Статті в журналах з теми "Carte de contrôle statistique des processus"

Щоб переглянути інші типи публікацій з цієї теми, перейдіть за посиланням: Carte de contrôle statistique des processus.

Оформте джерело за APA, MLA, Chicago, Harvard та іншими стилями

Оберіть тип джерела:

Ознайомтеся з топ-17 статей у журналах для дослідження на тему "Carte de contrôle statistique des processus".

Біля кожної праці в переліку літератури доступна кнопка «Додати до бібліографії». Скористайтеся нею – і ми автоматично оформимо бібліографічне посилання на обрану працю в потрібному вам стилі цитування: APA, MLA, «Гарвард», «Чикаго», «Ванкувер» тощо.

Також ви можете завантажити повний текст наукової публікації у форматі «.pdf» та прочитати онлайн анотацію до роботи, якщо відповідні параметри наявні в метаданих.

Переглядайте статті в журналах для різних дисциплін та оформлюйте правильно вашу бібліографію.

1

Enesco, Hildegard E. "Genetic Control of the Aging Process: A Review and Interpretation." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 15, no. 1 (1996): 16–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800013258.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
RÉSUMÉLe processus de vieillissement est sous contrôle génétique. Le point de vue traditionnel, dérivé de la biologie évolutive, est que le vieillissement est un trait polygénique, contrôlé par un grand nombre de gènes, chacun avec un effet additif. Un autre point de vue est développé ici, en ajoutant qu'il y a un nombre limité de gènes importants dans le contrôle du vieillissement. Ces derniers peuvent inclure les gènes protecteurs qui assurent l'exactitude de la synthèse de protéines et aussi les gènes qui servent à activer ou à retarder le processus de vieillissement. On continue à développer la technologie génétique afin de faire la carte complète du génome humain. Ces percées offrent la possibilité de comprendre les mécanismes génétiques du vieillissement et même d'envisager la thérapie génétique pour les maladies associées au vieillissement.
2

Polidori, Laurent, Maxime Claden, Romain Frelat, Mahmad Elhage, Fouzia Bendraoua, Gary Doliscar, Philémon Mondesir, Boby Emmanuel Piard, and Cédric Gaucherel. "Elaboration du Référentiel Hydrographique d'Haïti à partir d'un MNT ASTER." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 205 (February 21, 2014): 49–57. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2014.3.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
L'étude présentée dans cet article a conduit au premier référentiel hydrographique homogène sur Haïti. Une méthode automatisée a été mise en œuvre pour l'extraction du réseau hydrographique et des limites de bassins versants à partir d'un MNT ASTER et d'une carte topographique numérisée. Une analyse statistique des résultats obtenus a révélé les propriétés fractales du relief de la région et a aidé à fixer des seuils pour retenir les bassins versants les plus significatifs. Le contrôle de qualité du réseau hydrographique, réalisé à partir de points de contrôle et d'une comparaison visuelle avec les images de Google Earth, confirme une exactitude géométrique inférieure ou égale au pas d'échantillonnage du MNT initial (de l'ordre de 30 m). Les bassins versants extraits ont en outre fait l'objet d'une codification adaptée, qui permet de proposer au gouvernement haïtien un référentiel hydrographique précis et homogène pour ses études ultérieures.
3

Mc Andrew, Marie, Jacques Ledent, Jake Murdoch, Rachid Ait-Said, and Alhassane Balde. "Le profil et le cheminement scolaire des jeunes québécois issus de l’immigration au secondaire : un portrait statistique." Articles 42, no. 1 (July 10, 2013): 31–55. http://dx.doi.org/10.7202/1017097ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Cet article présente un portrait du cheminement scolaire des élèves québécois issus de l’immigration qui ont commencé leur secondaire dans le secteur francophone en 1998 ou 1999. Les résultats de ce groupe-cible, constitué des élèves nés à l’étranger ou dont au moins un parent est né à l’étranger, sont comparés à ceux d’un groupe-contrôle d’élèves dont les deux parents sont nés au Canada. Dans un premier temps, nous dressons un profil du groupe-cible, de ses sous-groupes ainsi que du groupe-contrôle à partir de 11 variables regroupées en trois grandes catégories : les données sociodémographiques, les variables liées au processus de scolarisation et les caractéristiques des écoles fréquentées. Dans un second temps, le cheminement scolaire est analysé grâce à 5 indicateurs : le retard scolaire accumulé deux ans après l’entrée en secondaire, le taux d’obtention d’un diplôme secondaire selon divers horizons temporels, le taux cumulatif d’obtention d’un diplôme secondaire dans les réseaux public et privé, le secteur d’obtention du diplôme et l’estimation des taux de décrochage net.
4

Fernandez, Valérie, Christian Picory, and Frantz Rowe. "Outils de gestion et espaces concurrentiels des PME." Revue internationale P.M.E. 9, no. 1 (February 16, 2012): 79–102. http://dx.doi.org/10.7202/1008255ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
À partir d'un traitement statistique, cet article analyse les dimensions instrumentales du contrôle de gestion (suivi, analyse et prévision), par rapport à des caractéristiques relevant à la fois de l’espace production et de l'espace marché, dont la conjonction définit l'espace concurrentiel. Dans cet esprit, l’étude proposera une caractérisation de la nature contingente du contrôle de gestion, d’une part, en fonction des contraintes qui pèsent sur les processus de production et, d’autre part, au moyen de l’étude des liens qui existent entre l'offre de la firme sur son marché, sa compétitivité et l'innovation technologique. Elle mettra ensuite en évidence un certain nombre d'affinités déterminantes pour l'étude de la contingence des outils de gestion en fonction de deux métamodèles de contrôle de gestion, dont les caractéristiques seront présentées. Ces analyses montreront que : 1) l'absence apparente de certains outils de gestion n'est pas rédhibitoire en soi et la croissance de l'entreprise ne peut y remédier que si la taille de l'entreprise est effectivement sous-optimale, par rapport à l'espace concurrentiel dans lequel elle s'inscrit; 2) l'orientation du contrôle ex post ou ex ante paraît liée à la conjonction de variables relevant à la fois de l'espace production et de l'espace marché. Cela permet de confirmer l'hypothèse selon laquelle l'analyse de la coordination et de l'organisation des activités de production s'inscrit dans une dialectique «firme-contexte de l'activité» et ce, en dépit du caractère extrêmement fluctuant de la frontière de la firme.
5

Cheikh, Ahmed Sidi, Khalid Ahaji, and Ahmed Belmoudene. "Étude des difficultés conceptuelles des élèves marocains sur la formation d’image à travers une lentille convergente et la vision." ITM Web of Conferences 39 (2021): 02001. http://dx.doi.org/10.1051/itmconf/20213902001.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Cette recherche vise à explorer les difficultés conceptuelles lié à la formation d’image optique et la vision, chez les élèves de la deuxième année secondaire collégial ; avant et après l’enseignement ordinaire de l’optique géométrique. L’échantillon de cette étude est composé de 52 élèves, dont 22 du groupe expérimental et 30 du groupe du groupe control. Les données ont été collectes à travers un questionnaire (pré-test et posttest). Cet article a exploré quelques conceptions alternatives chez les élèves, à propos du rôle de la lentille dans la formation d’image et le processus de vision. Nous examinons, ensuite, l’effet d’une activité d’apprentissage basée sur les nouvelles technologies, sur l’évolution conceptuelle des élèves. L’analyse statistique de résultats a montré qu’il y a une différence statiquement significative, entre le résultat du groupe expérimental et le résultat du groupe contrôle. Le groupe expérimental a enregistré une amélioration significative, plus de 49%.
6

St-Pierre, Mathieu. "L’utilisation du décor patrimonial par l’événementiel." Ethnologies 40, no. 1 (November 30, 2018): 75–100. http://dx.doi.org/10.7202/1054313ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La place du patrimoine dans les études scientifiques est sans cesse grandissante. Le concept de patrimoine évolue et se transforme grandement depuis plusieurs années. Le patrimoine urbain, surtout dans les quartiers historiques comme celui du Vieux-Québec, prend de l’importance. Ils sont, depuis les années 1990, animés. Par une étude de cas du site patrimonial du Vieux-Québec, cette recherche tente d’identifier et d’analyser l’utilisation du décor patrimonial d’un site, construit par un processus de patrimonialisation, par l’événementiel. La stratégie d’enquête est basée sur l’analyse d’articles et de livres scientifiques et gouvernementaux, également sur une compilation statistique des grands événements ayant eu lieu sur le territoire ainsi que d’une analyse de ces événements par les discours tenus dans les journaux, par les guides touristiques et par les affiches et les vidéos promotionnelles. Le décor du site étudié est en construction depuis le 19e siècle par un processus de patrimonialisation débuté par de grandes commémorations historiques. La fonction événementielle du secteur connait une hausse exponentielle depuis les années 1980, les principales causes sont les grands événements commémoratifs ayant lieu dans la ville et le mouvement de festivalisation mondial. Le décor bonifié par la patrimonialisation est utilisé par la fonction événementielle afin de promouvoir les grands événements. Le décor est utilisé directement par une évocation historique, surtout lors d’événements culturels et commémoratifs, comme les Fêtes de la Nouvelle-France; il est également utilisé indirectement, comme une image de carte postale, par des événements comme le Red Bull Crashed Ice.
7

Le Flanchec, Alice, Astrid Mullenbach-Servayre, and Jacques Rojot. "Pratiques de gestion des ressources humaines et stratégies d’innovation en France : les apports de l’enquête REPONSE 2011." Hors-thème 72, no. 1 (April 19, 2017): 173–202. http://dx.doi.org/10.7202/1039595ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Cet article s’intéresse au lien entre la stratégie adoptée par l’entreprise et les pratiques de gestion des ressources humaines (GRH) mises en oeuvre, en portant plus spécifiquement son attention sur les entreprises qui ont des stratégies d’innovation. Par innovation, nous entendons, à l’instar de King et Anderson (2002 cités par Lapointe et al., 2003), une nouvelle pratique, une nouvelle procédure ou un nouveau processus introduit sur le plan local dans un milieu de travail afin d’améliorer les performances économiques et sociales des entreprises. Nous intégrons également la notion d’innovation sociale, au sens de Klein et Harrisson (2006), afin de mettre l’accent sur l’aspect fondamentalement multidimensionnel de ce concept. À la suite d’une recension de littérature rigoureuse, nous proposons un modèle de recherche articulé autour de cinq hypothèses majeures relatives au contrôle des salariés, à leur formation, leur rémunération, mais également au climat social et à la négociation sociale. Pour tester ce modèle, nous nous appuyons sur les données 2011 de l’enquête REPONSE (Relations Professionnelles et Négociation d’Entreprise) de la DARES (Direction de l’Animation de la Recherche, des Études et des Statistiques) du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé, ainsi que du ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie de France. À l’appui d’une étude empirique statistique (3 601 répondants « représentants de la direction »), nous montrons que les entreprises innovantes se distinguent nettement des autres en matière de GRH. Notamment, ces entreprises possèdent des systèmes de rémunération plus individualisés, elles fixent des objectifs plus généraux et effectuent moins de contrôle sur leurs salariés, favorisant donc la délégation dans le travail. Les entreprises innovantes investissent également davantage que les autres dans la formation et, enfin, elles mènent aussi plus de négociations avec les partenaires sociaux. Malgré de telles avancées, notre étude ne permet cependant pas de conclure à une quelconque relation entre stratégie et climat social.
8

Vaiva, G. "Associer les types de recontact du suicidant pour élargir la cible de prévention." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S68—S69. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.327.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
IntroductionFaut-il veiller sur une crise suicidaire dès lors qu’un sujet a été rencontré au décours d’une TS ? Nous prônons la simple idée de revenir un peu à distance, sur le compromis de sortie des urgences qui avait été conclu avec le patient suicidant. Nous présentons l’enchaînement des recherches internationales et françaises, quantitatives et qualitatives, qui nous permet aujourd’hui de proposer de tester un nouveau dispositif de soins.MatérielRevue d’essais thérapeutiques randomisés comparatifs. L’objectif principal était pour tous la réduction des conduites suicidaires à 6 ou 12 mois, en comparaison d’un groupe contrôle sans intervention spécifique. Un focus particulier sur le PHRC ALGOS et son étude qualitative et sociologique : ÉQUATION.RésultatsL’efficacité de l’algorithme baptisé ALGOS, jointe aux appropriations par les patients et les partenaires de soin des éléments du processus de veille, nous permettent de proposer un nouveau dispositif de suivi posthospitalier des suicidants : Vigilan S. Ce dispositif associe une « carte ressource prévention » en 0 800 distribuée à tous suicidants quittant le système hospitalier, un suivi téléphonique plus intensifié pour les patients ayant déjà connu une TS auparavant et un rappel téléphonique de tous à 6 mois. Le dispositif est centralisé pour une région donnée et un partenariat très étroit a été tissé avec les Samu/centre 15 qui accueillent les recontacteurs.Discussion et perspectivesCe programme se déploie en Nord–Pas-de-Calais depuis le début de cette année et 24 sites sont déjà associés au programme ; en cette fin d’année 2015, 4 autres régions rejoignent le NPC pour un essai populationnel pilote de trois ans, au terme desquelles la DGS associée à la CNAMTS prendront la décision ou non de proposer sa généralisation à tout le territoire français.
9

Frisque, Cégolène. "Multiplication des statuts précaires et (dé)structuration de l’espace professionnel." Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 2, no. 2 (December 30, 2023): 78–93. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v2.n2.2013.94.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Cet submission vise à interroger les formes d’encadrement du marché du travail du journalisme, la diversification des statuts d’emploi qui y ont cours et ses effets sur l’espace professionnel. Il s’appuie sur une exploitation secondaire des donnéesde la Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels (carte de presse non obligatoire mais largement répandue en France), sur la confrontation avec d’autres sources statistiques, et sur une quarantaine d’entretiens avec des journalistes « instables », n’ayant pas de contrat de travail permanent mais rémunérés sous d’autres formes, relevant de différents secteurs de la presse écrite, aux situations diversifiées. L’analyse conclut à un recul voire un dépérissement – invisible jusqu’à présent – de la « pige », forme de paiement à l’submission, au feuillet ou à la journée, ponctuel ou plus régulier, mais qui est officiellement assimilée à un contrat de travail, selon une fiction juridique, et permet l’accès des personnes concernées à divers droits salariaux et sociaux. Ce statut classique est débordé par les divers statuts précaires qui se sont multipliés dans l’ensemble du salariat (contrats à durée déterminée, dont le terme, variant d’une journée à 12 voire 18 mois, est fixé à l’avance, et contrats aidés, bénéficiant de subventions de l’Etat avec des objectifs de réinsertion professionnelle). D’autres statuts utilisés proviennent de secteurs connexes aux médias d’information (artistes auteurs employés par la presse écrite au contact de l’édition, intermittents du spectacle employés en télévision au contact des métiers du spectacle et de l’audiovisuel). Ce processus de déstructuration du marché du travail a été accentué et amplifié par le statut d’auto-entrepreneur, considéré comme relevant du travail « indépendant », et rémunéré sous forme de factures pour des prestations de service, qui s’est particulièrement diffusé dans les secteurs médiatiques émergents ou dérégulés comme Internet. Quels rôles ont joué les différents acteurs de l’espace professionnel dans ces processus ? Comment comprendre la dynamique de ces évolutions ? This submission aims to question the framing of the journalism labour-market, the diversification of employment classes within it, and its effects on the professionalfield. It is based on a secondary statistical analysis of data from the Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels (the press card is not compulsoryto work as journalist in France, but its use is widespread and still holds strong symbolic value), and their disagreement with other statistical sources; and on forty interviews of “casual” journalists without permanent contracts (remunerated in other ways) belonging to various sectors of the press in diverse contexts. The analysis demonstrates a decline, unseen until now, in “freelance” journalism; defined as payment per submission, per sheet or per day, occasional or more regular, but officially considered an employment contract according to legal fiction, allowing these journalists to benefit theoretically from all the labour rights and social security of employees. This classic status is overrun by other “precarious” labour categories, which have multiplied among salaried employees (fixed-term contracts, from one day, to twelve, or even eighteen, months; state-aided contracts, granted with the purpose of reintegration into the workforce). Other statuses originate in news media-related sectors (author-artist, employed by the written press on the fringes of the publishing sector; non-permanent employees of entertainment industries, employed by television at the boundary between the broadcast sector and entertainment). This destructuring process of the labour market has been furthered by the recent “auto-entrepreneur” status, regarded as a kind of “self-employment” and paid in the form of invoices for service delivery – widespread in emerging or unregulated media like the Internet. What are the roles of the various actors within the professional field in these processes? How can we understand the dynamics of these changes? Este artigo tem por objetivo analisar as formas de controle do mercado de trabalho jornalístico, a diversificação dos estatutos profissionais e seu impacto sobre o espaço profissional. Ele é baseado na exploração de dados secundários da Comissão da carteira de identidade dos Jornalistas Profissionais (o documento não é obrigatório, mas é amplamente difundido e carregado de valor simbólico na França), em confronto com outras fontes estatísticas e 40 entrevistas com jornalistas em situações não estáveis de trabalho, ou seja, sem contrato permanente, mas remunerado de outras formas, em diferentes setores da imprensa. A análise demonstra uma queda – invisível até o momento – no jornalismo «freelancer», definido como o pagamento por reportagem, por página ou por dia trabalhado, ocasional ou com alguma regularidade, mas considerado oficialmente um contrato de trabalho de acordo com a ficção jurídica, permitindo teoricamente que esses jornalistas se beneficiem de todos os direitos trabalhistas e previdenciários dos demais empregados. Este estatuto clássico é suplantado por outras categorias «precárias» de trabalho, que se multiplicaram entre os empregados assalariados (contratos com prazo determinado, a partir de um dia, a 12 até 18 meses; contratos subsidiados pelo Estado, concedidos com a finalidade de reintegração da força de trabalho). Outros estatutos utilizados provêm de setores correlatos ao da mídia informativa (autores e artistas, trabalhadores do mercado editorial, da indústria de entretenimento e dos meios audiovisuais). Este processo de desestruturação do mercado de trabalho foi promovido pelo recente status de «auto-empresário», considerado como uma espécie de «auto-emprego», que é remunerado na forma de faturas de prestação de serviços, difundido em países emergentes ou pela mídia não regulamentada, como a Internet. Quais são os papéis dos vários atores do campo profissional nestes processos? Como podemos entender a dinâmica dessas mudanças?
10

Husain, Odile. "Is the Rorschach of Psychopaths the Same on Both Sides of the Atlantic?" Rorschachiana 20, no. 1 (January 1995): 134–47. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.20.1.134.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le présent article tente d’effectuer un rapprochement entre un article européen de Rossel et Merceron et un livre américain de Reid Meloy, tous deux consacrés à l’analyse des organisations psychopathiques. Si tous les auteurs s’entendent sur l’économie narcissique du psychopathe, le choix de la population d’étude diffère quelque peu, en raison de l’approche structurale des premiers et de l’approche symptomatique du second. Tandis que l’étude suisse ne retient que des psychopathes du registre des états-limites, l’étude américaine inclut également des psychopathes de niveau psychotique. Par contre, la mésentente règne au niveau des outils d’analyse du discours psychopathique: analyse statistique et échelles validées chez Meloy; approche qualitative chez Rossel et Merceron. Aux premiers, l’on reprochera un certain réductionisme et appauvrissement du discours, prix à payer pour le respect de la standardisation et de la cotation. Aux seconds, l’on reprochera l’absence de toute quantification qui pose problème lorsque l’on aborde la question de la validité des données. Néanmoins, Européens et Américains s’entendent sur la notion d’un fonctionnement psychopathique. La relation d’objet est marquée par la pulsion agressive et ses dérivatifs, par la recherche de pouvoir et de contrôle. La lutte contre la dépendance est déduite chez Meloy de l’absence de réponse de texture et chez Rossel et Merceron de l’absence de contenus de dépendance. La qualité narcissique des représentations d’objet est mise en évidence, chez Meloy, par le biais de l’investissement du paraître, chez Rossel et Merceron par l’importance du processus d’externalisation. La dévalorisation des objets est aussi décrite. Ni les uns ni les autres ne font réellement référence à l’angoisse car cette angoisse qualifiable d’anaclitique s’exprime justement sous des manifestations tout à fait opposées. Le vide intérieur est déduit, chez Meloy, à partir de l’ennui que vit le psychopathe et, chez Rossel et Merceron, à partir de la survalorisation de la référence au réel. Une grande convergence existe entre les deux écrits au sujet des mécanismes de défense. Tous les auteurs s’accordent sur la prépondérance du clivage et du déni, un déni par le mot et l’acte chez Meloy, un déni hypomaniaque chez Rossel et Merceron. De part et d’autre de l’Atlantique, on s’accorde également pour attribuer une place importante à l’identification projective et à l’identification à l’agresseur. Par ailleurs, Rossel et Merceron démontrent comment à travers les caractéristiques de l’énonciation et les nuances de la verbalisation du psychopathe, il est possible d’inférer son non-investissement de la mentalisation et du savoir au profit d’un surinvestissement de l’agir. La complémentarité, voire la similarité, des commentaires dans les deux ouvrages devrait réconforter certains cliniciens, désarmés devant le fossé qui semble parfois régner entre la littérature des deux continents et confirmer, qu’indépendamment du type de méthodologie et de validation choisi, l’observation clinique du psychologue expérimenté demeure la pierre angulaire de toute recherche en psychopathologie.
11

Tidiane Dia, Amadou. "Cartographie et Modélisation de l’Érosion Hydrique dans le Bassin-Versant de Ogo (Nord-est du Sénégal) par Approche Statistique Bivariée de la Valeur Informative et Ratio de Fréquence." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 6 (February 28, 2023): 222. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n6p222.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le bassin versant de Ogo connait des contraintes climatiques, écologiques fortes et changeantes. La dynamique de dégradation actuelle est de plus en plus marquée par une intensification de l’érosion hydrique. C’est dans cette perspective que le présent travail a été réalisé pour mesurer la vulnérabilité du bassin versant de Ogo face à cette morphodynamique. Pour ce faire nous avons adopté parmi de nombreuses méthodologies disponibles dans les revues scientifiques comme la théorique de l’évidence, la logistique régression, le processus de l’analyse hiérarchique (AHP), la méthode bivariée dont le ratio de fréquence et la valeur informative qui fait d’office de méthode de référence dans la présente étude. Dans l’application de cette méthode, nous avons procédé par le recensement des différents paramètres d’entrés dont les différents facteurs causatifs à l’érosion hydrique et la cartographie d’inventaire des différentes formes d’érosion recensé dans le bassin versant de Ogo. Ces données ont été traitées, stockées et analysées dans un logiciel du système d’information géographique afin de rendre l’application assez souple. La susceptibilité à l’érosion hydrique dans le bassin-versant de Ogo ayant été appréhendé par la méthode de la valeur informative a montré que : le bassin versant de Ogo est très vulnérable à l’érosion hydrique, ce que l’approche descriptive des différentes formes d’érosions par la cartographie d’inventaire confirme. Les classes de susceptibilité sont reparties ainsi qu’il suit : très faible, faible, moyenne, forte et très fortes. La classe forte occupe 30,45 % de surface de susceptibilité tandis que la classe très forte occupe 20,28 % par rapport à l’ensemble de la zone étudiée et la classe moyenne occupe 27,89 %. Les résultats obtenus par la cartographie de la susceptibilité dudit bassin face à l’érosion hydrique ont été soumis à la validation par l’analyse de la courbe de ROC. Suite au croisement des données de l’inventaire sur la carte de susceptibilité, les surfaces des pixels pondérées obtenues sont déterminées par le calcul des Area under curver qui communique une information sur le taux de réussite ou d’échec de la méthode. Un taux inférieur ou égale à 60 % signifie l’échec de la méthodologie par la non précision des résultats obtenue ; par contre, un taux supérieur ou égale à 70 % signifie un niveau de précision de la méthode réussit. Le taux obtenu est de 78 %, révélant ainsi un bon résultat. The Ogo watershed is subject to strong and changing climatic and ecological constraints. The current degradation dynamics are increasingly marked by an intensification of water erosion. It is in this perspective that the present work was carried out with the aim of measuring the vulnerability of the Ogo watershed to this morphodynamic. In order to do so, we adopted among many methodologies available in scientific journals such as the evidence theory, logistic regression, the hierarchical analysis process (AHP), the bivariate method whose frequency ratio and informative value act as reference method in the present study. In the application of this method, we proceeded by listing the different input parameters including the different causative factors of water erosion and the inventory mapping of the different forms of erosion identified in the Ogo catchment. These data were processed, stored and analysed in a Geographic Information System software to make the application flexible enough. The susceptibility to water erosion in the Ogo catchment area having been apprehended by the information value method showed that : the Ogo catchment area is very vulnerable to water erosion, a fact confirmed by the descriptive approach of the different forms of erosion by inventory mapping. The susceptibility classes are divided into very low, low, medium, high and very high. The strong class occupies 30.45% of the susceptibility area, while the very strong class occupies 20.28% of the entire study area and the medium class occupies 27.89%. The results obtained by mapping the susceptibility of the said basin to water erosion were subjected to validation by ROC curve analysis. Following the cross-referencing of the inventory data with the susceptibility map, the weighted pixel areas obtained are determined by calculating the Area under curver, which provides information on the success or failure rate of the method. A rate of less than or equal to 60% means the failure of the methodology due to the non-precision of the results obtained, whereas a rate of more than or equal to 70% means a successful precision rate of the method. The rate obtained is 78%, thus revealing a good result.
12

BOULANGER, Françoise, Georges CHÉROUTE, and Valérie JOLIVET. "Maîtrise statistique des processus - Utilisation des cartes de contrôle." Instrumentation et méthodes de mesure, March 2006. http://dx.doi.org/10.51257/a-v2-r290.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
13

BRUNSCHWIG, Gérard, and Alain PALSKY. "Maîtrise statistique des processus (MSP) - Utilisation des cartes de contrôle." [Archives] Instrumentation et méthodes de mesure, July 1994. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-r290.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
14

Dia, Amadou Tidiane. "Cartographie et Modélisation de l’Érosion Hydrique dans le Bassin-versant de Ogo (Nord-est du Sénégal) par Approche Statistique Bivariée de la Valeur Informative et Ratio de Fréquence." European Scientific Journal ESJ 1 (January 30, 2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.1.2023p435.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le bassin versant de Ogo connait par des contraintes climatiques, écologiques fortes et changeantes. La dynamique de dégradation actuelle est de plus en plus marquée par une intensification de l’érosion hydrique. C’est dans cette perspective que le présent travail a été réalisé dans le but de mesurer la vulnérabilité du bassin versant de Ogo face à cette morphodynamique. Pour ce faire nous avons adopté parmi de nombreuses méthodologies disponibles dans les revues scientifiques comme la théorique de l’évidence, la logistique régression, le processus de l’analyse hiérarchique (AHP), la méthode bivariée dont le ratio de fréquence et la valeur informative qui fait d’office de méthode de référence dans la présente étude. Dans l’application de cette méthode, nous avons procédé par le recensement des différents paramètres d’entrés dont les différents facteurs causatifs à l’érosion hydrique et la cartographie d’inventaire des différentes formes d’érosion recensé dans le bassin versant de Ogo. Ces données ont été traiter, stocker et analyser dans un logiciel du système d’information géographique afin de rendre l’application assez souple. La susceptibilité à l’érosion hydrique dans le bassin-versant de Ogo ayant été appréhendé par la méthode de la valeur informative a montré que : le bassin versant de Ogo est très vulnérable à l’érosion hydrique, chose confirmer par l’approche descriptive des différentes formes d’érosions par la cartographie d’inventaire. Les classes de susceptibilité sont reparties de très faible, faible, moyenne, forte et très fortes. La classe forte occupe 30,45% de surface de susceptibilité tandis que la classe très forte occupe 20,28% par rapport à l’ensemble de la zone étudiée et la classe moyenne occupe 27,89%. Les résultats obtenus par la cartographie de la susceptibilité dudit bassin face à l’érosion hydrique ont été soumis à la validation par l’analyse de la courbe de ROC. Suite au croisement des données de l’inventaire sur la carte de susceptibilité, les surfaces des pixels pondérées obtenues sont déterminées par le calcul des Area under curver qui communique une information sur le taux de réussite ou d’échec de la méthode. Un taux inférieur ou égale à 60% signifie l’échec de la méthodologie par la non précision des résultats obtenue par contre un taux supérieur ou égale à 70% signifie un taux de précision de la méthode réussit. Le taux obtenu est de 78 %, révélant ainsi un bon résultat.
15

Dia, Amadou Tidiane. "Cartographie et Modélisation de l’Érosion Hydrique dans le Bassin-versant de Ogo (Nord-est du Sénégal) par Approche Statistique Bivariée de la Valeur Informative et Ratio de Fréquence." European Scientific Journal ESJ 1 (January 21, 2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.1.2023.435.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Le bassin versant de Ogo connait par des contraintes climatiques, écologiques fortes et changeantes. La dynamique de dégradation actuelle est de plus en plus marquée par une intensification de l’érosion hydrique. C’est dans cette perspective que le présent travail a été réalisé dans le but de mesurer la vulnérabilité du bassin versant de Ogo face à cette morphodynamique. Pour ce faire nous avons adopté parmi de nombreuses méthodologies disponibles dans les revues scientifiques comme la théorique de l’évidence, la logistique régression, le processus de l’analyse hiérarchique (AHP), la méthode bivariée dont le ratio de fréquence et la valeur informative qui fait d’office de méthode de référence dans la présente étude. Dans l’application de cette méthode, nous avons procédé par le recensement des différents paramètres d’entrés dont les différents facteurs causatifs à l’érosion hydrique et la cartographie d’inventaire des différentes formes d’érosion recensé dans le bassin versant de Ogo. Ces données ont été traiter, stocker et analyser dans un logiciel du système d’information géographique afin de rendre l’application assez souple. La susceptibilité à l’érosion hydrique dans le bassin-versant de Ogo ayant été appréhendé par la méthode de la valeur informative a montré que : le bassin versant de Ogo est très vulnérable à l’érosion hydrique, chose confirmer par l’approche descriptive des différentes formes d’érosions par la cartographie d’inventaire. Les classes de susceptibilité sont reparties de très faible, faible, moyenne, forte et très fortes. La classe forte occupe 30,45% de surface de susceptibilité tandis que la classe très forte occupe 20,28% par rapport à l’ensemble de la zone étudiée et la classe moyenne occupe 27,89%. Les résultats obtenus par la cartographie de la susceptibilité dudit bassin face à l’érosion hydrique ont été soumis à la validation par l’analyse de la courbe de ROC. Suite au croisement des données de l’inventaire sur la carte de susceptibilité, les surfaces des pixels pondérées obtenues sont déterminées par le calcul des Area under curver qui communique une information sur le taux de réussite ou d’échec de la méthode. Un taux inférieur ou égale à 60% signifie l’échec de la méthodologie par la non précision des résultats obtenue par contre un taux supérieur ou égale à 70% signifie un taux de précision de la méthode réussit. Le taux obtenu est de 78 %, révélant ainsi un bon résultat.
16

Dejemeppe, Muriel, and Bruno Van der Linden. "Numéro 40 - avril 2006." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15873.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Ce numéro de Regards économiques se concentre sur divers aspects du "plan Marshall" (ci-dessous "le plan") qui ont un lien direct avec le marché du travail en Wallonie. Il les situe par rapport à son fonctionnement, par rapport à certaines politiques fédérales et à la problématique salariale en Belgique et dans ses régions. Face aux difficultés à pourvoir certains types d'emplois vacants en Wallonie et au manque simultané d'opportunités d'emploi, quels sont les remèdes ? Où le plan peut-il agir ? “Le problème de la Wallonie, c'est le manque d'offres d'emploi”, entend-on dire souvent. D'un autre côté, depuis quelques années, est apparue la problématique des postes vacants difficiles à pourvoir (ou des "fonctions critiques"). Bien que la coexistence de ces deux problèmes n'ait rien de surprenant, on a de bonnes raisons de se soucier simultanément de chacun d'eux. Divers mécanismes sont à prendre en compte. Le “plan” agit sur certains d'entre eux mais doit être complété par des outils fédéraux. Le plan devrait par divers canaux stimuler à terme le nombre de postes vacants créés (renforcement de l'innovation, stimulation de la création d'activités et création de “pôles de compétitivité”). Il est trop tôt cependant pour en juger. L'essentiel dépendra de la capacité de nos institutions publiques et privées à mettre ces actions en œuvre avec efficacité. Dans ses domaines de compétence, le "plan" prévoit des mesures qui devraient favoriser la conciliation entre vie familiale et professionnelle (renforcement des capacités d'accueil de jeunes enfants et d'aide «aux personnes dépendantes» par le recrutement de près de 2000 emplois subventionnés dans le secteur non marchand). Ceci devrait faciliter l'acceptation d'une offre d'emploi. Le FOREM et des organismes privés cherchent à faciliter la rencontre entre demandeurs d'emplois et postes vacants. Le plan prévoit un renforcement des moyens du FOREM à cet égard mais uniquement en faveur des stagiaires en formation au sein du FOREM lui-même. Cette restriction est difficile à justifier. Comme les difficultés de recrutement tiennent aussi à un déficit de compétence, le "plan" prévoit un renforcement de l'effort de formation, en particulier pour les fonctions identifiées comme critiques et dans les secteurs liés aux pôles de compétitivité. Cette sélectivité apparaît cohérente. Divers instruments renforcés par le "plan" (le Plan Formation-Insertion, l'apprentissage des langues, l'enseignement en alternance) ne sont pas nouveaux. Ils ont fait parfois l'objet d'évaluations critiques. On attend des décideurs qu'ils prennent la pleine mesure des conclusions essentielles de celles-ci parallèlement à l'octroi de moyens supplémentaires. Le "plan" intègre la création d'un instrument nouveau par la Communauté française: les Centres de Technologies Avancées. Il s'agit de labelliser et de renforcer les moyens d'établissements scolaires spécialisés dans des secteurs porteurs d'emploi. Ces centres s'ajoutent à une autre structure, créée assez récemment par la Région wallonne et dénommée les Centres de compétence. Etant donné la rapidité des évolutions technologiques, l'enjeu est de taille. La sélection des projets et la coordination entre la Région et la Communauté seront ici aussi déterminants. La difficulté à pourvoir des emplois vacants est aussi liée à des facteurs non monétaires nuisibles à la qualité de l'emploi (horaires difficiles, risques d'accident de travail, etc.), au statut social associé ou non à l'emploi et aux images que l'on a de la fonction offerte (voir la récente étude du DULBEA sur ce sujet). Dans le cadre du "plan", le FOREM a récemment mis en place un “plan d'action”qui vise notamment à agir sur certains de ces aspects. Sans oublier les actions régionales dans le domaine du transport public et du logement, qui ne relèvent pas du "plan", pour promouvoir davantage une meilleure rencontre entre les emplois vacants et les demandeurs d'emploi, la Région wallonne doit en particulier s'appuyer sur les instruments suivants, qui sont essentiellement du ressort de l'Etat fédéral : On sait que les gains monétaires immédiats en cas de reprise d'emploi se sont accrus dans bien des cas entre 1999 et 2003. Ces gains paraissent toutefois demeurer fort faibles en cas de reprise d'un emploi à bas salaire et à temps partiel. Le gouvernement fédéral s'est engagé à adapter périodiquement les prestations de remplacement de revenus des salariés. Face à cela, pour éviter le développement de désincitants à la reprise d'emploi, toute modification de la (para)fiscalité devrait avoir un double souci : (a) elle devrait atteindre les catégories au bas de l'échelle des revenus du travail d'une manière immédiatement tangible pour celles-ci (via en particulier les cotisations personnelles ou le précompte professionnel); (b) cependant, on ne peut alléger la (para)fiscalité au bas de l'échelle des revenus sans un ajustement dans le même sens pour les revenus plus élevés sous peine de créer des incitations perverses qui réduiraient la base taxable. Il est possible que le plan d'activation du comportement de recherche d'emploi entraîne une augmentation de l'effort de recherche. Les évaluations sont en cours. Pour autant qu'elles stimulent effectivement l'effort de recherche d'emploi, les politiques actives rendant celui-ci plus efficace (conseillers en recherche d'emploi, ateliers de recherche active, stage de mise en situation professionnelle) peuvent stimuler une embauche durable, ainsi que l'a montré une évaluation en France. Le plan d'accompagnement des chômeurs pourrait affecter le comportement de recherche d'emploi par ce canal et pas uniquement par le contrôle qu'il exerce. Coûts salariaux et productivité : Faut-il régionaliser la formation des salaires, alléger le coût du travail ? Le “plan” n'aborde qu'incidemment la problématique du coût du travail. A-t-il tort ? En soi, non, car la matière est fédérale. Cette problématique et celle de la productivité sont néanmoins en toile de fond du "plan" et de bien des débats. Nous avons donc estimé utile de consacrer un part de ce numéro à ces aspects. Sur base des récentes statistiques de l'ICN, comparés à la Wallonie, le coût salarial par personne est dans la plupart des secteurs supérieur en Flandre (en moyenne, l'écart est de 8 % en 2003) mais la productivité du travail est dans la plupart des secteurs supérieure en Flandre (en moyenne, l'écart est de 14 % en 2004). En combinant ces informations pour 2003, on conclut que le coût salarial par unité de valeur ajoutée est en moyenne inférieur de 4,5 % en Flandre. Ces moyennes cachent néanmoins une hétérogénéité sectorielle importante. De ce constat, on peut être tenté de conclure qu'il faudrait abandonner la formation des salaires au niveau (interprofessionnel et sectoriel) fédéral au profit d'une négociation à un niveau régional ou local. Ceci devrait conduire à une meilleure prise en compte des conditions locales du marché du travail lors de la négociation salariale. Nous émettons des doutes sur l'efficacité d'une telle approche. Il est bien établi que les salaires réagissent faiblement au niveau du chômage en Belgique. Rien ne permet de penser qu'une forme de régionalisation modifierait l'ampleur de cette saine réaction. Plus fondamentalement, les résultats d'une négociation se jugent par comparaison aux résultats obtenus par d'autres négociations salariales. Si donc on découpe les commissions paritaires nationales en commissions (sous-)régionales, on doit s'attendre à un effet de comparaison très puissant entre les ex-membres de la même commission nationale. Une régionalisation des négociations est alors moins efficace du point de vue de l'emploi qu'une négociation nationale qui prend en compte les spécificités régionales. Ceci est vrai tant pour la Flandre que pour les autres régions. Sans être le seul facteur pertinent (voir notamment le numéro 41 de Regards économiques relatif à la fiscalité), le coût du travail est un facteur central pour les régions belges. Outre le ciblage inadéquat des allégements structurels (fédéraux) de cotisations patronales de sécurité sociale, nous rappelons que des subventions temporaires à l'embauche présentent une efficacité du point de vue de l'insertion en emploi pour autant que le ciblage soit adéquat et la durée de subvention courte (un an devrait être un ordre de grandeur). La région wallonne a de longue date privilégié une autre option : les créations directes et/ou la subvention forte et durable d'emplois réservés aux chômeurs. Le "plan" prolonge cette option par le subventionnement de 2000 emplois supplémentaires (voir point b ci-dessus). Les secteurs bénéficiaires – dans une large mesure les secteurs publics et non-marchand – reçoivent ainsi un soutien parfois essentiel. Il nous apparaît que cette dernière motivation domine en pratique. Nous ne voyons donc pas les raisons de réserver ces emplois à des personnes disposant de statuts spécifiques – souvent complexes à définir. Que faut-il faire et, surtout, ne pas faire en matière d’évaluation des politiques d’emploi ? L'enjeu de l'évaluation est proclamé de plus en plus souvent, en particulier par le "plan". Mais est-on bien conscient de ce que "évaluer" veut dire ? Nous sommes convaincus du contraire. Le «nombre de contrats signés», le «nombre de bénéficiaires», le «parcours des bénéficiaires sur le marché du travail» et même une comparaison grossière entre ces parcours et ceux d'un vague groupe de contrôle sont autant d’indicateurs descriptifs intéressants. Ils ne permettent cependant pas de se prononcer sur l’effet du dispositif sur les chances d’insertion des demandeurs d’emploi. Des méthodes plus sophistiquées et plus fiables existent mais elles ne s'improvisent pas. Elles requièrent du temps et un savoir-faire pointu. Nous préconisons donc ceci : Il y a lieu de penser l’évaluation d’un programme avant même son lancement. Il faudrait interdire le lancement d'une nouvelle politique avant que le processus d'évaluation n'ait été défini et reconnu pertinent par une instance indépendante. L'Institut Wallon de l'Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS) doit être doté de moyens substantiellement plus importants pour qu'il puisse notamment mener à bien ses missions d'évaluation.
17

Dejemeppe, Muriel, and Bruno Van der Linden. "Numéro 40 - avril 2006." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2006.04.01.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Ce numéro de Regards économiques se concentre sur divers aspects du "plan Marshall" (ci-dessous "le plan") qui ont un lien direct avec le marché du travail en Wallonie. Il les situe par rapport à son fonctionnement, par rapport à certaines politiques fédérales et à la problématique salariale en Belgique et dans ses régions. Face aux difficultés à pourvoir certains types d'emplois vacants en Wallonie et au manque simultané d'opportunités d'emploi, quels sont les remèdes ? Où le plan peut-il agir ? “Le problème de la Wallonie, c'est le manque d'offres d'emploi”, entend-on dire souvent. D'un autre côté, depuis quelques années, est apparue la problématique des postes vacants difficiles à pourvoir (ou des "fonctions critiques"). Bien que la coexistence de ces deux problèmes n'ait rien de surprenant, on a de bonnes raisons de se soucier simultanément de chacun d'eux. Divers mécanismes sont à prendre en compte. Le “plan” agit sur certains d'entre eux mais doit être complété par des outils fédéraux. Le plan devrait par divers canaux stimuler à terme le nombre de postes vacants créés (renforcement de l'innovation, stimulation de la création d'activités et création de “pôles de compétitivité”). Il est trop tôt cependant pour en juger. L'essentiel dépendra de la capacité de nos institutions publiques et privées à mettre ces actions en œuvre avec efficacité. Dans ses domaines de compétence, le "plan" prévoit des mesures qui devraient favoriser la conciliation entre vie familiale et professionnelle (renforcement des capacités d'accueil de jeunes enfants et d'aide «aux personnes dépendantes» par le recrutement de près de 2000 emplois subventionnés dans le secteur non marchand). Ceci devrait faciliter l'acceptation d'une offre d'emploi. Le FOREM et des organismes privés cherchent à faciliter la rencontre entre demandeurs d'emplois et postes vacants. Le plan prévoit un renforcement des moyens du FOREM à cet égard mais uniquement en faveur des stagiaires en formation au sein du FOREM lui-même. Cette restriction est difficile à justifier. Comme les difficultés de recrutement tiennent aussi à un déficit de compétence, le "plan" prévoit un renforcement de l'effort de formation, en particulier pour les fonctions identifiées comme critiques et dans les secteurs liés aux pôles de compétitivité. Cette sélectivité apparaît cohérente. Divers instruments renforcés par le "plan" (le Plan Formation-Insertion, l'apprentissage des langues, l'enseignement en alternance) ne sont pas nouveaux. Ils ont fait parfois l'objet d'évaluations critiques. On attend des décideurs qu'ils prennent la pleine mesure des conclusions essentielles de celles-ci parallèlement à l'octroi de moyens supplémentaires. Le "plan" intègre la création d'un instrument nouveau par la Communauté française: les Centres de Technologies Avancées. Il s'agit de labelliser et de renforcer les moyens d'établissements scolaires spécialisés dans des secteurs porteurs d'emploi. Ces centres s'ajoutent à une autre structure, créée assez récemment par la Région wallonne et dénommée les Centres de compétence. Etant donné la rapidité des évolutions technologiques, l'enjeu est de taille. La sélection des projets et la coordination entre la Région et la Communauté seront ici aussi déterminants. La difficulté à pourvoir des emplois vacants est aussi liée à des facteurs non monétaires nuisibles à la qualité de l'emploi (horaires difficiles, risques d'accident de travail, etc.), au statut social associé ou non à l'emploi et aux images que l'on a de la fonction offerte (voir la récente étude du DULBEA sur ce sujet). Dans le cadre du "plan", le FOREM a récemment mis en place un “plan d'action”qui vise notamment à agir sur certains de ces aspects. Sans oublier les actions régionales dans le domaine du transport public et du logement, qui ne relèvent pas du "plan", pour promouvoir davantage une meilleure rencontre entre les emplois vacants et les demandeurs d'emploi, la Région wallonne doit en particulier s'appuyer sur les instruments suivants, qui sont essentiellement du ressort de l'Etat fédéral : On sait que les gains monétaires immédiats en cas de reprise d'emploi se sont accrus dans bien des cas entre 1999 et 2003. Ces gains paraissent toutefois demeurer fort faibles en cas de reprise d'un emploi à bas salaire et à temps partiel. Le gouvernement fédéral s'est engagé à adapter périodiquement les prestations de remplacement de revenus des salariés. Face à cela, pour éviter le développement de désincitants à la reprise d'emploi, toute modification de la (para)fiscalité devrait avoir un double souci : (a) elle devrait atteindre les catégories au bas de l'échelle des revenus du travail d'une manière immédiatement tangible pour celles-ci (via en particulier les cotisations personnelles ou le précompte professionnel); (b) cependant, on ne peut alléger la (para)fiscalité au bas de l'échelle des revenus sans un ajustement dans le même sens pour les revenus plus élevés sous peine de créer des incitations perverses qui réduiraient la base taxable. Il est possible que le plan d'activation du comportement de recherche d'emploi entraîne une augmentation de l'effort de recherche. Les évaluations sont en cours. Pour autant qu'elles stimulent effectivement l'effort de recherche d'emploi, les politiques actives rendant celui-ci plus efficace (conseillers en recherche d'emploi, ateliers de recherche active, stage de mise en situation professionnelle) peuvent stimuler une embauche durable, ainsi que l'a montré une évaluation en France. Le plan d'accompagnement des chômeurs pourrait affecter le comportement de recherche d'emploi par ce canal et pas uniquement par le contrôle qu'il exerce. Coûts salariaux et productivité : Faut-il régionaliser la formation des salaires, alléger le coût du travail ? Le “plan” n'aborde qu'incidemment la problématique du coût du travail. A-t-il tort ? En soi, non, car la matière est fédérale. Cette problématique et celle de la productivité sont néanmoins en toile de fond du "plan" et de bien des débats. Nous avons donc estimé utile de consacrer un part de ce numéro à ces aspects. Sur base des récentes statistiques de l'ICN, comparés à la Wallonie, le coût salarial par personne est dans la plupart des secteurs supérieur en Flandre (en moyenne, l'écart est de 8 % en 2003) mais la productivité du travail est dans la plupart des secteurs supérieure en Flandre (en moyenne, l'écart est de 14 % en 2004). En combinant ces informations pour 2003, on conclut que le coût salarial par unité de valeur ajoutée est en moyenne inférieur de 4,5 % en Flandre. Ces moyennes cachent néanmoins une hétérogénéité sectorielle importante. De ce constat, on peut être tenté de conclure qu'il faudrait abandonner la formation des salaires au niveau (interprofessionnel et sectoriel) fédéral au profit d'une négociation à un niveau régional ou local. Ceci devrait conduire à une meilleure prise en compte des conditions locales du marché du travail lors de la négociation salariale. Nous émettons des doutes sur l'efficacité d'une telle approche. Il est bien établi que les salaires réagissent faiblement au niveau du chômage en Belgique. Rien ne permet de penser qu'une forme de régionalisation modifierait l'ampleur de cette saine réaction. Plus fondamentalement, les résultats d'une négociation se jugent par comparaison aux résultats obtenus par d'autres négociations salariales. Si donc on découpe les commissions paritaires nationales en commissions (sous-)régionales, on doit s'attendre à un effet de comparaison très puissant entre les ex-membres de la même commission nationale. Une régionalisation des négociations est alors moins efficace du point de vue de l'emploi qu'une négociation nationale qui prend en compte les spécificités régionales. Ceci est vrai tant pour la Flandre que pour les autres régions. Sans être le seul facteur pertinent (voir notamment le numéro 41 de Regards économiques relatif à la fiscalité), le coût du travail est un facteur central pour les régions belges. Outre le ciblage inadéquat des allégements structurels (fédéraux) de cotisations patronales de sécurité sociale, nous rappelons que des subventions temporaires à l'embauche présentent une efficacité du point de vue de l'insertion en emploi pour autant que le ciblage soit adéquat et la durée de subvention courte (un an devrait être un ordre de grandeur). La région wallonne a de longue date privilégié une autre option : les créations directes et/ou la subvention forte et durable d'emplois réservés aux chômeurs. Le "plan" prolonge cette option par le subventionnement de 2000 emplois supplémentaires (voir point b ci-dessus). Les secteurs bénéficiaires – dans une large mesure les secteurs publics et non-marchand – reçoivent ainsi un soutien parfois essentiel. Il nous apparaît que cette dernière motivation domine en pratique. Nous ne voyons donc pas les raisons de réserver ces emplois à des personnes disposant de statuts spécifiques – souvent complexes à définir. Que faut-il faire et, surtout, ne pas faire en matière d’évaluation des politiques d’emploi ? L'enjeu de l'évaluation est proclamé de plus en plus souvent, en particulier par le "plan". Mais est-on bien conscient de ce que "évaluer" veut dire ? Nous sommes convaincus du contraire. Le «nombre de contrats signés», le «nombre de bénéficiaires», le «parcours des bénéficiaires sur le marché du travail» et même une comparaison grossière entre ces parcours et ceux d'un vague groupe de contrôle sont autant d’indicateurs descriptifs intéressants. Ils ne permettent cependant pas de se prononcer sur l’effet du dispositif sur les chances d’insertion des demandeurs d’emploi. Des méthodes plus sophistiquées et plus fiables existent mais elles ne s'improvisent pas. Elles requièrent du temps et un savoir-faire pointu. Nous préconisons donc ceci : Il y a lieu de penser l’évaluation d’un programme avant même son lancement. Il faudrait interdire le lancement d'une nouvelle politique avant que le processus d'évaluation n'ait été défini et reconnu pertinent par une instance indépendante. L'Institut Wallon de l'Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS) doit être doté de moyens substantiellement plus importants pour qu'il puisse notamment mener à bien ses missions d'évaluation.

До бібліографії