Статті в журналах з теми "Arbres en ville"

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OSSENI, Abdel Aziz, Gbodja Houéhanou François GBESSO, Karl Martial NANSI, and Agossou Brice Hugues TENTE. "Phytodiversité et services écosystémiques associés aux plantations d’alignement des rues aménagées de la ville de Grand-Popo au Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 345 (November 2, 2020): 87–99. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.345.a31808.

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Анотація:
L’importance de la végétation urbaine dans la production des services écosystémiques en général est largement démontrée. Au Bénin, en plus des avantages socio-écologiques attribués aux arbres d’alignement, ils contribuent considérablement à la fourniture de services d’approvisionnement et socioculturels, du fait de leur utilisation locale par les populations. Le présent travail évalue la contribution de la diversité floristique des rues dans la fourniture des biens et services aux habitants de la ville de Grand-Popo au Bénin. La démarche méthodologique adoptée a permis de dénombrer les arbres plantés sur dix kilomètres de rues aménagées et de questionner 164 ménages sur les services rendus par ces arbres. Les paramètres de diversité sont calculés pour apprécier la phytodiversité des axes routiers. La matrice des formes d’usage des organes est établie, en correspondance avec les catégories de services écosystémiques existantes. Les résultats obtenus révèlent 540 arbres, répartis en 26 espèces et 17 familles le long des principaux axes routiers de la ville. L’indice moyen de diversité de Shannon (3,61 ± 0,14 bits) et l’équitabilité de Pielou (0,76 ± 0,06) démontrent un phénomène de dominance de quelques espèces, dont la plus représentative est Cocos nucifera avec 20 % de l’effectif total des individus. Les arbres d’alignement ont été plantés majoritairement par les autorités pour leur ombrage, l’esthétique du paysage et la séquestration de carbone. Alors qu’en pratique, de par leur usage et l’introduction de nouvelles espèces utiles par les populations riveraines, les plantations fournissent plus de neuf services écosystémiques avec une grande importance accordée à la fourniture de l’ombrage et de l’alimentation. Pour une valorisation de la foresterie urbaine, la prise en compte de ces informations pourrait servir à promouvoir les services écosystémiques sans compromettre la viabilité des arbres en plantations dans la ville.
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ZOHOUN, Prucelle Elisée, Mama DJAOUGA, Soufouyane ZAKARI, David M. BALOUBI, and Ibouraïma YABI. "Diversité, structure des arbres et description du boisement dans les concessions de l’espace urbain de Parakou au centre du Bénin." Journal of Applied Biosciences 154 (October 31, 2020): 15842–52. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.154.1.

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Анотація:
Objectif : L’urbanisation dans les Pays en voie de développement se traduit par une croissance démographique galopante avec pour corollaire la dégradation de la végétation dans les espaces urbains et péri-urbains. Le présent article s’intéresse particulièrement à l’analyse de la diversité spécifique, de la structure des arbres et du boisement dans les concessions de la ville de Parakou. Méthodologie et résultats : Sur la base d’un échantillonnage raisonné, un inventaire floristique suivi d’une observation sur le nombre d’arbre par concession a été fait dans 140 placettes. Les résultats montrent que 30,32 % des concessions sont dépourvues d’arbre, 21,64 % comptent 1 arbre et 48,04 % comptent 2 arbres et plus. La richesse spécifique est de 94 espèces dont 77 espèces exotiques et 17 espèces locales réparties dans 37 familles. Le peuplement est dominé par l’espèce Mangifera indica. La densité moyenne est de 18 pieds/ha. La distribution selon les classes de diamètre montre une abondance des individus dans la classe de 10 à 30 cm. Conclusion et application des résultats : Il ressort de ces résultats que les concessions de la ville de Parakou sont peu boisées et pauvres en espèces locales et à grand diamètre. Ces résultats suscitent des recherches sur l’importance et les contraintes liées à la plantation des arbres dans le milieu urbain. Par ailleurs cela montre aux gestionnaires de la ville de Parakou, l’urgence de la vulgarisation et l’application des lois qui encadrent la plantation, la conservation et la protection des arbres dans les concessions et les domaines privés de Parakou et au Bénin. Mots clés : Villes de Parakou (Bénin), concessions, arbres, diversité, dendrométrie Zohoun et al., J. Appl. Biosci. 2020 Diversité, structure des arbres et description du boisement dans les concessions de l’espace urbain de Parakou au centre du Bénin 15843 ABSTRACT Diversity, tree structure and description of afforestation in the grants of the urban area of Parakou in central Benin Objective: Urbanization in developing countries results in galloping demographic growth with as a corollary, the degradation of vegetation in urban and peri-urban areas. This article focuses on the analysis of the specific diversity, tree structure and afforestation in the grants of the city of Parakou. Methodology and results: By sampling method, a floristic inventory followed by an observation of the number of trees per grant was made in 140 plots. The results show that 30.32% of the grants have no trees, 21.64% have 1 tree and 48.04% have 2 or more trees. The specific wealth is 94 species, of which 77 species are exotic and 17 local species, distributed among 37 families. The population is dominated by the Mangifera indica species. The average density is 18 plants/ha. The distribution according to diameter classes shows an abundance of individuals in the class of 10 to 30 cm. Conclusion and application of results: It appears from these results that the grants in the town of Parakou are sparsely forested and poor in local and large-diameter species. These results prompt research on the importance of and constraints to tree planting in the urban area. Moreover, it shows the managers of the city of Parakou the urgency of the extension and application of laws that govern the planting, conservation and protection of trees in the grants and the private domains of Parakou and in Benin. Key words: City of Parakou (Benin), grants, trees, diversity, dendrometry
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CALTRAN, Hervé, Johana SANABRIA, and Julie WEISS. "Mise en œuvre du concept d’arbre de pluie, une solution fondée sur la nature, pour contribuer à désimperméabiliser et végétaliser la ville existante." Techniques Sciences Méthodes 10, no. 10 (October 20, 2023): 63–70. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/2023063.

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Анотація:
La Métropole de Lyon, engagée dans un grand projet de ville perméable, a été retenue comme site pilote démonstrateur du projet Life Artisan. Ce dernier vise à démontrer et valoriser le potentiel des Solutions d’adaptation Fondées sur la Nature (SaFN). À ce titre, la métropole a adapté et mis en place des arbres de pluies pour gérer les eaux pluviales dans l’espace urbain anciennement construit. Il s’agit de dépaver le pourtour de l’arbre, décaisser autour de la fosse de plantation et d’implanter une tranchée d’infiltration au niveau du fil d’eau de la voirie. L’espace autour du pied d’arbre est végétalisé pour favoriser la création d’écosystèmes simplifiés. Pour expérimenter le concept, 10 arbres de pluies sont aménagés en concertation avec les citoyens. Les arbres transformés et des arbres témoins sont instrumentés pour mesurer leur efficacité en tant que SaFN. Les premiers résultats montrent que bien que les fosses d’arbres aient été dimensionnées pour abattre 15 mm de pluie sur environ 600 m2, un maximum de 39 mm de pluie a pu être abattu sur la période suivie. La réussite de cette expérimentation a motivé la collectivité pour déployer plus d’arbres de pluie et accélérer la transition durable vers une ville perméable et végétale. Pour ce faire, la méthode de transition issue du programme européen Switch (Sustainable Water Management Improves Tomorrow's Cities Health) est utilisée. Elle aboutit à la rédaction d’un livret technique sur les arbres de pluie pour sensibiliser en premier lieu les acteurs métropolitains. Par ailleurs, l’apport d’eau pluviale aux arbres double leur croissance sur une saison et augmente l’évapotranspiration avec l’impact que cela peut avoir sur les îlots de fraîcheur.
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Romanowska, Marta. "Uposażenie wójtów dziedzicznych miast Małopolski w XIV-XV w." Czasopismo Prawno-Historyczne 53, no. 1 (June 30, 2001): 71–92. http://dx.doi.org/10.14746/cph.2001.1.3.

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Анотація:
Dans les villes polonaises, l’institutions du maire héréditaire de ville (en polonais: wójt) est apparue en liaison de la location des villes sur le droit allemand. Le droit allemand constituait la forme d’organisation et institutionelle plus développée et son transplantation en Pologne ne serait pas possible, s’il n’y avait pas déjà les villes dans le sens des centres économiques et sociaux. Moyennant ses efforts dans la location, le maire de ville recevait la dotation du sol et d’autres revenus. La volonté du seigneur et la dimension de la ville décidaient du montant et de la qualité de cette dotation. La propriété de la terre constituait le droit le plus important dont juissait le maire. A part le sol strictement agricole, il recevait aussi les parcelles destinées à créer des jardins ou pour les exploiter comme prairies ou pâturages. Le privilège plus rare était la possession du sol pro ecclesia. Sur la terre non-censuelle, le maire avait le droit de pleine propriété utile (dominium utile). Outre cela, il juissait des droits forestiers, c’est-à-dire de l’abbatage libre des arbres et de la liberté de la chasse. Parmi les differentes formes de la dotation en faveur des maires de ville, il y avait aussi les droits à l’exploitation des rivières et des viviers, à établir des moulins, des tavernes, des bains et des atelliers d’artisan. De tous ses droits le maire pouvait juir aussi après les années de la liberté censuelle (en polonais: wolnizna). La position très attractive du maire de ville était une des causes de son déclin.
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ARSALAN, K. "Les arbres d’alignement, une contribution au paysage et à la biodiversité urbaine, cas de la ville de Rabat." Techniques Sciences Méthodes, no. 12 (January 20, 2020): 27–43. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/2019027.

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Анотація:
L’arbre joue un rôle écologique, esthétique et social essentiel dans l’espace urbain. Par méconnaissance, il a été la première victime du développement urbain. L’état des arbres d’alignement de nos villes devient préoccupant. À cause des multiples agressions et altérations de leur lieu d’implantation, ils se trouvent blessés, dégradés, fragilisés et inesthétiques. Une étude de la problématique environnementale des alignements et du choix des essences utilisées dans ce milieu artificiel et leur mode de gestion s’avère importante pour le maintien de ce patrimoine et la connexion de l’homme à la nature. Le présent travail se veut une approche paysagère des alignements de la ville de Rabat afin d’évaluer leur diversité botanique et de mettre en évidence les espèces qui en composent le paysage urbain et qui s’adaptent le mieux au milieu et aux conditions climatiques spécifiques de la ville. Un inventaire de ce patrimoine arboré a été effectué au début de l’année 2019; il a permis de recenser un peu plus de 40 espèces appartenant à 22 familles et de déceler des inégalités et des disparités de la trame des alignements au niveau des différents arrondissements de la ville de Rabat.
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Del Rey, Marie-José. "La réglementation des arbres et espaces boisés en ville." Droit et Ville 42, no. 1 (1996): 197–222. http://dx.doi.org/10.3406/drevi.1996.1449.

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Haninec, Peter, Petr Madera, Martin Smola, Hana Habrová, Martin Šenfeldr, Luboš Úradnícek, Milan Rajnoch, et al. "ASSESSMENT OF TEAK PRODUCTION CHARACTERISTICS USING 1 M SPACING IN A PLANTATION IN NICARAGUA." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 330, no. 330 (July 21, 2017): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.330.a31317.

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Анотація:
Cette étude s’est déroulée dans une plan- tation forestière en Amérique centrale, proche de la ville de Diriamba au Nica- ragua, où des plantations de teck sur 48,9 ha, dans une zone de reboisement de 76,5 ha, sont renouvelées depuis 2006 (2006 : 7,90 ha ; 2007 : 13,63 ha ;2008 : 11,93 ha ; 2009 : 12,87 ha ; 2010 :21,70 ha). Cette plantation sort de l’ordi- naire du fait de l’espacement de 1 x 1 m des arbres et des facteurs écologiques limitants de cette zone tropicale aride. L’espacement de 1 x 1 m a été choisi pour favoriser la croissance en hauteur et obtenir ainsi des tiges de haute taille, et pour limiter les ramifications afin d’éviter la formation de houppiers importants. Cela permet de démarrer une production de poteaux de teck, adaptés à certaines constructions, dès la première coupe d’éclaircissement. Les paramètres de croissance des tecks (hauteur, circonfé- rence) ont été mesurés dans les placettes expérimentales mises en place en 2011. Des données complémentaires (morta- lité, arbres cassés ou tordus) ont égale- ment été relevées. Une méthodologie de terrain a été développée et les résultats restitués sous forme de tableaux et gra- phiques. Une évaluation statistique des paramètres de croissance a été menée à partir des mesures prises sur les placettes expérimentales délimitées dans la planta- tion. Les jeunes arbres plantés la même année ont été comparés selon leur prove- nance en termes de hauteur, de circonfé- rence, de productivité et de mortalité. Au total, 10 955 arbres sur 143 placettes ont été mesurés. Sur ces peuplements de 1 à 5 ans d’âge, le bois sur pied total est estimé à 1 287,89 m3, la masse moyenne de bois à l’hectare à 17,89 m3, la hauteur moyenne des peuplements à 3,03 m et la circonférence moyenne à hauteur de poitrine à 2,74 cm. Les arbres cassés représentent 5,64 %, les arbres tordus 5,66 % et la mortalité moyenne s’établit à 21,48 %.
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Chacalo, Alicia, and Marius Pineau. "Problemes Environnementaux Et Situation Des Arbres Urbains Dans La Ville De Mexico." Arboriculture & Urban Forestry 17, no. 2 (February 1, 1991): 49–54. http://dx.doi.org/10.48044/jauf.1991.014.

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Анотація:
(Environmental Problems and Urban Trees in Mexico City). Throughout the description of the principal environmental problems like atmospherical pollution, erosion and population growth, we proceed to analyse in a general way, the most important activities that affect urban street trees in Mexico City like species selection, tree plantation, site reserved to the trees and tree maintenance. Some suggestions are included at the end like solutions to solve this problem.
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GARREC, J. P., and Véronique PEULON. "Les arbres de ville en hiver : le problème du sel de déneigement." Revue Forestière Française, S (1989): 109. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26011.

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Ouellette, G. B., and R. Pronovost. "Anomalies de croissance et dépérissement du tilleul au Québec : à prévenir dès la production des plants en pépinière." Phytoprotection 79, no. 2 (April 12, 2005): 71–85. http://dx.doi.org/10.7202/706136ar.

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Анотація:
Cet article présente des résultats d'analyse d'échantillons de quelque 30 disques de tilleuls (principalement de lignées ou cultivars issus du Tilia cordata Mill.) atteints de dépérissement prononcé, dans la ville de Québec (Québec) Canada, et ayant dû être coupés récemment. Depuis 1993, près de 5 % de la population de tilleuls situés dans cette ville ont été abattus pour la même raison. Parmi les anomalies observées sur ces arbres, la formation de nombreuses excroissances tumescentes sur le tronc et la présence de gros renflements à leur base dans certains cas ont paru prépondérantes vis-à-vis l'apparition de ce mal. Ces anomalies semblent avoir conduit à la venue de plusieurs autres agents, supposément secondaires, soit des insectes et des micro-organismes, et à d'autres conditions dommageables, telles la formation de crevasses et anfractuosités prononcées de l'écorce, le décollement en plaques de celle-ci, etc. Les dissections ont montré que l'origine de ces anomalies pouvait remonter au tout jeune âge de l'arbre; celles-ci s'étaient graduellement amplifiées, devenant ouvertement nuisibles il y a plusieurs années. Les résultats d'inventaires conduits à Québec et ailleurs, comprenant plus de 900 jeunes arbres plantés ces dernières années, ont montré que de telles anomalies commençaient à se développer sur un très grand nombre de ceux-ci, mais avec des différences notables selon les variétés. Ces données montrent l'importance de développer et d'appliquer des méthodes de prévention susceptibles de contrer l'emballement de ces anomalies de croissance dès les stades de production et de plantation de l'arbre.
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Lescourret, Marie-Anne. "La tragédie humaine et le drame féminin." Revista de História da Arte e da Cultura 3, no. 2 (December 31, 2022): 4–15. http://dx.doi.org/10.20396/rhac.v3i2.17528.

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Анотація:
Il me semblait intéressant de réunir ces deux artistes contemporains, l’un Français, Lionel Guibout, l’autre Chinois, He Canbo, dont les démarches se rejoignent dans une certaine expression de l’humanité, pour laquelle chacun a trouvé une modalité plastique singulière. C’est là une constante de l’art de He Canbo, inquiet des évolutions de la société, ainsi que de la destinée de l’homme dans le monde, dans le cosmos, ou même tout simplement dans la ville, ou le cycle quotidien. De là la multiplication des situations dans lesquelles il place les humains interchangeables figurés par ses « omégas ». Lionel Guibout s’est d’abord intéressé à l’humanité conservée, monumentale et mythique, dans les sculptures grecques, avant de la chercher dans la vie de la nature, associant l’écorce des arbres, les croûtes de la terre, et la peau des humains. Et c’est par l’entremise de cette peau vivante, souffrante, « écorcée », qu’il traduit encore sa préoccupation de l’offense actuelle faite aux femmes.
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Dahech, Salem, Sami Charfi, and Malika Madelin. "Représentativité des températures mesurées dans la station météorologique Paris-Montsouris." Climatologie 17 (2020): 5. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202017005.

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Анотація:
Cette étude s’intéresse à la représentativité des températures mesurées par la station météorologique de Paris-Montsouris; elle montre que le site a un effet remarquable. En effet, l’ombre créée par les arbres situés à proximité des capteurs induit une baisse de la température avoisinant 2°C en moyenne durant l’été, entre 13 h et 18 h TU, par rapport aux stations d’Orly et de Vélizy, situées en milieu dégagé. La rugosité en ville ralentit la vitesse du vent de 1,5 m/s et engendre une baisse de l’humidité entre 16 h et 19 h TU. La campagne de mesure itinérante nocturne, réalisée la nuit du 29 au 30 juin 2019 entre 23 h et 1 h TU, par temps caniculaire, montre que le parc est en moyenne 4°C plus frais que le centre de Paris et que l’intensité de l’îlot de chaleur urbain (ICU) atteint environ 11°C vers 1 h TU du matin. La partie topographiquement surélevée du parc Montsouris est plus chaude d’environ 2°C que celle vallonnée vers 00 h TU.
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Nangalire Nankafu, Orléanne, Sylvie Cirhuza Cimwemwesa, Gentil Iragi Kaboyi, and Seintsheng Ntamwira Niranda. "Etude Comparée de la Flore Colonisatrice du Voisinage des Eaux Thermales aux Environs de la Ville de Bukavu (Sud-Kivu)." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 01, no. 01 (June 10, 2022): 01–13. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.022.v1.i1.01.

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Анотація:
La présente étude contribue à la connaissance de la diversité de la flore et de la mise à jour des données floristiques de sites des eaux thermales dans huit sites (Burhinzi, Luhwindja, Kankulé, Kakonde, Cimenki, Cizirhi, Buhandahanda, Nyangezi) situés aux environs de la ville de Bukavu. La méthode phytosociologique a été utilisée dans une zone d’échantillonnage de 10 m, de part et d’autre du site, dans laquelle deux relevés de 4 m2 étaient réalisés. La méthode d’échantillonnage consistait à un inventaire quantitatif afin de relever les divers indices d’abondances spécifiques. Les résultats montrent un inventaire des espèces végétales présentes dans les sites thermaux regroupées en 33 familles, 83 genres et 101 espèces dont les familles d’Asteraceae, Poaceae et Fabaceae sont les plus abondantes. Les herbes dominent sur les arbres et la plupart des flores étudiées se regroupe dans les thérophytes. La comparaison de la richesse spécifique entre les différents sites sur base du test ANOVA montre qu’il n’y a pas de différence significative entre les sites (P > 0 ,001 ; F=1,881). Mots clés: Eaux thermales, inventaire quantitatif, diversité floristique, abondance spécifique, Bukavu, Sud-Kivu
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Maroteaux, Vincent. "Les forêts péri-urbaines, milieu de loisir : le cas de la région parisienne à l'époque moderne et contemporaine." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 9, no. 1 (1991): 91–107. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.915.

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Comme espaces de loisir, les forêts de la région parisienne ont connu deux types d'usages. Ces forêts ont d'abord été le lieu des chasses royales et des promenades de la Cour et du Roi. Après le Second Empire seulement, les chasses officielles se sont réduites et la chasse a pu s'exercer par le biais de locations, avant bien souvent de devenir totalement marginale. A partir de ce moment en effet, le rapport de la ville à la forêt a changé. Celle-ci a tendu à devenir un espace de tourisme et de détente pour les citadins, alors que la ville ne cessait de croître. Ces usages ont entraîné des aménagements particuliers de la forêt. Pour la chasse à courre et les promenades du Roi, les forêts sont percées d'un très important réseau de routes en étoiles. La chasse intervient aussi dans les choix d'exploitation. Sous la Restauration, on aménage des tirés spéciaux pour le petit gibier, comme il en subsiste à Marly. La transformation des forêts péri-urbaines en espaces de récréation citadine entraîne de nouvelles mutations de l'espace forestier. Des réserves «artistiques» sont créées, où l'on exploite seulement les arbres morts, un effort est fait pour diminuer l'impact des coupes, la futaie est étendue (et on s'oriente même actuellement vers une conversion systématique). Cette recherche d'agrément se retrouve dans le recours à des essences ornementales. On aménage aussi aires de jeux, parkings, etc. La forêt péri-urbaine évolue vers le parc, à l'image de ce qui s'est passé dès le siècle dernier pour le Bois de Boulogne. Se trouve ainsi résolue la question «production ou agrément ?», posée dès l'Ancien Régime. A cette époque, comme au XIXe siècle, cependant, les forêts de la région parisienne, du moins les forêts domaniales, ont toujours été productives et d'un bon rapport à l'exploitation. C'est seulement à la suite des instructions ministérielles de 1964 que le rôle récréatif des forêts de l'Ile-de-France à commencé à l'emporter sur leur fonction productive.
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Nières, Claude. "Incendies et reconstruction des villes : l'exemple breton au XVIIIe siècle." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 9, no. 1 (1991): 265–71. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.929.

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Le renouvellement normal du bâti dans les villes petites et moyennes n'imposait pas une importante consommation des bois, en particulier de bois de charpente. Depuis le XVIe siècle au moins, il existait des réglementations qui tentaient d'en limiter l'usage pour empêcher les incendies (défense de couvrir en bardeaux, d'élever des murs extérieurs en bois ou en pans de bois). L'étude des constructions montre que l'on continuait néanmoins à construire selon les usages anciens. Mais la raréfaction des grands arbres, des chênes surtout, contraignit à modifier, non pas la nature des maisons, mais les techniques de construction. La destruction par incendie de nombreuses maisons, la disparition de quartiers entiers (voire des trois quarts de la ville-haute comme à Rennes) réactivaient les réglementations anciennes ou conduisaient les autorités à en prendre de nouvelles. L'usage du bois fut désormais circonscrit à la charpente des couvertures, à la menuiserie interne (planchers là où en existait l'usage ; huisserie ; panneaux de bois sur les cloisons là où, au XVIIIe siècle, on n'utilisait pas le plâtre). Ici ou là, on gardait cependant la possibilité d'élever des murs sur cour en torchis. Cette réglementation, quand elle était appliquée, avait pour conséquence d'augmenter le prix des maisons de un tiers à deux tiers par rapport au mode ancien de construction, ce qui explique à la fois les réticences et les détournements dont nous possédons de nombreux exemples. Quand il s'agissait de reconstruire à une vaste échelle, il fallait trouver de grandes quantités de bois que les forêts (en tout cas de Bretagne) avaient quelque mal à fournir. Il est intéressant d'insister sur les besoins concurrentiels et complémentaires des constructeurs civils et de la Marine qui se partageaient les coupes. L'étude des incendies et des reconstructions qui s'en suivent permettent du même coup de mieux mesurer les conséquences des choix retenus par les propriétaires (Domaine ou particuliers) en matière de politique forestière.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Анотація:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Rimlinger, Aurore. "Histoire évolutive de l’arbre fruitier Dacryodes edulis : implications pour sa conservation et sa gestion durable." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 352 (May 1, 2022): 97–98. http://dx.doi.org/10.19182/bft2022.352.a36860.

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Dans les écosystèmes forestiers tropicaux, les humains utilisent de longue date les espèces végétales utiles, sources de nourriture, de fibre, de combustible ou de médication. Parmi ces produits forestiers non ligneux, certains d'entre eux ont progressivement été mis en culture, posant des questions tant sur les impacts évolutifs des interactions entre plantes et hommes que sur la durabilité des modes de gestion actuels de ces ressources. C'est le cas pour le safoutier (Dacryodes edulis, Burseraceae), un arbre fruitier emblématique d'Afrique centrale. Dans cette thèse, la dynamique de la diversité cultivée du safoutier est abordée via une approche interdisciplinaire alliant génétique des populations et ethnoécologie, afin de comprendre d’une part l’histoire évolutive de l’espèce sur le temps long, d’autre part les effets des changements contemporains de ses modes de culture. L’approche génétique centrée sur l'histoire évolutive du safoutier a permis d’identifier différents groupes génétiques sur son aire de distribution. Les patrons de distribution de l’ADN chloroplastique semblent résulter des événements de glaciation du Quaternaire plutôt que de la mise en culture de l'espèce. L’accent mis sur les savoirs des cultivateurs dans l’approche ethnoécologique met en lumière la nomenclature fine qu’ils mobilisent, et les préférences différentes qu’ils ont en fonction des usages du fruit : une bascule s'opère en faveur du critère de la taille du fruit chez ceux destinant leur production au marché urbain. Enfin, le croisement des deux approches a permis de mettre en valeur les effets des réseaux informels d'échanges de semences sur la distribution de la diversité génétique. Les semences utilisées pour planter des arbres en ville proviennent ainsi en majorité d'échanges sur de longues distances. En conséquence, des niveaux de diversité identiques, voire supérieurs, sont présents dans les aires urbaines par rapport au milieu rural. Ensemble, ces résultats permettent de conclure qu'il existe une grande diversité de connaissances, de pratiques et d'usages autour du safoutier, qui n'engendrent pas, à ce stade, d'effets néfastes sur sa diversité intra-spécifique. Le safoutier se présente comme un modèle stratégique pour étudier l'effet des pratiques humaines sur la diversité génétique en Afrique centrale, de nombreuses questions de recherche demeurant quant à l'origine de sa mise en culture et de sa diffusion.
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STEFULESCO, Caroline. "Des villes pour les arbres." Revue Forestière Française, S (1989): 57. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26029.

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Diaouma Badiane, Sidia, and Edmée Mbaye. "Le baobab, un arbre emblématique dans le futur urbain du pôle de Diamniadio au Sénégal : marqueur spatial, représentation sociale et intégration paysagère." Revue Organisations & territoires 28, no. 2 (December 1, 2019): 43–55. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v28n2.1048.

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L’intégration de l’arbre dans la ville est devenue un enjeu de taille en matière de planificationurbaine. Les projets de villes nouvelles tentent de prendre en compte cette dimension. La création du pôleurbain de Diamniadio au Sénégal s’inscrit ainsi dans cette logique d’intégration paysagère. Cet article s’intéresse à l’image du baobab dans la construction de ce pôle urbain. Notre hypothèse est que cet arbre bénéficie d’une attention particulière en raison de son statut d’espèce protégée (il constitue d’ailleurs un des deux sceaux symboliques du Sénégal), mais également du fait qu’il fournit à la population des biens et services écosystémiques remarquables. Cette étude s’appuie sur des données d’inventaire des baobabs dans le pôle urbain de Diamniadio et sur des données d’enquête (quantitatives et qualitatives). Le recensement de baobabs in situ a permis d’identifier 333 individus répartis de façon aléatoire dans l’espace. Malgré la croissance urbaine, le baobab garde toujours son aspect d’arbre symbolique, gravé dans la mémoire collective.
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Randriamiharisoa, Lalatiana O., and Hajanirina Rakotomanana. "Analysis of wetland uses by Common mynas (Acridotheres tristis) in the urban environment of Antananarivo, Madagascar." Madagascar Conservation & Development 16, no. 2s (February 11, 2022): 33–40. http://dx.doi.org/10.4314/mcd.wetlands.5.

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The importance of wetlands as habitat and breeding grounds for waterfowls is recognized and has been extensively studied, but their role in regulating and maintaining ecosystems is less well documented. The use of wetlands by invasive species such as Common myna (Acridotheres tristis), considered as one of the 100 worst invasive species in the world, is largely unknown. Therefore, the Common mynas could have an influence on the occupation of native water bird species. The objectives of this study were to assess Common myna's (1) population size, (2) spatial occupation and (3) characteristics of foraging and roosting sites. Three urban wetlands in Antananarivo were studied: the Tsarasaotra Park, a private site classified as a Ramsar site, the Tsimbazaza Zoological and Botanical Park in the city center, and an area near the Ikopa River, close to the SOCOBIS biscuit factory. In total, 6196 Common mynas were counted with an estimated 7.9 individuals per hectare around the roosting sites. Vigilance and foraging behaviors were less observed when individuals were at a higher stratum, with communication and resting being the most observed behaviors at this level. Only 5.6% of wetlands are used during the day as foraging areas and 1.4% as roosting sites at night, where Common mynas cohabitate with herons and egrets. Finally, the environmental variables collected revealed that Common mynas favor wetlands with tall, wide trees, located far from human disturbance. L’importance des zones humides en tant qu’habitat et site de reproduction pour les oiseaux d’eau est reconnue et a été abondamment étudiée. Cependant, le rôle des oiseaux d’eau dans la régulation et le maintien d’écosystème est moins bien documenté. Particulièrement l’utilisation des zones humides par des espèces envahissantes telles que le Martin triste (Acridotheres tristis), une des 100 pires espèces envahissantes dans le monde, reste peu étudiée. Le Martin triste pourrait avoir une influence et un impact par son occupation et son comportement envahissant sur les oiseaux d’eau autochtones. Afin d'évaluer la taille de la population du Martin triste, son utilisation et occupation spatiale, ainsi que les caractéristiques écologiques de ses zones d’alimentation et de dortoir, trois zones humides du milieu urbain d’Antananarivo ont été étudiées. Il s’agit du Parc de Tsarasaotra, un site privé classé RAMSAR, le Parc Zoologique et Botanique de Tsimbazaza dans le centre-ville, et une zone située à proximité de la rivière Ikopa, près de l’usine de fabrication de biscuits SOCOBIS. Un nombre de 6196 observations de Martins tristes ont été réa- lisées et l'abondance des populations a été estimée à 7.9 individus par hectare autour des dortoirs. Les observations ont aussi révélé que le Martin triste réduit certains comportements tels que la vigilance et l’alimentation lorsqu’il est à une hauteur plus élevée et privilégie alors des comportements de communication et de repos. Il utilise 5,6% des zones humides pendant la journée en tant que site de nourrissage et 1,4% pendant la nuit comme dortoir, où il cohabite avec des hérons et des aigrettes. Les varia-bles environnementales récoltées sur les sites ont révélé que le Martin triste privilégie les zones humides situées loin des perturbations humaines et présentant de grands arbres à diamètre important.
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McCormack, Gavin R. "Caractéristiques de l’environnement bâti du quartier associées à différents types d’activité physique chez les adultes canadiens." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 37, no. 6 (June 2017): 189–99. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.37.6.01f.

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Introduction L’étude tente d’estimer les associations entre les caractéristiques du milieu bâti d’un quartier et la marche comme moyen de transport (MT), la marche récréative (MR), l’activité physique à intensité modérée (APM) et l’activité physique à intensité élevée (APE) chez les adultes, indépendamment des caractéristiques sociodémographiques et de l’autosélection du lieu de résidence (les raisons liées à l’activité physique associées au choix d’un quartier par quelqu’un). Méthodologie En 2007 et 2008, 4 423 adultes de Calgary ont répondu à des entrevues au téléphone fixe portant sur l’activité physique, leurs caractéristiques sociodémographiques et les raisons de l’autosélection de leur résidence. À l’aide de données spatiales, nous avons estimé la densité de population, la proportion d’espaces verts, la longueur des sentiers et des pistes cyclables, la densité commerciale, la densité des arrêts d’autobus, la densité des arbres gérés par la ville, la longueur de trottoir, les divers types de parcs et l’offre de destinations récréatives dans un rayon de 1,6 km en fonction du code postal résidentiel géolocalisé des participants. Des modèles linéaires généralisés ont été utilisés pour estimer les associations entre les caractéristiques de l’environnement bâti du quartier et la participation à des activités physiques hebdomadaires dans le quartier (10 minutes/semaine ou plus, rapports de cotes [RC]) et, parmi les personnes ayant déclaré une participation, la durée de l’activité (coefficients bêta [B] non normalisés). Résultats L’échantillon comprenait davantage de femmes (59,7 %) que d’hommes (40,3 %) et l’âge moyen (écart-type) était de 47,1 ans (15,6 ans). L'utilisation de la MT était associée à la densité des intersections (RC = 1,11; IC à 95% : 1,03 à 1,20) et des commerces (RC = 1,52; 129 à 1,78) et à la longueur des trottoirs (RC = 1,19; 1,09 à 1,29) alors que le nombre de minutes de MT était associé à la densité commerciale (B = 19,24 minutes/semaine; 11,28 à 27,20), à la densité d’arbres (B = 6,51; 2,29 à 10,72 minutes/semaine) et à l’offre de destinations récréatives (B = −8,88 minutes/ semaine, −12,49 à −5,28). L'utilisation de la MR était associée à la longueur des sentiers ou pistes cyclables (RC = 1,17; 1,05 à 1,31). Avoir une APM était associé à l’offre de destinations récréatives (RC = 1,09; 1,01 à 1,17) et à la longueur de trottoir (RC = 1,10; 1,02 à 1,19), alors que le nombre de minutes d’APM était associé négativement à la densité de population (B = −8,65 minutes/semaine; −15,32 à −1,98). Avoir une APE était associé à la longueur de trottoir (RC = 1,11; 1,02 à 1,20), à la longueur des sentiers ou pistes cyclables (RC = 1,12; 1,02 à 1,24) et à la proportion d’espaces verts dans le quartier (RC = 0,89; 0,82 à 0,98). Le nombre de minutes d’APE était associé à la densité d'arbres (B = 7,28 minutes/semaine; 0,39 à 14,17). Conclusion Certaines caractéristiques de l’environnement bâti du quartier semblent importantes pour favoriser la pratique d’activité physique, tandis que d’autres peuvent être plus propices à l’augmentation de la durée de l’activité physique. Les modifications augmentant la densité de destinations utilitaires et la quantité de trottoirs dans les quartiers seraient susceptibles d’augmenter les niveaux totaux d’activité physique dans les quartiers.
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Thibaudeau, Pascale. "Comme un arbre dans la ville : El sol del membrillo de Víctor Erice." Cahiers d'études romanes, no. 16 (July 15, 2007): 83–100. http://dx.doi.org/10.4000/etudesromanes.2115.

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Modanese, Cécile. "Le jardin arboré : un écrin pour l’immeuble, à travers des exemples en Alsace." Source(s) – Arts, Civilisation et Histoire de l’Europe, no. 19 (October 1, 2022): 27–48. http://dx.doi.org/10.57086/sources.534.

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André Chastel précisait que le champ d’intervention de l’inventaire des richesses artistiques de la France s’étendait de « la cathédrale à la petite cuillère ». Aujourd’hui, la villa est associée à son parc. Son analyse inclut progressivement le relevé des essences végétales. La présence d’une des plus conséquentes pépinières européennes en Alsace, les pépinières Baumann de Bollwiller fondées vers 1735 a permis la création de nombreux parcs et jardins tout au long du XIXe siècle. Ceux-ci sont le reflet d’un art de vivre allant de pair avec l’architecture et la décoration des intérieurs. Les arbres deviennent ainsi de nouveaux matériaux décoratifs pour l’art des jardins permettant au parc arboré de sublimer l’architecture en lui offrant un écrin prestigieux. Le jardin est en outre pensé pour être vu depuis l’édifice faisant parfois preuve d’une cohérence étonnante entre la création architecturale et paysagère.
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VAILLANT, H., Y. RUELLE, and JS CADWALLADER. "Brèves de médecine." EXERCER 34, no. 197 (November 1, 2023): 431–32. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.197.431.

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À l’ombre des arbres Une étude espagnole a estimé l’effet d’une infrastructure végétalisée urbaine sur la mortalité globale en Europe. Des îlots urbains de chaleur sont décrits dans 93 villes d’Europe et seraient responsables, selon les données récentes, d’une mortalité précoce des Européens. Les chercheurs ont ici réalisé une étude quantitative d’impact en analyse de survie de Monte-Carlo. Les personnes de plus de 20 ans habitant dans 93 villes dans l’ensemble du territoire européen ont été prises en compte. Les calculs étaient fondés sur une augmentation théorique de 30 % de la végétation urbaine. Les données d’« Urban Audit » de 2018 ont été utilisées en les croisant avec l’atlas démographique européen de densité urbaine. Une analyse de sensibilité a été utilisée pour étudier la robustesse des résultats des simulations avec un IC95 (p < 0,05). En analysant les données de l’été 2015 en Europe, les auteurs observaient une augmentation de 1,5 °C en moyenne de la température dans les îlots urbains de chaleur. 6 700 décès pouvaient être attribués à cette augmentation de température en tenant compte de la répartition de la population, soit 4,33 % de l’ensemble des décès (IC95 = 3,37-5,28). L’augmentation théorique de 30 % de la végétation urbaine résultait en une baisse moyenne de 0,4 °C (DS = 0,2 ; 0,0-1,3). Cette diminution de température entraînait, dans le modèle, une diminution de 2 644 décès lors de l’été 2015, soit 1,84 % de l’ensemble des décès en Europe (IC95 = 1,69-1,97). Il s’agit de la première étude publiée utilisant des registres spécifiques et avec de telles variables environnementales. Lancet 2023. doi: 10.1016/S0140-6736(22)02585-5.
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Albert-Llorca, Marlène, and Jean-Pierre Albert. "Mahomet, la Vierge et la Frontière." Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, no. 4 (August 1995): 855–86. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1995.279404.

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La scène se passe en Espagne et, pour qui connaît un peu l'histoire et la mythologie de ce pays, la rencontre du prophète de l'islam, de la Vierge Marie et d'une frontière (en l'espèce intérieure et mouvante) évoquera tout de suite les siècles de la Reconquête. Très précisément, reviendra à son esprit la légende cent fois entendue de la statue découverte par miracle dans l'espace tout juste repris à l'ennemi : cachée dans une grotte ou le tronc creux d'un arbre pour échapper à la destruction, et triomphalement rendue au culte après quelques siècles, comme s'il fallait bien vite signifier l'identité chrétienne d'une terre trop longtemps profanée. Cet arrière-plan historique ne sera pas absent du voyage dans le temps et l'espace que nous allons entreprendre, mais il sera surtout question du présent, du passé proche et d'une frontière — elle aussi intérieure et mouvante — qui ne sépare plus des religions et des nations, mais des provinces et des langues. Au fil du temps, Mahomet (Mahoma) aura changé sinon de sexe, du moins de genre grammatical : nous ne rencontrerons que la Mahoma, une effigie de bois et de toile figurant le Prophète. Quant à la Vierge, il faudra la penser au pluriel, car chaque ville a la sienne, individualisée par une statue et un vocable particulier : Mare de Déu de Gracia, Divina Aurora, Virgen de las Virtudes…La scène se passe, très exactement, dans l'arrière-pays d'Alicante : la cuvette de Castalla, la vallée du Vinalopó.
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Kazemi, Yves, and Laurianne Jeanneret Guinnard. "Nouvelle politique forestière vaudoise en matière d’accueil, de loisirs et de bien-être en forêt." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 174, no. 4 (July 1, 2023): 198–201. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2023.0198.

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Résumé Comme partout en Suisse, les forêts du canton de Vaud représentent un espace naturel de loisirs particulièrement apprécié de la population. La nouvelle Politique forestière vaudoise 2040 (DGE-Forêt 2022) soutient un développement qualitatif et mesuré des activités de sports et loisirs en forêt qui garantit le «bien vivre ensemble» des usagers ainsi que la préservation du milieu naturel et de la multifonctionnalité forestière. L’élaboration d’une stratégie cantonale sur l’accueil du public en forêt permettra d’orienter le développement régional et local des activités de sports et loisirs en forêt. Elle souhaite, à ce titre, soutenir les propriétaires forestiers dans la prise en charge des coûts et investissements liés à l’accueil du public en forêt. La mise en œuvre de ces stratégies nécessite la mise en place d’un monitoring stratégique des loisirs en forêt. Elle repose aussi sur le renforcement des compétences et ressources des agents de terrain. La promotion du «vivre ensemble en forêt» et du «respect du milieu naturel» dans la pratique des activités de loisirs en forêt nécessitera aussi des actions de communication ciblées et pérennes. Finalement, il est important de relever que la gestion de l’accueil en forêt commence en dehors de la forêt. La gestion durable de l’accueil en forêt nécessite une étroite coordination avec les planifications urbaines, infrastructurelles ou touristiques. Parallèlement, renforcer la présence des arbres – forestiers ou non – dans l’espace bâti constitue une réponse appropriée aux défis écologiques et sociaux posés par le développement des villes. La création d’un réseau cohérent et continu d’espaces naturels de loisirs reliant les centres urbains aux massifs forestiers périurbains contribuent aussi à améliorer la qualité et la gestion de l’accueil en forêt.
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Achinelli, Fabio G., Jorge L. Marquina, and Raúl M. Mariats. "EXPLORATORY STUDY OF THE RELATIONSHIPS BETWEEN TREE GROWTH, SITE CONDITIONS, AND MAINTENANCE PRACTICES IN STREET PLANTINGS OF FRAXINUS PENNSYLVANICA MARSHALL OF LA PLATA CITY, ARGENTINA/Étude exploratoire des relations entre la croissance des arbres, les conditiones de l'endroit et les pratiques d'entretien des plantations du Fraxinus pennsylvanica Marshall dans les trottoirs de la ville de La Plata, Argentine/Estudio exploratorio de las relaciones entre crecimiento arbóreo, condiciones de sitio y prácticas culturales en plantaciones de vereda de Fraxinus pennsylvanica Marshall de la ciudad de La Plata, Argentina." Arboricultural Journal 21, no. 4 (November 1997): 305–15. http://dx.doi.org/10.1080/03071375.1997.9747177.

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Buendía Quispe, Benito Filemón, Otto Mendiolaza Zuñiga, Crecencio Amaro Quiñones Narváez, Martha Artica Cosme, and Luis Buenaventura Eche Sánchez. "Arboles Madres de Diablo Fuerte (Podocarpus sp) Nogal (Juglans neotropica) y Ulcumano (Retrophyllum rospigliosii) para Semilleros Vegetativos." Revista Alfa 7, no. 21 (September 25, 2023): 530–38. http://dx.doi.org/10.33996/revistaalfa.v7i21.233.

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Las condiciones edafoclimaticas favorables para la silvicultura se localiza en la selva central, se observa un proceso de extinción de muchas especies forestales nativas, de alto valor genético y maderero, la propagación, producción y repoblamiento es muy escasa, sumado al poco interés de los principales actores en revertir este problema, corriendo el riesgo de su desaparición total de muchas especies importantes por su calidad. Objetivo. Identificar a nivel regional las especies forestales de diablo fuerte (Podocarpus sp.), nogal (Juglans neotropica) y ulcumano (Retrophyllum rospigliosii) que se encuentran en peligro de extinción, en los distritos de Oxapampa, Villa Rica, Huancabamba, chontabamba, sectores de selva alta. Materiales y métodos. Se utilizó el diseño transversal descriptivo y exploratorio. Se programó salidas al campo, para identificar arboles madres, así como a sus propietarios de ellas se obtuvo informaciones a través de un cuestionario y autorización de ingreso a sus predios para seleccionar y evaluar las especies forestales para el estudio. Resultados. Las características básicas de los árboles encontrados como diámetro, altura de pecho, altura total, diámetro de copa, luminiscencia, concentración de dióxido de carbono y oxígeno, forma de fuste, humedad relativa, pendiente, altura total, altitud, temperatura, relieve, ramificación, vigor, sanidad y edad del árbol. Conclusiones. Se logró encontrar y seleccionar 11 ecotipos de árboles madre de diablo fuerte, 17 ecotipos de nogal y 16 de ulcumano.
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ELAIEB, Mohamed Tahar, Abdelhamid KHALDI, and Kévin CANDELIER. "IMPACTS OF LOCATION AND FORESTRY CONDITIONS ON SOME PHYSICAL AND MECHANICAL PROPERTIES OF NORTHERN TUNISIAN PINUS PINEA L. WOOD." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, no. 324 (March 17, 2015): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31267.

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Les pins Pinea sont utilisés depuis l’ère préhistorique pour leurs pignons de pin comestibles. Plus récemment, ces pins ont été introduits en tant qu’essence ornemen- tale dans les régions à climat méditerra- néen, où ils sont fréquents dans les parcs et jardins. Cependant, dans le Maghreb, ils se sont naturalisés au-delà des villes au point d’être classés comme essence inva- sive. De par ses dimensions (au moins 15- 20 m de hauteur et 30-40 cm de diamètre), Pinus pinea offre un potentiel intéressant comme source de bois d’œuvre en Tunisie. Cette étude visait à analyser les effets de la situation géographique et des conditions forestières sur certaines propriétés phy- siques et mécaniques du bois de Pinus pinea dans le nord de la Tunisie. Les échan- tillons analysés ont été recueillis dans qua- tre sites différents, sur 87 parcelles clas- sées selon la densité des arbres et les para- mètres de fertilité des sols. Des mesures de densité, de retrait et teneur en eau ont été effectuées sur chacun des échantillons, ainsi que des tests de résistance méca- nique. Les premiers résultats indiquent un rapport stable entre les dimensions et la densité du bois de Pinus pinea tunisien. Cependant, le module de rupture (MOR) en flexion et en compression est plus faible que pour d’autres résineux en Tunisie, quelles que soient la situation géogra- phique et la fertilité des sols. L’analyse de régression linéaire montre que la densité des peuplements est le seul paramètre ayant une influence significative sur la variabilité des propriétés du bois, à l’ex- ception de la stabilité dimensionnelle et le retrait volumique. Nos résultats indiquent que la densité croissante des peuplements de Pinus pinea est un paramètre forestier déterminant pour les propriétés physiques et mécaniques du bois de cette essence. Il y aurait ainsi intérêt à améliorer les condi- tions forestières pour obtenir un bois de meilleure qualité.
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Green, L. C. "The Judaic Contribution to Human Rights." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 28 (1991): 3–28. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800004082.

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SommaireDans tout système, un droit n'a de sens juridique que s'il donne lieu à des devoirs concomitants. En droit judaïque, les droits sont habituellement énoncés sous la forme "Tu ne . . . pas." Selon la loi mosaïque ancienne, en particulier telle qu'interprétée par les rabbins, le principe suprême était celui de l'universalisme, éloquemment évoqué par la constante réitération que le Dieu d'Israël était le créateur du monde entier. Ceci signifiait que même les personnes non-croyantes jouissaient de la protection de la loi. Un autre exemple de ce principe se retrouve dans le quatrième commandement, qui enjoint à quiconque, même les Gentils, les gens de service ou les animaux, de ne pas travailler, le jours du sabbat, car chacun a également droit à son jour de repos. Bien que l'esclavage existait à l'époque biblique, l'attitude à l'égard des esclaves fugitifs laissait présager la Déclaration d'émancipation et le mouvement de l'abolition de l'esclavage en Europe, car dès le début, il a été clairement énoncé qu'on ne devait pas retourner l'esclave en fuite chez son ancien maître ou son ancienne maîtresse.Alors que la loi mosaïque était d'orientation masculine, il y avait plusieurs prophétesses dans l'Israël ancienne, et l'on rappelait constamment aux Israélites leur obligation de veiller au bien-être des femmes, des enfants, des personnes âgées et des infirmes. Cette obligation était valable pour toute personne n'étant pas de religion juive qui vivait en territoire juif. Parmi les droits reconnus par la loi mosaïque et la loi talmudique, le plus important était celui à la vie. Malgré les préceptes œil pour œil et une vie pour une vie, les rabbins ont vite substitué ces règles fondées sur la loi du talion par une compensation monétaire ou autre pour le dommage causé. De plus, l'insistance sur les deux témoins lors d'un crime important, tel le meurtre et l'adultère, signifiait que la peine capitale n'était que très rarement imposée. En ce qui a trait aux contrevenants des asiles ou aux personnes en fuite, la loi mosaïque et les principes talmudiques furent les antécédents de la procédure moderne relative aux réfugiés, puisque des villes d'asile ont été créées et que les personnes y résidant jouissaient, en règle générale, des mêmes droits que les habitants locaux. Dans la même veine on trouvait l'obligation de payer une rançon pour les prisonniers; ce qui est toujours un élément clef de la procédure israélienne relative aux personnes détenues par les Forces de la défense israélienne. Maimonides avait donné plus de poids à ce devoir qu'à l'obligation de prêter secours aux pauvres.Les prisonniers ennemis devaient être traités avec humanité. Il n'y avait de devoir d'anéantir des villes et des populations ennemies que si la guerre était entreprise sur l'ordre exprès de Dieu. Autrement, on avait le devoir de ne pas porter atteinte aux femmes, aux enfants ou aux personnes âgées, bien qu'on pouvait dans certaines circonstances les prendre en captivité. Habituellement, la destruction de bétail et des arbres étaient interdite. Il y avait une obligation générale de protéger l'environnement, en temps de paix comme en temps de guerre. Cette obligation remontait à l'injonction faite à Adam de se vêtir et de préserver le Paradis.D'autres droits, maintenant enchâssés dans la Déclaration universelle des droits de l'homme des Nations Unies ou d'autres textes analogues, étaient normalement déjà reconnus dans la loi judaïque. Invariablement, ils étaient plus exigeants, puisqu'ils imposaient des obligations. En ce qui a trait aux développements modernes en matière de droits de la personne, il importe de souligner le rôle important joué par le peuple juif et les organisations juives dans la contestation de l'oppression en Europe ou dans le développement des concepts relatifs aux droits de la personne pendant et après la seconde guerre mondiale. Pensons, par exemple, à Lauterpacht, Lemkin, Schwelb et Cassin, ou encore à la Ligue anti-diffamation et à la B'nai Brith.
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Pujante González, Domingo. "Apertura: No hay palabras..." HYBRIDA, no. 5(12/2022) (December 27, 2022): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

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Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
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Diouf, Moctar. "Différenciation Socio-Spatiale des Pratiques et des Usages de la Végétation Ligneuse dans la Ville de Ziguinchor." European Scientific Journal ESJ 19, no. 41 (November 30, 2023). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n41p53.

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Par-delà les fonctions esthétiques, sociétales (aménités urbaines) et écologiques qu’on leur accorde généralement en ville, les arbres comestibles ou non, plantés ou spontanés présents dans la ville de Ziguinchor et sa périphérie rendent de nombreux services et biens à travers les usages qu’en font les habitants et les ressources qu’ils en attendent. Cet article étudie l’évolution et les principaux usages (alimentaires, médicaux et énergétiques) de la végétation ligneuse. Dans un contexte d’urbanisation accélérée de la ville de Ziguinchor et d’intensification des prélèvements de produits ligneux liées à la croissance de la population urbaine alimentée par la crise politique (conflit casamançais) et les crises climatiques (sécheresses des années 1970 et 1980). Depuis 1973, l’évolution de la végétation est plus marquée par le recul des ligneux dans le tissu urbain et péri-urbain de Ziguinchor (Diouf, 2022). La reconfiguration de la ville combinée aux choix des emplacements des ligneux par les habitants mettent en évidence différents types d’arbres - arbres de cour, arbres de devanture, arbres d’alignement, arbres d’espace public (jardin) et arbres spontanés – disséminés au sein et aux abords de la ville sous forme d’arbres isolés ou groupés. Les usages des arbres ont été décelés à l’aide d’enquêtes par entretiens semi-directifs menés auprès des habitants et des acteurs-décideurs ainsi qu’à l’observation directe du paysage végétal (terrain). Les relevés floristiques effectués ont permis de lister les principales espèces arborées identifiées grâce aux usages qu’en font les populations. Il ressort de cette approche, une différenciation des usages et des pratiques de l’arbre selon les quartiers (populaires ou aisés) et les catégories socio-professionnelles des habitants. Ainsi, dans les quartiers populaires, l’arbre est une ressource alimentaire (feuilles, fruits), énergétique (bois mort et chardon de bois), médicinale et en bois de service (clôture, charpente…) non négligeable pour les citadins démunis. Alors que dans les quartiers résidentiels aisés, l’arbre est particulièrement prisé pour ses rôles esthétique et écologique.
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Sikuzani, Yannick Useni. "Analyse spatio-temporelle des dynamiques d’anthropisation paysagère le long du gradient urbain-rural de la ville de Lubumbashi (Haut-Katanga, République démocratique du Congo)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 342 (November 15, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.342.a31725.

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Depuis le début des années 2000, la ville de Lubumbashi, au sud-est de la République démocratique du Congo, connaît une importante croissance démographique qui n'est malheureusement pas contrôlée. Il en résulte une expansion spatiale urbaine rapide et anarchique, tandis que les besoins alimentaires et énergétiques sont insuffisamment satisfaits. Comme corollaire, une importante détérioration de l’environnement est manifeste dans la région de Lubumbashi. À partir de la télédétection couplée aux outils d’analyse paysagère et de l’approche du gradient urbain-rural, la présente thèse a été initiée en vue de cerner la situation actuelle de la croissance spatiale urbaine à Lubumbashi et d’évaluer les impacts écologiques négatifs qui en résultent à multiples échelles spatiales. Les résultats ont révélé une nette progression du tissu urbain à toutes les échelles spatiales étudiées (plaine de Lubumbashi, ville et communes). Une périurbanisation importante de la ville a été relevée, mais aussi une densification du bâti entre 0 et 8 km du centre-ville. Dans la zone rurale, l’impact négatif de l’urbanisation s’est matérialisé par une importante diminution de l’aire de la forêt claire de miombo, dont l’ampleur augmente sur des courtes distances à la ville. Au sein de la zone (péri)urbaine, l’expansion du bâti a entraîné la dissection, la fragmentation et la suppression des espaces verts, entre autres les forêts (péri)urbaines. La création d’espaces verts boisés (péri)urbains n’a pas compensé l’ensemble de la perte enregistrée sur toute la période étudiée (1989-2014). Le long du gradient urbain-rural, l’aire des lambeaux d’espaces verts augmente de la zone urbaine vers la zone périurbaine, parallèlement à la diminution de leur nombre. Sur l’ensemble des espaces verts résiduels et créés, les espèces végétales exotiques – certaines étant invasives – demeurent dominantes, ce qui constituerait une menace pour la conservation de la flore indigène. Cependant, s’agissant des espaces verts boisés de la zone (péri)urbaine, ce sont les arbres et arbustes de la forêt claire du miombo qui restent dominants. La présence de ces arbres et arbustes est considérée comme une preuve d'un certain degré d’intégrité ou de régénération de certaines taches originelles de la forêt claire de miombo.
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Tollis, Claire. "Pour le meilleur et pour le pire ! Les arbres en ville peuvent-ils faire patrimoine ? Analyse des spatialités concurrentes arbres-riverains à Grenoble." VertigO, Hors-série 16 (May 23, 2013). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.13736.

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Roland, Lee Christopher. "Quand les arbres cachent la ville. Pour une analyse conjointe de la forêt de Soignes et du fait urbain." Brussels Studies, July 2, 2012. http://dx.doi.org/10.4000/brussels.1098.

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DUMAS, Yann. "Que savons-nous de l’Érable négondo Acer negundo L. ?" Naturae, no. 10 (November 27, 2019). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2019a10.

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Cet article fait le point sur les connaissances concernant l’Érable négondo Acer negundo L. en analysant le contenu de bases de données et de la littérature scientifique, soit un peu plus de 200 articles. Cet arbre est introduit en France depuis près de trois siècles. Il bénéficie d’une grande amplitude écologique, ce qui le rend apte à une utilisation en ville et en ornement. Doté de bonnes capacités de dispersion, il gagne les milieux rivulaires comparables à ceux qu’il occupe dans son aire d’origine pour devenir envahissant aux alentours des années 2000. Selon les modèles établis, les changements globaux devraient favoriser son développement. Son feuillage dense provoque des modifications du cortège floristique et limite la capacité de régénération des essences autochtones. Dans certains sites envahis, la diversité et la biomasse de la Flore du sous-bois sont fortement impactées. Ces modifications de la Flore ont en cascade un impact potentiel sur les autres maillons de la chaîne trophique. Le caractère allergène de son pollen peut causer des problèmes de santé en ville, mais les variétés plantées sont souvent des clones femelles n’induisant pas ce risque. Les chevaux sont en revanche sensibles à des intoxications en cas de consommation de samares. Des techniques de contrôle sont efficaces pour limiter son envahissement.
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Herrmann, Lilian. "Arbois au XVIIIe siècle : une petite ville vigneronne vue à travers ses recensements." Cahiers d’histoire, no. 43-3/4 (December 1, 1998). http://dx.doi.org/10.4000/ch.341.

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Bouvet, Rachel. "Les espaces interstitiels du végétal." Phantasia, 2020. http://dx.doi.org/10.25518/0774-7136.1170.

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Cet article s’intéresse à la relation étroite qui s’établit entre les espaces interstitiels et le végétal. Le terrain vague se caractérise par la prolifération des « mauvaises herbes », qui profitent de chaque espace laissé à l’abandon, de chaque craquelure de béton, pour s’implanter. Les chemins, les routes, les passages, les allées sont souvent bordés d’arbres ou d’arbustes, de fossés remplis de fleurs indigènes. Le seuil des habitations se trouve lui aussi matérialisé par les plantes : les pots de fleurs placés au bord des fenêtres ou des portes, les haies, les jardins, l’arbre ombrageant la maison, ou planté au centre de la cour, et ainsi de suite. Deux romans contemporains sont ici analysés : Trois femmes puissantes de Marie NDiaye (Gallimard, 2009) et Discours d’un arbre sur la fragilité des hommes d’Olivier Bleys (Albin Michel, 2015), à partir d’une approche géopoétique qui met à profit des notions de géographie (la frontière, l’habiter) et de botanique. Ces deux romans présentent un dispositif spatial similaire dans la mesure où l’arbre situé sur le seuil se substitue à l’habitation usuelle. Dans le premier cas, le flamboyant au seuil du récit, au seuil de la maison, semble constituer la véritable demeure de l’homme, demeure dont les frontières habituelles se dissolvent grâce aux indéterminations caractéristiques du réalisme magique. Dans le second, le point de vue privilégié est celui du sumac dépérissant, véritable témoin des transformations de la ville et de ses quartiers périphériques, ses racines retenant les défunts et le passé de manière à résister à la disparition de la mémoire et à la dissolution des lieux. L’analyse des parcours et des frontières met en évidence la tension entre immobilité (de l’arbre) et mouvement (des personnages, des feuilles, de la sève, de la laque…).
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Dahl, Karin, and Gunilla Lindqvist. "En språkverkstad för alla?" Högre utbildning 12, no. 1 (April 21, 2022). http://dx.doi.org/10.23865/hu.v12.3325.

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Artikeln syftar till ökad kunskap om en grupp språkverkstadspedagogers arbete med studenter, vilka riskerar studiesvårigheter till följd av en funktionsnedsättning. Frågeställningarna rör hur språkverkstadspedagogerna uttrycker jurisdiktion och arbetsfördelning i dels handledningssamtal, dels andra arbetsuppgifter med målgruppen. Dataunderlaget utgörs av 8 intervjuer. Resultatet visar att språkverkstadspedagogerna har starkast jurisdiktion i handledningssamtalen, där kunskap om studiesvårigheter samt delvis andra metoder och förhållningssätt anges som viktiga för att kunna möta just denna studentgrupp. I övriga arbetsuppgifter söker däremot inte språkverkstadspedagogerna jurisdiktion över den specifika målgruppen. De gör i stället anspråk på ett arbete med alla studenter, och det arbetet vill de dela med universitetslärarna. Här framstår jurisdiktionen som svag, då språkverkstadspedagogerna avgränsar sitt arbets- och kunskapsområde olika och beskriver svårigheter att förhandla sin roll i relation till universitetslärarna. Detta tolkas i artikeln kunna påverka deltagandet för studenter ur den breddade rekryteringen, däribland studenter i studiesvårigheter. Slutsatser är att språkverkstadspedagoger bör ges möjlighet att utveckla en gemensam professionsidentitet, där perspektiv på och kunskap om studenters olika sätt att lära bör ingå. Vidare behöver språkverkstaden få ett samverkande uppdrag i syfte att kunna bidra till utvecklingen av en inkluderande högskolemiljö, där nya studentgruppers perspektiv kan tillvaratas och alla studenter bereds lika möjligheter. Detta ligger i linje med två viktiga mål inom högre utbildning: excellens och rättvisa.
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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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Béchacq, Dimitri, and Hadrien Munier. "Vodou." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.040.

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Анотація:
Le vodou haïtien compte parmi les religions issues des cultures afro-américaines telles que les différentes formes de candomblé au Brésil, la santería et le palo monte à Cuba ou encore le culte shango à Trinidad. Le vodou partage certains aspects avec ces autres religions nées de la traite et de l'esclavage des Africains, façonné par l'histoire singulière de la société dans laquelle il est s'est formé. Tout au long de l’histoire haïtienne, le vodou a été marqué par des rapports étroits avec le champ politique et religieux. Entre mythe et histoire, à la fois réunion politique et religieuse, la cérémonie vodou du Bois-Caïman est passée à la postérité comme l’événement initiateur de l’indépendance d’Haïti proclamée le 1er janvier 1804. Nées dans le contexte esclavagiste de la colonie française de Saint-Domingue, les pratiques alors assimilées au vodou (fabrication de poisons, danses, assemblées nocturnes, etc.) étaient interdites. Au XIXe siècle, différentes constitutions privilégièrent le catholicisme au détriment du vodou jusqu’au Concordat de 1860 entre Haïti et le Vatican. Si certains dirigeants haïtiens comptaient dans leurs réseaux des serviteurs du culte, d’autres soutenaient les campagnes antisuperstitieuses menées par le clergé. L’Occupation américaine d’Haïti (1915-1934) provoqua un sursaut nationaliste : l’indigénisme et le mouvement ethnologique et folklorique placèrent alors les classes populaires et le vodou au centre d’une refondation culturelle, ce qui fut ensuite récupéré par François Duvalier avec le noirisme (Béchacq 2014a). En 1986, des officiants et des temples vodou furent attaqués à la suite de l’exil de Jean-Claude Duvalier du fait de leur relation étroite, avérée ou supposée, avec la dictature. Deux premières associations de défense et de promotion du culte, Zantray et Bodè Nasyonal furent crées. Un mouvement d’institutionnalisation du vodou se développa dans les années 1990 par des militants souhaitant représenter les pratiquants dans les instances publiques nationales. En 2003, le culte fut reconnu par décret comme « religion à part entière » et en 2008, une fédération d’associations vodou désigna son représentant, Max Beauvoir, comme « Guide Suprême du Vodou » et défenseur du culte contre ses détracteurs (Béchacq 2014b). Le catholicisme, les églises protestantes et plus récemment l’islam entretiennent des relations complexes avec le vodou. Son influence est combattue par les autorités religieuses, notamment protestantes, qui appellent à la lutte contre le vodou, poursuivant ainsi l’œuvre des campagnes antisuperstitieuses catholiques (fin XIXe-milieu XXe siècles). Parallèlement, plusieurs religions peuvent être représentées dans une même famille ; l’adhésion au vodou, comme aux autres cultes, peut constituer une étape dans un parcours religieux, d’autant qu’il existe des similitudes entre vodou et pentecôtisme (glossolalie, transe, etc.). Le vodou est réputé pour être fréquenté majoritairement par des femmes, comme espace de tolérance pour les homosexuels et il existe plusieurs niveaux de rapport au vodou, du client non initié au pratiquant assidu. Si ce culte a pendant longtemps symbolisé la bipolarité socioculturelle haïtienne (pauvres/riches, noirs/mulâtres, campagne/ville, créole/français, etc.), toutes les couches sociales sont aujourd’hui représentées dans le vodou. Les serviteurs sont organisés en familles spirituelles sous l'autorité charismatique d'un oungan ou d'une manbo et liés par une filiation initiatique. De ce fait, et par son mode de transmission principalement oral, le vodou haïtien connaît une grande variabilité d'un groupe à l'autre. Une diversité régionale du vodou se manifeste dans les identités des esprits, les rites, les chants, les rythmes musicaux, la liturgie, l’initiation et dans le rapport à la possession, certains rituels régionaux valorisant des transes plus expressives. Enfin, selon qu'il soit pratiqué en ville, et surtout à Port-au-Prince, ou en milieu rural, lieu de nombreux pèlerinages, le vodou affiche des différences importantes affectant le rapport aux entités, la sophistication des cérémonies ou le rapport à l'environnement. Cette diversité amène certains auteurs à considérer qu'il existe plusieurs vodou (Kerboull 1973). L’essentiel de la liturgie est issu de rites de possessions africains, origine que l’on retrouve dans les noms des lwa (Legba, Danbala, Ogou…), dans ceux de leurs familles ou nanchon (nation), ou encore dans ceux des rituels (Rada, Nago, Kongo...) (Métraux 1958). Pendant la période coloniale, les pratiquants – principalement des esclaves mais également, à différents degrés d’implication, des colons ou des « libres de couleur » – se sont aussi appropriés le catholicisme populaire européen par l'usage des chromolithographies et des prières. Les deux autres influences sont la magie – européenne, diffusée par la circulation de livres, et plusieurs variantes africaines – et la franc-maçonnerie. Par ailleurs, le contact des esclaves avec les premiers habitants de l’île et l’usage d’artefacts taïno (haches polies, céramiques) dans le vodou étant avérés, certains intellectuels y voient la preuve d’une influence sur le culte. L'ensemble de ces influences, sans cesse retravaillées par les dynamiques sociales, a fait du vodou une « religion vivante » (Bastide 1996) parmi les religions afro-américaines. Le vodou fait partie intégrante du pluralisme médical haïtien, aux côtés de la phytothérapie populaire, des doktè fey (docteurs feuilles), de la biomédecine et de certaines églises évangéliques (Brodwin 1996 ; Vonarx 2011 ; Benoît 2015). Pour effectuer leurs trètman (traitements), les praticiens vodou recourent systématiquement à leurs entités, dépositaires du savoir thérapeutique. Les rituels de guérison et les séances de consultation prennent en charge les maux physiques, relationnels et spirituels et comprennent des bains, des prières, des boissons et/ou la confection d'objets magiques (Munier 2013). Ils sollicitent parfois des lieux spécifiques (église, carrefour, cimetière) et des éléments de l’espace naturel (rivière, mer, arbre, grotte). Ces pratiques visent à intégrer le patient dans des collectifs composés d'entités et de pratiquants, reliés entre eux par des échanges mutuels témoignant de la dimension holistique du vodou qui associe étroitement médecine et religion, environnement social et naturel. La diaspora haïtienne – en Amérique du Nord, dans la Caraïbe et en Europe francophone – s’est formée dans les années 1960 et est actuellement estimée à 2 millions de personnes. Ces communautés d’Haïtiens, leurs descendants et leur pays d’origine sont reliés par des réseaux familiaux, économiques, politiques et religieux, dont ceux du vodou (Richman 2005). Ce dernier s’est adapté à de nouveaux environnements urbains et participe de cette dynamique transnationale (Brown Mac Carthey 2001) ; Béchacq 2012). Du fait de son fort ancrage dans la culture haïtienne et de son absence de prosélytisme, le vodou est surtout pratiqué dans ces nouveaux espaces par des Haïtiens et leurs descendants, ainsi que par des Caribéens et des Africains-Américains mais assez peu par d'autres populations.
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Rachik, Hassan. "Sainteté (culte des saints)." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.024.

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Le culte des saints réfère à un ensemble de rites et de croyances en rapport avec un dispositif sacré dans lequel le saint et son sanctuaire tiennent une place centrale. La tombe du saint et tout élément en rapport avec sa vie (lieu de retraite, source d’eau, arbre sacré, autel) et son corps (relique, trace de pied) font l’objet de pèlerinages privés et/ou collectifs (Dermenghem 1954 ; Van Gennep 1973 ; Turner 1979 ; Tambiah 1984 ; Rachik 1992 ; Chambert-Loir et Guillot 1995 ; Kerrou 1999). Les rites qui composent le culte des saints sont divers : invocations, allumer une bougie, immoler un animal, nouer un chiffon, acheter une amulette, etc. Ils représentent souvent une demande adressée au saint. Certains saints sont pour ainsi dire généralistes et peuvent être implorés pour différents avantages matériels ou spirituels alors que d’autres sont spécialisés dans des domaines déterminés (guérison de maladies mentales, fécondité, mariage, etc.). Le lien avec un saint peut être occasionnel et éphémère comme il peut être durable et structurel. C’est le cas, par exemple, de pays, de villes et de corporations qui ont leurs saints protecteurs. Parmi les plus célèbres citons Notre-Dame de Guadalupe à Mexico, Saint-Denis à Paris, Sidi Abou Madian à Tlemcen et les « sept saints » à Marrakech. Le culte des saints est expliqué en termes cognitifs en ce sens qu’une catégorie de croyants trouvent l’idée de Dieu si abstraite qu’ils éprouvent le besoin d’un sacré au ras du sol, d’un sacré qui se manifeste dans des objets familiers et concrets. Doutté écrit à cet égard que le culte des saints est « la revanche du cœur et de la fantaisie sur l’abstraction du monothéisme » (Doutté 1900 :11). D’autres chercheurs proposent des explications en termes sociologiques en soulignant les fonctions assurées par le saint ou ses représentants vivants. Par exemple, l’arbitrage des conflits et la sécurité des routes pour les voyageurs et les caravanes (Brown 1983; Gellner 1969). Le mot "culte" tend à être associé à tout mouvement ou conception accusés de déviation du dogme orthodoxe. Le mot arabe « ziara » reste neutre en ce sens qu’il ne réfère pas à l’idée d’adoration mais à celle de visite. Toutefois, dans la majorité des cas, le culte des saints est associé à un type de religiosité qui fait appel au corps du croyant, à la médiation personnelle, à l’émotionnel et à la prolifération du rituel. Il est rejeté par les adeptes d’une religiosité basée sur un lien spirituel et directe avec Dieu. Réformateurs et savants fondamentalistes ont rejeté le culte des saints en raison de l’absence de tout fondement scriptural et de sa contradiction avec le principe de l’unicité de Dieu. Cette tension entre deux types de religiosité recoupe, chez plusieurs auteurs (Gellner 1969 ; Weber 1995), une division de la société en deux catégories : illettrés/peuple/vulgaires/paysans vs. savants/lettrés/élite/citadins. Elle est fréquente dans l’histoire du christianisme, de l’islam et du judaïsme. Mais elle est plus visible actuellement dans certains pays musulmans où, durant ces dernières années, des mausolées de saints ont été détruits par des fondamentalistes radicaux. Certains chercheurs ont prédit la fin du culte des saints et de la vision du monde qui le sous-tend au profit d’une vision plus puritaine et plus rationnelle. Ce genre de prédiction si général et si décontextualisée ne peut être ni affirmée, ni infirmée. Nous pouvons simplement dire, à partir des monographies publiées sur le sujet, que les organisateurs du culte des saints semblent se maintenir en s’appuyant sur un discours qui se veut aussi orthodoxe. La vénération de saints est présentée comme étant conforme au dogme religieux et ne contredisant pas l’idée de l’unicité de Dieu.
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