Статті в журналах з теми "Crypto monnaie"

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Wei, Lei, and Erwan Le Saout. "Central Bank Digital Currency: Definition and Progress." Marché et organisations N° 49, no. 1 (January 15, 2024): 67–88. http://dx.doi.org/10.3917/maorg.pr1.0003.

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Анотація:
En marge du développement des crypto-actifs, les banques centrales ont entamé une réflexion sur la création de monnaie numérique nationale. Une telle monnaie est l’équivalent des billets sous forme dématérialisée. Une telle innovation constituerait une solution de paiement supplémentaire, plus facile à utiliser, contribuant ainsi à l’accessibilité et à l’inclusion. En d’autres termes, les monnaies numériques devraient avoir des conséquences importantes sur la désintermédiation bancaire. De nombreuses fintechs sont à même de se créer, afin de profiter de la création de ce nouvel écosystème, dans le but de faire bénéficier les consommateurs des moyens de paiement électroniques rapides et sûrs (car garantis par une banque centrale). Cet article dresse un état des lieux sur ces différentes monnaies numériques en cours de création. Il s’appuie notamment sur l’exemple des banques centrales nordiques et chinoise.
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Jean-Paul Delahaye. "Le Bitcoin, première crypto-monnaie." Bulletin 1024, no. 4 (October 2014): 67–104. http://dx.doi.org/10.48556/sif.1024.4.67.

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Barrière, François. "Les actifs numériques à fonction monétaire confrontés aux qualifications juridiques." Pin Code N° 7, no. 1 (April 28, 2021): 27–29. http://dx.doi.org/10.3917/pinc.007.0027.

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Анотація:
Depuis un certain temps déjà, les actifs numériques prennent une place certaine dans l’économie. Bien meuble incorporel, la crypto-monnaie s’avère être fongible et consomptible, ce qui a des incidences en termes de régime juridique (nécessité d’une individualisation pour réaliser un transfert de propriété ou application du prêt à la consommation en cas de prêt). Le régime juridique des actifs numériques se précisant, cela devrait être de nature à favoriser leur essor, y compris sous forme de « stablecoins », et continuer à les rapprocher du concept de monnaie traditionnelle.
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Lyas, Zerkhefaoui, and Akila Rachedi Zouaoui. "La Digitalisation de la Monnaie, Une Innovation Technologique ou un Changement de Paradigme : Exemple du Bitcoin Comme Crypto-Monnaie = The Digitization of Money, Technological Innovation or a Change of Paradigm : Example of Bitcoin as a Cryptocurrency." رماح للبحوث و الدراسات, no. 50 (December 2020): 417–33. http://dx.doi.org/10.12816/0059494.

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Perrot, Étienne. "Les crypto-monnaies." Études Juin, no. 6 (May 28, 2018): 41–52. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4250.0041.

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Анотація:
Les « crypto-monnaies », dont le bitcoin est la plus connue, sont un phénomène nouveau. En dépit de caractéristiques originales, il s’agit bien de monnaies. Mais leurs effets économiques sont indirects : le développement technologique qu’elles engendrent. Leur généralisation pourrait affecter la stabilité du système financier international.
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Fleuret, Faustine. "L'industrie crypto française et européenne : les nouveaux bâtisseurs de monnaies numériques." Revue d'économie financière N° 149, no. 1 (March 30, 2023): 35–51. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.149.0035.

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Breitman, Arthur. "Crypto-monnaies : principes et enjeux. À quoi servent-elles ? Comment fonctionnent-elles ?" Annales des Mines - Réalités industrielles Février 2019, no. 1 (2019): 14. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.191.0014.

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Lejniece, Aija. "Les crypto-monnaies au cœur de la guerre de la Russie contre l’Ukraine." RED N° 4, no. 1 (October 18, 2022): 78–83. http://dx.doi.org/10.3917/red.004.0078.

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Causse, Hervé, and Amélie Clauzel. "Les Fintechs : quels enjeux juridiques ? Témoignage d’expert." Marché et organisations N° 49, no. 1 (January 15, 2024): 157–62. http://dx.doi.org/10.3917/maorg.049.0157.

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Анотація:
Fait social et économique, les Fintechs sont étudiées en droit mais sans critères précis et rigoureux. Les acteurs adoptent divers statuts professionnels (Fintech n’est pas un cadre légal). Les Fintechs profitent de la liberté du commerce, même si des dizaines de règles légales s’appliquent. Du droit d’accès à l’internet aux dernières IA, ces phénomènes correspondent à une nouvelle matière juridique : le droit du numérique. Examiner ces techniques, souvent devenues juridiques, est précieux. On comprend que, par de nombreuses évolutions informatiques, on a pu créer, avec les cryptos, des biens nouveaux, objets financiers qui résultent d’accords, de contrats ou autres échanges ; ces objets sont parfois inédits ; les systèmes permettent de les stocker et d’en faire le commerce. Les risques gigantesques des cryptos conçues comme des monnaies sont différents de ceux liés à des utilisations industrielles et commerciales de la blockchain. L’idée de « plateformisation » de l’économie, pertinente, a cependant diverses formes.
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Valence, Arnaud. "Les cryto-monnaies sont-elles vraiment décentralisées ? Quelques leçons de l’écosystème bancaire." Revue d'économie financière N°133, no. 1 (2019): 285. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.133.0285.

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Larue, Louis. "Numéro 127 - septembre 2016." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.14403.

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Анотація:
De nombreuses monnaies parallèles circulent depuis toujours à côté de la monnaie officielle. Aujourd’hui, une nouvelle génération de monnaie est en train de naître des nouvelles technologies : les crypto-monnaies, dont l’exemple le plus connu est le bitcoin. Ces monnaies n’existent que sous forme de code informatique, sans équivalent papier ou métallique. Leur particularité est d’être créées et gérées de manière décentralisée. Bien qu’elles constituent une avancée technologique remarquable, elles soulèvent de nombreux défis tant éthiques qu’économiques, que ce numéro de Regards économiques essaie d’éclairer. Le bitcoin est aujourd’hui la crypto-monnaie la plus populaire. Son fonctionnement est totalement indépendant des banques et des États, et garantit l’anonymat des utilisateurs. Sa sécurité repose sur une innovation cruciale : un système de paiement entièrement décentralisé. Plus besoin de banques commerciales ou de banques centrales pour gérer le système de paiement et s’assurer de la sécurité des transactions. L’ensemble des paiements en bitcoin est archivé dans un registre public (le «distributed ledger»), conçu pour être infalsifiable (ou presque). Ce registre permet d’éviter un problème inhérent à toute monnaie électronique sans forme matérielle : la possibilité de dépenser plusieurs fois un même bitcoin pour plusieurs transactions. Puisqu’aucune autorité ne possède un pouvoir de contrôle sur le bitcoin et ne peut surveiller les transactions, ce registre virtuel garantit un traçage de chaque bitcoin et évite qu’il ne soit dépensé plusieurs fois par un même utilisateur. Cette innovation a été essentielle pour le succès et la sécurité du bitcoin. Elle intéresse d’ailleurs de nombreux acteurs, comme les banques commerciales. Géréer de manière automatique et décentralisée le système de paiement permet en effet d’épargner d’importantes sommes d’argent. Cependant, le bitcoin n’est pas sans connaître quelques difficultés. Au regard de l’efficacité économique, le bitcoin est encore loin de constituer une monnaie de confiance. De nombreuses fraudes et quelques faillites retentissantes ont émoussé l’enthousiasme initial qu’il suscitait. Par ailleurs, la conception même du bitcoin interdit qu’un État ou qu’une banque centrale puisse intervenir, une impossibilité qui, en cas de crise, peut se révéler problématique. Le bitcoin soulève également problème au regard de la justice sociale. Tous les utilisateurs ne sont pas égaux, notamment en termes technologiques. Par ailleurs, bien que la protection de la vie privée et des données personnelles de chaque utilisateur soit légitime, l’anonymat des utilisateurs de bitcoins constitue un nouvel instrument pour le blanchiment d’argent qui complique le travail des autorités fiscales. Ce numéro de Regards économiques entend éclairer le fonctionnement des crypto-monnaies, en prenant l’exemple du bitcoin. Il apporte également quelques réflexions sur les enjeux économiques et éthiques de cette nouvelle forme de monnaie. En conclusion, il insiste sur les enseignements principaux et les pistes éventuelles que tracent ces nouvelles monnaies.
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Larue, Louis. "Numéro 127 - septembre 2016." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2016.09.02.

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Анотація:
De nombreuses monnaies parallèles circulent depuis toujours à côté de la monnaie officielle. Aujourd’hui, une nouvelle génération de monnaie est en train de naître des nouvelles technologies : les crypto-monnaies, dont l’exemple le plus connu est le bitcoin. Ces monnaies n’existent que sous forme de code informatique, sans équivalent papier ou métallique. Leur particularité est d’être créées et gérées de manière décentralisée. Bien qu’elles constituent une avancée technologique remarquable, elles soulèvent de nombreux défis tant éthiques qu’économiques, que ce numéro de Regards économiques essaie d’éclairer. Le bitcoin est aujourd’hui la crypto-monnaie la plus populaire. Son fonctionnement est totalement indépendant des banques et des États, et garantit l’anonymat des utilisateurs. Sa sécurité repose sur une innovation cruciale : un système de paiement entièrement décentralisé. Plus besoin de banques commerciales ou de banques centrales pour gérer le système de paiement et s’assurer de la sécurité des transactions. L’ensemble des paiements en bitcoin est archivé dans un registre public (le «distributed ledger»), conçu pour être infalsifiable (ou presque). Ce registre permet d’éviter un problème inhérent à toute monnaie électronique sans forme matérielle : la possibilité de dépenser plusieurs fois un même bitcoin pour plusieurs transactions. Puisqu’aucune autorité ne possède un pouvoir de contrôle sur le bitcoin et ne peut surveiller les transactions, ce registre virtuel garantit un traçage de chaque bitcoin et évite qu’il ne soit dépensé plusieurs fois par un même utilisateur. Cette innovation a été essentielle pour le succès et la sécurité du bitcoin. Elle intéresse d’ailleurs de nombreux acteurs, comme les banques commerciales. Géréer de manière automatique et décentralisée le système de paiement permet en effet d’épargner d’importantes sommes d’argent. Cependant, le bitcoin n’est pas sans connaître quelques difficultés. Au regard de l’efficacité économique, le bitcoin est encore loin de constituer une monnaie de confiance. De nombreuses fraudes et quelques faillites retentissantes ont émoussé l’enthousiasme initial qu’il suscitait. Par ailleurs, la conception même du bitcoin interdit qu’un État ou qu’une banque centrale puisse intervenir, une impossibilité qui, en cas de crise, peut se révéler problématique. Le bitcoin soulève également problème au regard de la justice sociale. Tous les utilisateurs ne sont pas égaux, notamment en termes technologiques. Par ailleurs, bien que la protection de la vie privée et des données personnelles de chaque utilisateur soit légitime, l’anonymat des utilisateurs de bitcoins constitue un nouvel instrument pour le blanchiment d’argent qui complique le travail des autorités fiscales. Ce numéro de Regards économiques entend éclairer le fonctionnement des crypto-monnaies, en prenant l’exemple du bitcoin. Il apporte également quelques réflexions sur les enjeux économiques et éthiques de cette nouvelle forme de monnaie. En conclusion, il insiste sur les enseignements principaux et les pistes éventuelles que tracent ces nouvelles monnaies.
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Belmadani, Abdellah. "Quand les crypto-monnaies rivalisent avec la monnaie souveraine." Technologie et innovation 8, no. 1 (January 2023). http://dx.doi.org/10.21494/iste.op.2023.0910.

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Larue, Louis. "Focus 26 - janvier 2021." Regards économiques, January 28, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.01.28.01.

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Анотація:
Les crypto-monnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, animent le débat public depuis au moins 10 ans. A leur avènement, les banques centrales se sont montrées pour le moins frileuses. Ainsi, dans un rapport publié en 2013, la Banque centrale européenne (BCE) avertissait que la nature non réglementée de ces monnaies pourrait exposer leurs utilisateurs à des risques élevés. Plusieurs années plus tard, les banquiers centraux reconnaissent maintenant leur potentiel. La Banque d'Angleterre, la Banque centrale suédoise et la BCE étudient toutes intensément la possibilité d'émettre leur propre monnaie numérique (ci-après dénommée «monnaie numérique de banque centrale» ou «central bank digital currencies» en anglais). Cet enthousiasme est-il justifié ? Les banques centrales devraient-elles créer leur propre monnaie numérique ? Ce focus de Regards économiques présente d’abord brièvement ce que sont ces monnaies. Il expose ensuite les raisons justifiant leur éventuelle introduction et détaille finalement les risques qu’elles pourraient poser. Notons tout d’abord que ces monnaies ne sont pas une copie «publique» des crypto-monnaies privées. Les banques centrales rejettent en effet la nature décentralisée et l’absence de gouvernance unifiée du Bitcoin et des crypto-monnaies similaires. Par ailleurs, la nature «numérique» de ces nouvelles monnaies n’est pas vraiment une innovation. La majorité de la masse monétaire prend déjà une forme numérique. A côté de la monnaie «physique» (pièces et billets), la plus grande partie de notre monnaie est constituée de dépôts bancaires privés et de dépôts à la banque centrale (la monnaie de réserve). Pour l'instant, seules les banques et certaines institutions financières ont accès aux réserves de la banque centrale. La véritable innovation au cœur des monnaies numériques de banque centrale serait de donner aux particuliers et aux entreprises la possibilité de détenir de l'argent sous forme de dépôts directement auprès de la banque centrale. En somme, les monnaies numériques de banques centrales, malgré leur nom, ne formeraient pas une nouvelle monnaie, mais plutôt un nouveau moyen de payement, labellisé en euros, et de valeur équivalente à l’euro. Pour quelles raisons une banque centrale pourrait-elle donner cette opportunité à toutes et tous ? Une première raison est liée à la dépendance des banques centrales vis-à-vis du système financier. Le système financier moderne est basé sur une certaine division du travail entre les banques commerciales qui sont chargées de prêter de l'argent au secteur productif, et les banques centrales qui supervisent les premières et tentent d'influencer l'économie par des interventions sur les marchés financiers. Schématiquement, ces dernières tentent de peser sur le comportement des premières de deux manières : soit en modifiant le taux d’intérêt auquel les acteurs financiers peuvent leur emprunter de l’argent, soit via l’achat ou la vente d’actifs financiers. Cela signifie que les banques centrales n'ont qu'une influence indirecte sur l'économie productive et qu'elles dépendent des banques commerciales pour canaliser la politique monétaire. Lors de la crise financière de 2007-2008, par exemple, la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales a conduit les premières à injecter des milliards d'euros et de dollars sur les marchés financiers, dans l'espoir que les banques commerciales utilisent cet argent pour des investissements productifs. Or, l’efficacité de ces politiques est loin d’être démontrée. D’aucuns s’effraient que cette situation ne génère des bulles spéculatives et ne privilégie indûment les banques commerciales, sans que ces dernières ne financent l’économie productive à la hauteur des espérances des banquiers centraux. La mise en œuvre de monnaies numériques de banque centrale à grande échelle pourrait modifier radicalement cette situation. Cela offrirait un système de paiement alternatif qui ne serait pas géré par le secteur bancaire commercial. Les citoyens pourraient également choisir de placer leurs économies sur un compte à la banque centrale qui, par définition, serait plus sûr qu’un compte dans une banque commerciale. En outre, l'introduction de ces monnaies réduirait la dépendance des banques centrales vis-à-vis des banques commerciales en permettant aux banques centrales de créditer directement les comptes des citoyens ou des entreprises, sans nécessairement recourir à des intermédiaires bancaires. Par conséquent, l'introduction de ces monnaies pourrait rendre la politique monétaire plus directe et plus simple. A première vue, donc, on pourrait se réjouir de la possibilité de limiter la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales. Il convient cependant de considérer plusieurs problèmes importants. Premièrement, si les particuliers et les entreprises décident de considérer leur banque centrale comme leur fournisseur de services bancaires, ne risque-t-on pas de rendre les banques commerciales obsolètes et superflues ? Dans ce cas extrême, ni les citoyens ni les banques centrales n'auraient plus besoin d'intermédiaires pour l’octroi de crédits et l’accueil de dépôts. Les banques commerciales garderaient sans doute le rôle d’intermédiaire sur les marchés financiers, mais manqueraient d'une source de financement appropriée (les dépôts des clients) et perdraient une de leurs principales activités (les prêts). La taille des marchés financiers pourrait se réduire considérablement. Cela pourrait fragiliser la santé économique des banques commerciales et celle des marchés financiers dans leur ensemble. Un deuxième problème concerne l’équilibre des pouvoirs entre gouvernements, banques centrales et banques commerciales. À la suite de la crise financière, les banques centrales ont déjà acquis d'énormes pouvoirs. La BCE a par exemple participé à la Troïka en Grèce et dicté des réformes économiques structurelles dans ce pays. La Réserve fédérale américaine (la Fed), la BCE et la Banque d'Angleterre ont également obtenu des pouvoirs supplémentaires de supervision du système bancaire. Et elles sont toutes intervenues massivement sur les marchés financiers, par l'achat massif d'obligations et de titres. L’introduction de monnaies numériques de banque centrale renforcerait ces tendances et accroîtrait le poids des banques centrales sur les marchés financiers, en leur donnant un accès direct aux comptes des citoyens et des entreprises, et en leur permettant de contourner les acteurs financiers commerciaux. Ce déséquilibre de pouvoir pourrait encore accroître le déficit démocratique dont souffrent les banques centrales. Par ailleurs, les banques centrales, si elles sont amenées à fournir des services bancaires et à alimenter l'économie productive par le crédit, pourraient être entraînées dans d’importants conflits d'intérêts. En effet, ces dernières deviendraient leur propre régulateur. En conclusion, il est certain que les monnaies numériques de banque centrale suscitent un débat intéressant sur le rôle des banques centrales dans le système financier. D’une part, elles pourraient constituer une piste de solution à la dépendance des banques centrales vis-à-vis des marchés financiers. Cependant, elles pourraient également conduire à accroître démesurément les pouvoirs des banques centrales et à fragiliser les marchés financiers en rendant le financement des banques commerciales plus complexe. L’enjeu, en définitive, est le partage du pouvoir financier entre banques commerciales et banques centrales – un débat qui dépasse de loin l’objectif de ce focus, et qu’il ne prétend pas trancher. Pour aller plus loin : Larue, L., Fontan, C. et Sandberg, J. (2020). The promises and perils of Central Bank Digital Currencies. Revue de la Régulation, Numéro 28.
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Zerkhefaoui, Lyas, and Akila Rachedi. "La Digitalisation De La Monnaie, Une Innovation Technologique Ou Un Changement De Paradigme:, Exemple Du Bitcoin Comme Crypto-Monnaie." مجلة رماح للبحوث والدراسات, 2020, 417. http://dx.doi.org/10.33953/1371-000-050-012.

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EL GHALDY, SOUKAINA. "COMMENT PRÉDIRE LE COURS DU BITCOIN ?" Management & Data Science, July 1, 2022. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.20456.

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Le bitcoin est la crypto-monnaie la plus populaire au monde. Selon le site coinmarketcap, son prix a augmenté de 1000% entre 2020 et 2021 allant de 6 000 à 60 000 dollars américains. Une croissance qui en a fait un actif très intéressant dans le portefeuille des investisseurs. Cet article a pour objectif de résumer les résultats d’un projet destiné à prédire le cours du bitcoin en utilisant des algorithmes d’intelligence artificielle. Cette étude a démontré l’intérêt d’ajouter un composant sentimental au réseau neuronale LSTM afin de prédire le cours BTC/USDT.

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