Добірка наукової літератури з теми "Engrais minéraux phosphatés"

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Статті в журналах з теми "Engrais minéraux phosphatés":

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Sinsi, Raymond Lumbuenamo, Elie Nsimba Ngembo, Eric Lutete Landu, Joël Tungi Tungi, and Blandine Nsombo Mosombo. "Caractérisation de la cinétique des échanges isotopiques du phosphore et potentialités des roches naturelles phosphatées de la République Démocratique du Congo dans la fertilisation phosphorique des sols ferrallitiques." Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, no. 4 (January 9, 2024): 32–42. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i4.4.

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Анотація:
Description du sujet. Les sols tropicaux, dont les sols congolais, comportent un profond complexe d’altération suite aux fortes températures et au lessivage intense auxquels ils sont soumis. Ils sont en général fortement déssaturés, en plus d’être extrêmement pauvres en phosphore (P). Leurs caractéristiques physico-chimiques ainsi que la rapide perte de leur fertilité après une mise en culture constituent de sérieuses difficultés pour une production agricole soutenue. Des apports conséquents d’engrais minéraux sont nécessaires pour remédier à cet état des choses.Objectif. La présente étude tente d’apporter une alternative aux engrais phosphatés, en évaluant l’aptitude de trois roches phosphatées, deux en RD Congo (Kongo-central) à savoir celles de Kanzi et Fundu et la troisième en Tunisie, la roche de GAFSA, à corriger les carences en P.Méthode. L’approche isotopique, précisément celle de la dilution isotopique est celle qui a été utilisée dans cette étude. L’étude a analysé les échantillons des sols de l’hinterland de Kinshasa (Ndjili) et Mvuazi ainsi que ceux des roches phosphatées de Kanzi et Fundu. Les deux roches phosphatées ont été analysées avec une comparaison faite aux roches de GAFSA et triple superphosphate (TSP).Résultats. La méthode de dilution isotopique choisie à cet effet a montré que le phosphate naturel de Kanzi dans le Kongo-central contient plus d’ions P directement assimilables dans la solution du sol (Epie1mg Pkg-1 = 2270) que le phosphate de GAFSA (Epie1mg Pkg-1 = 976) et a une cinétique isotopique égalisant le TSP.Conclusion. Les roches phosphatées de Kanzi pourraient servir d’engrais phosphatés naturels. Description of the subject. Tropical soils, including Congolese soils, have a deep alteration complex, particularly due to high temperatures and intense leaching to which they are exposed. They are generally highly desaturated, in addition of having a very low phosphorus (P) content. Their physico-chemical characteristics as well as the rapid loss of their fertility after one cultivation are serious issues for sustained agricultural production. Substantial inputs of mineral fertilizers are necessary to remedy this situation.Objective. This study aims to provide an alternative to phosphate fertilizers, by evaluating the ability of tree phosphate rocks, two from Kanzi and Fundu in DR Congo and the other from GAFSA in Tunisia, to correct deficiencies in this element.Methods. The isotopic approach, precisely that of isotopic dilution, is the one used in this study. The study analyzed soil samples from the hinterland of Kinshasa (Ndjili) and Mvuazi as well as those from the phosphate rocks of Kanzi and Fundu. The two phosphate rocks were analyzed with a comparison made to the rocks of GAFSA and triple superphosphate (TSP).Results. The isotopic dilution method chosen for this purpose showed that natural phosphate from Kanzi in Kongo Central contains more P ions directly assimilable in the soil solution (Epie1mg Pkg-1 = 2270) than GAFSA (Epie1 mgPkg-1 = 976) and has isotopic kinetics equalizing TSP.Conclusion: Kanzi phosphate rocks can be used as a natural phosphate fertilizer instead of TSP.
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Sanon, Abdramane, Alain P. K. Gomgnimbou, Hamadé Sigue, Kalifa Coulibaly, Cheick A. Bambara, Willifried Sanou, Sékou Fofana, and Hassan B. Nacro. "Performances économiques et financières de la fertilisation en riziculture pluviale stricte dans la zone sud soudanienne du Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 4 (November 19, 2021): 1581–94. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.22.

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Анотація:
La culture du riz joue un rôle décisif dans les moyens d'existence des producteurs. La production rizicole rencontre des difficultés liées aux coûts de fertilisation. L’étude avait pour objectif d’évaluer les performances économiques et financières des biodéchets et des fertilisants inorganiques en riziculture pluviale stricte. L’évaluation est faite suivante deux démarches : la première consiste à calculer et à comparer les indicateurs de performance, tandis que la deuxième repose sur une matrice de corrélation afin d’identifier les relations entre les indicateurs de performances économiques et financières et rendements de riz paddy. La performance agronomique des options de fertilisation a été évaluée par les rendements du riz paddy récolté dans un essai. A cet effet, un dispositif expérimental en Blocs de Fisher complètement randomisés avec quatre répétitions et dix traitements composites a été installé à la station de recherches de Farako-Ba au Burkina Faso, durant quatre campagnes agricoles de 2016 à 2019. Pour le calcul des indicateurs de performances économiques et financières, l’achat des engrais minéraux et des biodéchets, le coût de la main-d’œuvre pour collecter, transporter et incorporer les fertilisants, le prix moyen d’un kilogramme de riz paddy dans les différents marchés de la zone d’étude ont été prises en considération. Les résultats ont montré que les traitements Fumier de Poule+Urée, Fumier de Poule+Burkina Phosphate+Urée et Compost+Urée présentaient significativement les meilleures performances économiques du point de vue de la marge nette et de la productivité moyenne du travail. Les meilleurs taux de rentabilité interne et du ratio bénéfice sur coût sont enrégistrés par les traitements Fumier de Poule+Urée et Compost+Urée. Il ressort de l’analyse statistique des corrélations positives et significatives entre le rendement du riz paddy et les marges nettes d’une part et d’autre part entre le rendement du riz paddy et la productivité moyenne du travail. Dans un contexte de coûts élevés de la fertilisation, ces résultats révèlent l’intérêt de la combinaison de biodéchets (fumier de poule) avec les engrais minéraux en culture de riz pluvial strict pour une vulgarisation en milieu paysan.
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Bentchikou, Mohamed. "Appréciation de l'alimentation minérale du vignoble d'appellation garantie (V.A.O.G.) de Mascara (Algérie)." OENO One 21, no. 1 (March 31, 1987): 13. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1987.21.1.1269.

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Анотація:
<p style="text-align: justify;">L'alimentation minérale de onze parcelles du vignoble de Mascara a été appréciée pendant deux années consécutives par l'analyse des limbes et des pétioles prélevés à la nouaison et à la véraison.</p><p style="text-align: justify;">La nutrition des parcelles étudiées est mal assurée du fait de conditions pédoclimatiques particulières et d'une fertilisation mal adaptée. Si les niveaux d'apport d'engrais azotés (33 unités N/ha/an) et phosphatés (60 unités P<sub>2</sub>O<sub>5</sub>/ha/an) paraissent suffisants, les modalités d'épandage et la forme des engrais doivent être revues. La fertilisation potassique est nettement insuffisante et les doses devraient passer de 75 à 100 ou 150 unités K<sub>2</sub>O/ha/an.</p><p style="text-align: justify;">+++</p><p style="text-align: justify;">The mineral supply of the Mascara vineyard (Algeria) has been estimated in eleven lots, during two years, by the analysis of leaf blades and petioles sampled respectively at fruit-setting and veraison stages.</p><p style="text-align: justify;">The nutrition of these plots is unsufficient because of the particular pedoclimatic conditions and uncorrect applied fertilization. The level of nitrogenous (33 N units/ha/year) and phosphorus 60 P<sub>2</sub>O<sub>5</sub> units/ha/year) fertilization appears as sufficient but the fertilizer form and its spreading modalities have to be modified. The potassium fertilizing amount, now about 75 units/ha/year, is very low and has to be raised up to 100 or 150 units/ha/year.</p>

Дисертації з теми "Engrais minéraux phosphatés":

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Magallón-Servin, Paola, and Paola Magallón-Servin. "Development of an inoculant of phosphate rock-solubilizing bacteria to improve maize growth and nutrition." Doctoral thesis, Université Laval, 2014. http://hdl.handle.net/20.500.11794/24965.

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Анотація:
L'utilisation directe de roche phosphatée (RP) est une alternative viable pour remplacer les coûteux fertilisants chimiques dans les pays en voie de développement. L'utilisation de bactéries solubilisatrices de RP (BSRP) est un bon moyen pour augmenter la réactivité de la RP. L'objectif principal de ce travail a été d'obtenir des isolats provenant de la mycorhizosphère du maïs possédant une grande capacité de solubilisation de RP, compatibles avec la mycorhize arbusculaire (MA) et présentant des traits associés aux rhizobactéries favorisant la croissance de plantes (RFCP) pour le développement d'un inoculant bactérien pour le maïs.À partir de 118 isolats obtenus de maïs biologique cultivé au Québec, huit BSRP ont été identifiés comme Asaia lannaensis Vb1, Pseudomonas sp. Vr14, Rahnella aquatilis (Vr7, Vr13 et Sr24) et Pantoea agglomerans (Vr9, Ve16 et Vr25). En milieu liquide, les isolats ont dissous le P des RP selon leur réactivité (Gafsa> Tilemsi> Maroc). La solubilisation des RP s'est effectuée par la production d'acides organiques (OA) et l'abaissement du pH. Les meilleures BSRP de chaque groupe: (A. lannaensis Vb1, Pseudomonas sp. Vr14, R. aquatilis Sr24 et P. agglomerans Vr25) ont été sélectionnées selon leur capacité élevée de solubilisation de la RP et de leur production d'acide indolacétique (AIA) et de sidérophores. L’importance des biofilms formés, ainsi que le degré de motilité variaient selon les isolats et tous étaient compatibles avec le Glomus irregulare (Gi). L’étude de la colonisation des racines montre que R. aquatilis Sr24 et P. agglomerans Vr25 ont été les meilleurs colonisateurs. Lors des expériences en serre, certains mélanges contenant R. aquatilis Sr24, P. agglomerans Vr25 et Gi, ont amélioré la biomasse, l'absorption des nutriments et la colonisation de la plante en association avec un champignon mycorhizien indigène du maïs cultivé dans un sol non stérile et fertilisé avec la RP Marocaine. Nous attribuons ces résultats à leur capacité d'être de bonnes BSRP colonisatrices des racines. Elles sont aussi compatibles avec Gi et sont capables de produire de l'AIA et des sidérophores. Cette thèse démontre donc le potentiel d'utilisation de BSRP comme inoculant afin d'améliorer l'efficacité de l'utilisation directe de RP comme fertilisant phosphaté pour l'agriculture durable du maïs.
L'utilisation directe de roche phosphatée (RP) est une alternative viable pour remplacer les coûteux fertilisants chimiques dans les pays en voie de développement. L'utilisation de bactéries solubilisatrices de RP (BSRP) est un bon moyen pour augmenter la réactivité de la RP. L'objectif principal de ce travail a été d'obtenir des isolats provenant de la mycorhizosphère du maïs possédant une grande capacité de solubilisation de RP, compatibles avec la mycorhize arbusculaire (MA) et présentant des traits associés aux rhizobactéries favorisant la croissance de plantes (RFCP) pour le développement d'un inoculant bactérien pour le maïs.À partir de 118 isolats obtenus de maïs biologique cultivé au Québec, huit BSRP ont été identifiés comme Asaia lannaensis Vb1, Pseudomonas sp. Vr14, Rahnella aquatilis (Vr7, Vr13 et Sr24) et Pantoea agglomerans (Vr9, Ve16 et Vr25). En milieu liquide, les isolats ont dissous le P des RP selon leur réactivité (Gafsa> Tilemsi> Maroc). La solubilisation des RP s'est effectuée par la production d'acides organiques (OA) et l'abaissement du pH. Les meilleures BSRP de chaque groupe: (A. lannaensis Vb1, Pseudomonas sp. Vr14, R. aquatilis Sr24 et P. agglomerans Vr25) ont été sélectionnées selon leur capacité élevée de solubilisation de la RP et de leur production d'acide indolacétique (AIA) et de sidérophores. L’importance des biofilms formés, ainsi que le degré de motilité variaient selon les isolats et tous étaient compatibles avec le Glomus irregulare (Gi). L’étude de la colonisation des racines montre que R. aquatilis Sr24 et P. agglomerans Vr25 ont été les meilleurs colonisateurs. Lors des expériences en serre, certains mélanges contenant R. aquatilis Sr24, P. agglomerans Vr25 et Gi, ont amélioré la biomasse, l'absorption des nutriments et la colonisation de la plante en association avec un champignon mycorhizien indigène du maïs cultivé dans un sol non stérile et fertilisé avec la RP Marocaine. Nous attribuons ces résultats à leur capacité d'être de bonnes BSRP colonisatrices des racines. Elles sont aussi compatibles avec Gi et sont capables de produire de l'AIA et des sidérophores. Cette thèse démontre donc le potentiel d'utilisation de BSRP comme inoculant afin d'améliorer l'efficacité de l'utilisation directe de RP comme fertilisant phosphaté pour l'agriculture durable du maïs.
Phosphorous is the second most important nutrient for plant growth, but its availability is often reduced. Therefore high quantities of expensive soluble P-fertilizers are added to soil. Direct use of phosphate rock (PR) is an alternative to chemical P-fertilizers in developing countries and for sustainable agriculture. In order to increase PR reactivity the use of phosphate rock-solubilizing bacteria (PRSB) is a good alternative. Therefore, the main objective of this work was to obtain mycorrhizosphere-competent PRSB presenting other PGPR-associated traits to be used for the development of an inoculant to improve maize growth and P nutrition. Out of 118 isolates obtained from organically grown maize in Quebec, eight PRSB were identified as Asaia lannaensis Vb1, Pseudomonas sp. Vr14, Rahnella aquatilis (Vr7, Vr13 and Sr24) and Pantoea agglomerans (Vr9, Ve16 and Vr25). All isolates were able to mobilize P from different sparingly soluble P sources in solid media. In liquid medium the isolates were able to solubilize P from PRs according to their reactivity (Gafsa> Tilemsi> Morocco). PRs were solubilized by the production of organic acids (OAs) and by lowering the pH. The best PRSB from each group (A. lannaensis Vb1, Pseudomonas sp. Vr14, R. aquatilis Sr24 and P.3 agglomerans Vr25) were selected based on their high PR solubilization, and capacity for indolacetic acid (IAA) and siderophore production. These four isolates presented different biofilm formation and motility capacities and were compatible with Glomus irregulare (Gi). A root colonization study showed that R. aquatilis Sr24 and P. agglomerans Vr25 were the best root colonizers. Vr25 was very competitive when used with other PRSB. In greenhouse trials, plant inoculation with R. aquatilis Sr24 and P. agglomerans Vr25 in addition to Gi, increased the biomass, nutrient uptake in non-sterile soil amended with Moroccan PR (MPR). We attribute these results not only to their PR-solubilizing capacity but also for their ability to be good PRSB, competitive root colonizers, compatible with Gi and to produce IAA and siderophores. This thesis shows that PRSB with AM fungi can be used as inoculants to improve the efficiency of the direct use of PR as P fertilizer for sustainable maize production.
Phosphorous is the second most important nutrient for plant growth, but its availability is often reduced. Therefore high quantities of expensive soluble P-fertilizers are added to soil. Direct use of phosphate rock (PR) is an alternative to chemical P-fertilizers in developing countries and for sustainable agriculture. In order to increase PR reactivity the use of phosphate rock-solubilizing bacteria (PRSB) is a good alternative. Therefore, the main objective of this work was to obtain mycorrhizosphere-competent PRSB presenting other PGPR-associated traits to be used for the development of an inoculant to improve maize growth and P nutrition. Out of 118 isolates obtained from organically grown maize in Quebec, eight PRSB were identified as Asaia lannaensis Vb1, Pseudomonas sp. Vr14, Rahnella aquatilis (Vr7, Vr13 and Sr24) and Pantoea agglomerans (Vr9, Ve16 and Vr25). All isolates were able to mobilize P from different sparingly soluble P sources in solid media. In liquid medium the isolates were able to solubilize P from PRs according to their reactivity (Gafsa> Tilemsi> Morocco). PRs were solubilized by the production of organic acids (OAs) and by lowering the pH. The best PRSB from each group (A. lannaensis Vb1, Pseudomonas sp. Vr14, R. aquatilis Sr24 and P.3 agglomerans Vr25) were selected based on their high PR solubilization, and capacity for indolacetic acid (IAA) and siderophore production. These four isolates presented different biofilm formation and motility capacities and were compatible with Glomus irregulare (Gi). A root colonization study showed that R. aquatilis Sr24 and P. agglomerans Vr25 were the best root colonizers. Vr25 was very competitive when used with other PRSB. In greenhouse trials, plant inoculation with R. aquatilis Sr24 and P. agglomerans Vr25 in addition to Gi, increased the biomass, nutrient uptake in non-sterile soil amended with Moroccan PR (MPR). We attribute these results not only to their PR-solubilizing capacity but also for their ability to be good PRSB, competitive root colonizers, compatible with Gi and to produce IAA and siderophores. This thesis shows that PRSB with AM fungi can be used as inoculants to improve the efficiency of the direct use of PR as P fertilizer for sustainable maize production.
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Demay, Joséphine. "La disponibilité en phosphore des sols pourrait-elle limiter la production de l’agriculture biologique dans un contexte de forte expansion ?" Electronic Thesis or Diss., Bordeaux, 2024. http://www.theses.fr/2024BORD0059.

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Анотація:
Face aux crises environnementales et climatiques actuelles, les systèmes de production alimentaire doivent être transformés de toute urgence. Parmi les alternatives possibles, l'agriculture biologique est souvent mise en avant. Cependant, la question de savoir si l'expansion à grande échelle de l'agriculture biologique serait limitée par la disponibilité en nutriments des sols reste encore largement débattue. Jusqu'à présent, des études ont montré qu'à condition de réorganiser en profondeur les systèmes alimentaires, la conversion de 60 % des terres arables à l'agriculture biologique pourrait répondre à la demande alimentaire mondiale. Ces réorganisations incluent une réduction des densités d’animaux et du gaspillage alimentaire, la modification des régimes alimentaires et la relocalisation des élevages et des cultures sur les territoires. Au-delà de ce seuil de 60%, l'azote (N) entrainerait une limitation trop important de la production alimentaire mondiale. Toutefois, ces études n'ont pas examiné si la disponibilité en phosphore (P) des sols pourrait limiter la production de l’agriculture biologique à long terme. Cette question se pose dans la mesure où les engrais minéraux phosphatés, qui contribuent actuellement à plus de la moitié des apports mondiaux de P sur les sols agricoles, sont interdits dans le cadre de l'agriculture biologique. Répondre au manque de connaissances sur ce sujet est primordial, non seulement pour évaluer la capacité de l’agriculture biologique à se développer globalement, mais aussi dans le contexte de l'inévitable épuisement des réserves de roches phosphatées. Dans cette thèse, nous avons tout d'abord quantifié la dépendance de la fertilité actuelle en P des sols agricoles vis-à-vis de l'utilisation passée et présente d'engrais minéraux phosphatés. Nous avons ensuite analysé dans quelle mesure la production de l’agriculture biologique pourrait être affectée par un déficit en P des sols dans un monde 100% biologique. Dans l'ensemble, nous montrons que la fertilité actuelle en P des sols agricoles dépend fortement de l'utilisation cumulée d'engrais minéraux phosphatés sur la période 1950-2017, la moitié du P disponible des sols agricoles mondiaux étant d'origine anthropique. Cette tendance globale cache de fortes disparités entre les pays, reflétant des historiques d’utilisation d'engrais minéraux phosphatés contrastés. La forte dépendance à l'égard des engrais minéraux phosphatés est à la fois une opportunité et un obstacle au développement de l'agriculture biologique. D'une part, elle se traduit souvent par d'importants stocks de P hérités dans les sols, ce qui facilite la transition vers l'agriculture biologique. Cependant, cette dépendance remet en question la durabilité à long terme des systèmes agricoles sans aucun apport de P minéral. Nos simulations d'un monde 100% biologique ont révélé que, si la production agricole serait fortement limitée par l'azote à court terme, un déficit en P des sols agricoles sur le long terme affecterait aussi grandement la production alimentaire, en particulier dans les régions où le niveau actuel de fertilité en P des sols est faible, où les niveaux de production sont élevés et où la part de légumineuses dans les rotations est importante. Après 100 ans de production en agriculture biologique, la production alimentaire mondiale serait réduite de 41 %, les déficits en P des sols des terres arables et des prairies permanentes contribuant respectivement à 39 % et 18 % de cette perte. Dans l'ensemble, notre travail apporte de nouvelles connaissances sur les limitations potentielles de la production de l’agriculture biologique par la disponibilité en P des sols agricoles, soulignant les risques à long terme pour la sécurité alimentaire dans un monde 100 % biologique. Enfin, nous discutons des leviers potentiels qui permettraient de limiter la perte de P des sols agricoles, dont notamment le bouclage du cycle du P
Faced with the current environmental and climate crises, food production systems urgently need to transform. Among possible alternatives, organic agriculture is often put forward. Yet, it is still under debate whether large scale expansion of organic farming would be limited by nutrient availability. So far, studies have shown that provided a strong redesign of food systems including a reduction in livestock densities and food waste, changes in diets and re-location of crops and livestock, the global food demand could be met by converting up to 60% of cropland areas to organic agriculture. Above this threshold, nitrogen (N) limitations would lead to an unsatisfied demand. However, these studies have not considered whether soil available phosphorus (P) could limit organic food production in the long run. This question arises because mineral P fertilizers, which currently contribute to more than half of global soil P inputs to cropland soils, are banned under organic farming. Filling this knowledge gap is of utmost importance not only to assess the ability of organic farming to expand globally but also in the context of the slow and inevitable depletion of phosphate rock reserves. In this thesis, we first quantified the reliance of current agricultural soil P fertility on past and current use of mineral P fertilisers. We then analysed the extent to which organic food production would be affected by the potential soil P deficits in a hypothetical 100% organic world. Finally, we quantified the N and P fertility transfers between grassland and cropland soils in order to assess their contribution to the total nutrient inputs to cropland soils. To simulate a 100% organic world, we coupled two already published models: the GOANIM model and the GPASOIL model and ran them for 100 years at a spatially explicit resolution. Overall, we show that the current P fertility of agricultural soils is highly reliant on the cumulated use of mineral P fertilizers over the 1950-2017 period, half of the global soil agricultural available P being of anthropic origin. This global pattern hides great discrepancies between countries, reflecting contrasting historical uses of mineral P fertilizers and contrasting soil biogeochemical backgrounds. The strong reliance on mineral P inputs is both an opportunity and an obstacle to the development of organic farming. On the one hand, heavy dependence on mineral P fertilizers often results in large inherited soil P stocks, making it easier to switch to organic farming. However, this reliance questions the long-term sustainability of farming systems without any mineral P inputs. Our simulations of a 100% organic world revealed that while crop production would be strongly limited by N in the short term, long term P limitations would also strongly affect food production, especially in places with initial low level of P fertility, high levels of production and a high share of N-fixing crop in rotations. After 100 years of farming the world organically, global food production would be reduced by 41%, with global cropland and grassland soil P deficit contributing to 39% and 18% of that loss respectively. We also show that under organic farming, fertility transfers from grassland to cropland soils contribute to 13% and 37% of total N and P inputs to cropland soils respectively, making cropland production levels reliant on the fertility of grassland systems. Overall, our work provides novel knowledge on the potential limitations of organic production by agricultural soil available P, highlighting long term risks for food security in a 100% organic world. Finally, we discuss various options for limiting this global soil P deficit, which include better connected livestock and crop production systems to enhance fertility transfers, closing the P cycle by limiting soil erosion and by better recycling of household organic waste and human excreta back to agricultural soils
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Abdi, Dalel. "Évolution des indicateurs de fertilité et de risque environnemental liés au P dans les sols minéraux et organiques du Québec soumis à la fertilisation phosphatée." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27135/27135.pdf.

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Babana, Amadou Hamadoun. "Mise au point d'un inoculant biologique pour le blé irrigué du Mali." Thesis, Université Laval, 2003. http://www.theses.ulaval.ca/2003/21179/21179.pdf.

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A cause du prix élevé des engrais importés au Mali, le phosphate naturel de Tilemsi (PNT) constitue une source de phosphore, locale, peu coûteuse pour les paysans. Dans plusieurs zones, malgré ses bonnes caractéristiques physiques et chimiques, les plantes cultivées, particulièrement le blé, ont faiblement répondu à l’application du PNT. À cause du besoin croissant d’améliorer biologiquement l’absorption du P par le blé, nous présentons dans ce travail les résultats de l’utilisation de microorganismes solubilisant le phosphore (MSP) dans un essai d’inoculation au champ. Dans la rhizosphère (Zone d’interactions intenses entre les racines et les microorganismes) et le rhizoplan (les microorganismes du rhizoplan ont ceux qui sont directement liés à la surface externe des racines) de trois cultivars de blé du Mali, 7 à 12% des microorganismes étaient capables de solubiliser le PNT. Six bactéries et deux champignons ont été sélectionnés, pour leur fort pouvoir de solubilisation du PNT en milieu liquide et sur milieu solide, et testés au champ à Koygour (Diré) en 2000-2001. Deux champignons Aspergillus amovari (C1), Penicillium chrysogenum (C13) et une bactérie Pseudomonas sp. (BR2) ont significativement amélioré la taille du blé (cv. Tétra) après 6 semaines, ainsi que, le poids et le contenu en P de la matière sèche (paille et graines) après 90 jours de croissance. Des essais au champ ont été réalisés à Koygour (Diré) en 2001-2002. Les traitements d’inoculation incluent C1, C13, BR2, C1+BR2, C13+BR2 et un contrôle en présence et à l’absence de Glomus intraradices (Gi). Les traitements de phosphore incluent le PNT, le phosphate biammoniacal (DAP) et un contrôle non fertilisé. La colonisation des racines de blé par les mycorhizes à vésicules et arbuscules (MVA) a été significativement améliorée avec Glomus intraradices quand la source de P utilisée est le PNT. La présence de BR2 améliore encore plus la colonisation des racines par les MVA. En général, les quantités de graines et paille récoltées ont été significativement améliorées après inoculation avec les microorganismes solubilisant le PNT et Glomus intraradices. La plus forte concentration de P dans les graines a été obtenue avec la co-inoculation avec C1+BR2 et Gi en présence de PNT, tandis que, les plantes inoculées avec BR2+Gi présentaient les plus fortes quantités de P dans la paille en présence du DAP.
Because of the high price of imported P-fertilizers in Mali, the Tilemsi rock phosphate (TRP) is a cheaper locally available P source alternative for farmers. In many areas regardless of its good physical and chemical characteristics, crops and particularly wheat showed very slow response to TRP. With the broad aim of biologically improving P uptake by wheat, in this work we describe the use of TRP solubilizing microorganisms in field inoculation trials. In 3 different Malian wheat cultivars, 4 to 12% of the rhizosphere microorganisms were able to dissolve TRP. Six bacterial and two fungal isolates were selected for their high P-solubilizing activity in solid and liquid media, and were tested in a field in Koygour (Diré) in 2000-2001. Two fungal isolates Aspergillus niger (C1) and Penicillium chrysogenum (C13) and Pseudomonas sp. (BR2) significantly increased plant heights after 60 days, and the fresh and dry matter yields and P-uptake after 90 days of growth. Field assays were performed in Koygour (Diré) in 2001-2002. Inoculation treatments included C1, C13, BR2, C1+BR2, C13BR2, and a control in the presence or absence of the AM fungus Glomus intraradices. P treatments included Tilemsi rock phosphate (TRP), phosphate biammoniacal (DAP) and an unfertilized control. The colonization of wheat root with AM was significantly higher following inoculation with G. intraradices, and when TRP was the P source used. The presence of Pseudomonas strain (BR2) improved root colonization by the AM fungus. In general, straw and grain yield improved significantly following inoculation with AM and phosphate solubilizing microorganisms. The highest P concentration in wheat grain and straw was recorded in treatment including a combinaison of AM, BR2 and C1 in the presence of TRP.
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Brault, Marie-Esther. "Efficacité agro-environnementale d'un engrais organo-minéral à base de lisier de porc bio-traité." Thesis, Université Laval, 2007. http://www.theses.ulaval.ca/2007/24355/24355.pdf.

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