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Статті в журналах з теми "Dossier médicaux électroniques"

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Schultz, SE, DM Rothwell, Z. Chen, and K. Tu. "Repérage des cas d'insuffisance cardiaque congestive à partir de données administratives : étude de validation utilisant des dossiers de patients en soins primaires." Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 3 (June 2013): 179–86. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.3.06f.

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Анотація:
Introduction En vue de déterminer si l'utilisation conjuguée des données administratives hospitalières et des factures présentées par les médecins au titre des soins ambulatoires pouvait permettre de repérer avec exactitude les patients souffrant d'insuffisance cardiaque congestive (ICC), nous avons mis à l'essai neuf algorithmes pour repérer à partir de données administratives les personnes souffrant d'ICC. Méthodologie La cohorte de validation par rapport à laquelle les essais ont été effectués combinait des données provenant d'un échantillon aléatoire de patients adultes inscrits dans la base de données EMRALD de dossiers médicaux électroniques des médecins de premier recours en Ontario, au Canada, et des données recueillies en 2004-2005 à partir d'un échantillon aléatoire de patients en soins primaires pour une étude sur l'hypertension. On a évalué la sensibilité, la spécificité, la valeur prédictive positive, l'aire sous la courbe ROC et la combinaison des rapports de vraisemblance positif et négatif des algorithmes. Résultats Nous avons constaté qu'un dossier d'hospitalisation ou de facturation de médecin suivi d'un second dossier provenant de l'une ou l'autre de ces sources dans la même année produisait les meilleurs résultats, avec une sensibilité de 84,8 % et une spécificité de 97,0 %. Conclusion La prévalence de l'ICC dans la population peut être mesurée avec exactitude à partir de données administratives issues de l'hospitalisation et des soins ambulatoires.
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Tu, K., T. Mitiku, H. Guo, D. S. Lee, and J. V. Tu. "Incidence de l’infarctus du myocarde et validation des données de facturation des médecins et des données d’hospitalisation à partir des dossiers médicaux électroniques." Maladies chroniques et blessures au Canada 30, no. 4 (September 2010): 148–54. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.30.4.06f.

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Анотація:
Objectif La détection au sein d’une population des personnes qui ont subi un infarctus du myocarde ne repose actuellement que sur la liste des patients en phase aiguë se présentant à l’hôpital. Nous voulons déterminer si, en combinant les données de facturation des médecins aux données sur les congés d’hôpital, nous obtiendrions une meilleure détection. Méthodologie Nous avons utilisé comme échantillon de référence 969 patients adultes, choisis au hasard à partir de dossiers médicaux électroniques fournis par des médecins de première ligne en Ontario (Canada). Résultats Un algorithme fondé sur trois facturations de médecins au cours d’une période d’un an, dont au moins une provenait d’un spécialiste ou d’une consultation dans un centre hospitalier ou une salle d’urgence, et sur un dossier de congé d’hôpital a permis d’obtenir une sensibilité de 80,4 % (IC à 95 % : 69,5-91,3), une spécificité de 98,0 % (IC à 95 % : 97,19-8,9), une valeur prédictive positive de 69,5 % (IC à 95 % : 57,7-81,2), une valeur prédictive négative de 98,9 % (IC à 95 % : 98,2-99,6) et une valeur kappa de 0,73 (IC à 95 % : 0,63-0,83). Conclusion L’utilisation combinée des dossiers de congé d’hôpital et des données de facturation des médecins pourrait être la meilleure façon d’évaluer les tendances sur une longue période de la fréquence des infarctus du myocarde, car elle permet de détecter davantage de cas que la méthode fondée sur les seules données d’hospitalisation.
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Tschudi, Hunziker, Kündig, Lüscher, Freiermuth, Heller, and Heberer. "Internet-Kommunikation zwischen Hausärzten und Universitätsspital." Praxis 91, no. 7 (February 1, 2002): 257–60. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.7.257.

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Анотація:
Les nouvelles perspectives qu'offre la communication électronique en médecine sont illustrées ici par un projet pilote d'une interface de communication via internet (MeDaCom: medical data communication) entre médecins référents et praticiens hospitaliers. L'avantage des échanges électroniques réside principalement dans leur rapidité et leur capacité pour le transfert de données. Ceci confère à ces dernières une disponibilité, une compatibilité et une facilité d'intégration en adéquation avec les diverses contraintes de la gestion et du traitement d'un dossier médicale. Les qualités requises pour un programme gérant la communication électronique de données médicales sont donc liées à la sécurité du transfert, la disponibilité et l'intégration des données ainsi qu'au potentiel de gestion proprement dit du dossier médical (confidentialité, stabilité, simplicité d'utilisation, flexibilité, gestion comptable). L'efficacité de gestion du dossier voire du traitement médical peut être améliorée par la communication électronique dans la mesure où, au delà de la simple substitution du courrier papier par sa version électronique, celle-ci est compatible avec des fonctions plus complexes associées à une utilisation optimisée et généralisable des technologies modernes.
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Andrade, Lesley, Kathy Moran, Susan J. Snelling, Darshaka Malaviarachchi, Joanne Beyers, Kelsie Near, and Janis Randall Simpson. "Au-delà de l’IMC : étude de faisabilité de la mise en oeuvre de NutriSTEP dans les établissements de soins primaires au moyen des dossiers médicaux électroniques (DME)." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 40, no. 1 (January 2020): 1–11. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.40.1.01f.

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Анотація:
Introduction Les fournisseurs de soins primaires ont un rôle à jouer dans l’acquisition de saines habitudes alimentaires, en particulier au cours des premières années de vie. Cette étude porte sur la faisabilité de l’intégration de NutriSTEP® – un outil valide de dépistage des risques nutritionnels en 17 points chez les tout‑petits et les enfants d’âge préscolaire – au dossier médical électronique (DME) dans les établissements de soins primaires de l’Ontario (Canada), afin d’éclairer la prise de décisions en matière de soins primaires et la surveillance en santé publique. Méthodologie Cinq établissements de soins primaires ont intégré, au moyen d’un questionnaire normalisé, le programme de dépistage NutriSTEP au DME. Afin de comprendre les expériences vécues par les professionnels en la matière et d’évaluer les facteurs associés à la réussite de l’implantation de NutriSTEP, nous avons mené des entrevues semi‑dirigées de nature qualitative auprès des fournisseurs de soins primaires connaissant le mieux les détails de sa mise en oeuvre dans leur établissement. Nous avons évalué la qualité des données extraites des DME en déterminant le nombre de questionnaires de dépistage NutriSTEP dûment remplis et avons consigné les mesures de croissance des enfants. Résultats Les établissements de soins primaires ont mis en oeuvre le questionnaire de dépistage NutriSTEP dans le cadre de diverses rencontres cliniques périodiques, avec des processus de collecte de données variables selon l’établissement. Des données de dépistage NutriSTEP valides ont été recueillies dans les DME de 80 % des établissements de soins primaires. Dans près de 90 % de ces dossiers, le questionnaire avait été entièrement rempli et 70 % des dossiers comportaient à la fois un questionnaire de dépistage NutriSTEP valide complet et des mesures de croissance valides. Conclusion Il est possible d’intégrer NutriSTEP dans les établissements de soins primaires sous la forme d’un questionnaire normalisé dans le DME, même si, dans notre étude, la façon dont NutriSTEP avait été mis en oeuvre variait selon les établissements. L’utilisation, dans le cadre d’un système de surveillance global du poids santé des enfants, du questionnaire de dépistage NutriSTEP intégré au DME mérite d’être étudiée davantage.
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Ducry, Emmanuel, and Anna Hug. "Archivage des dossiers médicaux électroniques." Archimag N°319, no. 9 (November 1, 2018): 30–31. http://dx.doi.org/10.3917/arma.319.0030.

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Lavayssière, Robert, Bruno Silberman, and Jean-Philippe Masson. "Le dossier médical électronique partagé." Journal de Radiologie 85, no. 9 (September 2004): 1463. http://dx.doi.org/10.1016/s0221-0363(04)77515-0.

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Bastardot, François, Coralie Galland-Decker, Jean-Blaise Wasserfallen, Olivier Pignolet, and Mathilde Rochat. "Aide à la prescription médicamenteuse grâce au dossier médical électronique." Revue Médicale Suisse 16, no. 716 (2020): 2242–47. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2020.16.716.2242.

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Decor, Thierry, Sophie Heitz, Isabelle Moser, and Eliane Zeindler. "Un dossier médical électronique innovant pour les enfants suivis en PMI." Cahiers de la Puéricultrice 54, no. 311 (November 2017): 16–19. http://dx.doi.org/10.1016/j.cahpu.2017.09.004.

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Chabriais, Joël, Karima Bourquard, Yvonnick Morice, and Robert Sigal. "Qu’est-ce que le dossier médical électronique ? Quelles sont les contraintes à respecter ?" Journal de Radiologie 85, no. 9 (September 2004): 1144. http://dx.doi.org/10.1016/s0221-0363(04)76437-9.

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Zemour, L., A. Belghitri, and N. Midoun. "Satisfaction des utilisateurs du dossier électronique médical dans le système d’information hospitalier, Oran." Revue des Maladies Respiratoires 35 (January 2018): A235—A236. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2017.10.547.

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Doutreligne, M. "Cadre causal pour l'aide à la décision à partir des dossiers médicaux électroniques : nécessité et méthode." Journal of Epidemiology and Population Health 72 (March 2024): 202304. http://dx.doi.org/10.1016/j.jeph.2024.202304.

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Devillier, Nathalie. "Chapitre 5. De la gestion à l'optimisation des données de santé : l'état d'avancement des dossiers médicaux électroniques." Journal International de Bioéthique 25, no. 3 (2014): 81. http://dx.doi.org/10.3917/jib.253.0081.

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Chabriais, Joël, Karima Bourquard, Francis Joffre, and Hugues Dufey. "Le dossier médical électronique : l’offre industrielle, les expériences, les projets internationaux, les projets en France." Journal de Radiologie 85, no. 9 (September 2004): 1145. http://dx.doi.org/10.1016/s0221-0363(04)76448-3.

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Najarali, Zainab, Heidi Mah, and Diana Toubassi. "Optimiser le transfert des soins aux patients externes à l’aide d’un outil électronique intégré aux dossiers médicaux." Canadian Family Physician 67, no. 4 (April 2021): e107-e109. http://dx.doi.org/10.46747/cfp.6704e107.

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Zemour, L., A. Belghitri, N. Touil, N. Malyi, Z. Abdedaim, Y. Abdelkadous, N. Boumansour, A. Dali Ali, and N. Midoun. "Déploiement du dossier électronique médical à l’Établissement hospitalier universitaire d’Oran : évaluation de la satisfaction des utilisateurs." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 67 (March 2019): S111. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2019.01.109.

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Lacour, Stéphanie. "Du secret médical aux dossiers de santé électroniques. Réflexions juridiques sur la protection des données de santé." Médecine & Droit 2016, no. 138 (June 2016): 62–69. http://dx.doi.org/10.1016/j.meddro.2016.03.001.

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Negm, Ahmed M., Courtney C. Kennedy, Janet M. Pritchard, George Ioannidis, Vasilia Vastis, Sharon Marr, Christopher Patterson, et al. "The Short Performance Physical Battery Is Associated with One-Year Emergency Department Visits and Hospitalization." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 38, no. 4 (March 4, 2019): 507–11. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980819000011.

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Анотація:
RÉSUMÉLes outils cliniques employés dans les établissements de soins peuvent fournir des informations pronostiques importantes aux professionnels de la santé. Dans cette étude observationnelle prospective d’un an, nous avons examiné l’association entre les scores au Short Performance Physical Battery (SPPB), d’une part, et les consultations à l’urgence et les hospitalisations au cours de l’étude, d’autre part. Au total, 191 patients ayant été nouvellement référés à une clinique gériatrique externe de Hamilton (Ontario) ont été contactés, et parmi eux, 120 pris part à l’étude. Le SPPB et d’autres évaluations ont été réalisés dans le cadre de consultations de routine. Les dossiers médicaux électroniques ont été examinés pour déterminer le nombre de consultations à l’urgence et d’hospitalisations dans l’année qui a suivi l’évaluation de base. Des analyses de régression logistique ont été utilisées pour identifier des prédicteurs des consultations à l’urgence et des hospitalisations. Le score moyen au SPPB dans la cohorte étudiée (moyenne d’âge = 80,6 ans, écart-type = 6,3 ans ; 53 % de femmes) était de 6,3 (écart-type = 3,2). Au cours de cette période d’un an, le score au SPPB était associé au nombre de consultations à l’urgence [RR = 0,90 (0,78-1,03)] et d’hospitalisations [RR = 0,84 (0,72-0,97)], après ajustement pour l’âge, le sexe et les comorbidités.
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RAYNAUD, C., L. LETRILLIART, and P.-Y. MEUNIER. "IDENTIFICATION DES SYSTEMES D'AIDE A LA DECISION MEDICALE EVALUES EN SOINS PRIMAIRES. UNE REVUE SYSTEMATIQUE DE LA LITTERATURE." EXERCER 34, no. 189 (January 1, 2023): 28–35. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.189.28.

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Анотація:
Contexte. Les systèmes d’aide à la décision médicale (SADM) suscitent un intérêt de santé publique dans l’objectif d’améliorer la qualité, la sécurité et l’efficience des soins. Objectif. Identifier et décrire les caractéristiques des SADM évalués en conditions réelles d’utilisation en soins primaires. Méthodes. Revue systématique des caractéristiques des SADM à partir d’une grille élaborée à cet effet, puis regroupées selon quatre dimensions : informations générales, cibles, base de connaissances et interface. Résultats. Au total, 48 articles décrivant 45 SADM ont été inclus. Ces SADM ont été principalement développés (40 %) et utilisés (38 %) aux États-Unis, dont 35 % ont été commercialisés. Les principaux utilisateurs étaient les médecins généralistes (82 %) puis les infirmiers (49 %). Les SADM visaient des procédures de soins préventives (60 %), thérapeutiques (44 %), de suivi (27 %), ou enfin diagnostiques (18 %). Dans 30 % des cas, le SADM proposait un support à la prise de décision partagée avec le patient, et dans 70 % des cas un lien direct pour accéder aux sources des préconisations. Les SADM étaient le plus souvent au moins partiellement intégrés dans le dossier médical électronique (63 %) et fonctionnaient principalement sur un mode passif (64 %), non interruptif (75 %) et « pull » (98 %). Les informations étaient recueillies durant la consultation avec 96 % des SADM, et une double saisie était nécessaire dans 44 % des cas. Conclusion. Cette revue systématique décrit les caractéristiques des SADM évalués en soins primaires dans une perspective pratique, à travers leurs modalités d’intégration dans le flux de travail du praticien et les procédures ou problèmes de santé ciblés. Elle montre une description insuffisante des caractéristiques de fiabilité des préconisations du SADM, comme la mention de leur niveau de preuve. Le potentiel des SADM à faciliter la décision partagée entre professionnels et patients est peu documenté.
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Wong, Sabrina, Shan Rajapakshe, David Barber, Andrea Patey, Wendy Levinson, Rachael Morkem, Gillian Hurwitz, Kimberly Wintermute, and Jerome A. Leis. "Prescription d’antibiotiques pour les infections des voies respiratoires dans un réseau national de soins primaires en 2019." Relevé des maladies transmissibles au Canada 48, no. 4 (April 6, 2022): 176–83. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v48i04a06f.

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Анотація:
Contexte : L’infection des voies respiratoires est la principale raison de l’utilisation évitable d’antimicrobiens dans le cadre des soins primaires. Pourtant, la rétroaction des prestataires sur cette utilisation n’est disponible que dans certaines provinces. L’objectif de cette étude était de valider les définitions de cas pour les infections des voies respiratoires dans l’ensemble du Réseau canadien de surveillance sentinelle en soins primaires (RCSSSP) et de déterminer la variabilité de base des prestataires dans la prescription d’antimicrobiens en 2019. Méthodes : Les définitions de cas d’infections des voies respiratoires ont été élaborées à partir des données démographiques, du codage des diagnostics et des mots-clés du dossier médical électronique. Une extraction manuelle des dossiers a été effectuée pour déterminer les cas d’otite moyenne aiguë. Les définitions des infections des voies respiratoires restantes ont été validées à l’aide d’un échantillon aléatoire de 5 164 patients ayant eu des rencontres en 2019. La proportion de patients présentant une infection des voies respiratoires traitée par antibiotiques a été déterminée par prestataire, par patient, par épisode et par rencontre de patients. Résultats : La valeur prédictive négative, la valeur prédictive positive et la prévalence étaient les suivantes : 1,00 % (0,99–1,00), 0,99 % (0,96–0,99) et 4,14 % (4,10–4,19) pour le rhume; 1,00 % (0,99–1,00), 0,94 % (0,88–0,98) et 1,09 % (1,07–1,12) pour l’otite moyenne aiguë; 0.98 % (0,96–1,00), 0,93 % (0,87–0,97) et 1,2 % (1,18–1,22) pour la pharyngite aiguë; 0,99 % (0,99–1,00), 0,88 % (0,81–0,93) et 1,99 % (1,96–2,02) pour la sinusite; 0,99 % (0,97–0,99), 0,95 % (0,89–0,98) et 4,01 % (3,97–4,05) pour la bronchite aiguë/l’asthme. Par prestataire, la proportion médiane (écart interquartile [ÉI]) de patients traités par antibiotiques (par patient) était de 6,72 (14,92) pour le rhume, 64,29 (40,00) pour l’otite moyenne aiguë, 20,00 (38,89) pour la pharyngite, 54,17 (38,09) pour la sinusite, 8,33 (20,00) pour la bronchite aiguë /l’asthme et 21,10 (20,56) pour l’ensemble des infections des voies respiratoires. Conclusion : Le RCSSSP peut assurer une surveillance nationale des pratiques de prescription d’antimicrobiens pour les infections des voies respiratoires dans le cadre des soins primaires. La variabilité de base souligne la nécessité d’une rétroaction des prestataires et d’une amélioration de la qualité.
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Cheng, Phoebe, Atousa Zagaran, Fahra Rajabali, Kate Turcotte, and Shelina Babul. "Établissement d’une base de référence : description des intoxications au cannabis dans un hôpital pédiatrique canadien avant la légalisation de la consommation de cannabis à des fins récréatives." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 40, no. 5/6 (June 2020): 215–23. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.40.5/6.08f.

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Анотація:
Introduction Cette étude décrit les événements et les circonstances à l’origine des admissions de jeunes de 16 ans et moins au service des urgences d’un hôpital pédiatrique canadien pour une intoxication au cannabis. Méthodologie Nous avons extrait de la base de données du Système canadien hospitalier d’information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT) les cas d’intoxication au cannabis ayant été traités au service des urgences de l’Hôpital pour enfants de la Colombie­Britannique (HECB) entre le 1er janvier 2016 et le 31 décembre 2018. Nous avons examiné le système électronique d’information sur la santé de l’hôpital ainsi que le dossier médical des patients pour obtenir plus de renseignements sur le contexte des cas, notamment les caractéristiques spatiales et temporelles. Résultats Des 911 cas d’intoxication traités à l’HECB, 114 étaient liés à la consommation intentionnelle de cannabis (12,5 %). Moins de 10 concernaient des enfants ayant ingéré du cannabis par inadvertance, avec un âge médian pour ces cas de 3 ans. Toutes les ingestions accidentelles sont survenues à la maison et, dans tous les cas, le cannabis appartenait à un membre de la famille du patient. La vaste majorité des intoxications étaient dues à une consommation intentionnelle soit de cannabis seul (28,9 %) soit de cannabis avec d’autres substances psychoactives (co­ingestion, 71,1 %). L’âge médian des patients était de 15 ans. La plupart des patients ont déclaré avoir consommé le cannabis par inhalation et en groupe. Les intoxications au cannabis seul et au cannabis co­ingéré avec d’autres substances étaient plus fréquentes les jours de semaine que les fins de semaine. Dans la plupart des cas d’intoxication au cannabis, le cannabis avait été consommé dans une résidence privée. La majorité des victimes d’intoxication au cannabis ont obtenu des soins médicaux par elles­mêmes ou ont été aidées par leur famille. Conclusion Les caractéristiques des cas d’intoxication pédiatrique au cannabis portent sur les trois ans précédant la légalisation de la consommation de cannabis à des fins récréatives au Canada, de manière à établir une base de référence pour des comparaisons futures. Nous abordons aussi la question de l’amélioration des initiatives et des politiques de prévention à la lumière de ces résultats.
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Choucrani, S., S. Ouhadj, F. Agag, and N. Midoun. "Aide à la gestion de la transition pour le passage au dossier électronique médical (Dem) à l’établissement hospitalier universitaire d’Oran (EHUO)." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 61 (March 2013): S26—S27. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2013.01.073.

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Zemour, L., A. Belghitri, I. Damouche, K. Reguieg, R. Tedjani, and N. Midoun. "Mesure de la satisfaction des utilisateurs du dossier électronique médical au sein du système d’information hospitalier à l’établissement hospitalier et universitaire d’Oran, Algérie." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 64 (September 2016): S260. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2016.06.324.

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Panchuk, Julia, Stephanie Hobson, Jennifer Dahl, Aaron Moulson, and Denise Jaworsky. "COVID-19 in a rural intensive care unit in Northern British Columbia: Descriptive analysis of outcomes and demands on rural resources." Canadian Journal of Rural Medicine 29, no. 3 (July 2024): 109–16. http://dx.doi.org/10.4103/cjrm.cjrm_42_23.

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Abstract Introduction: This descriptive study reviews clinical outcomes of individuals admitted to a northern Canadian, rural intensive care unit (ICU) with severe COVID-19. It reports our site-specific data that is part of an ongoing global effort to gather data and guide therapy; the aims of this study were to describe participants admitted to our ICU with COVID-19 and illuminate challenges faced by rural and remote centres. Methods: This retrospective study examined data from participants admitted to the ICU with COVID-19 pneumonia between 24th November 2020 and 28th February 2022. Using data from electronic and hardcopy health records, data were obtained according to standardised forms developed for the Short Period Incidence Study of Severe Acute Respiratory Infection. Results: Eighty-five adult participants were admitted to our ICU with COVID-19. The median age of participants was 57 years old (range: 23–83 years); 49.4% were males and 50.6% were females. Of our cohort, 58.9% required mechanical ventilation at some point during their stay and the median duration of stay in our ICU was 5 days (range: 1–36 days). Amongst individuals included, 25.9% were discharged alive from our hospital on their index admission, 57.6% were transferred to another facility and 16.5% died in our facility. Conclusion: COVID-19 significantly strained our local ICU resources, necessitating high numbers of patient transfers. However, despite limited resources, patients at our site received contemporary guideline-based care for COVID-19 pneumonia. Future pandemic and surge capacity planning must ensure that rural and remote communities receive adequate additional resources to meet the anticipated needs of their local populations. Introduction: Cette étude descriptive examine les résultats cliniques des personnes admises dans une unité de soins intensifs rurale du nord du Canada avec une COVID-19 sévère. Elle rapporte des données spécifiques à notre site qui font partie d’un effort global en cours pour rassembler des données et guider la thérapie. Les objectifs de cette étude étaient de décrire les participants admis dans notre unité de soins intensifs avec la COVID-19 et d’éclairer les défis auxquels sont confrontés les centres ruraux et éloignés. Méthodes: Cette étude rétrospective a examiné les données des participants admis à l’unité de soins intensifs pour une pneumonie due à la COIVD-19 entre le 24 novembre 2020 et le 28 février 2022. Les données ont été obtenues à partir de dossiers médicaux électroniques et papier, selon des formulaires standardisés développés pour l’étude d’incidence à court terme des infections respiratoires aiguës sévères (SPRINT-SARI). Résultats: 85 participants adultes ont été admis dans notre unité de soins intensifs avec la COVID-19. L’âge médian des participants était de 57 ans (intervalle: 23-83 ans); 49,4% étaient des hommes et 50,6% des femmes. Dans notre cohorte, 58,9% ont eu besoin d’une ventilation mécanique à un moment ou à un autre de leur séjour et la durée médiane du séjour dans notre unité de soins intensifs était de 5 jours (intervalle: 1-36 jours). Parmi les personnes incluses, 25,9% sont sorties vivantes de notre hôpital lors de leur admission initiale, 57,6% ont été transférées dans un autre établissement et 16,5% sont décédées dans notre établissement. Conclusion: La COVID-19 a mis à rude épreuve les ressources de notre unité locale de soins intensifs, nécessitant un grand nombre de transferts de patients. Cependant, malgré des ressources limitées, les patients de notre site ont reçu des soins fondés sur des lignes directrices contemporaines pour la pneumonie due à la COVID-19. À l’avenir, la planification de la pandémie et de la capacité de pointe doit garantir que les communautés rurales et éloignées reçoivent des ressources supplémentaires adéquates pour répondre aux besoins anticipés de leurs populations locales.
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Kutky, Meherzad, and Seychelle Yohanna. "A Quality Improvement Project to Reduce Inappropriate Telemetry Utilization in Nephrology Inpatients at an Academic Hospital." Canadian Journal of General Internal Medicine 17, no. 4 (October 19, 2022): 14–21. http://dx.doi.org/10.22374/cjgim.v17i4.621.

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AbstractBackground: Cardiac telemetry plays a key role in diagnosing and monitoring arrhythmias in hospitalized patients. The American Heart Association (AHA) provides recommendations on the use of telemetry outside the intensive care unit (ICU). These can be stratified into three categories; telemetry is indicated (Class I), telemetry may provide benefit (Class II) or telemetry is unlikely to be of benefit or may cause harm (Class III). The AHA and Choosing Wisely Canada suggest that telemetry use should be guideline-based and should not be used outside the ICU without a plan for discontinuation. In the United States, interventions that modify the Electronic Medical Record (EMR) have been shown to improve telemetry utilization. Patients admitted to our nephrology ward are often prescribed telemetry inappropriately, which impacts patients and providers, and increases healthcare costs.Methods: We used the Model for Improvement framework to conduct a quality improvement project with the aim of reducing inappropriate telemetry utilization (ordered for a Class III indication). We employed an interrupted time series design to evaluate telemetry utilization from January 2018 to September 2019 (pre-intervention period, which was retrospective) and September 2019 to September 2020 (postintervention period, which was prospective). We implemented a modification to our electronic health record (EMR) that forced prescribers to choose an appropriate telemetry indication.Results: There was a reduction of Class III telemetry utilization from 56 to 22%. This reduction was sustained for 12 months following implementation. We piloted a nursing-led discontinuation protocol which resulted in 35% of telemetry orders being discontinued prior to the 48-hour prescribed period.Interpretation: Our study shows that interventions to enhance the EMR in a way that supports better utilization of telemetry can be successful at Canadian institutions. Our next steps will be to implement a permanent nursing-led discontinuation protocol to reduce the duration of telemetry utilization. RésuméContexte: La télémétrie cardiaque joue un rôle clé dans le diagnostic et la surveillance des arythmies chez les patients hospitalisés. L’American Heart Association (AHA) fournit des recommandations sur l’utilisation de la télémétrie en dehors de l’unité de soins intensifs. Ces recommandations peuvent être classées en trois catégories: la télémétrie est indiquée (classe I); la télémétrie peut procurer un bénéfice (classe II); la télémétrie n’est pas susceptible de procurer un bénéfice ou peut avoir des effets néfastes (classe III). D’après l’AHA et l’organisme Choisir avec soin, l’utilisation de la télémétrie devrait reposer sur des lignes directrices et ne devrait pas avoir lieu en dehors de l’unité de soins intensifs sans qu’il y ait un plan d’arrêt. Aux États-Unis, on constate que les interventions qui modifient le dossier médical électronique (DME) améliorent l’utilisation de la télémétrie. Les patients admis à notre service de néphrologie se voient souvent prescrire la télémétrie de manière inappropriée, ce qui entraîne des répercussions sur les patients et les fournisseurs de soins et augmente les coûts de soins de santé.Méthodologie: Nous avons utilisé le cadre du modèle d’amélioration pour mener un projet d’amélioration de la qualité qui vise à réduire l’utilisation inappropriée de la télémétrie (prescrite pour une indication de classe III). Nous avons employé un plan d’étude de séries chronologiques interrompues pour évaluer l’utilisation de la télémétrie de janvier 2018 à septembre 2019 (période préintervention, qui est rétrospective) et de septembre 2019 à septembre 2020 (période postintervention, qui est prospective). Nous avons mis en application une modification à notre DME qui oblige les prescripteurs à choisir une indication de télémétrie appropriée. Résultats: On constate une diminution de l’utilisation de la télémétrie de classe III, qui est passée de 56 % à 22 %. Cette diminution a été maintenue pendant 12 mois après la mise en application de la modification. Nous avons expérimenté un protocole d’arrêt dirigé par le personnel infirmier qui a permis d’arrêter 35 % des ordonnances de télémétrie avant la période prescrite de 48 heures.Interprétation: Notre étude montre qu’il est possible de réussir des interventions visant à améliorer le DME de manière à favoriser une meilleure utilisation de la télémétrie dans les établissements canadiens. Nos prochaines étapes consisteront à mettre en œuvre un protocole permanent d’arrêt dirigé par le personnel infirmier pour réduire la durée d’utilisation de la télémétrie.
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Manning, Jessica, Robert T. Pammett, Abu Obeida Hamour, Aleisha Enemark, and Barret Barr. "Assessing Use of a Standardized Allergy History Questionnaire for Patients with Reported Allergy to Penicillin." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 74, no. 2 (April 19, 2021). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v74i2.3096.

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Background: Inappropriate allergy labelling is associated with significant clinical and pharmacoeconomic implications. Detailed antimicrobial allergy assessments represent a key component of antimicrobial stewardship and aid in identifying true type I (immediate hypersensitivity) reactions. The allergy history form currently used at the University Hospital of Northern British Columbia (UHNBC), in Prince George, relies on the assessor’s ability to ask appropriate prompting questions to obtain a thorough history, but it may not be sufficient to accurately identify true allergies. Objective: To compare a standardized allergy history questionnaire and the current allergy history form in terms of the quality and quantity of documentation gathered. Methods: This prospective observational study involved patients who were admitted to medical and surgical services at UHNBC from November 2018 to January 2019 with a penicillin-class allergy reported on their electronic medical record (EMR). A list of patients with EMR-reported allergies was generated by the hospital’s health information software system, and these patients were interviewed using the standardized allergy history questionnaire. Results: A total of 48 patients were assessed during the study period. Nineteen (40%) of the patients had an inappropriate allergy label on their EMR. Only 36 (75%) had an allergic reaction described on their EMR. Furthermore, only 36 (75%) of the 48 patients had the same allergy recorded on the EMR and on the allergy history form contained in their paper chart, of whom 22 had a documented reaction. The mean time to complete the standardized allergy history questionnaire was 2 minutes. Conclusions: At the study institution, documentation of allergy histories was often incomplete. Detailed allergy assessments are the first step in identifying true immunoglobulin E–mediated hypersensitivity reactions. Utilization of a standardized allergy history questionnaire is feasible and may serve to improve documentation and overall antimicrobial stewardship. RÉSUMÉ Contexte : L’étiquetage inapproprié de l’allergie est associé à des conséquences cliniques et pharmacoéconomiques importantes. Les évaluations détaillées des allergies antimicrobiennes sont une composante-clé de la gestion antimicrobienne : elles contribuent à déterminer les réactions d’hypersensibilité véritables de type 1 (immédiates). Le formulaire des antécédents d’allergies actuellement utilisé à l’University Hospital of Northern British Columbia (UHNBC), à Prince George, s’appuie sur la capacité de l’évaluateur à poser les questions appropriées pour obtenir un historique détaillé, mais il ne suffit pas de déterminer précisément les véritables allergies. Objectif : Comparer la qualité et la quantité des informations recueillies au moyen d’un questionnaire normalisé sur les antécédents d’allergies avec celles recueillies au moyen des formulaires. Méthodes : Cette étude d’observation prospective portait sur des patients admis dans les services médicaux et chirurgicaux à l’UHNBC de novembre 2018 à janvier 2019, dont les dossiers médicaux électroniques (DME) indiquaient une allergie à des médicaments de la classe de la pénicilline. Le logiciel des informations sur la santé a généré une liste des patients présentant les allergies indiquées et ces patients ont été interrogés à l’aide d’un questionnaire normalisé des antécédents d’allergies. Résultats : Un total de 48 patients a été évalué pendant la période de l’étude. Le DME de dix-neuf (40 %) patients portait une étiquette inappropriée. Seuls 36 DME des patients (75 %) décrivaient une réaction allergique. De plus, seulement 36 (75 %) des 48 patients avaient la même réaction allergique enregistrée à la fois au DME et dans le formulaire des antécédents d’allergies de leur dossier papier, et la réaction de 22 d’entre eux était documentée. Le temps de réponse moyen au questionnaire normalisé sur les antécédents d’allergies était de 2 minutes. Conclusion : Dans cette étude, la description des antécédents d’allergies était souvent incomplète. Les évaluations détaillées des allergies sont la première étape permettant de déterminer les réactions véritables d’hypersensibilité à l’immunoglobuline E. L’utilisation d’un questionnaire normalisé des antécédents d’allergies est faisable et pourrait servir à améliorer la documentation ainsi que la gestion globale des antimicrobiens.
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"Dossier médical électronique et aide à la décision." PrimaryCare 12, no. 06 (March 14, 2012): 101–4. http://dx.doi.org/10.4414/pc-f.2012.09117.

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"Arosa 2020 ou le dossier médical électronique – quo vadis?" PrimaryCare 13, no. 09 (May 8, 2013): 153–55. http://dx.doi.org/10.4414/pc-f.2013.00343.

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"Dossier médical électronique et utilisation de l'ordinateur dans un réseau urbain de médecins." PrimaryCare 10, no. 06 (April 14, 2010): 115–16. http://dx.doi.org/10.4414/pc-f.2010.08575.

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Altman, C., G. Bonnaud, I. Ingrand, S. Beorchia, and JC Letard. "Utilisation du dossier médical électronique (DME) par les hépato-gastroentérologues (HGE) en France." Endoscopy 43, no. 03 (March 2011). http://dx.doi.org/10.1055/s-0031-1273168.

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Montesanti, Stephanie, Caillie Pritchard, Lee Green, Shannon Berg, Sara Mallinson, and Judy Birdsell. "Implementing Primary Health Care Teams and Integrated Care in Alberta, Canada." Health Reform Observer – Observatoire des Réformes de Santé 10, no. 1 (April 1, 2022). http://dx.doi.org/10.13162/hro-ors.v10i1.4680.

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Improving health services integration for persons living with complex health and social needs is a priority for Canadian health systems. Alberta’s approach to promoting and incentivizing interprofessional team-based primary health care (PHC) has focused on creating a universal system of networks of family physician clinics or Primary Care Networks (PCNs). First implemented in 2003, PCNs aimed to improve access and quality of interdisciplinary care using PHC teams. While an interprofessional PHC team approach is considered a basic tenet of health services integration, several barriers to implementing team-based care have been identified in Alberta, such as physician and PCN funding models, lack of integrated electronic medical records (EMRs), and lack of standardized evaluation. Strategies for implementing team-based PHC policies include building on existing structures, gaining buy-in from frontline clinicians, and enabling providers to work at their full scope of practice. PCNs can improve how they provide team-based care by focusing on patient-centred care and streamlining EMRs. Further research is needed to determine optimal approaches for evaluation and performance measurement to facilitate quality improvement at the clinical level and improve performance at the system level. L'amélioration de l'intégration des services de santé pour les personnes vivant avec des besoins sanitaires et sociaux complexes est une priorité pour les systèmes de santé canadiens. L'approche adoptée par l'Alberta pour promouvoir et encourager les soins de santé primaires (SSP) fondés sur des équipes interprofessionnelles s'est concentrée sur la création d'un système universel de réseaux de cliniques de médecins de famille ou de réseaux de soins primaires (RSP). Mis en œuvre pour la première fois en 2003, les RSP visaient à améliorer l'accès et la qualité des soins interdisciplinaires par le biais d'équipes de soins primaires. Bien que l'approche interprofessionnelle des équipes de SSP soit considérée comme un principe de base de l'intégration des services de santé, plusieurs obstacles à la mise en œuvre ont été identifiés en Alberta, tels que les modèles de financement des médecins et des RSP, l'absence de dossiers médicaux électroniques intégrés et le manque d'évaluation normalisée. Les stratégies de mise en œuvre des politiques de soins primaires axés sur le travail d'équipe consistent à s'appuyer sur les structures existantes, à obtenir l'adhésion des cliniciens et à permettre aux cliniciens de travailler dans toute l'étendue de leur pratique. Les RSP peuvent améliorer la façon dont ils fournissent des soins en équipe en se concentrant sur les soins centrés sur le patient et en implantant les dossiers médicaux électroniques. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer les approches optimales d'évaluation et les mesures de performances afin de faciliter l'amélioration de la qualité au niveau clinique et d'améliorer les performances au niveau du système.
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Castiel, Didier. "La mise en place du dossier médical électronique en Angleterre. Une innovation organisationnelle au service d’un nouveau comportement de production et de consommation des soins médicaux : un exemple pour la France ?" Technologie et innovation 7, no. 1 (2022). http://dx.doi.org/10.21494/iste.op.2021.0768.

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Pai, Alexander, Zahra Kanji, and James Joshua Douglas. "Characterization of Coinfections in Patients with COVID-19." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 77, no. 1 (January 10, 2024). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.3398.

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Background: Little is known about coinfections in patients with COVID-19, with antibiotics often initiated empirically. Objectives: To determine the rates and characteristics of early and late coinfections in COVID-19 patients and to characterize the use of anti-infective agents, especially antibiotics. Methods: This retrospective chart review involved patients with COVID-19 who were admitted to Lions Gate Hospital (Vancouver, British Columbia) between January 1 and June 30, 2020. Data were extracted from electronic medical records, and descriptive statistics were used to analyze the data. Results: Of the 48 patients admitted during the study period, 10 (21%) were determined to have coinfections: 3 (6%) had early coinfections and 7 (15%) had late coinfections. Early empiric use of antibiotics was observed in 32 (67%) patients; for 29 (91%) of these 32 patients, the therapy was deemed inappropriate. Patients with coinfections had longer hospital stays and more complications. Conclusions: Despite low rates of early coinfection, empiric antibiotics were started for a majority of the patients. Most late coinfections occurred in patients in the intensive care unit who required mechanical ventilation. Patients with coinfections had poorer outcomes than those without coinfections. RÉSUMÉ Contexte : On sait peu de choses sur les co-infections chez les patients atteints de COVID-19, les médicaments antibiotiques étant souvent initiés de manière empirique.Objectifs : Déterminer les taux et les caractéristiques des co-infections précoces et tardives chez les patients atteints de COVID-19 et caractériser l’utilisation d’anti-infectieux, en particulier les antibiotiques. Méthodes : Cet examen rétrospectif des dossiers portait sur des patients atteints de COVID-19 qui ont été admis à l’hôpital Lions Gate, à Vancouver (Colombie-Britannique), entre le 1er janvier et le 30 juin 2020. Les données ont été extraites des dossiers médicaux électroniques et des statistiques descriptives ont été utilisées pour analyser les données. Résultats : Sur les 48 patients admis au cours de la période d’étude, 10 patients (21 %) présentaient des co-infections : 3 patients (6 %) avaient des co-infections précoces et 7 (15 %), des co-infections tardives. Une utilisation empirique précoce d’antibiotiques a été observée chez 32 patients (67 %); pour 29 de ces 32 patients (91 %), le traitement a été jugé inapproprié. Les séjours à l’hôpital des patients co-infectés étaient plus longs et ils présentaient davantage de complications. Conclusions : Malgré de faibles taux de co-infection précoce, des antibiotiques empiriques ont été instaurés pour la majorité des patients. La plupart des co-infections tardives sont survenues chez des patients de l’unité de soins intensifs nécessitant une ventilation mécanique. Les résultats des patients avec co-infections étaient moins bons que ceux sans co-infections.
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Du Sault, Ariane, Marc Parent, and Chantale Simard. "Methods of Therapeutic Drug Monitoring to Guide Vancomycin Dosing Regimens: Trough Concentration versus Ratio of Area Under the Curve to Minimum Inhibitory Concentration." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 75, no. 2 (April 4, 2022). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v75i2.3114.

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Background: The most recent vancomycin monitoring guideline recommends targeting a value for area under the curve (AUC) of 400 to 600 mg*h/L, with an assumed minimum inhibitory concentration (MIC) of 1 mg/L. Few studies have investigated the effect of this method on vancomycin dosing regimens, relative to a target trough concentration of 15 to 20 mg/L. Objective: To compare vancomycin dosing regimens generated with the 2 monitoring methods. Methods: This retrospective chart review included hospitalized patients who received vancomycin between May 2019 and April 2020. The dosing regimens were compared, with the paired Student t test, in terms of unit dose, daily dose, and dosing interval. Variables of interest were collected from electronic medical charts. A pharmacy resident used first-order pharmacokinetic equations to determine dosing regimens based on AUC monitoring. Local pharmacists retrospectively determined dosing regimens for trough-based monitoring. Results: Of 100 courses of treatment initially identified, 66 were included in the analysis. The unit dose was similar with the 2 methods (1086 mg with AUC-based monitoring versus 1100 mg with trough-based monitoring; p = 0.62). AUC monitoring was associated with a 12.8% lower daily dose (2294 mg versus 2630 mg; p < 0.001) and a 13.5% longer dosing interval (13.24 h versus 11.67 h; p < 0.001) relative to trough-based monitoring. AUC monitoring also generated a lower extrapolated trough concentration (12.90 mg/L versus 16.22 mg/L; p < 0.001). Conclusions: A target trough concentration of 15 to 20 mg/L was confirmed as being unnecessarily high. AUC monitoring could allow a reduction in daily vancomycin dose and an extension of the dosing interval relative to trough-based monitoring. RÉSUMÉ Contexte : La plus récente directive en matière de surveillance de la vancomycine recommande de cibler une valeur de surface sous la courbe (en anglais, AUC) de 400 à 600 mg*h/L, avec une concentration minimale inhibitrice (CMI) supposée de 1 mg/L. Peu d’études ont étudié l’effet de cette méthode sur les schémas posologiques de la vancomycine, par rapport à une concentration minimale cible de 15 à 20 mg/L. Objectif : Comparer les schémas posologiques de la vancomycine générés avec les 2 méthodes de surveillance. Méthodes : Cette revue rétrospective des dossiers comprenait des patients hospitalisés ayant reçu de la vancomycine entre mai 2019 et avril 2020. Un test de Student pour données appariées a été réalisé afin de comparer les schémas posologiques sur le plan de la dose unitaire, de la dose quotidienne et de l’intervalle de dosage. Les variables d’intérêt ont été recueillies à partir de dossiers médicaux électroniques. Un résident en pharmacie a utilisé des équations pharmacocinétiques de premier ordre pour déterminer les schémas posologiques en fonction de la surveillance de l’AUC. Les pharmaciens locaux ont déterminé rétrospectivement les schémas posologiques pour la surveillance basée sur la concentration résiduelle. Résultats : Sur 100 cours de traitement initialement identifiés, 66 ont été inclus dans l’analyse. La dose unitaire était similaire avec les 2 méthodes (1086 mg avec surveillance basée sur l’AUC contre 1100 mg avec surveillance basée sur la concentration résiduelle; p = 0,62). La surveillance de l’AUC était associée à une dose quotidienne inférieure de 12,8 % (2294 mg contre 2630 mg; p < 0,001) et à un intervalle de dosage plus long de 13,5 % (13,24 h contre 11,67 h; p < 0,001) par rapport à la surveillance basée sur la concentration résiduelle. La surveillance de l’AUC a également généré une concentration minimale extrapolée plus faible (12,90 mg/L contre 16,22 mg/L; p < 0,001). Conclusions : Une concentration résiduelle cible de 15 à 20 mg/L a été confirmée comme étant inutilement élevée. La surveillance de l’AUC pourrait permettre une réduction de la dose quotidienne de vancomycine et un allongement de l’intervalle de dosage par rapport à la surveillance basée sur la concentration résiduelle.
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Bell, Matthew, Anne Holbrook, Christine Wallace, Erich Hanel, and Kaitlynn Rigg. "Characteristics of Drug Poisonings Seen in the Emergency Department of an Urban Hospital." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 77, no. 2 (April 10, 2024). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.3454.

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Background: Drug poisoning, either intentional or non-intentional, is a frequent diagnosis in the emergency department (ED), necessitating patient management from multiple services. Objective: To describe the drug poisonings seen in the ED of a large academic urban hospital. Methods: This retrospective descriptive study used 3 years of data (2018–2020) abstracted from the hospital’s electronic medical record system and linked to validated, coded extracts from the Canadian Institute for Health Information Discharge Abstract Database. Patients with a diagnosis of acute drug poisoning who presented to the ED were identified on the basis of International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems, 10th revision, Canada (ICD-10-CA) codes, and data were collected for demographic characteristics, the drugs involved, in-hospital management, and inpatient outcomes. Patients with diagnosis of an acute drug reaction, inebriation, or nondrug or in-hospital poisoning were excluded. Data were stratified and analyzed in relation to the intent of drug poisoning. Results: A total of 2983 visits for drug poisoning, involving 2211 unique patients (mean age 38.3 [standard deviation 16.2] years, 54.7% female), were included, yielding an overall incidence rate of 15.7 drug poisonings per 1000 ED visits (8.1 intentional, 6.4 non-intentional, and 1.3 unknown intent). Among the 1505 intentional drug poisonings, the most prevalent drug sources were antidepressants (n = 405, 26.9%), benzodiazepines (n = 375, 24.9%), and acetaminophen (n = 329, 21.9%); in contrast, opioids (n = 594, 48.1%) were most prevalent for the 1236 non-intentional poisonings. For 716 (24.0%) of the poisoning visits, the patient was admitted to acute care services, and the in-hospital mortality rate was 1.0% (n = 31). In addition, 111 patients (9.0%) with non-intentional drug poisoning left against medical advice. Finally, for 772 (25.9%) of the poisoning visits, the patient returned to the ED after discharge with a subsequent drug poisoning. Conclusions: Drug poisonings are a common cause of visits to urban EDs. They are rarely fatal but are associated with substantial utilization of hospital resources and considerable recidivism. Keywords: emergency, poisoning, overdose, opioids RÉSUMÉ Contexte : L’intoxication médicamenteuse, intentionnelle ou non, est un diagnostic fréquent dans le service des urgences (SU); elle nécessite la prise en charge des patients par plusieurs services. Objectif : Décrire les intoxications médicamenteuses observées dans le SU d’un grand hôpital universitaire urbain.Méthodologie : Pour cette étude rétrospective et descriptive, des données contenues dans le système de dossiers médicaux électroniques de l’hôpital et liées à des extraits validés et codés de la base de données sur les congés des patients de l’Institut canadien d’information sur la santé pendant 3 ans (2018-2020) ont été utilisées. Les patients ayant reçu un diagnostic d’intoxication médicamenteuse aiguë qui se sont présentés à l’urgence ont été identifiés sur la base des codes de la Classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes, 10e version, Canada (CIM-10-CA), et des données ont été recueillies pour les caractéristiques démographiques, les médicaments impliqués, la prise en charge à l’hôpital et les résultats pour les patients hospitalisés. Les patients présentant un diagnostic de réaction médicamenteuse aiguë, d’ébriété ou d’intoxication non médicamenteuse ou à l’hôpital ont été exclus. Les données ont été stratifiées et analysées en fonction de l’intention de l’empoisonnement médicamenteux. Résultats : Au total, 2983 cas mettant en cause 2211 patients (âge moyen 38,3 [écart type 16,2] ans, dont 54,7 % de femmes) ont été inclus; les résultats ont donné un taux d’incidence global de 15,7 intoxications médicamenteuses pour 1000 visites au SU (8,1 intentionnelles; 6,4 non intentionnelles; et 1,3 intention inconnue). Parmi les 1505 intoxications médicamenteuses intentionnelles, les médicaments les plus répandues étaient les antidépresseurs (n = 405, 26,9 %), les benzodiazépines (n = 375, 24,9 %) et l’acétaminophène (n = 329, 21,9 %); les opioïdes (n = 594, 48,1 %) étaient les plus répandus parmi les 1236 intoxications non intentionnelles. Dans 716 des cas (24,0 %), le patient a été admis dans les services de soins aigus. Le taux de mortalité hospitalière était de 1,0 % (n = 31). Par ailleurs, 111 patients (9,0 %) présentant une intoxication médicamenteuse non intentionnelle ont quitté l’hôpital contre avis médical. Enfin, dans 772 des cas d’intoxication (25,9 %), le patient est retourné à l’urgence après sa sortie à cause d’une intoxication médicamenteuse ultérieure. Conclusions : Les intoxications médicamenteuses sont une cause fréquente de visites dans les SU urbains. Ils sont rarement mortels, mais sont associés à une utilisation importante des ressources hospitalières et à une récidive considérable.Mots-clés : urgence, empoisonnement, surdose, opioïdes
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Giunio-Zorkin, Nicole, and Glen Brown. "Real-Life Frequency of New-Onset Thrombocytopenia during Linezolid Treatment." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 72, no. 2 (April 25, 2019). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v72i2.2883.

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<p><strong>ABSTRACT</strong><br /><strong></strong></p><p><strong>Background:</strong> Thrombocytopenia is a well-recognized adverse effect of linezolid; however, the frequency of this adverse effect during therapy has been variable across previous studies, and the associated risk factors are unclear. <br /><strong></strong></p><p><strong>Objectives:</strong> To identify the real-life frequency of new-onset thrombo -cytopenia due to linezolid and to determine the associated risk factors. <br /><strong>Methods:</strong> A retrospective observational cohort study was conducted among consecutive inpatients at a tertiary care hospital who received linezolid for a minimum of 5 days between January 2013 and August 2017. Data were extracted from electronic medical records obtained from a hospital database. Thrombocytopenia was defined as platelet count less than 100 × 109/L or a 50% reduction from baseline (i.e., before linezolid initiation). Risk factors were identified by comparing the characteristics of patients who experienced the adverse effect during linezolid therapy with those of patients who did not experience the adverse effect. Continuous data were analyzed with the t test and categorical data with the 2 test. <br /><strong></strong></p><p><strong>Results:</strong> A total of 102 patients were included (38 women, 64 men; overall mean age 50 years, standard deviation [SD] 21). The mean duration of linezolid therapy was 14 (SD 10) days. Thrombocytopenia occurred in 18 patients (17.6%). Risk factors for the development of thrombocytopenia included mean duration of therapy (22 [SD 18] days versus 12 [SD 7] days; p = 0.023), renal replacement therapy (17% versus 4%; p = 0.032), renal impairment (61% versus 32%; p = 0.021), and concomitant administration of unfractionated heparin (50% versus 21%; p = 0.013). <br /><strong></strong></p><p><strong>Conclusions:</strong> The real-life frequency of new-onset of thrombocytopenia in patients receiving linezolid for a minimum of 5 days was 17.6%. Risk factors for linezolid-induced thrombocytopenia included prolonged duration of therapy, renal impairment, and concomitant unfractionated heparin.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte :</strong> La thrombopénie est une réaction indésirable bien connue, induite par le linézolide; cependant, la fréquence de cette réaction indésirable pendant le traitement hvariait d’une étude à l’autre et on ignore quels sont les facteurs de risque associés à cet antibiotique. <br /><strong></strong></p><p><strong>Objectifs :</strong> Découvrir la fréquence réelle des nouveaux cas de thrombopénie causés par le linézolide et déterminer les facteurs de risque qui lui sont associés. <br /><strong></strong></p><p><strong>Méthodes :</strong> Une étude de cohorte observationnelle rétrospective a été menée auprès de patients hospitalisés consécutivement dans un hôpital de soins tertiaires, qui ont reçu du linézolide pendant au moins cinq jours entre janvier 2013 et août 2017. Les données ont été tirées des dossiers médicaux électroniques provenant d’une base de données d’un hôpital. La thrombopénie a été définie comme un taux de plaquettes de moins de 100 × 109/L ou comme une réduction de 50 % de leur valeur initiale (c’est-à-dire, avant l’amorce du traitement au linézolide). Les chercheurs ont établi les facteurs de risque en comparant les caractéristiques des patients ayant subi la réaction indésirable pendant leur traitement au linézolide avec les caractéristiques des patients n’ayant pas subi cet effet indésirable. Les données continues ont été analysées à l’aide d’un test t et les données catégoriques à l’aide d’un test de 2. <br /><strong></strong></p><p><strong>Résultats :</strong> Au total, 102 patients ont été admis (38 femmes, 64 hommes; âge moyen de 50 ans, écart-type de 21). La durée du traitement au linézolide était de 14 jours (écart-type de 10). Dix-huit patients (17,6 %) ont souffert de thrombopénie. Parmi les facteurs de risque de thrombopénie, on comptait la durée moyenne du traitement (22 jours [écart-type de 18] contre 12 jours [écart-type de 7]; p = 0,023), le traitement de suppléance rénale (17 % contre 4 %; p = 0,032), l’insuffisance rénale (61 % contre 32 %; p = 0,021) et l’administration concomitante d’héparine non fractionnée (50 % contre 21 %; p = 0,013). <br /><strong></strong></p><p><strong>Conclusions :</strong> La fréquence réelle de nouveaux cas de thrombopénie parmi les patients recevant du linézolide pendant un minimum de 5 jours était de 17,6 %. Parmi les facteurs de risque de thrombopénie associés au linézolide, on mentionne l’allongement de la durée du traitement, l’insuffisance rénale et l’administration concomitante d’héparine non fractionnée.</p><p> </p>
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Lee, Robin, Karen Dahri, Tim T. Y. Lau, and Stephen Shalansky. "Perceptions of Hospital Pharmacists Concerning Clinical Research: A Survey Study." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 71, no. 2 (May 2, 2018). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v71i2.1860.

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<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background: </strong>Few studies have attempted to determine the proportion of Canadian hospital pharmacists involved in clinical research, despite a general consensus that research should be an essential component of a pharmacist’s professional role.</p><p><strong>Objectives: </strong>The primary objective was to characterize the involvement in clinical pharmacy research of hospital pharmacists in the 4 health authorities of the Lower Mainland of British Columbia (collectively known as the Lower Mainland Pharmacy Services). The secondary objective was to identify perceived barriers to conducting research.</p><p><strong>Methods: </strong>Pharmacists employed within Lower Mainland Pharmacy Services were invited to participate in an online cross-sectional survey, for completion in August and September 2015. Descriptive statistics were used to analyze the results. Groups of survey participants were compared to examine differences in measured outcomes.</p><p><strong>Results: </strong>A total of 534 pharmacists were surveyed, with a response rate of 16% (85/534). Overall, 77% (55/71) of the respondents reported having participated in research, and 87% (62/71) expressed interest in conducting future research. Chart reviews (78%, 36/46) and surveys (41%, 19/46) were the most common study designs used in prior research. Participants self-identified their research-related strengths as literature evaluation (46%, 27/59) and hypothesis generation (44%, 26/59). Conversely, 81% (48/59) of respondents self-identified statistical analysis as a weakness. Most respondents stated that personal satisfaction (82%, 49/60) and the opportunity to learn about disease states (78%, 47/60) were the driving factors for conducting research. The most commonly cited barrier to conducting research was lack of time (92%, 55/60). Opportunities to join existing teams (73%, 44/60) and mentorship programs (70%, 42/60) were identified as the most popular arrangements for encouraging future research.</p><p><strong>Conclusions: </strong>Most of the pharmacists who responded to this survey reported having participated in clinical pharmacy research, but a lack of dedicated time appears to be a major hurdle to greater research participation. A targeted program increasing exposure to existing research teams and mentorship opportunities is recommended for promoting future research.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte : </strong>Peu d’études ont cherché à déterminer la proportion de “pharmaciens d’hôpitaux canadiens qui contribuent à la recherché clinique, et ce, malgré un consensus voulant que la recherche doive être un élément essentiel du rôle professionnel des pharmaciens.</p><p><strong>Objectifs : </strong>L’objectif principal était d’offrir un portrait de la contribution à la recherche sur la pharmacie clinique des pharmaciens d’hôpitaux des quatre régies régionales des basses-terres continentales de la Colombie-Britannique (appelées collectivement <em>Lower Mainland Pharmacy Services</em>, c.-à-d. services de pharmacie des basses-terres continentales). L’objectif secondaire était de recenser les éléments perçus comme des obstacles à la réalisation de recherches.</p><p><strong>Méthodes : </strong>Les pharmaciens employés au sein des services de pharmacie des basses-terres continentales ont été invités à participer par voie électronique à une enquête transversale qui devait être complétée en août et en septembre 2015. Des statistiques descriptives ont été employées pour analyser les résultats. On a aussi comparé des groupes de participants à l’enquête afin d’examiner les différences entre les résultats mesurés.</p><p><strong>Résultats : </strong>Au total, 534 pharmaciens ont été sondés et le taux de réponse était de 16 % (85/534). Dans l’ensemble, 77 % (55/71) des répondants indiquaient avoir participé à des recherches et 87 % (62/71) souhaitaient faire de la recherche dans l’avenir. L’analyse de dossiers médicaux (78 %, 36/46) et les sondages (41 %, 19/46) représentaient les plans d’étude les plus utilisés par les répondants au cours de recherches antérieures. Les participants ont indiqué que leurs forces en lien avec la recherche étaient leur capacité d’évaluer la littérature (46 %, 27/59) et de formuler des hypothèses (44 %, 26/59). En revanche, 81 % (48/59) ont signalé l’analyse statistique comme leur point faible. La plupart des répondants croyaient que la satisfaction personnelle (82 %, 49/60) et la perspective d’acquérir des connaissances sur les maladies (78 %, 47/60) représentaient les principaux facteurs les motivant à faire de la recherche. Ce qui était évoqué le plus souvent comme un obstacle à la recherche était le manqué de temps (92 %, 55/60). Les occasions de se joindre à des équipes en place (73 %, 44/60) et les programmes de mentorat (70 %, 42/60) ont été désignés comme les dispositions les plus attrayantes pour encourager à poursuivre de futures recherches.</p><strong>Conclusions : </strong>La plupart des pharmaciens ayant répondu au sondage ont indiqué avoir contribué à des recherches en pharmacie clinique, mais le manque de temps réservé pour la recherche semblait être un obstacle important à une plus grande participation aux activités de recherche. Un programme ciblé multipliant les possibilités de fréquenter des équipes de recherche déjà établies et offrant plus d’occasions de mentorat serait une façon de promouvoir de futures recherches.
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Dominguez, Virginia. "US anthropologie." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.132.

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Il est à la fois attendu et surprenant que l’American Anthropological Association (AAA) fonctionne en anglais à l’heure actuelle et qu’elle l’ait fait dans une très large mesure au fil des ans. Dans le premier cas, cela s’explique par trois raisons : un, c’est la principale association d’anthropologues des États-Unis et ce pays est un pays dont le gouvernement, la formation et le commerce sont dominés par l’anglais; deux, il s’agit d’une association dont la majorité des membres sont anglophones et dont beaucoup n’ont que peu, voire aucune expérience en matière de présentation d’exposés professionnels ou même d’enseignement dans une langue autre que l’anglais; trois, alors que dans les premières années de l'association, les États-Unis étaient moins dominants qu'aujourd'hui, et que le français était souvent enseigné à l'école et considéré comme la langue de la « culture », l'anglais demeurait néanmoins la langue dominante dans l'empire britannique. Dans le deuxième cas, il est quand même surprenant que l’American Anthropological Association ait fonctionné et fonctionne toujours seulement en anglais, alors que de nombreux anthropologues basés aux États-Unis étudient une deuxième, et peut-être même une troisième langue, afin d’effectuer leur travail de terrain. C'est le cas de la plupart des anthropologues socioculturels, de la quasi-totalité des anthropologues linguistiques et de nombreux archéologues anthropologues. Cela semble moins l’être parmi les anthropologues biologiques. La question est donc de savoir pourquoi toutes ces langues ne sont utilisées que dans le cadre de la recherche sur le terrain et pourquoi l’anglais demeure l’unique langue de l’American Anthropological Association. Pour y répondre mettons cela dans une perspective plus large. À ma connaissance, et même à celle des membres de longue date de l'AAA, l'anglais est non seulement la langue de l’Association, mais également celle de sa principale conférence annuelle et de ses principaux journaux et bulletins d'information (incluant les bulletins trimestriels) : American Anthropologist, American Ethnologist, Cultural Anthropology, Medical Anthropology Quarterly (le journal de la société d’anthropologie médicale), Ethos (le journal de la Society for Psychological Anthropology) et, enfin, Anthropology and Education Quarterly (le journal de la Society for Anthropology and Education). Ce monolinguisme est intéressant à relever, sachant par ailleurs que les États-Unis se considèrent comme une société immigrée et, au fil des ans, de nombreux Américains n’ont pas du tout parlé anglais ou ne l’ont pas parlé couramment, et qu’au moins un sixième de la population des États-Unis est d'origine latino-américaine, dont une partie ne parle pas l'anglais comme langue maternelle ou ne parle pas confortablement cette langue. De sorte que si l’AAA devait refléter les pratiques linguistiques et les expériences des habitants des États-Unis, cette association ne serait pas aujourd’hui monolingue, pas plus qu’elle ne l’a été au XXe siècle. Si nous examinons d’autres sociétés anthropologiques du monde, nous constatons que cette situation n’est pas spécifique à l’AAA. Nous avons ainsi l’exemple de la Société canadienne d’anthropologie (CASCA), mais aussi ceux de l’Association européenne des anthropologues sociaux (EASA/l’AESA) et de l’Union internationale des sciences anthropologiques et ethnologiques (IUAES/l’UISAE). En effet, ce qui est de jure n'est pas nécessairement de facto et toutes ces associations anthropologiques illustrent bien cette tendance à l’usage exclusif de l’anglais. Anthropologica, le journal de l'association canadienne, est officiellement bilingue anglais français, mais la majorité des soumissions sont en anglais. De même, l’EASA/l'AESA, fondée il y a près de 30 ans au moins en partie pour contrer l'AAA et pour permettre des présentations en anglais et en français, voit ses conférences bisannuelles devenir au fil des ans des conférences largement anglophones, avec peu de panels ou même de présentations en français. Et quelque chose de similaire est arrivé à l'IUAES, à tel point que Miriam Grossi, responsable du congrès de l’IUAES de 2018 à Florianopolis, au Brésil, s'est efforcée d'autoriser les présentations non seulement en anglais et en français, mais également en espagnol et en portugais. Le fait est que beaucoup de personnes aux États-Unis et ailleurs pensent que « tout le monde parlant anglais », les anthropologues américains n'auraient pas besoin de maîtriser (ou même d'apprendre) une langue autre que l'anglais. Il y a à peine un an, l'un de nos étudiants de troisième cycle m'a demandé pourquoi ils devaient encore être soumis à des examens en langues étrangères. J'ai été étonnée de la question, mais j'ai simplement répondu que pour des raisons éthiques et politiques, si nous incitons d’autres personnes à apprendre l’anglais suffisamment bien pour présenter leurs travaux universitaires en anglais, et pas seulement pour le parler, nous devons prendre la peine de leur rendre la pareille en apprenant d’autres langues que l’anglais. Il existe clairement une incohérence entre la politique déclarée de la communauté des anthropologues américains – telle qu’elle est représentée par le AAA et de nombreux départements universitaires, si ce n’est tous – et leurs pratiques sur le terrain. Une profession qui tient à dire qu'elle étudie toute l'humanité et se soucie de tous les groupes humains et de toutes les communautés est une profession de foi qui devrait se préoccuper des langues de tous les groupes humains et de toutes les communautés, y compris des politiques d'utilisation de ces langues. Comme on l’a relevé ci-dessus, la plupart des anthropologues socioculturels, presque tous les anthropologues linguistiques et de nombreux archéologues anthropologistes apprennent sur le terrain des langues, mais ils ne les étendent pas à leurs enseignements, à leurs conférences ou leurs publications. Ed Liebow (Directeur exécutif de l’AAA) me l'a confirmé lorsque je lui ai demandé par courrier électronique si l'AAA avait, à sa connaissance, des politiques linguistiques officielles. Ce dernier a ajouté qu’après l’examen des dossiers du Conseil Exécutif de l'AAA, remontant au début des années 1970, l’une de ses collègues lui a précisé qu’elle n'avait trouvé aucune résolution concernant les langues autres que l'anglais dans l’AAA, à la seule exception de la revue American Anthropologist. C’est ainsi que, tôt au cours de ce siècle, sous la direction de Tom Boellstorff, rédacteur en chef de l'époque de l’American Anthropologist, les auteurs ont été invités à inclure des résumés dans un maximum de deux langues autres que l'anglais. Sous la direction du rédacteur en chef Michael Chibnik et plus récemment de Deborah Thomas, l’American Anthropologist a proposé d’inclure les manuscrits originaux, avant leur traduction en anglais, sur un site Web associé à la revue. Malgré ces bonnes intentions, cela ne s’est pas encore concrétisé. Pour sa part, la Société pour l’Amérique latine et les Caraïbes (SLACA), une section de l’AAA, a périodiquement permis aux universitaires de présenter leurs communications en espagnol. Enfin d’autres rédacteurs de revues, comme ce fut mon cas lorsque j’étais éditrice responsable de l’American Ethnologist entre 2002 et 2007, autorisent théoriquement la soumission de manuscrits dans des langues autres que l'anglais et, dans certains cas, envoient même ces manuscrits à des collègues pour examen, mais cela ne se produit que dans les cas où l'éditeur estime que la chance de trouver des pairs examinateurs capables d’évaluer un manuscrit dans ces langues (telles que l'espagnol) est grande, et le manuscrit est toujours traduit en anglais pour publication. Bref, nous, les anthropologues américains, sommes justement accusés d'hégémonisme linguistique, car nous insistons pour que l'anglais soit la langue prédominante dans les publications et les présentations dans les colloques et congrès scientifiques. Cela désavantage les chercheurs dont l'anglais n'est pas la langue maternelle, les pairs examinateurs ne pouvant s'empêcher d'être influencés par les nuances du style discursif. De plus, les revues anglophones en anthropologie ont de loin les facteurs d’impact les plus importants, reflétant (même imparfaitement) la fréquence avec laquelle les publications de langue anglaise sont citées et influençant du coup la pensée des chercheurs à travers le monde. Nous savons par ailleurs combien la publication dans une des revues de l’AAA est recherchée par les universitaires. L’un des récents moyens que nous avons développé pour corriger ce biais consiste dans un nouvel instrument – le référentiel ouvert de recherche en anthropologie, The Open Anthropology Research Repository (OARR), qui servira de plateforme accessible au monde entier pour déposer des documents de recherche, des rapports techniques, des présentations de conférences, des plans de cours, dans n'importe quelle langue. À la différence de Researchgate et Academia.edu, qui appartiennent à des sociétés commerciales et exploitent activement les données des utilisateurs pour promouvoir l'utilisation et la vente de publicité, l'OARR est construit avec l'aide d'un groupe consultatif international composé de l'Union mondiale d'anthropologie (WAU), de l’Institut royal d'anthropologie (RAI), de l’Association américaine des anthropologues physiques (AAPA), de la Société pour l'archéologie américaine (SAA), de la Société pour l'anthropologie appliquée (SfAA) ainsi que de la Société linguistique d'Amérique. Le but étant d’élargir la diffusion du savoir.
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