Добірка наукової літератури з теми "Dommages de guerre – Hauts-de-France (France)"

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Статті в журналах з теми "Dommages de guerre – Hauts-de-France (France)":

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Toureille, Valérie. "Violence des gens de guerre. L’enquête pour dommages de Luxeuil (1444-1445)." Revue du Nord 446, no. 2 (March 14, 2023): 411–27. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.1446.0411.

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Анотація:
En 1444, en préambule aux Conférences de Châlons entre la France et la Bourgogne sur les manquements diplomatiques consécutifs au traité d’Arras (1435), le duc de Bourgogne fait mener plusieurs enquêtes sur les excès commis par l’armée royale sur ses terres, en particulier en Franche-Comté. L’enquête conduite sur le territoire de Luxeuil révèle par la voix des populations civiles les pillages, les rançons et les violences physiques dont elles ont été les victimes.
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Baril, Quentin, and Nicolas Samuelian. "Des vestiges méconnus de la Seconde Guerre mondiale : les tranchées-abris du programme de défense passive." Revue d'archéologie contemporaine N° 2, no. 1 (October 23, 2023): 145–58. http://dx.doi.org/10.3917/raco.002.0145.

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Анотація:
En France, de nombreuses traces témoignent, encore aujourd’hui, du programme national de défense passive mis en place dès le début des années 1930. Son rôle était d’assurer la protection des civils contre les attaques aériennes en temps de guerre grâce à un certain nombre de mesures préventives, notamment la construction ou le renforcement de réseaux souterrains (caves, abris ou tranchées). Les vestiges de cette organisation défensive, qui ont parfois peu marqué la mémoire collective, se signalent aujourd’hui discrètement dans le paysage urbain ou rural, lorsqu’ils n’ont pas complètement disparu. Quelques exemples archéologiques récents et choisis permettent de redécouvrir ces témoignages matériels, à travers les fouilles d’Olonne-sur-Mer (Vendée) l et de Sauveterre-de-Guyenne (Gironde) m et le diagnostic de Nanterre (Hauts-de-Seine) n .
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Flamme, Adrien. "Les écoles normales de Douai et la Grande Guerre." La Gazette des archives 258, no. 2 (2020): 165–74. http://dx.doi.org/10.3406/gazar.2020.5976.

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Анотація:
Le service d’archives de l’université de Lille (INSPE, académie de Lille – Hauts-de-France) conserve les documents des établissements qui ont formé les enseignants dans le Nord et le Pas-de-Calais depuis près de deux siècles. Toutes ces archives sont aujourd’hui classées, ce qui permet de mener des actions de valorisation. Le site de formation de Douai est très ancien : son histoire débute avec la création de l’école normale d’instituteurs en 1834. Afin de valoriser son histoire, une exposition a été imaginée sur le thème de la Grande Guerre par le service d’archives et la bibliothèque universitaire (Douai). Toutefois, les organisateurs n’ont pas souhaité proposer une simple exposition sur le conflit : ils voulaient évoquer l’histoire des écoles normales au cours de cette période. Ils ont voulu rendre l’exposition accessible à tous les âges et accueillir des classes d’école primaire. La visite des enfants répond à la volonté de donner des pistes pour l’étude de la Grande Guerre en classe. Pour le service d’archives, leur accueil était une activité inédite. L’exposition a été un succès et illustre la complémentarité des services participants à la manifestation. Pour le service d’archives, il s’agit d’une plus-value non négligeable car elle lui donne une meilleure visibilité.
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De Blois, Solange. "Les moulins de Terrebonne (1720-1775) ou les hauts et les bas d’une entreprise seigneuriale." Revue d'histoire de l'Amérique française 51, no. 1 (August 26, 2008): 39–70. http://dx.doi.org/10.7202/305622ar.

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RÉSUMÉ Cet article aborde un thème jusqu'ici négligé par les historiens de la Nouvelle-France : celui de l'industrie et de son destin au dix-huitième siècle. Terrebonne est, dès 1721, dotée de puissants moulins produisant farines et bois pour l'exportation et le marché intérieur. L'entreprise connaît un succès inégal au long de la période observée. L'administration de l'abbé Louis Lepage s'étend de 1720 à 1744 et s'achève par la faillite du propriétaire de Terrebonne. L'arrivée du nouveau seigneur, Louis de La Corne, coïncide avec le début de la guerre de Succession d'Autriche. La situation est évidemment plus favorable aux entrepreneurs. Mais la réussite des La Corne dépend aussi d'autres facteurs. À l'encontre de Louis Lepage, ils ont d'autres sources de revenus que Terrebonne et leurs entreprises industrielles s'appuient sur une solide fortune foncière. De plus, ils font partie d'un réseau complexe et étendu d'alliances.
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Prévot, Maryvonne. "Convergences maghrébines autour d'Alain. Savary, secrétaire d'Etat aux affaires marocaines et tunisiennes en 1956." Revue historique o 123, no. 3 (March 1, 1999): 507–36. http://dx.doi.org/10.3917/rhis.g1999.123n3.0507.

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Анотація:
Résumé Quand le socialiste Alain Savary, né à Alger en avril 1918, devient pour la première fois secrétaire d'État aux Affaires marocaines et tunisiennes, il possède déjà une solide expérience de la situation en Afrique du Nord, grâce aux réseaux d'amitié et d'information qu'il a tissés depuis l'enfance et la seconde guerre mondiale, dans ces territoires et en métropole. Conscient de ces atouts, Pierre Mendès France a recours aux compétences diplomatiques de Savary en 1954, pour mener à bien les discussions sur l'autonomie interne de la Tunisie avec Habib Bourguiba. Les convergences de vues sont nombreuses entre Savary, certains intellectuels chrétiens et des membres du MRP qu'il retrouve sur les bancs de l'Assemblée de l'Union française ou au sein du Comité France-Maghreb en 1953. Ensemble, ils dénoncent l'engrenage de la violence et de la répression, prônant une politique de dialogue utile, le respect des droits de l'Homme et de la parole donnée. Ils trouvent des relais parmi des hauts fonctionnaires comme Léon Marchai ou Pierre Châtenet. Les négociations, qui aboutissent à l'indépendance du Maroc et de la Tunisie au printemps 1956, s'expliquent par la situation militaire sur le terrain. La France n'est pas en mesure de mater une rébellion qui s'étendrait à l'ensemble de l'Afrique du Maghreb et la contagion du conflit algérien s'accentue. Alain Savary et ses collaborateurs vont néanmoins tenter dans ces conditions difficiles de donner un contenu novateur aux rapports tendus qui continuent de lier la France à ses deux anciens protectorats, notamment par le biais d'un projet d'assistance technique. Mais la situation algérienne paralyse son action et Savary démissionne du gouvernement en octobre 1956 pour protester contre l'arraisonnement par des militaires français des principaux leaders du FLN en partance pour Tunis. Par ce geste, il pose son refus de toute politique du fait accompli par la force.
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Heller, Sarah-Grace. "Mocking Medieval French Fashion." French Historical Studies 43, no. 2 (April 1, 2020): 145–66. http://dx.doi.org/10.1215/00161071-8018441.

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Анотація:
Abstract A debate poem (partimen PC 16,17) from the early thirteenth century richly demonstrates attitudes toward medieval French fashion, debating who was better, the “French” of France and England for their sumptuous apparel and generous feasts or the “Catalan” Occitan speakers for whom acquisition meant jovial pillage. Fashion appears as a preoccupation of the north, in contrast with southern poverty. Examined in context with political sirventes poems celebrating plunder, the Chanson de la croisade albigeoise (ca. 1210–12), which expresses pathos through clothing tropes, and the hyperbolic fair in Flamenca (ca. 1223), this study places these representations in the context of the military culture of Languedoc and Provence and its developing markets. This troubadour mockery of pretentious French display also expresses implicit envy and criticizes the damage the pillage ideal imposed on the fashion economy of the Midi. Un partimen (PC 16,17) du début du treizième siècle présente un aperçu très riche des attitudes à l'égard de la mode française médiévale, en mettant en débat la question suivante: qui étaient les meilleurs, les « Français » de France et d'Angleterre avec leurs somptueux habits et leurs fêtes généreuses, ou bien les « Catalans » (à savoir les Occitans situés de chaque côté des Pyrénées), qui acquéraient des objets en pillant plutôt qu'en les achetant ? A cette époque, la mode apparaît davantage comme une préoccupation en région septentrionale qu'en région méridionale, plus pauvre. En comparant des sirventes politiques célébrant le pillage et le pathos vestimentaire dans la Chanson de la croisade albigeoise (c. 1210–12) et la foire hyperbolique dans Flamenca (c. 1223), cette étude situe ces représentations dans le contexte des guerres et des industries textiles naissantes en Languedoc et en Provence. Le rire troubadour vis-à-vis de l'ostentation française trahit la convoitise des Occitans à l'égard des Français tout en critiquant aussi les dommages occasionnés par l'idéal de pillage sur l'économie de la mode dans le Midi.

Дисертації з теми "Dommages de guerre – Hauts-de-France (France)":

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Greuet, Mathilde. "Les ruines de guerre dans les Hauts-de-France, 1921 - 2023." Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2024. http://www.theses.fr/2024ULILH002.

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Анотація:
La thèse se situe à la croisée de deux champs historiographiques : d'une part, l'historiographie de la guerre et de l'après-guerre, d'autre part, les Cultural Heritage studies. Au cours de ces recherches, nous nous proposons de suivre le destin de plusieurs ruines de guerre dans la région Hauts-de-France afin d'étudier des cas représentatifs des différents usages politiques et sociaux qui sont faits des ruines de guerre entre la destruction des édifices et nos jours. Au xxe siècle, un renouveau s'opère dans la volonté de conserver les ruines de guerre. En effet, au cours de la Première Guerre mondiale, des débats apparaissent concernant la conservation de certaines ruines et les modalités de la reconstruction en général. Malgré l'importance des ruines de guerre et des débats à l'époque, peu d'édifices sont conservés comme « Vestiges et souvenirs de guerre ». Au cours de la reconstruction, les ruines font l'objet d'un intérêt de la part des pèlerins et touristes qui viennent découvrir les anciens champs de bataille et s'y recueillir. Malgré cela, la liste des ruines et vestiges de guerre à conserver se réduit peu à peu pour faciliter la reconstruction. À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, le ministère de la reconstruction et de l'urbanisme (MRU) doit permettre la reconstruction du pays. Malgré tout, un certain nombre de ruines de guerre reste dans les paysages et connaît des sorts variables. Certaines sont arasées ou enfouies sous de nouveaux bâtiments au cours de la reconstruction et des opérations d'urbanisme des années 1960 et 1970. D'autres destructions sont abandonnées et sont naturellement recouvertes de végétation. Dans la plupart des cas, on assiste à la disparition progressive des vestiges due à l'abandon et au temps. Malgré tout, des ruines de guerre restent visibles dans nos paysages actuels des Hauts-de-France. Cela pose la question de l'évolution de la prise en charge et de la reconnaissance des ruines de guerre au cours des xxe et xxie siècles, mais aussi la question de l'enjeu des conservations de ces ruines sur les territoires. Pour comprendre les différentes dynamiques mises en place, nous nous proposons d'étudier des cas représentatifs de la gestion des ruines de guerre au cours du dernier siècle : Les blockhaus des Weppes, le "Red chateau" de Villers-Bretonneux, les ruines du Chemin des Dames et celles de la Somme, le cas des monuments aux morts dont celui de Noyon, les ruines d'Amiens, l'abbaye de Vauclair, le blockhaus d'Éperlecques et enfin la batterie côtière de la Crèche. Ces exemples permettent de donner à voir différentes prises en charge, ainsi que les débats et les choix de préservation auxquels ils mènent et les évolutions de reconnaissance sur le long terme
The thesis is focused on two historiographical fields: on the first hand, the historiography of the war and the post-war period, and on the other hand, Cultural Heritage studies. For this research, we intend to follow the fate of several war ruins in the Hauts-de-France area in order to study representative cases of the different political and social uses that are made of war ruins from the destruction of buildings to nowadays. In the 20th century, a renewal took place in the desire to preserve war ruins. During the First World War, debates appeared in France concerning the conservation of certain ruins and the modalities of reconstruction in general. Despite the importance of war ruins and debates about them at the time, few buildings are preserved as “Remains and Memories of War” after the war. During the reconstruction, pilgrims and tourists who came to discover the ancient battlefields and to meditate there were interested in the ruins. Despite this, the list of ruins and war vestiges which were supposed to be preserved was gradually reduced to facilitate reconstruction.At the end of the Second World War, the Ministry of Reconstruction and Urban Planning (MRU) was responsible for the reconstruction of the country. Despite everything, a certain number of war ruins remained in the landscape and experienced variable fates. Some were leveled off or buried under new buildings during the reconstruction or town planning operations of the 1960s and 1970s. Other destructions were abandoned and were naturally covered with vegetation. In most cases, we witness the gradual disappearance of the remains due to abandonment and time. Despite everything, war ruins remain visible in our current landscapes in Hauts-de-France. This raises the question of the evolution of the management and recognition of war ruins during the 20th and 21st centuries, but also the question of the challenge of conserving these ruins in the territories. To understand the different dynamics put in place, we propose to study representative cases of the management of war ruins over the last century: The Weppes bunkers, the "Red château" of Villers-Bretonneux, the ruins of Chemin des Dames and those of the Somme, the case of the war memorials to the deads including Noyon's one, the ruins of Amiens, the abbey of Vauclair, the bunker of Éperlecques and finally the Crèche's coastal battery. These examples allow us to show different types of support, as well as the debates and preservation choices to which they lead and the developments in recognition over the long term
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Padiou, Nicolas. "Dispersi sunt lapides sanctuarii : la reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle après la Première Guerre Mondiale (1918-1933)." Paris, EPHE, 2010. http://www.theses.fr/2010EPHE4027.

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Après la séparation des Eglises et de l'Etat (1905), les communes françaises n'étaient plus autorisées à financer la construction de nouvelles églises ou à assumer les grosses réparations des églises qui leur appartenaient déjà. Face aux critiques des catholiques, l'Etat a classé de nombreuses églises comme monuments historiques pendants les années 1905-1914, permettant ainsi aux communes de les entretenir pour des raisons patrimoniales et plus culturelles. Investies d'une forte dimension nationale, les églises ont joué un rôle très important dans la propagande de guerre des différents pays belligérants en 1914-1918. Contrairement à ce qu'affirmait la propagande française, les églises ne semblent pas avoir fait l'objet d'un acharnement particulier de la part des armées allemandes. A l'issue du conflit, l'Etat français a mis en place un système d'indemnisation des dommages de guerre très complexe. Pour compléter ce système, le chanoine Emile Thouvenin a fondé en 1919, une coopérative de reconstruction dans chaque commune détruite du département de Meurthe-et-Moselle. Avec l'appui de la préfecture, il a créé, en 1921, une coopérative vouée à la reconstruction des églises du diocèse de Nancy; Cette coopérative oeuvre souvent en marge de la loi de séparation des Eglises et de l'Etat et de la loi sur les dommages de guerre. L'initiative du chanoine Thouvenin n'avait cependant pas pour but de contourner la législation en vigueur: il s'agissait surtout d'accélerer le processus d'indemnisation des dommages et d'approbation des projets de reconstruction des églises. L'implication des autorités officielles dans la reconstruction des églises avait par ailleurs l'avantage de rendre à l'Eglise une partie de son rôle d'instituion officielle. Lors des cérémonies de consécration des églises reconstruites, les élites civiles et religieuses de Meurthe-et-Moselle se sont constamment attachées à perpétuer l'esprit de l'Union sacrée, même pendant le Cartel des Gauches (1924-1925) marqué par un regain d'anticléricalisme. Par ailleurs, le chanoine Thouvenin s'est plus intéressé aux aspects: certaines d'entre elles sont des copies conformes des édifices néo-romans ou néogothiques d'avant-guerre, d'autres apparaissent résolument modernes
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Skora, Sylvain. "La reconstruction de la Champagne méridionale après la guerre de Trente Ans (1635-1715)." Thesis, Dijon, 2015. http://www.theses.fr/2015DIJOL025.

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Les confins méridionaux et orientaux de la Champagne, correspondant approximativement à la Haute-Marne actuelle, ont été touchés de plein fouet par la guerre de Trente Ans, en raison de leur position frontalière avec deux redoutables ennemis, la Franche-Comté et la Lorraine. La guerre ouverte entre la France et les Habsbourg en 1635 ne s’est d’ailleurs pas interrompue en 1648, aux traités de Westphalie, mais s’est prolongée jusqu’en 1659-1660 contre l’Espagne et le duc Charles IV de Lorraine.Après vingt-cinq années de conflit, on peut s’interroger sur le degré de destruction subi par le Bassigny et la Montagne langroise. Le célèbre Journal du curé d’Hortes Clément Macheret, qui narre les désastres survenus pendant cette période, demeure pour l’historien un témoignage incontournable, mais il subsiste de nombreuses autres sources archivées qui permettent d’approfondir l’enquête. Le règne personnel de Louis XIV, qui s’étend de 1661 à 1715, correspond à la phase de reconstruction de la Champagne méridionale. Plusieurs questions demeuraient à ce jour sans réponse : - Quelle a été l’ampleur des dévastations et des pertes démographiques suite à la guerre de Trente Ans ? - Quel a été le rythme du relèvement après 1660, et à partir de quelles ressources humaines et économiques ? - Comment s’est opérée la reconstruction matérielle de la région ? Il s’agit de comprendre quels facteurs ont favorisé, ou au contraire freiné, le redressement champenois durant cette période. La comparaison avec d’autres provinces dévastées au cours de cet interminable conflit, comme la Lorraine, l’Alsace ou la Franche-Comté, peut également être éclairante. Peu étudiée par les historiens de la Champagne, cette récupération laborieuse de la seconde moitié du XVIIe siècle a pourtant, à bien des égards, enfanté le bel essor démographique et économique du siècle des Lumières
Champagne’s southern and eastern borders, approximately within today’s Haute-Marne, were severely hit by the Thirty Years’War, due mainly to their frontier position with two fearsome foes, Franche-Comté and Lorraine. The open war between France and the Habsburgs in 1635 didn’t however come to an end in 1648, after the Peace of Westphalia, but dragged on until 1659-60 against Spaniards and Charles IV, Duke of Lorraine. Following a twenty-five-year old conflict, the point at issue is to what extent Bassigny and the Plateau de Langres were destroyed. Historians can rely on the famous Journal by the parish priest of Hortes Clément Macheret relating that period’s disasters, but many other archives can lead on to further research. Louis XIV’s personal reign (1661-1715) spans the reconstruction period of southern Champagne. Several questions still remain unanswered today : - How important were the devastations and demographic losses caused by the Thirty Years’War ?- How fast was the recovery after 1660, and from what human and economic resources ? - How did people manage to rebuild their region ? The question at stake is to understand what factors have favoured or, on the contrary slowed down the reconstruction of Champagne during that period. The comparison with other damaged provinces, such as Lorraine, Alsace or Franche-Comté throughout that endless conflict, may be also helpful. Although it hasn’t been much studied by the historians of Champagne, this difficult recovery during the second half of the 17th century has, in many ways, given birth to the fine demographic and economic surge of the Enlightenment
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Kireche, Nordine. ""Garder le contrôle" : les politiques municipales à Nanterre de l'après-guerre à nos jours face à la désindustrialisation, aux conflits avec l'Etat et aux transformations du peuplement de la ville." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2014. http://www.theses.fr/2014IEPP0003.

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Cette thèse est une contribution à l'analyse de décennies de recompositions sociales et politiques dans les anciens espaces industriels aux portes de Paris. La question qui a structuré ce travail est celle des manières dont plusieurs générations d'élus communistes de la région parisienne ont pu se maintenir au pouvoir dans le temps, malgré un ensemble de déstabilisations internes (via les transformations de la base sociale de leurs villes), et externes (à travers la dépendance de ces territoires à Paris ainsi qu'à un ensemble de transformations économiques, institutionnelles et politiques de portée nationale). Ce travail a été mené sous la forme d'une monographie de Nanterre. Cette ville, de par son histoire sociale, politique et sa géopolitique particulière constitue en effet un cas propice à l'étude de ces villes comme des systèmes sous pression, contraints aux changements. La direction de cette ville a certes été reconduite sous les couleurs du P.C.F jusqu'aux élections municipales de 2008, mais elle a également muté, en témoigne le départ du maire de la ville du P.C.F en 2010. Nous avons montré au fil de ce travail, grâce au passage par la sociologie de l'action publique, que ce changement d'étiquette politique n'est qu'un aspect d'un ensemble plus vaste d'adaptations des pratiques de ces élus. Les données produites permettent en effet de suivre près d'un demi-siècle d'adaptation de la stratégie électorale et des politiques municipales des différentes générations d'élus issus du P.C.F qui se sont succédées, dans le but de s'adapter aux changements d'environnement de la ville et ainsi conserver sa direction
This thesis is about decades of social and political tranformations in the formerly Paris'"red belt", and come into the framework of local studies about french communist party. I tried to understund how generations of communists local representatives stayed in power despite of important constraints: disputes with State representatives about territorial development, tranformation of the local and regional economy (from industry to service sector), immigration, and gentrification.The project took the form of a monography of Nanterre, wich has been selected as a model of city forced to change. It's political elites have shown capabilities to resist to these changes, as aptitudes of adaptation, illustrated by their decision to distance themeselves from the communist party in 2010.This combination of resistance and adaptations explains the longevity of this political elite. Thanks to the theorical framework of sociology of public action, I've demonstrated that this political change is only one aspect of numerous adaptations, from political strategy to municipal policies, during the last decades
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Padiou, Nicolas. "Dispersi sunt lapides sanctuarii. La reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle après la Premiere Guerre Mondiale (1918-1933)." Doctoral thesis, Saechsische Landesbibliothek- Staats- und Universitaetsbibliothek Dresden, 2012. http://nbn-resolving.de/urn:nbn:de:bsz:14-qucosa-85693.

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Nach der Trennung von Kirche und Staat (1905), waren die französischen Städte nicht länger autorisiert, den Bau von neuen Kirchen zu finanzieren oder sich um die Instandhaltung derjenigen Kirchen zu kümmern, die diesen bis dahin unterstellt waren. Konfrontiert mit Kritik von Seiten der Katholischen Kirche, stufte der französische Staat während der Jahre 1905-1914 viele Kirchen als offizielle historische Monumente ein. Dadurch wurde den Städten erlaubt, ihre Kirchen unter dem Vorsatz der Erhaltung des nationalen Erbes instand zu halten. Ausgestattet mit einem hohen Maß an nationaler Größe, hatten Kirchen eine bedeutende Rolle in der Kriegspropaganda vieler kriegsführender Staaten gespielt. Im Gegensatz zur französischen Propaganda, waren die Kirchen scheinbar nicht vornehmlich durch die deutschen Armeen zerstört worden. Nach dem Krieg führte der französische Staat ein sehr komplexes System zur Entschädigung von Kriegsschäden ein. Im Jahr 1919 gründete der Kanoniker Émile Thouvenin eine Kooperative zum Wiederaufbau in jeder Gemeinde im Departement von Meurthe-et-Moselle. Mit der Unterstützung der Präfektur, rief er 1921 eine Kooperative ins Leben, welche dem Wiederaufbau der Kirchen in der Diözese Nancy galt. Dieses Unternehmen wanderte oft auf dem schmalen Grat zwischen dem Gesetz zur Trennung von Kirche und Staat und dem Gesetz über Kriegsschäden. Gleichwohl bestand das Anliegen dieser Initiative nicht darin, das Gesetz zu umgehen: In erster Linie war es darauf ausgerichtet, den Prozess des Ausgleichs von Zerstörungen und den der Bauzulassung für Projekte zum Wiederaufbau von Kirchen zu beschleunigen. Die Beteiligung von offizieller Hand hatte zusätzlich den Vorteil der Rückkehr der Kirchen in ihre Rolle als offizielle Institution. Während der Einweihungsfeiern von wiederaufgebauten Kirchen waren die zivilen und kirchlichen Eliten von Meurthe-et-Moselle beständig angehalten, den Geist des ‚geheiligten Bundes‘ (Union sacrée) sogar während der antikirchlichen Phase des linken Flügels des Cartel des Gauches (1924-1925) zu bewahren. Darüber hinaus zeigte der Kanoniker Thouvenin mehr Interesse an finanziellen und institutionellen Fragen als an der Stilart der Kirchen. Einige von diesen sind Kopien der neuromanischen oder neugotischen Kirchen, die vor dem Krieg gebaut wurden während andere deutlich moderner wirken
Après la séparation des Eglises et de l’Etat (1905), les communes françaises n’étaient plus autorisées à financer la construction de nouvelles églises ou à assumer les grosses réparations des églises qui leur appartenaient déjà. Face aux critiques des catholiques, l’Etat a classé de nombreuses églises comme monuments historiques pendant les années 1905-1914, permettant ainsi aux communes de les entretenir pour des raisons patrimoniales et plus cultuelles. Investies d’une forte dimension nationale, les églises ont joué un rôle très important dans la propagande de guerre des différents pays belligérants en 1914-1918. Contrairement à ce qu’affirmait la propagande française, les églises ne semblent pas avoir fait l’objet d’un acharnement particulier de la part des armées allemandes. À l’issue du conflit, l’Etat français a mis en place un système d’indemnisation des dommages de guerre très complexe. Pour compléter ce système, le chanoine Emile Thouvenin a fondé, en 1919, une coopérative de reconstruction dans chaque commune détruite du département de Meurthe-et-Moselle. Avec l’appui de la préfecture, il a créé, en 1921, une coopérative vouée à la reconstruction des églises du diocèse de Nancy. Cette coopérative œuvra souvent en marge de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat et de la loi sur les dommages de guerre. L’initiative du chanoine Thouvenin n’avait cependant pas pour but de contourner la législation en vigueur : il s’agissait surtout d’accélérer le processus d’indemnisation des dommages et d’approbation des projets de reconstruction des églises. L’implication des autorités officielles dans la reconstruction des églises avait par ailleurs l’avantage de rendre à l’Eglise une partie de son rôle d’institution officielle. Lors des cérémonies de consécration des églises reconstruites, les élites civiles et religieuses de Meurthe-et-Moselle se sont constamment attachées à perpétuer l’esprit de l’Union sacrée, même pendant le Cartel des Gauches (1924-1925) marqué par un regain d’anticléricalisme. Par ailleurs, le chanoine Thouvenin s’est plus intéressé aux aspects financiers et institutionnels qu’au style des églises reconstruites : certaines d’entre elles sont des copies conformes des édifices néo-romans ou néogothiques d’avant-guerre, d’autres apparaissent résolument modernes
After the separation of Church and State (1905), French towns were no longer authorized to finance the construction of new churches, or the major repairs of churches that already belonged to them. Faced with criticism from the Catholics, the French State classified many churches as official historical monuments during the years 1905-1914, thus enabling the towns to repair their churches for the purpose of preserving the nation’s heritage. Invested with a strong national dimension, churches have played an important role in the war propaganda of the various belligerent countries. Contrary to French propaganda, the churches were apparently not destroyed by the German armies in particular. After the conflict, the French State established a very complex system of compensation for war damages. In 1919, the canon Émile Thouvenin founded a reconstruction cooperative in each municipality of the department of Meurthe-et-Moselle. With the support of the préfécture, he created in 1921 a cooperative devoted to the reconstruction of churches in the diocese of Nancy. This cooperative worked often on the very edge between the Law of Separation and the Law on War Damages. This initiative’s intention, however, was not to avoid the law: It was first of all created to accelerate the process of compensation for damages and the approval of projects for rebuilding churches. The involvement of the official authorities had the additional advantage of returning the Church to its role as official institution. During the consecration ceremonies of rebuilt churches, civil and religious elites of Meurthe-et-Moselle were constantly attached to perpetuate the spirit of the Sacred Union, even during the anticlerical phase of the Left-Wing ‘Cartel des Gauches’ (1924-1925). Furthermore, canon Thouvenin had shown more interest in the financial and institutional questions than in the style of churches. Some of them are copies of the Neo-Romanesque or Neo-Gothic churches built before the war while others seems definitely modern
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Ulrich-Pier, Raphaële. "René Massigli (1888-1988) : une vie de diplomate." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010538.

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René Massigli a eu une riche carrière dans la diplomatie française (1916-56). Entre les deux guerres, il assiste à de nombreuses conférences internationales et se spécialise dans les questions de la Société des Nations. Dans les années 1930, au ministère des Affaires étrangères, il incarne l'opposition à l'apaisement face aux dictatures. Éloigné après les accords de Munich, ambassadeur en Turquie en 1939-40, mis en disponibilité par Vichy, il rejoint la France Libre début 1943, comme commissaire aux Affaires étrangères de De Gaulle. Ambassadeur à Londres (1944-54), il prend position dans les débats sur la guerre froide et la construction européenne: pour une forte relation franco-britannique et contre l'Europe fédérale à six. Il termine sa carrière comme secrétaire général du Quai d'Orsay. À travers sa biographie, on cherche à mesurer le rôle que peut jouer un haut fonctionnaire de caractère dans le système diplomatique et dans les grands débats de la politique extérieure française.
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Delon, Margot. "Les incidences biographiques de la ségrégation : trajectoires et mémoires des enfants des bidonvilles et cités de transit de l’après-guerre en France." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2017. http://www.theses.fr/2017IEPP0012.

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Que sont devenus les enfants des bidonvilles et cités de transit de l’après-guerre en France ? Alliant entretiens, observations, archives et statistiques, la thèse reconstitue les expériences et les trajectoires d’individus d’origines algérienne, marocaine et portugaise ayant grandi dans les bidonvilles et cités de Nanterre et de Champigny-sur-Marne, en Île-de-France. Elle rend compte de leur vécu dans ces formes d’habitat précaires, ségrégées et stigmatisées qui ont duré de nombreuses années en insistant sur la diversité des expériences résidentielles et donc de leurs effets socialisateurs. De fait, les anciens enfants des bidonvilles et cités ont connu des trajectoires variées et n’interprètent pas cet épisode de la même façon. Quatre profils sont analysés : le reproduction des inégalités, les petites promotions locales, la reproduction de l’isolement et les ascensions sociales individuelles. La divergence de ces parcours tient à deux ensembles de facteurs. D’une part, ces familles ont été des cibles privilégiées des politiques nationales et municipales de l’habitat et de l’immigration. En catégorisant et en traitant différemment les bidonvilles et cités de transit selon l’origine de leurs habitants et leur localisation, ces politiques publiques ont eu des effets de court, moyen et long terme très importants. D’autre part, les trajectoires de ces descendants d’immigrés ont été forgées par les ressources et les dispositions antérieures à la migration de leurs parents ainsi que par les contextes relationnels dans lesquels ils ont évolué dans les bidonvilles et les cités de transit
What has become of children living in slums in Post-War France? Drawing from an investigation based on interviews, observations, archive work and statistics, I analyze in this dissertation the experiences and trajectories of individuals of Algerian, Moroccan and Portuguese descent who grew up in slums in Nanterre and Champigny-sur-Marne slums (Île-de-France region). I explain what it may have meant to live all these years in such a deprived, segregated and stigmatized form of housing and I insist on the diversity of residential experiences and of socialization effects. Indeed, previous slum children have known various trajectories and they don’t interpret this episode in the same way. Four profiles are analyzed: the reproduction of inequalities, the moderate mobilities, the reproduction of isolation, the upward trajectories. Two series of factor explain these differences. First, these families have first been targeted by national and local policies of housing and migration. By categorizing and treating differently slums depending on their inhabitants’ origins and on their location, these public policies have had very important short, mean and long time effects. Second, the trajectories have also been formed by their parents’ pre-migration resources and dispositions and by the relational contexts they evolved in while being in slums
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Pitti, Laure. "Ouvriers algériens à Renault-Billancourt, de la guerre d'Algérie aux grèves d'OS des années 1970 : contribution à l'histoire sociale et politique des ouvriers étrangers en France." Paris 8, 2002. http://www.theses.fr/2002PA082199.

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L'objet de cette thèse est d'étudier l'histoire des Algériens en France sous son versant ouvrier. L'usine Renault de Billancourt a été choisie comme cadre de l'étude à double titre : elle est, à partir de 1946, l'usine qui, en France, emploie le plus grand nombre d'Algériens ; principale usine de Renault, entreprise nationalisée, elle met en présence trois acteurs : gouvernement, direction, ouvriers. Ouvrier pouvant s'entendre dans une double acception (professionnelle et politique) et l'espace de l'usine être défini à la fois comme espace de production et de luttes, ces deux axes guident la recherche. La période étudiée diffère ainsi selon l'axe considéré : 1946-1974 pour ce qui est de l'évolution de l'emploi des Algériens à Renault et plus largement dans le secteur automobile ; 1954-1975 pour ce qui est des luttes d'usine. Cette recherche s'appuie sur des rapports émanant de la Direction du Personnel de l'entreprise ; sur le traitement statistique d'un échantillon de 1000 ouvriers algériens embauchés à Billancourt entre 1950 et 1973 ; sur des archives syndicales et de groupes militants ; enfin sur une enquête orale auprès d'ouvriers algériens et/ou de militants de l'usine. L'histoire du recrutement des Algériens à Billancourt, au croisement de l'évolution des modes de production de l'automobile et des processus migratoires, est l'objet de la première partie. Au travers de l'étude des trajectoires professionnelles (classifications, travail, carrières) menée à partir de l'échantillon, je montre ensuite que les ouvriers algériens sont à Billancourt assignés à un statut d'OS et font l'objet d'une gestion différenciée comme coloniaux d'abord, étrangers ensuite. J'analyse enfin, au travers de trois séquences d'actions collectives : la lutte de libération nationale algérienne, la grève de mai-juin 1968 et les grèves d'OS du début des années 1970, l'évolution des motifs d'engagement et des formes de regroupement des ouvriers algériens dans l'espace de l'usine qui entre, en partie, en résonance avec cette gestion différenciée
The purpose of this PhD is to study the history of the Algerians in France on its labour side. I chose Renault-Billancourt factory as a place of study for two reasons : from 1946 it is the factory which, in France, employs the greatest number of Algerians ; main Renault factory, nationalized enterprise, it puts face to face three protagonists : government, management, workers. As one can take worker in two meanings (professional or political) and the factory as much as a place of production as a place of struggles, both lines guide the research. The studied period differs function of the considered line : 1946-1974 for the evolution of Algerians' employment at Renault and the car industry as a whole ; 1954-1975 for the factory struggles. This research rests on reports from the Personnel Management of the enterprise ; statistical treatment of a sample of 1000 Algerian workers hired at Billancourt between 1950 and 1973 ; trade-unions and militant groups archives ; and finally an oral survey of Algerian workers and/or factory militants. The first part of the PhD deals with the history of Algerian workers recruitment at Billancourt, which crosses the evolution of modes of production in the car industry and migratory process. Through the study of professional trajectories (job classifications, work, careers) conducted from the sample, I show that Algerian workers in Billancourt are assigned to an unskilled worker (OS) status and that Renault applies a differentiated management policy to them first as colonized, second as foreigners. Lastly, I analyse through three collective actions sequences : the Algerian national liberation struggle, the may-june 1968 strike and the unskilled workers (OS) strike at the begining of the 1970's, the evolution of the Algerian workers committments and forms of gathering in the factory. It partly resounds with this differentiated management policy
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Padiou, Nicolas. "Dispersi sunt lapides sanctuarii. La reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle après la Premiere Guerre Mondiale (1918-1933)." Doctoral thesis, 2009. https://tud.qucosa.de/id/qucosa%3A25956.

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Nach der Trennung von Kirche und Staat (1905), waren die französischen Städte nicht länger autorisiert, den Bau von neuen Kirchen zu finanzieren oder sich um die Instandhaltung derjenigen Kirchen zu kümmern, die diesen bis dahin unterstellt waren. Konfrontiert mit Kritik von Seiten der Katholischen Kirche, stufte der französische Staat während der Jahre 1905-1914 viele Kirchen als offizielle historische Monumente ein. Dadurch wurde den Städten erlaubt, ihre Kirchen unter dem Vorsatz der Erhaltung des nationalen Erbes instand zu halten. Ausgestattet mit einem hohen Maß an nationaler Größe, hatten Kirchen eine bedeutende Rolle in der Kriegspropaganda vieler kriegsführender Staaten gespielt. Im Gegensatz zur französischen Propaganda, waren die Kirchen scheinbar nicht vornehmlich durch die deutschen Armeen zerstört worden. Nach dem Krieg führte der französische Staat ein sehr komplexes System zur Entschädigung von Kriegsschäden ein. Im Jahr 1919 gründete der Kanoniker Émile Thouvenin eine Kooperative zum Wiederaufbau in jeder Gemeinde im Departement von Meurthe-et-Moselle. Mit der Unterstützung der Präfektur, rief er 1921 eine Kooperative ins Leben, welche dem Wiederaufbau der Kirchen in der Diözese Nancy galt. Dieses Unternehmen wanderte oft auf dem schmalen Grat zwischen dem Gesetz zur Trennung von Kirche und Staat und dem Gesetz über Kriegsschäden. Gleichwohl bestand das Anliegen dieser Initiative nicht darin, das Gesetz zu umgehen: In erster Linie war es darauf ausgerichtet, den Prozess des Ausgleichs von Zerstörungen und den der Bauzulassung für Projekte zum Wiederaufbau von Kirchen zu beschleunigen. Die Beteiligung von offizieller Hand hatte zusätzlich den Vorteil der Rückkehr der Kirchen in ihre Rolle als offizielle Institution. Während der Einweihungsfeiern von wiederaufgebauten Kirchen waren die zivilen und kirchlichen Eliten von Meurthe-et-Moselle beständig angehalten, den Geist des ‚geheiligten Bundes‘ (Union sacrée) sogar während der antikirchlichen Phase des linken Flügels des Cartel des Gauches (1924-1925) zu bewahren. Darüber hinaus zeigte der Kanoniker Thouvenin mehr Interesse an finanziellen und institutionellen Fragen als an der Stilart der Kirchen. Einige von diesen sind Kopien der neuromanischen oder neugotischen Kirchen, die vor dem Krieg gebaut wurden während andere deutlich moderner wirken.:Volume 1: Introduction Première partie. La séparation des Eglises et de l’Etat et ses conséquences pendant l’avant-guerre. 1905-1914 I. Les églises à la veille de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat II. Les conséquences de la séparation des Eglises et de l’Etat III. Catholicisme et patriotisme à la veille de la guerre Deuxième partie. Les églises pendant la Première Guerre mondiale. 1914-1919 I. La « passion » des églises du diocèse de Nancy II. Les premiers débats sur la reconstruction III. Le bilan des destructions Troisième partie. Le cadre institutionnel et les grandes étapes de la reconstruction des églises I. Les prémices de la reconstruction II. La coopérative de reconstruction des églises du diocèse de Nancy III. Les lieux de culte reconstruits en marge ou hors du cadre de la coopérative diocésaine IV. Le rôle des architectes et des entrepreneurs Quatrième partie. La loi sur les dommages de guerre et la loi de séparation I. La place des églises dans l’urbanisme II. L’application aux églises de la loi sur les dommages de guerre III. Le contournement de la loi de séparation Cinquième partie. « Le bouquet sur le faîte », la dimension symbolique des églises reconstruites I. Un style « première reconstruction » ? II. « Domine salvam fac republicam ». La construction des églises et la perpétuation de l’Union sacrée III. La réception et la postérité des églises Conclusion Sources Bibliographie Chronologie Notices biographiques Index des personnes Index des lieux Table des matières détaillée Volume 2: Annexes I. Chronologie des archives des dommages de guerre II. Les églises de Meurthe-et-Moselle entre 1905 et 1914 III. L’Eglise et les églises pendant la guerre IV. Le bilan matériel de la guerre V. L’organisation de la reconstruction VI. Les architectes et les entrepreneurs VII. L’application de la loi Cornudet du 14 mars 1919 VIII. La coopérative de reconstruction des églises IX. Le coût des églises reconstruites X. L’association diocésaine de Nancy Iconographie générale I. Cartes II. Les images de lieux de culte pendant la guerre III. Les églises provisoires IV. L’urbanisme dans les villages reconstruits V. Les chantiers de reconstruction VI. Les matériaux de construction VII. L’iconographie régionale et patriotique VIII. Les protagonistes de la reconstruction des églises IX. Les cérémonies de consécration X. Les mairies XI. Les églises construites dans les communes industrielles de l’arrondissement de Briey hors du cadre de la coopérative XII. Les églises, lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale Catalogue des églises de Meurthe-et-Moselle endommagées pendant la Première Guerre mondiale Première partie. Les églises gravement endommagées Deuxième partie. Les églises peu ou très peu endommagées Répertoire des architectes ayant participé à la reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle Table des matières détaillée
Après la séparation des Eglises et de l’Etat (1905), les communes françaises n’étaient plus autorisées à financer la construction de nouvelles églises ou à assumer les grosses réparations des églises qui leur appartenaient déjà. Face aux critiques des catholiques, l’Etat a classé de nombreuses églises comme monuments historiques pendant les années 1905-1914, permettant ainsi aux communes de les entretenir pour des raisons patrimoniales et plus cultuelles. Investies d’une forte dimension nationale, les églises ont joué un rôle très important dans la propagande de guerre des différents pays belligérants en 1914-1918. Contrairement à ce qu’affirmait la propagande française, les églises ne semblent pas avoir fait l’objet d’un acharnement particulier de la part des armées allemandes. À l’issue du conflit, l’Etat français a mis en place un système d’indemnisation des dommages de guerre très complexe. Pour compléter ce système, le chanoine Emile Thouvenin a fondé, en 1919, une coopérative de reconstruction dans chaque commune détruite du département de Meurthe-et-Moselle. Avec l’appui de la préfecture, il a créé, en 1921, une coopérative vouée à la reconstruction des églises du diocèse de Nancy. Cette coopérative œuvra souvent en marge de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat et de la loi sur les dommages de guerre. L’initiative du chanoine Thouvenin n’avait cependant pas pour but de contourner la législation en vigueur : il s’agissait surtout d’accélérer le processus d’indemnisation des dommages et d’approbation des projets de reconstruction des églises. L’implication des autorités officielles dans la reconstruction des églises avait par ailleurs l’avantage de rendre à l’Eglise une partie de son rôle d’institution officielle. Lors des cérémonies de consécration des églises reconstruites, les élites civiles et religieuses de Meurthe-et-Moselle se sont constamment attachées à perpétuer l’esprit de l’Union sacrée, même pendant le Cartel des Gauches (1924-1925) marqué par un regain d’anticléricalisme. Par ailleurs, le chanoine Thouvenin s’est plus intéressé aux aspects financiers et institutionnels qu’au style des églises reconstruites : certaines d’entre elles sont des copies conformes des édifices néo-romans ou néogothiques d’avant-guerre, d’autres apparaissent résolument modernes.:Volume 1: Introduction Première partie. La séparation des Eglises et de l’Etat et ses conséquences pendant l’avant-guerre. 1905-1914 I. Les églises à la veille de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat II. Les conséquences de la séparation des Eglises et de l’Etat III. Catholicisme et patriotisme à la veille de la guerre Deuxième partie. Les églises pendant la Première Guerre mondiale. 1914-1919 I. La « passion » des églises du diocèse de Nancy II. Les premiers débats sur la reconstruction III. Le bilan des destructions Troisième partie. Le cadre institutionnel et les grandes étapes de la reconstruction des églises I. Les prémices de la reconstruction II. La coopérative de reconstruction des églises du diocèse de Nancy III. Les lieux de culte reconstruits en marge ou hors du cadre de la coopérative diocésaine IV. Le rôle des architectes et des entrepreneurs Quatrième partie. La loi sur les dommages de guerre et la loi de séparation I. La place des églises dans l’urbanisme II. L’application aux églises de la loi sur les dommages de guerre III. Le contournement de la loi de séparation Cinquième partie. « Le bouquet sur le faîte », la dimension symbolique des églises reconstruites I. Un style « première reconstruction » ? II. « Domine salvam fac republicam ». La construction des églises et la perpétuation de l’Union sacrée III. La réception et la postérité des églises Conclusion Sources Bibliographie Chronologie Notices biographiques Index des personnes Index des lieux Table des matières détaillée Volume 2: Annexes I. Chronologie des archives des dommages de guerre II. Les églises de Meurthe-et-Moselle entre 1905 et 1914 III. L’Eglise et les églises pendant la guerre IV. Le bilan matériel de la guerre V. L’organisation de la reconstruction VI. Les architectes et les entrepreneurs VII. L’application de la loi Cornudet du 14 mars 1919 VIII. La coopérative de reconstruction des églises IX. Le coût des églises reconstruites X. L’association diocésaine de Nancy Iconographie générale I. Cartes II. Les images de lieux de culte pendant la guerre III. Les églises provisoires IV. L’urbanisme dans les villages reconstruits V. Les chantiers de reconstruction VI. Les matériaux de construction VII. L’iconographie régionale et patriotique VIII. Les protagonistes de la reconstruction des églises IX. Les cérémonies de consécration X. Les mairies XI. Les églises construites dans les communes industrielles de l’arrondissement de Briey hors du cadre de la coopérative XII. Les églises, lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale Catalogue des églises de Meurthe-et-Moselle endommagées pendant la Première Guerre mondiale Première partie. Les églises gravement endommagées Deuxième partie. Les églises peu ou très peu endommagées Répertoire des architectes ayant participé à la reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle Table des matières détaillée
After the separation of Church and State (1905), French towns were no longer authorized to finance the construction of new churches, or the major repairs of churches that already belonged to them. Faced with criticism from the Catholics, the French State classified many churches as official historical monuments during the years 1905-1914, thus enabling the towns to repair their churches for the purpose of preserving the nation’s heritage. Invested with a strong national dimension, churches have played an important role in the war propaganda of the various belligerent countries. Contrary to French propaganda, the churches were apparently not destroyed by the German armies in particular. After the conflict, the French State established a very complex system of compensation for war damages. In 1919, the canon Émile Thouvenin founded a reconstruction cooperative in each municipality of the department of Meurthe-et-Moselle. With the support of the préfécture, he created in 1921 a cooperative devoted to the reconstruction of churches in the diocese of Nancy. This cooperative worked often on the very edge between the Law of Separation and the Law on War Damages. This initiative’s intention, however, was not to avoid the law: It was first of all created to accelerate the process of compensation for damages and the approval of projects for rebuilding churches. The involvement of the official authorities had the additional advantage of returning the Church to its role as official institution. During the consecration ceremonies of rebuilt churches, civil and religious elites of Meurthe-et-Moselle were constantly attached to perpetuate the spirit of the Sacred Union, even during the anticlerical phase of the Left-Wing ‘Cartel des Gauches’ (1924-1925). Furthermore, canon Thouvenin had shown more interest in the financial and institutional questions than in the style of churches. Some of them are copies of the Neo-Romanesque or Neo-Gothic churches built before the war while others seems definitely modern.:Volume 1: Introduction Première partie. La séparation des Eglises et de l’Etat et ses conséquences pendant l’avant-guerre. 1905-1914 I. Les églises à la veille de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat II. Les conséquences de la séparation des Eglises et de l’Etat III. Catholicisme et patriotisme à la veille de la guerre Deuxième partie. Les églises pendant la Première Guerre mondiale. 1914-1919 I. La « passion » des églises du diocèse de Nancy II. Les premiers débats sur la reconstruction III. Le bilan des destructions Troisième partie. Le cadre institutionnel et les grandes étapes de la reconstruction des églises I. Les prémices de la reconstruction II. La coopérative de reconstruction des églises du diocèse de Nancy III. Les lieux de culte reconstruits en marge ou hors du cadre de la coopérative diocésaine IV. Le rôle des architectes et des entrepreneurs Quatrième partie. La loi sur les dommages de guerre et la loi de séparation I. La place des églises dans l’urbanisme II. L’application aux églises de la loi sur les dommages de guerre III. Le contournement de la loi de séparation Cinquième partie. « Le bouquet sur le faîte », la dimension symbolique des églises reconstruites I. Un style « première reconstruction » ? II. « Domine salvam fac republicam ». La construction des églises et la perpétuation de l’Union sacrée III. La réception et la postérité des églises Conclusion Sources Bibliographie Chronologie Notices biographiques Index des personnes Index des lieux Table des matières détaillée Volume 2: Annexes I. Chronologie des archives des dommages de guerre II. Les églises de Meurthe-et-Moselle entre 1905 et 1914 III. L’Eglise et les églises pendant la guerre IV. Le bilan matériel de la guerre V. L’organisation de la reconstruction VI. Les architectes et les entrepreneurs VII. L’application de la loi Cornudet du 14 mars 1919 VIII. La coopérative de reconstruction des églises IX. Le coût des églises reconstruites X. L’association diocésaine de Nancy Iconographie générale I. Cartes II. Les images de lieux de culte pendant la guerre III. Les églises provisoires IV. L’urbanisme dans les villages reconstruits V. Les chantiers de reconstruction VI. Les matériaux de construction VII. L’iconographie régionale et patriotique VIII. Les protagonistes de la reconstruction des églises IX. Les cérémonies de consécration X. Les mairies XI. Les églises construites dans les communes industrielles de l’arrondissement de Briey hors du cadre de la coopérative XII. Les églises, lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale Catalogue des églises de Meurthe-et-Moselle endommagées pendant la Première Guerre mondiale Première partie. Les églises gravement endommagées Deuxième partie. Les églises peu ou très peu endommagées Répertoire des architectes ayant participé à la reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle Table des matières détaillée

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Lecomte, Bertrand. "Le démantèlement des ouvrages fortifiés en béton armé de la Première Guerre mondiale." In Places fortes des Hauts-de-France –6–. Lille: Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/11was.

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Dès la fin de la Première Guerre mondiale, le démantèlement des fortifications de campagne aménagées durant la guerre de position est l’une des priorités de la reconstruction. En Flandre française, des milliers d’ouvrages en béton armé, construits par les troupes allemandes, puis par les forces alliées, doivent donc disparaître. Mais leur destruction représente un travail colossal et complexe, notamment dans le Pays de Weppes. Toutefois, les chantiers de démolition, bien qu’émaillés de nombreux accidents, s’enchaînent à un rythme très soutenu durant les années 1920. Ils sont par la suite de moins en moins nombreux. Devenus sporadiques après 1945, ils sont néanmoins beaucoup plus efficaces qu’auparavant. Après plus d’un siècle, plusieurs centaines de blockhaus échappent encore au démantèlement pour de multiples raisons. Longtemps oubliés, ces vestiges de la guerre sont aujourd’hui intégrés à de nouvelles pratiques culturelles, mémorielles et touristiques, notamment autour de Fromelles et de Laventie. Leur pérennité pousse aussi certains acteurs locaux à se questionner sur leur patrimonialisation et leur mise en tourisme.
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Deschamp, Marc. "Les Sonderbauten du Pas-de-Calais." In Places fortes des Hauts-de-France –6–. Lille: Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/11waw.

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Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le IIIe Reich entreprend dans le Pas-de-Calais la construction de cinq grands bunkers, nommés Sonderbauten (Constructions spéciales en français), pour employer certaines de leurs armes secrètes. Massivement attaqués, ces édifices n’ont jamais été mis en service lorsque les Alliés les capturent en septembre 1944. Français et Britanniques héritent alors des bunkers dont ils doivent décider de leur conservation ou de leur abandon. Progressivement, toutes les infrastructures perdent leur utilité militaire pour devenir, selon les cas, des sites sauvages ou des musées ouverts au public, prenant le contre-pied total de leur fonction première.
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Valeri, Florian, and Thomas Byhet. "Un bastion casematé construit sous la Restauration : le bastion Saint-Louis d’Avesnes-sur-Helpe." In Places fortes des Hauts-de-France –6–. Lille: Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/11wap.

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Le bastion casematé Saint-Louis d’Avesnes-sur-Helpe (Nord) constitue un exemple rare d’ouvrage fortifié aménagé à l’époque de la Restauration. Construit en 1830, il vient compléter la ceinture des fortifications avesnoises aménagée depuis le Moyen Âge et profondément modernisée à l’Époque moderne. Mais, depuis le déclassement de la place de guerre en 1867, il a connu diverses attributions et fonctions. Il est aujourd’hui la propriété de la commune qui prévoit de le réhabiliter.
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Guérin, Thomas. "Les fortifications tardives de Château-Thierry (XVIe siècle) : une phase majeure disparue." In Places fortes des Hauts-de-France –6–. Lille: Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/11wat.

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Les fortifications médiévales de Château-Thierry ont fait l’objet d’études approfondies et très documentées. Malgré cela, une ultime phase d’adaptation aux techniques de la guerre moderne est restée complètement inaperçue, jusqu’à ce que l’examen croisé des sources et des données archéologiques révèle son existence. Longtemps considérée comme une phase négligeable, succession d’opérations ponctuelles sans projet global, les fortifications du XVIe siècle de Château-Thierry ont été délaissées en faveur d’autres problématiques historiographiques. Aujourd’hui, l’occasion nous est donnée d’exposer les motifs qui nous conduisent à considérer qu’il s’agit, en réalité, d’une phase de transformation majeure conçue à l’échelle de l’agglomération. Sa disparition, tant physique qu’archivistique, a contribué à la rendre longtemps imperceptible.

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