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Статті в журналах з теми "Durabilité des fermes"

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Pham Duy Khanh, Khanh, Guillaume Duteurtre, Sylvie Cournut, Samir Messad, Benoît Dedieu, and Nathalie Hostiou. "Caractérisation de la diversité et de la durabilité des exploitations laitières familiales au Vietnam : étude de cas en zone périurbaine de Hanoï." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no. 4 (June 27, 2017): 131. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31198.

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Анотація:
Au Vietnam, les politiques publiques tendent à soutenir le développement des exploitations laitières de grande taille familiales (> 30 vaches) ou industrielles (> 500 vaches). Cependant, malgré un essor récent de ces grandes fermes, les exploitations familiales de très petite taille continuent à jouer un rôle impor­tant dans la production nationale de lait. Pour contribuer à la réflexion sur les modèles de fermes à promouvoir, notre étude propose de caractériser la diver­sité des exploitations laitières présentes dans le district de Ba Vi en zone périur­baine de Hanoi et d’évaluer leur durabilité. Au total 160 exploitations laitières ont été sélectionnées pour représenter la diversité des fermes présentes dans la zone. Des informations ont été recueillies lors d’entretiens directifs avec les éleveurs sur les divers types de capitaux disponibles sur l’exploitation, sur les pratiques d’élevage et de commercialisation du lait, et sur leurs performances économiques, environnementales et sociales. Une analyse factorielle multiple, suivie d’une classification ascendante hiérarchique ont permis de réaliser une typologie des exploitations. En plus d’une ferme industrielle présente dans le district, cinq types d’exploitations laitières familiales ont été identifiés, qui se différenciaient surtout par le nombre et le type d’activités agricoles et non-agri­coles, la taille du troupeau laitier, et l’intensification de la production laitière. Les indicateurs de performances des exploitations spécialisées ont révélé une rentabilité économique plus élevée que dans les exploitations plus diversifiées. Cependant, les exploitations mixtes avaient également des atouts sur les plans économique (souplesse d’adaptation), environnemental (autonomie fourragère) et social (emploi, charge de travail), qui étaient liés à la diversité de leurs acti­vités agricoles et non-agricoles. Si les politiques publiques tendent à soutenir le développement des fermes spécialisées et des grandes fermes, les programmes d’appui doivent également concerner les petites exploitations associant activi­tés agricoles et non-agricoles, car elles ont aussi un rôle majeur à jouer dans le développement durable de la production laitière nationale.
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Raton, Gwenaëlle. "Les circuits courts alimentaires." Multitudes 92, no. 3 (September 21, 2023): 79–85. http://dx.doi.org/10.3917/mult.092.0079.

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Анотація:
Cet article illustre de façon concrète et détournée les relations villes-campagnes. Les circuits courts alimentaires sont considérés comme vertueux (réduction des intermédiaires et des distances, « locavorisme »), mais qu’en est-il vraiment de leur durabilité, compte-tenu de leur complexité logistique ? Pour le producteur, premier maillon de la chaîne, la commercialisation et le transport représentent travail et coûts supplémentaires. Les circuits courts ne sont pas moins énergivores : flux entre fermes et points de vente fragmentés en une multitude de petits volumes. L’auteur propose plusieurs formes d’organisation pour pallier à ces inconvénients : mutualiser le transport entre producteurs partenaires et promouvoir une coopération logistique territoriale, consolider le transfert de flux en le déléguant à un prestataire extérieur. L’enjeu de la logistique et le rôle des intermédiaires non commerciaux sont clé.
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Hostiou, Nathalie, Jean-François Tourrand, and Jonas Bastos Da Veiga. "Organisation du travail dans des élevages familiaux lait et viande sur un front pionnier amazonien au Brésil. Etude à partir de sept enquêtes « bilan travail »." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 3 (March 1, 2005): 167. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9929.

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Анотація:
Cette étude privilégie un regard nouveau sur les élevages laitiers familiaux en frontière agricole au Brésil : l’organisation technique du travail. Le travail apparaît être un facteur essentiel des conduites d’élevage et une contrainte aux transformations durables des exploitations. Cependant très peu de connaissances ont été produites jusqu’à ce jour. Pour rendre compte de l’organisation du travail sur une année, les temps de travaux ont été quantifiés et les collectifs de travail décrits dans sept fermes « lait-viande », à partir de la méthode « bilan travail ». Les mêmes activités d’astreinte avec le troupeau laitier ont été réalisées dans tous les élevages avec des variances quant aux volumes horaires : 1 h 45 à 6 h 30 par jour et par personne de la cellule de base. Les différences entre les fermes ont été liées à la composition de la cellule de base, à l’effectif de vaches traites et au mode de commercialisation du lait. Sur l’année, 17 à 328 journées ont été dédiées aux activités de saison, dont 17 à 176 jours sur les prairies cultivées. Une partie des activités sur les prairies (sarclage, implantation, clôtures) ont été déléguée à de l’aide familiale ou à des salariés temporaires. Trois stratégies d’éleveurs face au travail ont été identifiées, reposant sur la simplification des conduites ou l’organisation des collectifs de travail. L’étude conclut que le travail est un facteur à prendre en compte pour appuyer la transformation des pratiques des éleveurs et la durabilité des élevages familiaux amazoniens. Les futures actions de recherche-développement en Amazonie permettront de produire des connaissances pour identifier les voies d’amélioration possibles.
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VEISSIER, I., R. BOTREAU, and P. PERNY. "Évaluation multicritère appliquée au bien-être des animaux en ferme ou à l’abattoir : difficultés et solutions du projet Welfare Quality®." INRAE Productions Animales 23, no. 3 (September 14, 2010): 269–84. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.3.3308.

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Анотація:
Face au développement en Europe de programmes de certification d’élevages mettant en avant le respect du bien-être animal, le projet Welfare Quality® a proposé à l’Union Européenne d’établir un modèle d’évaluation globale des exploitations (fermes ou abattoirs) au regard du bien-être des animaux. Ce modèle repose sur une évaluation multicritère dans laquelle 12 critères de bien-être, regroupés en 4 principes, ont été définis. Après avoir identifié les mesures nécessaires pour vérifier qu’une exploitation est conforme aux différents critères, le modèle a été progressivement construit. Il aboutit à un classement des exploitations en quatre catégories reflétant le niveau de bien-être (d’excellent à très faible). Pour ce faire, des méthodes multicritères ont été utilisées, évitant ainsi les écueils d’une agrégation naïve de l’information (comme les sommes pondérées qui autorisent les pleines compensations entre critères, ce qui n’est pas compatible avec le concept de bien-être). Différentes personnes (chercheurs en sciences animales ou sociales, porteurs d’enjeux) ont été consultées au moyen de jeux de données virtuelles sur lesquelles elles devaient donner une appréciation. Le modèle a été développé et paramétré afin de refléter ces appréciations. Une analyse a posteriori des résultats produits montre que le modèle accorde la priorité aux animaux en moins bon état tout en tenant compte de l’état moyen du troupeau, et qu’il limite fortement les compensations entre critères. Cet exemple montre qu’en suivant cette méthodologie rigoureuse, il est possible d’aider l’évaluation d’un concept multidimensionnel, même si cet exercice comporte des choix de valeurs qu’il convient d’expliciter et de modéliser. La méthodologie suivie pour construire ce modèle d’évaluation du bien-être peut être transposée pour évaluer d’autres concepts multidimensionnels comme la durabilité des systèmes de production.
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Picardat, Sébastien. "Apport de l’infrastructure de partage de données Agdatahub dans le secteur agri-agro." Annales des Mines - Enjeux numériques 27, no. 3 (September 27, 2024): 135–42. http://dx.doi.org/10.3917/ennu.027.0135.

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Ultra-connectée, la Ferme France génère énormément de données. L’infrastructure de partage de données Agdatahub est le tiers de confiance du secteur agricole et agroalimentaire via lequel les données peuvent circuler en conformité avec le cadre réglementaire européen. En effet, la plateforme française est un outil technologique et opérationnel qui répond aux objectifs de durabilité, d’innovation et de souveraineté poursuivis par les acteurs des filières. En tant qu’intermédiaire de données, statut inscrit dans la réglementation européenne et la loi française, Agdatahub simplifie et sécurise la circulation des données agricoles et traite les cas d’usage jugés prioritaires comme la génétique animale, la réduction du carbone, l’affichage environnemental, etc.
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Ramarovahoaka, Noelly, Mathieu Vigne, Marie Lucia Fanjaniaina, Anjaniaina Valérie Randrianarisoa, Nora Amédia Nivonirina, Andry Andriamananjara, Paulo Salgado, Fabien Stark, Tovonarivo Rafolisy, and Thierry Becquer. "Relations entre structure des exploitations et gestion des effluents d’élevage sur les Hautes Terres de Madagascar." Cahiers Agricultures 32 (2023): 20. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2023014.

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La dégradation de la fertilité des sols est un problème majeur en Afrique subsaharienne. La forte croissance démographique, la demande locale de nourriture et la réduction des terres arables disponibles risquent d’accroître ce phénomène. Alors que les engrais minéraux sont peu utilisés, notamment à Madagascar, la gestion de la fertilité des sols est largement dépendante des matières organiques produites à la ferme. Afin d’augmenter l’efficacité du recyclage des nutriments à l’échelle de la ferme, il est nécessaire de comprendre les facteurs favorables à l’amélioration des pratiques de gestion des effluents d’élevage. Cette étude propose d’analyser les relations entre la structure d’exploitations agricoles intégrant agriculture et élevage dans la région de Vakinankaratra (Hautes Terres de Madagascar) et leurs pratiques de gestion des effluents. Des entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de 300 exploitations. Une typologie a été réalisée à l’aide d’une analyse en composantes principales (ACP). Sept types d’exploitation ont été retenus, permettant de distinguer des exploitations laitières d’autres exploitations d’agro-élevage (bovins de trait, porcs). Un test de Khi2 indique un effet significatif de la structure des exploitations sur le mode de gestion des effluents. En particulier, la présence d’un élevage laitier et de porcins semble favoriser des modes de gestion améliorés. L’analyse typologique contribue à la compréhension de l’adoption de pratiques améliorées de gestion des biomasses par les agro-éleveurs. L’adoption de telles pratiques est un prérequis pour améliorer le recyclage des nutriments vers les parcelles agricoles, et donc améliorer la durabilité des exploitations agricoles des Hautes Terres du Vakinankaratra.
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Garcia-Launay, F., V. Rouillon, J. Faure, and A. Fonseca. "Analyse de Cycle de Vie des systèmes de production de la filière Noir de Bigorre." Archivos de Zootecnia 67, Supplement (January 15, 2018): 21–25. http://dx.doi.org/10.21071/az.v67isupplement.3565.

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Les systèmes de production porc plein air reposant sur des races autochtones doivent répondre à des enjeux environnementaux et socio-économiques. Ils fournissent des produits à haute valeur ajoutée et reposent principalement sur des ressources alimentaires locales. Dans le projet européen TREASURE, nous avons mis en œuvre une Analyse de Cycle de Vie (ACV) des élevages appartenant à la filière Noir de Bigorre (NDB) localisée dans le Sud-Ouest de la France. Les impacts environnementaux ont été calculés en sortie de ferme et exprimés par kg de porc vif et par ha de terres occupé. A partir d’enquêtes dans 25 élevages et des données collectées pas la filière, nous avons estimé les flux et poids vifs moyens des animaux produits ainsi que les quantités moyennes d’aliments distribuées. Les formules des aliments achetés ont été collectées auprès des fabricants d’aliments. Les impacts potentiels sur le Changement Climatique (CC), l’Acidification (AC), l’Eutrophisation (EU), la Demande Cumulée en Energie (CED) et l’Occupation des Terres (LO) par kg de porc étaient dans la gamme des systèmes traditionnels précédemment étudiés. L’impact CC par kg était élevé en raison d’une quantité supérieure d’aliment nécessaire pour atteindre le poids d’abattage. Les impacts AC et EU par ha étaient relativement faibles. Les systèmes NDB ont des impacts typiques des systèmes extensifs et plein air porcins. Des études complémentaires dans le projet européen TREASURE permettront d’éclairer les dimensions économique et sociale de la durabilité de ces systèmes.
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Mosnier, Claire, Nelly Dubosc, Ikram Abdouttalib, Dominique Candau, Yannick Carel, Sophie Chauvat, Florian Fougy, Émilie Guerre, Lionel Magnin, and Sonia Ramonteu. "Quelles évolutions possibles pour les systèmes de polyculture-élevage ? Résultats d’ateliers participatifs et de modélisation dans quatre régions françaises." Cahiers Agricultures 29 (2020): 30. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020028.

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Les systèmes de polyculture-élevage peuvent utiliser les complémentarités entre les cultures et l’élevage pour réduire leur consommation d’intrants. Dans quatre régions françaises, des réunions d’experts ont été organisées pour discuter de l’évolution possible de ces systèmes selon trois scénarios prospectifs contrastés : « Ultra-libéralisation et mondialisation galopante » (S1), « Économie territoriale et recentrage sur la qualité » (S2) et « Transition agroécologique et énergétique » (S3) et pour réfléchir aux modalités possibles pour soutenir la polyculture-élevage dans chacun des scénarios. Pour appuyer ces discussions, les impacts des éléments structurants des scénarios ont été simulés à l’aide du modèle bioéconomique Orfee pour une ferme type de culture-élevage de chaque région. Les experts s’accordent pour dire que le S1 irait vers une réduction de l’élevage et une plus grande spécialisation en grandes cultures, que le S2 serait le plus favorable à des systèmes diversifiés et que le S3 induirait une baisse de l’élevage, mais une intégration plus forte entre élevage et cultures. Les résultats des simulations vont dans le même sens, excepté pour la production laitière qui augmente dans le S1 en raison de la prévision d’une augmentation du prix du lait et d’une main-d’œuvre non limitante. Les simulations ont permis de calculer des indicateurs de durabilité : S1 est supérieur pour les indicateurs économiques, S2 meilleur pour les indicateurs sociaux et S3 plus favorable à l’environnement. Les simulations soulignent également la nécessité de maintenir l’élevage dans une transition agroécologique pour réduire les engrais minéraux et les pesticides.
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Tindano, Kisito, Nassim Moula, Amadou Traoré, Pascal Leroy, and Nicolas Antoine-Moussiaux. "Systèmes d’élevage ovin et gestion des ressources génétiques animales dans la région du Plateau central du Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 2 (December 11, 2017): 43. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31480.

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A l’image de l’ensemble de la filière de l’élevage dans les pays en développement, l’élevage ovin au Burkina Faso fait face à une demande croissante, dans un contexte de production socio­économique et environnemental contraignant. Cela a donné lieu à des croisements peu maîtrisés dans la zone périurbaine de la capitale, Ouagadougou. Afin d’identifier les moyens d’enca­drer ces pratiques pour rendre durables les systèmes ovins, une enquête a été conduite auprès de 63 éleveurs évoluant dans le milieu rural de la région du Plateau Central. L’objectif princi­pal était d’évaluer les possibilités d’une gestion intégrée entre les éleveurs ruraux et les éleveurs périurbains à travers notam­ment des échanges de femelles. Les données ont été collec­tées à travers des entretiens directs à l’aide d’un questionnaire comportant des questions ouvertes et fermées. Les résultats ont montré que l’ensemble des éleveurs avaient des stratégies de sélection à travers le choix des mâles reproducteurs. Ce choix se faisait essentiellement dans leur propre troupeau (98 % des interviewés) et quelquefois dans les marchés (22 %). Les objec­tifs principaux d’amélioration concernaient le poids adulte et la croissance des jeunes, ou le maintien de la rusticité. La brebis Djallonké, variété Mossi, était la race la plus rencontrée dans la zone (présente dans 97% des troupeaux). Mettant en œuvre leurs objectifs les éleveurs croisaient leurs brebis Mossi avec des béliers Peuhls, d’un plus grand gabarit, mais de manière tem­poraire afin de limiter la perte de résistance de leur troupeau. Le lien potentiel avec la production des éleveurs périurbains par la vente de femelles semblait faire face à des contraintes culturelles. Le système de production décrit par les éleveurs présentait des contraintes de durabilité et ne permettait pas de véritable intégration avec le système périurbain. Des approches participatives devraient être mises en œuvre localement afin d’élaborer des solutions appropriées pour accroître la produc­tion et la gestion durable des ressources zoogénétiques.
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Adebiyi, F. G., O. A. Adebiyi, K. A. Thomas, and B. C. Majekodunmi. "COVID-19 pandemic and mitigation strategies: Implications on pig and poultry enterprise in Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (March 8, 2021): 213–26. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2985.

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COVID-19 is a novel disease, which has affected several people across the globe and with a heavy toll on the economy. The impact is yet to be fully quantified in the agricultural sector. In this study, the perceptions of pig and poultry farmers on the effects of the pandemic and coping mechanism during the lockdown period were investigated. A total of 108 farmers participated in this study. Structured questionnaires were administered to pig and poultry farmers (South-West Nigeria) electronically between June and July 2020. Information about knowledge of COVID-19, the effects on livestock enterprise and coping mechanism were obtained. Data were analysed using descriptive analysis. Most of the respondents (98.1%) had adequate knowledge of the mode of transmission as well as prevention of COVID-19. Majority of the respondents (87.4%) reported a reduction in their income during the lockdown period probably due to drop in sales (84% respondents) and livestock production (69.5% respondents), moderate to high increase in prices of livestock feeds (66.4% respondents) and inability to take farm products to market due to movement restriction policy. Most of the farmers (96.2%) reported that the government did not render adequate assistance to farmers during the lockdown. However, a few of the farmers (12%) did not suffer loss of revenue. Some of the farmers (22.4 - 62.5% respondents) had mild to moderate negative impact of COVID-19 on their farm due to the coping strategies practised during this period. In conclusion, there is need for appropriate intervention of the government and professional bodies during any pandemic to ensure the sustainability of pig and poultry industries. Le COVID-19 est une nouvelle maladie, qui a affecté plusieurs personnes à travers le monde et a un lourd tribut pour l'économie. L'impact n'est pas encore pleinement quantifié dans le secteur agricole. Dans cette étude, les perceptions des éleveurs de porcs et de volailles sur les effets de la pandémie et le mécanisme d'adaptation pendant la période de verrouillage ont été étudiées. Au total, 108 agriculteurs ont participé à cette étude. Des questionnaires structurés ont été administrés par voie électronique aux éleveurs de porcs et de volailles (sud-ouest du Nigéria) entre juin et juillet 2020. Des entretiens téléphoniques et en face à face ont également été menés au cours de la même période. Des informations sur la connaissance du COVID-19, les effets sur l'entreprise d'élevage et le mécanisme d'adaptation ont été obtenues. Les données ont été analysées à l'aide d'une analyse descriptive. La plupart des répondants (98,1%) avaient une connaissance adéquate du mode de transmission ainsi que de la prévention du COVID-19. La majorité des répondants (87,4%) ont signalé une réduction de leurs revenus pendant la période de verrouillage probablement due à une baisse des ventes (84% des répondants) et de la production animale (69.5% des répondants), une augmentation modérée à forte des prix des aliments pour bétail (66.4% répondants) et l'incapacité de mettre les produits agricoles sur le marché en raison de la politique de restriction des mouvements. La plupart des agriculteurs (96.2%) ont déclaré que le gouvernement n'avait pas fourni une assistance adéquate aux agriculteurs pendant le verrouillage. Cependant, les résultats des entretiens téléphoniques de suivi et des entretiens en face à face ont indiqué que quelques-uns des agriculteurs (12%) qui utilisaient leurs véhicules pour le marché mobile et utilisaient des plateformes de médias sociaux pour commercialiser leurs produits agricoles ont déclaré une perte de revenus minime. De nombreux agriculteurs ont eu un impact négatif léger à modéré (22.4 à 62.5% des répondants) du COVID-19 sur leur ferme en raison des stratégies d'adaptation mises en œuvre pendant cette période. En conclusion, une intervention appropriée du gouvernement et des organismes professionnels est nécessaire pendant toute pandémie pour assurer la durabilité des industries du porc et de la volaille.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Bonin, Sophie. "Transformations agroécologiques dans une ville-patrimoine : la durabilité de l’agriculture urbaine au prisme du paysage." Territoire en mouvement 61-62 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/11suf.

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Constatant la difficulté à saisir la complexité et la diversité des formes d’agriculture urbaine, cet article se concentre sur deux situations de fermes urbaines professionnelles, proches géographiquement. Il propose d’explorer la fabrique paysagère de ces installations, croisant les analyses morphologique et fonctionnelle. L’objectif est de mettre en évidence les liens entre la caractérisation paysagère et celle socio-écologique du phénomène. Le contexte urbain patrimonialisé, très protégé, à Versailles, et l’historicité très différente des deux fermes, permet de témoigner de l’importance des changements à l’œuvre. Les résultats montrent des similarités très importantes des systèmes de production, répondant à des fonctions qui dépassent largement l’alimentation, mais qui sont conditionnées par elle. Mais il en résulte aussi une certaine homogénéisation des formes de jardin qui interroge aussi bien esthétiquement qu’écologiquement ces nouveaux paysages urbains.
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DUMONT, Bertrand, Marc BENOIT, Sophie CHAUVAT, Sylvie COURNUT, Guillaume MARTIN, Pierre MISCHLER, and Marie-Angelina MAGNE. "Durabilité des exploitations d'élevage multi-espèces en France et en Europe : bénéfices observés, freins et leviers pour leur déploiement." INRAE Productions Animales 36, no. 1 (May 5, 2023). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.1.7516.

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L’agroécologie stipule que la gestion de la diversité animale et végétale au sein des exploitations d’élevage renforce leur durabilité. Pour aller au-delà de ce principe théorique, nous analysons ici le fonctionnement et les performances d’exploitations de polyélevage, c’est-à-dire de fermes dans lesquelles sont élevées au moins deux espèces animales. Dans les systèmes herbagers, la complémentarité des modes de pâturage des ovins, des bovins et des chevaux permet de réduire le recours aux aliments concentrés, en particulier pour les ovins. La dilution des parasites digestifs en pâturage mixte profite aux petits ruminants et aux chevaux, et permet d’envisager de réduire la fréquence des traitements anthelminthiques. Un atelier monogastrique de petite taille permet de valoriser les co-produits (petit lait...) ; la transformation laitière, créatrice de valeur ajoutée, et les faibles volumes de viande commercialisés sont bien adaptés à la vente en circuits courts. L’organisation du travail entre toujours en ligne de compte dans la manière d’articuler différentes espèces au sein d’une même exploitation. Plutôt que de vouloir maximiser coûte que coûte la diversité au sein du système, il s’agit avant tout de rechercher une cohérence d’ensemble que les éleveurs puissent gérer. Nous discutons enfin des freins au déploiement des fermes de polyélevage, liés à un système socioéconomique construit pour bénéficier des économies d’échelle offertes par la spécialisation. Pour dépasser ces freins, nous proposons des leviers en amont (innover pour des équipements et infrastructures polyvalentes), à l’aval (réorganiser la logique de collecte), et autour des exploitations d’élevage (revisiter la formation et le conseil) qui doivent être pensés de manière couplée.
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Aloulou, Rafik, Pierre-Guy Marnet, and Youssef M’Sadak. "Revue des connaissances sur la micro-filière ovine laitière en Tunisie : état des lieux et perspectives de relance de la race sicilo-sarde." BASE, 2018, 188–98. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.16499.

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Introduction. La race sicilo-sarde est la seule race ovine laitière tunisienne. Elle est à la base d’une micro-filière de production de fromages. Son effectif s’est effondré dans les années 1990 en raison de choix économiques et politiques peu favorables ainsi que d’un manque de maitrise technique des élevages, mettant la pérennité de cette filière en danger. Toutefois, des initiatives pour la préserver sont entreprises depuis quelques années. Cette revue de la littérature, scientifique et professionnelle, fait le point sur les connaissances actuelles de la filière laitière ovine et présente les actions en cours ou à entreprendre en faveur de sa sauvegarde. Littérature. La race sicilo-sarde affiche des niveaux de production laitière faibles mais améliorables, même dans des conditions extensives. Les conduites d’élevage (allaitement/sevrage/traite) et de reproduction devraient être revues afin d’accroitre la production laitière. De même, la voie génétique devrait être mobilisée par la mise en place d’un schéma de sélection appuyé sur le relevé de phénotypes d’intérêt en ferme (quantité et qualité de lait, morphologie mammaire) et/ou par introduction de sang sarde en recourant à l’insémination artificielle. Conclusions. Un regain d’intérêt pour la race sicilo-sarde en Tunisie est constaté depuis 2005, à travers une réorganisation de la filière, insufflant un nouveau dynamisme au sein de la profession. Les marges importantes de progrès ont été mises en évidence, tant au niveau des animaux que des éleveurs. L’aval de la filière doit aussi aider à une meilleure identification des produits et du terroir de production auprès des consommateurs. Ainsi se dessineront de nouvelles opportunités de développement de cette micro-filière, seule à même d’assurer sa durabilité.
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MONTAGNE, L., and J. Y. DOURMAD. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3322.

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L’alimentation et la nutrition, fonction physiologique sur laquelle elle repose, sont des composantes clés de l’élevage et des filières porcines. Le coût alimentaire représente en moyenne 62% du coût de production (moyenne naisseurs-engraisseurs GTE-TB-IFIP 2007). En outre, l’alimentation influence de nombreuses dimensions de l’élevage comme la qualité des produits, l’environnement, le bien-être des animaux... L’alimentation est ainsi l’un des principaux leviers d’action qui permet d’adapter l’élevage aux nouveaux contextes de la production porcine. Le contexte technique et économique de l’élevage a connu des évolutions récentes importantes. Concernant l’animal, les dernières décennies ont été marquées par la sélection de truies hyperprolifiques et de porcs charcutiers à vitesse de croissance élevée. Ainsi, entre 1977 et 2007, la prolificité des truies a augmenté de 3,3 porcelets nés totaux/portée et le gain moyen quotidien des porcs charcutiers de 160 g (données G3T et GTE, IFIP). Concernant l’aliment, les années 90 ont été marquées par une hausse des taux d’incorporation des céréales dans les aliments suite à la réforme de la Politique Agricole Commune en 1993. Ainsi, la part de céréales et de leurs coproduits dans les aliments composés pour porc est passé de moins de 15% à près de 70% aujourd’hui (données SNIA). Ces dernières années ont été de plus marquées par une forte augmentation du coût de l’aliment en raison de l’inflation des cours de la plupart des matières premières. La production porcine doit de plus s’adapter aux demandes multiples et parfois contradictoires du consommateur (coût, qualité et sécurité sanitaire des produits) et du citoyen (limitation des rejets dans l’environnement, arrêt de l’utilisation d’antibiotiques comme facteurs de croissance, respect du bien-être des animaux…). Les enjeux actuels des filières porcines françaises et européennes sont de répondre simultanément à toutes les dimensions de la durabilité (économique, environnementale, sociale et sociétale) et d’anticiper les nouveaux défis à venir. L’enjeu économique principal est de maintenir sur les territoires européens, des filières compétitives au niveau mondial. Ceci passe par une maîtrise des coûts d’alimentation qui est essentielle quels que soient les choix d’alimentation faits par l’éleveur, notamment celui d’acheter des aliments complets ou de fabriquer son aliment à la ferme à partir de céréales pouvant être produites sur l’exploitation. La maîtrise des coûts d’alimentation implique d’ajuster aux mieux les apports alimentaires aux besoins des animaux. Ceci passe par une bonne connaissance des besoins des animaux en macro et micronutriments. Dans ce dossier spécial, l’article de Matte et al illustre le manque de connaissances sur l’influence des vitamines sur la physiologie de la truie. La maîtrise des coûts d’alimentation implique aussi de bien connaitre la valeur nutritive des matières premières et, en particulier, des coproduits issus de l’agroalimentaire ou des filières de production d’agrocarburants. L’intérêt nutritionnel, chez le porc, des drêches de blé fait l’objet de l’article de Cozannet et al. Ceci passe aussi par le developpement d’outils permettant de prédire les valeurs des aliments (EvaPig®, www.evapig.com) et de simuler les performances des animaux (InraPorc®, www.rennes.inra.fr/inraporc/). Les enjeux environnementaux liés à l’alimentation sont de poursuivre les efforts réalisés sur la réduction des rejets de l’élevage, azote et phosphore, ainsi que de les élargir aux oligo-éléments tels que le cuivre et le zinc, et aux résidus médicamenteux… Les articles de Dourmad et al et Pomar et al présentent les données récentes sur l’effet de la nutrition et de l’alimentation sur les rejets polluants de l’élevage de porc. Les enjeux sociaux, en partie liés aux enjeux économiques, sont le maintien des emplois liés à la filière porcine dans les bassins de production, ainsi que la pérennisation de l’existence de gammes variées de produits frais et transformés permettant de répondre aux attentes diverses des consommateurs parmi lesquelles des attentes en terme de qualité de la viande. Cette dernière peut être modulée par l’alimentation, comme présenté dans l’article de Mourot et Lebret. Les enjeux sociétaux sont d’éviter la compétition au niveau de l’utilisation des ressources végétales entre alimentation porcine et alimentation humaine. Ceci passe par une meilleure utilisation de matières premières peu utilisables par l’homme telles que les matières premières riches en fibres. Dans ce contexte, l’article de Le Gall et al présente les conséquences de l’utilisation d’aliments riches en fibres sur la nutrition, la santé et le comportement. Un autre enjeu sociétal est de limiter l’utilisation de substances médicamenteuses en élevage, en favorisant une bonne santé de l’animal par des voies alimentaires mais aussi non alimentaires (conduite d’élevage). Ainsi l’article de Montagne et al rapporte les connaissances récentes sur les interactions entre la nutrition, la physiologie digestive et la santé du porcelet autour du sevrage, période particulièrement critique pour l’animal. La recherche scientifique produit des connaissances sur la biologie et l’élevage du porc. En partenariat avec les organismes de transfert, de développement et d’enseignement, ces connaissances permettent d’élaborer des outils et des pistes de réflexion permettant de répondre aux enjeux actuels et futurs. Ce dossier spécial sur l’alimentation et la nutrition du porc a l’ambition d’y contribuer.
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Andrade Júnior, Francisco Patricio de, Brenda Tamires de Medeiros Lima, Jamille Silva Menezes, José Henrique de Araújo Cruz, Thiago Willame Barbosa Alves, and Abrahão Alves de Oliveira Filho. "Uso de isotretinoína por mulheres em idade reprodutiva." ARCHIVES OF HEALTH INVESTIGATION 8, no. 8 (December 25, 2019). http://dx.doi.org/10.21270/archi.v8i8.3230.

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Introdução: A isotretinoína é um fármaco amplamente utilizado e efetivo para o tratamento de acne. Porém, é necessário avaliar minuciosamente a relação de risco x benefício em seu uso, uma vez que, mulheres em idade reprodutiva podem sofrer com abortos ou embriopatias e os seus efeitos adversos podem atingir diversos sistemas corporais. Objetivo: O presente estudo teve como objetivo realizar uma revisão de literatura acerca dos riscos inerentes ao uso de isotretinoína por mulheres em idade fértil, ressaltando as possíveis reações adversas atreladas a esta terapia medicamentosa. Materiais e métodos: Trata-se de uma revisão bibliográfica do tipo integrativa em que houve a utilização de artigos, livros, dissertações e teses publicados entre os anos de 2008 a 2018. Resultados: De 165 estudos recuperados, somente 11 artigos foram utilizados para a construção dos resultados. Em 100% das pesquisas observou-se que havia mulheres em idade reprodutiva estando, portanto, susceptíveis a desenvolver embriopatias ou aborto. Como principais efeitos adversos, implicações relacionadas aos sistemas cardiovascular (18,2%), hepático (27,3%) e alterações no lipidograma (36,4%) foram observadas, ocasionando em possível necessidade do monitoramento dessas pacientes. Conclusão: O perfil de usuárias de isotretinoína foi de mulheres em idade reprodutiva. Em relação aos efeitos adversos, torna-se imprescindível o desenvolvimento de estudos a longo prazo para se elucidar se este fármaco pode contribuir para o desenvolvimento de doenças cardíacas, hepáticas e dislipidemias.Descritores: Farmacologia; Preparações Farmacêuticas; Saúde da Mulher.ReferênciasMahto A. Acne vulgaris. Medicine. 2017;45(6):386-89.Saint-Jean M, Dreno B. Acné. EMC Dermatología. 2016,50(4):1-14.Tan AU, Schlosser BJ, Paller AS. A review of diagnosis and treatment of acne in adult female patients. 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