Добірка наукової літератури з теми "Crises économiques – Liban – 2000-"

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Статті в журналах з теми "Crises économiques – Liban – 2000-":

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Corm, George. "Le Liban et les retombées économiques des révoltes arabes." Oriente Moderno 94, no. 2 (November 18, 2014): 302–16. http://dx.doi.org/10.1163/22138617-12340060.

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Анотація:
The article focuses on the impact on the Lebanese economy of the major political and military events that have affected the country since the 1943 independence. In particular the article discusses the consequences of the Arab Uprisings and comparatively analyzes them within the context of previous external and domestic crises affecting Lebanon. The study shows how and to which extent, the Lebanese economy often took advantage from the crisis of its neighbors but, at the same time, how those crises had some long-term destabilizing effects on the country, especially between 1975 and 1990.The external interferences on the current Syrian crisis and its disruptive consequences on the Lebanese political and economic system are also considered.
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Richards, David L., and Ronald D. Gelleny. "Banking Crises, Collective Protest and Rebellion." Canadian Journal of Political Science 39, no. 4 (December 2006): 777–801. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423906060264.

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Анотація:
Abstract. Both developed and developing countries have experienced turmoil associated with banking sector failures. However, while there exists literature studying the economic costs of banking meltdowns, little scholarly attention has been devoted to examining the relationship between banking crises and domestic agitation (internal conflict). Failing to explore the impact of banking crises on domestic agitation risks excluding a key component in understanding the puzzle of domestic political stability. Examining a dataset of 125 countries for the years 1981 to 2000, we find banking crises to be systematically associated with greater levels of collective protest activities such as riots, anti-government demonstrations and strikes.Résumé. Les défaillances du secteur bancaire ont causé des perturbations sociales aussi bien dans les pays développés que dans les pays en voie de développement. Toutefois, tandis qu'il existe des recherches sur les coûts économiques des faillites bancaires, les chercheurs se sont peu intéressés au rapport entre crises bancaires et problèmes socio-politiques intérieurs. En négligeant l'effet des crises bancaires sur les troubles sociaux intérieurs, on risque d'exclure un élément clé de l'analyse complexe de la stabilité politique intérieure. L'examen d'un ensemble de données sur 125 nations pour les années 1981 à 2000, nous permet de constater que les crises bancaires sont systématiquement associées à une accélération des activités de protestation collective telles que les émeutes, les manifestations anti-gouvernementales et les grèves.
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Chrabieh, Pamela. "Théologies libanaises du dialogue islamo-chrétien." Thème 19, no. 2 (May 1, 2014): 101–35. http://dx.doi.org/10.7202/1024730ar.

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Анотація:
Dans un contexte d’« hiver arabe », caractérisé par la guerre, la répression des libertés, les crises socio-économiques et la montée des extrémismes, il devient plus que crucial de mettre en avant les discours et les pratiques de dialogue, de convivialité et de construction de la paix au Liban, notamment théologiques. En ce sens, je présente dans cet article un aperçu des approches du métropolite grec-orthodoxe Georges Khodr et de l’érudit chiite Mahmoud Ayoub, lesquels font partie d’un courant que j’ai nommé « le courant de la culture du dialogue ». Khodr et Ayoub développent justement des théologies qui appellent, d’une part, à une certaine forme de séparation entre la politique et la religion, mais aussi, d’autre part, à l’implantation d’une « société pluraliste religieuse », formée de croyants en Dieu. Après avoir rappelé à grands traits le contexte libanais, je présente à deux reprises la pensée des auteurs : d’abord de manière globale, puis de manière plus analytique — par le biais conceptuel d’une théologie mystique et apophatique, mais aussi contextuelle et libérationniste (chez Khodr), et par le biais de l’al-iğtihād (chez Ayoub). Cela me permet, en conclusion, de montrer le front commun de leur combat, puis de cerner leurs apports et leurs limites respectives.
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Morin, Marc. "Évolution du stress au travail et des régulations macro-économiques." Management & Sciences Sociales N° 16, no. 1 (January 1, 2014): 14–31. http://dx.doi.org/10.3917/mss.016.0014.

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Анотація:
L’hypothèse générale de ce travail s’énonce en deux temps. Deux facteurs macroéconomiques et macro sociaux majeurs sont d’abord à l’origine du développement des risques psychosociaux, et de différentes formes de stress au travail et dans le cadre des rapports salariaux qui sont observables durant la décennie 2000. D’un côté, la poursuite de l’augmentation du chômage de masse et des sous-emplois, la socialisation de plusieurs générations dans un contexte de chômage massif et structurel, augmentent les risques objectifs de déclassement voire de licenciement, mais également une certaine précarité subjective d’un large éventail de salariés sur laquelle les stratégies de certaines organisations s’appuient. De l’autre, la montée en charge du pouvoir de la finance, illustrée par les crises financières, exige davantage de l’entreprise et pèse sur l’adoption de conventions managériales de rigueur cherchant à obtenir du travail plus de résultats à court terme. En fonction aussi d’autres facteurs, et en particulier de la crise du syndicalisme ou du militantisme, le chômage de masse et les formes de précarisation subjective, qui l’accompagnent, participent ensuite à la production d’une forme de stress spécifique de fixation aux organisations stressantes. Les sorties de l’entreprise étant moins fréquentes (Exit au sens d’A. O. Hirschman, 1970, de R. B. Freeman et J. Medoff, 1984), les prises de parole collectives (Voice) dans les entreprises allant en diminuant, des formes d’inhibition de l’action (Laborit, 1979) se développent en tendant en quelque sorte à accentuer l’exposition des salariés aux différents agents stressants .
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Анотація:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Varghese, N. V. "What Changed after “Peril and Promise”? An Analysis of Higher Education in Developing Countries." International Journal of African Higher Education 3, no. 1 (December 22, 2016). http://dx.doi.org/10.6017/ijahe.v3i1.9639.

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“Peril and Promise” (Task Force, 2000) was published when higher education in developing countries was under great stress and strain. The sector received only peripheral reference in development discourses, no priority in resource allocations, and low returns on investments. The higher education sector in developing countries was growing slow and gross enrollment ratios (GERs) were low.This article attempts to analyze the transformation of the sector in the period after “Peril and Promise:” its revival; new forms of globalization; the move away from government funding and control and the ascent of private providers; the sector’s successful survival of severe global economic crises; and new forms of government and management.---« Péril et promesse » (Groupe de Travail sur l’Enseignement Supérieur et la Société, 2000) fut publié alors que l’enseignement supérieur subissait une importante pression et était mis en difficulté. Le secteur n’était mentionné qu’en annexe dans les discours sur le développement, ne bénéficiait d’aucune priorité dans les attributions de ressources et ne recevait que de faibles retours sur investissements. La croissance du secteur de l’enseignement supérieur dans les pays en voie de développement était lente et le taux brut de scolarisation (TBS) bas.Cet article cherche à analyser la transformation du secteur durant la période qui a suivi la publication de “Péril et promesse” : son renouveau, les nouvelles formes de mondialisation, la réduction des financements gouvernementaux et du contrôle gouvernemental couplé à l’ascension des prestataires privés, la survie remarquable du secteur face à de sévères crises économiques mondiales, et l’apparition de nouvelles formes de gouvernement et de gestion.
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Docquier, Frédéric, and Joël Machado. "Numéro 119 - octobre 2015." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.14453.

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Ces dernières semaines, des milliers de migrants syriens et irakiens ont rejoint l'Europe pour tenter d'y obtenir le statut de réfugié politique. Selon toute vraisemblance, la Belgique pourrait en accueillir entre 25.000 et 30.000 en 2015. Bien que notre politique d'asile n'ait pas pour vocation de renforcer notre compétitivité ou d'améliorer le bien-être des natifs, les discussions autour de cette crise de l'asile sont de nature utilitariste : elles portent sur notre capacité d'absorption et sur les implications économiques pour l'économie belge et ses citoyens. Avec toute la prudence qui s'impose, ce numéro de Regards économiques discute les enjeux de cette crise pour l'économie belge. Premièrement, les demandeurs d’asile sont parfois considérés comme des migrants visant principalement à bénéficier de notre protection sociale. Les faits indiquent qu'il est simpliste et erroné d'assimiler l'exode massif des syriens et irakiens à une migration économique. L'exode actuel est sans commune mesure avec les flux réguliers et avec les données d’intentions migratoires récoltées en régime de croisière; il constitue la seule réponse possible à l'un des conflits internes les plus meurtriers de ces dernières décennies. Deuxièmement, les enquêtes d’opinion révèlent qu’une partie importante de la population perçoit des effets négatifs de l’immigration sur le marché du travail et les finances publiques, mais aussi sur la sécurité nationale ou la cohésion sociale. Ces perceptions ne sont pas confirmées par les études académiques qui montrent qu’à son niveau actuel, l'immigration engendre des effets faibles et souvent positifs. Ceci ne signifie aucunement qu'une augmentation illimitée de l'immigration est économiquement souhaitable ou qu’elle ne génère pas des poches locales de chômage ou des tensions sociales. Troisièmement, l'impact économique de la politique d'asile peut différer de celui de l'immigration traditionnelle à deux égards, le timing et la composition des flux. Sur la question du timing, il est clair que l'évolution du nombre de demandeurs d'asile est caractérisée par des pics temporaires importants. Ces pics peuvent, en théorie, engendrer des coûts d'ajustement important à court terme. Toutefois, les observations du passé (crises de l’asile de 1994 ou de 2000), révèlent plutôt une relation inverse entre la demande d'asile et le taux de chômage. Sur la question de la composition des flux, les données suggèrent que les jeunes adultes syriens et irakiens qui composent les flux de demandeurs d’asile sont susceptibles d’être relativement bien diplômés, ce qui les rend plus facilement assimilables à moyen terme. En bref, des incertitudes pèsent sur l'ampleur des effets de la crise de l'asile sur l'économie belge, mais il y a de fortes raisons de penser que cette crise peut être transformée en opportunité à moyen terme. Tout doit être mis en œuvre pour faciliter l'intégration économique et sociale des demandeurs d'asile et réfugiés. Il en va de notre intérêt commun.
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Docquier, Frédéric, and Joël Machado. "Numéro 119 - octobre 2015." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2015.10.02.

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Ces dernières semaines, des milliers de migrants syriens et irakiens ont rejoint l'Europe pour tenter d'y obtenir le statut de réfugié politique. Selon toute vraisemblance, la Belgique pourrait en accueillir entre 25.000 et 30.000 en 2015. Bien que notre politique d'asile n'ait pas pour vocation de renforcer notre compétitivité ou d'améliorer le bien-être des natifs, les discussions autour de cette crise de l'asile sont de nature utilitariste : elles portent sur notre capacité d'absorption et sur les implications économiques pour l'économie belge et ses citoyens. Avec toute la prudence qui s'impose, ce numéro de Regards économiques discute les enjeux de cette crise pour l'économie belge. Premièrement, les demandeurs d’asile sont parfois considérés comme des migrants visant principalement à bénéficier de notre protection sociale. Les faits indiquent qu'il est simpliste et erroné d'assimiler l'exode massif des syriens et irakiens à une migration économique. L'exode actuel est sans commune mesure avec les flux réguliers et avec les données d’intentions migratoires récoltées en régime de croisière; il constitue la seule réponse possible à l'un des conflits internes les plus meurtriers de ces dernières décennies. Deuxièmement, les enquêtes d’opinion révèlent qu’une partie importante de la population perçoit des effets négatifs de l’immigration sur le marché du travail et les finances publiques, mais aussi sur la sécurité nationale ou la cohésion sociale. Ces perceptions ne sont pas confirmées par les études académiques qui montrent qu’à son niveau actuel, l'immigration engendre des effets faibles et souvent positifs. Ceci ne signifie aucunement qu'une augmentation illimitée de l'immigration est économiquement souhaitable ou qu’elle ne génère pas des poches locales de chômage ou des tensions sociales. Troisièmement, l'impact économique de la politique d'asile peut différer de celui de l'immigration traditionnelle à deux égards, le timing et la composition des flux. Sur la question du timing, il est clair que l'évolution du nombre de demandeurs d'asile est caractérisée par des pics temporaires importants. Ces pics peuvent, en théorie, engendrer des coûts d'ajustement important à court terme. Toutefois, les observations du passé (crises de l’asile de 1994 ou de 2000), révèlent plutôt une relation inverse entre la demande d'asile et le taux de chômage. Sur la question de la composition des flux, les données suggèrent que les jeunes adultes syriens et irakiens qui composent les flux de demandeurs d’asile sont susceptibles d’être relativement bien diplômés, ce qui les rend plus facilement assimilables à moyen terme. En bref, des incertitudes pèsent sur l'ampleur des effets de la crise de l'asile sur l'économie belge, mais il y a de fortes raisons de penser que cette crise peut être transformée en opportunité à moyen terme. Tout doit être mis en œuvre pour faciliter l'intégration économique et sociale des demandeurs d'asile et réfugiés. Il en va de notre intérêt commun.
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Beltran-Lopez, Helena. "Numéro 4 - août 2002." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16253.

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Au cours des derniers 26 mois, les marchés boursiers se sont inscrits en forte baisse des deux côtes de l'Atlantique. L'indice Standard and Poor's 500 est ainsi retombé en dessous des 1000 points, totalisant une perte réelle de plus de 40 % par rapport à janvier 2000. Le climat boursier morose a de plus été accentué par les récents scandales financiers comme Worldcom et Enron renforçant davantage la méfiance des investisseurs à l'égard des placements en actions. Dans ce contexte, de nombreux obser­vateurs craignent que la crise boursière ne pèse sur la croissance de l’économie réelle, en dépit de quelques signes de reprise. Plus particulièrement, certains affirment que la consommation des ménages américains a été soutenue par l’envolée des cours boursiers à la fin des années 90. Ils craignent donc que, de la même façon, la chute des cours n’incite les ménages à restreindre fortement leurs dépenses, ce qui repousserait la reprise tant attendue. Mais qu'en est-il vraiment ? Aux Etats-Unis, une diminution de 1 dollar américain de la richesse bour­sière ne se répercuterait sur la consommation qu'à concurrence de 4 cents. Ainsi, l’envolée des cours boursiers entre 1997 et 1999 n’aurait soutenu la croissance de la consommation qu’à hauteur de 0,2 à 0,3 point de croissance chaque année, ce qui n’est pas négligeable, mais reste faible par rapport aux 5 % de croissance annuelle de la consommation américaine enregistrés pendant cette période. Certes, diront certains, que l’effet soit faible n’est pas surprenant, car la majorité du patrimoine boursier est détenu par seulement 10 % des ménages américains. D'un autre côté, on pourrait arguer que, du fait de la plus forte pénétration du marché boursier tant dans la vie quotidienne que dans le patrimoine des ménages, le moral des ménages (mesuré par les indicateurs de confiance des consommateurs) risque d’être sensible aux fluctuations des marchés boursiers. Une étude menée à l’IRES et publiée dans Regards Économiques confirme qu’effectivement les cours boursiers ont un impact sur le moral des ménages américains, et ce depuis le début des années 90 seulement. Mais les principaux déterminants du moral des ménages restent de loin les conditions sur le marché du travail et le revenu. En Belgique, les ménages continuent d’investir, «en bon père de famille», dans des placements peu risqués, bien que la part des actions dans leur patrimoine augmente régulièrement depuis le début des années 90. Les ménages belges sont donc probablement encore moins sensibles aux fluctuations bour­sières que leurs homologues américains. D’ailleurs, plusieurs études montrent que l’impact de la richesse boursière sur la consommation devrait être faible, et que seules les conditions sur le marché du travail semblent influencer leur moral. Doit-on en conclure que la consommation est à l’abri des crises boursières, tant en Belgique qu’aux Etats-Unis ? Cela nous semble hâtif. En effet, dans les deux pays, de plus en plus de ménages détien­nent des actions, et cette meilleure répartition pourrait expliquer que l’impact de la bourse sur la consommation puisse être plus important dans le futur. Malheureusement, ces changements profonds dans la structure du patrimoine étant récents, nous manquons de recul pour pouvoir mesurer correc­tement leur impact sur le comportement des consommateurs. Par ailleurs, un autre élément, plus ponctuel, pourrait intervenir dans les prochains mois aux Etats-Unis. En effet, depuis quelques années, le moral des ménages américains (et donc leur consommation) est resté élevé, alors que leur situation financière n’a cessé de se dégrader suite à un endettement record. On peut donc craindre que, compte tenu des incertitudes quant à la reprise américaine, la durée ainsi que l'ampleur de la crise boursière actuelle n’amènent les ménages à réévaluer leur situation et à restreindre durablement leurs dépenses. La forte baisse de l'indicateur de confiance aux Etats-Unis en juillet dernier, alors que ses principaux déterminants macroéconomiques étaient relativement stables, est de ce point de vue inquiétant. Si ce scénario se confirmait, l’ensemble des ménages serait touché, et non plus uniquement les ménages ayant investi en bourse. L’impact sur la consommation serait alors non négligeable et probablement durable; quant à la reprise économique, elle interviendrait plus tard et de manière moins vigoureuse qu’attendue. En Belgique, aucun élément empirique n’indique que les ménages belges soient influencés par les fluctuations boursières. Bien sûr, la possibilité d'un «choc psychologique» similaire à celui suggéré pour les Etats-Unis ne peut être totalement écartée, mais cela semble peu probable, notamment au regard de la faible pénétration des actions dans le patrimoine des ménages belges. D'ailleurs, malgré le climat d'incertitudes actuel quant à la reprise économique, l'indicateur de confiance de la Banque Nationale de Belgique est resté remarquablement stable depuis le début de l'année. Le principal risque pour l’économie belge, par rapport à la crise boursière actuelle, résiderait alors dans l'importation de la récession américaine via le commerce extérieur.
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Beltran-Lopez, Helena. "Numéro 4 - août 2002." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2002.08.01.

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Au cours des derniers 26 mois, les marchés boursiers se sont inscrits en forte baisse des deux côtes de l'Atlantique. L'indice Standard and Poor's 500 est ainsi retombé en dessous des 1000 points, totalisant une perte réelle de plus de 40 % par rapport à janvier 2000. Le climat boursier morose a de plus été accentué par les récents scandales financiers comme Worldcom et Enron renforçant davantage la méfiance des investisseurs à l'égard des placements en actions. Dans ce contexte, de nombreux obser­vateurs craignent que la crise boursière ne pèse sur la croissance de l’économie réelle, en dépit de quelques signes de reprise. Plus particulièrement, certains affirment que la consommation des ménages américains a été soutenue par l’envolée des cours boursiers à la fin des années 90. Ils craignent donc que, de la même façon, la chute des cours n’incite les ménages à restreindre fortement leurs dépenses, ce qui repousserait la reprise tant attendue. Mais qu'en est-il vraiment ? Aux Etats-Unis, une diminution de 1 dollar américain de la richesse bour­sière ne se répercuterait sur la consommation qu'à concurrence de 4 cents. Ainsi, l’envolée des cours boursiers entre 1997 et 1999 n’aurait soutenu la croissance de la consommation qu’à hauteur de 0,2 à 0,3 point de croissance chaque année, ce qui n’est pas négligeable, mais reste faible par rapport aux 5 % de croissance annuelle de la consommation américaine enregistrés pendant cette période. Certes, diront certains, que l’effet soit faible n’est pas surprenant, car la majorité du patrimoine boursier est détenu par seulement 10 % des ménages américains. D'un autre côté, on pourrait arguer que, du fait de la plus forte pénétration du marché boursier tant dans la vie quotidienne que dans le patrimoine des ménages, le moral des ménages (mesuré par les indicateurs de confiance des consommateurs) risque d’être sensible aux fluctuations des marchés boursiers. Une étude menée à l’IRES et publiée dans Regards Économiques confirme qu’effectivement les cours boursiers ont un impact sur le moral des ménages américains, et ce depuis le début des années 90 seulement. Mais les principaux déterminants du moral des ménages restent de loin les conditions sur le marché du travail et le revenu. En Belgique, les ménages continuent d’investir, «en bon père de famille», dans des placements peu risqués, bien que la part des actions dans leur patrimoine augmente régulièrement depuis le début des années 90. Les ménages belges sont donc probablement encore moins sensibles aux fluctuations bour­sières que leurs homologues américains. D’ailleurs, plusieurs études montrent que l’impact de la richesse boursière sur la consommation devrait être faible, et que seules les conditions sur le marché du travail semblent influencer leur moral. Doit-on en conclure que la consommation est à l’abri des crises boursières, tant en Belgique qu’aux Etats-Unis ? Cela nous semble hâtif. En effet, dans les deux pays, de plus en plus de ménages détien­nent des actions, et cette meilleure répartition pourrait expliquer que l’impact de la bourse sur la consommation puisse être plus important dans le futur. Malheureusement, ces changements profonds dans la structure du patrimoine étant récents, nous manquons de recul pour pouvoir mesurer correc­tement leur impact sur le comportement des consommateurs. Par ailleurs, un autre élément, plus ponctuel, pourrait intervenir dans les prochains mois aux Etats-Unis. En effet, depuis quelques années, le moral des ménages américains (et donc leur consommation) est resté élevé, alors que leur situation financière n’a cessé de se dégrader suite à un endettement record. On peut donc craindre que, compte tenu des incertitudes quant à la reprise américaine, la durée ainsi que l'ampleur de la crise boursière actuelle n’amènent les ménages à réévaluer leur situation et à restreindre durablement leurs dépenses. La forte baisse de l'indicateur de confiance aux Etats-Unis en juillet dernier, alors que ses principaux déterminants macroéconomiques étaient relativement stables, est de ce point de vue inquiétant. Si ce scénario se confirmait, l’ensemble des ménages serait touché, et non plus uniquement les ménages ayant investi en bourse. L’impact sur la consommation serait alors non négligeable et probablement durable; quant à la reprise économique, elle interviendrait plus tard et de manière moins vigoureuse qu’attendue. En Belgique, aucun élément empirique n’indique que les ménages belges soient influencés par les fluctuations boursières. Bien sûr, la possibilité d'un «choc psychologique» similaire à celui suggéré pour les Etats-Unis ne peut être totalement écartée, mais cela semble peu probable, notamment au regard de la faible pénétration des actions dans le patrimoine des ménages belges. D'ailleurs, malgré le climat d'incertitudes actuel quant à la reprise économique, l'indicateur de confiance de la Banque Nationale de Belgique est resté remarquablement stable depuis le début de l'année. Le principal risque pour l’économie belge, par rapport à la crise boursière actuelle, résiderait alors dans l'importation de la récession américaine via le commerce extérieur.

Дисертації з теми "Crises économiques – Liban – 2000-":

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El, Zoghbi Silvana. "Les essais cliniques au Liban : analyse des défis éthiques en temps de crise." Electronic Thesis or Diss., Université Paris Cité, 2023. http://www.theses.fr/2023UNIP7167.

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Contexte : Cette thèse se concentre sur les essais cliniques au Liban, un sujet peu exploré jusqu'à présent. La conduite d'essais cliniques reste indispensable pour faire progresser la recherche scientifique. Ces trois dernières années, le Liban a été confronté à une série de crises majeures, notamment la crise socio-économique, la pandémie de Covid-19 et l'explosion du port de Beyrouth en août 2020. Il est probable que les essais cliniques aient été significativement impactés par ces événements en raison de la détérioration du système de santé. Dans ce contexte, ce travail examine les enjeux éthiques entourant les essais cliniques au Liban, en mettant l'accent sur les perspectives des médecins, acteurs clés de ces essais, dans un environnement socio-économique, juridique et politique complexe. Méthode : Dans le but de compléter l'analyse exploratoire de la littérature, qui s'est avérée insuffisante pour répondre à notre question de recherche, nous avons opté pour une étude qualitative basée sur des entretiens dirigés. Cette méthode permet d'explorer la problématique en évaluant les représentations des médecins quant à la possibilité de réaliser encore des essais cliniques, en particulier face aux enjeux éthiques, dans le contexte actuel de crise. Grâce à cette approche, les motivations et les préoccupations des médecins pourront être mieux comprises. Résultats : Dans le contexte de la crise économique, politique et sanitaire au Liban, les médecins ont adopté des attitudes mitigées vis-à-vis des essais cliniques. Certains médecins restent intéressés par les essais cliniques ; ils les voient comme une opportunité d'accéder à des traitements innovants pour leurs patients et de contribuer à l'avancement de la recherche médicale malgré les défis auxquels ils sont confrontés. D'autres, cependant, sont préoccupés par les difficultés liées à la conduite des essais cliniques dans un environnement instable, avec des ressources limitées et une pénurie de médicaments et de matériel. En outre, la charge de travail accrue et le stress émotionnel liés à l'insécurité financière, la pandémie de Covid-19 et l'explosion du port de Beyrouth semblent contribuer à un manque de motivation chez les médecins. De plus, l'émigration de médecins qualifiés a rendu difficile la conduite des essais. Selon plusieurs médecins de l'étude, la corruption et l'instabilité politico-économique, ont également conduit à des préoccupations émergentes et une méfiance quant aux conditions de sécurité et d'éthique dans lesquelles les essais sont menés. Discussion : Au Liban, malgré les différentes crises qui ont secoué le pays ces trois dernières années, les essais cliniques sont encore possibles. Cependant, en état de crise, les essais cliniques présentent de nouveaux enjeux éthiques tels que la pertinence des sujets de recherche, la sécurité des participants à l'étude, la qualité de leur information et de leur consentement libre et éclairé, ainsi que l'équité dans leur recrutement. La pression économique sur les établissements de recherche et les chercheurs peut aboutir à une négligence des aspects éthiques de la recherche, telle qu'une supervision inadéquate. La priorisation des essais cliniques dans le contexte de la crise sanitaire peut également entraîner des conflits d'intérêts entre la nécessité de répondre aux besoins urgents de la population et l'évaluation rigoureuse des risques et des avantages de ces essais. Les enjeux éthiques de la recherche clinique au Liban en état de crise nécessitent donc une attention particulière et une application appropriée de la régulation pour assurer la sécurité et le respect des droits des participants. Il convient de noter que les priorités changent en période de crise, et que les besoins en termes d'accès aux soins de base peuvent être plus urgents que les besoins en recherche clinique. Dans ces circonstances, il peut être difficile de trouver un équilibre entre les priorités concurrentes
Context: This thesis focuses on clinical trials in Lebanon, a topic that has been little explored until now. Conducting clinical trials remains essential for advancing scientific research. Over the past three years, Lebanon has faced a series of major crises, including the socio-economic crisis, the Covid-19 pandemic, and the explosion at the port of Beirut in August 2020. It is likely that clinical trials have been significantly impacted by these events due to the deterioration of the healthcare system. In this context, this work examines the ethical issues surrounding clinical trials in Lebanon, with a focus on the perspectives of physicians, key actors in these trials, in a complex socio-economic, legal, and political environment. Method: In order to supplement the exploratory analysis of the literature, which proved insufficient to answer our research question, we opted for a qualitative study based on directed interviews. This method allows us to explore the problem by evaluating the representations of physicians regarding the possibility of still conducting clinical trials, particularly in the face of ethical issues, in the current crisis context. Through this approach, the motivations and concerns of physicians can be better understood. Results: In the context of the economic, political, and health crisis in Lebanon, physicians have adopted mixed attitudes towards clinical trials. Some physicians remain interested in clinical trials; they see them as an opportunity to access innovative treatments for their patients and to contribute to the advancement of medical research despite the challenges they face. Others, however, are concerned about the difficulties associated with conducting clinical trials in an unstable environment, with limited resources and a shortage of drugs and medical equipment. In addition, the increased workload and emotional stress associated with financial insecurity, the Covid-19 pandemic, and the explosion at the port of Beirut appear to contribute to a lack of motivation among physicians. Moreover, the emigration of qualified physicians has made it difficult to conduct trials. According to several physicians in the study, corruption and political-economic instability have also led to emerging concerns and mistrust regarding the safety and ethical conditions under which trials are conducted. Discussion: In Lebanon, despite the various crises that have shaken the country over the past three years, clinical trials are still possible. However, in a state of crisis, clinical trials present new ethical issues such as the relevance of research subjects, the safety of study participants, the quality of their information and free and informed consent, as well as equity in their recruitment. Economic pressure on research institutions and researchers can result in neglect of ethical aspects of research, such as inadequate supervision and poor personnel training. The prioritization of clinical trials in the context of the health crisis can also lead to conflicts of interest between the need to respond to the urgent needs of the population and the rigorous evaluation of the risks and benefits of these trials. The ethical issues of clinical research in Lebanon in a state of crisis therefore require special attention and appropriate regulatory enforcement to ensure the safety and respect for the rights of participants. It should be noted that priorities change in times of crisis, and that the need for access to basic healthcare may be more urgent than the need for clinical research. In these circumstances, it can be difficult to find a balance between competing priorities
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Abi, Chedid Camale. "La gestion des ressources humaines en période de crise économique : le cas des entreprises du secteur privé au Liban." Thesis, Paris, CNAM, 2019. http://www.theses.fr/2019CNAM1262.

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Ont été envisagées dans cette thèse, les transgressions par les chefs d’entreprises au Liban, des règles de travail en vigueur (Code du travail, de la sécurité sociale…), et des normes de la bonne gestion des ressources humaines. Ceux-ci ont remplacé ces règles par d’autres, à leur mesure. Ils ont été aidés en cela par : des crises économiques successives ; un syndicalisme morcelé et affaibli ; une inspection de travail paralysée ; un pouvoir politique miné par les conflits ; des taux de chômage très élevés ; abondance d’une main-d’œuvre étrangère à bon marché…À cet effet, nous avons mobilisé la théorie de la régulation sociale (TRS) de Jean-Daniel Reynaud (1988, 1997, 2003), qui nous a aidée à traiter les questions relatives à la redéfinition des règles de travail et de la gestion des ressources humaines ; à l’émission d’autres règles ; et à l’identification des acteurs émetteurs, de leurs stratégies, et la nature des règles émises.Pour répondre aux questions de notre problématique, nous avons effectué trois études de terrain : la première, sous forme d’entretiens avec des responsables RH dans des entreprises au Liban, qui nous ont permis d’identifier les profils de ces acteurs, leur trajectoire professionnelle, leur participation à la création des règles, et les enjeux RH. La deuxième étude a été une enquête par sondage sur 450 salariés dans les entreprises relevant des principaux secteurs économiques, auprès desquels a été administré un questionnaire portant sur les modes de gestion des ressources humaines dans leurs entreprises. Quant à la troisième, elle a été effectuée sous forme d’études de cas dans huit entreprises, à partir de 28 entretiens avec des salariés de ces entreprises. En effet, les données de tous ces travaux de terrain, nous ont permis de détecter les formes de régulation sociale et d’estimer la marge d’applicabilité de la théorie de Reynaud, à la régulation sociale au Liban via la GRH
In this thesis we have considered the transgressions made by heads of companies in Lebanon to the applicable labor rules (Labor Code, social security, etc.) and to the standards for good human resources management. These business owners have replaced these rules, among others, to suit their needs with the help of: sequential economic crises; a fragmented and weakened syndicalism; a paralyzed work inspection; a political power undermined by conflict; very high unemployment rates; abundance of low-cost foreign labor force; etc.Consequently, we have applied the Theory of Social Regulation (TRS) of Jean-Daniel Reynaud (1988, 1997, 2003), which have helped us in answering questions related to the redefinition of the rules of work and human resources management, other rulemakings, and the identification of the rulemaking actors, their strategies, and the nature of the rules issued.To answer the questions raised by our problem statement, we have conducted three field studies. The first in form of interviews with HR managers of companies in Lebanon. This study allowed us to identify the profiles of these actors, their career path, their involvement in rulemaking, and the issues faced at the level of HR. The second study was a sample survey filled by 450 employees at companies of the main economic sectors, from which a questionnaire was conducted on human resources management in these companies. As for the third, case studies were conducted in eight companies in form of 28 interviews with employees at these companies.Indeed, the data of all this fieldwork allowed us to detect forms of social regulation and to estimate the margin of applicability of Reynaud’s theory to the social regulation in Lebanon via HRM
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Bakhit, Waël. "Vers un nouveau modèle bancaire créateur de valeur : le cas du Liban." Perpignan, 2011. http://www.theses.fr/2011PERP1186.

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Ancré dans un paradigme constructiviste et utilisant des méthodes qualitatives de recueil et d'analyse de données, cette thèse a pour objectif de mettre en lumière l'importance du choix du modèle bancaire au sein du mécanisme de création de valeur dans le secteur bancaire libanais. La réglementation prudentielle étant en course pour rattraper l’innovation avec l’arrivée de la toute dernière réforme de Bâle III. La juste valeur en comptabilité et les normes de solvabilité ne suffisent guère car d’autres galeries sapent un système financier de plus en plus complexe. Dans ce contexte, l’adaptation remarquable des banques libanaises aux diverses secousses telluriques due principalement à la politique de la banque centrale, laisse réfléchir à un avenir métamorphose afin de conserver cette devance. À l’aube de ce troisième millénaire, la question d’un modèle concentré et plus diversifié n’est pas épargné et semble une solution pour répondre aux exigences accrues des normes bâlois et aux mutations spectaculaires. C’est au travers d’un exemple concret et d’illustrations chiffrées que nous avons détaillé un processus complexe de fusion entre deux banques libanaises. Les techniques utilisées dans ce domaine sont si nombreuses et l’utilité demeure dans le choix de pratique la plus adaptée au cas libanais qui peut enfin servir à évaluer une banque ainsi que la richesse générée par ce type de rapprochement bancaire.
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Tarabah, Amir. "Crises, émigration et développement spontané au Liban : l'aménagement du site de Qaraoun dans la Beqaa." Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010544.

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Les problèmes de développement au Liban datent d'une époque précédant à la guerre civile. Les structures sociales et économiques basées sur le libéralisme absolu, ont créé des inégalités régionales. L'exode rural a provoqué la dislocation des régions périphériques quant aux mode de vie et systèmes de production. Néanmoins, le phénomène d'émigration a contribué à l'amélioration des niveaux de vie des résidents, et génère un processus de développement spontané et une nouvelle configuration sociale qui compte exclusivement sur l'initiative individuelle. Après la guerre, avec la recherche de la paix au Liban, la planification ne doit pas ignorer la relation entre crises et émigration; et d'un autre côté, entre les conséquences de l'émigration et le développement spontané. D'où la politique économique doit tenir compte du fait que les aspects conjoncturels soient devenus structurels. Il s'agit d'une nouvelle réalité, sur laquelle nous devrions fonder toutes nos théories sur la construction du Liban
The development problems in Lebanon date from an epoch preceding the civil war. The social and economical structures, based on the absolute liberalism, have created regional inequalities. The rural depopulation induced dislocation of peripheral regions as for the way of life and production systems. Nevertheless, the phenomenon of emigration has contributed to improve residents standard of living and generated a spontaneous development process, and a new social configuration which depends exclusively on individual initiative. After war, in the search of peace in Lebanon, planning should not ignore the relationship between crises and emigration; and on the other hand, between emigration consequences and spontaneous development. So, economical politic should consier the fact that conjunctural aspects have become structural ones. It is a question of a new reality, on which we should build all our theories about Lebanon construction
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Abdul-Hay, Ziad. "Les finances publiques du Liban, de la guerre civile à la stabilisation monétaire." Montpellier 1, 2003. http://www.theses.fr/2003MON10053.

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Le Liban a connu depuis 1975, deux types de déficit public qui ont lieu dans deux contextes politiques et économiques différents, et qui ont été financés par deux modes distincts de financement. Le premier déficit a eu lieu en période de guerre civile, et il a été financé principalement par la Banque Centrale. Le financement monétaire du déficit a activement contribué à l'éclatement de la crise monétaire. Certes, plusieurs facteurs s'y sont associés aussi. Le second déficit a eu lieu durant la période de stabilisation monétaire qui a suivi la guerre civile. La politique de stabilisation basée sur l'ancrage nominal du taux de change n'a pas été accompagnée d'un ajustement budgétaire, ce qui causé l'apparition d'importants déficits publics financés par l'emprunt. L'endettement public a eu trois effets : un effet d'éviction, un effet boule de neige, et effet sur la balance courante ; il a donc largement été responsable de la récession économique et du creusement du déficit externe.
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Azzi, Elie. "Le secteur bancaire libanais face aux crises : un essai de modélisation de la résilience." Thesis, Dijon, 2011. http://www.theses.fr/2011DIJOE007.

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Le secteur bancaire libanais constitue, à côté du tourisme et de l’immobilier, le socle et la clé de voûte de l’économie libanaise. Ce secteur donne l’apparence d’avoir survécu, sans grands dégâts, aux destructions des différentes guerres et crises politiques qui ont détruit une grande partie de l’infrastructure du pays. Cette résilience apparente est clamée dans les discours des dirigeants qui affirment une dichotomie entre les perturbations de l’environnement politique et la stabilité et la performance du secteur bancaire libanais. Après avoir présenté les concepts théoriques nécessaires pour l’analyse de la résilience, cette thèse a analysé la résilience de ce secteur à plusieurs niveaux : d’abord au niveau des banques libanaises, à travers un modèle à deux régimes ayant pour échantillon l’ensemble des grandes banques, en distinguant entre la performance des banques cotées et non cotées ; ensuite à travers une étude VAR, reliant les variables bancaires aux variables macroéconomiques, et estimant leur réaction aux impulsions simulant les chocs. Les résultats ont confirmé la résilience du secteur bancaire libanais face aux crises. Cependant, des renforcements aux conditions qui améliorent la résilience sont à apporter
The Lebanese banking sector is the cornerstone of the Lebanese economy, next to tourism and real estate. This sector gives the impression of having harmlessly survived the numerous destructions of different wars and political crisis that have battered the Lebanese environment. This apparent resilience is omnipresent in the speeches of political leaders of Lebanon, who claim a dichotomy between the perturbations of political environment and the performance and stability of the Lebanese banking sector. Once the study has been situated in its Lebanese context, and the theoretical concepts necessary for the study of resilience have been presented, this research studies this sectors’ resilience at multiple levels: First, at the level of the Lebanese banks, through a 2 stages model, distinguishing between the performances of the listed and non-listed Lebanese banks. Once the resilience of the banking sector was proven, the second step is to confirm it at the level of the macroeconomic determinants of the banking performance through a study using the VAR methodology, testing the interaction between the banking variables and the macroeconomic data, and their reaction to impulsions, simulating exogenous shocks. Our results confirmed the resilience of the Lebanese banking sector to shocks; although numerous measures are still to be taken to improve the governance and the resilience of the sector

Книги з теми "Crises économiques – Liban – 2000-":

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Dr, Gérard Françoise, and Ruf François, eds. Agriculture in crisis: People, commodities and natural resources in Indonesia, 1996-2000. Montpellier, France: Cirad, 2001.

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Duncan, Green. Silent revolution: The rise of market economics in Latin America. London: Cassell, 1995.

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Duncan, Green. Silent revolution: The rise and crisis of market economics in Latin America. 2nd ed. New York, NY: Monthly Review Press, 2004.

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Curtis, Christopher Paul. Bud, Not Buddy (Newbery Medal Winner, 2000). Yearling, 2002.

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