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Peeters, Carine, Sébastien Point, Patricia Garcia-Prieto, and Andrès Davila. "La diversité culturelle dans les délocalisations : apports nuancés de deux littératures." Management international 18 (December 16, 2014): 178–93. http://dx.doi.org/10.7202/1027872ar.

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Анотація:
La délocalisation d’activités à l’étranger est une pratique de plus en plus répandue dans les entreprises, avec pour conséquence d’accroître les différences culturelles auxquelles les entreprises sont confrontées. L’analyse qualitative de 76 articles sur la période 1996-2009 provenant de 26 revues internationales de gestion montre que la culture est uniquement présentée comme une menace pour les entreprises qui délocalisent, et ce, en dépit d’une littérature sur la diversité nettement plus positive sur le sujet. Cet article propose des pistes de réflexion développant une perspective plus nuancée des différences culturelles dans le contexte des délocalisations.
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Artus, Patrick. "Délocalisations industrielles, croissance et bien-être." Économie appliquée 48, no. 1 (1995): 31–46. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1995.1544.

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Анотація:
Nous examinons à l’aide d’un modèle de croissance endogène les effets de la délocalisation dans les pays à bas salaires d’un certain nombre d’industries, fabriquant des produits peu sophistiqués et utilisant de la main-d’œuvre non qualifiée. Nous analysons en particulier les conséquences des délocalisations sur l’équilibre des marchés du travail (pour les salariés qualifiés et non qualifiés), sur la demande de biens, le comportement des entreprises non délocalisables et, de ce fait, sur la croissance.
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Gallego, Virginie, and Lynda Saoudi. "Valoriser le potentiel humain ou délocaliser." Revue internationale P.M.E. 23, no. 2 (September 8, 2011): 107–30. http://dx.doi.org/10.7202/1005763ar.

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Анотація:
Placées dans un contexte de globalisation, les PME sont soumises au phénomène de délocalisation, au même titre que les grandes entreprises. Pourtant, certaines d’entre elles choisissent de maintenir leurs activités sur le territoire d’origine en menant des stratégies dites « alternatives ». Notre recherche porte sur une alternative dite « humaine » à la délocalisation. Plus précisément, il s’agit d’évaluer l’enjeu de la valorisation du potentiel humain sur le maintien des activités dans un territoire donné. L’analyse se fonde sur la théorie des ressources et des compétences et simultanément sur les apports de la littérature relative au potentiel humain. L’enjeu de ce potentiel humain dans la compétitivité des entreprises et le maintien de leurs activités sur le territoire peut ainsi être estimé. Les résultats proviennent d’une étude de cas menée auprès d’une PME maintenant ses activités en France tout en étant tentée par cette stratégie ; cette étude de cas a été élargie par une enquête par questionnaire réalisée auprès de 41 PME.
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Naïr, Nadia. "Globalisation, délocalisation des entreprises et travail des femmes." Reflets: Revue d’intervention sociale et communautaire 9, no. 1 (2003): 22. http://dx.doi.org/10.7202/010861ar.

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Lecler, Yveline. "Les fournisseurs/sous-traitants japonais : quasi-ateliers ou partenaires de leurs donneurs d'ordres ?" Note 4, no. 2 (February 16, 2012): 137–62. http://dx.doi.org/10.7202/1008066ar.

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Анотація:
Les grandes entreprises japonaises, peu intégrées, ont largement recours à la sous-traitance auprès d’entreprises de plus petite taille, avec lesquelles elles entretiennent des relations durables et très étroites. La structure industrielle classiquement reconnue comme caractérisant le Japon repose sur l’image de la pyramide ; c’est-à-dire sur une forme organisationnelle de réseaux d’approvisionnements/fournitures de type hiérarchie verticale. Au sommet de chaque pyramide, se trouve une très grande entreprise, évoluant à l’échelle mondiale, tandis que la base est formée de nombreuses PMI ou travailleurs à domicile, les niveaux intermédiaires entre ces deux extrêmes étant constitués d’entreprises de plus en plus petites et de plus en plus dépendantes du niveau supérieur... Appartenance à un «groupe», forte dépendance, mais aussi transfert de compétences et assistance sont donc les traits caractéristiques de ce système. Les tensions commerciales croissantes avec les pays occidentaux, notamment les États-Unis, et surtout la forte flambée du yen en 1985 ont provoqué une accélération de l’internationalisation des entreprises japonaises qui ne peut rester, au moins à terme, sans effets sur les sous-traitants du Japon. Après une description du système de sous-traitance japonais, l’article analyse des évolutions stratégiques actuelles : la délocalisation à l’étranger des grands donneurs d’ordres et l’importation de pièces étrangères par les entreprises japonaises au Japon. C’est de ses évolutions qu’apparaît, en conclusion, l’esquisse des relations d’approvisionnement de demain.
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Lefilleur, Julien. "Déterminants des investissements directs étrangers en Europe centrale et orientale. Un bilan de la transition." Revue d’études comparatives Est-Ouest 39, no. 2 (2008): 201–38. http://dx.doi.org/10.3406/receo.2008.1901.

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Анотація:
Cet article présente une revue critique de la très vaste littérature empirique sur les déterminants des investissements directs étrangers (IDE) dans les pays d'Europe centrale et orientale (PECO) durant la transition. Trois catégories de déterminants sont identifiées : ceux faisant l'objet d'un consensus, ceux sur lesquels les résultats sont partagés et, enfin, ceux insuffisamment étudiés. Les résultats montrent que la littérature s'accorde sur l'effet déterminant de la plupart des facteurs économiques - potentiel de marché, ouverture commerciale et distance par rapport à l'UE 15 - et institutionnels - libéralisation de l'économie, qualité du cadre législatif et perspectives d'adhésion à l'UE 15 - suggérés par la théorie. En revanche, certains facteurs intuitivement et théoriquement influents comme le coût et les caractéristiques de la main-d'œuvre, la perception du risque pays ou la concurrence sur les marchés locaux ont, malgré l'abondante littérature qui leur a été consacrée, eu un effet beaucoup plus ambigu. Enfin, la plupart des facteurs financiers (financement des entreprises, finances publiques et évolution des taux de change) ont fait l'objet d'un nombre trop limité d'études pour pouvoir en déduire l'impact. Par ailleurs, les résultats indiquent également que la nature, et donc les déterminants des IDE, a évolué durant la transition, avec une part croissante d'IDE de délocalisation au détriment des IDE de pénétration, notamment dans les petits pays d'Europe centrale. Après avoir recensé les principales lacunes de la littérature, plusieurs pistes sont proposées pour les recherches à venir.
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Passet, Olivier. "Le Japon : les doutes d'un créancier." Revue de l'OFCE 54, no. 3 (September 1, 1995): 5–55. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.54n1.0005.

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Анотація:
Résumé La dégradation de l'activité industrielle depuis le mois d'avril, souligne la fragilité de la reprise japonaise. Ce mouvement ne fait que confirmer les doutes que l'on pouvait avoir sur les moteurs de la croissance. Il accompagne le repli de la politique de soutien à l'activité menée par le gouvernement depuis la fin de l'année der- nière. Ce dernier, ayant misé trop tôt sur la dynamique autonome de la demande privée, doit donc se résoudre à de nouvelles interventions. C'est moins la perte de compétitivité des entreprises nippones qui constitue à court terme le principal obstacle à la croissance, que l'effort déployé par ces dernières pour contenir leurs coûts unitaires. Leur rapide adaptation à la parité du yen a pesé en dernier ressort sur le revenu des ménages, qui voient, au gré des aléas du marché des changes, varier la partie la plus instable de leurs revenus, que sont les primes et la rémunération des heures supplémentaires. Simultanément les hausses négociées de salaire s'érodent d'année en année. Ceci explique en partie la prudence des comportements d'épargne des ménages. La vitalité de la demande de biens durables, qui constituait un des éléments les plus prometteurs et solides de la reprise, apparaît se substituer à d'autres achats, en raison de le baisse des prix relatifs de ce type de biens. Ce que l'on appelle au Japon le « Kakaku Hakai », phénomène de « destruction des prix » (qui touche particulièrement les biens durables et l'habillement), lié à l'ouverture du système de distribution et à la hausse du yen, a pu fausser la perception de la reprise. On peut douter, de plus, de la capacité du secteur privé à prendre la relève de l'Etat, dans le contexte actuel de délabrement des bilans des organismes financiers. Compte tenu du poids des mauvaises créances, un risque de crise systémique pèse sur le système de financement nippon, dont /'epicentre se situe au niveau des intermédiaires non bancaires, spécialisés dans le financement de l'immobilier. On pouvait croire jusque là que le premier créancier du monde pouvait compter sur ses réserves pour sortir son écono- mie de l'impasse. Mais ce matelas de créances, en se dépréciant, se transforme en fardeau : le Japon réalise tardivement qu'il a prêté au dessus de ses moyens et hésite aujourd'hui à liquider un actif déprécié. Cet attentisme participe à la faiblesse de l'activité et exacerbe un peu plus le problème des créances douteuses. Mais la crise que traverse aujourd'hui le Japon dépasse les conséquences de /'après bulle et de la hausse du yen. Cette dernière est d'ailleurs probablement partiellement réversible. On trouve difficilement les fondamentaux qui justifieraient le niveau actuel de parité de la devise nippone. L'internationalisation du yen est bien trop lente pour justifier une déviation d'une telle ampleur de la monnaie par rapport à sa parité de pouvoir d'achat, au cours des dernières années. Son niveau actuel serait plutôt un handicap à la diffusion du yen comme monnaie de réserve et de facturation, tant il accroît le risque de change. Il semble davantage lié aux arbitrages qu'opèrent les banques nippones en faveur du yen, compte tenu de la dégradation de leurs bilans et de leur volonté de diminuer les risques. Si l'on admet que l'appréciation du yen n'a pas d'autre fondement structurel, il faut alors envisager les consé- quences qu'engendrerait la mise en jeu de forces de rappel. Le ralentissement du potentiel de croissance nippon s'inscrit dans le long terme. Après une phase de rattrapage de productivité, l'économie japonaise devra composer dorénavant avec un sentier de croissance de moyen et long terme proche des performances moyennes de l'OCDE. Elle peut s'en écarter un temps, grâce à la dynamique régionale, par le truchement de l'investissement direct. Mais ce jeu n'a qu'un temps, compte tenu de la perméabilité croissante de son marché intérieur (liée à la rationalisation et à la déréglementation de son système de distribution), et du processus de rattrapage et d'auto- nomie grandissante de ses voisins asiatiques. La surévaluation de la devise nippone a surtout rompu la cohérence de la politique de délocalisation. Le risque le plus sensible à long terme, est celui d'un boomerang asiatique, lié à une délocalisation désordonnée des activités intermédiaires, guidée par l'urgence, et d'une diffusion incontrôlée du progrès technique.
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Messaoudi, Dalila. "Entreprises et territoires : entre délocalisations et relocalisations d’activités de production." Annales de géographie 723-724, no. 5 (2018): 588. http://dx.doi.org/10.3917/ag.723.0588.

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Mokaddem, Sarah, and Hazar Ben Barka. "L’impact d’une gouvernance socialement responsable sur les attitudes et les comportements des salariés au travail : une investigation théorique." Management & Sciences Sociales N° 12, no. 1 (January 1, 2012): 14–28. http://dx.doi.org/10.3917/mss.012.0014.

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Анотація:
À l’heure des délocalisations massives et de la recherche incessante des profits, une fracture s’est installée entre les salariés et leurs organisations. Ce qui a poussé plusieurs groupes à jouer la carte de la RSE et du Développement Durable. Dans cette investigation à caractère théorique, nous nous intéressons aux conséquences attitudinales et comportementales des salariés face à une gouvernance socialement responsable de la part de leur entreprise. Ainsi, le rôle des dirigeants est de plus en plus associé à leur engagement dans une démarche de responsabilité sociale. Cet engagement s’inscrirait en effet dans une logique de respect des principes de bonne gouvernance ainsi que de la suprématie des relations avec les parties prenantes. Du fait que la RSE s’orienterait plutôt vers une approche partenariale, nous nous concentrons dans le cadre de notre recherche sur les employés comme une des parties prenantes de l’organisation. Nous soulignons que la relation des employés avec leur organisation se base sur le principe de réciprocité dans la mesure où leurs attitudes et comportements, seraient dépendants de l’engagement de celle-ci dans la satisfaction de leurs attentes. La relation employé-entreprise dépendrait ainsi fortement d’une gouvernance socialement responsable.
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Messaoudi, Dalila. "Les enjeux géoéconomiques, industriels et territoriaux de la délocalisation des entreprises : le cas français." Carnets de géographes, no. 6 (September 1, 2013). http://dx.doi.org/10.4000/cdg.942.

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Djerrahian, Gabriella, and Normand Labrie. "La reconfiguration linguistique dans une entreprise canadienne à l’ère de la mondialisation." No. 27 (May 27, 2010): 105–29. http://dx.doi.org/10.7202/039826ar.

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Анотація:
Cet article examine la reconfiguration des langues dans une entreprise canadienne active partout dans le monde dans la production et la distribution de produits pharmaceutiques, elle-même soumise aux transformations liées à la mondialisation et à la nouvelle économie. Il porte, d’une part, sur l’évolution historique de la dynamique des communications internes au sein du siège social et, d’autre part, sur les pratiques langagières qui ont eu lieu entre le siège social et une succursale en Europe à la suite de la privatisation et de l’internationalisation de l’entreprise. On observe que les transformations liées à la mondialisation contribuent peut-être au maintien et au renforcement de l’anglais, mais qu’en émerge aussi un besoin de bi et de plurilinguisme, d’où des stratégies de courtage, d’exportation, de délocalisation, de sous-traitance, ou encore d’improvisation du travail plurilingue.
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"« Entre délocalisations et relocalisations : mobilité des entreprises et attractivité des territoires », Catherine Mercier-Suissa (sous la direction de), Editions Karthala, Les Terrains du siècle, 2011." Management international 16, no. 1 (2011): 105. http://dx.doi.org/10.7202/1006923ar.

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Hindriks, Jean. "Numéro 29 - avril 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15983.

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Анотація:
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les communes, les villes, les régions et les pays sont livrés, à l’instar des entreprises privées, aux affres de la concurrence. La rivalité est d’autant plus forte que la mobilité de la population et des facteurs de production augmente. Cette mobilité est liée à l’intégration croissante des économies. Nous montrons dans ce numéro de Regards Economiques consacré à "La concurrence entre gouvernements : un impératif de bonne gestion publique" que cette concurrence entre gouvernements à tous les niveaux de pouvoir, loin d’être dommageable, pourrait très bien se révéler bénéfique en augmentant la qualité des décisions publiques. L’erreur souvent faite est que cette concurrence est vécue seulement comme menace et aucunement comme stimulant. Une conséquence de l’intégration des économies est la possibilité d’organiser une concurrence par comparaison entre gouvernements. Cette concurrence indirecte n’empêche pas la coordination inter-gouvernementale partout où cela est nécessaire. L'argument de base est que cette concurrence par comparaison entre les gouvernements peut exercer une force disciplinante et limiter la puissance de monopole d'un gouvernement unique. En comparant les performances entre gouvernements voisins, il est plus facile de déceler les bons des mauvais gouvernements tout en contrôlant la qualité des décisions publiques. Il est indéniable que les spécificités régionales peuvent parfois fausser l’appréciation des performances relatives. Cependant l’effet de l’intégration économique est justement d’éliminer progressivement les spécificités régionales et de placer ainsi les gouvernements dans un environnement comparable. Dans ce contexte, la concurrence par comparaison produit en général des sanctions plus nettes, plus tranchées, moins manipulables, tant à l’égard des dirigeants que de l’effort des exécutants, et ces sanctions s’imposent de manière plus indiscutable. Il sera aussi progressivement plus difficile pour les décideurs publics de faire jouer des réseaux d’influence au sein de leur relations pour obtenir un jugement et un traitement plus favorables que leurs performances ne le justifieraient. Une bonne illustration est le rapport PISA 2003 sur la performance comparée de l’enseignement secondaire en lecture, mathématique et sciences parmi 15 pays européens. Ce rapport a provoqué beaucoup de discussions car il épingle la performance curieusement faible de la Communauté française relativement à la Communauté flamande pourtant dotée de moyens similaires. Cette tradition de comparer les performances dans le secteur public est bien établie en Angleterre avec une information facilement disponible sur internet du classement des écoles, universités, hôpitaux, communes etc. Il est probable qu’une telle information va progressivement circuler chez nous du fait de son importance évidente. La logique est simple : en comparant les résultats de leur gouvernement à ceux d’autres gouvernements dans des régions comparables (i.e. faisant face à un environnement économique similaire), les électeurs peuvent accroître le contrôle qu'ils ont sur leurs hommes politiques et déduire la part de performance qui est attribuable à l'environnement économique et celle qui est attribuable à la qualité de leur gouvernement. Un argument analogue s'applique à la concurrence directe entre gouvernements pour attirer les facteurs de production. Souvent perçue comme une menace (cf. les délocalisations), la mobilité croissante des facteurs de production peut aussi agir comme stimulant. La concurrence pour les facteurs de production agit comme un mécanisme d’enchère par lequel les gouvernements les plus performants sortent gagnants et les gouvernements moins performants seront remplacés. Cette concurrence peut forcer le gouvernement à réduire les gaspillages et baisser le prix effectif des biens publics.
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Hindriks, Jean. "Numéro 29 - avril 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.04.01.

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Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les communes, les villes, les régions et les pays sont livrés, à l’instar des entreprises privées, aux affres de la concurrence. La rivalité est d’autant plus forte que la mobilité de la population et des facteurs de production augmente. Cette mobilité est liée à l’intégration croissante des économies. Nous montrons dans ce numéro de Regards Economiques consacré à "La concurrence entre gouvernements : un impératif de bonne gestion publique" que cette concurrence entre gouvernements à tous les niveaux de pouvoir, loin d’être dommageable, pourrait très bien se révéler bénéfique en augmentant la qualité des décisions publiques. L’erreur souvent faite est que cette concurrence est vécue seulement comme menace et aucunement comme stimulant. Une conséquence de l’intégration des économies est la possibilité d’organiser une concurrence par comparaison entre gouvernements. Cette concurrence indirecte n’empêche pas la coordination inter-gouvernementale partout où cela est nécessaire. L'argument de base est que cette concurrence par comparaison entre les gouvernements peut exercer une force disciplinante et limiter la puissance de monopole d'un gouvernement unique. En comparant les performances entre gouvernements voisins, il est plus facile de déceler les bons des mauvais gouvernements tout en contrôlant la qualité des décisions publiques. Il est indéniable que les spécificités régionales peuvent parfois fausser l’appréciation des performances relatives. Cependant l’effet de l’intégration économique est justement d’éliminer progressivement les spécificités régionales et de placer ainsi les gouvernements dans un environnement comparable. Dans ce contexte, la concurrence par comparaison produit en général des sanctions plus nettes, plus tranchées, moins manipulables, tant à l’égard des dirigeants que de l’effort des exécutants, et ces sanctions s’imposent de manière plus indiscutable. Il sera aussi progressivement plus difficile pour les décideurs publics de faire jouer des réseaux d’influence au sein de leur relations pour obtenir un jugement et un traitement plus favorables que leurs performances ne le justifieraient. Une bonne illustration est le rapport PISA 2003 sur la performance comparée de l’enseignement secondaire en lecture, mathématique et sciences parmi 15 pays européens. Ce rapport a provoqué beaucoup de discussions car il épingle la performance curieusement faible de la Communauté française relativement à la Communauté flamande pourtant dotée de moyens similaires. Cette tradition de comparer les performances dans le secteur public est bien établie en Angleterre avec une information facilement disponible sur internet du classement des écoles, universités, hôpitaux, communes etc. Il est probable qu’une telle information va progressivement circuler chez nous du fait de son importance évidente. La logique est simple : en comparant les résultats de leur gouvernement à ceux d’autres gouvernements dans des régions comparables (i.e. faisant face à un environnement économique similaire), les électeurs peuvent accroître le contrôle qu'ils ont sur leurs hommes politiques et déduire la part de performance qui est attribuable à l'environnement économique et celle qui est attribuable à la qualité de leur gouvernement. Un argument analogue s'applique à la concurrence directe entre gouvernements pour attirer les facteurs de production. Souvent perçue comme une menace (cf. les délocalisations), la mobilité croissante des facteurs de production peut aussi agir comme stimulant. La concurrence pour les facteurs de production agit comme un mécanisme d’enchère par lequel les gouvernements les plus performants sortent gagnants et les gouvernements moins performants seront remplacés. Cette concurrence peut forcer le gouvernement à réduire les gaspillages et baisser le prix effectif des biens publics.
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Sliwinski, Alicia. "Globalisation." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Анотація:
Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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