Добірка наукової літератури з теми "Engagements religieux, politiques et sociétaux"

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Статті в журналах з теми "Engagements religieux, politiques et sociétaux":

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Boss, Marc. "L’Évangile de l’autoabolition du christianisme et sa réception critique chez Paul Tillich et Paul Ricœur." Études théologiques et religieuses Tome 98, no. 1 (March 16, 2023): 89–105. http://dx.doi.org/10.3917/etr.981.0089.

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Анотація:
Bien qu’ils appartiennent à deux générations différentes du mouvement socialiste-religieux, Paul Tillich (1886-1965) et Paul Ricœur (1913-2005) ont conçu leurs engagements politiques en termes théologiques largement similaires. Leurs affinités électives sont particulièrement notables dans leurs efforts respectifs pour évaluer la portée théologique du thème d’une autoabolition du christianisme dans la société séculière. Marc Boss rappelle les formulations programmatiques de ce thème chez Richard Rothe (1799-1867) avant d’en examiner les déclinaisons critiques chez Tillich et Ricœur.
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Zederman, Mathilde. "Mettre en mots et en cartons le passé militant. La fabrique des archives des mobilisations tunisiennes en exil comme champ de luttes." Critique internationale N° 102, no. 1 (January 25, 2024): 49–68. http://dx.doi.org/10.3917/crii.102.0049.

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Анотація:
En comparant les modalités de constitution, de conservation et de valorisation des archives d’une association de la gauche tunisienne et d’un mouvement à référent religieux, tous deux exilés en France sous les régimes de Bourguiba et de Ben Ali, je cherche à saisir les logiques sociales et politiques de production des archives de l’activisme en exil, et propose pour cela de réfléchir au lien étroit entre activité militante et activité d’archivage. Retracer le lien entre la constitution d’archives, les sociabilités militantes et les trajectoires des producteurs et productrices de ces fonds permet notamment de montrer que les structures d’opportunités ne sont pas les mêmes pour ces groupes militants. Les pratiques archivistiques sont également conditionnées par des conceptions militantes différentes du rôle de l’archivage, les groupes concernés n’assignant pas tous la même place au travail d’archive dans leur militantisme. Dès lors, la mise en archive des engagements en exil, et ses silences, deviennent un lieu de production et d’expression des rapports de pouvoir.
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Wolfe, Michael. ":Je les espreuve tous: Itinéaires politiques et engagements religieux des Coligny-Châtillon (mi Xve–mi XVIIe siècle)." Sixteenth Century Journal 53, no. 4 (December 1, 2022): 1108–10. http://dx.doi.org/10.1086/scj5304118.

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4

Roulet, Aurélien. "Nicolas Breton, « Je les espreuve tous ». Itinéraires politiques et engagements religieux des Coligny-Châtillon (mi XVe – mi XVIIe siècle), Genève, Droz, 2020, 592 p." Revue historique 704, no. 4 (December 22, 2022): 982–83. http://dx.doi.org/10.3917/rhis.224.0982.

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Fontvieille, Damien. "Nicolas Breton, Je les espreuve tous : itinéraires politiques et engagements religieux des Coligny-Châtillon (mi xv e -mi xvii e siècle) , Genève, Droz, 2020, Travaux d’Humanisme et Renaissance, DCXII, 592 p., EAN 9782600060493." Réforme, Humanisme, Renaissance N° 93, no. 2 (November 25, 2021): III. http://dx.doi.org/10.3917/rhren.093.0177c.

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Aracil, Adrien. "Nicolas B reton , Je les espreuve tous. Itinéraires politiques et engagements religieux des Coligny-Châtillon (mi xv e -mi xvii e siècle) , Genève, Droz, « Travaux d’Humanisme et de Renaissance », 2020, 592 p., 17,5 × 24,8 cm." Dix-septième siècle 300, no. 3 (July 27, 2023): 543–45. http://dx.doi.org/10.3917/dss.233.0543.

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Durand, Jacques, and Chantal Lyche. "Retour sur Les sons du français: la modernité de Passy." Journal of French Language Studies, September 7, 2021, 1–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269520000289.

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Анотація:
Résumé Au sein de l’enseignement de l’oral, il est souvent difficile de convaincre les didacticiens du français qu’un recours à la phonologie et à la phonétique faisant place à la variation et la diversité des usages est possible et souhaitable. Pourtant, dès la fin du 19ème siècle, une autre pratique était défendue par des jeunes phonéticiens dont Paul Passy, auteur des Sons du français (1887) et coordinateur de la mise en place de l’API. Passy, à cause de ses engagements socio-politiques et religieux, de sa défense souvent mal comprise de l’API et de son combat pour la réforme de l’orthographe, est fréquemment relégué à une place relativement mineure dans l’histoire de la phonétique du français. Nous démontrons ici que les nombreuses révisions des Sons du français fourmillent de descriptions fines et de remarques sur des changements en cours qui, dans bien des cas, seront redécouverts dans la deuxième partie du 20ème siècle sans mention de son travail. Nous abordons alors la question de la norme et l’attachement de Passy à la variation et montrons sa modernité à travers son traitement de la prosodie, des unités distinctives, des réalisations allophoniques et de la transcription phonétique.
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Chamberland, Line. "Hétérosexisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.107.

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Анотація:
L’hétérosexisme réfère à l’ensemble des croyances qui valorisent et promeuvent l’hétérosexualité tout en infériorisant les sexualités non hétérosexuelles. Ainsi, l’hétérosexualité apparaît comme la sexualité universelle, allant de soi, naturelle, normale, morale, bref elle est dotée d’une valeur supérieure en référence à des systèmes normatifs religieux, scientifiques, juridiques ou autres, alors que l’homosexualité (ou toute sexualité s’écartant de la norme hétérosexuelle) se voit dépréciée en tant que crime, péché, acte sexuel non naturel, pathologie, déviance sexuelle, etc. Le concept d’hétérosexisme apparaît aux États-Unis au début des années 1970, en même temps que celui d’homophobie (Herek, 2004). Tout en contestant les savoirs institutionnels de l’époque, ces deux termes proposent néanmoins des voies distinctes de conceptualisation de l’oppression des personnes homosexuelles. L’homophobie inverse le paradigme psychomédical dominant en pathologisant non plus l’homosexualité, mais la peur irrationnelle qu’en ont certains individus. L’hétérosexisme enracine cette oppression dans le social, par analogie avec d’autres systèmes de croyances qui différencient et hiérarchisent des catégories de personnes, comme le racisme et le sexisme (Herek, 2000). Le premier terme emprunte à la psychanalyse alors que le second provient d’une pensée d’inspiration féministe, antiraciste et anticapitaliste. Les deux concepts se diffuseront largement au sein des mouvements de libération des gays et des lesbiennes, puis dans l’univers académique, d’abord dans le monde anglo-saxon et plus tardivement en France (Tin, 2003). À l’origine, le concept d’hétérosexisme s’inscrivait dans des perspectives lesbiennes-féministes. Il s’articulait avec diverses analyses critiques de la place de l’hétérosexualité institutionnalisée dans les processus de subordination des femmes par les hommes (Dugan, 2000). Dans un tel paradigme, l’hétérosexisme fait partie du système patriarcal qui assujettit les femmes, notamment en justifiant leur infériorisation au nom de la différence soi-disant naturelle entre les sexes/genres et de la complémentarité qui en découlerait nécessairement. Sur le plan politique, la notion appelle à une remise en question des constructions socioculturelles de la masculinité et de la féminité et des institutions qui maintiennent des rôles rigides de genre (Herek, 2004). En somme, la régulation des sexualités y est indissociable du maintien des rapports de domination des hommes sur les femmes. Dans cette optique, l’hétérosexisme est envisagé comme un système d’oppression étroitement relié à d’autres inégalités systémiques, comme le sexisme, le racisme ou le classisme (Wilton, 1995). Cependant, dans les usages récents du concept, les références aux théories issues du lesbianisme-féministe ou à l’intersectionnalité des luttes sociales sont le plus souvent absentes. Au fil des décennies, les définitions de l’hétérosexisme se sont multipliées tout en reprenant l’idée essentielle d’un processus systémique de différenciation et de hiérarchisation des sexualités hétérosexuelle et homosexuelle. Selon une recension de Smith, Oades et McCarthy (2012), certaines mettent l’insistance sur la normalisation de l’hétérosexualité et la promotion d’un style de vie hétérosexuel, d’autres sur la disqualification et l’occultation des autres sexualités. Dans cette dernière lignée, l’une des plus courantes est celle du psychologue Gregory Herek (2004) : « une idéologie culturelle qui perpétue la stigmatisation sexuelle en déniant et en dénigrant toute forme non hétérosexuelle de comportement, d’identité, de relation et de communauté non hétérosexuelle » (p. 16, traduction libre). Dans son opérationnalisation, le concept d’hétérosexisme se déploie tantôt vers le social, tantôt vers l’individuel, ce qui n’est pas sans générer des tensions théoriques. Dans le premier cas, la description des manifestations de l’hétérosexisme illustre son ancrage social et culturel, qu’il s’agisse de la présomption d’une hétérosexualité universelle dans les politiques et les pratiques des diverses institutions (écoles, services publics, entreprises, etc.), de l’idéalisation de l’amour hétérosexuel dans les représentations (films, romans, etc.), de l’injonction au silence ou à la discrétion adressée aux gays et aux lesbiennes sous prétexte que la sexualité relève de la vie privée, ou encore de l’assimilation de leurs expériences diverses au modèle dominant de conjugalité hétérosexuelle (Fish, 2006). Sans qu’il n’y ait de consensus sur une perspective théorique commune, les explications de l’hétérosexisme attirent l’attention sur les mécanismes structurels qui en assurent la reproduction, comme le langage et le droit. Dans cette veine, Neisen (1990) définit l’hétérosexisme en associant les notions de préjugés et de pouvoir, ce dernier s’exerçant notamment dans les sphères étatique (criminalisation des relations homosexuelles) et scientifique (discours pathologisants). Dans le second cas, l’accent sera mis sur les effets individuels de l’hétérosexisme en matière de statut et d’inégalités sociales. Ainsi l’hétérosexisme est souvent vu comme la source ou le fondement des attitudes et des comportements homophobes envers les personnes non hétérosexuelles ou perçues comme telles. Par exemple, Pharr (1997) voit dans l’hétérosexisme le pendant institutionnel de l’homophobie : le déploiement systématique de l’idéologie hétérosexiste sur le plan culturel et les gestes homophobes dans les interactions sociales se renforcent mutuellement pour maintenir le pouvoir et les privilèges associés à l’hétérosexualité. Sous cet angle, et malgré leurs racines distinctes sur les plans épistémologique et politique, les concepts d’hétérosexisme et d’homophobie ont souvent été jumelés et présentés comme des notions complémentaires l’une à l’autre, l’un agissant au niveau social, comme une idéologie inégalitaire des sexualités, et l’autre au niveau individuel ou psychologique. Pour sa part, Borrillo (2000) relève l’impossibilité de déconnecter les deux termes puisque l’homophobie ne peut se comprendre indépendamment de la reproduction de l’ordre social des sexes (sexisme) et des sexualités (hétérosexisme). Phénomène à la fois cognitif et normatif, l’hétérosexisme renvoie à « l’ensemble des discours, des pratiques, des procédures et des institutions qui en problématisant ainsi la “spécificité homosexuelle”, ne cessent de renforcer un dispositif destiné à organiser les individus en tant qu’être sexués. » (p. 24). Cependant, les deux notions sont parfois vues comme plus ou moins interchangeables et positionnées comme des concurrentes parmi lesquelles il faut choisir. Une première dissension surgit alors à propos des manifestations d’ostracisme que les deux termes permettent de capter. Au concept d’homophobie, il est reproché d’être androcentrique (centré sur les agressions subies par les hommes gays) et de se focaliser sur les gestes extrêmes d’un continuum de rejet de l’homosexualité, ce qui ne permet pas de rendre compte de leur vaste éventail, ni de leurs formes institutionnelles (Herek, 2004). L’hétérosexisme est considéré comme une notion plus adéquate pour couvrir l’ensemble des manifestations qui reconduisent les inégalités entre les sexualités, y compris les plus subtiles et celles qui s’insinuent dans la banalité du quotidien et que l’on pourrait assimiler au sexisme ordinaire. De même, comparativement aux mesures d’attitudes homophobes, axées sur le rejet, les mesures d’attitudes hétérosexistes, comme l’échelle d’hétérosexisme moderne (Walls, 2008), seraient plus aptes à saisir la persistance des stéréotypes (négatifs mais aussi positifs) envers les personnes gays, lesbiennes ou bisexuelles, même chez les individus exprimant des dispositions favorables à leur égard. Autrement dit, la référence à l’hétérosexisme permet d’enregistrer les changements sociétaux positifs tout en révélant la persistance de la hiérarchie des orientations sexuelles. Toutefois, ce concept sera critiqué en retour comme opérant une dilution ou une euphémisation de l’hostilité généralisée envers les personnes et les sexualités non hétérosexuelles qui en occulterait les démonstrations les plus brutales. Le second axe de tension renvoie aux explications, tantôt psychologiques, tantôt sociologiques, de la stigmatisation des personnes non hétérosexuelles. Le concept d’homophobie a maintes fois été critiqué pour son réductionnisme psychologique (Chamberland et Lebreton, 2012 ; Herek 2004). De même, lorsque le seul usage de l’hétérosexisme est l’application à une mesure d’attitude individuelle, il lui sera reproché d’escamoter toute analyse structurelle et de réduire ainsi la portée analytique du concept. Les implications du choix de l’un ou l’autre concept sont à la fois théoriques et politiques. Plusieurs auteur·e·s optent pour le concept d’hétérosexisme, car il engage à se pencher sur les rapports sociaux et les structures qui reproduisent les inégalités sexuelles. Il s’agit de s’éloigner des schèmes d’explication psychologique ayant la cote dans les sociétés libérales et des solutions uniquement centrées sur l’intervention auprès des individus (sensibilisation, formation, etc.) pour envisager des transformations sociales globales ou à tout le moins des mesures s’attaquant à la hiérarchie des sexualités dans l’organisation des diverses sphères de vie (famille, école, travail, etc.) (Herek, 2004 ; Wilton, 1995). Dans un récent effort de synthèse, Rumens (2016) propose de distinguer l’hétérosexisme culturel, qui réfère à la dimension institutionnelle, et l’hétérosexisme individuel. Avec la montée du post-structuralisme, le concept d’hétérosexisme connaît un certain désaveu, au même titre que d’autres notions faisant référence à toute structure sociale. Son emploi décline au profit du concept d’hétéronormativité créé par Michael Warner (1993), qui met en lumière la normativité langagière et discursive opérant à travers la construction des catégories binaires (des corps, des sexes, des genres, des désirs, etc.) qui composent la matrice de l’hétérosexualité (Herek, 2004). Dans le champ interdisciplinaire des études sur la sexualité, l’hétérosexisme demeure un concept central pour analyser la stratification sexuelle et les inégalités sociales qui en découlent. Bien que le concept se prête à plusieurs définitions, son potentiel heuristique est maximisé lorsqu’il se conjugue à des cadres théoriques et analytiques susceptibles de rendre compte de l’inscription d’une idéologie qui privilégie systématiquement l’hétérosexualité dans les institutions, dans les pratiques sociales et culturelles et dans les interactions quotidiennes, exerçant ainsi une contrainte à l’hétérosexualité (Fish, 2006).

Дисертації з теми "Engagements religieux, politiques et sociétaux":

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Paré, Sophie. "L’engagement religieux, politique et sociétal des Kriegsenkel dans l’Allemagne contemporaine : Répercussions du national-socialisme dans l’histoire familiale et les biographies individuelles." Electronic Thesis or Diss., Angers, 2023. http://www.theses.fr/2023ANGE0084.

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Анотація:
Le national-socialisme représente la période sombre de l’histoire allemande. Il a fait l’objet de nombreuses controverses dans les milieux académiques. D’abord tabouisé dans la société d’après-guerre, il fut mieux assumé officiellement dans les décennies suivantes, si bien qu’une culture du souvenir vit le jour à la fin des années 1980. Signe d'une remarquable volonté d’auto-critique, elle est à saluer. Pourtant, elle ne parvint pas à pénétrer vraiment la sphère privée : c’est ainsi que le passé nazi demeure encore un sujet douloureux dans les familles de nos répondants, qui se considèrent comme Kriegsenkel. Mais qui sont-ils? Kriegsenkel signifie littéralement« les petits-enfants de la guerre ». Le terme se réfère aux grands-parents, impliqués dans le régime hitlérien. Les Kriegsenkel, nés majoritairement entre 1960 et 1980, s’identifient à ce concept par choix. Il implique également l’idée d’une transmission transgénérationnelle de traumatismes provenant du second conflit. Au tournant des années 2000 émergèrent dans les pays germanophones des groupes de parole de Kriegsenkel, ce qui constitua un phénomène inédit. Cette étude présente les résultats d’une enquête qualitative, conduite auprès de Kriegsenkel, dont l’histoire familiale fut marquée par le Troisième Reich. Sont cependant exclus de notre panel les descendants de grands dignitaires nazis. Notre propos est d’explorer les retombées du national-socialisme dans la biographie des enquêtés, sous le prisme de leurs engagements religieux, politiques et sociétaux. L’enquête révèle comment s’articulent mémoire, Histoire et engagements
The National Socialism represents a gloomy period of German history. It has been the subject of numerous controversies in academic circles. Initially considered a taboo in post-war society, it was better accepted officially in the following decades, so much so that a culture of remembrance saw the light of day in the late eighties. This remarkable sign of willingness to beself-critical is to be praised. Nonetheless, it never truly managed to penetrate the private sphere : that is why the Nazi past still remains a painful subject in the families of our respondents, who see themselves as Kriegsenkel. But who are they? Kriegsenkel literally means “The grandchildren of the War”. The term refers to the grandparents who were involved in the Hitlerian regime.The Kriegsenkel, most of whom were born between 1960 and 1980 identify with this conceptby choice. It also involves the idea of a transgenerational transmission of trauma stemming from the second conflict. At the turn ofthe 2000s Kriegsenkel talking groups emerged in German-speaking countries, which was an unprecedented phenomenon.This study presents the results of a qualitative survey of the Kriegsenkel whose family history was marked by the Third Reich. The descendants of leading Nazi dignitaries are however not included in our sample group. Our aim is to explore the fallouts of the National Socialism in the biography of respondents through the prism of their religious, political and societal involvements. The survey reveals how memory, History and involvement fit together
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Breton, Nicolas. "Pour Dieu, pour le roi, pour soi : les engagements politiques et religieux des Coligny-Châtillon, du millieu du XVème au millieu du XVIIème siècle." Thesis, Le Mans, 2017. http://www.theses.fr/2017LEMA3002.

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Анотація:
La notion d’engagement se retrouve aujourd’hui au coeur de la grande majorité des recherches consacrées à la construction de l’État moderne en France, à la noblesse protestante ou encore aux guerres de Religion. Cette thèse s’inscrit dans ce courant dynamique de la recherche en histoire – et plus généralement en sciences humaines – mais c’est sur un temps long de presque deux siècles qu’elle propose d’analyser les mécanismes, les formes, les moyens et les conséquences des engagements politiques et religieux des membres d’une maison bien connue, mais paradoxalement peu étudiée, les Coligny-Châtillon. Au milieu du XVe siècle, Jean III de Coligny abandonne les clientèlesdu duc de Bourgogne ou du duc de Savoie et s’installe dans sa seigneurie de Châtillon-sur-Loing pour se consacrer au seul service du roi de France. Cet engagement fondamental est ensuite poursuivi par ses descendants, qui, en deux générations seulement, parviennent à se hisser au plus près du pouvoir royal.Cette position privilégiée est néanmoins remise en cause lorsque François d’Andelot, Gaspard de Coligny puis Odet de Châtillon s’engagent publiquement en faveur de la Cause huguenote.Aussi, à la rapide dégradation de la paix dans le royaume de France, répond l’inexorable chute de ces frères Châtillon dansl’estime des souverains. Une estime que leurs descendants s’efforcent à reconquérir totalement pendant près de quatre-vingts ans. Autant d’engagements qui propulsent donc les Coligny des montagnes de la Bresse et du Revermont jusqu’auConseil du roi ; qui les font progressivement glisser du statut de favoris à celui de criminels de lèse-majesté ; et qui les conduit enfin du gibet de Montfaucon jusqu’à la nécropole royale de Saint-Denis
Nowadays the notion of commitment is at the heart of the great majority of researches devoted to the construction of themodern State in France, the protestant nobility and the wars of religion. This thesis is part of this dynamic current of research in history – and more generally in the human sciences – but it is on a time spanning almost two centuries that it offers to analyse the mechanisms, forms, means and consequences of the political and religious commitments of a well-known house’s members, but paradoxically little studied, the Coligny-Châtillon. In the middle of the 15th century, Jean III de Coligny abandoned the clientele of the duke of Burgundy or the duke of Savoy and settled in his domain of Châtillon-sur-Loing to devote himself entirely to the French king’s service. Pursuing this crucial commitment, his descendants’ succeeded in getting closer to the royal power in only two generations. This privileged position was nevertheless called into question when François d’Andelot, Gaspard de Coligny and then Odet de Châtillon publicly pledged their support for the Huguenot Cause. Thus, the fast degradation of peace in the French Kingdom echoes the inexorable fall of the Châtillon brothers in the sovereigns’ favour ; which favour their descendants’ would strive to recover completely for nearly eighty years. So many commitments that propelled the Coligny from mountains of Bresse and Revermont to the King’s Council ; which gradually shifted them from the status of favourites to that of “criminels de lèse-majesté” ; and which finally led them from the gibbet of Montfaucon to the royal necropolis of Saint-Denis

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Claeys, Nette, and Violet Soen. "Les Croÿ-Havré entre Lorraine et Pays-Bas. Les engagements politiques et religieux de Diane de Dommartin, baronnesse de Fénétrange et comtesse de Fontenoy (1552–1617)." In Burgundica, 333–53. Turnhout, Belgium: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.burg-eb.5.120973.

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Teinturier, Sara. "« Catholiques et Français toujours ». Les pèlerinages de l’enseignement privé catholique dans l’entre-deux-guerres, entre rituels religieux et engagements politiques." In Politiques du pèlerinage, 331–40. Presses universitaires de Rennes, 2014. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.65204.

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