Статті в журналах з теми "Cellules souches autologues"

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Yazbeck, C. "Cellules souches autologues en thérapie endométriale : espoir ou illusion ?" Gynécologie Obstétrique & Fertilité 44, no. 11 (November 2016): 616–17. http://dx.doi.org/10.1016/j.gyobfe.2016.09.006.

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2

Birebent, Brigitte, and Anne Legendre. "Stabilité des greffons de cellules souches hématopoïétiques (CSH) autologues décongelés." Transfusion Clinique et Biologique 24, no. 3 (September 2017): 375. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2017.06.293.

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3

Magalon, G., R. Legré, M. Chammas, J. P. Marie, P. Decherchi, F. Sabatier, J. Veran, et al. "Réparer les nerfs périphériques lésés avec des greffes autologues de cellules souches olfactives nasales." Hand Surgery and Rehabilitation 37, no. 6 (December 2018): 413–14. http://dx.doi.org/10.1016/j.hansur.2018.10.096.

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4

Dubois-Laforgue, Danièle. "Transplantation de cellules souches autologues dans le diabète de type 1 récent : des résultats mitigés." Médecine des Maladies Métaboliques 9, no. 4 (June 2015): 66–67. http://dx.doi.org/10.1016/s1957-2557(15)30186-3.

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5

Astrugue, C., S. Dieterlé, and S. Lucas-Samuel. "Proportion de faibles rendements en CD34+ des greffons de cellules souches hématopoïétiques autologues après décongélation en France." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 71 (March 2023): 101498. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2023.101498.

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6

Raposio, E., S. Bonomini, and F. Calderazzi. "Isolement des cellules souches mésenchymateuses autologues dérivées du tissu adipeux pour la réparation des pertes de substance osseuse." Revue de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique 102, no. 7 (November 2016): 656. http://dx.doi.org/10.1016/j.rcot.2016.07.022.

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Soler, Pauline, Mathilde Rousselet, Julia Nadolny, Florence Castaldo, and Sandrine Fleury. "L21-4 Analyse de l’impact du choix du séparateur sur les résultats des recueils de cellules souches autologues." Transfusion Clinique et Biologique 30 (November 2023): S21—S22. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2023.09.354.

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Stanovici, Julien, Philippe Rosset, Louis-Romée Le Nail, Jérôme Druon, Sandrine Fleury, Luc Sensebe, and Pierre Layrolle. "Résultats de 7 pseudarthroses des os longs chez l’homme traitées par cellules-souches mésenchymateuses autologues cultivées associées à des biomatériaux." Revue de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique 101, no. 7 (November 2015): S221—S222. http://dx.doi.org/10.1016/j.rcot.2015.09.201.

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9

BICH, C. S., V. GUÉRIF, V. DEWOLF, A. DUHOUX, M. BRACHET, P. DUHAMEL, and É. BEY. "Brûlures radiologiques." Revue Médecine et Armées, Volume 50, Numéro 2 (June 6, 2024): 75–86. http://dx.doi.org/10.17184/eac.8640.

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Анотація:
Les brûlures radiologiques sont la conséquence d'une surexposition à un rayonnement ionisant ou bien une contamination externe, même si cela est beaucoup plus rare. Dans les deux cas, elles se manifestent par des lésions chroniques avec un risque de récidives et de récurrences plusieurs années après l'exposition. Dans le cas d'une irradiation, les effets attendus sont liés à la dose et sont donc prédictibles par une bonne connaissance des propriétés biophysiques de la particule irradiante et de la sensibilité variable des tissus irradiés. Le traitement peut être exclusivement chirurgical ou « combiné » c’est-à-dire associant des chirurgies parfois complexes et injections de cellules souches mésenchymateuses autologues. Dans le cas de la contamination externe, il faut tout d'abord procéder à un lavage et une décontamination des tissus. Historiquement les brûlures radiologiques survenaient dans les suites d'accidents industriels. Avec la désindustrialisation de nos pays au développement économique élevé, ces accidents sont devenus anecdotiques mais sont encore présents dans les pays émergeants. Actuellement le plus gros pourvoyeur d'accidents d'irradiation est la iatrogénie médicale : avec l'essor de la radiologie interventionnelle, nous voyons émerger des brûlures radiologiques beaucoup plus fréquemment. En revanche les lésions dues à la radiothérapie ont fortement diminué.
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Boissier, R., S. Garcia, S. Giusiano, F. Sabatier, F. Dignat-Georges, S. Berdah, G. Magalon, and G. Karsenty. "Évaluation des effets de l’injection endoscopique de cellules souches mésenchymateuses autologues issues du tissu adipeux dans un modèle porcin d’insuffisance sphinctérienne." Progrès en Urologie 22, no. 13 (November 2012): 781–82. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2012.08.097.

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Maureira, P., P. Y. Marie, N. Tran, W. Djaballah, D. Bensoussan, M. Angioi, E. Alliot, et al. "N008 Amélioration de la perfusion des zones myocardiques infarcies chroniques par implantation de cellules souches médullaires autologues : première étude clinique randomisée." Archives of Cardiovascular Diseases 102 (March 2009): S126. http://dx.doi.org/10.1016/s1875-2136(09)72437-4.

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Daikeler, T., C. Durant, H. Keshmandt, D. Sibon, and D. Farge. "Myasthénie après greffe de cellules souches hématopoïétiques autologues en traitement d’une sclérodermie : persistance d’une auto-immunité ou reconstitution de la tolérance inadéquate ?" La Revue de Médecine Interne 31 (June 2010): S149. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2010.03.236.

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Brignier, Anne, Virginie Ader, Katia Bellegarde, Christine Giraud, Marie-Agnès Guerout-Verite, Fati Hamzy, Thi Ngoc Phuong Huynh, et al. "Modalités de mobilisation des cellules souches hématopoïétiques autologues et objectifs cellulaires en cellules CD34 + : recommandations de la Société francophone de greffe de mœlle et de thérapie cellulaire (SFGM-TC)." Bulletin du Cancer 107, no. 1 (January 2020): S44—S51. http://dx.doi.org/10.1016/j.bulcan.2019.08.007.

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Collart Dutilleul, Pierre-Yves, Catherine Thonat, Pierre Jacquemart, Frédéric Cuisinier, Bernard Levallois, and Franck Chaubron. "Les cellules souches de la pulpe dentaire : caractéristiques, cryopréservation et potentialités thérapeutiques." L'Orthodontie Française 83, no. 3 (September 2012): 209–16. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2012020.

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Анотація:
La découverte des cellules souches et de leurs potentialités a fait émerger de nouvelles formes de thérapies avec le développement de méthodes de bio-ingénierie cellulaire et tissulaire qui sous-tendent la médecine de demain. La disponibilité de cellules souches et leur conservation deviennent de ce fait un enjeu pour la santé de chacun. Parmi les différentes sources de cellules souches, celles de la pulpe dentaire présentent les avantages d’être pluripotentes, de pouvoir être cryopréservées et conservées durant de longues périodes sans perdre leur capacité de multiplication et de différenciation et enfin elles sont facilement accessibles. Les dents de sagesse ou les dents de lait extraites pour des raisons médicales sont une opportunité pour chacun de conserver des cellules souches pour un usage autologue. Des biobanques autorisées et spécialisées dans la préparation et la conservation des cellules souches pulpaires ouvrent l’accès à la médecine régénérative autologue de l’avenir.
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Griffiths, Betty Ann. "Les besoins des patients/familles qui subissent une greffe autologue de cellules souches du sang périphérique." Canadian Oncology Nursing Journal 15, no. 3 (2005): 156–60. http://dx.doi.org/10.5737/1181912x153156160.

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Nayl, B., A. Cabrespine-Faugeras, Y. M. Maliki, and J. O. Bay. "Rôle de la greffe autologue ou allogénique de cellules souches hématopoïétiques dans les cancers de l'ovaire." Bulletin du Cancer 96, no. 12 (December 2009): 1225–32. http://dx.doi.org/10.1684/bdc.2009.1004.

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Le Borgne-Krams, A., G. Prévot, I. Rouquette, A. Huynh, L. Têtu, F. Projetti, M. Carreiro, et al. "Une maladie de dépôts de chaînes légères kystique pulmonaire traitée par greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques." Revue des Maladies Respiratoires 32 (January 2015): A194. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2014.10.252.

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Vija, L., F. Verrechia, Y. Wang, O. Verola, H. Keshtmand, A. de Raignac, D. Sibon, L. Michel, and D. Farge-Bancel. "Régression de la fibrose cutanée après transplantation autologue de cellules souches hématopoïétiques chez les patients atteints de sclérodermie systémique sévère." La Revue de Médecine Interne 29 (June 2008): S42. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2008.03.073.

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Page, Cheryl, Charissa Cordon, and Jiahui Wong. "Acquisition de compétences en coordination des greffes de cellules souches hématopoïétiques : efficacité d’un parcours d’apprentissage pour les infirmières novices." Canadian Oncology Nursing Journal 31, no. 1 (February 3, 2021): 12–21. http://dx.doi.org/10.5737/236880763111221.

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Анотація:
L’augmentation du nombre de patients admissibles à recevoir une greffe de cellules souches hématopoïétiques (GCSH) (ACO/CCO, 2017) entraîne un besoin accru d’infirmières spécialistes, la coordination des GCSH étant un rôle hautement spécialisé; il n’y a pourtant que peu de recherches portant sur la formation des infirmières. Habituellement, cette formation se fait par préceptorat, sans processus d’orientation formel. Objectifs : Pour la présente étude pilote, un parcours d’apprentissage et des outils pédagogiques ont été élaborés en complément d’une approche systématique normalisée de la formation du personnel, et ce, dans le but d’améliorer la qualité des soins. Méthodologie : Huit infirmières, sans expérience en coordination des GCSH, ont participé à l’étude et rempli les évaluations de suivi. Elles ont été évaluées avant l’intervention pour vérifier leurs connaissances ainsi que leurs lacunes pour chaque sous-rôle de la coordination de l’allogreffe et de la greffe autologue. Après cette évaluation, les infirmières recevaient une trousse d’étude autonome personnalisée respectant les étapes du parcours d’apprentissage avec un outil d’évaluation des compétences. Fondée sur les compétences, la formation se faisait « par modules », c’est-à-dire que les infirmières devaient maîtriser une compétence avant de passer à la suivante. Les infirmières étaient évaluées à l’aide du modèle de Kirkpatrick (2006) avant et après la période d’orientation pour voir l’évolution de leurs connaissances et de leurs comportements en coordination des greffes. Résultats : Les participantes ont réagi favorablement aux outils et disent avoir grandement enrichi leurs connaissances et leurs compétences en coordination des greffes après la période d’orientation. Pour compléter la présente étude pilote, d’autres recherches devraient examiner l’utilisation d’un parcours d’apprentissage pour guider les nouvelles infirmières en GCSH dans leur rôle de coordination.
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Guilloton, L., P. F. Wey, C. Faulcon, T. Gargi, L. Quesnel, H. Ghesquières, and P. Biron. "Syndrome de Guillain-Barré associé à un syndrome de reconstitution d’immunité survenant dans les suites d’une greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques." Revue Neurologique 170 (April 2014): A37—A38. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2014.01.152.

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Alary, Anouck. "La conservation autologue de sang de cordon ombilical : vers une nouvelle forme de participation biocitoyenne ?" Les ateliers de l'éthique 11, no. 2-3 (November 2, 2017): 28–64. http://dx.doi.org/10.7202/1041765ar.

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Анотація:
La transformation du sang placentaire en une précieuse source de cellules souches a donné naissance à partir des années 1990 à une industrie globale de conservation de sang de cordon ombilical faisant désormais concurrence à un large réseau de banques publiques de sang de cordon. Cet article explore les soubassements socioculturels liés à l’émergence de cette industrie et tente d’élucider les enjeux éthiques et politiques qu’elle pose. Si les banques publiques de sang de cordon sont porteuses des valeurs d’altruisme et de solidarité nationale traditionnellement liées au modèle redistributif d’échange de sang et d’organes né après la Seconde Guerre mondiale, les banques privées renvoient, elles, à des formes de solidarité bien différentes. C’est effectivement sous couvert de la solidarité familiale et de la responsabilité morale des mères de protéger leurs enfants qu’elles définissent la conservation privée comme une forme d’ « assurance biologique » contre les risques à la santé de l’enfant. En permettant aux mères d’investir leurs tissus corporels à la fois dans le futur incertain de leurs enfants et dans des thérapies cellulaires expérimentales, ces banques promeuvent un nouveau modèle de participation du/de la patient.e à la coconstitution de futures innovations thérapeutiques. Nous inscrivons ce modèle de participation dans les reconfigurations contemporaines du biopolitique que le sociologue britannique Nikolas Rose (2007) voit s’incarner dans l’émergence d’une nouvelle forme de biocitoyenneté. L’article critique finalement ces services personnalisés en soulignant qu’ils ont le potentiel d’opérer de nouvelles formes de coercition sur les mères, dans un contexte sociopolitique caractérisé par une responsabilisation accrue des individus au regard de la « bonne gestion » de leurs risques à la santé. Ces services sont aussi jugés problématiques sur le plan éthique, au vu de leur incohérence avec un principe de justice distributive défendant l’accès égal pour chaque citoyen.ne à des soins de santé de base.
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Drouet, M., F. Mourcin, N. Grenier, J. F. Mayol, V. Leroux, J. J. Sotto, and F. Hérodin. "Effet des rayonnements ionisants sur les cellules souches et progéniteurs hématopoïétiques: place de l'apoptose et intérêt thérapeutique potentiel des traitements antiapoptotiques." Canadian Journal of Physiology and Pharmacology 80, no. 7 (July 1, 2002): 700–709. http://dx.doi.org/10.1139/y02-071.

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Анотація:
Bone marrow aplasia observed following ionizing radiation exposure (Total Body Irradiation; gamma dose range: 2–10 Gy) is a result, in particular, of the radiation-induced (RI) apoptosis in hematopoietic stem and progenitor cells (HSPC). We have previously shown in a baboon model of mobilized peripheral blood CD34+ cell irradiation in vitro that RI apoptosis in HSPC was an early event, mostly occurring within the first 24 hours, which involves the CD95 Fas pathway. Apoptosis may be significantly reduced with a combination of 4 cytokines (4F): Stem Cell Factor (SCF), FLT-3 Ligand (FL), thrombopoietin (TPO), and interleukin-3 (IL-3), each at 50 ng·mL–1 (15% survival versus <3% untreated cells, 24 h post-irradiation at 2.5 Gy). In this study we show that addition of TNF-alpha(800 IU/ml) induces an increase in 4F efficacy in terms of cell survival 24 h after incubation (26% survival after 24 h irradiation exposure at 2.5 Gy) and amplification (k) of CD34+ cells after 6 days in a serum free culture medium (SFM) (kCD34+ = 4.3 and 6.3 respectively for 4F and successive 4F + TNF-alpha/ 4F treatments). In addition, the 4F combination allows culture on pre-established allogenic irradiated stromal cells in vitro at 4 Gy (kCD34+ = 4.5). Overall this study suggests (i) the potential therapeutic interest for an early administration of anti-apoptotic cytokines with or without hematopoiesis inhibitors (emergency cytokine therapy) and (ii) the feasibility in the accidentally irradiated individual, of autologous cell therapy based on ex vivo expansion in order to perform autograft of residual HSPC collected after the accident.Key words: apoptosis, cytokine, hematopoiesis, irradiation, bone marrow aplasia.[Journal translation]
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Page, Cheryl, Charissa Cordon, and Jiahui Wong. "Évaluation de l’efficacité des procédés mnémotechniques employés pour aider le personnel à éduquer les patients ayant reçu une greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques." Canadian Oncology Nursing Journal 29, no. 2 (2019): 132–40. http://dx.doi.org/10.5737/23688076292132140.

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Guillaume-Jugnot, P., M. Badoglio, A. Hij, C. Wu, G. Pugnet, E. Chatelus, T. Martin, et al. "Survie globale des patients traités par greffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH) autologue pour maladie auto-immune (MAI) sévère : analyse de l’activité en France depuis 1997." La Revue de Médecine Interne 36 (June 2015): A70—A71. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2015.03.317.

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"Cellules souches cardiaques autologues: essai pilote positif." Revue Francophone des Laboratoires 2012, no. 442 (May 2012): 26. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(12)71449-1.

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"Controverse : pour ou contre la greffe de cellules souches hématopoïétiques autologues dans la sclérodermie systémique." La Revue de Médecine Interne, May 2023. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2023.04.438.

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Pugnet, G. "Argumentaire « en faveur » de la greffe de cellules souches hématopoïétiques autologues dans la sclérodermie systémique." La Revue de Médecine Interne, January 2024. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2024.01.003.

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Fenna, Jennifer, Micheal Guirguis, Caroline Ibrahim, Neeta Shirvaikar, Irwindeep Sandhu, Sunita Ghosh, and Melissa Jenkins. "Effect on Patients’ Outcomes of a Change to Biosimilar Filgrastim Product in Autologous Stem Cell Mobilization." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 74, no. 2 (April 19, 2021). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v74i2.3108.

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Анотація:
Background: Following addition of a biosimilar filgrastim product to the formulary, sites in the authors’ provincial health authority transitioned from using the originator filgrastim to the biosimilar for autologous stem cell mobilization. Objective: To assess the effect on patient outcomes of a universal change to use of the biosimilar filgrastim in stem cell mobilization. Methods: This retrospective pre–post study included patients undergoing autologous stem cell mobilization at 2 cancer hospitals in Alberta, Canada, between July 1, 2018, and November 30, 2019. Clinical outcomes were investigated for patients treated with a granulocyte colony-stimulating factor (biosimilar or originator product) for mobilization before stem cell transplant, approximately 6 months before and after the defined date of product change. Results: In total, 102 patients were treated with the originator product and 101 patients with the biosimilar. Effectiveness was similar between the originator and biosimilar products, with 98% successful harvest of stem cells in all patients treated. Independent t tests showed no statistically significant differences between patients receiving the originator and those receiving the biosimilar in terms of time from mobilization to collection (difference of means –0.9 days, 95% confidence interval [CI] –2.12 to 0.32), time for neutrophil engraftment (difference of means 0 days, 95% CI –0.36 to 0.36), time for platelet engraftment (difference of means 1 day, 95% CI –0.55 to 2.55), average length of stay (difference of means –0.7 day, 95% CI –2.71 to 1.31), and CD34+ value (difference of means –1 × 106/kg body weight, 95% CI –2.11 to 0.11). A 98% rate of conversion to use of the biosimilar filgrastim was achieved, with an estimated annual drug-cost saving of $67 500. Conclusions: In this pre–post study, changing to the biosimilar product from the originator maintained clinical effectiveness outcomes while decreasing overall drug expenditures. A well-planned change to the biosimilar product, executed in conjunction with clinician consultation and monitoring of effectiveness outcomes, can ensure appropriate patient therapy while significantly improving the uptake of biosimilars and decreasing expenditures for biologic drugs. RÉSUMÉ Contexte : À la suite de l’ajout d’un produit filgrastim biosimilaire à la liste des médicaments, les sites relevant de l’autorité sanitaire provinciale des auteurs sont passés de l’utilisation du filgrastim princeps à la version générique pour la mobilisation des cellules souches autologues. Objectif : Évaluer l’effet sur les résultats des patients d’un changement généralisé visant à utiliser le filgrastim générique pour la mobilisation des cellules souches. Méthodes : Cette étude rétrospective pré-post comprenait des patients soumis à une mobilisation des cellules souches autologues dans deux hôpitaux de cancérologie en Alberta (Canada) entre le 1er juillet 2018 et le 30 novembre 2019. L’examen des résultats cliniques des patients traités à l’aide d’un facteur stimulant les colonies de granulocytes (G-CSF) (générique ou princeps) pour une mobilisation avant la greffe de cellules souches a eu lieu environ six mois avant et après la date du changement de produit. Résultats : Au total, 102 patients ont été traités à l’aide du produit princeps et 101 patients à l’aide du générique. Les deux produits présentaient une efficacité similaire, et 98 % de réussite dans la récolte de cellules souches chez tous les patients traités. Des tests t indépendants n’ont montré aucune différence statistique significative entre les patients recevant le princeps et ceux recevant le biosimilaire en termes de temps allant de la mobilisation à la collecte (différence des moyennes –0,9 jour, intervalle de confiance [IC] 95 % –2,12 à 0,32); temps de la prise de la greffe neutrophile (différence des moyennes 0 jour, IC 95 % –0,36 à 0,36); temps de la prise de la greffe des plaquettes (différence des moyennes 1 jour, IC 95 % –0,55 à 2,55); durée moyenne du séjour (différence des moyennes –0,7 jour, IC 95 % –2,71 à 1,31) et valeur CD34+ (différence des moyennes –1 × 106/kg masse corporelle, IC 95 % –2,11 à 0,11). Un taux de conversion de 98 % visant à utiliser le filgrastim générique a été atteint, avec une estimation des économies annuelles sur le coût des médicaments de 67 500 $. Conclusions : Dans cette étude pré-post, le passage du produit princeps au générique a préservé l’efficacité des résultats cliniques, tout en diminuant les dépenses générales liées au médicament. Un changement bien programmé pour passer au produit générique, mené conjointement avec la consultation d’un clinicien et un contrôle des résultats d’efficacité, peut assurer une thérapie du patient appropriée tout en améliorant grandement la prise de produits génériques et en diminuant les dépenses associées aux médicaments biologiques.
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Théron, Alexandre, Anne-Charlotte Teyssier, Aziz Abgaou, and Anne Sirvent. "Les complications de la greffe de cellules souches hématopoïétiques chez l'enfant." Médecine Intensive Réanimation, November 22, 2023. http://dx.doi.org/10.37051/mir-00188.

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La greffe de cellules souches hématopoïétiques reste en 2023 l’ultime espoir de guérison pour des enfants atteints de pathologies malignes ou non malignes. Il s’agit d’une procédure complexe qui repose sur l’administration de chimiothérapie haute dose associée ou non à de la radiothérapie, suivie de l’injection d’un greffon autologue ou allogénique. La survenue de complications, responsables d’une mortalité toxique liée à la greffe de l’ordre de 15%, est observée essentiellement après allogreffe. Ces complications qui surviennent chez des enfants fragilisés par leurs traitements antérieurs, une neutropénie prolongée, un déficit immunitaire, peuvent être de nature infectieuse (sepsis bactérien, infection fongique invasive, infection virale), résulter d’une pathologie de l’endothélium (maladie veino-occlusive du foie) ou d’un conflit immunitaire (maladie du greffon contre l’hôte). La survenue d’un dysfonctionnement d’organe impose un transfert précoce dans une unité de réanimation où une prise en charge conjointe par les pédiatres réanimateurs et greffeurs permet d’en améliorer le pronostic.
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Shroff, Anjali, and Dominik Mertz. "Infectious Diseases Risk While on Chronic, High-Dose Corticosteroids." Canadian Journal of General Internal Medicine 12, no. 1 (May 9, 2017). http://dx.doi.org/10.22374/cjgim.v12i1.162.

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While the definition of high-dose corticosteroids depends on the indication, it is typically defined as greater than 15–20 mg for greater than 2–4 weeks. Corticosteroids have a variety of indications such as autoimmune, gastrointestinal, rheumatologic, respiratory, and hematologic conditions and after organ or hematopoietic stem cell transplantation. They can predispose these patients to infections such as pneumococcal pneumonia, Pneumocystis jirovecii (carinii) pneumonia (PJP), hepatitis B reactivation, active tuberculosis, and disseminated strongyloides infection. This article outlines ways to modify these risks in these patients. Prophylaxis is of utmost importance to those at risk for PJP with trimethoprim/sulfamethoxazole, lamivudine for those at risk of hepatitis B reactivation, isoniazid (INH) for latent tuberculosis and ivermectin for those with positive strongyloides serology. Equally important in mitigating disease risk is the appropriate timing of vaccines to elicit an adequate immune response as well as offering additional vaccines such as the pneumococcal vaccine.RésuméLa notion de dose élevée de corticostéroïdes varie selon les indications, mais elle est généralement définie comme correspondant à plus de 15‑20 mg sur une période de plus de deux à quatre semaines. Les corticostéroïdes sont indiqués dans nombre de conditions auto‑immunes, gastro-intestinales, rhumatologiques, respiratoires et hématologiques, ainsi qu’à la suite d’une transplantation d’organe ou de cellules souches hématopoïétiques. Ils peuvent toutefois prédisposer les patients à diverses infections comme la pneumonie pneumococcique et la pneumonie à Pneumocystis jirovecii (carinii) ou PCP, à une réactivation de l’hépatite B, à une tuberculose active et à une strongyloïdose disséminée. Le présent article passe en revue différentes façons de réduire ces risques chez les patients concernés. Voici des mesures de prophylaxie qui s’avèrent être de la plus haute importance pour les personnes à risque : le triméthoprime ou le sulfaméthoxazole pour celles à risque de PCP; la lamivudine pour celles à risque de réactivation de l’hépatite B; l’isoniazide (INH) dans les cas de tuberculose latente; et l’ivermectine pour les personnes montrant une sérologie positive aux strongyloïdes. De plus, pour réduire le risque de maladie, un calendrier de vaccination approprié est tout aussi important, en vue de susciter une réponse immunitaire adéquate et de pouvoir offrir d’autres vaccins comme le vaccin antipneumococcique.Corticosteroids were first used in clinical practice in 1949 for rheumatoid arthritis.1 The number of patients on high-dose corticosteroids is not well known but the use of corticosteroids is becoming increasingly common for a number of indications: An estimated 1% of the general population in the UK is treated with corticosteroids, and this rate increases with age to almost 2.5% in those aged 70–79. 4“High-dose corticosteroids” as a risk factor for infections is typically defined as greater than 15–20 mg of prednisone (or its’ equivalent) for greater than 2–4 weeks, although this definition does vary slightly depending on the infection considered. Notably, this definition is different from the standard definition of high-dose corticosteroids for treatment purposes used in the literature – which is usually defined as greater than 30 mg but less than 100 mg/day – as this dose results in almost complete cytosolic receptor saturation. 2Corticosteroids are used commonly for their anti-inflammatory effects in many conditions with an element of autoimmune disease. The mechanism is to induce transient lymphocytopenia by altering lymphocyte circulation, inducing lymphocyte death and inhibiting cytokines to prevent T-cell activation.3 For example, they are used to induce remission in inflammatory bowel disease (IBD) or to maintain symptom control in rheumatologic diseases like polymyalgia rheumatica. They are also used to prevent organ rejection in solid organ transplantation. Other indications include autoimmune hepatitis, other rheumatologic diseases such as rheumatoid arthritis, systemic lupus erythematous, vasculitis, respiratory conditions such as interstitial lung disease, sarcoidosis, hematologic disorders such as lymphoma, leukemia, idiopathic thrombocytopenic purpura, hemolytic anemia), endocrine disorders like Graves disease to prevent opthalmopathy and other conditions like multiple sclerosis.The relative risk of bacterial infections was found to be 5-fold higher in IBD patients on corticosteroids alone, 4-fold higher for other infections like strongyloides and tuberculosis, and only 1.5 fold higher for viral infections.5 However, the absolute individual risk of infectious complications from corticosteroid use remains fairly small. Nevertheless, the burden is significant at a population level due to the high frequency of corticosteroid use. 4 Thus, most practitioners eventually come across these complications during their career.VaccinationsOne of the first considerations in patients on high-dose corticosteroids is the timing of the administration of vaccines to be given to these patients. Immunizations with inactivated vaccines can be given up to 2 weeks before high-dose corticosteroids are initiated, whereas live vaccines need to be given 4 weeks before the high-dose corticosteroids are begun. If the vaccines cannot be given prior to the start of a corticosteroid treatment, both live and inactivated vaccines must wait for 4 weeks after the steroids are completed to elicit an adequate immune response and prevent infectious complications with live vaccines.6Equally important to the timing of the vaccines, patients on high-dose corticosteroids (defined as anyone receiving ³ 20 mg/day for 14 days or more) should receive additional vaccines. A single dose of an inactivated pneumococcal conjugate vaccine (Prevnar), at least one year after any previous dose of pneumococcal vaccine polyvalent (Pneumovax), followed by a single dose of Pneumovax 8 weeks later with a booster of Pneumovax 5 years later is recommended for those on high-dose corticosteroids.7,8 Pneumocystis jiroveci infectionThe following patient groups are considered to be at higher risk forPneumocystis jiroveci pneumonia (PJP; formerly known as Pneumocystis carinii pneumonia [PCP])if exposed to prednisone at doses as low as 20 mg/day for at least 4 weeks9: patients with an underlying immunosuppressive disorder (including autologous HSCT and malignancy), or those with chronic obstructive pulmonary disease and interstitial lung disease secondary to polymyositis/dermatomyositis. Also, patients receiving the same dose of prednisone plus TNF-alpha inhibitors, cyclophosphamide, methotrexate, or temsirolimus should also receive PJP prophylaxis. The first-line agent for prophylaxis is trimethoprim/sulfamethoxazole 80/400 mg (single strength) daily or 160/800 mg (double strength) three times per week (e.g., Monday/Wednesday/Friday). While adverse events are rare on such low doses, thrombocytopenia is possible given that this is an idiosyncractic reaction but pancytopenia is usually observed at much higher (i.e., treatment) doses. Also possible are hyperkalemia, increased serum creatinine and aseptic meningitis. A more rare but devastating adverse event is Stevens-Johnson syndrome. A second line agent for PJP prophylaxis is dapsone but this requires glucose-6-phosphate dehydrogenase (G6PD) testing first, as those who are deficient in this erythrocytic enzyme show a two-fold higher predisposition to dapsone-induced hemolytic anemia. Other alternatives for PJP prophylaxis are atovaquone 1500 mg daily, but this is a costly option, or inhaled pentamidine via a nebulizer at 300 mg every month. Correct administration of inhaled pentamidine is crucial and due to the route of administration, disseminated PCP disease is still possible. 9 Hepatitis B ReactivationFurthermore, patients on corticosteroids of at least 20 mg/day for at least 4 weeks, have an 11–20% chance of reactivation if they are hepatitis B surface Ag carriers. An inactive carrier is hepatitis B surface antigen positive for greater than 6 months without detectable hepatitis B e antigen (HbeAg), presence of anti-hepatitis B e antibodies (anti-Hbe), and undetectable or low levels of hepatitis B DNA, repeatedly normal ALT levels, and no or minimal liver fibrosis. Inactive carriers comprise the largest group of chronic hepatitis B infected individuals with an estimated 250 million people worldwide and can convert to active disease under such immunosuppression.Therefore, it is prudent to prescribe hepatitis B prophylaxis to these patients although no high-level evidence supporting this approach is available.11 Lamivudine is considered first choice for these patients if they do not otherwise meet treatment criteria for hepatitis B. Tenofovir is considered first line in areas highly prevalent for resistance to lamivudine, which tends to occur with prolonged lamivudine exposure. For example, lamivudine resistance develops in up to 90% of HBV-HIV co-infected individuals after 4 years of lamivudine therapy.12.In the setting of isolated anti-Hb-core antibody positivity, prophylaxis is not recommendedgiven that the rate of reactivation is less than 1%.10 Instead, patients should have serial measurements of liver function, hepatitis B serology and hepatitis B DNA every 1–3 months during the period of immunosuppressive treatment and if there is any elevation in these markers, antiviral prophylaxis or treatment (depending on the results) should be offered.So, when assessing patients for the need for PCP or hepatitis B prophylaxis, both the intended duration as well as the dose of the corticosteroids need to be considered.Strongyloides stercoralis InfectionStrongyloides stercoralis can persist for several decades and can reactivate with glucocorticoid exposure causing a severe and sometimes fatal disseminated infection. Strongyloides infection can be asymptomatic and can be acquired walking barefoot on soil in the developing world.13 Strongyloides serology is therefore recommended for refugees from low-income countries in Southeast Asia and Africa where strongyloides is endemic before starting high-dose corticosteroid treatement.14 If positive, patients should be treated with 2 doses of ivermectin to prevent the development of hyperinfection. TuberculosisPatients with latent tuberculosis on higher dose and/or longer duration of glucocorticoid use are also at risk of conversion to active disease. A one-step tuberculin skin test (TST) ³ 5 mm is considered positive when a patient is on prednisone doses ³ 15 mg/day for one month or more. First-line treatment for latent tuberculosis is isoniazid over 9 months. Patients should begin therapy ideally at least 4 weeks before starting such immunosuppression to prevent conversion to active disease.15,16. If this is not possible, the recommendation is to start isoniazid and the corticosteroids at the same time. ConclusionsSerious and potentially fatal infections are just one of the many potential complications of being on high-dose corticosteroids for a long period of time – others include diabetes, hypertension, psychosis, osteoporosis, adrenal insufficiency and the development of cushingoid features.17 Infectious diseases that are either latent or inactive may reactivate under high-dose corticosteroids including tuberculosis, pneumocystis jirovecii pneumonia, Strongyloides stercoralis, and hepatitis B. Screening and treatment for such conditions prior to starting high-dose corticosteroids, or at least once the corticosteroids are started, can prevent these complications. Furthermore, the timing of both inactivated and live vaccines is crucial for the patients’ ability to mount an appropriate immune response and to avoid complications from live vaccines. Finally, patients on high-dose corticosteroids are at higher risk for illnesses that may require additional vaccinations not otherwise given to such individuals – for example the pneumococcal vaccine.DisclosureThere are no conflicts of interest for either author on this manuscript. References1. Zoorob RJ and Cender D. A different look at corticosteroids. American Family Physician. 1998 Aug 1; 58(2): 443-450. 2. Buttgereit F, Da Silva JAP, Boers M et al. Standardised nomenclature for glucocorticoid dosages and glucocorticoid treatment regimens: current questions and tentative answers in rheumatology. Ann Rheum Dis 2002; 61: 718-722. 3.Hall BM and Hodgkinson SJ. Corticosteroids in autoimmune diseases. Aust Prescr 1999; 22: 9-11. 4. T.P. van Staa, H.G. Leufkens, L. Abenhaim, B. Begaud, B. Zhang, C. Cooper. Use of oral corticosteroids in the United Kingdom. QJM. 2000 Feb; 93(2): 105–111. 5. Paul Brassard, Alain Bitton, Alain Suissa, Liliya Sinyavskaya, Valerie Patenaude and Samy Suissa. 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