidien Folha de S. Paulo a pris de l'ampleur en tant qu'entreprise de presse alliée à la dictature, se plaçant rapidement parmi les journaux à plus fort tirage du pays. Nous nous sommes intéressés aux cadrages du consommateur de stupéfiant à partir d’articles sur des sujets nationaux publiés dans Folha de S. Paulo pendant la dictature. Après avoir extrait 325 textes journalistiques des archives électroniques de ce journal, nous avons procédé à un travail de tri et de classification afin d'en sélectionner certains pour l'analyse. Sur la base de ce corpus, nous avons pu identifier les éléments constitutifs du cadrage du consommateur de stupéfiant en tant que criminel (généralement issu des couches les plus pauvres de la population et qui, en plus d'être consommateur, se retrouvait trafiquant et dans les cas les plus graves, impliqué dans des homicides) ou en tant que malade (un individu dont le degré d’addiction compromettait la vie en société, ayant besoin d’un traitement dans une clinique, ou via un groupe de soutien ou une communauté thérapeutique), ainsi que la place accordée à ce sujet par cet organe de presse durant toute la dictature. ***
15

Wingard, Jaia, Vicki Sallee, Peter Edward Gabriel, Abigail Doucette, Wallace P. Wormley, Colleen M. Grosso, Robert A. Schnoll, et al. "Impact of pandemic on accrual of minority participants to interventional cancer clinical trials." Journal of Clinical Oncology 41, no. 16_suppl (June 1, 2023): e18581-e18581. http://dx.doi.org/10.1200/jco.2023.41.16_suppl.e18581.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
e18581 Background: Underrepresentation of Black (BL) and Hispanic (HIS) participants in cancer clinical trials remains a major challenge. Community- and patient-facing initiatives facilitate minority participant accrual (Guerra et al, ASCO, 2021); however, limitations due to COVID-19 pandemic and loss of in-person activities in the community have threatened efforts. In response, the Abramson Cancer Center (ACC) at Penn launched community and patient outreach initiatives that were virtual or socially distanced, including drive-through cancer screening ‘mini-clinics’ in community parking lots, mobile mammography, virtual patient education, and community clinical trial ambassadors. Here, we report accrual of BL and HIS participants to interventional cancer clinical trials at the ACC from 2019 through 2021. Methods: Two geographic areas were examined (i) the ACC 12-county catchment area, where 81% of tumor registry patients reside, and (ii) Philadelphia County, ACC’s physical location and where 22% of ACC patients reside. The primary metrics evaluated per geographic area for BL and HIS individuals were: % of residents in the population, % of cancer cases overall, % of adult cancer patients seen and cared for at the ACC, and % of adult participants enrolled on treatment (T) or non-therapeutic interventional (NTI) trials. Data sources were: US Census 2010 and 2020; state cancer registry data for 2015-2019 (most recent); and ACC data for 2019-2021. Pragmatic clinical trials were excluded. Results: The total new patients seen at ACC decreased by 13% in 2020 compared to 2019 rebounding in 2021. Compared to 2019, total T accruals decreased 40% in 2020 and 45% in 2021. NTI accruals decreased 58% in 2020 but recovered by 2021. Primary metrics are shown in the Table. From 2019 through 2021, the % of BL and HIS patients seen at the ACC was constant. For BL patients from the entire catchment or from Philadelphia County, the % enrolled on T trials matched or exceeded the % of BL patients at ACC. For NTI accruals, there was a modest decrease in 2021 in the % of BL participants for the 12 counties but an increase in Philadelphia. For HIS individuals, the % of patients seen at ACC and enrolled on T or NTI trials was stable. Conclusions: With community- and patient-facing efforts adjusted for pandemic limitations, relative accrual of BL and HIS participants to interventional clinical trials was sustained at our cancer center in the first two years of the COVID-19 pandemic. [Table: see text]
16

Delgado, Manuel, and Sarai Martín López. "La violencia contra lo sagrado. Profanación y sacrilegio: una tipología." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 171. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.09.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
RESUMENDe entre todos los objetos, tiempos, espacios, palabras y seres que componen el mundo físico, algunos están investidos de un valor especial por cuanto se les atribuye la virtud de visibilizar las instancias invisibles de las que dependemos los mortales. Es lo sagrado. A lo sagrado se le depara un trato singular hecho de respeto, veneración o miedo, pero en ocasiones también de rencor y de odio por lo que encarna o representa. Es adorado, pero también, y acaso por las mismas razones, puede ser insultado, destruido, objeto de burla y, si tiene forma humana, martirizado o asesinado. La violencia contra lo sagrado puede caber en sistemas religiosos que le otorgan a la agresión un papel central en su universo mítico o ritual. También se ofende u agrede lo santo para grupos o pueblos a someter, puesto que en ello está resumido su orden del mundo. Desde esta perspectiva, el agravio, la irreverencia y el daño pasan a reclamar un lugar protagonista en los estudios sobre la institución religiosa de la cultura bajo las figuras del sacrilegio y la profanación.PALABRAS CLAVE: sagrado, profanación, sacrilegio, violencia religiosa, iconoclastia.ABSTRACTOf all the objects, times, spaces, words and beings that make up the physical world, some are invested with a special value because they are attributed the virtue of making visible the invisible instances on which we mortals depend. This is the sacred. The sacred is given a singular treatment combining respect, veneration or fear, but sometimes also resentment and hatred of what it embodies or represents. It is adored, but also, and perhaps for the same reasons, it can be insulted,destroyed, mocked and, if it has a human form, martyred or killed. Violence against the sacred can fit into religious systems that give aggression a central role in their mythical or ritual universe. Also offended or attacked is what is sacred for groups or peoples to be subdued, since in it an embodiment of their world order. From this perspective, aggravation, irreverence and damage occupy a central place in the studies on the religious institution of culture under the figures of sacrilege and profanation.KEY WORDS: sacred, profanation, sacrilege, religious violence, iconoclasm. BIBLIOGRAFÍAAgamben, G. (2005), Profanaciones, Barcelona, Anagrama.Arbeola, V. M. (1973), Socialismo y anticlericalismo, Madrid, Taurus.Arce Fustero, G. (2018), De espaldas a Cristo. Una historia del anticlericalisme en Colombia, 1849-1948, Medellín, Editorial Universidad de Medellín.Aston, M. (1988), England’s Iconoclasts, Oxford, Oxford University Press.Auzépy, M. F. (1987), “L’iconodulie: Défense de l’image ou de la devotion de l’image”, en Boesfplug, F. y Lossy, N. (comp.), Nicée II, 787-19 87. Douze siecles d’imagerie religieuse, París, Cerf, 157-164.Bataille, G. (2007 [1957]), El erotismo, Barcelona, Tusquets.Bateson, G. y Bateson, M. C. (1989), El temor de los ángeles. Epistemología de lo sagrado, Barcelona, Gedisa, 29-64.Bajtin, M. (1988 [1965]), La cultura popular en la Edad Media y el Renacimiento. El contexto de François Rabelais, Madrid, Alianza.Beçanson, A. (2003), La imagen prohibida: Una historia intelectual de la iconoclastia, Madrid, Siruela.Benjamin, W. (2014 [1921]), El capitalismo como religión, Madrid, La Llama.Benedict, R. (1938), “Religion”, en Boas, F. (ed.), General Anthropology, Nueva York, Columbia University Press, 627-655.Beránek, O. y Ťupek, P. (2018), The Temptation of Graves in Salafi Islam. Iconoclasm, Destruction and Idolatry, Edimburgo, Edinburgh University Press.Bernard, C. y Gruzinski, S. (1993), De la idolatría. Hacia una arqueología de las ciencias de la religión, México DF, FCE.Blom, P. (2007), Encyclopédie. El triunfo de la razón en tiempos irracionales, Barcelona, Anagrama.Caillois, R. (2014 [1939]), El hombre y lo sagrado, México DF, FCE.Crew, Ph. M. (1978), Calvinist Preaching and lconoclasm in the Neederlanden, 1544-1566, Cambridge, Cambridge University Press.Cottret, B. (1984), “Pour une sémiotique de la Réforme: Le Consensus Tigurinus (1549) et la Brève résolution... (1555) de Calvin”, Annales ESC, 40 (2), 265-285.Crouzet, D. (1990), Les Guerriers de Dieu. La violence au temps des troubles de religion, París, Champ Vallon, 2 vols.Cueva, J. de la, (1998): “El anticlericalismo en la Segunda República y la Guerra Civil”, en La Parra López, E. y Suárez Cortina, M. (eds.), El anticlericalismo español contemporáneo, Madrid, Biblioteca Nueva, 211-230.–(2000), “’Si los curas y frailes supieran…’ La violencia anticlerical”, en Juliá, S. (dir.), Violencia política en la España del siglo XX, Madrid, Taurus, 191-233.Cueva Merino, J. de la, y Montero García, F. (eds.) (2007), La secularización conflictiva. España (1898-1931), Madrid, Biblioteca Nueva.–(2009), Laicismo y catolicismo. El conflicto político-religioso en la segunda república, Alcalá de Henares, Universidad de Alcalá.De Baets, A. (2014), “The Year Zero: Iconoclastic breaks with the past”, Annales Universitatis Paedagogicae Cracoviensis Studia Politologica, 13, 3-18.Delgado, M. (2012), La ira sagrada. Anticlericalismo, iconoclastia y antirritualismo en la España contemporánea, Barcelona, RBA.Di Stefano, R. (2010), Ovejas negras. Historia de los anticlericales argentinos, Buenos Aires, Sudamericana.Durkheim, É. (2006 [1906]), “Determinación del hecho social”, en Sociología y filosofía, Buenos Aires, Schapire, 35-65.– (2008 [1912]), Las formas elementales de la vida religiosa, Alianza, Madrid.Davis, N. Z. (1993), “Los ritos de la violencia”, en Sociedad y cultura en la Francia moderna, Barcelona, Crítica, 149-185.Eliade, M. (1981 [1957]), Lo sagrado y lo profano, Madrid, Guadarrama.Freedberg, D. (2017), Iconoclasia. Historia y psicología de la violencia contra las imágenes, Vitoria-Buenos Aires, Sans Soleil Ediciones.Hubert, H, y Mauss, M. (2010 [1899]), “Ensayo sobre el sacrificio”, en Mauss, M., El sacrificio. Magia, mito y razón, Buenos Aires, Las Cuarenta.Gamboni, D. (2014), La destrucción del arte: iconoclasia y vandalismo desde la Revolución Francesa, Madrid, Cátedra.Garrisson Estebe, J. (1975), “The rites of violence: Religious riot in Sixteenth Century France”, Past & Present, 66, 127-150.Giobellina, F. (2014), El lado oscuro. La polaridad sagrado/profano en Durkheim y sus avatares, Buenos Aires, Katz.Girard, R. (1983), La violencia y lo sagrado. Anagrama, Barcelona.Gofmann, E. (2009 [1959]), La presentación de la persona en la vida cotidiana, Buenos Aires, Amorrortu.Goody, J. (1999), “¿Iconos e iconoclastia en África? Ausencia y ambivalencia”, en Representaciones y contradicciones, Barcelona, Paidós, 51-90.Grabar, A. (1998), La Iconoclastia bizantina, Madrid, Akal.Gruzinski, S. (2014), La Colonización de lo imaginario, México DF, FCE.Gumbrecht, H. U. (2005), Producción de presencia. Lo que el significado no puede transmitir, México DF, Universidad Iberoaméricana.Habermas, J. (2011), El poder de la religión en la esfera pública, Madrid, Trotta.Hermant, D. (1978), “Destructions et vandalisme pendant la Révolution française”, Annales ESC, 33 (4), 703-719.Hill, Ch. (2015), El mundo trastornado. El ideario popular extremista en la Revolución inglesa del siglo XVII, Madrid, Siglo XXI.La Parra López, E. y Suárez Cortina, M. (eds.) (1998), El anticlericalismo español contemporáneo, Madrid, Biblioteca Nueva.Lalouette, J. (1997), “El anticlericalismo en Francia, 1877-1914”, en Cruz, R. (ed.), El anticlericalismo, Madrid, Marcial Pons, (27), 15-38.Lannon, F. (1990), Privilegio, persecución y profecía. La iglesia católica en España, 1875-1975, Madrid, Alianza.Latour, B. (2002), “What is Iconoclash? or Is there a world beyond the image wars?”, en Weibel, P. y Latour, B., Iconoclash, Beyond the Image-Wars in Science, Religion and Art, Cambridge, ZKM and MIT Press, 14-37.Ledesma, J. L. (2005), “La ‘santa ira popular’ del 36: la violencia en guerra civil y revolución, entre cultura y política”, en Muñoz, J., Ledesma, J. L. y Rodrigo, J. (coords.), Madrid, Sierte Mares, 147-192.Leiris, M. (2007 [1931]), El África fantasmal. De Dakar a Yibuti, 1931-1933, Valencia, Pre-textos.Llobera, J. (1996), El dios de la modernidad. El desarrollo del nacionalismo en Europa occidental, Barcelona, Anagrama.Luther, M. (2012 [1529]), Grand Catéchisme, Florencia, Nabu Press.Mannelli, S. (2002), Anticlericalismo e democrazia: Storia del Partito radicale in Italia e a Roma, 1901–1914, Soveria Marelli, Rubbettimo.Martínez Assad, C. (1991), El laboratorio de la revolución. El Tabasco garridista, México DF, Siglo XXI.Mellor, A. (1967), Historia del anticlericalismo francés, Bilbao, Mensajero.Milhazes, J. (2012), “Comunismo como fase suprema do anticlericalismo”, Cultura, Espaço & Memória, 3, 63-78.Mitchell, T. J. (1988), Violence and Piety in Spanish Folklore, Minesotta, University of Pennsylvania Press.Mochizuki, M. M. (2006), The Netherlandish Image after Iconoclasm, 1566–1672. Material Religion in the Dutch Golden Age, Londres, Routledge.Otaola, J. (1999), Laicidad. Una estrategia para la libertad, Barcelona, Bellaterra.Otto, R. (1980 [1917]), Lo santo. Lo racional y lo irracional en la idea de Dios, Madrid, Alianza.Philipps, J. (1973), The Reformation of lmages: Destruction of Art in England, 1535-1600, Berkeley, University of Berkeley Press.Prades, J. A. (1998) Lo sagrado. Del mundo arcaico a la actualidad, Barcelona, Península.Radcliffe-Brown, A. R. (1996 [1939]), “Tabú”, en Estructura y función en la sociedad primitiva, Barcelona, Península, 153-173.Rambelli, F. y Reinders, E. (2012), Buddhism and Iconoclasm in East Asia: A History, Londres/Nueva York, Blombsbury.Ranzato, G. (1997), “Dies irae. La persecuzione religiosa nella zona republicana durante la guerra civile spagnola (1936-1939)”, en La difficile modernità e altri saggi sulla storia della Spagna contemporanea, Turín, Edizioni dell’Orso, 195-220.Reinders, E. (2004), “Monkey kings make havoc: iconoclasm and murder in the Chinese cultural revolution”, Religion, 34, 191-209.Ríos Figueroa, J. (2002), Siglo XX. Muerte y resurrección de la Iglesia Católica en Chiapas, San Cristóbal de las Casas, UNAM.Romero, P. G. (2002), El ojo de la batalla. Estudios sobre iconoclastia e iconodulia, historia del arte y vanguardia moderna, Valencia, Col·legi Major Rector Peset.Sansi, R. (2009), « Intenció i atzar en la historia del fetitxe », Quaderns de l’Institut Català d’Antropologia, 23 (8), 139-158.Sarró, R. (2009), The Politics of religious change on the Upper Guinea Coast: Iconoclasm done and undone, Edimburgo, Edinburgh University Press.Simmel, G. (1986 [1908]), “El secreto y la sociedad secreta”, en Sociología, Madrid, Alianza, vol. I, 357-424.Thomas, M. (2014), La Fe y la furia: violencia anticlerical popular e iconoclasta en España, 1931-1936, Granada, Comares.Tylor, R. P. (1985), The Death and the Resurrection Show. From Shamanism to Superstars, Londres, Blond.Ullman, J. C. (2009 [1968]), La Semana Trágica, Barcelona, Ediciones B.
17

Da Silva Sobrinho, Adriano Referino, Israel Luís Diniz Carvalho, Luiz Gutenberg de Miranda Toledo Coelho Júnior, Pedro Henrique Sette-de-Souza, and Herika de Arruda Maurício. "Perfil dos Coordenadores de Saúde Bucal no Brasil: revisão de literatura." ARCHIVES OF HEALTH INVESTIGATION 9, no. 5 (April 20, 2020): 479–84. http://dx.doi.org/10.21270/archi.v9i5.4727.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Introdução: O gestor de saúde bucal é peça chave para o funcionamento do Sistema Único de Saúde (SUS). Dentre suas atribuições, está a de consolidar os serviços odontológicos, otimizar o processo de trabalho de sua equipe profissional e garantir o direito à saúde para usuários. Para atender a todas as demandas, o gestor precisa estar preparado para o exercício do cargo designado. Objetivo: Conhecer o perfil dos coordenadores de saúde bucal no Brasil. Material e método: O estudo classifica-se como uma revisão narrativa da literatura. O levantamento da literatura foi realizado no período de Março a Abril de 2019, utilizando-se as bases de dados da Biblioteca Virtual de Saúde, Scielo, PubMed e GoogleAcadêmico com os descritores “Gestão em Saúde”, “Gestor de Saúde”, “Saúde Bucal”, “Assistência Odontológica”, “Sistema Único de Saúde”, “Recursos Humanos em Odontologia”, “Serviços de Saúde Bucal”, “Administração em Saúde Pública” e “Gestão da qualidade”. Foram selecionados trabalhos publicados nos últimos 12 anos em qualquer idioma. Resultados: A partir de sete publicações, identificou-se o perfil sociodemográfico dos gestores predominantemente feminino, na faixa etária de quarenta anos e com formação em Odontologia. Observou-se deficiência na formação profissional e precárias condições de trabalho. Conclusão: Os resultados reforçam a necessidade de fortalecimento da Políticas de Recursos Humanos para o SUS.Descritores: Sistema Único de Saúde; Gestão em Saúde; Saúde Bucal; Recursos Humanos em Odontologia.ReferênciasBatista KT. A gestão em saúde como dilema bioético. Brasília méd. 2009;46(4).Brutscher VJ. Gestão, Direito e Participação no SUS. Rev bras ciênc saúde. 2012;16(3):401-10.Paegle ACRO, Souza EHA, Oliveira PA. Coordenação das Equipes de Saúde Bucal: Avaliação para Melhoria da Qualidade (AMQ). Pesq Bras Odontoped Clin Integr. 2012;12(4):497-503.Leal DL, Martins RC, Carneiro NCR, Abreu MHNG, Werneck MAF, Borges-Oliveira AC. Analysis of the oral health care network development in Minas Gerais state, Brazil. J Public Health Dent. 2019;79(2):154-59.Cunha MLS, Hortale VA. Características dos cursos voltados para a formação em gestão em saúde no Brasil. Saúde Debate. 2017;41:425-40.Lorenzetti J, Lanzoni GMM, Assuiti LFC, Pires DEP, Ramos FRS. Gestão em Saúde no Brasil: diálogos com gestores públicos e privados. Texto Contexto Enferm. 2014;23(2):417-25.Costa MBS, Salazar PEL. Análisis de la Gestión Municipal de los Servicios de Salud. Rev enferm UERJ. 2008;16(4):465-71.Mendes JDV, Bittar OJNV. Perspectivas e desafios da gestão pública no SUS. Rev Fac Ciênc Méd. 2014;16(1):35-9.Ferreira J. Celuppi IC, Baseggio L, Geremia DS, Madureira VSF, Souza JB. Planejamento regional dos serviços de saúde: o que dizem os gestores? Saúde Soc. 2018;27(1):69-79.Pimentel FC, Martelli PJL, Araújo Junior JLAC, Acioli RML, Macedo CLSV. Análise da atenção à saúde bucal na Estratégia de Saúde da Família do Distrito Sanitário VI, Recife (PE). Ciênc saúde coletiva. 2010;15(4):2189-96.Cordeiro AM, Oliveira GM, Rentería JM, Guimarães CA. Revisão Sistemática: uma revisão narrativa. Rev Col Bras Cir. 2007;34(6):428-31.Ferenhof HÁ, Fernandes RF. Desmitificando a revisão de literatura como base para redação científica: Método SSF. Revista ACB. 2016;21(3):550-563.Silva HM. O perfil dos municípios e dos coordenadores de saúde bucal pertencentes à região de Bauru (DIR-X) em relação à atenção básica à saúde (SUS)[dissertação]. Bauru: Faculdade de Odontologia de Bauru – USP; 2007.Martelli PJL, Cabral APS, Pimentel FC, Macedo CLSV, Monteiro IS, Silva SF. Análise do modelo de atenção à saúde bucal em municípios do estado de Pernambuco. Ciênc saúde coletiva. 2008;13(5):1669-1674.Lessa CFM, Vettore MV. Gestão da Atenção Básica em Saúde Bucal no Município de Fortaleza, Ceará, entre 1999 e 2006. Saúde Soc. 2010;19(3):547-56.Yokoyama RT, Sousa MLR, Amaral RC, Wada RS. Conhecimento dos Coordenadores de Saúde Bucal no Estado de São Paulo sobre a Lei 6.050 que regulamenta a fluoretação das águas em sistema de abastecimento público. Odontol Clín-Cient. 2011;10(1):37-41.Cascaes AM, Kamimura LCB, Peres KG, Peres MA. Conhecimento sobre uso de fluoretos em saúde bucal coletiva entre coordenadores municipais de saúde bucal do Estado de Santa Catarina, Brasil. Epidemiol Serv Saúde. 2012;21(1):89-98.Morita MC, Haddad AE, Araújo ME. Perfil Atual e Tendências do Cirurgião-Dentista Brasileiro. Maringá: Dental Press; 2010.Santos ALR, Faler CS. A Rede de Atenção Básica na perspectiva dos usuários do SUS de um município do Médio Alto Uruguai Gaúcho. Unoesc & Ciência – ACBS. 2018;9(1):15-22.Martins RJ, Moimaz SAS, Garbin CAS, Garbin AJI, Lima DC. Percepção dos Coordenadores de Saúde Bucal e Cirurgiões-Dentistas do Serviço Público sobre o Sistema Único de Saúde (SUS). Saúde soc. 2009;18(1):75-82.Gondinho BVC, Guerra LM, Bulgarelli JV, Probst LF, Cortellazzi KL, Possobon RF et al. Percepção de coordenadores de saúde bucal sobre a rede de atenção à saúde bucal. Rev Bras Promoç Saúde. 2018;31(Supl):1-8.Vermelho SC, Figueiredo G. A percepção de secretários municipais de saúde sobre a gestão do trabalho e da educação na rede pública do Sistema Único de Saúde (SUS). Saúde Soc. 2017; 26(2):382-96.Limeira FIR, Rebouças PRM, Rocha EALSS, Catão MHCV. O ensino de gestão nos cursos de graduação em Odontologia no Brasil. Rev ABENO. 2018;18(1):161-69.Stein C, Warmling CM, Tôrres LHN, Rech RS, Martins AB, Pires FS et al. Laboratório no estágio de gestão do SUS: integração ensino, pesquisa e gestão. Rev ABENO. 2018;18(2):166-73.Souza LEPF. O SUS necessário e o SUS possível: estratégias de gestão. Uma reflexão a partir de uma experiência concreta. Ciênc saúde coletiva. 2009;14(3):911-18.Pinafo E, Carvalho BG, Nunes EFPA, Domingos CM, Bonfim MCB. Gestor do SUS em município de pequeno porte no estado do Paraná: perfil, funções e conhecimento sobre os instrumentos de gestão. Rev Saúde Pública Paraná. 2016;17(1):130-37.Knevel R, Gussy MG, Farmer J. Exploratory scoping of the literature on factors that influence oral health workforce planning and management in developing countries. Int J Hyg. 2017;15(2):95-105.Chaves SCL, Cruz DN. Desafios contemporâneos à organização da atenção em saúde bucal na Bahia. Rev baiana saúde pública. 2012;36(3):621-39.Soares FF, Chaves SCL, Cangussu MCT. Governo local e serviços odontológicos: análise da desigualdade na utilização. Cad Saúde Pública. 2015;3193):586-96.Melo LMLL. Análise da organização das ações municipais de saúde bucal na atenção básica [dissertação]. Araçatuba: Faculdade de Odontologia – UNESP; 2016.Cunha EN, Souza MKB. A regionalização da saúde enquanto princípio organizativo para a gestão do SUS. Rev enferm UFPE. 2017; 11(suppl 5):2145-56.Maia Júnior AF. Secretários Municipais de Saúde: o SUS visto pela ponta da corda [tese]. Bauru: Faculdade de Odontologia de Bauru – USP; 2014.Scherer CI, Scherer MDA. Advances and challenges in oral health after a decade of the “Smiling Brazil” Program. Rev Saúde Pública. 2015;49:98.Pessoa TRRF, Castro RD, Freitas CHSM, Reichert APS, Forte FDS. Formação em Odontologia e os estágios supervisionados em serviços públicos de saúde: percepções e vivências de estudantes. Rev ABENO. 2018;18(2):144-55.Silva BFS, Benito GAV. A voz de gestores municipais sobre o acesso à saúde nas práticas de gestão. Ciênc saúde coletiva. 2013;18(8):2189-200.Galavote HS, Franco TB, Freitas PSS, Lima EFA, Garcia ACP, Andrade MAC et al. A gestão do trabalho na estratégia saúde da família: (des)potencialidades no cotidiano do trabalho em saúde. Saúde Soc. 2016;25(4):988-1002.Almeida AB, Alves MS, Leite ICG. Reflexões sobre os desafios da odontologia no sistema único de saúde. Rev APS. 2010;13(1):126-32.França MASA, Freire MCM, Pereira EM, Marcelo VC. Oral health indicators in the Interfederative Pacts of the Unified Health System: development in the 1998-2016 period. Rev Odontol UNESP. 2018;47(1):18-24.Hirooka LB, Catanante GV, Porto HS, Caccia-Bava MCGG. Structural factores for public dental health services in Regional Health Care Network 13: an analysis of the Brazilian National Program for Improving Access and Quality of Primaty Care. Rev Odontol UNESP. 2018;47(1):31-9.Patrício WAC. A visão dos gestores acerca da contribuição do programa de capacitação gerencial realizado no hospital do servidor público municipal [dissertação]. São Paulo: Pontifícia Universidade Católica de Saúde Paulo - PUC; 2011.Xavier EA. A inserção profissional dos trabalhadores de apoio à gestão/administrativos no Sistema Único de Saúde no município de Curitiba, PR [dissertação]. Rio de Janeiro: Escola Nacional de Saúde Pública Sergio Arouca; 2012.Molina-Marím G, Oquendo-Lozano T, Rodríguez-Garzón S, Montoya-Gómez N, Vesga-Gómez C, Lagos-Campos N et al. Gestión del talento humano em salud pública. Un análisis en cinco ciudades colombianas, 2014. Rev Gerenc Polít Salud. 2016;15(30):108-25.Felsky CN, Lima RCD, Garcia ACP, França T, Andrade MAC. Gestão do trabalho na saúde: com a palavra, atores da Estratégia Saúde da Família. Rev Bras Pesq Saúde. 2016;18(1):102-10.Moura DCN, Pinto JR, Aragão AEA. Perfil dos profissionais atuantes na Gestão em Saúde frente ao novo modelo de reorganização do SUS: A regionalização. Tempus, actas de saúde colet. 2016;10(1):75-93.Cunha SGS. A tomada de decisão de gestores da atenção secundária à saúde [dissertação] . Belo Horizonte: Escola de Enfermagem – UFMG; 2016.Andraus SHC, Ferreira RC, Amaral JHL, Werneck MAF. Organization of oral health actions in primary care from the perspective of dental managers and dentists: process of work, planning and social control. RGO Rev Gaúch Odontol. 2017;65(4):335-43.Silva BFS, Wandekoken KD, Dalbello-Araujo M, Benito GAV. A importância do planejamento de gestão na microrregião de saúde de Saúde Mateus (ES). Saúde Debate. 2015;39(104):183-96.
18

Mello, Celso Antônio Bandeira de. "DESAPROPRIAÇÃO DE BEM PÚBLICO." Revista de Direito Administrativo e Infraestrutura - RDAI 4, no. 14 (January 8, 2020): 113–33. http://dx.doi.org/10.48143/rdai.14.cabmello.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Consulta. O Prefeito Municipal de Valinhos, expõe-nos o que segue, anexando documentos ilustrativos e formula-nos, empós consulta sobre a matéria. In verbis: a) este Município, desde longo tempo, vinha tentando adquirir a Adutora de Rocinha, imóvel de propriedade da Municipalidade de Campinas e situado no vizinho território de Vinhedo; b) depois de ingentes esforços junto à Prefeitura Municipal de Campinas, logrou êxito esta Municipalidade, terminando por adquirir o referido imóvel em 18.02.1974; c) com essa aquisição, a população de Valinhos viu tornar-se palpável a realidade seu antigo sonho, já que a Administração vinha se afligindo com o problema da falta d’água, resolvido com a citada aquisição; d) ocorre que o Munícipio de Vinhedo, inconformado com a transação em pauta, declarou de utilidade pública, para ser desapropriada, em caráter de urgência, a área da antiga Adutora Municipal João Antunes dos Santos; e) entretanto, o ato expropriatório, Lei 682, de 1974, conforme cópia inclusa, sequer mencionou a finalidade de declaração, uma vez que a Adutora, imprescindível para o nosso Munícipio, pelo que representa em termos de abastecimento d’água à população, não o é em relação a Vinhedo, que se abastece das águas do Rio Capivari, ligando suas bombas uma vez por semana. Em face do exposto, formulamos a V. Exa. a seguinte consulta: “É lícito a Vinhedo desapropriar a Adutora Municipal João Antunes dos Santos, bem essencial à população de Valinhos, de cujos serviços de ordem pública não pode prescindir?” Parecer: O total deslinde do problema supõe o correto equacionamento de três questões que se interligam, no caso em foco, a saber: 1. Fundamentos do poder expropriatório; 2. Os bens públicos e sua função; 3. Relacionamento das pessoas jurídicas de Direito Público. Um breve exame destas diversas questões propiciará, em abordagem final, focar o problema proposto com auxílio do instrumento arrecadado por ocasião da análise de cada um dos tópicos mencionados. É o que faremos em um título derradeiro. I – Fundamentos do poder expropriatório. Desapropriação é o procedimento administrativo pelo qual o Poder Público, fundado em utilidade pública, despoja, compulsória e unilateralmente, alguém de uma propriedade, adquirindo-a, em caráter originário, mediante prévia e justa indenização. Fundamenta a desapropriação, do ponto de vista teórico. A supremacia geral que o Poder Público exerce sobre os bens sitos no âmbito de validade espacial de sua ordem jurídica. No Direito Positivo brasileiro, o instituto se calça, como é notório, no art. 153, § 22, da Carta Constitucional (Emenda 1, de 1969), o qual reza: “É assegurado o direito de propriedade, salvo o caso de desapropriação por necessidade ou utilidade pública ou interesse social, mediante prévia e justa indenização em dinheiro, ressalvado o disposto no art. 16...” E o art. 8º da Lei Magna estatui em seu inciso XVII, f, competir à União: legislar sobre desapropriação. O Decreto-lei n. 3.365, de 21.06.1941, e a Lei n. 4.132, de 10.09.1962, enunciam as hipóteses de utilidade pública e interesse social que abrem ensanchas ao desencadear do poder expropriatório. É perceptível a todas as luzes que a justificação do instituto reside na prevalência do interesse público, o qual, bem por isso – uma vez consubstanciadas as hipóteses de necessidade, utilidade pública ou interesse social –, se afirma sobranceiramente sobre interesses menores, via de regra, privados, que devem, então, ceder passo à primazia do primeiro. É por tal razão – e só por ela – que o instituto se marca precisamente pela compulsoriedade, tão marcante que nulifica a propriedade privada, à revelia do titular, convertendo seu conteúdo na equivalente expressão patrimonial que possua. Com efeito: a prerrogativa expropriatória, como quaisquer outras que assistam ao Poder Público, não lhe são deferidas pela ordem jurídica como homenagem a uma condição soberana, mas como instrumento, como meio ou veículo de satisfação de interesses, estes, sim, qualificados na ordenação normativa como merecedores de especial proteção. De resto, todos os privilégios que adotam o Poder Público não são por ele adquiridos quia nominor leo; muito pelo contrário: assistem-lhe como condição para eficaz realização de interesses que, transcendendo o restrito âmbito da esfera particular, afetam relevantemente a coletividade. É o fato de o Estado personificar o interesse público o que lhe agrega tratamento jurídico diferenciado. Em suma: no Estado de Direito, os Poderes Públicos se justificam e se explicam na medida em que se encontram a serviço de uma função, predispostos à realização de interesses erigidos pelo sistema em valores prevalentes. Eis, pois, como conclusão do indicado, que somente a supremacia de um interesse sobre outro, isto é, o desequilíbrio entre duas ordens de interesses pode autorizar a deflagração da desapropriação, posto que esta se inspira, justamente, na necessidade de fazer preponderar um interesse maior sobre um interesse menor. Não é condição jurídica do sujeito, em si mesmo considerando, mas no nível de interesses a seu cargo que se buscará o aval legitimador do exercício expropriatório. Por mais razoáveis, sensatas, lógicas ou afinadas com os lineamentos do Estado de Direito que sejam as ponderações ora expendidas, não se pretende que a validade das assertivas feitas repouse apenas nesta ordem de razões. Em verdade, propõe-se que elas se encontram nitidamente transfundidas no sistema jurídico-positivo brasileiro e desde o nível constitucional até o plano legal, posto que o art. 153, § 22, retromencionado, expressamente indica como pressuposto inafastável do instituto a necessidade utilidade pública e o interesse social. De igual modo, os já invocados Decreto-lei 3.365 e Lei 4.132 enunciam hipóteses de necessidade, utilidade pública e interesse social, os quais representam as condições para desapropriar. É bem evidente, dispensando maiores digressões, que o artigo constitucional e os textos legais contemplam interesses públicos e utilidades públicas prevalecentes sobre interesses de menor realce, uma vez que se trata de fixar os termos de solução no caso de entrechoques de interesses e de decidir quais deles cederão passo, quais deles serão preteridos, assim, convertidos em expressão patrimonial 0 para que a utilidade preponderante extraia do bem almejado o proveito público maior que nele se encarna. O que pretende realçar é que a própria noção de supremacia geral, deferida pelo sistema normativo às pessoas de Direito Público de capacidade política (União, Estados e Municípios), é autoridade derivada da ordenação jurídica e se esforça na qualificação dos interesses que a eles incumbe prover, de tal sorte que os poderes, os privilégios e as prerrogativas que desfrutam se constituem em um arsenal autoritário fruível, na medida em que instrumenta a finalidade protegida pelo Direito, isto é, a legitimação de seu uso depende do ajustamento aos interesses prestigiados no sistema. É o afinamento da atividade da pessoa aos valores infrassistemáticos do quando normativo que garante a legitimidade de sua expressão e não o reverso, ou seja: a legitimidade do exercício do poder – no Estado de Direito – não resulta meramente de quem o exerce, donde não ser a autoridade do sujeito que qualifica o interesse; pelo contrário: é a idoneidade jurídica do interesse que escora e valida o comportamento da autoridade a que o ordenamento atribuiu o dever-poder de curá-lo. Sendo assim, ao se examinar o instituto da expropriação, cumpre ter presente que os poderes da alçada do expropriante emergem na medida em que estejam a serviço do interesse em vista do qual tais poderes lhe foram irrogados. Neste passo, calham à fiveleta as ponderações de Arturo Lentini: “...la causa di pubblica utilità è la vera energia che mete in moto il fato dell’espropriazione per mezzo del soggetto espropriante. Questa è la raggione per cui la causa de pubblica utilità deve considerarsi come inesistente, qualora per determinarla si sai guardato sotanto ala qualità del soggeto espropriante.” (Le Espropriazioni per Causa di Pubblica Utilità. Milão: Società Editrice Libraria, 1936. p. 54.) Ora, como o instituto expropriatório é figura jurídica destinada a assegurar a compulsória superação de interesses menores por interesses mais amplos, mais relevantes (e que, bem por isso, devem prevalecer), a ablação do direito de propriedade de alguém em proveito do expropriante depende fundamentalmente da supremacia do interesse, isto é, da supremacia da necessidade e da utilidade proclamados sobre interesse que a ordem jurídica haja categorizado em grau subalterno, por escaloná-lo em nível secundário em relação ao outro que pode se impor. Estas considerações óbvias e que parecem por isso mesmo despiciendas quando se tem em mira as hipóteses comuns de desapropriação, nas quais a necessidade ou a utilidade pública se contrapõe ao interesse particular, revelam-se, contudo, fundamentais em matéria de desapropriação de bens públicos. A limpidez cristalina deles e o amparo teórico que as abona em nada se minimizam, mas a excepcionalidade da hipótese pode surtir o risco de lhes embaçar a clareza e lhes enevoar a percepção se não forem, liminarmente, postas em evidência, ao se rememorar os fundamentos do instituto. Pode-se afirmar, pois, como conclusão deste tópico que: “A desapropriação supõe a invocação de interesses e uma pessoa pública (necessidade, utilidade pública ou interesse social) superior ao de outra pessoa, cujos interesses sejam qualificados pela ordem jurídica como de menor relevância ou abrangência e, por isso mesmo, sobrepujáveis pelo expropriante.” II – Bens públicos e sua função. Nem todos os bens pertencentes ao Poder Público acham-se direta e imediatamente afetados à realização de um interesse público, isto é, determinados bens encontram-se prepostos à realização de uma necessidade ou utilidade pública, servindo-a por si mesmos; outros estão afetados a ela de modo instrumental, de maneira que a Administração serve-se deles como um meio ambiente físico, no qual desenvolve atividade pública, ou seja: correspondem a um local onde o serviço desenvolvido não tem correlação indissociável com a natureza do bem, posto que este nada mais representa senão a base especial em que se instala a Administração. Finalmente, outros bens, ainda, embora sejam de propriedade pública, não estão afetados ao desempenho de um serviço ou atividade administrativa. Em virtude da diversa função dos bens em relação à utilidade pública, há variadas classificações deles, inexistindo uniformidade na doutrina e no Direito Positivo dos vários países, quer quanto à categorização das espécies tipológicas que comportam quer no que respeita à inclusão de determinados bens em uma ou outra das diferentes espécies previstas nos esquemas de classificação. O Direito Positivo brasileiro dividiu-os em três tipos, catalogados no art. 66 do CC (LGL\2002\400), a saber: “I – os de uso comum do povo, tais como mares, rios, estradas, ruas e praças; II – os de uso especial, tais como os edifícios ou terrenos aplicados a serviço ou estabelecimento federal, estadual ou municipal; III – os dominicais, isto é, os que constituem o patrimônio da União, dos Estados ou dos Municípios como objeto de direito pessoal ou real de casa uma dessas entidades.” A quaisquer deles, foi outorgada a especial proteção da impenhorabilidade prevista no art. 117 da Carta Constitucional, a inalienabilidade (ou alienabilidade, nos termos que a lei dispuser) contemplada no art. 67 do CC (LGL\2002\400) e a imprescritibilidade, que resulta de serem havidos como res extra commercium, por força do art. 69 do mesmo diploma, além de outros textos especiais que dissiparam dúvidas sobre a imprescritibilidade dos bens dominicais. Certamente existe – partindo-se dos bens dominicais para os de uso comum, tomados como pontos extremos – uma progressiva, crescente, identificação com o interesse público. Os dominicais apenas muito indiretamente beneficiam ou podem beneficiar a utilidade pública; os de uso especial já se apresentam como instrumento para sua efetivação; e os de uso comum se identificam com a própria utilidade por meio deles expressada. Demais disso, como já observaram doutores da maior suposição, se já bens acomodáveis com inquestionável propriedade em uma ou outra categoria, outros existem que parecem tangenciar a fronteira de mais de uma espécie, não se podendo afirmar, de plano, em qual dos lados da fronteira se encontra. Isto se deve ao fato de que sua adscrição ao interesse público é especialmente vinculada, no que parecerem se encontrar no limiar de transposição da categoria dos bens de uso especial para a classe dos de uso comum, tendendo a se agregar a esta, em que é mais sensível o comprometimento do bem com o interesse público. Daí a ponderação do insigne Cirne Lima: “Entre essas duas classes de bens – o autor refere-se aos de uso comum e de uso especial – existem, no entanto, tipos intermediários; forma o conjunto uma gradação quase insensível de tons e matizes. Assim, entre as estradas e as construções ocupadas pelas repartições públicas, figuram as fortalezas que, a rigor, pode dizer-se, participam dos caracteres de umas e outras: são o serviço de defesa nacional, porque são concretização desta em seu setor de ação, e, ao mesmo tempo, estão meramente aplicadas a esse serviço, porque o público não se utiliza deles diretamente.” (Princípios de Direito Administrativo. 4. ed. Porto Alegre: Sulina, 1964. p. 78.) A profunda identificação de certos bens com a satisfação de necessidades públicas levou o eminente Otto Mayer a incluir certas edificações e construções na categoria de bens do domínio público, submetidos, na Alemanha, ao regime de Direito Público em oposição aos demais bens estatais regidos pelo Direito Privado. Por isso, incluiu nesta classe outros bens não arroláveis entre os exemplos mais típicos de coisas públicas. Então, depois de observar que as “estradas, praças, pontes, rios, canais de navegação, portos e a beira-mar constituem os exemplos principais de coisas subordinadas ao Direito Público”, aditou-lhes outras, algumas das quais até mesmo excludentes do uso comum. São suas as seguintes considerações: “Mais il y a des choses publiques donc la particularité consiste dans une exclusion rigoureuse du public. Ce sont les fortifications. Elles représentent donc un troisième groupe. Elles ont le caractère distinctif de représenter directement par elles-mêmes l’ utilité publique. Cette utilité consiste ici dans la défense du territoire nationale.” (Le Droit Administratif Allemand. Paris: V Giard et E. Brière, 1905. t. 3, p. 124.) Finalmente, o autor citado arrola, ainda, entre as coisas de domínio público: “...les grandes digues destinés a contenir les eaux des fleuves ou de la mer; elles participent, en quelque manière, à la nature des fortifications. Nous citerons encore les égouts publics; quad ils font corps avec les rues, ils sont compris dans la dominialitè de ces dernières; mais ils devront être considérés comme choses publiques em eux-mêmes quand ils se separent des rues et suivent leur cours distinctement.” (Op. cit., p. 125-126.) Em suma, o que o autor pretendia demonstrar é que nem sempre o uso comum de todos, ocorrente sobretudo no caso das coisas naturalmente predispostas a tal destinação, revela-se traço bastante discriminar o conjunto de bens mais intimamente vinculado às necessidades públicas e, por isso mesmo, merecedor de um tratamento jurídico peculiar, em nome do resguardo dos interesses coletivos. Compreende-se, então, sua crítica a Wappaus e Ihering, expressada em nota de rodapé, onde afirma: “comme la qualité de chose publique ne peut pas être conteste aux fortifications, ceux de nos auteurs qui maintiennent l’usage de tous comme condition indispensable de l’existence d’ une chose publique se voient obligés de faire des èfforts pour sauver, em ce qui concerne les fortifications toutes au moins, quelques apparences d’un usage de tous. Ainsi Ihering, dans ‘Verm. Schriften’, p. 152, fait allusion à une destination de ce genre em les appelants ‘établissements protecteurs qui profitent non pas à l’État, mais aux individus’. Cela tout d’abord, n’est pas exact; et même si c’était vrai, cela ne donnera pas encore un usage de tous” (Op. cit., p. 125, nota 31.). Efetivamente, também no Direito brasileiro, há certos bens que, tendo em vista a sistematização do Código Civil (LGL\2002\400), se alojariam muito imprópria e desacomodadamente entre os bens de uso especial porque, em rigor, não são apenas edifícios ou terrenos aplicados a um serviço ou estabelecimento em que se desenvolvem atividades públicas. Deveras, há uma profunda e perceptível diferença entre um prédio onde funciona uma repartição burocrática qualquer, ou ainda uma escola, um hospital, uma delegacia de polícia e o complexo de coisas que constituem uma usina geradora de energia elétrica, ou uma estação transformadora de energia elétrica, ou uma estação transformadora de energia, ou de tratamento de água, ou uma rede de esgotos, ou o conjunto de captação de água e adutoras. Estes últimos não são apenas sedes, locais de prestação de serviço, porém, muito mais que isto, são bens funcionalmente integrados no próprio serviço, o qual consiste precisamente naquele complexo que o identifica e que proporciona a utilidade pública. Os agentes públicos atuam como operadores ou manipuladores de tais bens. O serviço proporcionado a todos é menos um produto do desempenho pessoal dos funcionários do que uma resultante da utilização inerente ao próprio bem, isto é, os bens em questão fornecem, em razão de seu próprio modo de ser, uma utilidade pública possuída em si mesma, uma vez realizada a obra em que se consubstanciam. Via de regra, são justamente bens que satisfazem não apenas uma utilidade, mas uma autêntica necessidade coletiva. Em nosso Direito, contudo, quer se classifiquem como de uso especial quer se categorizem como de uso comum de todos – na medida em que sua destinação é a utilidade coletiva, fruída por todos –, estão de qualquer modo protegidos pela inalienabilidade, impenhorabilidade e imprescritibilidade. O que se deseja ressaltar, entretanto, é que agora estes efeitos protetores dos bens públicos em geral – inclusive dominicais – outros poderão eventualmente ter suscitados e, em tal caso, dever-se-á atentar para o grau de interligação que o bem possua com a necessidade e a utilidade pública. Com efeito: o só fato do Código Civil (LGL\2002\400) ter procedido a uma classificação dos bens públicos, categorizados em uma escala descrente de interligação com a utilidade pública, obriga a reconhecer que existe em nosso sistema uma ponderação do valor com a utilidade pública, obriga a reconhecer que existe em nosso sistema uma ponderação do valor público deles e, consequentemente, que o grau de proteção que lhes deve assistir juridicamente está na relação direta do comprometimento de tais bens com a satisfação de necessidades públicas, isto é: se há um regime próprio para os bens públicos, a razão de tal fato procede de neles se encarnar um interesse agraciado com um tratamento peculiar. A defesa de tais bens assume maior relevância em função do grau em que coparticipam do interesse em questão, donde assistir-lhes uma proteção jurídica correspondente; portanto, tanto mais acentuada quanto maior for a adscrição deles à satisfação de necessidades públicas. Isto posto, cabe indicar como conclusão deste tópico: “Nas relações controvertidas incidentes sobre bens públicos, se as partes conflitantes perseguem interesses jurídicos do mesmo nível, prepondera a proteção incidente sobre o bem público, quando o grau de adscrição dele à satisfação de um interesse coletivo atual se sedia nas escalas em que é mais elevado seu comprometimento com a realização imediata de uma necessidade pública.” III – Relacionamento das pessoas públicas de capacidade política. Ao prever tríplice ordem de pessoas jurídicas de capacidade política – União, Estados e Municípios –, o sistema constitucional brasileiro previu, como é natural, uma discriminação de competências, expressada fundamentalmente nos arts. 8º, 13 e 15. Cada qual deve, em convívio harmônico – condição de sua coexistência e, portanto, de atendimento ao modelo constitucionalmente previsto –, prosseguir os objetivos de sua alçada sem penetração, interferência ou sacrifício dos interesses atinentes a outra pessoa de capacidade política. Com efeito: a realização dos objetivos globais resulta da satisfação e do entrosamento dos objetivos parciais de cada qual, circunstância esta que decorre diretamente da própria distribuição de competências. É bem de ver que correspondendo-lhes interesses de diversa amplitude, posto que os dos Municípios são de menor abrangência e os da União os de abrangência maior situando-se os estaduais em escala intermediária, podem ocorrer não apenas zonas tangenciais, mas, inclusive, de fricção e até mesmo de eventual confrontação de interesses. Em casos que tais, a regra a ser extraída do conjunto do sistema, por força, haverá de ser o da prevalência dos interesses de abrangência mais compreensiva, efetivada, contudo, na estrita medida em que a preponderância afirmada seja condição insuprimível da realização das competências prevalentes, previstas no sistema, isto é, sua preponderância só pode ser admitida quando se trate de implementar função que haja sido deferida constitucionalmente. Em rigor, nas hipóteses deste gênero, não há contração da esfera de competência da pessoa responsável por interesses públicos de menor amplitude. O que ocorre é que a própria esfera de competência desta, a priori, tem seu âmbito definido até os limites da compatibilização com os interesses de abrangência maior. O entrechoque ocorrido não é um conflito de interesses juridicamente equivalentes confrontados com igual ponderação no sistema. Um dos interesses – aquele que cede – verga-se precisamente por não mais se poder considerá-lo confinado ao âmbito de expressão própria e impetrável que lhe é pertinente. No entanto, cumpre atentar para o fato de que dita preponderância só é legítima enquanto adstrita aos limites do indispensável, isto é, de maneira a causar o menor ônus possível ao interesse que é subjugado. Toda demasia corresponde a um ultrapassar de fronteiras e, por isso mesmo, a um extravasamento da própria competência em detrimento de competência alheia. Em face do exposto, pretende-se que, do ponto de vista da lógica da ordenação jurídica, inexistem conflitos reais de direitos. Este são logicamente impossíveis. Podem ocorrer, isto sim, conflitos de interesses resolvidos sempre pelo declínio daquele que não estiver esforçado em proteção jurídica vigorante na hipótese conflitiva. Assim como o Direito é um todo harmônico, a harmonia das pessoas jurídicas de capacidade política é um princípio cardeal de nosso sistema constitucional. Tendo-se em conta que todas elas são, por força da Lei Maior, titulares de interesses públicos, seu equilibrado entrosamento e pacífico convívio é valor preservável por todos os títulos e condição insuprimível da realização do interesse público globalmente considerado. Os legisladores da Carta Magna brasileira, tal como vem sucedendo ao longo de nossa tradição jurídica, estiveram atentos para a reiteração deste princípio. Assim, o art. 9º do texto constitucional expressamente consagra um princípio de recíproco respeito e coexistência harmônica ao dispor: “À União, Estados e Municípios é verdade: I – criar distinções entre brasileiros ou preferências em favor de uma dessas pessoas de Direito Público interno contra outra;...” O art. 19 veda à União, aos Estados e aos Municípios, no inciso II, a: “instituir imposto sobre o patrimônio, a renda ou os serviços uns dos outros.” O art. 20 estabelece: “É vedado: I – à União instituir tributo que não seja uniforme em todo o território nacional ou implique distinção ou preferência em relação a qualquer Estado ou Município em prejuízo de outro; [...]; III – aos Estados, ao Distrito Federal e aos Municípios estabelecer diferença tributária entre bens de qualquer natureza, em razão de sua procedência ou destino.” Os dispositivos indicados ressaltam o propósito constitucional de prevenir conflito entre as pessoas de capacidade política e assegurar em suas recíprocas relações um convívio harmonioso e equilibrado. Mesmo à falta dos artigos em questão, é óbvio que o princípio da harmonia entre elas teria por força que ser considerado uma inerência do ordenamento constitucional, na medida em que todas são partes de um sistema e previstas na Lei Maior como segmentos de um conjunto total. O pacífico convívio recíproco é uma exigência racional para compatibilização de suas funções e conjugação de suas atividades parciais na unidade do Estado federal brasileiro. Contudo, os dispositivos invocados realçam e explicitam a consagração deste equilíbrio nas matérias versadas, sem prejuízo da aplicabilidade ampla e irrestrita do princípio em causa. Importa assinalar que, nos respectivos níveis, isto é, Estados perante Estados e Municípios reciprocamente considerados, estão juridicamente colocados em equilíbrio perfeito, em igualdade completa. Há, por força de todo o considerado, um integral nivelamento jurídico entre eles. De conseguinte, as prerrogativas públicas que lhes assistem em relação aos administrados não podem, em princípio, ser reciprocamente opostas, dado o absoluto em que o Direito os coloca. Para que proceda tal invocação, cumpre que o interesse afetado pela pretensão não se relacione diretamente com a atividade pública da pessoa contra a qual é invocada. Se assim não fora, ter-se-ia que admitir, ilogicamente, que um interesse público – como tal consagrado no sistema normativo – poderia ser perturbado ou sacrificado desde que o autor do dano ao valor prestigiado fosse outra pessoa pública de capacidade política. Tal conclusão sobre ser transparentemente sem sentido e desapoiada por qualquer regra de Direito implicaria, ainda, a implícita proclamação de efeitos ablatórios de dois princípios já encarecidos: o da convivência harmônica dos interesses públicos das diversas pessoas políticas, resultante da discriminação constitucional de competências, e a do equilíbrio dos interesses das pessoas públicas do mesmo nível (Estados perante Estado e Municípios perante Municípios). Em face dos enunciados anteriores, resulta como conclusão deste tópico: “Por inexistir desequilíbrio jurídico entre as pessoas políticas do mesmo nível constitucional uma não pode opor à outra suas prerrogativas de autoridade se tal proceder acarretar interferência em interesse público a cargo daquela contra a qual se pretenda invocar um poder de supremacia.” IV – Ao lume das considerações e conclusões dos tópicos anteriores, versemos, agora, o caso concreto sub consulta, conjugando os pontos já afirmados em exame teórico mais amplo com os dispositivos proximamente ligados ao tema, isto é, os previstos no Decreto-lei 3.365, de 21.06.3941, que mais diretamente estejam relacionados com o problema em causa. O art. 2º do referido diploma estatui: “Mediante declaração de utilidade pública, todos os bens poderão ser desapropriados, pela União, pelos Estado, Municípios, Distrito Federal e Territórios.” Já o § 2º do mesmo artigo cogita especificamente da desapropriação de bens públicos, ao estabelecer: “Os bens do domínio dos Estados, Municípios, Distrito Federal e Territórios poderão ser desapropriados pela União, e os dos Municípios pelos Estados, mas, em qualquer caso, ao ato deverá preceder autorização legislativa.” Como se vê, foi estabelecida uma gradação no exercício do poder expropriatório, donde se haverá de deduzir que, implicitamente, é vedado o exercício de poder expropriatório em sentido inverso ao previsto. Para solver a dúvida, hipoteticamente, são concebíveis, desde logo, duas soluções extremas e opostas, isto é, uma que admitisse irrestritamente o exercício de desapropriação, em casos que tais, e outra que o rejeitasse radicalmente. Em abono da primeira, poder-se-ia carrear a seguinte argumentação: Dispondo o art. 2º da lei expropriatória, em seu caput, que todos os bens são suscetíveis de desapropriação, ressalvado o óbice decorrente do § 2º do artigo – o qual obsta desapropriação em sentido contrário ao escalonamento previsto –, estaria genericamente franqueado às entidades públicas ali relacionadas o exercício do poder expropriatório. Em face disto, Estados poderiam desapropriar bens estaduais e Municípios bens municipais, sendo conatural a eles o exercício de todos os poderes dentro de seus territórios. A segunda interpretação, oposta à anterior, estribar-se-ia- em que o art. 2º, caput, enunciou a regra relativa aos bens em geral, havendo, contudo, regra específica no concernente aos bens públicos: exatamente a do § 2º do mesmo dispositivo. Donde, fora das hipóteses neste previstas, nenhuma desapropriação de bem público seria tolerável, isto é, havendo o citado § 2º do art. 2º indicado quem poderia desapropriar o que em matéria de bens públicos, não existiria arrimo jurídico para exercê-la além dos casos contemplados, donde constituir-se em infringência a ela o exercício da desapropriação à margem de sua enunciação. E, ainda mais: a primeira interpretação levaria a admitir posições definitivamente inconciliáveis com a própria racionalidade do sistema jurídico. Isto porque presumiria a existência de uma supremacia entre pessoas do mesmo nível constitucional quando, em rigor, faltaria qualquer calço para o exercício de poderes de autoridade de umas sobre outras, dado o nivelamento jurídico de ambos. Sobre mais – o que é especialmente grave –, dita interpretação desconheceria o princípio do entrosamento harmônico das pessoas em causa, estabelecendo conflitos entre elas, o que, justamente, é indesejado pelo próprio sistema constitucional, atento em prevenir desentendimentos e preordenado a fixar nivelamento e harmonia entre elas. Finalmente, incidiria no equívoco de desconhecer que conflitos desta ordem, só por si, deslocam o âmbito de interesses contrapostos; isto é, estes deixariam de ser problemas estritamente municipais ou estaduais para se converterem em problemas intermunicipais ou interestaduais, donde serem solúveis, apenas, em nível supra municipal e supra estadual, ou seja: por se haver transcendido o âmbito restrito de interesses de cada pessoa, na medida em que é gerado contraste de interesse de duas pessoas públicas diversas, coloca-se ipso facto em jogo problema que desborda os interesses puramente interiores de cada área. Diante disto, só Estados, onde se compõem e integram os interesses intermunicipais, e União, onde se integram interesses interestaduais, poderiam promover-lhes a integração, solvendo o contraste de interesses. Em suma, a primeira linha interpretativa incorreria nos seguintes equívocos: a) atribuir ao caput do art. 2º uma abrangência e significação totalmente estranha a seus propósitos, dado que sem objetivo manifesto teria sido o de indicar a possibilidade de expropriar bens móveis, imóveis, fungíveis, infungíveis e direitos, isto é, teria se preordenado a fixar a amplitude dos objetos expropriáveis pelas pessoas referidas. A distinção entre bens públicos e bens particulares não estaria em causa, por se tratar de discrímen estabelecido em função de seus proprietários e não do próprio objeto – este sim cogitado na cabeça do dispositivo; b) ignorar que o tratamento da expropriabilidade dos bens públicos foi objeto de regra específica (a do § 2º), donde ser inassimilável sua situação à dos demais bens cogitados no caput do artigo. Daí a impossibilidade de ser exercida fora da enunciação ali prevista; c) presumir a existência da possibilidade do exercício de poderes de supremacia por uma pessoa pública sobre outra do mesmo nível constitucional, para o que inexistiria qualquer base jurídica, havendo, pelo contrário, princípio constitucional em sentido oposto; d) adotar critério interpretativo afrontoso ao princípio constitucional da harmonia das pessoas políticas, por propugnar solução que levaria à confrontação jurídica direta destas pessoas; e) desconhecer que o contraste de interesses entre Municípios é problema intermunicipal – e, por conseguinte, a ser solúvel em nível estadual – e que a oposição de interesses entre Estados é problema supra estadual e, por isso, resolúvel em nível federal, ou seja: só Estados e União, respectivamente, poderiam declarar a utilidade pública de tais bens quando conflitantes os interesses de pessoas que lhes sejam inferiores. Certamente, a primeira solução proposta defronta obstáculos jurídicos insuperáveis, pois os argumentos que lhe são opostos evidenciam a inadmissibilidade de um irrestrito poder expropriatório de Estados sobre bens de outro Estado e de Municípios sobre bens de outros Municípios, sitos nos territórios dos eventuais expropriantes. Com efeito, incorre em críticas irrespondíveis que infirmam sua frágil sustentação. Trata-se de solução simplista, baseada em interpretação literal até certo ponto ingênua e que, sem dúvida, afronta princípios constitucionais por ignorá-los, fazendo tabula rasa de sua existência e irrefragável supremacia, esquecida de que todo labor interpretativo deve ser comandado pela acomodação a normas superiores. A segunda solução, conquanto bem mais e com esteios fincados no Direito Constitucional – matriz do instituto da desapropriação – peca pelo radicalismo, indo mais além do que o necessário para preservar os valores que encontra insculpidos na ordenação constitucional, ao negar radicalmente qualquer possibilidade expropriatória nas hipóteses sub examine. A procedência de seus argumentos descansa em um pressuposto subjacente, dado como implícito em todos os casos, a saber: que os interesses suscetíveis de serem afetados pela eventual atividade expropriatória sejam sempre ligados diretamente à satisfação de uma necessidade pública da pessoa contra a qual se levantasse a espada da desapropriação, isto é, supõe que, em qualquer hipótese, a ameaça se propõe contra um interesse público pertinente ao eventual sujeito passivo. Entendemos que a correta resolução do problema só pode ser alcançada a partir das conclusões enunciadas ao cabo do exame dos tópicos anteriores. Ditas conclusões são, a nosso ver, as premissas, para o adequado equacionamento da questão. A partir delas, poder-se-á existir a conclusão final, o deslinde do problema em foco. Recordemo-las: “A desapropriação supõe a invocação de interesse uma pessoa pública (necessidade, utilidade pública ou interesse social) superior ao de outra pessoa, cujos interesses sejam qualificados pela ordem jurídica como de menor relevância ou abrangência e por isso mesmo sobrepujáveis pelo expropriante.” “Nas relações contravertidas, incidentes sobre bens públicos, quando as partes conflitantes perseguem interesses jurídicos do mesmo nível, prepondera a proteção incidente sobre o bem público sempre que o grau de adscrição dele à satisfação de um interesse coletivo atual se sedia nas escalas em que é mais elevado seu comprometimento com a realização imediata de uma necessidade pública.” “Por inexistir desequilíbrio jurídico entre as pessoas políticas do mesmo nível constitucional, uma não pode opor a outra suas prerrogativas de autoridade se tal proceder acarretar interferência em interesse público a cargo daquela contra a qual se pretenda invocar um poder de supremacia.” As conclusões em apreço foram devidamente justificadas nos tópicos anteriores. Façamos, pois, sua aplicação ao problema da desapropriação recíproca de bens, entre Estados e entre Municípios. Efetivamente, é intolerável o exercício da desapropriação de bem estadual por outro Estado ou bem Municipal por outro Município quando os interesses postos em entrechoque são ambos interesses públicos. Em razão do equilíbrio jurídico deles, o pretendido expropriante não tem em seu favor a maior abrangência ou relevância de interesse que o torne sobrepujante, para servir-lhe de causa do ato expropriatório. Como o instituto da desapropriação se calça precisamente na desigualdade dos interesses confrontados, à falta dela, falece o próprio suporte do instituto. Ora, se a satisfação de necessidades públicas de um Município (ou de um Estado) é juridicamente tão valiosa quanto a satisfação de necessidades públicas de outro Município (ou de outro Estado), nenhum pode invocar em seu favor utilidade ou necessidade com força preponderante, suscetível de sobrepujar coativamente, por via expropriatória, o interesse de outro. Reversamente, se o bem atingido não estiver preposto à satisfação de uma necessidade pública, por força não se põe em causa o nivelamento de interesses, pois, em tal hipótese, ocorrerá a confrontação de um interesse público primário com interesse meramente patrimonial de outra pessoa. Neste caso, não comparecerá o óbice mencionado, franqueando-se o exercício do poder expropriatório. Outrossim, se o bem público a ser atingido está adscrito à satisfação de uma necessidade pública atual, isto é, comprometido com a realização de um interesse relevante da coletividade, tal como sucede com os bens públicos prepostos aos níveis de mais intensa vinculação ao implemento de fins públicos – dentro do que sugere a classificação do Código Civil (LGL\2002\400) –, evidentemente a proteção que o resguardo haverá de prevalecer contra a pretensão expropriatória de pessoa que persegue interesses dos mesmo nível. Isto porque a proteção a tais bens significa, em última análise, conforme aliás se depreende da própria sistematização deles, proteção aos fins a que se destinam. O que a ordem jurídica consagra, por via do regime especial a que se submetem, é a rigorosa defesa dos interesses que por meio deles se viabilizam. Donde descaber elisão da disciplina que os ampara sempre que esta signifique comprometimento de mencionados interesses ou interferência neles. Prepondera o regime protetor se a contraposição de interesses se sedia no mesmo escalão jurídico. Diversamente, se a pretensão incide sobre bem público não afetado à satisfação direta de uma necessidade ou utilidade pública – como ocorre no caso extremo dos bens dominicais, possuídos à moda de qualquer prioritário, como simples patrimônio de uma pessoa pública –, não mais comparece razão para se obstar uma satisfação pública do eventual expropriante. Esta não teria por que paralisar-se em face de um interesse secundário (conforme terminologia de Carnelutti) de outra pessoa pública. Em tal caso, deixaria de existir o nivelamento jurídico de interesses, por causa do caráter meramente patrimonial ou puramente incidental da propriedade, por isso mesmo, conversível em outra sem dano ou prejuízo algum para os interesses específicos da pessoa pública atingida. Finalmente, é inadmissível, em face do equilíbrio e da harmonia das pessoas sediadas no mesmo nível constitucional, que uma invoque prerrogativa de autoridade, supremacia sobre outra, para afetar interesse da mesma qualidade, da mesma gradação de igual qualificação jurídica. Só há supremacia quando a esfera jurídica de alguém incorpore valores a que o Direito atribuiu qualificação prioritária. Em face disto, não há como irrogar-se o exercício de poder expropriatório em hipóteses deste jaez. Pelo contrário, se as pessoas se apresentam em plano desnivelado, isto é, uma, enquanto responsável pela condução de suas específicas finalidades públicas, e outra alheia à posição de realizadora de seus interesses próprios ou como titular de bem cujo sacrifício não envolve interferência naqueles interesses prioritários, desaparece o equilíbrio jurídico de ambas, liberando a força expropriatória de quem, então sim, contrapõe interesses prevalentes e, por isso mesmo, justificadores de uma supremacia. Efetivamente, o princípio da harmonia entre as pessoas do mesmo nível constitucional, o entrosamento pacífico delas, o equilíbrio de interesses recíprocos, estão ligados indissoluvelmente à posição destas pessoas no sistema. Existe, por certo. É inquestionavelmente correta sua afirmação. Cumpre, todavia, entendê-los em sua significação precisa. Justamente por estarem ligados à qualidade dos sujeitos, têm presença quando tais sujeitos se encontram se manifestando como tal, isto é, como titulares dos interesses públicos, portanto, na qualidade que lhes é própria. Daí que não se põe o problema de conflito indesejado, de desarmonia, de desnível, sempre que estas pessoas comparecem desligadas de sua missão natural. Em tais situações, por faltar o substrato dignificador de sua posição jurídica, desvanece a proteção jurídica peculiar que lhes é própria. Inversamente, sempre que estejam postos em causa interesses correspondentes à sua função, assiste-lhes o integral resguardo que o sistema constitucional e legal lhes defere. Por isso, só há, em rigor, problema interestadual ou intermunicipal conflitivo, quando interesses públicos de ambos se entrechoquem. Como indubitavelmente interesses desta natureza podem muitas vezes se projetar além do território de cada qual, ocorre que as soluções dos eventuais conflitos dependem da interferência das pessoas políticas em cujo âmbito se compõem os interesses respectivos das partes em oposição Firmados todos os pontos que nos parecem relevantes para a solução do caso sub consulta, seu deslinde apresenta-se simples e natural, como fruto espontâneo da aplicação dos princípios assinalados e critérios deles deduzidos. A Prefeitura Municipal de Vinhedo propõe-se a desapropriar um bem público municipal de Valinhos, antigamente denominado Adutora de Rocinha e atualmente nomeado Adutora João Antunes dos Santos, parcialmente situado no Município de Vinhedo. Trata-se de um complexo abrangente das instalações, dutos, edificações auxiliares e área circunjacente, compreensiva das matas protetoras dos mananciais contra contaminação, poluição e redução da vazão. Insere-se, pois, no sistema de captação e derivação de água para o Município de Valinhos, sistema este que, em seu conjunto, está parcialmente em outro, conforme a exposição que precede a consulta e os documentos a ela anexados. Pondo de parte outros vícios de que padece o ato em questão — e mais além referidos — a pretensão expropriatória ressente-se de defeito insanável. O Município de Vinhedo não pode desapropriar o bem em questão, visto se tratar de coisa pública imediatamente adscrita à satisfação de uma utilidade e até, mais que isso, de uma necessidade pública de Valinhos: o abastecimento de água. Corresponde a uma investida contra interesse público – e fundamental – de outro Município. A lei expropriatória não dá ao pretendido expropriante assistência para o exercício dos poderes que deseja deflagrar, visto que seu ato põe em xeque interesse público de outra entidade política do mesmo nível, sobre a qual, em consequência, não dispõe de supremacia, dado o equilíbrio jurídico dos interesses confrontados, circunstância que, de um lado, gera conflito intermunicipal, solúvel apenas no âmbito no âmbito estadual, e, de outro, conduz à violação do convívio harmônico e pacífico das pessoas políticas, requerido pelo sistema constitucional. Os óbices à desapropriação resultam tanto da ofensa aos princípios constitucionais preservadores da harmonia e da posição nivelada das pessoas políticas responsáveis por interesses da mesma gradação quanto da ausência de assentamento legal para o ato, vez que o Decreto-lei 3.365 faculta aos Municípios desapropriar bens sobre os quais possam manifestar supremacia. O silêncio do Decreto-lei 3.365 sobre desapropriação de bens municipais por outro Município (e bens estaduais por outro Estado) não pode ser interpretado como implícita autorização irrestrita, pretensamente deduzível do caput do art. 2º. Antes, deste só poderá decorrer a permissibilidade expropriatória — conatural ao exercício de supremacia no próprio território — nas situações parificáveis ou análogas àquelas em que tal poder se desencadeia contra os particulares; ou seja: quando se confrontam interesses de natureza diversa, de qualidade distinta. Nunca quando se opõem interesses juridicamente qualificados em posição isonômica no sistema normativo. Finalmente, o ato em questão tem visíveis ressaibos de uma guerra entre Municípios, de uma batalha inglória, desapoiada no interesse público, único que pode legitimamente desencadear ação governamental. Vicia-se, pois, ainda, por esta segunda invalidade, já que nos termos da exposição que precede a consulta o Município de Vinhedo se abastece de água em outra fonte, as águas do Rio Capivari, bombeadas apenas uma vez por semana, o que demonstra a desnecessidade de interferir com as vias de abastecimento de Valinhos, indispensáveis à população deste último Município. Eis, pois, que o ato em apreço, sobre não ter causa jurídica válida, ainda afronta, pela guerra que se propõe a fazer a um Município vizinho, o princípio constitucional que reclama imperativamente a convivência harmoniosa das pessoas políticas. Além dos mais, a ausência de menção, na declaração de utilidade pública, da finalidade da expropriação, sobre invalidá-la pela inexistência de um requisito essencial, reforça os indícios de que se trata de procedimento inquinado de desvio de poder, cujo propósito, mais do que dissimulado, foi inclusive omitido. Com efeito, já em outra oportunidade deixamos escrito: “Da declaração de utilidade pública devem constar: a) manifestação pública da vontade de submeter o bem à força expropriatória; b) fundamento legal em que se embasa o poder expropriante; c) destinação específica a ser dada ao bem; d) identificação do bem ser expropriado.” (Apontamentos sobre a desapropriação no Direito brasileiro. In: RDA 111/517-518) As exigências mencionadas, ausentes no ato da Municipalidade de Vinhedo, são indispensáveis, pois a desapropriação funda-se em hipóteses legais definidas pela legislação federal como configuradoras dos casos de utilidade pública ou interesse social. Fora delas, descabe o exercício do poder expropriatório. Logo, para que se saiba se há, ou não, arrimo jurídico para desencadeá-lo, é mister indicar o assento normativo do ato. Oliveira Franco Sobrinho, o ilustre catedrático de Direito Administrativo da Universidade Federal do Paraná, expende ao propósito considerações corretíssimas: “...a lei silencia sobre os termos da declaração de utilidade. Mas nada era preciso dizer, pois está subentendido que a qualificação do objeto se deve enquadrar nas espécies – casos apontados no art. 5º “...A própria lei que autoriza cada operação expropriatória deve não só obedecer aos padrões constitucionais, como à legislação pertinente à matéria. Assim, a lei que autorize o exercício da desapropriação deve obedecer à lei nacional reguladora do instituto “...Efetivamente, pelo seu fundamento político, jurídico, teórico e normativo, na declaração se devem conter os requisitos e as condições que a autorizam.” (Desapropriação. São Paulo: Saraiva, 1973. p. 231) Também Hely Lopes Meirelles registra que: “O ato expropriatório não contém qual norma; contém unicamente a individualização do bem a ser transferido para o domínio do expropriante e a indicação do motivo da desapropriação” (Direito Administrativo Brasileiro. 2. ed. São Paulo: RT, 1966. p. 499). Com efeito, como a desapropriação só se legitima quando arrimada nas hipóteses legais, a declaração, que é seu ato inicial indispensável, sequer adquire consistência jurídica se não enuncia em que hipótese se estriba. Esta é condição óbvia para se verificar quer a existência de um amparo normativo em tese quer um grau mínimo (isto é, de subsistência lógica, de admissibilidade racional) de legítimo interesse sobre o bem, que sirva de motivo idôneo para pretendê-lo. Caso se desprezassem tais requisitos, a lei federal não precisaria indicar quando seria cabível a desapropriação. Outrossim, se não se der aos casos enunciados na lei uma significação mínima, isto é, um conteúdo qualquer correlacionável com as realidades concretas em que se aplicam, a enunciação legal também não significaria coisa alguma, podendo servir como mero pretexto para o expropriante. Seria, rigorosamente falando, um cheque em branco utilizável ao sabor do expropriante liberado de qualquer compromisso com o interesse público. Por derradeiro, seja dito que a circunstância do ato da Municipalidade de Vinhedo provir de seu Legislativo não lhe confere qualificação peculiar que purgue seus vícios ou a exima de contraste judicial, pois, como anota o preclaro Seabra Fagundes, a propósito da matéria: “Observe-se que, não obstante a intervenção do Poder Legislativo, a declaração é sempre um ato de natureza administrativa, por isso que se limita a definir uma situação individual. A intervenção do Legislativo não lhe dá o caráter de lei. Ele intervém aí no desempenho atribuição de conteúdo puramente administrativo” (Da Desapropriação no Direito Brasileiro. Rio de Janeiro: Freitas Bastos, 1942. p. 66.). No mesmo sentido, Hely Lopes Meirelles: “A lei que declara a utilidade pública de um bem não é normativa é essencialmente dispositiva e de caráter individual. É lei de efeito concreto equiparável ao ato administrativo, razão pela qual pode ser atacada e invalidada pelo Judiciário, desde a sua promulgação e independentemente de qualquer atividade de execução, porque ela já traz em si as consequências administrativas do decreto expropriatório.” ([sic] Op. cit., p. 499) Isto tudo posto e considerado – e ainda que prescindidos os vícios postremeiramente enumerados –, à consulta não hesitamos em responder: O Município de Vinhedo não pode desapropriar a Adutora Municipal João Rodrigues dos Santos, pena de ofensa às normas legais que regem o instituto e aos princípios constitucionais que informam a possibilidade do exercício de poder expropriatório. É o nosso parecer.
19

Malaviya, Srishti. "Digitising the Virtual: Movement and Relations in Drone Warfare." Millennium: Journal of International Studies, December 1, 2020, 030582982097169. http://dx.doi.org/10.1177/0305829820971694.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
This article offers a relational analysis of the use of armed drones in the ‘war on terror’. Drawing from Erin Manning’s writings on movement, relations, and the posthuman, I explore how bodies and spaces are read as digitised data in the processes of the drone assemblage, reducing movement to displacement and undoing relations of becoming. The drone’s violence lies in its crippling of bodies’ capacity to respond to their immediate environments and relations. The point of departure for this article is the concept of the ‘virtual’ as drawn out by Manning: the indeterminate potential of movement which moves bodies and relations. My analysis revisits the transcripts of Uruzgan drone attack in Afghanistan in 2010, a case that has been extensively studied in the critical literature on drones to offer conceptions of what it means for the drone to be a posthuman entity. Instead of situating the drone as a posthuman object, I examine it from a posthuman methodology where the focus is on relations, rather than determinate actors or outcomes. My intervention here is twofold: to propose a framework for understanding the drone’s violence in its processes of disrupting and undoing relations, and relatedly to argue for the methodological and theoretical value of the posthuman. Numériser le virtuel: Mouvement et relations dans la guerre des drones
20

Moussaoui, Abderrahmane. "Violence." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.123.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le terme violence qualifie un certain nombre de manifestations allant de l’altercation verbale jusqu’aux destructions de masse, en passant par l’agression physique, le viol, le meurtre, la torture, les mutilations, etc. Infligées ou subies, discontinues ou constantes, localisées ou endémiques, accidentelles ou motivées, ces expressions de la violence se compliquent encore par leur caractère tantôt privé, tantôt public, assumé et revendiqué ou dissimulé et renié. La violence est si protéiforme qu’elle ne cesse de voir les discriminants de sa catégorisation et les grilles de classification se démultiplier. Le critère est tantôt spatial (violence urbaine), tantôt social (violence conjugale, ouvrière), tantôt politique (répression, coercition, guerre, assassinat politique, terrorisme), économique (exploitation, injustice), sexuel (viol, maltraitance), ou encore psychologique (automutilations et autres actes pervers). Englober toutes ces manifestations dans une même perspective relève de la gageure (Michaud 2004 ; Crettiez 2008). Comment approcher pareils phénomènes aux formes et motivations aussi diversifiées selon les mêmes grilles théorico-méthodologiques? D’autant plus qu’à ces expressions physiques de la violence s’ajoutent toutes celles qui relèvent de la « violence symbolique ». Consentie (plus que subie), cette violence impose un certain ordre dans les manières d'être. Elle englobe tous les dispositifs dont usent les dominants pour que les dominés intériorisent et acceptent leur statut et leur état de dominés (Bourdieu & Wacquant 1992). Elle participe de cette violence structurelle inhérente à tout pouvoir, qu’il soit celui du pater familias ou du chef élu ou imposé. Elle peut être liée à la forme même de l'organisation sociale à laquelle on adhère et qu’elle tend à malmener. Le politiste norvégien Johan Galtung (1969) est sans doute le premier à l’évoquer, faisant remarquer que dans cette forme de violence il n’y a pas de lien évident et apparent entre les sujets. Inscrite dans des structures sociales, cette violence est plus insidieuse mais non moins destructrice. Outre ces violences dévastatrices du lien, l’anthropologie a mis en évidence un autre genre de violences, celles destinées précisément à instaurer le lien, à le suturer ou à le raffermir. Ces violences fondatrices qui ponctuent les rites de passage (tatouages, circoncisions, excisions, scarifications et autres marquages corporels), souvent violentes et non exemptes de douleur, ont pour finalité d’agréger les individus à des communautés. Initiatique, cette violence qui laisse une marque distinctive (du rang, du sexe, etc.), n’est jamais perçue comme telle par ceux qui l’adoptent (Bodiou et Briand 2015). Malgré la variété de ses expressions et de ses modes d’effectuation, l’acte de violence demeure aisément identifiable. En revanche, il en est tout autrement quand il s’agit de définir ce qu’est la violence. Tous les dictionnaires la mettent en rapport avec l’exercice d’une force brutale ou excessive en vue de soumettre, contraindre ou obtenir quelque chose. Pour la majorité des approches, la violence a été longtemps conçue comme un « usage délibéré de la force pour blesser ou détruire physiquement » (Gurr, 1970). Au milieu des années 1990, la définition de l’OMS en élargit l’acception. Se voulant exhaustive, elle intègre à la fois les actes individuels et communautaires, commis contre autrui ou auto-infligés; qu’ils soient interpersonnels ou collectifs. Elle couvre tout aussi bien les actes de violence que les menaces et intimidations de tous ordres, induisant des atteintes physiques, psychologiques, ou affectives. Toutefois, cette définition demeure encore fortement associée aux violences physiques et n'évoque pas clairement et suffisamment les violences psychologiques et morales découlant d’actes verbaux, d'attitudes et autres conduites symboliques. Plus largement, F. Héritier (1996 : 17) appelle « violence toute contrainte de nature physique ou psychique susceptible d'entraîner la terreur, le déplacement, le malheur, la souffrance ou la mort d'un être animé; tout acte d'intrusion qui a pour effet volontaire ou involontaire la dépossession d'autrui, le dommage ou la destruction d'objets inanimés (…) ». Complète et exhaustive, cette définition souligne, une fois encore, la difficulté à parler de la violence de manière générale. La violence est une force dont l’exercice s’inscrit immanquablement dans le cadre de normes partagées. Ce sont de telles normes qui caractérisent, in fine, ce qui relève ou non de la violence. Celle-ci est justement le plus souvent un dépassement de la règle ou de la norme admise, une démesure. Elle est ce qui remet en cause l’existence de ce qu’Hanna Arendt (1989 : 283) appelle « un monde commun ». Yves Michaud (1978 : 101) le dit avec ses mots : la violence « tient plus à la dissolution des règles qui unifient le regard social qu’à la réalité qu’elle peut avoir ». À ce titre, la manifestation de la violence est l’indice d’une rupture de consensus, dont la finalité est de contraindre et de faire mal, de manière volontaire et apparemment gratuite. Elle est tantôt une infraction, tantôt un outrage. Chaque société désigne ce qu’elle considère comme violent en tentant de le réduire par l’éthique, la culture, le droit, la contrainte et en lui opposant… de la violence. Ce sont les logiques qui président à ces choix que l’anthropologue ne cesse de pointer dans leur singularité pour tenter de comprendre le phénomène dans son universalité. Même si le catalogue des actes de violence semble infini, et l’imagination des bourreaux individuels et collectifs incommensurablement fertiles, il n’en demeure pas moins que cette violence s’exerce toujours ou du moins le plus souvent selon des logiques inscrites dans un contexte historico-culturel. La « violence » est enchâssée dans une matrice éthique et obéit à une échelle de valeurs qui rend sa perception et, partant, sa signification variables selon les normes de référence en usage. Polymorphe, elle est également et nécessairement polysémique; et sa perception culturellement et sociohistoriquement déterminée. Des châtiments tolérés naguère (sectionner la langue des blasphémateurs, noyer des femmes adultères), sont décriés par des sociétés contemporaines pratiquant d’autres formes de violence (chaise électrique ou injection létale), estimées moins cruelles à leurs yeux. Ce sont en général les actes et conduites jugés illégitimes qui sont qualifiés de violents; tous ceux, tout aussi violents, mais exercés au nom d’une règle partagée ou par un pouvoir considéré comme légitime, ne sont pas tenus pour de la violence; ils sont perçus comme une coercition, une contrainte. Que ce soit pour Hobbes (2000) ou Weber (1959), l’usage légitime de la violence prévient la violence. Dès lors, il n’est plus de la violence. Loin d’être un phénomène débridé, la violence est souvent un outil savamment orchestré destiné à faire obéir ou à punir. Qu’elle soit privée ou publique, la violence est toujours inscrite dans une matrice symbolique qui structure ses modes d’effectuation et lui donne sens aux yeux de ses protagonistes. Ainsi devient-elle légitime pour son auteur; et parfois même pour celui qui la subit, la vivant comme une fatalité ou se considérant comme victime expiatoire. Ainsi, est-elle une « configuration » (Elias, 1989) où les adversaires sont aussi des partenaires agissant selon des règles partagées. Une propension devenue routinière consiste à toujours considérer la violence comme une réactivité instinctive, motivée par une pure répétition pavlovienne et paresseuse. Les études des violences urbaines ont pu montrer que celles-ci peuvent être un indicateur d’inégalité ou de défiance vis-à-vis des institutions; et, partant, l’expression d’une volonté de négociation. La manifestation de la violence est un « signal de danger » nous dit Lewis Coser (1982). Autrement dit, la violence fait à la fois signe et sens. Elle n’est pas que l’expression du chaos et du désordre. L’exercice de la violence (notamment politique) a le souci à la fois de l’efficacité et de la légitimité. Le plus souvent, la violence n’est ainsi qualifiée qu’en rapport aux seuls faits concrets, quantifiables et mesurables. Or, d’un point de vue anthropologique, la violence intègre à la fois l’éthique, les valeurs partagées, les sentiments, etc. La rumeur, l’ironie ou la satire peuvent être ressenties comme plus violentes que des coups. Physique, psychologique ou symbolique, la violence est toujours un fait « construit » à partir d’une culture partagée; dont la perception et l’intensité sont étroitement en rapport avec les normes communément admises. Quelle que soit la forme de son expression, la violence demeure un « fait social total »; car elle est toujours enchâssée dans d’autres faits sociaux qui démultiplient ses logiques et ses univers de sens (politique, religieux, économique, social etc.) (Clastres, 1977 ; Kilani, 2006). Instinct naturel, moyen d’imposer l’ordre social ou vecteur du changement social? La violence est une des catégories les plus discutées dans les sciences humaines et sociales; mobilisant terrains et théories pour saisir un phénomène en passe de figurer parmi les universaux et ne cessant de réinventer ses formes d’expression. Pour Thomas Hobbes (2000), l’une des références inévitables dans ces débats, l’homme est un être « duplice », naturellement violent mais socialement dans l’obligation de rechercher la répression de son agression en acceptant de se conformer aux règles d’une instance qui lui permettrait de vivre en société. Pour Hobbes, c’est l’égalité primordiale entre les hommes qui serait à l’origine des affrontements. Jean-Jacques Rousseau (1971) reproche au philosophe britannique d’avoir attribué à l’homme vivant dans l’état de nature les attributs et les passions propres à l’homme vivant dans la société. Ces deux postures spéculatives vont constituer dans une large mesure le cadre de pensée dans lequel seront débattues thèse et contre-thèse sur la nature violente ou non de l’homme. La première défend le caractère inné de la violence, tandis que la seconde la considère comme un acquis culturel. En anthropologie, l’intérêt pour la violence comme phénomène, est présent dès les premiers travaux qui ont pu montrer que toutes les sociétés contiennent de la violence, la produisent, l’utilisent et la gèrent. Mise en avant par Max Weber (1959) dans sa théorie de l’État comme monopole de la violence légitime, elle est popularisée par les travaux de René Girard (1972, 1978). Pour ce philosophe et anthropologue, les désirs de l’homme sont mimétiques et engendrent une violence fondée sur la « rivalité ». L’homme désire les mêmes objets que son prochain, et son désir augmente en fonction de celui de l’autre. Ce désir mimétique débouche sur la violence qui, de proche en proche, devient générale et concerne toute la société. Pour y remédier, Girard s’écarte des thèses wébériennes qui préconisent l’instauration d’une violence légitime confiée à l’État. Il postule que les hommes déplacent leur hostilité sur une victime émissaire (Girard, 1972). C’est le sens du sacrifice présent dans toutes les sociétés humaines. C’est le « désir mimétique » à l’origine de la violence qui caractérise l’être humain en société. Pour empêcher le saccage de cette violence réciproque, présente dans l’essentiel des rapports humains et dans toutes les sociétés dès le début de leur formation, la communauté sacrifie une victime arbitraire consensuelle. La haine de chacun est transférée sur cette victime émissaire dont la mise à mort est expiatoire. Elle sauve la communauté et lui permet de survivre. En évitant la violence destructrice de la communauté, cette violence sacrificielle et pacificatrice se transforme en une violence fondatrice. Les anthropologues se sont également intéressés à la forme institutionnelle de la violence. Ainsi, la guerre mobilisera l’essentiel des théories. Une approche naturaliste développée notamment par André Leroi-Gourhan (1965), postule que la guerre (comme violence institutionnelle) est la conséquence de l'évolution naturelle de l'Homme, qui de chasseur devient guerrier. Pour cet ethnologue et penseur des techniques et de la culture, la violence humaine relèverait du biologique. Postulant que la guerre est une extension de la chasse, il considère que l’homme, à l’instar de l’animal, est un être prédateur et donc violent par nécessité. Le social et l'institutionnel sont ainsi naturalisés. La violence permet de se procurer les rares ressources disponibles. Une telle approche rejoint celle qui met en rapport la guerre et les pénuries de nourriture dans les sociétés primitives. D’autres thèses, plus répandues, estiment certains modèles culturels, comme la virilité, l'autoritarisme culturel et la religion, à l'origine immédiate et exclusive de cette violence. Ce courant culturaliste considère la violence comme un phénomène culturel. Une de ses premières figures, Ruth Benedict (1950), a tenté d’opposer la culture apollinienne des Indiens Pueblos, qu’elle considère comme communautaire et pacifique, à celle des Indiens des plaines, qu’elle définit comme passionnés et agressifs et dont elle qualifie la culture de dionysiaque. Une autre approche culturaliste, celle de Claude Lévi-Strauss, voit dans la violence un mode d’échange, un « échange malheureux ». Pour le théoricien du structuralisme, la guerre est l’expression d’un échec dans l'échange entre communautés, lequel échange est à ses yeux fondateur des sociétés. L’anthropologie Pierre Clastres (1977) réfutera toutes ces théories pour soutenir que la guerre est constitutive de la société primitive. Elle n’est, selon lui, ni un instinct animal, ni la conséquence d’un manque, ni l’expression d’un ethos culturel, ni un échange raté. Elle est au fondement même de l’être ensemble. Étant sans hiérarchie, la société primitive use de la guerre contre l’Autre comme moyen de raffermir son unité. Depuis Thomas Hobbes, la violence hors d'un cadre prescrit par l'État est considérée comme une pathologie sociale. Contre cette vision, Pierre Clastres soutient que les violences (apparemment déviantes ou criminelles) s'inscrivent dans un univers social, culturel et symbolique pour faire sens. Poussée à ses limites, cette approche compréhensive risque de conduire à soutenir des légitimations au nom du relativisme culturel. Dans un monde où génocides, guerres, terrorismes et autres destructions de masse sont devenus une réalité quotidienne, plusieurs auteurs soutiennent la thèse de Norbert Elias (1989) sur le recul de la violence et la domestication de l’animal humain. Contre-intuitive, cette thèse est défendue par plusieurs historiens sur la base de travaux sur des archives judiciaires, dont l'historien Jean-Claude Chesnais (1981 : 14) qui estime qu' « il y a au cours des derniers siècles une régression considérable de la violence criminelle ». Si aujourd’hui on parle de son omniprésence, c’est parce que le seuil de tolérance aurait baissé. Nous serions devenus plus sensibles à la violence, subjectivement. Ceux qui rejettent une telle thèse préfèrent souligner le nombre et la diversification des formes des violences : génocides, attentas, terrorismes, etc. (Wieviorka, 2004). En effet, la violence a pris des formes inédites en rapport avec la complexification de notre organisation sociale. La technologie a contribué à une certaine sophistication de la violence et à sa mise à distance. Sa « domestication » s’opère par sa taylorisation. L’acte de tuer ou de perpétrer un génocide est noyé dans les échelons de la décision (du général qui décide au soldat qui exécute) et dans une « chaîne opératoire » plus ou moins longue. Grâce à cette « taylorisation », la violence se trouve aujourd’hui « domestiquée ». L’euphémisation par la technologie (écrans) la rend supportable par celui qui l’exécute; tout comme le sacré l’avait déjà rendue acceptable et supportable aux yeux, à la fois, de celui qui la donne et de celui qui la subit (Matthew, 2017 ; Blaya, 2011). Quoi qu’il en soit, le développement vertigineux de la technologie, et de l’organisation bureaucratique, contribue à cette « banalisation du mal » (Arendt 1991) en rendant moins perceptibles et plus insidieuses ces violences. Les armes biologiques sont moins spectaculaires dans leur usage mais plus dévastatrices dans leurs effets, tout comme les drones tuent de façon aussi chirurgicale que silencieuse (Chamayou 2013). Il suffit également de penser à toutes les formes de cyberviolence qui se développent dans le monde virtuel des réseaux sociaux, à l’instar du « revenge porn » ou « cyber-rape » (Blaya, 2011). Ce type de violence s’effectue en général sans échange verbal direct. Le registre du langage et l’émotion qu’il produit sont ainsi annulés, privant la victime de repères et d’alertes. Le « bourreau » est également protégé puisqu’il ne voit pas et il n’entend pas la réaction que produit son acte sur la victime. Dans cette nouvelle configuration que produit la cyberviolence, l‘agresseur n’est pas nécessairement plus fort, mais dispose de plus de latitude pour nuire. La thèse du recul de la violence ne tient pas suffisamment compte de sa sophistication, qui arrive à l’occulter. En revanche, la montée de la violence, souvent signalée, peut n’être que le signe d’un abaissement du seuil de tolérance face à des conduites plus ou moins agressives. En réalité, la notion de violence renvoie à deux dimensions, l’une factuelle et l’autre normative. Elle qualifie les effets de la force physique au regard de la transgression des normes socialement établies (Robert & al. 2008 ; Mucchielli, 2008).
21

Banse, Camille, Emilie Colpaint, and Camille Rutsaert. "« L’objectivité en sciences humaines » ce vers quoi il faut tendre ? L’objectivité selon une historienne située, entretien avec Geneviève Warland." C@hiers du CRHIDI, 2022. http://dx.doi.org/10.25518/1370-2262.1543.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Docteure en histoire, licenciée en philosophie (maîtrise) et détentrice d’un master en Français Langue Etrangère, Geneviève Warland est professeure en historiographie et histoire publique à l’UCLouvain. Ses recherches en historiographie s’inscrivent dans la perspective transnationale des transferts culturels sur la période allant de 1870 jusqu’à l’entre-deux-guerres. Elles concernent, pour l’essentiel, les historiographies allemande, belge, française et néerlandaise. Les thématiques abordées portent essentiellement sur le rôle public de l’historien : l’historien comme intellectuel, l’impact des guerres sur son activité et sa compréhension de l’histoire, les représentations de la nation et de l’Europe, l’historien comme membre de réseaux et acteur de la collaboration scientifique. Ses recherches en histoire publique visent, quant à elles, à promouvoir la médiation des savoirs historiques en lien avec les nouveaux médias et supports virtuels. Le nouvel axe majeur dans ce cadre concerne l’élaboration d’une nouvelle histoire de Belgique en vue de son bicentenaire.
22

Valle, Maria Ribeiro do. "MATIZES DO PENSAMENTO POLÍTICO NORTE-AMERICANO NA VIRADA CONSERVADORA DE 1970." Caderno CRH 23, no. 59 (December 21, 2010). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v23i59.19018.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Este artigo examina de que forma o revigoramento da excepcional experiência histórica americana aparece como solução para alguns dos principais neoconservadores, sendo emblemáticos Nathan Glazer e Irving Kristol, frente à “queda” do império americano, que tem início nos anos 1960 e 1970, depois de sua ascensão no período da Guerra Fria, os chamados 25 anos gloriosos. Constatamos que a argumentação desses autores está enraizada na retomada da retórica reacionária como antídoto à decadência da virtude americana supostamente provocada pelo comunismo, pelo movimento da contracultura e pelo alegado efeito perverso do welfare state. PALAVRAS-CHAVE: neoconservadores, excepcionalidade americana, pós 25 anos gloriosos, contracultura, welfare state.HUES OF NORTH AMERICAN POLITICAL THOUGHT IN THE CONSERVATIVE TURN OF 1970 Maria Ribeiro do Valle This paper examines how the reinvigoration of the exceptional American historical experience appears as a solution to some of the leading neoconservatives, considering Nathan Glazer and Irving Kristol as emblematic, regarding the “fall” of the American empire, beginning in the 1960s and 1970s, after its rise during the Cold War, the so-called 25 glorious years. We note that the arguments of these authors is rooted in the revival of reactionary rhetoric as an antidote to the decadence of American virtue supposedly caused by Communism, by the counterculture movement and the alleged perverse effect of the welfare state. KEYWORDS: neoconservatives, American exceptionalism, post 25 glorious years, counterculture, welfare state.TON DE LA PENSÉE POLITIQUE NORDAMÉRICAINE LORS DU TOURNANT CONSERVATEUR DE 1970 Maria Ribeiro do Valle Cet article analyse comment la relance de l’expérience historique américaine exceptionnelle surgit comme une solution aux yeux de quelques néoconservateurs de premier plan, Nathan Glazer et Irving Kristol étant emblématiques face à la “chute” de l’empire américain, qui a commencé dans les années 1960 et 1970, après son ascension au cours de la Guerre Froide, les dites 25 années glorieuses. Nous pouvons constater que les arguments de ces auteurs sont enracinés dans la reprise de la rhétorique réactionnaire utilisée comme un antidote à la décadence de la vertu américaine soi-disant causée par le communisme, par le mouvement de contreculture et par le prétendu effet pervers de l’État providence. MOTS-CLÉS: néoconservateurs, exceptionnalité américaine, l’après des 25 années glorieuses, contre culture, l’État-providence (welfare state). Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br
23

Tran, Sebastien. "Metaverse : révolution industrielle ou énième chimère du monde digital ?" Management & Data Science, 2022. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.20641.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le metaverse est perçu comme le nouvel eladorado par de nombreux acteurs de la Tech. Il ne se passe pas un jour sans articles concernant le metaverse qui est présenté comme une véritable révolution. Entre guerre de communication et peur d’être arrivé après la bataille, de nombreuses initiatives voient le jour dans de très nombreux secteurs (achat de terrains virtuels dans The Sandbox par Carrefour, Metaverse Fashion Week sur Decentraland, etc.) donnant lieu à des projections de revenus et des transformation des usages significatives (Gartner estime que 25% des individus passeront 1h par jour dans le metaverse en 2026, Bloomberg estime que le metaverse pourrait générer 800 milliard de revenus en 2024, etc.).
24

Rodrigues, Gabriel Toneli. "As habilidades militares de Ricardo I no Itinerarium Peregrinorum et Gesta Regis Ricardi (1217-1222)." Revista Vernáculo, no. 43 (March 26, 2019). http://dx.doi.org/10.5380/rv.v0i43.61097.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
O presente artigo tem como objetivo expor as habilidades militares ideais na crônica Itinerarium Peregrinorum et Gesta Regis Ricardi, que se dedica a narrar a participação de Ricardo I na Terceira Cruzada do Oriente. Considerado o primeiro rei-cavaleiro, abordaremos brevemente o estado da cavalaria medieval durante o período deste rei inglês, sua ética e seu processo histórico que levaria no aumento do grau de formalização, se instituindo em uma ordem distinta de combatentes. Faremos também uma pequena exposição da visão historiográfica moderna sobre a cruzada, mais precisamente da atuação de Ricardo I. Escrito entre 1217 e 1222, procuramos salientar o aspecto de crítica a João I da crônica e também seu caráter de promoção de uma figura régia vista como ideal destinada a Henrique III. Procuramos desta forma demonstrar como é feita a caracterização de um rei ideal, em especial no tocante à guerra, indicando quais as virtudes militares celebradas pelo autor.
25

Suso Martí, Luis. "Realidad Virtual ¿Una Alternativa en el Tratamiento del Dolor?" NeuroRehabNews, Octubre (November 9, 2017). http://dx.doi.org/10.37382/nrn.octubre.2017.580.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Realidad Virtual ¿Una Alternativa en el Tratamiento del Dolor? La Realidad Virtual (RV) se ha implantado en nuestra sociedad y cada día es más habitual poder ver esta tecnología en salas de cine, videoconsolas o dispositivos móviles, pero ¿Puede ser una herramienta para disminuir el dolor en neurorehabilitación? En la actualidad, hay multitud de equipos investigando las posibles aplicaciones de esta tecnología en el manejo del dolor, y para este artículo, vamos a basarnos en los hallazgos realizados por Christopher V. Maani y su grupo de investigación, que trabaja con RV en pacientes con dolor dentro del Instituto de investigación quirúrgica del ejército de EEUU. Uno de los estudios más relevantes realizados por estos investigadores se produjo en 2011, en él intervinieron 12 pacientes veteranos de guerra, hospitalizados tras sufrir graves quemaduras. Se utilizó la RV durante los procesos de curación de las heridas de estos pacientes, realizados por el equipo de enfermería del hospital, con el objetivo de valorar si la utilización de esta tecnología puede ser una herramienta en neurorehabilitación para conseguir hipoalgesia (disminución del estímulo doloroso). Para ello, se comparó el dolor que sienten estos pacientes cuando se utiliza el tratamiento habitual y cuando utilizan la RV.) “Al utilizar un dispositivo de Realidad Virtual para realizar una tarea, la atención se centra en este nuevo objetivo, reduciendo la experiencia dolorosa” Para la realización de este estudio se desarrolló un software de inmersión virtual denominado SnowWorld, que recreaba de forma realista el entorno de un paisaje, concretamente un paisaje natural helado. Además, permitía mediante unas gafas de RV y un dispositivo controlado por la extremidad superior de los pacientes poder visualizar e interactuar con el entorno virtual. De esta forma, eran capaces de realizar acciones dentro de este entorno, como caminar o lanzar bolas de nieve. El propósito de utilizar la RV en estos pacientes se basa en los hallazgos realizados en el campo del dolor, ya que éste está fuertemente relacionado con la atención. Estudios previos realizados por este grupo de investigación muestran cómo al utilizar un dispositivo de RV para realizar una tarea, la atención se centra en este nuevo objetivo, reduciendo la experiencia dolorosa. Este proceso es denominado analgesia modulada por la distracción. A raíz de estos descubrimientos, se utilizaron técnicas de neuroimagen como la resonancia magnética funcional para comprender como funciona el sistema nervioso ante una situación de dolor. Se demostró que en el cerebro esta experiencia se manifiesta mediante una activación de áreas corticales relacionadas con la entrada e integración de los estímulos dolorosos, pero también, de estructuras relacionadas con aspectos emocionales y afectivos. Posteriormente, estos estudios vieron cómo la utilización de la RV es capaz de reducir la actividad de estas áreas relacionadas con el dolor (Hoffman et al., 2006). El dolor es una experiencia multidimensional, de manera que factores cognitivos y emocionales tienen un importante papel en ella. El antecedente traumático de la lesión, la imposibilidad de realizar sus actividades de la vida cotidiana unido al largo proceso de inmovilización y hospitalización que sufren estos pacientes son cosas que parecen tener una relación con estos factores. Es por ello que en muchas ocasiones presentan situaciones de estrés, ansiedad o vigilancia al dolor ante la grave situación que experimentan, hecho que aumenta su vivencia de dolor. La RV parece tener capacidad de influir en estos aspectos, exponiendo a los pacientes a un contexto dónde pueden desviar su atención del dolor y a la situación de hospitalización en la que viven. Además, la sensación de poder realizar actividades y movimientos como caminar o relacionarse con el entorno parece tener un efecto en la reducción de las variables mencionadas anteriormente relacionadas con el dolor, como la ansiedad o el estrés. “Los hallazgos en este campo abren un nuevo camino en neurorehabilitación acerca de esta tecnología y su traslado de forma efectiva a la práctica clínica habitual” Los resultados de este estudio parecen confirmar estas hipótesis y son prometedores acerca de los beneficios de la RV. Los pacientes mostraron una reducción significativa del dolor y de la sensación desagradable durante el proceso de curas, además de una reducción del tiempo en el que prestaban atención al dolor. Estos hallazgos parecen abrir un nuevo camino en neurorehabilitación, ya que podrían conllevar un aumento en la calidad de vida de los pacientes hospitalizados. Además, se hipotetiza que puede ser posible utilizar la RV ya no sólo en estos pacientes, sino en un gran porcentaje de personas que sufren un proceso de inmovilización o rehabilitación tras una lesión, donde los factores cognitivo-emocionales parecen tener también una importancia clave, y, por lo tanto, podrían beneficiarse del uso de estas técnicas. En conclusión, el uso de la RV parece poder tener un efecto positivo en los factores cognitivo-emocionales que envuelven la experiencia del dolor. Los hallazgos en este campo abren un nuevo camino en neurorehabilitación acerca de esta tecnología y su traslado de forma efectiva a la práctica clínica habitual, para así reducir el dolor y aumentar la calidad de vida de un amplio número de pacientes.
26

Martelli, Anderson, Marcelo Studart Hunger, Lucas Rissetti Delbim, Roberto Aparecido Magalhães, and Sergio Fernando Zavarize. "Percepção dos acadêmicos dos cursos da área da saúde de uma Instituição de Ensino Superior acerca da Disciplina de Anatomia e sua influência na formação profissional." ARCHIVES OF HEALTH INVESTIGATION 8, no. 7 (October 3, 2019). http://dx.doi.org/10.21270/archi.v8i7.3270.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
O estudo da Anatomia Humana (AH) é uma das ciências médicas mais antigas, a qual versa sobre as estruturas e funções do corpo humano sendo de fundamental importância para o entendimento de outras disciplinas que juntas formam os profissionais da área da saúde. A Anatomia Humana faz parte do componente curricular básico, sendo observado pelos docentes as inúmeras dificuldades apresentadas pelos acadêmicos. Assim, esta pesquisa investiga a percepção dos acadêmicos dos cursos da área da saúde - Educação Física, Fisioterapia, Nutrição e Enfermagem da Faculdade Unimogi, município de Mogi Guaçu-SP acerca da Disciplina de Anatomia. Participaram desta pesquisa 80 acadêmicos dos respectivos cursos, sendo 20 participantes de cada curso. Para tanto, a pesquisa foi realizada por meio de uma entrevista semiestruturada através da aplicação de um questionário, sendo os dados anotados em planilha para análise e comparação. Observou-se que grande parte da amostra se mostrou motivada nos conhecimentos anatômicos, entendendo que essa disciplina apresenta relação estreita com outras disciplinas, sendo de fundamental importância na formação acadêmica.Descritores: Anatomia; Educação Superior; Área Programática (Saúde); Metodologia.ReferênciasSalbego C, Oliveira EMD, Silva MAR, Bugança PR. Percepções Acadêmicas sobre o Ensino e a Aprendizagem em Anatomia Humana. Rev bras educ med. 2015;39(1):23-31.Tortora GJ. Fundamentos de anatomia e fisiologia. 4. ed. Porto Alegre: Artes Médicas;2000.de Azambuja Montes MA, Vieira de Souza CT. Estratégia de ensino-aprendizagem de anatomia humana para acadêmicos de medicina. Ciênc cogn. 2010;15(3):2-12.Braz PRP. Método didático aplicado ao ensino da anatomia humana. ANUDO. 2010;3(4):303-10.Lima VM, Pereira KF. Processo de formação dos monitores do museu de Anatomia humana e comparativa. Itinerarius Reflectionis. 2010; 8(1). DOI:10.5216/rir.v1i8.992.Turney BW. Anatomy in a modern medical curriculum. Ann R Coll Surg Engl. 2007;89(2):104-7.Fornaziero CC, Gordan PA, Carvalho MAV, Araújo JC, Aquino JCB. O ensino da anatomia: integração do corpo humano e meio ambiente. Rev bras educ med. 2010;34(2):290-97.Bergman EM, Prince KJ, Drukker J, van der Vleuten CP, Scherpbier AJ. How much anatomy is enough? Anat Sci Educ. 2008;1(4):184-88.Campus Neto FH, Maia NMFS, Guerra EMD. A experiência de ensino da anatomia humana baseada na clínica. Fortaleza: Universidade Metropolitana de Fortaleza, 2008; Anais do XXIII Congresso Brasileiro de Anatomia.Gomes AP, Dias-Coelho UC, Cavalheiro PO, Siqueira-Batista R. O papel dos mapas conceituais na educação médica. Rev bras educ med. 2011;35(2):275-82.Laburú CE, Barros MA, Silva OHM. Multimodos e múltiplas representações, aprendizagem significativa e subjetividade: três referenciais conciliáveis da educação científica. Ciênc educ (Bauru). 2011;17(2):469-87Barros AJS, Lehfeld NAS. Fundamentos de metodologia científica. 2ª ed. São Paulo: Pearson Makron Books; 2006.Crochemore MG, Marques AC. Disciplina de Anatomia Humana no curso de Licenciatura em Educação Física: considerações de egressos sobre sua relevância para prática docente. Thema. 2017;14(1):8-28.Azevedo ROM, Ghedin E, Silva-Fhosberg MC, Gonzaga AM. Formação inicial de professores da educação básica no Brasil: trajetória e perspectivas.Rev Diálogo Educ., Curitiba. 2012;12(37):997-1026.Arruda RM, Sousa CRA. Aproveitamento teórico-prático da disciplina anatomia humana do curso de fisioterapia. Rev bras educ med. 2014; 38(1):65–71.Willers CDA, Oliveira AP, Vicente BA, Ignatowicz CMRP, Fujitani C, Galvanini PA et al. O processo de ensino-aprendizagem nas disciplinas de Anatomia e Fisiologia Humana direcionado a alunos do curso de Ciências Biológicas. 2013; VIIIIII EPCC – Encontro Internacional de Produção Científica Cesumar.Costa AP. Ensino da anatomia humana em cursos de graduação em educação física [dissertação]. São Paulo: Universidade São Judas Tadeu; 2007.Reis C, Martins MM, Mendes RAF, Gonçalves LB, Sampaio Filho HC, Morais MR et al. Avaliação da Percepção de Discentes do Curso Médico acerca do Estudo Anatômico. Rev bras educ med. 2013;37(3):350-58.Melo JSS, Brasil LM, Ferneda E, Balaniuk R, Costa EB, Bittencourt I et al. Uso da realidade virtual em sistemas tutores in­teligentes destinados ao ensino de anatomia humana. Workshop em Informática na Educação (sbie) 2007 XVIII Simpósio Brasileiro de Informática na Educação - SBIE - Mackenzie – 2007Freire P. Pedagogia da autonomia: saberes necessários á prática educativa. São Paulo: Paz e Terra; 1996.
27

Silao, Catherine Lynn T. "Perspectives on the Use of Telegenetics Services in the Philippines." Acta Medica Philippina 57, no. 8 (August 29, 2023). http://dx.doi.org/10.47895/amp.v57i8.8572.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
The Philippines is a densely populated nation faced with multiple challenges in the healthcare field given its geographic,cultural, and socioeconomic barriers. Due to the geographic limitations of medical services in the country, many patientsmust travel a great distance to referral centers. This was further exacerbated by the Coronavirus disease 2019 (COVID-19)pandemic, which spread across the world and upended lives. This pandemic triggered a public health crisis that impactedhealthcare systems, healthcare workers, and communities worldwide. It compounded current difficulties with the provision andaccessibility of medical services, necessitating the employment of alternative methods of providing health coverage. As a result,advanced technological methods for patient diagnosis, monitoring, treatment, and counseling were rapidly implemented.1 Interest in these technological advances began prior to the COVID-19 pandemic, though primarily in developed countries.However, during this global outbreak, telehealth practices – which refer to online health care services provided by all healthcare professions – have seen a rapid increase in popularity.2,3 Telehealth was brought to the forefront in all countries inorder to surmount lockdown constraints, allow continuous provision of health care for patients, and limit exposure to healthsystems and health providers.4 Traditional medical education and training were likewise disrupted during this time, resulting in the incorporationof telehealth into medical education. To reduce the risks associated with more personnel in the hospital, medical studentswere withdrawn from clinical environments during the COVID-19 outbreak. This created an environment of uncertaintyand limited clinical exposure, with concerns surrounding progression through the medical course and training program.5Continuing medical education, which has traditionally been based on clinical knowledge and skills, now requires onlinetechnical communication skills. Innovative services were rapidly developed with health professionals embracing this newtechnological competence, enabling general consultation for patients, remote patient monitoring, and self-directed patientcare, thereby decreasing the burden on health facilities. Digital learning platforms also provided an effective way to address thelearning gaps caused by the pandemic. The restriction of “in-person” delivery of healthcare services due to the global outbreak has prompted physicians, includingclinical geneticists and genetic counselors, to investigate alternative methods of providing health care to patients. A telehealthinnovation for online delivery of clinical genetic and genetic counseling services is the Philippine General Hospital’s TelegeneticsService. Despite being launched in 2013 to serve genetics patients across the country, this service has since been upgradedand capitalized resulting in patient appreciation for its COVID-19 exposure prevention, increased access, and time and costefficiency. However, the telegenetics service has its limitations.6,7 Despite the expanding scope of telehealth/telegenetics and itsimmediate application, issues such as data/patient privacy, organizational readiness, digital maturity, regulatory impediments,access and acceptance of the technology, geographical and digital disparities, and its integration with traditional medicalservices have emerged.8 Lack of a detailed physical examination is also lost in a virtual visit, with focused questions leading tofragmented, impersonal interactions. Even when restrictions were lifted, telehealth usage nonetheless remained significantly higher than it had been prior tothe pandemic. This may indicate a shift in public opinion in favor of this innovative medical practice.9 With the expansion of genetic services in the country, there is now a greater need for telegenetics due to the increased demand for clinical genetic andgenetic counseling expertise. Therefore, evidence on the safety and efficacy of this technology in comparison to the traditionalhealthcare delivery approach is required. If the technology has the potential to improve health care, we must guarantee itsavailability in all resource-limited areas. Future efforts should thus focus on establishing solutions to address the aforementionedissues and concerns within our healthcare and education systems, thereby ultimately enhancing the standard of medical care. Catherine Lynn T. Silao, MD, PhDInstitute of Human Genetics, National Institutes of HealthDepartment of Pediatrics, College of Medicine and Philippine General HospitalUniversity of the Philippines Manila REFERENCES 1. Keesara S, Jonas A, Schulman K. COVID-19 and Health Care’sdigital revolution. N Engl J Med. 2020 Jun;382:e82. doi: 10.1056/NEJMp2005835.2. Scott R, Mars M. Telehealth in the developing world: current statusand future prospects. SHTT. 2015;3:25-37. doi:10.2147/shtt.s75184.3. Telemedicine: opportunities and developments in member states -Report on the second global survey on eHealth (Global Observatoryfor eHealth Series, 2). Geneva, Switzerland: World HealthOrganization; 2010.4. Patel SY, Mehrotra A, Huskamp HA, Uscher-Pines L, Ganguli I,Barnett ML. Trends in outpatient care delivery and telemedicineduring the COVID-19 pandemic in the US. JAMA Intern Med.2021 Mar;181(3):388–91. doi: 10.1001/jamainternmed.2020.5928.5. Sharma D, Bhaskar S. Addressing the COVID-19 burden onmedical education and training: the role of telemedicine and teleeducation during and beyond the pandemic. Front Public Health2020 Nov;8:589669. doi: 10.3389/fpubh.2020.589669.6. Herlao IAV, Maceda EBG, Abacan MAR, de Castro Hamoy LG,Alcausin MMLB. Telegenetics services in a tertiary hospital: utilityand patient satisfaction. Acta Med Philipp. 2022. doi: 10.47895/amp.vi0.4981.7. Tumulak MJR, Pascua AV, Jover EJM, Guerbo RJ, Canoy GMR,Laurino MY. Genetic counseling in the time of COVID-19: ThePhilippine experience with telegenetics. J Genet Couns. 2021Oct;30(5):1285-91. doi: 10.1002/jgc4.1518.8. Doraiswamy S, Abraham A, Mamtani R, Cheema S. Use of telehealthduring the COVID-19 pandemic: scoping review. J Med InternetRes. 2020 Dec;22(12):e24087. doi: 10.2196/24087.9. Omboni S, Padwal RS, Alessa T, Benczúr B, Green BB, Hubbard I,et al. The worldwide impact of telemedicine during COVID-19:current evidence and recommendations for the future. Connect Health.2022 Jan;1:7-35. doi: 10.20517/ch.2021.03.
28

Gamonal Guevara, Ulises. "Editorial." Revista Científica Pakamuros 9, no. 4 (December 7, 2021). http://dx.doi.org/10.37787/pakamuros-unj.v9i4.232.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Al nacer la Universidad Nacional de Jaén (UNJ) el 12 de diciembre de 2008 mediante Ley N° 29304 con las carreras profesionales: Ingeniería Civil, Forestal y Ambiental, Mecánica y Eléctrica, Industrias Alimentarias y Tecnología Médica. Su nombre venía en discusión por ubicarse en el pórtico de ingreso a la milenaria y temible selva, muchos planteaban se le denomine Universidad de la Alta Amazonía o Alto Marañón, Universidad del Nororiente Peruano y otros nombres integradores, el valor de Jaén durante su proceso histórico del coloniaje a la república y el papel que cumplió como principal punto de enlace con la Baja Amazonía u Omagua (Pulgar Vidal, 1987), la incansable resistencia para no ser arrebatado del territorio peruano y anexado a la Real Audiencia de Quito, su lucha permanente de 200 años para volver a suelo patrio luego de la anexión obligada al dominio quiteño (Martín Cuestas, 1984), Jaén, proclamó su independencia y retornó a Perú gloriosamente el lunes 4 de junio de 1821(Espinoza Soriano,2007), la ubicación estratégica del puerto de Tomependa ubicado en la junta de los ríos: Chinchipe, Utcubamba y Marañón, punto de embarque obligado a la Baja Amazonía, más tarde contribuyó fervorosamente al acto patriótico de la proclamación de nuestra Independencia con la más nutrida delegación presidida por el alcalde José Rozas (Espinoza Soriano, 2007), la abundancia del árbol de la quina (Cinchona officinalis) cuya corteza fue el más eficaz remedio para combatir la pandemia del paludismo, motivó la visita de notables expediciones científicas: Jean María de La Condamine en el siglo XVIII y Alexander von Humboldt a inicios del siglo XIX (Humboldt, 2019), Jaén, tierra del aromático tabaco Bracamoro e inmensa feracidad, tierra de los grandes ríos, fueron motivos suficientes para que la población actual valore a Jaén y su flamante Alma Mater perennizando el nombre de dicha Gobernación. Si bien el nombre Jaén, es de origen colonial, más de cinco mil años atrás las tierras del Chinchipe y Marañón fueron cuna de grandes civilizaciones (Olivera Núñez, 2018), Jaén por su ubicación estratégica y geopolítica, fue tierra de permanente interrelación costa, sierra, selva y sur oriente ecuatoriano (Gamonal Guevara, 2021); tierra de lucha por su autonomía. La heroica nación de los Bracamoros luchó denodadamente contra la agresión primero inca, luego hispana, la región fue sojuzgada por el Capitán andaluz Diego Palomino, quien fundó la Gobernación de San Leandro de Jaén de los Bracamoros el 17 de abril de 1549 (Martín Cuestas, 1989). ¿Quiénes fueron los temibles Bracamoros?, ¿Dónde habitaban?, ¿Qué otros rasgos notables poseían?, fueron del tronco jíbaro, procedencia ancestral de belicosos grupos sociales de Centro América o las Antillas, constituían una confederación de pueblos alto amazónicos, abarcó el austro ecuatoriano, el norte del departamento de Cajamarca y el occidente del departamento de Amazonas en territorio peruano (internet); estos bravos guerreros, usaban armas contundentes, destacando las macanas, cuchillos de hueso y las temibles lanzas de chonta de 15 cuartas, pintaban su cara de rojo con pigmentos de achiote, el nombre proviene del vocablo quechua: (Puka-rojo; muro-muy pintado), trasquilaban el pelo y usaban una redecilla en la cabeza, llevaban orejeras; en la nariz portaban una placa de madera o metal, vivían desnudos; las mujeres vestían faldas largas de algodón o mimbre tipo sari tradicional, los senos eran cubiertos con ostras que abundaban en el Chinchipe, adornaban el cuello con collares de caracoles; sus casas eran redondas, construidas de madera y techadas con hojas de palmera, dormían en hamacas. La cerámica era tosca, color rojo ladrillo, emplearon la técnica del Corrugado, su principal expresión fue las vasijas funerarias, domesticaron algunos animales, conocieron la agricultura, sembraban: yuca, maíz, maní, frejoles, camote, calabazas, cacao, pacae, guayaba, papaya, guanábana, caimito; eran excepcionales nadadores, Humboldt narra que los chasquis acuáticos llevaron el mensaje de su próxima llegada, lo hicieron a nado durante 38 kilómetros por las correntosas aguas del río Huancabamba-Chamaya desde Ingatambo (Pomahuaca) hasta Tomependa, sede temporal de la Gobernación de Jaén de Bracamoros por encontrarse en traslado la ciudad capital al valle del Amojú. Despectivamente los Bracamoros eran llamados por los conquistadores: Paqamoros, Pukamuros, Pakamurus, Paqaraes, Paltas, Rabones, Nambijas, Jívaros, Salvajes, Chunchos, Shuar entre otros apodos. El heroísmo de los Bracamoros pocas veces ha tenido parangón en la historia frente a sus adversarios, cuando querían someterlos a las reducciones o tomarlos prisioneros, llegaron al extremo de suicidio colectivo, las madres ahorcaban a sus bebés para no ser descubiertos por sus llantos, luego se ahorcaban, lo mismo sucedía con los varones para no caer en manos de las huestes conquistadoras ni de los religiosos que trataban de someterlos. Asombrados los conquistadores por tanto heroísmo, se replegaron avergonzados sin lograr someterlos (Espinoza Soriano); los fueron notables negociadores y estrategas de guerra, lideraban las alianzas con otras etnias para defender su jurisdicción, tenían una lengua común para la Amazonía y la costa norte del Perú, desaparecido por la expansión del Tahuantinsuyo hasta Colombia. Los Bracamoros tenían mitimaes amazónicos en la costa, especialmente en Ayabaca expresada en los Bravos Guayacundos (Astuhuamán, 2009; Casevitz et al, 1988). Por todo ello la UNJ, asume las nobles virtudes de la Amazonía expresada en los Bravos Bracamoros; se convierte en parte de ellos, hace suyo el ejemplo de patriotismo, la capacidad de integración en el manejo de alianzas con los pueblos vecinos. Actualmente la UNJ, es el gran punku del Conocimiento Científico, Tecnológico e Innovación para el Desarrollo Sostenible post Bicentenario en perspectivas de brindar el apoyo a la elaboración del Plan Estratégico Jaén al 2050, retos difíciles, pero no imposibles de ejecutar. La UNJ, ubicada en territorio de la Alta Amazonía con bases de milenarias culturas: Mayo Chinchipe, Marañón, Pacopampa y otras civilizaciones aún por estudiar (Gamonal Guevara, 2021), debía contar con un vocero científico y cultural, los primeros pasos se fueron con el boletín “TUNTUI”, conforme la Universidad consolidaba su nivel científico, el boletín primigenio quedó pendiente para ser informativo y anunciador de los sucesos sociales y culturales de dicho centro superior, permitiendo el surgimiento de PAKAMUROS Revista de Ciencia Tecnología e Innovación para el desarrollo Sustentable, en sus inicios surgió como publicación anual, a partir de 2019 es publicada trimestralmente.
29

Gamonal Guevara, Ulises. "Editorial." Revista Científica Pakamuros 9, no. 4 (September 17, 2023). http://dx.doi.org/10.37787/z9g2zv30.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Al nacer la Universidad Nacional de Jaén (UNJ) el 12 de diciembre de 2008 mediante Ley N° 29304 con las carreras profesionales: Ingeniería Civil, Forestal y Ambiental, Mecánica y Eléctrica, Industrias Alimentarias y Tecnología Médica. Su nombre venía en discusión por ubicarse en el pórtico de ingreso a la milenaria y temible selva, muchos planteaban se le denomine Universidad de la Alta Amazonía o Alto Marañón, Universidad del Nororiente Peruano y otros nombres integradores, el valor de Jaén durante su proceso histórico del coloniaje a la república y el papel que cumplió como principal punto de enlace con la Baja Amazonía u Omagua (Pulgar Vidal, 1987), la incansable resistencia para no ser arrebatado del territorio peruano y anexado a la Real Audiencia de Quito, su lucha permanente de 200 años para volver a suelo patrio luego de la anexión obligada al dominio quiteño (Martín Cuestas, 1984), Jaén, proclamó su independencia y retornó a Perú gloriosamente el lunes 4 de junio de 1821(Espinoza Soriano,2007), la ubicación estratégica del puerto de Tomependa ubicado en la junta de los ríos: Chinchipe, Utcubamba y Marañón, punto de embarque obligado a la Baja Amazonía, más tarde contribuyó fervorosamente al acto patriótico de la proclamación de nuestra Independencia con la más nutrida delegación presidida por el alcalde José Rozas (Espinoza Soriano, 2007), la abundancia del árbol de la quina (Cinchona officinalis) cuya corteza fue el más eficaz remedio para combatir la pandemia del paludismo, motivó la visita de notables expediciones científicas: Jean María de La Condamine en el siglo XVIII y Alexander von Humboldt a inicios del siglo XIX (Humboldt, 2019), Jaén, tierra del aromático tabaco Bracamoro e inmensa feracidad, tierra de los grandes ríos, fueron motivos suficientes para que la población actual valore a Jaén y su flamante Alma Mater perennizando el nombre de dicha Gobernación. Si bien el nombre Jaén, es de origen colonial, más de cinco mil años atrás las tierras del Chinchipe y Marañón fueron cuna de grandes civilizaciones (Olivera Núñez, 2018), Jaén por su ubicación estratégica y geopolítica, fue tierra de permanente interrelación costa, sierra, selva y sur oriente ecuatoriano (Gamonal Guevara, 2021); tierra de lucha por su autonomía. La heroica nación de los Bracamoros luchó denodadamente contra la agresión primero inca, luego hispana, la región fue sojuzgada por el Capitán andaluz Diego Palomino, quien fundó la Gobernación de San Leandro de Jaén de los Bracamoros el 17 de abril de 1549 (Martín Cuestas, 1989). ¿Quiénes fueron los temibles Bracamoros?, ¿Dónde habitaban?, ¿Qué otros rasgos notables poseían?, fueron del tronco jíbaro, procedencia ancestral de belicosos grupos sociales de Centro América o las Antillas, constituían una confederación de pueblos alto amazónicos, abarcó el austro ecuatoriano, el norte del departamento de Cajamarca y el occidente del departamento de Amazonas en territorio peruano (internet); estos bravos guerreros, usaban armas contundentes, destacando las macanas, cuchillos de hueso y las temibles lanzas de chonta de 15 cuartas, pintaban su cara de rojo con pigmentos de achiote, el nombre proviene del vocablo quechua: (Puka-rojo; muro-muy pintado), trasquilaban el pelo y usaban una redecilla en la cabeza, llevaban orejeras; en la nariz portaban una placa de madera o metal, vivían desnudos; las mujeres vestían faldas largas de algodón o mimbre tipo sari tradicional, los senos eran cubiertos con ostras que abundaban en el Chinchipe, adornaban el cuello con collares de caracoles; sus casas eran redondas, construidas de madera y techadas con hojas de palmera, dormían en hamacas. La cerámica era tosca, color rojo ladrillo, emplearon la técnica del Corrugado, su principal expresión fue las vasijas funerarias, domesticaron algunos animales, conocieron la agricultura, sembraban: yuca, maíz, maní, frejoles, camote, calabazas, cacao, pacae, guayaba, papaya, guanábana, caimito; eran excepcionales nadadores, Humboldt narra que los chasquis acuáticos llevaron el mensaje de su próxima llegada, lo hicieron a nado durante 38 kilómetros por las correntosas aguas del río Huancabamba-Chamaya desde Ingatambo (Pomahuaca) hasta Tomependa, sede temporal de la Gobernación de Jaén de Bracamoros por encontrarse en traslado la ciudad capital al valle del Amojú. Despectivamente los Bracamoros eran llamados por los conquistadores: Paqamoros, Pukamuros, Pakamurus, Paqaraes, Paltas, Rabones, Nambijas, Jívaros, Salvajes, Chunchos, Shuar entre otros apodos. El heroísmo de los Bracamoros pocas veces ha tenido parangón en la historia frente a sus adversarios, cuando querían someterlos a las reducciones o tomarlos prisioneros, llegaron al extremo de suicidio colectivo, las madres ahorcaban a sus bebés para no ser descubiertos por sus llantos, luego se ahorcaban, lo mismo sucedía con los varones para no caer en manos de las huestes conquistadoras ni de los religiosos que trataban de someterlos. Asombrados los conquistadores por tanto heroísmo, se replegaron avergonzados sin lograr someterlos (Espinoza Soriano); los fueron notables negociadores y estrategas de guerra, lideraban las alianzas con otras etnias para defender su jurisdicción, tenían una lengua común para la Amazonía y la costa norte del Perú, desaparecido por la expansión del Tahuantinsuyo hasta Colombia. Los Bracamoros tenían mitimaes amazónicos en la costa, especialmente en Ayabaca expresada en los Bravos Guayacundos (Astuhuamán, 2009; Casevitz et al, 1988). Por todo ello la UNJ, asume las nobles virtudes de la Amazonía expresada en los Bravos Bracamoros; se convierte en parte de ellos, hace suyo el ejemplo de patriotismo, la capacidad de integración en el manejo de alianzas con los pueblos vecinos. Actualmente la UNJ, es el gran punku del Conocimiento Científico, Tecnológico e Innovación para el Desarrollo Sostenible post Bicentenario en perspectivas de brindar el apoyo a la elaboración del Plan Estratégico Jaén al 2050, retos difíciles, pero no imposibles de ejecutar. La UNJ, ubicada en territorio de la Alta Amazonía con bases de milenarias culturas: Mayo Chinchipe, Marañón, Pacopampa y otras civilizaciones aún por estudiar (Gamonal Guevara, 2021), debía contar con un vocero científico y cultural, los primeros pasos se fueron con el boletín “TUNTUI”, conforme la Universidad consolidaba su nivel científico, el boletín primigenio quedó pendiente para ser informativo y anunciador de los sucesos sociales y culturales de dicho centro superior, permitiendo el surgimiento de PAKAMUROS Revista de Ciencia Tecnología e Innovación para el desarrollo Sustentable, en sus inicios surgió como publicación anual, a partir de 2019 es publicada trimestralmente.
30

Daniel, Ryan. "Artists and the Rite of Passage North to the Temperate Zone." M/C Journal 20, no. 6 (December 31, 2017). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.1357.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
IntroductionThree broad stages of Australia’s arts and culture sectors may be discerned with reference to the Northern Hemisphere. The first is in Australia’s early years where artists travelled to the metropoles of Europe to learn from acknowledged masters, to view the great works and to become part of a broader cultural scene. The second is where Australian art was promoted internationally, which to some extent began in the 1960s with exhibitions such as the 1961 ‘Survey of recent Australian painting’ at the Whitechapel gallery. The third relates to the strong promotion and push to display and sell Indigenous art, which has been a key area of focus since the 1970s.The Allure of the NorthFor a long time Australasian artists have mostly travelled to Britain (Britain) or Europe (Cooper; Frost; Inkson and Carr), be they writers, painters or musicians for example. Hecq (36) provides a useful overview of the various periods of expatriation from Australia, referring to the first significant phase at the end of the twentieth century when many painters left “to complete their atelier instruction in Paris and London”. Many writers also left for the north during this time, with a number of women travelling overseas on account of “intellectual pressures as well as intellectual isolation”(Hecq 36). Among these, Miles Franklin left Australia in “an open act of rebellion against the repressive environment of her family and colonial culture” (37). There also existed “a belief that ‘there’ is better than ‘here’” (de Groen vii) as well as a “search for the ideal” (viii). World War I led to stronger Anglo-Australian relations hence an increase in expatriation to Europe and Britain as well as longer-term sojourns. These increased further in the wake of World War II. Hecq describes how for many artists, there was significant discontent with Australian provincialism and narrow-mindedness, as well as a desire for wider audiences and international recognition. Further, Hecq describes how Europe became something of a “dreamland”, with numerous artists influenced by their childhood readings about this part of the world and a sense of the imaginary or the “other”. This sense of a dream is described beautifully by McAuliffe (56), who refers to the 1898 painting by A.J. Daplyn as a “melancholic diagram of the nineteenth-century Australian artist’s world, tempering the shimmering allure of those northern lights with the shadowy, somnolent isolation of the south”.Figure 1: The Australian Artist’s Dream of Europe; A.J. Daplyn, 1898 (oil on canvas; courtesy artnet.com)In ‘Some Other Dream’, de Groen presents a series of interviews with expatriate Australian artists and writers as an insight into what drove each to look north and to leave Australia, either temporarily or permanently. Here are a few examples:Janet Alderson: “I desperately wanted to see what was going on” (2)Robert Jacks: “the dream of something else. New York is a dream for lots of people” (21)Bruce Latimer: “I’d always been interested in America, New York in particular” (34)Jeffrey Smart: “Australia seemed to be very dull and isolated, and Italy seemed to be thrilling and modern” (50)Clement Meadmore: “I never had much to do with what was happening in Melbourne: I was never accepted there” (66)Stelarc: “I was interested in traditional Japanese art and the philosophy of Zen” (80)Robert Hughes: “I’d written everything that I’d wanted to write about Australian art and this really dread prospect was looming up of staying in Australia for the rest of one’s life” (128)Max Hutchison: “I quickly realised that Melbourne was a non-art consuming city” (158)John Stringer: “I was not getting the latitude that I wanted at the National Gallery [in Australia] … the prospects of doing other good shows seemed rather slim” (178)As the testimony here suggests, the allure of the north ranges from dissatisfaction with the south to the attraction of various parts of the world in the north.More recently, McAuliffe describes a shift in the impact of the overseas experience for many artists. Describing them as business travellers, he refers to the fact that artists today travel to meet international art dealers and to participate in exhibitions, art fairs and the like. Further, he argues that the risk today lies in “disorientation and distraction rather than provincial timidity” (McAuliffe 56). That is, given the ease and relatively cheap costs of international travel, McAuliffe argues that the challenge is in adapting to constantly changing circumstances, rather than what are now arguably dated concepts of cultural cringe or tyranny of distance. Further, given the combination of “cultural nationalism, social cosmopolitanism and information technology”, McAuliffe (58) argues that the need to expatriate is no longer a requirement for success.Australian Art Struggles InternationallyThe struggles for Australian art as a sector to succeed internationally, particularly in Britain, Europe and the US, are well documented (Frost; Robertson). This is largely due to Australia’s limited history of white settlement and established canon of great art works, the fact that power and position remain strong hence the dominance of Europe and North America in the creative arts field (Bourdieu), as well as Australia’s geographical isolation from the major art centres of the world, with Heartney (63) describing the “persistent sense of isolation of the Australian art world”. While Australia has had considerable success internationally in terms of its popular music (e.g. INXS, Kylie Minogue, The Seekers) and high-profile Hollywood actors (e.g. Geoffrey Rush, Hugh Jackman, Nicole Kidman), the visual arts in particular have struggled (O’Sullivan), including the Indigenous visual arts subsector (Stone). One of the constant criticisms in the visual art world is that Australian art is too focussed on place (e.g. the Australian outback) and not global art movements and trends (Robertson). While on the one hand he argues that Australian visual artists have made some inroads and successes in the international market, McAuliffe (63) tempers this with the following observation:Australian artists don’t operate at the white-hot heart of the international art market: there are no astronomical prices and hotly contested bidding wars. International museums acquire Australian art only rarely, and many an international survey exhibition goes by with no Australian representation.The Push to Sell Australian Cultural Product in the NorthWriting in the mid-nineties at the time of the release of the national cultural policy Creative Nation, the then prime minister Paul Keating identified a need for Australia as a nation to become more competitive internationally in terms of cultural exports. This is a theme that continues today. Recent decades have seen several attempts to promote Australian visual art overseas and in particular Indigenous art; this has come with mixed success. However, there have been misconceptions in the past and hence numerous challenges associated with promoting and selling Aboriginal art in international markets (Wright). One of the problems is that a lot of Europeans “have often seen bad examples of Aboriginal Art” (Anonymous 69) and it is typically the art work which travels north, less so the Indigenous artists who create them and who can talk to them and engage with audiences. At the same time, the Indigenous art sector remains a major contributor to the Australian art economy (Australia Council). While there are some examples of successful Australian art managers operating galleries overseas in such places as London and in the US (Anonymous-b), these are limited and many have had to struggle to gain recognition for their artists’ works.Throsby refers to the well-established fact that the international art market predominantly resides in the US and in Europe (including Britain). Further, Throsby (64) argues that breaking into this market “is a daunting task requiring resources, perseverance, a quality product, and a good deal of luck”. Referring specifically to Indigenous Australian art, Throsby (65) reveals how leading European fairs such as those at Basel and Cologne, displaying breath-taking ignorance if not outright stupidity, have vetoed Aboriginal works on the grounds that they are folk art. This saga continues to the present day, and it still remains to be seen whether these fairs will eventually wake up to themselves.It is also presented in an issue of Artlink that the “challenge is to convince European buyers of the value of Australian art, even though the work is comparatively inexpensive” (Anonymous 69). Is the Rite of Passage Relevant in the 21st Century?Some authors challenge the notion that the rite of passage to the northern hemisphere is a requirement for success for an Australian artist (Frost). This challenge is worthy of unpacking in the second decade of the twenty-first century, and particularly so in what is being termed the Asian century (Bice and Sullivan; Wesley). Firstly, Australia is far closer to Asia than it is to Europe and North America. Secondly, the Asian population is expected to continue to experience rapid economic and population growth, for example the rise of the middle class in China, potentially representing new markets for the consumption of creative product. Lee and Lim refer to the rapid economic modernisation and growth in East Asia (Japan to Singapore). Hence, given the struggles that are often experienced by Australian artists and dealers in attempting to break into the art markets of Europe and North America, it may be more constructive to look towards Asia as an alternative north and place for Australian creative product. Fourthly, many Asian countries are investing heavily in their creative industries and creative economy (Kim and Kim; Kong), hence representing an opportune time for Australian creative practitioners to explore new connections and partnerships.In the first half of the twentieth century, Australians felt compelled to travel north to Europe, especially, if they wanted to engage with the great art teachers, galleries and art works. Today, with the impact of technology, engaging with the art world can be achieved much more readily and quickly, through “increasingly transnational forms of cultural production, distribution and consumption” (Rowe et al. 8). This recent wave of technological development has been significant (Guerra and Kagan), in relation to online communication (e.g. skype, email), social media (e.g. Facebook, Twitter) as well as content available on the Web for both informal and formal learning purposes. Artists anywhere in the world can now connect online while also engaging with what is an increasing field of virtual museums and galleries. For example, the Tate Gallery in London has over 70,000 artworks in its online art database which includes significant commentary on each work. While online engagement does not necessarily enable an individual to have the lived experience of a gallery walk-through or to be an audience member at a live performance in an outstanding international venue, online technologies have made it much easier for developing artists to engage from anywhere in the world. This certainly makes the ‘tyranny of distance’ factor relevant to Australia somewhat more manageable.There is also a developing field of research citing the importance of emerging artists displaying enterprising and/or entrepreneurial skills (Bridgstock), in the context of a rapidly changing global arts sector. This broadly refers to the need for artists to have business skills, to be able to seek out and identify opportunities, as well as manage multiple projects and/or various streams of income in what is a very different career type and pathway (Beckman; Bridgstock and Cunningham; Hennekam and Bennett). These opportunity seeking skills and agentic qualities have also been cited as critical in relation to the fact that there is not only a major oversupply of artistic labour globally (Menger), but there is a growing stream of entrants to the global higher education tertiary arts sector that shows no signs of subsiding (Daniel). Concluding RemarksAustralia’s history features a strong relationship with and influences from the north, and in particular from Britain, Europe and North America. This remains the case today, with much of Australian society based on inherited models from Britain, be this in the art world or in such areas as the law and education. As well as a range of cultural and sentimental links with this north, Australia is sometimes considered to be a satellite of European civilisation in the Asia-Pacific region. It is therefore explicable why artists might continue this longstanding relationship with this particular north.In our interesting and complex present of the early twenty-first century, Australia is hampered by the lack of any national cultural policy as well as recent significant cuts to arts funding at the national and state levels (Caust). Nevertheless, there are opportunities to be further explored in relation to the changing patterns of production and consumption of creative content, the impact of new and next technologies, as well as the rise of Asia in the Asian Century. The broad field of the arts and artists is a rich area for ongoing research and inquiry and ultimately, Australia’s links to the north including the concept of the rite of passage deserves ongoing consideration.ReferencesAnonymous a. "Outposts: The Case of the Unofficial Attache." Artlink 18.4 (1998): 69–71.Anonymous b. "Who’s Selling What to Whom: Australian Dealers Taking Australian Art Overseas." Artlink 18. 4 (1998): 66–68.Australia Council for the Arts. Arts Nation: An Overview of Australian Arts. 2015. <http://www.australiacouncil.gov.au/workspace/uploads/files/arts-nation-final-27-feb-54f5f492882da.pdf>.Beckman, Gary D. "'Adventuring' Arts Entrepreneurship Curricula in Higher Education: An Examination of Present Efforts, Obstacles, and Best Practices." The Journal of Arts Management, Law, and Society 37.2 (2007): 87–112.Bice, Sara, and Helen Sullivan. "Abbott Government May Have New Rhetoric, But It’s Still the ‘Asian Century’." The Conversation 2013. <https://theconversation.com/abbott-government-may-have-new-rhetoric-but-its-still-the-asian-century-19769>.Bourdieu, Pierre. Distinction: A Social Critique of the Judgement of Taste. Routledge & Kegan Paul, 1984.Bridgstock, Ruth. "Not a Dirty Word: Arts Entrepreneurship and Higher Education." Arts and Humanities in Higher Education 12.2–3 (2013,): 122–137. doi:10.1177/1474022212465725.———, and Stuart Cunningham. "Creative Labour and Graduate Outcomes: Implications for Higher Education and Cultural Policy." International Journal of Cultural Policy 22.1 (2015): 10–26. doi:10.1080/10286632.2015.1101086.Britain, Ian. Once an Australian: Journeys with Barry Humphries, Clive James, Germaine Greer and Robert Hughes. Oxford: Oxford UP, 1997.Caust, Josephine. "Cultural Wars in an Australian Context: Challenges in Developing a National Cultural Policy." International Journal of Cultural Policy 21.2 (2015): 168–182. doi:10.1080/10286632.2014.890607.Cooper, Roslyn Pesman. "Some Australian Italies." Westerly 39.4 (1994): 95–104.Daniel, Ryan, and Robert Johnstone. "Becoming an Artist: Exploring the Motivations of Undergraduate Students at a Regional Australian University". Studies in Higher Education 42.6 (2017): 1015-1032.De Groen, Geoffrey. Some Other Dream: The Artist the Artworld & the Expatriate. Hale & Iremonger, 1984.Frost, Andrew. "Do Young Australian Artists Really Need to Go Overseas to Mature?" The Guardian, 9 Oct. 2013. <https://www.theguardian.com/culture/australia-culture-blog/2013/oct/09/1https://www.theguardian.com/culture/australia-culture-blog/2013/oct/09/1, July 20, 2016>.Guerra, Paula, and Sacha Kagan, eds. Arts and Creativity: Working on Identity and Difference. Porto: University of Porto, 2016.Heartney, Eleanor. "Identity and Locale: Four Australian Artists." Art in America 97.5 (2009): 63–68.Hecq, Dominique. "'Flying Up for Air: Australian Artists in Exile'." Commonwealth (Dijon) 22.2 (2000): 35–45.Hennekam, Sophie, and Dawn Bennett. "Involuntary Career Transition and Identity within the Artist Population." Personnel Review 45.6 (2016): 1114–1131.Inkson, Kerr, and Stuart C. Carr. "International Talent Flow and Careers: An Australasian Perspective." Australian Journal of Career Development 13.3 (2004): 23–28.Keating, P.J. "Exports from a Creative Nation." Media International Australia 76.1 (1995): 4–6.Kim, Jeong-Gon, and Eunji Kim. "Creative Industries Internationalization Strategies of Selected Countries and Their Policy Implications." KIEP Research Paper. World Economic Update-14–26 (2014). <https://ssrn.com/abstract=2488416>.Kong, Lily. "From Cultural Industries to Creative Industries and Back? Towards Clarifying Theory and Rethinking Policy." Inter-Asia Cultural Studies 15.4 (2014): 593–607.Lee, H., and Lorraine Lim. Cultural Policies in East Asia: Dynamics between the State, Arts and Creative Industries. Springer, 2014.McAuliffe, Chris. "Living the Dream: The Contemporary Australian Artist Abroad." Meanjin 71.3 (2012): 56–61.Menger, Pierre-Michel. "Artistic Labor Markets and Careers." Annual Review of Sociology 25.1 (1999): 541–574.O’Sullivan, Jane. "Why Australian Artists Find It So Hard to Get International Recognition." AFR Magazine, 2016.Robertson, Kate. "Yes, Capon, Australian Artists Have Always Thought about Place." The Conversation, 2014. <https://theconversation.com/yes-capon-australian-artists-have-always-thought-about-place-31690>.Rowe, David, et al. "Transforming Cultures? From Creative Nation to Creative Australia." Media International Australia 158.1 (2016): 6–16. doi:10.1177/1329878X16629544.Stone, Deborah. "Presenters Reject Indigenous Arts." ArtsHub, 2016. <http://www.artshub.com.au/news-article/news/audience-development/deborah-stone/presenters-reject-indigenous-arts-252075?utm_source=ArtsHub+Australia&utm_campaign=7349a419f3-UA-828966-1&utm_medium=email&utm_term=0_2a8ea75e81-7349a419f3-302288158>.Throsby, David. "Get Out There and Sell: The Visual Arts Export Strategy, Past, Present and Future." Artlink 18.4 (1998): 64–65.Wesley, Michael. "In Australia's Third Century after European Settlement, We Must Rethink Our Responses to a New World." The Conversation, 2015. <https://theconversation.com/in-australias-third-century-after-european-settlement-we-must-rethink-our-responses-to-a-new-world-46671>.Wright, Felicity. "Passion, Rich Collectors and the Export Dollar: The Selling of Aboriginal Art Overseas." Artlink 18.4 (1998): 16.

До бібліографії