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Fussman, Gérard. "Archéologie, culture et aménagement du territoire." Raison présente 142, no. 1 (2002): 39–51. http://dx.doi.org/10.3406/raipr.2002.3745.

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Lubtchansky, Natacha. "Chiusi étrusque et son territoire : archéologie et historiographie." Perspective, no. 2 (December 31, 2010): 241–48. http://dx.doi.org/10.4000/perspective.1101.

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Bellanca-Penel, Delphine. "Les aqueducs de Lyon dans la Carte archéologique nationale : une démarche au service de la recherche." Gallia 80, no. 1 (2023): 51–57. http://dx.doi.org/10.4000/11ucp.

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Анотація:
La Carte archéologique nationale est un inventaire informatisé du patrimoine archéologique dépendant du ministère de la Culture. Elle est constituée d’une base de données et d’un système d’information géographique (SIG) permettant l’inventaire et le géoréférencement de tous les sites archéologiques connus sur le territoire. Le service régional de l’archéologie (SRA) sur le site de Lyon a entamé, dès 2015, une reprise complète des données liées aux quatre principaux aqueducs romains de Lyon. Ce travail de reprise permet de proposer des tracés d’aqueducs continuellement réactualisés au fil des opérations d’archéologie préventive, renouvelant sans cesse nos connaissances sur les tracés des aqueducs, mais aussi en fonction des diverses informations communiquées par d’autres acteurs de l’archéologie en France (archéologie programmée, prospections, études documentaires, articles scientifiques, etc.). Dans cet article, nous présentons le point de départ de ce travail collaboratif, ainsi que la méthode mise en œuvre afin d’assurer l’intégration et la diffusion des données de la Carte archéologique liées aux aqueducs de Lyon, et ce de la façon la plus large et précise possible.
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Vialou, Agueda Vilhena, and Denis Vialou. "Archéologie: du passe au présent, dês paysages au territoire." Revista Nordestina de História do Brasil 2, no. 4 (June 28, 2020): 13–44. http://dx.doi.org/10.17648/2596-0334-v2i4-1918.

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Анотація:
Les fouilles menées dans divers abris du Mato Grosso ont mis au jour des peuplements datés de la fin du Pléistocène et de l’Holocène. Dans cette région où naissent les bassins hydrographiques de l’Amazone et du Paraguay-Parana, des paysages rocheux remarquables, la Cidade de Pedra et la Serra das Araras sont devenus les territoires des populations préhistoriques. Leurs implantations et l’exploitation des ressources minérales, hydriques et biologiques les caractérisent. Cependant, leurs identités plus fortes viennent des représentations rupestres qui y furent créées au fil de plusieurs millénaires. Auparavant, notre fouille du campement en plein air de Brito dans le bassin du Paranapanema, (Ouest de l’Etat de São Paulo), avait montré l’importance primordiale des matériaux lithiques pour les relations économiques.
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Wahnich, Sophie. "Le territoire comme matière sensible, l'art comme archéologie, de Haïfa à Marseille 1995-1999." Sciences de la société, no. 78 (October 1, 2009): 48–77. http://dx.doi.org/10.4000/sds.8677.

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López-Medina, Juana, and Isaías Arrayás Morales. "III. Archéologie du territoire et zones humides. Littoral antique et zones portuaires de Tarragone et d’Almeria." Dialogues d'histoire ancienne 36, no. 1 (2010): 224–34. http://dx.doi.org/10.3406/dha.2010.3227.

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Chrétien, Yves. "La manipulation stratégique des biens exotiques dans les contextes cérémoniels du Sylvicole inférieur." Anthropologie et Sociétés 23, no. 1 (September 10, 2003): 75–97. http://dx.doi.org/10.7202/015578ar.

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Анотація:
Résumé RÉSUMÉ La manipulation stratégique des biens exotiques dans les contextes cérémoniels du Sylvicole inférieur. L'exemple de la région de Québec Au cours du Sylvicole inférieur (3000 à 2400 AA), les groupes humains de la région de Québec participaient à un réseau d'échanges qui couvrait un vaste territoire. Ce réseau était dominé par les groupes de la culture Meadowood, centrés dans la région de Niagara. Cette culture influençait les groupes humains qui participaient au réseau d'échanges. L'influence culturelle agissait toutefois avec une intensité variable selon les régions. Les groupes de la région de Québec acceptaient cette influence, mais conservaient une forte identité culturelle. L'examen du matériel obtenu par le réseau d'échanges dans la région de Québec semble indiquer que l'influence Meadowood se faisait surtout sentir dans le domaine idéologique. En fait, les groupes de la région de Québec avaient adapté à leur réalité un grand courant idéologique qui déterminait les modalités des cérémonies et des rituels funéraires. Mots clés : Chrétien, archéologie, Amérindiens, Meadowood, idéologie, rituels, Québec
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Vallat, Jean-Pierre. "Vincent Carpentier et Philippe Leveau Archéologie du territoire en France. 8 000 ans d'aménagements Paris, La Découverte, 2013, 173 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 1 (March 2017): 247–49. http://dx.doi.org/10.1017/s039526491700049x.

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Legros, Vincent. "Archéologie de l’objet métallique aux époques médiévale et moderne en Picardie. Approches typologique et fonctionnelle." Revue archéologique de Picardie 1, no. 1 (2015): 1–302. http://dx.doi.org/10.3406/pica.2015.3618.

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Анотація:
Le présent ouvrage rend compte du résultat des travaux de recherche sur le mobilier métallique médiéval et moderne, du IXe siècle au XVIIe siècle. Ils ont été engagés dès 1997 à l’Université de Picardie Jules-Verne dans le cadre d’une thèse de doctorat soutenue en 2001 sous la direction du professeur Philippe Racinet. Le corpus était constitué à partir de lots d’artefacts métalliques issus de fouilles programmées et préventives menées sur le territoire picard, mais également, et dans une moindre mesure, de collections muséales. Il paraissait avant tout incontournable de présenter l’historiographie de ce type de recherche qui rend compte de sa difficile émergence. Un premier chapitre relate ainsi la lente évolution de cette discipline, des années soixante à nos jours, en citant les acteurs les plus emblématiques et leur contribution. Dans la région, le contexte de l’archéologie de sauvetage, puis préventive, ne comptait pas ou très peu dans ses rangs de spécialistes pour les époques médiévale et moderne. Ce type de recherche portait essentiellement sur les objets en fer issus des nécropoles celtiques et mérovingiennes bénéficiant de moyens financiers et de l’un des premiers laboratoires de restauration basé alors à Compiègne. Un second chapitre est consacré à la présentation des sites picards, pour la plupart inédits, et de leur corpus d’objets métalliques. De facto, la période chronologique prise en compte dans le cadre de cette recherche a été bornée d’après les sites retenus. L’intérêt ici était de présenter des lots d’objets issus de sites de statuts différents : le château, le village, le prieuré, la ferme, le contexte urbain, le souterrain-refuge… La prise en compte également de quelques collections muséales était l’occasion de caractériser le type de mobilier sciemment conservé. Le troisième chapitre expose l’étude typologique et fonctionnelle de chaque type d’objet. Ce mobilier, en parallèle d’informations chronologiques, est analysé selon plusieurs problématiques d’ordre principalement technique, puis ethnologique au plus près des données scientifiques extrinsèques : celles des occupations humaines anciennes. Afin de traiter ces questions, le panel d’objets s’est largement enrichi de corpus étudiés postérieurement à la thèse. Enfin, au dernier chapitre est présenté le catalogue d’origine totalisant 800 objets dessinés figurant sous forme de planches et de notices. L’objectif scientifique vise à définir les contours de ce pan de culture matérielle régionale aux époques médiévale et moderne. De cette recherche, il en résulte le constat d’un processus complexe : celui de la diversification et du perfectionnement de l’objet métallique sur une longue période bénéficiant dans la durée du progrès technique. Deux décennies plus tard, et ce malgré l’étude de plus d’une centaine de corpus régionaux et extra-régionaux, le champ d’investigation s’avère bien plus vaste. Cette publication ne constitue donc qu’une simple contribution à cette discipline qui n’a été reconnue officiellement que très récemment.
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Tirologos, Georges, and Monique Clavel-Lévêque. "Analyse spatiale, archéologie des paysages et centuriation, application des méthodes SIG : 1 - La restitution d'un parcellaire et la modélisation des lots : le territoire sacré de Delphes." Dialogues d'histoire ancienne 30, no. 1 (2004): 183–85. http://dx.doi.org/10.3406/dha.2004.2796.

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Blanchet, Edgar, Geneviève Treyvaud, and Jean-Nicolas Plourde. "Le patrimoine archéologique de la Nation w8banaki." Revue d’études autochtones 51, no. 1 (September 6, 2022): 61–74. http://dx.doi.org/10.7202/1092140ar.

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Анотація:
Le Bureau du Ndakina du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki a développé un protocole de gestion du patrimoine archéologique. Ce protocole se positionne en réaction aux abus passés et présents dans la gestion du matériel archéologique sur le territoire ancestral de la nation. Nous présentons dans cet article les défis auxquels le Bureau est confronté, illustrés par trois cas de figure : 1) les limites du rapatriement d’objets situés sur la portion états-unienne du territoire ancestral ; 2) l’enjeu des archéologues amateurs et de la constitution de collections privées ; 3) le cas du rapatriement d’une collection provenant d’un site funéraire w8banaki. Ces exemples nous mènent à affirmer que la vie des objets se poursuit bien au-delà de leur abandon dans le sol. Leur muséification constitue parfois leur mort sociale, mais une vie symbolique persiste, car ce matériel devient vecteur de revendications et de reconstruction symbolique. Les objets sont porteurs de savoirs et ils sont centraux à la construction identitaire des groupes et des individus. De plus, dans le contexte précis des nations autochtones, ils occupent un rôle de médiateur et sont sujets à diverses formes de politisation. Comme nous tentons de le démontrer en ancrant cet article dans l’expérience récente de la Nation w8banaki, les objets peuvent être instrumentalisés simultanément à diverses fins. C’est dans ce contexte que s’inscrivent les démarches récentes et croissantes de rapatriement de matériel archéologique et ethnologique, un concept qu’il importe de considérer avec beaucoup de vigilance.
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Gouletquer, Pierre. "Cadastre napoléonien, archéologie et territoires parlés." La Bretagne linguistique, no. 11 (May 1, 1998): 207–12. http://dx.doi.org/10.4000/lbl.9921.

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Morhain, Boris, and Monique Clavel-Lévêque. "-III- Archéologie et territoires : de nouvelles données." Dialogues d'histoire ancienne 37, no. 1 (2011): 174–77. http://dx.doi.org/10.3406/dha.2011.3263.

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Muçaj, Skender. "Aperçu des données archéologiques dans le territoire albanais (IVe-VIIe siècles)." Mélanges de l École française de Rome Moyen Âge 120, no. 2 (2008): 377–84. http://dx.doi.org/10.3406/mefr.2008.9504.

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Анотація:
En se fondant sur de nouvelles découvertes archéologiques réalisées pendant les dernières décennies sur le sol albanais, l’auteur propose un aperçu global du matériel archéologique relatif à l’Antiquité tardive, période jusqu’à présent peu étudiée. Introduit par une brève synthèse historiographique, l’analyse du matériel archéologique couvre deux phases chronologiques, allant de la Tétrarchie au milieu du VIe siècle. Les structures étudiées, principalement urbaines, se maintiennent, malgré le recul qualitatif des constructions. De nouvelles données viennent enrichir notre connaissance de l’occupation de l’espace rural. L’auteur retrace l’évolution contrastée du territoire et des sites, dans un contexte de prospérité générale dans les années 400-550. Certaines sites comme Apollonia sont abandonnés dès le milieu du IVe siècle, tandis que, dans la majorité des cas, la continuité de l’habitat ne dépasse pas la fin du VIe siècle (Byllis, Butrint), essentiellement en raison des attaques répétées des Slaves et des Avars. Toutefois, tranchant sur cette impression d’abandon généralisé au VIe siècle, certains sites côtiers comme Saranda se maintiennent jusqu’au milieu du VIIe siècle. sol albanais, l’auteur propose un aperçu global du matériel archéologique relatif à l’Antiquité tardive, période jusqu’à présent peu étudiée. Introduit par une brève synthèse historiographique, l’analyse du matériel archéologique couvre deux phases chronologiques, allant de la Tétrarchie au milieu du VIe siècle. Les structures étudiées, principalement urbaines, se maintiennent, malgré le recul qualitatif des constructions. De nouvelles données viennent enrichir notre connaissance de l’occupation de l’espace rural. L’auteur retrace l’évolution contrastée du territoire et des sites, dans un contexte de prospérité générale dans les années 400-550. Certaines sites comme Apollonia sont abandonnés dès le milieu du IVe siècle, tandis que, dans la majorité des cas, la continuité de l’habitat ne dépasse pas la fin du VIe siècle (Byllis, Butrint), essentiellement en raison des attaques répétées des Slaves et des Avars. Toutefois, tranchant sur cette impression d’abandon généralisé au VIe siècle, certains sites côtiers comme Saranda se maintiennent jusqu’au milieu du VIIe siècle.
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Hehn, Lorette. "Karkemish on the Syrian-Turkish Border: A Marker for the Territorial Ambitions of the Turkish State." Passés politisés, no. 9 (December 15, 2023): 93–105. http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.1798.

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Анотація:
En 2011, le site archéologique transfrontalier de Jerablous pour les Syriens et de Karkemish pour les Turcs s’étend à 60 % en territoire turc. Malgré les combats, une seule mission archéologique y poursuit des fouilles jusqu’en 2017, à quelques dizaines de mètres de l’organisation État islamique (Daech), et avec la bienveillance de l’État turc. Car le site multimillénaire de Karkemish sur l’Euphrate recèle un patrimoine hittite que la mission turco-italienne se charge de fouiller et valoriser. Or depuis le démantèlement de l’Empire ottoman, l’État turc revendique l’héritage de l’Empire hittite à des fins territoriales. Le cas du site archéologique de Karkemish permet d’explorer la notion de marqueur territorial.
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Martínez Martínez, Guadalupe. "Territorio y paisaje en la gestión del patrimonio arqueológico. Alcances desde la experiencia del diagnóstico territorial del patrimonio arqueológico en la región Lambayeque, Perú / Territory and landscape in the archaeological heritage management. The scope of territorial assessment experience of archaeological heritage in Lambayeque Region, Peru." Ería 1, no. 1 (May 3, 2020): 53–71. http://dx.doi.org/10.17811/er.1.2020.53-71.

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Анотація:
Los procesos de transformación del territorio en el Perú afectan la comprensión, protección y conservación de los sitios arqueológicos, desbordados por la intensidad y rapidez de los cambios. Sin embargo, los instrumentos de gestión patrimonial y territorial vigentes no facilitan espacios de integración del patrimonio arqueológico en las dinámicas territoriales actuales. El concepto de paisaje abre una oportunidad de alineación de sendas visiones sectoriales. En la región Lambayeque, en el norte del Perú, la elaboración de un diagnóstico territorial de su patrimonio arqueológico por el Ministerio de Cultura, permitiría ensayar una propuesta operativa del paisaje para la gestión de este patrimonio.Les processus de transformation du territoire au Pérou affectent la compréhension, la protection et la conservation des sites archéologiques, submergés par l’intensité et la vitesse des changements. Cependant, les instruments de gestion du patrimoine et du territoire ne fournissent pas d’espaces pour l’intégration du patrimoine archéologique dans les dynamiques territoriales actuelles. Le concept de paysage ouvre une opportunité d’aligner les visions sectorielles. Dans la région de Lambayeque, au nord du Pérou, l’élaboration d’un diagnostic territorial de son patrimoine archéologique par le ministère de la Culture, permettrait de tester une proposition de paysage opérationnelle pour la gestion de ce patrimoine.The understanding, protection and conservation of archaeological sites are overwhelmed by the strength and speed of territorial changes. However, heritage and territorial management tools do not integrate archaeological heritage into current territorial dynamics. The landscape concept is an opportunity to align both approaches. The Ministry of Culture of Peru has developed a territorial assessment of archaeological heritage in Lambayeque, North of Peru. It allows for a landscape operational approach to the heritage management.
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Krönert, Klaus. "Les premiers temps chrétiens dans le territoire de la France actuelle. Hagiographie, épigraphie et archéologie : nouvelles approches et perspectives de recherche. Actes du colloque international d’Amiens, Université de Picardie Jules Verne, Faculté des arts, 18–20 janvier 2007 , éd. Dominique PARIS-POULAIN, Sara NARDI COMBESCURE, Daniel ISTRIA, Rennes, P.U. Rennes, 2009 ; 1 vol. in-8 o , 252 p. ( Archéologie et Culture ). ISBN : 978-2-7535-0854-5. Prix : € 24,00." Le Moyen Age Tome CXIX, no. 2 (September 9, 2013): XLIII. http://dx.doi.org/10.3917/rma.192.0457zq.

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Rives, J. B. "S. Lancel , Histoire et archéologie de l'Afrique du nord: Actes du IVe colloque international (Strasbourg 5–9 Avril 1988). I. Carthage et son territoire dans l'antiquité. Paris: Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, 1990. Pp. 257, numerous illus. ISBN 2-7355-0201-5. Fr. 250." Journal of Roman Studies 82 (November 1992): 276–77. http://dx.doi.org/10.2307/301332.

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Reiller, Hugo, Matthieu Fuchs, and Bruno Gavazzi. "Approche multi-méthodes expérimentale pour l’étude d’un site d’occupation romaine et médiévale à Horbourg-Wihr." Archimède. Archéologie et histoire ancienne 7 (September 6, 2020): 260–71. http://dx.doi.org/10.47245/archimede.0007.act.13.

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L’étude présente des campagnes de prospections géophysiques et de sondages archéologiques qui se complètent pour répondre à un double objectif : 1- comprendre l’enchaînement de l’occupation anthropique du territoire entre l’époque romaine et l’époque médiévale d’un secteur archéologique inédit à Horbourg-Wihr (Haut-Rhin, France) ; 2- tester l’efficacité de l’utilisation combinée de méthodes de prospections géophysiques et de la fouille archéologique pour identifier et caractériser les vestiges. L’utilisation de différentes méthodes géophysiques complémentaires se révèle particulièrement adaptée au contexte du site et les résultats ont permis d’implanter des sondages ciblés et de mieux comprendre la distribution spatiale des vestiges identifiés lors de la fouille. Ainsi, cette étude apporte de nouvelles informations sur la succession et superposition de vestiges d’un château médiéval sur la base d’un théâtre gallo-romain.
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Tenu, Aline. "Ninive et Aššur à l'époque médio-assyrienne." Iraq 66 (2004): 27–33. http://dx.doi.org/10.1017/s0021088900001583.

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Dans un article au titre très évocateur «Aššur avant l'Assyrie», J.-M. Durand et D. Charpin avaient montré comment Samsî-Addu (ca. 1813–1775), quoiqu'il ne fût pas roi d'Assyrie, avait eu, en conquérant des territoires en amont d'Ekallâtum et à l'est du Tigre «la prescience géniale d'une unité géo-politique fondamentale permettant d'organiser toute la région du Nord-Est du Proche-Orient». Dans ce territoire conquis par le roi d'Ekallâtum, les deux auteurs signalent que deux villes, Aššur et Ninive, «semblent avoir été de tout temps majeures». Pour l'époque médio-assyrienne plus précisément, l'étude des relations des deux villes est éclairante à deux titres. D'une part l'époque médio-assyrienne est le premier moment où justement l'Assyrie comme entité politique commence à exister sous le règne du roi Aššur-uballiṭ (ca. 1363–1328). Ce dernier prit le titre de roi du pays d'Aššur, donnant ainsi pour la première fois à sa charge une dimension territoriale. D'autre part, on peut s'interroger sur la place de Ninive dans l'empire médio-assyrien dont P. Garelli a montré dès 1967 la très forte centralisation, qui paraît confirmée par chaque nouvelle découverte archéologique ou épigraphique.
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Lovergne, Edwige. "Un système de sépulture égalitaire en territoire tarquinien." Aux frontières des genres, no. 5 (December 15, 2021): 77–88. http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.798.

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L’étude détaillée des nécropoles hellénistiques de Musarna a attiré l’attention sur un type particulier de tombes, identifié par les archéologues du xixe siècle sous le terme de tomba a cassone. Ces tombes sont des fosses de forme cubique, creusées directement dans le tuf, de dimensions généralement importantes. Hormis les différents aménagements internes – qu’il s’agisse de sépultures individuelles ou doubles, d’inhumations ou d’incinérations –, elles présentent toujours un plan analogue et les mêmes caractéristiques structurelles. Si, dans un premier temps, ce type de tombe semblait être un phénomène attesté exclusivement à Musarna et à ses alentours, nous avons recensé 83 tombes à caisson de « type Musarna », distribuées dans tout le territoire tarquinien ; leur diffusion, limitée à la fin du ive et au début du iiie siècle av. J.‑C., s’avère étroitement liée à la mutation de la situation politique de Tarquinia à la veille du dernier conflit contre Rome. Cet article propose un premier état des lieux sur cette « nouvelle » typologie, car ces sépultures n’ont jamais fait l’objet d’études détaillées, bien que plusieurs d’entre elles aient livré un riche mobilier funéraire, comparable à celui des grandes tombes à chambre aristocratiques.
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Di Liberto, Aurore. "Analyse des parcellaires antiques. Approche méthodologique et étude de cas en Gaule du nord et en Bretagne romaine." Revue du Nord Tome 104, no. 3 (September 20, 2023): 155–80. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.447.0155.

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La structuration du paysage est un phénomène qui a toujours existé dès lors que l’Homme s’est sédentarisé, qu’il s’est approprié le territoire et donc a modifié son environnement, que ce soit pour l’agriculture et l’élevage en milieu rural ou pour l’habitat et les centres de pouvoir en milieu urbain ou aggloméré. Le milieu est façonné physiquement et répond à des normes telles que la propriété et l’usage du sol. Ainsi, on sait par les écrits des agrimensores , que les Romains posaient rigoureusement les limites des terres notamment lorsqu’ils installaient une colonie sur un nouveau territoire. On connaît alors les normes imposées et le module métrique de base, l’ actus . Pour autant, ce mode d’établissement n’était pas systématique et devait probablement s’adapter à l’environnement local, voire garder tout ou partie d’un système préexistant. Si les textes anciens fixent un cadre théorique de cette administration, ils ne décrivent pas la réalité du terrain. Le recours aux archives du sol, notamment par l’archéologie, permet d’en mesurer l’application dans l’environnement, c’est-à-dire d’étudier les traces concrètes de la parcellisation ancienne. Par ailleurs, la morphologie parcellaire et la modification de l’environnement répondent à une évolution sur le temps long et à des échelles variables. Il est alors difficile de reconnaître et d’appréhender le visage de ces territoires aux époques anciennes. Ainsi, une branche récente de l’archéologie, nommée archéogéographie, permet aujourd’hui d’utiliser diverses techniques telles que l’analyse régressive, afin de mieux interpréter les différentes structures fossoyées découvertes et de les situer dans un environnement plus large, dépassant la seule échelle du site archéologique.
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Coste, Nathalie, Jean Guilaine, and Jean-Claude Revel. "Archéologie et pédologie : essai de reconnaissance des territoires d'exploitation autour des sites néolithiques." Bulletin de la Société préhistorique française 85, no. 10 (1988): 390–411. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.1988.9866.

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Labrèche, Yves. "Habitations, camps et territoires des Inuit de la région de Kangiqsujuaq-Salluit, Nunavik." Études/Inuit/Studies 27, no. 1-2 (July 15, 2005): 155–90. http://dx.doi.org/10.7202/010800ar.

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Анотація:
Résumé Des interventions ethnoarchéologiques ont été réalisées au Nunavik (Québec arctique) en collaboration avec les Inuit de Kangiqsujuaq et de Salluit entre 1985 et 1995. Des zones écologiques d'abondance variée ont été explorées: rives de riches estuaires ou de baies, côte et îles maritimes, proximité de grands lacs et rivières ainsi que les hautes terres les plus pauvres de l'arrière-pays où se chevauchent partiellement les territoires des deux communautés. La première partie de cet article présente un bref survol ethnohistorique, suivi d'une synthèse interprétative basée sur les résultats d'un examen de sources publiées et de données tirées d'entrevues ethnographiques réalisées par l'auteur pour dépeindre les liens entre habitation, campement, territoire, toponymie et culture des Inuit. Dans la seconde partie, le traitement cartésien des données archéologiques sert à estimer la densité de la population, l'intensité de l'occupation humaine et l'utilisation des ressources, en insistant sur les contrastes remarquables entre la côte et l'arrière-pays. Cet exercice tend à démontrer qu'il est indispensable d'intégrer les savoirs traditionnels à toutes les étapes de la recherche archéologique, de la planification des études en passant par la collecte, l'analyse et l'interprétation des vestiges matériels envisagées à différentes échelles spatiales: structures, sites, secteurs et région.
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Di Méo, Guy. "De l'espace aux territoires : éléments pour une archéologie des concepts fondamentaux de la géographie." L'information géographique 62, no. 3 (1998): 99–110. http://dx.doi.org/10.3406/ingeo.1998.2586.

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Arnoux, Mathieu. "Voies d’eau, commerce et artisanat en Gaule mérovingienne , éd. Jean PLUMIER, Maude REGNARD, Namur, Ministère de la Région wallonne–Direction générale de l’Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine–Division du Patrimoine, 2006 ; 1 vol. in-8 o , 445 p. ( Études et documents . Archéologie , 10). ISBN : 2-87401-184-3. Prix : € 40,76." Le Moyen Age Tome CXVII, no. 2 (January 30, 2012): VI. http://dx.doi.org/10.3917/rma.172.0369f.

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Sadourny, Elliott. "Les villas romaines des cités arverne et vellave. Bilan historiographique et archéologique." Aquitania : une revue inter-régionale d'archéologie 37, no. 1 (2021): 267–75. http://dx.doi.org/10.3406/aquit.2021.1653.

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Une étude critique de la documentation archéologique et bibliographique menée dans le cadre d’un Master 2 a permis de réaliser un bilan historiographique de la recherche sur l’habitat rural en Auvergne et de constituer pour la première fois un inventaire méthodique des villas romaines des cités arverne et vellave. Le dépouillement de la documentation a mené à une classification empirique permettant de proposer une spatialisation du semis des villas. Parmi les études thématiques ébauchées à cette occasion, il a été possible de revenir sur le territoire proche d’Augustonemetum/ Clermont-Ferrand où se concentrent les recherches sur les villas.
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Baralis, Alexandre, Teodora Bogdanova, and Dimitar Nedev. "Aux origines de la cité : mines et ateliers métallurgiques archaÏques sur le territoire d’Apollonia du Pont." Revue archéologique 77, no. 1 (April 29, 2024): 15–40. http://dx.doi.org/10.3917/arch.241.0015.

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Apollonia du Pont doit sa prospérité aux riches gisements polymétalliques régionaux. Les lingots de cuivre, découverts au large, témoignent de la forte vocation exportatrice de ses ateliers. Depuis, les fouilles de sauvetage menées par le musée archéologique de Sozopol ont confirmé l’importance des activités métallurgiques dans l’espace urbain. Outre les imposantes concentrations de scories qui tapissent la plupart des niveaux archaïques, ces travaux ont mis au jour trois ateliers métallurgiques, ainsi qu’une vaste zone artisanale, située à la périphérie de la ville. Pour autant, les zones d’extraction sont restées longtemps méconnues. La fouille en 2023 d’un atelier dans la chaîne du Medni Rid offre désormais un aperçu sur les installations métallurgiques situées au plus près des mines. Ces recherches permettent de reconstituer l’ensemble de la chaîne opératoire du traitement du cuivre et du fer, tout en restituant la spécialisation de chacun des types d’ateliers mis au jour à Apollonia.
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Moreno, P. Silvio. "Les cerf - le canthare - les quatre fleuves du Paradis dans la mosaïque chretienne de Tunisie. Les catechumenes et le Bapteme / Les fideles et l’Eucharistie : une contribution a l’iconongraphie paleochretienne d’Occident." Antigüedad y Cristianismo, no. 38 (December 23, 2021): 115–33. http://dx.doi.org/10.6018/ayc.469451.

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The figures of deer, of kantharos (cantharus), and the four rivers of Paradise are all part of a rich catalog of early Christian iconography in Tunisia. We often find this iconography in the mosaics of baptisteries, as well as mosaics in the basilicas. The presence of such iconographic figures in all Tunisia, whether in prominent basilicas or in small rural churches reflects the unity of the Christian faith throughout the territory, as well as the firmness of the Christian traditions that came from the East. In this article, we will first explain the spiritual and Christian signification of these iconographic figures and afterwards we will present the models in mosaics found in Tunisia within their archeological context. Las figuras de los ciervos, del cántaro y de los cuatro ríos del Paraíso son parte del rico repertorio de la iconografía paleocristiana en Túnez. Estas imágenes plasmadas especialmente en mosaicos, las encontramos frecuentemente en contexto bautismal como decoración de pavimento, y en contexto eucarístico decorando el suelo de las basílicas cristianas. La presencia de estas imágenes iconográficas en Túnez, ya sea en las grandes basílicas como en las pequeñas iglesias rurales, muestra la unidad de la fe católica en todo el territorio como también la solidez de las tradiciones cristianas heredadas de Oriente. Este artículo explicaremos primero el significado espiritual de estas figuras y luego presentaremos los ejemplares que la arqueología ha encontrado en las distintas regiones de Túnez. Les représentations de cerfs, de kantharos (cantharus) et des quatre fleuves du Paradis font partie d’un riche répertoire dans l’iconographie ancienne tunisienne. Souvent, ces représentations iconographiques se retrouvent dans les mosaïques des baptistères ainsi que dans les celles des basiliques. La présence de ces types d’images dans toute la Tunisie, que ce soit dans de grandes basiliques ou dans de petites églises rurales, reflète l’unité de la foi chrétienne sur tout le territoire, ainsi que la force des traditions chrétiennes venues d’Orient. Dans cet article, nous expliquerons d’abord la signification spirituelle et chrétienne de ce style de décoration,que nous appuierons à travers des modèles dans les mosaïques trouvés en Tunisie dans leur contexte archéologique
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Bottini, Angelo. "Archéologie et religiosité des peuples italiques sur les territoires situés entre les mers Adriatique, Ionienne et Tyrrhénienne." Perspective, no. 1 (June 30, 2017): 65–90. http://dx.doi.org/10.4000/perspective.7121.

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Hynda, Boutabba, Mili Mohamed, Boutabba Samir-Djemoui, and Mesaad Abderazak. "Quels Impacts des Festivites sur la durabilite du Patrimoine Archeologique: cas de la Qal’a des Benni Hammad em Algerie." digitAR - Revista Digital de Arqueologia, Arquitectura e Artes, no. 5 (February 20, 2019): 303–29. http://dx.doi.org/10.14195/2182-844x_5_17.

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De par sa position stratégique au carrefour de l’Afrique et de la Méditerranée, l’Algérie, située au centre du Maghreb, a vu de nombreuses civilisations sesuccéder sur son territoire. Chacune d’elle a laissé un héritage patrimonial ayant une portée mémorielle et symbolique. Classée en 1980, la Qal’a ou citadelle des Benni Hammad est le plus important site archéologique de la dynastie sanhadjienne des Hammadides, née de la scission territoriale du royaume ziride héritier de l’empire fatimide au Maghreb. Situé dans la localité de Béchara, l’une des plus pauvres de la région du Hodna, Ce site archéologique a été choisi comme un levier du développement local, et ce, par l’entremise de sa valorisation et le renforcement de son attractivité touristique. Cependant, le concept de préservation qui est attaché à la définition du patrimoine mondial de l’humanité fait mauvais ménage avec les pratiques actuelles du tourisme qui sont basées sur la notion de flux de personnes. Si le tourisme festif commence à donner un souffle économique et social à la localité de Béchara, le comportement touristique envers les éléments archéologiques de la citadelle Hamadide se fait dans un rythme et des parcours qui ne sont pas forcément positifs pour le site. Le présent papier tente de mettre en exergue les différents impacts de «la fête du printemps» sur le patrimoine de la Qal’a.
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Lungu, Vasilica. "Reflexions sur quelques théories concernant deux colonies grecques du Pont Gauche : Orgamè et Istros." CaieteARA. Arhitectură. Restaurare. Arheologie, no. 14 (2023): 5–30. http://dx.doi.org/10.47950/caieteara.2023.14.01.

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La colonisation grecque et l’étude des territoires occupés par les cités antiques sur la côte ouest de la mer Noire font depuis longtemps l’objet d’un intense débat interne et international. De nombreux documents littéraires, épigraphiques et archéologiques de l’époque grecque permettent de reconnaître diverses caractéristiques de la communauté istrienne et de son organisation dans l’espace proche du fleuve du même nom, Istros. Les informations recueillies récemment nous permettent de comprendre ses relations avec d’autres établissements et communautés, d’appréhender leur typologie et leur organisation dans l’espace. Dans les lignes qui suivent, nous tentons d’introduire de nouveaux aspects de la recherche archéologique afin de diversifier les approches existantes.
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Hubert, Antoinette, and Céline Blondeau. "Archéa et le musée archéologique du Val-d’Oise. Deux musées d’archéologie pour un même territoire." Les Nouvelles de l'archéologie, no. 149 (December 19, 2017): 31–42. http://dx.doi.org/10.4000/nda.3778.

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Borde Meyer, Agnès. "L’Afghanistan, un territoire archéologique à conquérir ? Les activités américaines et italiennes entre 1945 et 1984." Bulletin de l'Institut Pierre Renouvin N° 46, no. 2 (2017): 91. http://dx.doi.org/10.3917/bipr1.046.0091.

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Murray, Angela. "En suivant le Camino de Na Bruniquel chez les Nitiobroges." Aquitania : une revue inter-régionale d'archéologie 37, no. 1 (2021): 69–80. http://dx.doi.org/10.3406/aquit.2021.1638.

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For many years, a group of the Association des Archéologues de Lot-et-Garonne (AA47) has been working on roman roads in the Nitiobroges’ territory. This paper presents the results of research on the course of the Aginnum-Divona road, the only ancient one in Lot-et-Garonne to have delivered a milestone but which is not however mentioned in the Itineraries. Since the Middle Ages, it has been known as Camino na Bruniquel. The investigation was based on archives, ancient maps and cadastres and on the interpretations of aerial photographs and satellite images combined with field reconnaissance. This Camino has been systematically followed on its presumed course from Agen to the limit of the Nitiobroges’ territory, in order to locate the possible still existing sections of the roman road in situ. This work has been regularly transmitted in reports to the SRA.
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Chimier, Jean-Philippe, Jérôme Bouillon, François Cherdo, Etienne Jaffrot, Stéphane Joly, N. Fouillet, Isabelle Pichon, Thomas Pouyet, Mélanie Simard, and Françoise Yvernault. "L'évaluation archéologique du village d’Esvres et de son territoire (Indre-et-Loire). Un bilan d’étape pour le premier Moyen Âge." Archéologie du Midi médiéval 9, no. 1 (2020): 413–16. http://dx.doi.org/10.3406/amime.2020.2235.

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Le programme de recherche Evena porte sur l’évaluation du village d’Esvres-sur-Indre et de son territoire rural. Il a pour objectif l’étude du peuplement dans la longue durée. Le site est documenté par les archives et l’archéologie. Une nécropole à sarcophages constitue la principale occupation reconnue dans le village, l’habitat médiéval n’a pas été mis au jour. Plusieurs établissements ruraux ont été fouillés ou reconnus par prospection. Deux pôles ont retenu notre attention : le secteur de Forges et le plateau de Besnoëls, situés aux marges du territoire communal.
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Francfort, Henri-Paul, and Olivier Lecomte. "Irrigation et société en Asie centrale des origines à l’époque achéménide." Annales. Histoire, Sciences Sociales 57, no. 3 (June 2002): 625–63. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2002.280068.

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RésuméL’article fait le point sur la question de l’origine de l’agriculture irriguée en Asie centrale au début du IIIe millénaire et de son développement jusqu’à l’époque achéménide d’après une documentation principalement archéologique, car les sources textuelles sont rares. Les informations tirées des fouilles et des prospections (vestiges de canaux anciens, sites d’habitat, artefacts) sont confrontées aux données paléo-environnementales pour évaluer l’importance des paramètres naturels et celle des facteurs économiques et sociaux dans l’émergence, à haute époque, de cultures archéologiques homogènes sur de vastes territoires. Ces cultures sont souvent prises comme des expressions matérielles de formations socio-politiques appelées «proto-étatiques». Cette notion de proto-État, ses implications socio-économiques, ainsi que la conception de l’Asie centrale comme périphérie d’empires moyen-orientaux font l’objet d’une discussion critique.
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Auvertin, Rémi. "Élisabeth Lorans , Xavier Rodier (dir.), Archéologie de l’espace urbain , Tours, 2013, 535 p. (Perspectives Villes et Territoires). Prix 44 €." Revue du Nord 408, no. 5 (July 7, 2015): VI. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.408.0281f.

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Duhaime, Bernard, and Camille Labadie. "Les voyages des manuscrits de la mer Morte." Thème 24, no. 2 (July 12, 2018): 183–218. http://dx.doi.org/10.7202/1050507ar.

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Depuis la découverte des premiers rouleaux de parchemin en 1947, les Manuscrits de la mer Morte ont fait l’objet de nombreuses querelles non seulement d’ordre théologique et archéologique, mais également d’ordre culturel, politique et juridique. Actuellement détenus en grande majorité par Israël, ces Manuscrits sont désormais au coeur de revendications concurrentes dans la mesure où tant Israël que la Jordanie et l’Autorité palestinienne en réclament la propriété. Dans cette perspective, le présent article se propose non seulement d’explorer les enjeux juridiques soulevés par la question de la propriété des Manuscrits de la mer Morte, plus spécifiquement ce qui a trait aux normes de droit international, mais également de mettre en lumière la manière dont les questions relatives au patrimoine culturel et religieux conservent une dimension hautement politique du fait de l’implication des États dans la protection de ces biens, et de la notion de territoire qu’elle implique.
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Bonaventure, Bertrand, Stéphane Mauné, and Séverine Corbeel. "Un nouvel atelier d’amphores vinaires d’époque julio-claudienne dans la vallée de l’Arc à Favary (Rousset, B.-du-Rh.)." Revue archéologique de Narbonnaise 50, no. 1 (2017): 39–63. http://dx.doi.org/10.3406/ran.2017.1951.

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Cet article a pour objectif de présenter les résultats d’une fouille préventive réalisée en 2015 dans la haute vallée de l’Arc, en marge d’une villa d’époque romaine dont une grande partie de la pars fructuaria, à vocation vinicole, a été explorée. Un grand four à double couloir de chauffe très mal conservé, ainsi qu’un lot d’une quarantaine d’amphores apparemment produites sur place entre l’époque augustéenne et la fin des années 20 ap. J.-C., permettent d’évoquer la présence d’un atelier domanial. Après la présentation du contexte régional et des résultats de la fouille, une analyse chrono-typologique des fours augustéens provinciaux est proposée puis sont examinés les différents types d’amphore produits. Replacées dans le riche contexte archéologique de cette partie du territoire de la cité d’Aquae Sextiae, ces données illustrent une fois de plus l’importance du développement de la viticulture de rapport d’époque julio-claudienne en Narbonnaise orientale.
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Savoie, Louise, and Pierre Gangloff. "Analyse pollinique d’une palse au site archéologique de Vieux-Port-Burwell (Killiniq), Territoires du Nord-Ouest." Géographie physique et Quaternaire 34, no. 3 (January 28, 2011): 301–20. http://dx.doi.org/10.7202/1000414ar.

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Dans un fen de Vieux-Port-Burwell, deux diagrammes polliniques, à trois mètres de distance, l’un au sommet (A) et l’autre au pied (B) d’une palse, ont enregistré l’évolution géomorphologique du site. Entre 5000 et 580 BP, les deux diagrammes révèlent la même évolution : le développement progressif du fen. Les zones polliniques qui subdivisent cette période sont attribuées à des variations paléoclimatiques. Vers 3700 BP, une baisse importante de l’influx pollinique local indique des conditions plus difficiles pour la croissance des plantes. Vers 2430 BP, la césure des zones polliniques IV-III correspond dans le diagramme C, à 300 m du site, à l’apparition de tourbes minérotrophes, signe probable d’une aggradation du pergélisol. Une amélioration des conditions climatiques commence vers 1430 BP. À partir de 580 BP, les évolutions des diagrammes divergent. En B, la croissance de la tourbe s’accélère. En A, elle cesse de se former, se dessèche et se tasse. Le pollen de graminées envahit les spectres. Ces phénomènes sont une réaction à l’apparition, dans le fen, de la palse. Celle-ci date donc d’environ 600 ans. Elle résulte moins d’une oscillation climatique que du franchissement d’un seuil dans l’épaississement progressif de la tourbe.
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Lehoërff, Anne. "Pratiques archéologiques et administration du patrimoine archéologique en Italie, 1875-1895. L'exemple des anciens territoires villanoviens." Mélanges de l’École française de Rome. Italie et Méditerranée 111, no. 1 (1999): 73–147. http://dx.doi.org/10.3406/mefr.1999.4613.

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Clarkson, Persis B. "Considérations historiques et contextualisation de la recherche sur les géoglyphes au Chili." Anthropologie et Sociétés 23, no. 1 (September 10, 2003): 125–50. http://dx.doi.org/10.7202/015580ar.

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Résumé RÉSUMÉ Considérations historiques et contextualisation de la recherche sur les géoglyphes au Chili Une circonstance particulière nuit à l'étude de l'art rupestre (pétroglyphes et pictogrammes) et des géoglyphes (dessins sur le sol) des Amériques: l'absence de contexte stratigraphique, qui empêche de donner un cadre adéquat aux enquêtes sur les relations entre ces formes dominantes et majeures d'expression de la culture matérielle et sociale, et les peuples dont on sait qu'ils avaient habité et exploité les territoires dans lesquels ces images ont été trouvées. Les milliers de géoglyphes aux motifs biomorphes et géométriques dont on connaît l'existence au nord du Chili depuis le milieu du 19e siècle ont suscité plusieurs interprétations qui se sont transformées avec le temps, suivant les théories dominantes en vigueur. On a généralement conclu que les géoglyphes avaient été fabriqués à l'époque des modes de vie agricole et pastoral pour des motifs magico-religieux liés à la chasse et à la fabrication des pistes caravanières. D'autres analyses d'art rupestre basées sur des données archéologiques, ethnographiques et sur des analogies ethnographiques sont évaluées dans le contexte d'une recherche sur les géoglyphes chiliens, lesquels sont finalement interprétés comme des buts de voyage, par exemple un lieu de pèlerinage, ou comme des lieux porteurs d'une signification extraordinaire. Mots clés : Clarkson, géoglyphes, archéologie, pèlerinage, Chili
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Cressier, Patrice. "Castillos y fortalezas de Al-Andalus: observaciones historiográficas y preguntas pendientes." Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 11 (June 22, 2022): 116–40. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2022.11.05.

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Aunque la arqueología de Al-Andalus no se constituyó como disciplina propia hasta hace unos cuarenta años, el interés hacia las fortalezas llamadas por entonces “hispano-musulmanas” se manifestó mucho antes, centrado esencialmente en los aspectos arquitectónicos y de poliorcética. Más recientemente, la aproximación al proceso de la fortificación medieval se ha ido diversificando. No son pocos los trabajos que buscan en él unas respuestas a preguntas más ambiciosas, relativas a la organización de la sociedad campesina, a las estructuras de poblamiento y a la ordenación del territorio, o a las formas adoptadas por el control estatal.Después de unas breves observaciones introductorias sobre el cambio metodológico experimentado a finales de los años 1970, el artículo hace hincapié en la polisemia de los términos árabes referidos a la arquitectura defensiva. A continuación, se centra en las polémicas surgidas a propósito de uno de estos términos, el ḥiṣn (en el ámbito rural) y en las hipótesis avanzadas al respecto. Finalmente, plantea la cuestión de la existencia en al-Andalus de graneros colectivos fortificados y de ribāṭ-s, estructuras mejor documentadas en África del Norte. Palabras claves: fortificación, estructura social islámica, ordenación del espacioTopónimos: al-AndalusPeriodo: siglos VIII-XV ABSTRACTUntil about forty years ago, the archeology of al-Andalus was not regarded as a discipline in itself. However, interest in the so-called “Moorish” fortresses had been expressed much earlier, focused primarily on architectural and polyorcetic aspects. More recently, the approach to the process of medieval fortification has become more diverse: today many scholars seek within it answers to more ambitious questions, related to the organization of peasant society, settlement structures, land-use planning, or formulae of state control.After some preliminary remarks on the methodological change that occurred in the late 1970s, this paper emphasizes the polysemy of Arabic terms referring to defensive architecture. It then focuses on the debates that arose with regard to one of these terms, the ḥiṣn (in rural areas), and on the hypotheses proposed in this respect. Finally, the paper raises the question of the existence in al-Andalus of ribāṭ-s and fortified collective granaries, structures long considered to be specific to North Africa. Keywords: fortification, Islamic social structure, spatial planningPlace names: al-AndalusPeriod: 8th-15th centuries REFERENCIASAcién Almansa, M. (1992a), “Poblamiento y fortificación en el sur de al-Andalus. La formación de un país de ḥuṣūn”, en III Congreso de Arqueología Medieval Española. Oviedo. 27 de marzo - 1 abril 1989, I, Oviedo, Universidad de Oviedo, pp. 135-150.— (1992b), “Sobre la función de los ḥuṣūn en el sur de al-Andalus. La fortificación en el califato”, en Coloquio hispano-italiano de arqueología medieval, Granada, Patronato de la Alhambra y el Generalife, pp. 263-274.— (1995), “Los ṯugūr del reino de Granada. Ensayo de identificación”, en A. Bazzana (ed.), Castrum 5. Archéologie des espaces agraires méditerranéens au Moyen Âge, Madrid-Roma, Casa de Velázquez-École française de Rome, pp. 427-438.— (2006), “Las torres/burūŷ en el poblamiento andalusí”, Al-Ándalus, espaço de mudança. Balanço de 25 anos de história e arqueología medievais, Mértola, Campo Arqueológico de Mértola, pp. 21-28.— (2008), “Un posible origen de la torre residencial en al-Andalus”, en R. Martí Castelló (ed.), Fars de l’Islam. 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Valérian (ed.), Islamisation et arabisation de l’Occident musulman médiéval (VIIe-XIIe siècle), París, Éditions de la Sorbonne, pp. 336-368.Azuar Ruiz, R. (1982), “Una interpretación del ḥiṣn musulmán en el ámbito rural”, Revista del Instituto de Estudios Alicantinos, 37, pp. 33-41.— (1989), La Rábita Califal de las dunas de Guardamar (Alicante). Cerámica. Epigrafía. Fauna. Malacofauna, Memorias de excavaciones, Alicante : Museo arqueológico de Alicante.— (dir.) (1994), El Castillo del Río (Aspe, Alicante). Arqueología de un asentamiento andalusí y la transición al feudalismo (siglos XII-XIII), Alicante, Diputación Provincial, Colección “ExcavacionesArqueológicas-Memorias” 2.Barceló, M. (1998), “Los ḥuṣūn, los castra y los fantasmas que aún los habitan”, en A. Malpica Cuello (ed.), Castillos y territorio en al-Andalus, Granada, Athos-Pérgamos, pp. 10-42.Barroso Cabrera, R., Malalana Ureña, A., Carrobles Santos, J. y Morín de Pablo, J. 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Rozeaux, Sébastien. "DO MITO A REALIDADE: A EXPEDIÇÃO CIENTÍFICA DE CASTELNAU, A ESTÁTUA AMAZÔNICA DE ARAÚJO PORTO ALEGRE E OS PRIMÓRDIOS DA HISTÓRIA PÁTRIA NO BRASIL IMPÉRIO * DU MYTHE A LA RÉALITÉ: L’EXPÉDITION SCIENTIFIQUE DE CASTELNAU, A ESTATUA AMAZÓNICA DE ARAÚJO PORTO ALEGRE ET LES DÉBUTS DE L’HISTORIA PATRIA AU BRÉSIL À L’ÉPOQUE IMPÉRIALE." História e Cultura 5, no. 2 (August 31, 2016): 161. http://dx.doi.org/10.18223/hiscult.v5i2.1920.

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Анотація:
Resumo: Dos anos 1840 e 1850 datam a definição das bases da História Pátria em geral, e mais especificamente da incipiente Arqueologia nacional, no Brasil Império. A compreensão da história mais remota do território brasileiro e do seu passado indigenista mobiliza muitos cientistas e letrados, estrangeiros e brasileiros. Nesta fase inicial, mitos e crenças fantásticas foram difundidas por alguns destes letrados, entre os quais figura o naturalista francês Francis de Castelnau, alvo dos escárnios de Araújo Porto-alegre em A Estátua amazônica. A análise detalhada do contexto de produção, difusão e recepção, e dos vários e ambíguos significados dessa “comédia arqueológica” oferece novos elementos para melhor compreensão das múltiplas “verdades” desta obra de ficção.Palavras-chave: Naturalismo, Teatro, História Pátria, Brasil Império, Viajantes franceses Résumé: La définition des fondements de l’História Pátria en général et de l’archéologie nationale en particulier datent au Brésil des années 1840 et 1850. La volonté de mieux comprendre l’histoire la plus ancienne du territoire brésilien et son passé indigène a mobilisé les efforts de nombreux scientifiques et lettrés, qu’ils soient étrangers ou brésiliens. Au cours de cette phase initiale, des mythes et des croyances fantaisistes ont pu être divulgués par certains de ces savants, parmi lesquels le Français Francis de Castelnau, objet des moqueries de Araújo Porto-alegre dans A Estátua Amazónica. L’analyse détaillée du contexte de production, de diffusion et de réception, ainsi que de la portée complexe et ambigüe de cette “comédie archéologique” fournit de nouvelles clés de lecture de cette œuvre de fiction.Mots-clés: Naturalisme, Théâtre, História Pátria, Brésil imperial, Voyageurs français.
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Tremoleda, Joaquim, and Pere Castanyer. "La producción de ánforas vinarias en el alfar romano de Ermedàs (Cornellà del Terri, Girona)." Revue archéologique de Narbonnaise 50, no. 1 (2017): 237–56. http://dx.doi.org/10.3406/ran.2017.1958.

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Анотація:
L’exploration archéologique de l’atelier de potiers d’époque romaine de l’Ermedàs (Cornellá del Terri), qui s’est achevée récemment, s’inscrit dans un programme de recherche dont l’objectif est d’étudier la dynamique de peuplement dans la région du Pla de l’Estany, au Nord de Gérone. Ce projet doit permettre de développer et d’approfondir les connaissances sur l’évolution historique de ce secteur, et notamment la question de la «romanisation » , entre la fin de l’époque ibérique et l’Antiquité tardive. Il s’appuie sur une série d’opérations de fouilles comme celle réalisée sur la villa d’époque romaine de Vilauba, mais également sur des prospections faites sur le «territoire-atelier » du Pla de l’Estany. L’un des résultats tangibles de l’exploration fine de cette micro-région consiste dans la découverte et la fouille de ce centre de production de céramiques et d’amphores, installé dans un secteur pleinement romanisé et densément occupé. L’atelier a fonctionné entre le milieu du Ier s. et la fin du IIe s. ap. J.-C. La diffusion de ses productions couvre la zone du Pla de l’Estany. L’atelier a fabriqué toute une gamme de matériaux de construction, de la vaisselle fine et commune, ainsi que des conteneurs en terre cuite, dolia et amphores. Cet article est surtout consacré à ces conteneurs, dont la production dans l’atelier fut très secondaire. Des modèles fuselés Dr. 2, ainsi que des amphores ovoïdes à fond plat proches du type Gauloise 7, ont été fabriqués par les potiers ; la découverte de deux timbres distincts, l’un sur amphore, l’autre sur tuile, permet d’identifier deux personnages, disposant de la citoyenneté romaine.
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Howard-Johnston, James. "Le commerce à Byzance (VIIIe-XIIe s.) : réglementation et pratique." Journal des savants 2, no. 1 (2018): 289–355. http://dx.doi.org/10.3406/jds.2018.6406.

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Анотація:
La céramique conservée, tant les amphores, contenants des denrées que la vaisselle de table sigillée, diffusée dans tout l’empire, témoigne d’échanges commerciaux complexes, intenses et à grande échelle dans l’Antiquité. Les historiens de l’économie en ont inféré que l’État, comme organisateur d’un transport de masse des denrées vers les centres urbains, déterminait ainsi la structure des échanges des autres marchandises, évoquant à l’appui de leur thèse le corpus textuel limité centré sur les interventions publiques. Mais il est des textes qui indiquent plutôt le rôle déterminant des marchands et soulignent l’échelle et la variété de la production manufacturière. La lutte de Byzance pour sa survie (VIIe-VIIIe s.) conduisit à une organisation économique quasi-administrée mais ne mit pas fin à l’entreprise privée dans ses territoires centrés sur la mer Égée. Seuls quelques textes isolés traitent du commerce à l’époque suivante. Mais on en retire l’image d’un commerce dynamique dans lequel l’État se contentait de contrôler un marché libre en partenariat avec des guildes reconnues. Les mécanismes de régulation varièrent avec le temps mais visaient à séparer la production en phases distinctes supervisées par des guildes spécialisées, à organiser des cartels chargés de négocier le prix des importations et à instituer un système de bazar pour le commerce de détail. Cette production et ce commerce actifs peuvent être à nouveau suivis à l’époque où s’installe l’hégémonie italienne, et la céramique de table sert à nouveau de traceur archéologique.
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Hanoune, Roger. "A. Ferdière (dir.), Capitales éphémères. Des capitales de cités perdent leur statut dans l’Antiquité tardive. (Actes du Colloque organisé par le Laboratoire « Archéologie et Territoires », UMR CITERES, Tours, 6-8 mars 2003) . Tours, 2004, 508 p., ill. (Revue archéologique du Centre de la France , Suppl. 25). ISBN 2-913272-10-X). 55." Revue du Nord 368, no. 5 (December 1, 2006): X. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.368.0231j.

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Dousteyssier, Bertrand, Maxence Segard, Frédéric Trement, Annie Blanc, Philippe Blanc, Stéphane Laisné, and Véronique Tripeau. "Les villae gallo-romaines dans le territoire proche d'Augustonemetum - Clermont-Ferrand. Approche critique de la documentation archéologique / The gallo-roman villae in the Augustonemetum - Clermont-Ferrand area. A critical approach to archaeological documentation." Revue archéologique du Centre de la France 43, no. 1 (2004): 115–47. http://dx.doi.org/10.3406/racf.2004.2958.

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