Статті в журналах з теми "Arménie soviétique"

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Calzolari, Valentina. "« Écrire les camps » en Arménie soviétique : Barbelés en fleurs de Gourguen Mahari." Connexe : les espaces postcommunistes en question(s) 8 (December 30, 2022): 61–79. http://dx.doi.org/10.5077/journals/connexe.2022.e1040.

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Gourguen Mahari (1903–1969) est l’un des écrivains les plus marquants de la littérature de l’Arménie soviétique. Dans sa jeunesse, il participa activement aux mouvements intellectuels de la capitale, brièvement présentés dans ce travail, avant de tomber en disgrâce, en 1936, et d’être déporté dans les camps du Goulag, d’où il ne put rentrer qu’après la mort de Staline. Cet article porte sur Barbelés en fleurs, une œuvre écrite en 1965 et issue des longues années passées par l’écrivain dans les camps. Censurée en Arménie soviétique, elle fut publiée pour la première fois en diaspora (Beyrouth et Paris), en 1971–1973, et seulement en 1988 en Arménie, dans le contexte de la perestroïka. Cet article analyse les plans narratifs de Barbelés en fleurs et les procédés d’écriture employés par Mahari en les comparant avec les choix d’écriture adoptés par d’autres écrivains, non arméniens, pour « écrire les camps ». Une lecture croisée avec une deuxième œuvre majeure de Mahari, Vergers en feu, sur l’autodéfense de la ville de Van en 1915, s’est révélée fondamentale. Dans les deux ouvrages, l’auteur fait recours au dialogisme et à la réfraction pour faire entendre une pluralité de voix et de perspectives. L’article rappelle aussi quelques aspects des interdictions qui ont frappé la littérature arméno-soviétique, non seulement au nom de l’idéologie du Parti, mais aussi du discours officiel arménien sur l’histoire de la libération des Arméniens de l’Empire ottoman. La censure arménienne ne pardonna pas à Mahari d’avoir montré le mouvement révolutionnaire arménien, dans Vergers en feu, sous l’angle de la déshéroïsation et de la désacralisation.
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Vaissié, Cécile. "Deux voyages d’écrivains en Arménie au début des années 1960 : les regards de Vassili Grossman et de Simone de Beauvoir." Connexe : les espaces postcommunistes en question(s) 8 (December 30, 2022): 93–111. http://dx.doi.org/10.5077/journals/connexe.2022.e1032.

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Vassili Grossman, auteur soviétique des romans Vie et destin et Tout passe, se rend en Arménie en novembre et décembre 1961 pour y retravailler la traduction en russe du roman de l’un des dirigeants de l’Union des écrivains arméniens, Hratchia Kotchar. Moins de deux ans plus tard, en septembre 1963, les intellectuels français Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre, constamment entourés par les autorités locales, dont Hratchia Kotchar, passent deux ou trois jours dans cette république soviétique, à la toute fin d’un séjour de six semaines en URSS. Grossman et Beauvoir – mais pas Sartre – écriront des textes à la première personne du singulier sur leur séjour en Arménie, et, si ces textes sont de longueurs très différentes, ils ont le mérite de figer deux regards en partie complémentaires sur l’Arménie, sa société et son monde littéraire à une époque précise : celle du Dégel et de la déstalinisation. En outre, Grossman développe dans le sien une comparaison explicite entre Arméniens et Juifs, deux peuples victimes de massacres de masse au XXe siècle, et il poursuit ainsi sa réflexion sur les totalitarismes du siècle. Ces deux textes sont donc aussi révélateurs des perceptions et des attentes de leurs auteurs : un Soviétique, désormais très critique du stalinisme et du léninisme, marqué par les meurtres collectifs du XXe siècle et séduit par les gens simples d’Arménie, et une Française qui demeure fascinée par le communisme et les révolutions, et ne parle ni russe ni arménien.
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Ter, Anahide. "Les arméniens au 20e siècle." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 67, no. 3 (July 1, 2000): 135–50. http://dx.doi.org/10.3917/ving.p2000.67n1.0135.

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Résumé L'histoire des Arméniens au 20e siècle se décline selon quatre rubriques : le géno cide de 1915 et la manière dont le combat pour sa reconnaissance internationale a été le moteur du réveil national en Arménie soviétique comme en diaspora ; la question de l'État arménien, depuis l'éphémère République d'Arménie créée en 1918 sous la pression ottomane jusqu'à l'indépendance proclamée en 1991 après sept décennies d'intégration à l'Union Soviétique ; le rôle de l'Église apostolique arménienne, gardienne de l'identité nationale persécutée sous Staline et désormais préoccupée de redéfinir ses rapports avec l'État ; la diaspora enfin, partagée entre l'espérance du nerkaght (retour) et l'assimilation au pays d'accueil, et que l'indépendance de 1991 confronte à l'enjeu du dialogue entre « les deux segments d'une seule nation arménienne ».
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Atamian, Astrig. "Tourisme, racines et idéologie : les premiers voyages en Arménie soviétique." Diasporas 14, no. 1 (2009): 139–51. http://dx.doi.org/10.3406/diasp.2009.1185.

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Mouradian, Claire. "Introduction : Les écrivains au risque de la littérature. L’État et les intellectuels en Arménie soviétique." Connexe : les espaces postcommunistes en question(s) 8 (December 30, 2022): 6–42. http://dx.doi.org/10.5077/journals/connexe.2022.e1042.

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Cet article porte sur la littérature arméno-soviétique et étudie les relations entre le pouvoir communiste et les écrivains. Ces derniers sont soumis aux injonctions d’un État totalitaire qui, depuis Lénine, a toujours considéré la littérature comme un instrument de propagande, et les hommes de lettres – et plus généralement les intellectuels – comme des auxiliaires du Parti. D’où la difficulté de traiter de courants et d’esthétiques littéraires indépendamment des diverses phases de l’histoire de l’URSS. Outre des questionnements communs aux peuples non-russes – s’agit-il d’une littérature nationale ou provinciale ? –, en Arménie s’ajoutent ceux spécifiques à un pays héritier d’influences culturelles diverses après plusieurs siècles de partage entre des empires, une double norme linguistique (orientale et occidentale), et une diaspora mondiale issue du génocide de 1915. On y mesure ainsi les effets de la volonté uniformisatrice d’une littérature devant être « nationale par la forme, socialiste par le contenu », aboutissant souvent à sa folklorisation, mais aussi une certaine résistance des « ingénieurs des âmes » à ce processus.
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Hovanessian, Martine. "L'évolution du statut de la migration arménienne en france." Sociétés contemporaines 4, no. 4 (November 1, 1990): 51–64. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p1990.4n1.0051.

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Résumé Résumé : L'article interroge le caractère complexe de la migration arménienne établie massivement en France depuis les années 1922-23. Comment interpréter le changement de statut de cette collectivité qui tente de nos jours sur la base a" une intégration "réussie , d'élaborer un lien communautaire autour de projets (réseaux économiques, associatifs, culturels), se substituant aux anciennes communautés d'espaces ou aux solidarités familiales et villageoises des années 1930 ? Ce texte s'attache à dégager les multiples paramètres qui ont contribué à façonner dans le champ des sciences sociales relatif aux migrations, l'image d'un groupe "ne faisant pas problème", échappant à i analyse^ ď une sociologie des migrations formulée en termes de conflits entre autochtones et immigrés. Depuis 19/5, la dépendance du groupe aux fluctuations idéologiques ď une société française dite " plurielle" favorise de nouvelles stratégies de négociation d'une identité "d'origine" qui se construit et se déconstruit en rapport avec l'identité nationale et donne lieu à l émergence de nouveaux concepts (celui "d'arménité", de "deuxième génération"). Cette nouvelle dynamique tient de plus en plus compte de la réalité interne de la collectivité (existence ď une diaspora ; présence en France depuis 1975 de nouveaux venus originaires du Proche-Orient ; événements récents en Arménie Soviétique).
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Natacha, Laurent. "Ter Minassian Anahide, Histoires croisées : Diaspora, Arménie, Transcaucasie; Cahiers du monde russe Guerre, guerres civiles et conflits nationaux dans l'Empire russe et en Russie soviétique (1914-1922)." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 60, no. 4 (October 1, 1998): 153. http://dx.doi.org/10.3917/ving.p1998.60n1.0153.

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Gonon-Pelletier, Étienne, and Clément Reix. "De La Couleur de la grenade à Sayat Nova : le Caucase face à ses tiraillements." Questions internationales 93, no. 5 (October 1, 2018): 120–25. http://dx.doi.org/10.3917/quin.093.0120.

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La Couleur de la grenade est une biographie onirique de Sayat-Nova, célèbre poète arménien du xviii e siècle, réalisée en 1968 par le cinéaste soviétique Sergeï Paradjanov. L’histoire de ce film, censuré à sa sortie et récemment restauré, doit être appréhendée au regard des tensions géopolitiques et des tiraillements culturels qui traversent le Caucase méridional. En dépit de tentatives de récupérations nationalistes, les destins croisés du cinéaste et du poète renvoient à la permanence de traits culturels transcaucasiens.
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Nichanian, Mikaël. "La deuxième guerre du Karabakh (2020) Recomposition territoriale et géopolitique dans le sud du Caucase." Questions internationales 109, no. 5 (September 14, 2021): 97–105. http://dx.doi.org/10.3917/quin.109.0097.

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La question du Karabakh, « conflit gelé » depuis 1994, héritage de la période post-soviétique, a connu un embrasement brutal du 27 septembre au 9 novembre 2020. La deuxième guerre du Karabakh a mis en évidence de nettes évolutions politiques dans le sud du Caucase, en particulier un recul de l’influence russe dans la région. Sur fond de coopération russo-turque depuis 2016 dans de nombreux dossiers, la Russie a choisi de ne pas intervenir militairement dans ce conflit pour soutenir son allié arménien, tandis que la Turquie offrait un puissant soutien militaire à l’Azerbaïdjan. Cette victoire, acquise au terme de 44 jours de combat grâce à des innovations tactiques, rebat les cartes géopolitiques de la région.
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Avioutskii, Viacheslav. "Dynamiques géopolitiques dans l’espace postsoviétique à la lumière de la guerre d’Ukraine." Hérodote N° 190-191, no. 3 (September 25, 2023): 137–57. http://dx.doi.org/10.3917/her.190.0137.

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La guerre en Ukraine a eu un effet inattendu sur l’influence de la Russie dans l’espace postsoviétique. Contrairement à ses attentes, à l’exception du Bélarus, le Kremlin n’a pas été soutenu par les États ex-soviétiques. Bien que leurs réactions soient prudentes, elles démontrent que l’espace postsoviétique est géopolitiquement fragmenté. Il est divisé en ses alliés (Bélarus, Arménie et Tadjikistan), ses partenaires stratégiques (Kazakhstan et Kirghizistan), les États émancipés (Ouzbékistan, Turkménistan et Azerbaïdjan) et les États qui se sont distanciés (Moldavie et Géorgie). La Russie n’est plus le seul arbitre dans son « étranger proche ». Elle est concurrencée par les États-Unis, l’Union européenne, la Chine et la Turquie. Malgré des tentatives d’intégration économique et le maintien de l’Organisation du traité de Sécurité collective, les États postsoviétiques ne sont pas prêts à renoncer à leur souveraineté.
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Baldini, Charles. "Normandie-Niemen : l’amalgame des aviateurs de la france libre et de l’armée d’armistice au cœur de l’URSS." Guerres mondiales et conflits contemporains N° 291, no. 3 (June 30, 2023): 91–104. http://dx.doi.org/10.3917/gmcc.291.0091.

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Durant l’hiver 1943-1944, Normandie-Niémen, pour devenir un régiment de chasse de la nouvelle armée de l’air réunifiée, doit recevoir de nombreux renforts de l’ancienne armée d’armistice. L’escadrille emblématique de la France libre, combattant aux côtés des Soviétiques depuis le début de l’année, doit réaliser un amalgame de grande ampleur. À partir des témoignages des vétérans, notamment des archives orales conservées par le Service Historique de la Défense (SHD), cet article vise à étudier la manière dont l’amalgame a été réalisé malgré les fortes tensions entre les pilotes qui, pendant deux ans, se sont opposés parfois les armes à la main.
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Hervouet, Gérard, and Carlyle A. Thayer. "Armée et Parti au Viêt-Nam : une symbiose au service de l'économie de marché." Études internationales 32, no. 2 (April 12, 2005): 337–50. http://dx.doi.org/10.7202/704286ar.

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L'expérience historique tout à fait exceptionnelle du Viêt-Nam depuis 1945 suffit à légitimer le caractère très spécifique du rôle assumé par l'Armée populaire du Viêt-Nam (APV). Avec l'adoption du Dôi Moi - ou grand programme de réformes - en 1986, et la fin de l'Union soviétique, on pouvait penser que les autorités vietnamiennes s'écarteraient progressivement de la logique de la « nation en armes » . En fait, il n'en fut rien et le Viêt-Nam associe désormais encore plus étroitement VAPV à des activités économiques importantes. Le Parti communiste vietnamien, et cela contrairement à son homologue chinois, ne cherche pas à professionnaliser véritablement son armée qui devient plus que jamais l'instrument du maintien de l'ordre intérieur. Cette symbiose volontairement renforcée se traduit par l'attribution de nouvelles fonctions civiles à VAPV. Divisé en trois parties , cet article étudie donc l'imbrication des rapports Parti-Armée, la mobilisation des militaires sur le front économique et l'amorce d'un professionnalisme immédiatement compensé par la définition de nouvelles tâches civiles.
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Ardillier-Carras, Françoise, and Ashot Khoetsyan. "Lac Sevan (Arménie) : des héritages soviétiques aux réalités d'aujourd'hui (Lake Sevan (Armenia) : from soviet heritage to present realities)." Bulletin de l'Association de géographes français 82, no. 2 (2005): 199–212. http://dx.doi.org/10.3406/bagf.2005.2455.

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McWhinney, Edward. "The “New Thinking” in Soviet International Law: Soviet Doctrines and Practice in the Post-Tunkin Era." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 28 (1991): 309–37. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800004148.

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SommaireLa “nouvelle pensée” (Novoe Mishlenie) en droit international soviétique représente l'application juridique concrète de la conception-clé d'un renouvellement compréhensive (Perestroika) de la société russe, achevé par la voie d'une ouverture politique-intêllectuelle (Glas-nost). Bâtie sur la théorie de la Coexistence pacifique des systèmes juridiques différents élaborée à la fin des années 50e par le grand savant russe, Gregory Tunkin, et codifiée dans la Résolution célèbre de l'Assemblée Générale de l'Onu en octobre 1970, la “nouvelle pensée” a abandonné la notion d'un conflit inévitable et nécessaire entre ces systèmes, et a mis son emphase sur la coopération et la réciprocité mutuelle. La "nouvelle pensée" implique, concretement, la primauté juridique de l'Onu dans le règlement des différends interétatiques, l'augmentation de la juridiction obligatoire de la Cour internationale, et aussi l'accélération du processus de désarmement nucléaire et général et le renoncement du recours à la force armée sauf avec l'autorité préalable et sous l'égide et aussi la surveillance directe de l'Onu.
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Hucker, Daniel. "De « quantité négligeable » au « renouveau de la France » : représentations de la France en tant qu’alliée militaire à la fin des années 1930." Revue Historique des Armées 264, no. 3 (August 1, 2011): 48–58. http://dx.doi.org/10.3917/rha.264.0048.

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Cet article montre pourquoi les Britanniques ont été, en septembre 1939, aussi proches des Français et ce en dépit d’une longue réticence voire même d’une certaine hostilité. Deux explications peuvent être données : premièrement les Français ont, eux-mêmes, grandement encouragé l’engagement britannique, en particulier lors de la période 1938-1939 lorsque le gouvernement Daladier a voulu débarrasser la France de l’image d’une nation au bord de la guerre civile ; et, deuxièmement, lorsque l’opinion publique britannique a évolué dans sa perception de la France – notamment grâce à la presse – et est passée de l’hostilité latente au soutien actif de l’alliance franco-britannique. À travers différentes analyses politiques (de la presse notamment) de 1936 à 1939, cet article montre comment les perceptions britanniques ont changé : comment la France est passé du statut de pays divisé et influencé par l’Union soviétique à celui de pays uni et discipliné, libre de toute influence communiste, et possédant une armée puissante. Au bilan, un allié digne de ce nom pour l’Empire britannique.
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Soutou, Georges-Henri. "La IV e République et l’évolution de la politique de neutralité armée de la Suisse à l’époque de la guerre froide." Revue Historique des Armées 243, no. 2 (April 1, 2006): 71–88. http://dx.doi.org/10.3917/rha.243.0071.

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Dès le début de la guerre froide, la France s’intéressa à la neutralité de la Suisse. Sur un plan politique tout d’abord, la guerre froide sortant des schémas conflictuels traditionnels, la neutralité posait problème : quelles étaient ses limites, face à un conflit idéologique total, au moins potentiellement, et qui transcendait les limites du système interétatique classique ? Sur le plan militaire ensuite, la Suisse pouvait couvrir une voie d’invasion possible dans l’hypothèse d’une attaque soviétique. Mais la question de la valeur de l’armée suisse divisait les autorités françaises. Cependant, à partir de 1953, l’armée suisse entama une réorganisation à la fois stratégique et matérielle (qui devait la conduire jusqu’à l’actuel Modèle Armée XXI) : ce qui la fit entrer de façon décisive dans le contexte de la guerre froide. En 1955, il était clair que la stratégie de défense du Plateau impliquait pour la Suisse une collaboration avec l’OTAN. Ne disposant pas de couverture aérienne adéquate, la Suisse envisagea même une coopération avec les forces aériennes françaises. Sur un plan matériel, les échanges entre les deux pays, s’ils n’aboutirent pas toujours, devaient néanmoins être nombreux.
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Ter Minassian, Taline. "Un exemple du rôle des minorités dans la politique extérieure de l'URSS [Les Arméniens dans la politique soviétique en Iran au début des années 20]." Cahiers du monde russe et soviétique 34, no. 4 (1993): 561–76. http://dx.doi.org/10.3406/cmr.1993.2369.

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Arevchatyan, Anna. "LE THÈME DU GÉNOCIDE DANS LES ŒUVRES DES COMPOSITEURS ARMÉNIENS CONTEMPORAINS TIGRANE MANSOURYAN, HAROUTIUN DELLALYAN, YERVAND YERKANYAN ET VATCHÉ CHARAFYAN, HÉRITIERS DE RÉFUGIÉS PARTIS DE TURQUIE." Musical Armenia, 2022, 56–61. http://dx.doi.org/10.58580/18290019-2022.1.62-56.

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Il n’y a pas un seul Arménien dans l’âme duquel le souvenir du Génocide arménien de 1915 en Turquie ottomane ne brûlera comme le buisson inconsommable. Il s’est reflété dans de nombreuses oeuvres littéraires, théâtrales et des beaux-arts. Ni les compositeurs modernes arméniens ne restent indifférents. Leurs nombreuses compositions de chambre, symphoniques et scéniques musicales ont incarné et donné une expression artistique digne du premier Génocide du XXe siécle. L’article présente les oeuvres musicales des héritiers des survivants du génocide qui ont émigré de Turquie dans différents pays et qui, dans la seconde moitié des années 1940, ont été rapatriés en Arménie soviétique. Parmi eux se trouvent des oeuvres consacrées au génocide, créées dans différents genres et pour différents ensembles par Harutyun Dellalian, Tigran Mansuryan, Yervand Yerkanyan et Vache Sharafyan, reflétant les pensées et les sentiments de ces auteurs sur ces événements tragiques à travers les moyens d’expression de la mentalité musicale.
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Xailly, Léa. "Une armée soviétique dans l’OTAN ? Retour sur dix années de transformation des forces armées polonaises (1989-1999)." Journal of power institutions in post-soviet societies, Issue 23 (September 25, 2023). http://dx.doi.org/10.4000/pipss.6408.

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Gandsman Ari, Vanthune Karine. "Génocide." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.098.

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Si le but premier de l'anthropologie est de faire de notre monde un endroit sans danger pour les différences humaines, tel que l’affirma Ruth Benedict, le génocide, qui a pour but ultime l'élimination systématique de la différence, pose un problème urgent pour la discipline. Au cours des dernières décennies, le rôle et les responsabilités éthiques de l'anthropologue vis-à-vis des groupes auprès desquels il mène ses recherches ont fait l’objet de nombreux débats –dont entre autres ceux conduits par Scheper-Hughes (1995), qui plaide pour un engagement militant des chercheurs au nom d’une responsabilité morale, et d’Andrade (1995), qui argue pour leur neutralité afin de préserver leur objectivité. Toutefois, dans le contexte du génocide, de tels débats n’ont pas leur place, l'anthropologue ne pouvant en être un observateur détaché. L’anthropologie du génocide n’est apparue que vers la fin des années 1990, avec la publication d’Annihilating Difference (2002) de Laban Hinton. Plus généralement, les anthropologues ne s'intéressèrent pas à la violence étatique avant leur intérêt croissant pour le discours et la défense des droits humains, à partir des années 1980. Dès lors, ils s’éloignèrent de l'étude à petite échelle de communautés relativement stables, pour se concentrer sur des objets de plus grande échelle comme l’État, les institutions ou les mouvements transnationaux. Ce changement d’approche eut pour effet de dé-essentialiser le concept de culture, complexifiant du même coup l’analyse des différences humaines et de leur construction et leur réification pour fins d’annihilation. Les approches anthropologiques du génocide en historicisent et contextualisent le concept, en en faisant remonter les origines aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les atrocités commises par l'Allemagne nazie furent décrites par Winston Churchill comme « crime sans nom ». Raphael Lemkin, un juriste polonais-juif, inventa le néologisme en combinant genos, le préfixe grec pour « gens », avec cide, le suffixe latin pour « meurtre » (Power 2002). Il fut adopté par le droit international en 1948, via la Convention des Nations Unies sur la prévention et la répression du génocide, qui le définit comme une série d'actes « commis dans l’intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel ». Bien que les anthropologues n’abordassent pas directement le génocide nazi, beaucoup furent impliqués dans ce dernier. L’anthropologue Germaine Tillion, qui fut internée dans le camp de concentration de Ravensbrück après avoir été capturée comme membre de la résistance française, en publia même une étude ([1945] 2015). Le mouvement d’autocritique de la discipline a amené nombre d’anthropologues à relire, au travers du prisme du génocide, la complicité de leurs prédécesseurs avec les projets coloniaux de l’époque. L'« ethnologie de sauvetage », par exemple, a été dénoncée comme ayant problématiquement eu pour prémisse la disparition inévitable et rapide des peuples autochtones. Nancy Scheper-Hughes (2001) a à ce titre analysé la relation ambivalente qu’eut Alfred L. Kroeber avec Ishi, alors présumé dernier survivant d’un peuple décimé. L'anthropologie biologique et physique a pour sa part été accusée d’avoir accordé une crédibilité scientifique à des idéologies racistes ayant légitimé des génocides, comme ce fut le cas en Allemagne nazie. Plus insidieux est le fait que des théories anthropologiques aient pu être appropriées par des promoteurs de discours de différenciation et d’haine raciale, comme par exemple les théories hamitiques, inspirées des études linguistiques et mythologiques de l’indo-européen, qui furent plus tard mobilisées pour justifier le génocide rwandais. La plupart des études anthropologiques contemporaines sur le génocide en examinent l’après. Les anthropologues se concentrent notamment sur la manière dont les génocides sont remémorés et commémorés, en particulier en termes de construction de « la vérité » dans le contexte de projets dits de « justice transitionnelle », ou en relation avec le legs à plus long terme de cette violence, qui peut toucher plusieurs générations. Ce type d’études se centre généralement sur l’expérience des victimes. Quelques travaux, néanmoins, étudient les origines des génocides, et portent alors leur regard sur leurs auteurs –comme ceux de Taylor (1999) sur le Rwanda, ou de Schirmer (1998) sur le Guatemala– et se penchent sur la question du passage à l’acte et de la responsabilité individuelle (Terestchenko 2005 ; Kilani 2014). Ce type d’études prend ce faisant très au sérieux le problème éthique de la représentation du génocide, tel que le décria Adorno, quand il qualifia de barbare l’écriture de poésie après Auschwitz. Si représenter le génocide se présente comme une injonction morale, demeure le danger de le mystifier ou de le normaliser. C’est pourquoi la plupart des anthropologues qui analysent ce phénomène essaient d’être fidèles à l’appel de Taussig (1984) d’« écrire contre le terrorisme ». Ils reconnaissent toutefois les limites de toute approche compréhensive de ce phénomène, le témoin idéal du génocide, comme l’ont souligné Levi (1989) et Agamben (1999), étant celui qui ne peut plus parler. La définition du génocide continue de faire l’objet de débats importants parmi ses spécialistes, dont les anthropologues. Si les cibles d’un génocide sont généralement perçues comme constituant un groupe ethnique ou religieux aux yeux de ses protagonistes, Lemkin avait initialement prévu d'y inclure les groupes politiques. Or ces derniers furent exclus de la définition de la Convention en raison d'objections soulevées notamment par l'Union soviétique, à l'époque engagée dans l’élimination des présumés opposants politiques au régime stalinien. De nombreux chercheurs continuent de plaider pour que la définition du génocide ne fasse référence qu’à la seule intention d'éliminer des personnes sur la base de leur présumée différence raciale. D'autres, cependant, s’opposent à cette restriction de la définition, suggérant au contraire de l’élargir afin d'y inclure les catastrophes écologiques, par exemple, ou la destruction systématique d'identités culturelles, telle que le projetât le système des pensionnats indiens au Canada (Woolford 2009). Si élargir le sens du génocide risque de diluer sa spécificité au point de le banaliser, reste qu’une définition trop stricte du phénomène peut faciliter la contestation d’allégations de génocide pour quantité de meurtres de masse –et dès lors entraver sa prévention ou punition. C’est pourquoi Scheper-Hughes (2002), par exemple, plaide plutôt pour la reconnaissance de « continuums génocidaires ». Selon elle, démontrer le potentiel génocidaire des formes de violence quotidienne et symbolique par le biais desquelles les vies de certains groupes en viennent à être dévaluées, peut contribuer à la prévention de ce type de violence de masse. Un autre sujet de controverse concerne le particularisme de l'Holocauste, tantôt conçu comme un événement historique singulier qui défie toute comparaison, ou comme un phénomène d’extermination de masse parmi d’autres ayant eu pour précurseurs des génocides antérieurs, comme le génocide arménien. Une autre question est de savoir si un génocide ne peut se produire que dans un contexte où ses victimes sont sans défense, ce qui rendrait dès lors l’utilisation de ce concept inadmissible dans des situations où les victimes ont eu recours à la violence pour se défendre. De nombreux travaux anthropologiques ont d’ailleurs remis en cause la nature exclusive des catégories de victime, d’auteur ou de spectateur dans des situations de violence extrême, et ce étant donnée la « zone grise » identifiée par Levi (1989) et discutée par Agamben (1999) –soit ce matériau réfractaire, dans des situations de violence de masse, à tout établissement d'une responsabilité morale ou légale, l’opprimé pouvant devenir l’oppresseur, et le bourreau, une victime. Ce faisant, la plupart rejettent une conceptualisation purement relativiste du génocide, et dénoncent la mobilisation de ce concept pour justifier des programmes politiques racistes ou anti-immigration – comme c’est aujourd’hui le cas en Amérique du Nord et en Europe, où certains groupes fascistes d’extrême droite revendiquent être les victimes d’un « génocide blanc » pour légitimer des politiques xénophobes. La question de qui a l’autorité de qualifier des actes de violence comme constituant un génocide, et au nom de qui, demeure –tel que le démontre Mamdani (2009) dans sa critique du mouvement « Sauver le Darfour ». Qualifier tout phénomène de violence de masse de « génocide » n'est pas qu’un acte de description. Il constitue d’abord et avant tout une action politique qui implique un jugement éthique.

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