Статті в журналах з теми "Anglais (langue) – Québec (Canada)"

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Braën, André. "La Cour suprême et l’accès à l’école anglaise au Québec." Revue générale de droit 35, no. 3 (November 10, 2014): 363–402. http://dx.doi.org/10.7202/1027261ar.

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Анотація:
L’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés confère aux parents qualifiés le droit constitutionnel de faire instruire leurs enfants aux niveaux primaire et secondaire dans la langue de la minorité de langue officielle de la province qu’ils habitent. La Cour suprême du Canada a récemment statué à l’encontre de trois pourvois relatifs à l’accès à l’école anglaise au Québec. La Cour devait, entre autres, vérifier si réserver l’accès à l’école anglaise aux seuls ayants droit définis dans la Charte de la langue française ne constituait pas une discrimination illicite à l’endroit des parents de la majorité francophone et donc, contrevenait à leurs droits à l’égalité et si, pour se qualifier, un parent ou un enfant devait avoir reçu en anglais la majeure partie de son enseignement primaire ou secondaire. L’auteur analyse et commente ces décisions et évalue leur impact aux plans québécois et canadien.
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Renaud, André. "Communautés ethniques et collectivités indiennes au Canada." Articles 4, no. 1 (April 12, 2005): 91–105. http://dx.doi.org/10.7202/055165ar.

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Анотація:
Le Canada, comme les États-Unis et tous les pays des deux Amériques, a été constitué par des immigrants. Exception faite des Indiens et des Esquimaux, lesquels à l'origine vinrent aussi d'ailleurs, la population canadienne est issue d'ancêtres anciens ou récents qui, à un moment ou l'autre des trois derniers siècles, émigrèrent d'Europe. Les premiers colons du pays vinrent de France, surtout des provinces de l'Ouest, et prirent racine le long des rives du Saint-Laurent jusqu'au-delà des Grands Lacs. Ils constituèrent un groupe homogène, vite considérable, intimement identifié au milieu canadien. Ils conservèrent une culture propre qui intégrait plusieurs traits fondamentaux de la culture du peuple français de l'Ancien Régime. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il y a, au Canada, deux groupements ethniques d'origine française : les Canadiens français proprement dits, qui occupent le Québec et l'est de l'Ontario ; les Acadiens des provinces atlantiques. Frères et non jumeaux identiques, les deux groupements ont étendu leurs rameaux partout au Canada. C'est en particulier le cas des Canadiens français dont on retrouve les paroisses, les écoles, les collèges et d'autres institutions dans toutes les provinces à l'ouest du Québec. L'expansion acadienne est plus récente et ne s'est pas encore clairement diversifiée de la prolifération strictement canadienne-française. Après la conquête de l'Acadie et de la Nouvelle-France par l'Angleterre, des immigrants de langue anglaise montèrent des colonies américaines, plus particulièrement après la révolution de 1776, et formèrent le loyal noyau autour duquel s'est constituée la collectivité canadienne d'expression anglaise. Cette dernière n'a jamais cessé par la suite de recevoir de nouvelles recrues venant directement de la Grande-Bretagne et des deux Mondes. La collectivité d'origine française et la collectivité d'expression anglaise se sont accrues dans leurs zones respectives d'occupation initiale, chacune projetant des ramifications sur le territoire de l'autre. Les groupements de langue anglaise à l'intérieur du Canada français ont cependant toujours joui d'une position privilégiée que leurs équivalents français dans le Canada anglais n'ont jamais connue. Cent ans après la conquête, les Canadiens français du Québec et les Canadiens anglais de l'Ontario et du reste du pays acquéraient le contrôle politique de leur développement communautaire respectif en formant des États semi-autonomes. Ceux-ci, en 1867, furent unis en une confédération qui devait s'acheminer rapidement et pacifiquement vers la souveraineté complète. Le peuplement du Canada par des groupes ethniques territorialement localisés se continua durant tout le XIXe siècle. Canadiens français et Canadiens anglais, colons français et colons britanniques, envahirent les plaines de l'Ouest. Les pionniers de langue anglaise devinrent vite numériquement majoritaires et assumèrent la direction politique de trois nouvelles entités provinciales, qui se formèrent dans cette vaste région du pays, nonobstant les efforts des Métis d'expression française à la Rivière Rouge et dans le district de Batoche. D'autres colons européens vinrent à leur tour, par groupes, dans les mêmes territoires, et y formèrent des communautés homogènes d'origine allemande, ukrainienne, polonaise, etc. Bien que dans le Canada de langue française comme dans le Canada de langue anglaise soient apparues assez tôt des villes à population homogène, dont quelques-unes existent encore, l'industrialisation du pays favorisa la croissance d'agglomérations urbaines qui devinrent vite cosmopolites par suite de l'invasion de populations appartenant aux divers groupes ethniques qui se sont dirigés vers le Canada au cours des derniers cent ans. Dans les villes en formation, ces vagues d'immigrants se regroupèrent selon leurs affinités culturelles et leur appartenance ethnique. En définitive, le territoire canadien a vu la formation et l'évolution de trois types principaux de communautés ethniques : 1° les deux grands groupements de base, anglais et français, structurés parallèlement, mais non d'une façon étanche, dans tous les domaines de l'organisation sociale et coopérant à titre de partenaires dans la formation d'un Etat souverain ; 2° les communautés ethniques homogènes localisées dans les régions rurales et intégrées dans les structures provinciales ; 3° enfin, les concentrations ethniques à l'intérieur des grandes agglomérations urbaines. Nous nous arrêterons principalement à ces deux dernières catégories, en nous référant à la première seulement dans la mesure où elle permet d'éclairer et d'interpréter celles-ci.
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Amyot, Michel, Mireille Baillargeon, Claire Benjamin, Jean-François Lachapelle, Yolande Lavoie, Robert Maheu, Victor Piché, and Michel Robillard. "La situation démographique du Québec à l’heure du référendum." Articles 9, no. 3 (October 27, 2008): 97–114. http://dx.doi.org/10.7202/600831ar.

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RÉSUMÉ L’article présente la situation démographique du Québec à l’heure du référendum en resituant son évolution dans le contexte démographique du Canada et des pays industrialisés. Le Québec et le reste du Canada constituent deux entités démo-linguistiques qui se différencient de plus en plus et qui se réfèrent chacune à un territoire bien délimité. Le premier, sous l’effet de la Charte de la langue française (mesure gouvernementale favorisant l’épanouissement de cette langue au Québec), devrait devenir de plus en plus français dans la composition de sa population comme dans sa langue de travail, des communications et de l’affichage. Le second devrait devenir, quant à lui, de plus en plus anglais par suite de l’assimilation grandissante de ses minorités francophones et de l’apport d’une immigration internationale importante qui vient grossir sa majorité anglophone. La population du Québec, comme celle de la plupart des pays industrialisés, est appelée à connaître une croissance lente et un vieillissement de sa structure par âge, situation qui ne présente pas que des désavantages mais qui implique certaines reconversions. Plus inquiétante sans doute est la perte relative de poids démographique du Québec dans l’ensemble canadien et ses conséquences politiques.
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Lord, Michel, and Nicole Côté. "La nouvelle québécoise et canadienne-anglaise: le spectacle d'une mosaïque." Recherche 39, no. 2-3 (April 12, 2005): 341–62. http://dx.doi.org/10.7202/057211ar.

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Au Canada anglais comme au Canada français, la nouvelle fleurit depuis longtemps, mais de manière apparemment fort divergente, surtout si on l'étudié sous l'angle des représentations spatiales. À la lecture de recueils publiés de 1930 à 1980, on se rend compte que l'effet produit est celui d'une mosaïque. Cela se traduit par des postures esthétiques qui elles-mêmes trahissent des positions existentielles différentes, selon que l'on appartient à un groupe ou à l'autre. Au Québec, la nouvelle problématise souvent le désencrage spatial, la dérive de l'espace lui-même, alors qu'au Canada anglais, lesnouvelliers mettent l'accent sur les mouvements dans l'espace. Ainsi, la nouvelle au Canada serait le lieu privilégié de la dichotomie biculturelle et binationale, la nouvelle de langue française illustrant le drame d'un espace qui échappe à un certain contrôle, alors qu'au Canada anglais, elle donne à voir le caractère insaisissable du Canada front coast to coast. L'imaginaire canadien dévoile une partie de ses secrets à travers le morcellement d'un genre, le texte narratif bref, qui se construit toujours lui-même comme le spectacle d'une mosaïque.
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Hayward, Annette. "La réception de la littérature québécoise au Canada anglais 1900-1940 : le rôle de la traduction." TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, no. 1 (July 29, 2003): 17–43. http://dx.doi.org/10.7202/006799ar.

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Résumé La nécessité de fixer des paramètres objectifs pour le projet de recherche CALQ sur la réception de la littérature québécoise au Canada anglais a entraîné entre autres une prise de conscience de la complexité des concepts de « réception », « littérature québécoise » et « Canada anglais ». Cet article, qui s’interroge sur le rôle de la traduction dans cette réception entre 1900 et 1940 – époque importante où la littérature canadienne décide de s’inventer en tant que polysystème conscient – arrive à la conclusion que, pour bien répondre à cette question, il faut problématiser également le sens du mot « traduction ». Il est évident que le rôle de la traduction a été primordial en suscitant de l’intérêt pour la littérature du Québec pendant cette période, comme l’illustrent éloquemment le « phénomène Maria Chapdelaine » et les statistiques de publication. Mais la quantité d’oeuvres non traduites dont il est question dans les périodiques et les manuels littéraires du Canada anglais oblige aussi à reconnaître l’importance d’autres facteurs tels que les « tandems littéraires » biculturels comme Lorne Pierce/Mgr Camille Roy, ainsi que la capacité de l’élite canadienne-anglaise de l’époque de lire des textes littéraires français fort complexes même si elle était souvent incapable de parler la langue. Tout ceci ne minimise en rien, cependant, l’impact idéologique au Canada anglais de la « traduction » : celle de Jean Rivard et de Maria Chapdelaine, bien entendu, mais aussi celle représentée par la poésie de l’habitant de William Henry Drummond ou les manuels d’histoire littéraire de Lorne Pierce, de Vernon Blair Rhodenizer et de Archibald MacMechan.
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Godard, Barbara. "La traduction comme réception : les écrivaines québécoises au Canada anglais." TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, no. 1 (July 29, 2003): 65–101. http://dx.doi.org/10.7202/006801ar.

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Résumé S'inspirant de la théorie de Pierre Bourdieu de la stratification violente du « champ de production culturelle » et de la théorie d'André Lefevere de la médiation hégémonique du patronage dans la survivance des oeuvres littéraires, cet essai analyse la ré-écriture de la littérature québécoise au Canada anglais par le biais des pratiques de traduction. Toronto (et New York) contribuent à la légitimation de la littérature québécoise : les maisons d'éditions anglophones choisissent ce que l'on traduit et qui le traduit — des processus de séléction qui ont féminisé la culture québécoise comme alternative au matérialisme américain. Les romans de Gabrielle Roy, Anne Hébert, et Marie-Claire Blais ont été intégrés pleinement au système littéraire anglo-Canadien où, ré-écrits comme « réalistes » et présentant une image d'un Québec unilingue anglais, ils ne circulent que dans le champ de grande production ou le champ de la production restreinte, addressés à la bourgeoisie. En dépit de l'hypothèse de Carolyn Perkes, cependant, l'écriture d'une génération féministe plus jeune (Nicole Brossard, France Théoret, etc.) n'a pas transformé les normes du champ littéraire cannadien-anglais. Un nouveau genre de « fiction/théorie» s'est développé au Canada anglais, mais il ne circule que dans le champ de production marginale (les presses féministe et d'avant-garde) sans la reconnaissance d'autres positions dans le champ culturel. En effet, dans cette fiction/théorie, la thématique du langage, qui met en relief l'asymétrie du pouvoir entre l'anglais et le français, a été fortement critiquée parce qu'elle enfreint les normes de la purété linguistique et du sens transparent qui structurent le champ de la production restreinte. Un dialogue entre féministes à travers les langues a influencé l'écriture des écrivaines québécoises pour qui le motif de la traduction informe quelques romans récents. Répondant par un jeux de variations à la violence d'une subordination symbolique, ces romans entreprennent le travail du deuil pour l'objet perdu (la mère absente, la langue unique) en employant la traduction comme une figure de perlaboration. La traduction n'implique pas la tragédie d'une perte de la langue, mais un excès carnavalesque de la répétition dans beaucoup de langues potentielles. La traduction constitue alors un accès privilégié à une créativité autre.
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Giroux, Dalie. "Littérature amérindienne du Québec. Écrits de langue française,." Canadian Journal of Political Science 38, no. 2 (June 2005): 490–92. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423905239999.

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Littérature amérindienne du Québec. Écrits de langue française,, Maurizio Gatti, (Préface de Robert Lalonde)., Montréal : Hurtubise HMH, 2004, 271 p.Les études littéraires portant sur les écrits amérindiens, en langues amérindiennes et en anglais, constituent depuis maintenant quelques années un champ intellectuel construit et créatif, animé principalement au Canada par les universités du Manitoba et de la Saskatchewan. Emma LaRocque et Thomas King œuvrent notamment depuis une trentaine d'années à rassembler, découvrir, faire connaître et traduire la littérature amérindienne et ses auteurs. Cette littérature s'est d'abord constituée comme une littérature de combat, un travail de décolonisation et de réappropriation (“ reinventing the ennemy's language ”, dira justement LaRocque à propos du passage des langues amérindiennes à l'anglais dans l'histoire de cette littérature), mais aussi comme un travail thérapeutique et comme le témoignage d'une expérience non documentée dans les livres d'histoire officielle. Cette littérature, devenue fiction, poésie, théâtre, humour, travail herméneutique, est maintenant, du moins dans le monde anglo-saxon, le fer de lance de ce qu'il n'est pas exagéré d'appeler la renaissance de la culture amérindienne. Ce corpus effervescent est donc d'un intérêt particulier pour les lecteurs de pensée et de théorie politiques, pour les artisans des cultural studies, pour les canadianistes et, pourquoi pas, pour les résidents de l'Amérique en général.
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Moyes, Lianne. "« Global/Local »." Dossier 30, no. 3 (December 8, 2005): 113–32. http://dx.doi.org/10.7202/011860ar.

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Résumé L’écriture anglo-québécoise a longtemps semblé isolée, tant du Québec de langue française que du Canada anglais. L’auteure propose ici une lecture d’oeuvres de Robyn Sarah, de Mary di Michele et d’Erin Mouré, qui cherchent à éviter un tel repli et qui s’engagent sur une scène globale imbriquée dans le local. Dans ces poèmes, le monde est filtré par des contiguïtés culturelles et religieuses de quartiers spécifiques, des histoires de migration dont certains noms de lieux portent la trace, et du mouvement entre le français, l’anglais et les autres langues de Montréal. Les différences entre les poétiques de ces auteures empêchent toutefois de considérer l’écriture anglo-québécoise comme une catégorie entièrement cohérente.
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Castonguay, Charles. "La répartition des non-répondants à la question sur la langue maternelle aux recensements de 1971 et de 1976." Cahiers québécois de démographie 7, no. 3 (January 7, 2009): 95–107. http://dx.doi.org/10.7202/600771ar.

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RÉSUMÉ Aux Canadiens n’ayant pas répondu à la question sur la langue maternelle au recensement de 1971, Statistique Canada a attribué une langue maternelle déclarée par un membre de leur famille immédiate ou par un voisin habitant le même secteur de dénombrement. Au recensement de 1976, par contre, on n’a effectué aucune attribution de langue aux non-répondants. Pour 1971, rien n’est connu ni sur le résultat du procédé d’attribution, ni sur le taux de non-déclaration de langue maternelle à un niveau autre que fédéral. Nous présentons cependant de nombreuses observations indiquant qu’en 1976 tout au moins, le taux de non-réponse a varié de façon significative selon la région et le groupe linguistique. En particulier, au Québec en 1976 les francophones auraient répondu le plus régulièrement à la question, alors que les groupes linguistiques ni anglais, ni français auraient accusé les taux de non-réponse les plus élevés. En comparant les résultats de 1971 et de 1976 au niveau provincial ou infra-provincial, il convient dès lors d’attribuer aux non-répondants de 1976 une langue maternelle sur une base aussi conforme que possible à la stratégie très locale d’attribution employée pour 1971. Pour suivre l’évolution intercensitaire des compositions linguistiques du Québec ou de Montréal tout particulièrement, il importe que Statistique Canada publie une répartition linguistique des non-répondants de 1976 qui serait obtenue par la même méthode qu’en 1971.
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Lachapelle, Réjean. "Quelques notes à propos de la comparabilité de la composition par langue maternelle aux recensements de 1971 et de 1976." Cahiers québécois de démographie 6, no. 3 (October 27, 2008): 93–136. http://dx.doi.org/10.7202/600749ar.

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RÉSUMÉ Plusieurs raisons inclinent à penser que les compositions par langue maternelle publiées aux recensements de 1971 et de 1976 sont loin d'être comparables. D’abord, il n’est pas invraisemblable que les recensés aient réagi différemment à la question sur la langue maternelle, par suite de changements dans le contexte socio-politique. Ensuite, Statistique Canada n’a pas utilisé les mêmes procédés pour attribuer une langue maternelle aux personnes qui n’en ont pas déclaré. Enfin, les règles de résolution des déclarations multiples de langue maternelle ont changé notablement de 1971 à 1976. Dès lors, nous avons dû corriger les compositions linguistiques de 1976 afin de les rendre approximativement comparables à celles de 1971. Les résultats que nous présentons ne sont évidemment pas définitifs. Nous croyons néanmoins avoir élevé le degré de comparabilité des compositions par langue maternelle des deux derniers recensements. En définitive, il semblerait que de 1971 à 1976 la proportion des personnes de langue maternelle anglaise a augmenté partout au Canada, sauf au Québec où elle a diminué, tandis que la fraction des francophones a régressé partout, sauf au Québec où elle a progressé.
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Baillargeon, Jean-Paul, and Michel De La Durantaye. "Le livre dans les quotidiens au Québec, ailleurs au Canada et dans certaines capitales, et la considération pour le livre national et étranger." Recherche 42, no. 1 (April 12, 2005): 33–52. http://dx.doi.org/10.7202/057414ar.

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La façon dont les journaux d'une société donnée traitent des ouvrages et des auteurs issus de cette société et la place qu'ils y accordent, dans leurs cahiers ou chroniques sur les livres et la littérature, sont symptomatiques du rapport que cette société entretient avec ses productions culturelles et celles d'ailleurs. Cet article analyse les traitements différents accordés au livre national et au livre d'ailleurs dans les quotidiens québécois de langue française, dans certains quotidiens du Canada anglais, dans quelques journaux de Bruxelles, de Genève, de Paris, de Londres et de New York.
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Grenier, Gilles. "Immigration, langues et performance économique : le Québec et l’Ontario entre 1970 et 1995." Articles 77, no. 3 (February 5, 2009): 305–38. http://dx.doi.org/10.7202/602354ar.

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RÉSUMÉ Cette étude contribue à deux courants de littérature relativement distincts : l’intégration économique des immigrants et les liens entre les attributs linguistiques et les revenus au Canada. L’analyse porte sur deux provinces canadiennes, le Québec et l’Ontario, et utilise les microdonnées des cinq recensements canadiens de 1971, 1981, 1986, 1991 et 1996. L’échantillon est divisé entre les non-immigrants et les immigrants (et parmi ces derniers entre ceux originaires de l’Europe et des États-Unis et ceux originaires du reste du monde) et entre les personnes parlant le français, l’anglais ou une autre langue à la maison. Dans un premier temps, on fait des comparaisons de traitements et salaires moyens en fonction des attributs de langue et d’immigration. On constate que les revenus relatifs des immigrants ont diminué dans le temps. Par ailleurs, les francophones ont amélioré leur situation économique, à la fois chez les immigrants et les non-immigrants, mais sans rattraper totalement les anglophones. Les personnes parlant des langues autres que l’anglais ou le français ont en général des revenus assez faibles. Dans un deuxième temps, on estime des régressions de gains pour voir les effets nets des attributs d’immigration et de langue. Les écarts entre francophones et anglophones sont plus faibles quand on ne considère que les effets nets, et en Ontario, ils sont même nuls ou en faveur des francophones. Une question intéressante concerne la performance économique des immigrants au Québec en fonction de leurs choix linguistiques. Les résultats montrent que les immigrants qui parlent français s’intègrent aussi bien que ceux qui parlent anglais. Malgré cela, il n’y a pas suffisamment d’immigrants qui s’intègrent à la communauté francophone pour assurer le maintien du poids démographique du français. L’auteur suggère que la politique canadienne d’immigration tienne compte de l’équilibre linguistique entre le français et l’anglais.
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Castonguay, Charles. "The Anglicization of Canada, 1971-1981." Language Problems and Language Planning 11, no. 1 (January 1, 1987): 22–34. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.11.1.03cas.

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RESUME L'anglicisation du Canada, 1971-1981 Les données sur l'adoption de l'anglais comme principale langue d'usage à la maison, recueillies aux derniers recensements, font voir un accroissement général de cette forme d'anglicisation parmi les minorités linguistiques canadiennes entre 1971 et 1981, en particulier au sein de la population francophone à l'extérieur du Québec. Au Québec même, la supériorité du pouvoir d'assimilation de l'anglais en regard du français s'avère au moins aussi grande en 1981 qu'en 1971. Le conflit fédéral-provincial concernant le statut à accorder au français aurait affaibli l'attrait du français comme langue d'usage au foyer au Québec. Dans l'ensemble, la politique fédérale des langues officielles n'a pas ralenti l'anglicisation de la minorité francophone au Canada. D'autre part, la politique fédérale du multiculturalisme n'a pas modifié la tendance à l'anglicisation des autres minorités linguistiques canadiennes. Pour éviter l'anglicisation ultime du Canada, la politique linguistique canadienne devra évoluer vers une forme plus territoriale de bilinguisme, prenant appui sur un Québec français et culturellement plus autonome. Sans davantage de contenu biculturel, voire binational, l'actuelle politique fédérale ne fait pas le poids face au pouvoir d'assimilation de l'anglais dans le contexte nord-américain. RESUMO La anglalingvigo de Kanado, 1971-1981 Inter ciuj lingvaj malplimultoj de Kanado kaj precipe la eksterkebekiaj franclingvanoj, oni plieme uzis la anglan kiel lacefan hejman lingvon inter 1971 kaj 1981, laù popolnombradaj statistikoj. En Kebekio la supera anigemeco de la angla kompare al la franca almenau tiomis en 1981 kiomenl971. Sajne, la konflikto inter la fédéra kaj provincaj registaroj pri la rolo de la franca igas gin malpli valora kiel hejman lingvon en Kebekio. Générale, la kanada programo pri oficialaj lingvoj ne sukcesis malrapidigi la anglalingvigon de la franca malplimulto. Ankaù la federa programo de plurkultureco ne aliigis la anglalingvigon de la aliaj malplimultoj. Por eviti la plenan anglalingvigon de Kanado, oni devos reprincipigi la kanadan lingvan programon, celante pli laùlokan (anstataû ciupersonan) dulingvecon helpe de kulture pli memstara Kebekio. Sen plia dunacieco kaj dukultureco, la nuna federa programo ne efïke kontraùas la anigeman potencon de la angla en nordamerikaj kondicoj.
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Gérin-Lajoie, Diane. "Analyse comparative du rapport à l’identité chez les jeunes des communautés de langue officielle au Canada." Francophonies d'Amérique, no. 30 (September 22, 2011): 109–29. http://dx.doi.org/10.7202/1005883ar.

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L’article porte sur le discours des jeunes sur la question du rapport à l’identité et du sens d’appartenance au groupe, dans le contexte des minorités de langue officielle au Canada. En constante évolution, le rapport à l’identité se voit influencé par les pratiques sociales des individus, pratiques qui elles-mêmes s’inscrivent dans des rapports de pouvoir particuliers. Dans le contexte des minorités de langue officielle au Canada, comment s’articule ce rapport à l’identité chez les jeunes ? Comment le contexte historique et social vient-il influencer la façon dont ils perçoivent leur rapport à la langue et à la culture minoritaires ? Les résultats qui servent à la présente analyse sont tirés de deux études ethnographiques d’une durée de trois ans chacune portant sur le rapport à l’identité chez les jeunes fréquentant les écoles de langue anglaise au Québec et les écoles de langue française en Ontario.
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Boissonneault, Julie, and Simon Laflamme. "Le décrochage culturel ou passer de l’école franco-ontarienne à l’école de langue anglaise." Nouvelles perspectives en sciences sociales 12, no. 2 (August 22, 2017): 101–61. http://dx.doi.org/10.7202/1040906ar.

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Au Canada français hors Québec, entre le début des études élémentaires et la fin du secondaire, une proportion importante d’élèves quittent les écoles de langue française pour s’inscrire dans les écoles de langue anglaise. L’objectif de cette recherche est d’expliquer le phénomène. Une enquête a été menée auprès d’élèves, de leurs amis, de leurs parents et de leurs enseignants. Elle a permis d’établir des variations selon les régions, de mettre en évidence l’incidence de la manière dont les élèves se perçoivent linguistiquement puis de repérer une idéologie linguistique et la manière dont elle circule.
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Caldwell, Gary, and P. Obermeir. "Émigration de la jeunesse anglophone." Articles 7, no. 2 (October 28, 2008): 3–24. http://dx.doi.org/10.7202/600763ar.

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RÉSUMÉ Il s’agit dans ce texte de décrire brièvement le contexte dans lequel est née l’enquête A.Q.E.M. sur la migration des jeunes anglophones hors du Québec, de présenter un sommaire du rapport dont le texte intégral est disponible à l’Université Bishop's, et enfin de discuter et de critiquer l’enquête du point de vue méthodologique. Nous commençons l’étude par une brève présentation de la méthodologie, une approche « longitudinale », par la délimitation géographique de la population visée et par la méthode d’échantillonnage. Les techniques de cueillette grâce auxquelles nous avons obtenu un taux de réponse de 87 % sont également mises en évidence. Nous enchaînons avec un survol des données en commençant par certaines caractéristiques de l’échantillon, notamment la composition par langue maternelle et la connaissance du français. Ensuite nous présentons les résultats, c’est-à-dire l’ampleur de l’émigration de la jeunesse anglophone hors du Québec. La proportion des jeunes qui quittent le Québec pour la période de l’enquête (cinq ans et demi) est évaluée globalement à 31 %. Nous examinons ensuite les données sur l’émigration selon la langue maternelle et la connaissance du français. Parmi d’autres constatations, nous remarquons que le taux d’« émigration » des sujets de langue maternelle « autre » (que l’anglais ou le français) est de beaucoup inférieur (19 %) a celui des personnes de langue anglaise (33 %). Puis il est question de la destination des émigrés et de l’année de leur départ. Après ce survol des résultats obtenus de l’enquête nous tentons de comparer ceux-ci avec les données de Statistique Canada, mais pour le lustre précédent. De plus nous comparons l’émigration interprovinciale des anglophones du Québec avec celle des populations des autres provinces. A la lumière des résultats de ces comparaisons on constate que la minorité de langue maternelle anglaise au Québec est et demeure extrêmement mobile. Finalement, pour ce qui est des données, un examen plus poussé des relations langue maternelle - connaissance du français - émigration, révèle que c’est la langue maternelle, plus que la connaissance du français qui influe sur la propension à quitter le Québec. Dans la toute dernière section, nous commentons certains aspects méthodologiques de l’enquête, et ceci à la lumière des données partielles du recensement de 1976. Dans cette critique, les auteurs font le procès d’une enquête sur la migration par voie d’échantillonnage.
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Laur, Elke. "Minorités majoritaires et majorités minoritaires : des oxymorons ?" Articles, no. 3 (June 26, 2013): 19–40. http://dx.doi.org/10.7202/1016686ar.

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Анотація:
La situation du Canada est unique au monde : deux minorités et deux majorités linguistiques se servent mutuellement de raison d’être. Les communautés de langue française et celles de langue anglaise se retrouvent officiellement minoritaires ou majoritaires selon qu’elles sont situées au Québec ou ailleurs. La démolinguistique reste centrale pour les définir. Simple de prime abord, le critère numérique se révèle des plus périlleux puisque très élastique selon les variables retenues. De plus, il fait abstraction de tout critère sociolinguistique. L’article préconise la nécessité d’un modèle plus complexe pour cerner le statut de minorité ou de majorité linguistique.
18

Landry, Rodrigue, Réal Allard, and Kenneth Deveau. "Bilinguisme et métissage identitaire : vers un modèle conceptuel." Articles, no. 3 (June 26, 2013): 56–79. http://dx.doi.org/10.7202/1016688ar.

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Анотація:
Plusieurs recherches montrent la forte présence d’une identité bilingue chez les jeunes francophones du Canada à l’extérieur du Québec. La présente étude propose un modèle conceptuel visant une explication de ce phénomène et présente les résultats d’une étude empirique pancanadienne. L’étude montre que lorsque la concentration territoriale des francophones (CTF) est forte, le métissage identitaire est surtout lié à l’attraction de la langue anglaise et reflète surtout des sentiments de compétence dans cette langue (bilinguisme d’attraction). Lorsque la CTF est faible, ce sont les sentiments d’appartenance à la communauté francophone qui constituent le principal marqueur de l’identité bilingue (bilinguisme de résistance).
19

Marcoux, Richard. "Deux solitudes ou One and a half ? La langue des articles cités en bibliographie comme illustration des pratiques scientifiques en sciences humaines au Canada et au Québec." Recherches sociographiques 59, no. 3 (April 18, 2019): 435–49. http://dx.doi.org/10.7202/1058722ar.

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Avec leurs institutions scientifiques, leurs universités et leurs revues anglophones et francophones, le Canada et le Québec offrent un terrain particulièrement riche pour étudier les modes de fonctionnement et les échanges au sein des milieux scientifiques des deux différentes communautés linguistiques. Dans un contexte international où la production du savoir en français est traversée par d’importantes tensions, que certains résument par l’expression «Publish or Perish», il est intéressant d’examiner l’interpénétration des idées et des apports de chacune des deux communautés. La publication d’un article dans une revue scientifique ou la présentation d’un projet de recherche dans le cadre d’une demande de subvention oblige, nécessairement, de faire le point sur ce qui a été écrit et publié sur le thème de recherche qui est traité. Cette synthèse de la littérature s’inscrit en quelque sorte dans la structure de la preuve de toute démarche de recherche et permet d’illustrer l’apport original ou nouveau d’une recherche, en sciences humaines et sociales notamment. C’est cet aspect de la production scientifique qui nous intéresse ici et ce à partir de deux corpus d’informations. Nous examinerons d’abord comment la jeune relève scientifique du Canada et du Québec s’inspire différemment des travaux produit en anglais et en français. Dans un deuxième temps, nous nous intéresserons spécifiquement au traitement des bibliographies des articles publiés dans deux revues scientifiques disciplinaire,Canadian Studies in PopulationetCahiers québécois de démographie.
20

Pelletier, Réjean. "Le militant du R.I.N. et son parti." Articles 13, no. 1 (April 12, 2005): 41–72. http://dx.doi.org/10.7202/055558ar.

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C'est au cours de son congrès national d'octobre 1968 que le Rassemblement pour l'Indépendance Nationale s'est sabordé. Né en septembre 1960 comme mouvement d'éducation politique et groupe de pression, le R.I.N. s'est transformé en parti politique au cours d'un congrès spécial tenu à Montréal en mars 1963. Durant plus de huit ans, quoique minoritaire sur la scène politique québécoise, le R.I.N. s'est imposé comme catalyseur de la question nationale et point de référence des partis traditionnels sur le plan constitutionnel. Ayant su profiter du déblocage provoqué par la « révolution tranquille », il fut en même temps un élément actif de cette révolution. Un certain nombre d'idées qu'il avait lancées au cours de sa brève existence ont marqué les partis politiques au pouvoir ou furent reprises, plus tard, par le Parti Québécois. Sans le R.I.N., le visage actuel du Québec serait probablement différent de ce qu'il est effectivement. Mais si le R.I.N. a pu marquer la vie politique québécoise, il s'insère aussi dans le vaste courant nationaliste qui a traversé le Québec au cours du vingtième siècle. D'un nationalisme que l'on pourrait qualifier de culturel où il s'agit avant tout de défendre la langue et la culture françaises en s'opposant aux provinces anglophones afin d'affirmer, de cette façon, la spécificité française du Québec, la province est passée peu à peu à un nationalisme politique qui s'est incarné surtout (après le nationalisme négatif de Duplessis) dans ce que l'on a appelé la « révolution tranquille ». Il s'agit désormais d'assurer la défense du fait français par la reconnaissance d'une nation canadienne-française et donc d'un statut spécial pour le Québec qui est « l'expression politique » du Canada français et le point d'appui de tous ceux qui parlent français au pays. Par la suite s'établit une distinction entre le Québec et le Canada français. De plus en plus, le Québec ne cherche pas à s'affirmer en s'opposant au Canada anglais, mais à se définir par rapport à lui-même. Il n'est plus question du sort des minorités françaises en dehors du Québec que certains qualifient de combat sans issue, mais des pouvoirs nécessaires à l'État du Québec pour assurer sa survie et favoriser l'organisation et le développement de la vie collective des Québécois. Le R.I.N. a traversé une courte phase de nationalisme culturel au cours des années 1960 et 1961. Mais il s'inscrit aussi, dès sa fondation, dans le courant du nationalisme politique en réclamant l'indépendance du Québec. Bien plus, il fut pour ainsi dire l'incarnation même de ce courant en servant de point de référence aux autres partis politiques. Cependant, sous l'influence conjuguée de Pierre Bourgault à la tête du R.I.N. à partir de mai 1964 (et plus tard, d'Andrée Ferretti) et de revues à caractère socialiste comme Révolution québécoise et Parti pris, le nationalisme politique se mue progressivement en nationalisme socio-économique. Dès lors, l'indépendance politique devient un moyen pour la réalisation du mieux-être des Québécois et pour leur libération de l'emprise « capitaliste » autochtone et de la domination « impérialiste » américaine. Il s'agit d'assurer avant tout le développement social et économique du Québec au bénéfice de la collectivité québécoise tout entière et non pas de la seule bourgeoisie, qu'elle soit de langue française ou de langue anglaise. Sous cette optique, pour certains groupes, le socialisme doit passer avant l'indépendance. En d'autres termes, on est indépendantiste parce qu'on est socialiste — l'indépendance du Québec permettant l'établissement d'un socialisme véritable — et non pas l'inverse. Au sein du R.I.N., le nationalisme politique se double rapidement du nationalisme socio-économique. Le parti, en effet, va s'employer non seulement à réclamer l'indépendance politique du Québec, mais aussi à élaborer et faire connaître un programme ambitieux de développement économique et social pour le futur Québec indépendant. On pourrait ajouter que là aussi le R.I.N. fut un élément moteur de ce nouveau nationalisme, bien que le caractère socialiste de son programme fût nettement moins accusé que celui d'autres groupements de moindre importance et plutôt marginaux. Ce mariage du national et du social s'est surtout opéré au moment où le R.I.N. est devenu parti politique et a songé, de ce fait, à se doter d'un programme qui soit différent de celui des partis traditionnels. C'est donc sur cette toile de fond que s'inscrit le développement du R.I.N. au cours des années 1960-1968. C'est dans ce climat politique général qu'il convenait de le situer afin de mieux comprendre, par la suite, l'action des militants au sein du parti et la perception globale qu'ils avaient de leur propre formation politique.
21

Anisef, Paul, Jean-Guy Blais, Marie Mc Andrew, Charles Ungerleider, and Robert Sweet. "Performance et cheminement scolaires des jeunes d’origine immigrée au Canada : apport actuel et utilisation des banques de données provinciales." Cahiers québécois de démographie 34, no. 1 (March 9, 2006): 173–85. http://dx.doi.org/10.7202/012520ar.

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La recherche présentée ici concerne la performance et le cheminement scolaires des jeunes Canadiens d’origine immigrée, aux niveaux primaire et secondaire, et porte sur les banques de données recueillies par les ministères de l’Éducation ou les conseils ou commissions scolaires du Québec, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique. Son objectif est de réaliser un bilan critique de l’état des données, de contraster les conclusions d’études menées à partir d’elles et d’identifier les lacunes existantes en vue d’un projet pancanadien plus large. Diverses questions pourraient être éclairées par l’une ou l’autre des banques, tels les sous-groupes d’origine immigrée qui devraient recevoir un soutien prioritaire, les moments charnières où se joue leur scolarité, le lien entre la durée du soutien en langue seconde et la performance des élèves allophones, ainsi que la différence des défis vécus dans les écoles de langue française ou de langue anglaise, et dans les métropoles ou en région.
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Castonguay, Charles. "Apport de l’immigration aux populations francophones hors Québec1." Les visages de la vitalité des francophonies en Amérique, no. 26 (September 15, 2009): 235–47. http://dx.doi.org/10.7202/037983ar.

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Résumé Nous évaluons d’abord le déficit entre les générations et l’apport de l’immigration à chacune des populations provinciales francophones. Puis nous comparons le taux d’anglicisation des francophones immigrés à celui des francophones nés au Canada. Il en ressort qu’à l’extérieur du Nouveau-Brunswick, de l’est et du nord-est de l’Ontario, les immigrés francophones s’anglicisent très rapidement dès la première génération, au point d’alimenter davantage la population de langue anglaise que celle de langue française. Il conviendrait, par conséquent, de mieux cibler la politique canadienne d’immigration francophone en orientant cette denrée rare vers les populations francophones qui font preuve de la vitalité linguistique la plus grande, mais qui accusent les déficits intergénérationnels les plus importants en chiffres réels, soit celles du Québec, du Nouveau-Brunswick, de l’est et du nord-est de l’Ontario.
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Harvey, Fernand. "La presse périodique à Québec de 1764 à 1940." Zone libre, no. 58 (February 28, 2012): 213–50. http://dx.doi.org/10.7202/1008122ar.

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La longue période d'un siècle qui s'étend de la Conquête à la Confédération de 1867 a vu naître et se développer la presse périodique à Québec. Le journal imprimé jouera un rôle clé dans les débats politiques, la formation d'une opinion publique et l'ouverture au monde. Il contribuera également au développement de la lecture et à l'émergence d'une littérature nationale, à une époque où l'édition de livres canadiens demeurait à l'état embryonnaire. De la Confédération à la seconde guerre mondiale, la presse périodique à Québec connaît une expansion et une diversification encore plus considérables, compte tenu de l'augmentation de la population et des progrès de l'alphabétisation et de la scolarisation. Les débats idéologiques entre libéraux, conservateurs et ultramontains se reflètent dans la presse francophone de Québec au cours du dernier tiers du XIXe siècle. L'avènement de la presse à grand tirage, entre 1900 et 1940, amène une diminution du nombre de quotidiens et une polarisation entre la presse libérale et la presse catholique. Quant aux journaux de langue anglaise dont la vitalité et l'influence sont considérables tout au long du XIXe siècle, ils connaissent un déclin rapide au cours des premières décennies du XXe siècle. Par ailleurs, la ville de Québec s'affirme comme la capitale intellectuelle du Canada français traditionnel avec ses nombreuses revues religieuses, culturelles et scientifiques.
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Veltman, Calvin J. "Les incidences du revenu sur les transferts linguistiques dans la région métropolitaine de Montréal." Article 17, no. 3 (April 12, 2005): 323. http://dx.doi.org/10.7202/055724ar.

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Les données les plus complètes que nous possédions sur le revenu, le groupe ethnique et la langue proviennent de la Commission royale d'enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme. D'après ces données tirées du recensement canadien de 1961, ce sont les membres de la communauté juive qui ont les meilleurs revenus au Québec. Le groupe ethnique anglais vient en deuxième, suivi des divers groupes allophones, puis viennent les francophones et les Italiens, ces deux derniers groupes ethniques ayant des revenus bien inférieurs à la moyenne. La Commission d'enquête a en outre démontré que les unilingues anglais avaient des revenus nettement supérieurs aux Québécois bilingues, lesquels avaient à leur tour un revenu plus élevé que les unilingues français. Deux études plus récentes confirment qu'il existe toujours une disparité de revenus entre les anglophones et les francophones. Selon une étude effectuée en 1971 par la Commission Gendron, la proportion des postes détenus par les anglophones augmente à mesure que s'élèvent les revenus. Cette étude reposait toutefois sur un échantillon d'employés d'entreprises et nous ne savons pas quel est le rapport entre cet échantillon et l'ensemble de la population. Une autre étude, réalisée en 1976 pour le Montréal Star, révèle d'importantes disparités de revenus en faveur des anglophones, mais elle suggère néanmoins que le fossé se serait quelque peut comblé ces dernières années. Ces données risquent toutefois, d'être faussées à cause du libre choix des répondants. Les données sur lesquelles se fonde la présente étude sont tirées de tabulations spéciales provenant du recensement canadien de 1971. Les données de 1971 recueillies par Statistique Canada sont supérieures à celles des recensements précédents tant par leur étendue que par leur qualité. Comme elles reposent sur un échantillon du tiers de la population, elles permettent d'éviter en quelque sorte les erreurs dues au libre choix et les difficultés d'échantillonnage. La supériorité du recensement de 1971 vient en outre de ce que pour la première fois se posait la question de la langue le plus fréquemment parlée à la maison. En comparant les réponses à cette question avec les réponses à la question sur la langue maternelle, il est possible d'évaluer la portée des transferts linguistiques sur la composition de la population. Ces estimations peuvent se faire directement à partir du recensement de 1971, sans devoir recourir à des comparaisons longitudinales avec les recensements antérieurs. Nous entendons en premier lieu dans la présente étude, établir la relation langue et revenu dans la région métropolitaine de recensement de Montréal, en comparant dans la mesure du possible les données de 1971 avec celles qu'a publiées la Commission Laurendeau-Dunton sur le bilinguisme et le biculturalisme. En deuxième lieu, nous présenterons des données sur les transferts linguistiques entre les francophones, les anglophones et les allophones. Et enfin, nous proposerons des interprétations et tenterons d'apporter des conclusions d'ordre politique.
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Pilote, Annie, Marie-Odile Magnan, and Karine Vieux-Fort. "Identité linguistique et poids des langues : une étude comparative entre des jeunes de milieu scolaire francophone au Nouveau-Brunswick et anglophone au Québec." Nouvelles perspectives en sciences sociales 6, no. 1 (February 8, 2011): 65–98. http://dx.doi.org/10.7202/1000483ar.

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Cet article porte sur la construction identitaire en milieu linguistique minoritaire au Canada. Partant d’une démarche qualitative comparative entre des jeunes d’un milieu scolaire francophone au Nouveau-Brunswick et anglophone au Québec, il examine les processus à travers lesquels les jeunes construisent leur identité linguistique, c’est-à-dire à travers une négociation entre leur définition subjective de Soi et des identités transmises par Autrui (en particulier la famille et l’école). Les résultats sont présentés à partir de configurations identitaires liées au type de familles dont sont issus les jeunes interrogés : endogames majoritaires, endogames minoritaires et exogames (français et anglais). L’analyse démontre que si l’identification « bilingue » est présente chez les deux groupes de jeunes étudiés, les enjeux qui s’y rattachent varient en fonction du poids relatif de l’anglais et du français dans l’environnement nord-américain.
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Sing, Pamela V. "Un texte construit au travers de cultures, langues, frontières, genres et médias : « Le loup-rougarou » de Lise Gaboury-Diallo." Articles, essais 25, no. 1-2 (July 30, 2014): 43–58. http://dx.doi.org/10.7202/1026086ar.

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Depuis la parution en 2004 de Littérature amérindienne du Québec : écrits de langue française, édité par Maurizio Gatti, la littérature produite par des écrivains autochtones d’expression française du Québec n’est plus un domaine inconnu. Certes, il en va autrement dans le « reste du Canada » où, si le domaine de la littérature amérindienne d’expression anglaise est connu et étudié, les connaissances concernant les écrivains amérindiens d’expression française se limitent généralement à l’oeuvre respective de deux individus : Pierre Falcon et Louis Riel. Or, ces seuls noms indiquent que, si une telle littérature existe, elle serait la création d’écrivains franco-canadiens d’ascendance métisse. Ceux-ci ne sont pas nombreux, voire d’une extrême rareté, d’où l’intérêt et l’importance de l’objet de cet article qui visera à faire connaître un aspect peu étudié jusqu’ici chez une écrivaine bien connue dans le milieu franco-canadien de l’Ouest, mais en tant que Franco-Manitobaine. Lise Gaboury-Diallo, professeure de littérature à l’Université de Saint-Boniface, est une poète et une nouvelliste primée qui est aussi essayiste et critique littéraire. En décrivant un projet d’écriture collectif auquel je travaille depuis 2008 et en racontant la façon dont j’en suis venue à inviter Lise Gaboury-Diallo à y participer, j’ai l’intention de faire connaître un aspect moins connu de son portrait et de son écriture, à savoir la construction dans son écriture de ses liens avec son ascendance amérindienne.
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Heraud, Guy. "Review of Woehrling (1993): La Constitution canadienne et l’évolution des rapports entre le Québec et le Canada anglais de 1867 à nos jours." Language Problems and Language Planning 18, no. 2 (January 1, 1994): 159–60. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.18.2.15her.

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28

Paillé, Michel. "Attraction des deux principales langues d’enseignement sur les divers groupes linguistiques au Québec, 1969-1970 à 1980-1981." Articles 10, no. 3 (October 27, 2008): 397–425. http://dx.doi.org/10.7202/600860ar.

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RESUME Afin de mesurer l’attraction des deux grands réseaux d’enseignement du Québec — français et anglais — sur les différents groupes linguistiques (français, anglais, autres), l’auteur compare les données scolaires annuelles disponibles à une situation théorique où le choix de la langue d’enseignement n’aurait aucun effet à long terme sur le poids relatif des deux principales communautés linguistiques du Québec. L’indice d’attraction générale des écoles françaises et anglaises montre que, pour l’année scolaire 1980-1981, le réseau français accuse encore un déficit de 3 % tandis que le réseau anglais accueille toujours 21 % plus d’élèves que la situation théorique le permettrait. Bien que depuis 1979-1980 l’école française attire un peu plus d’enfants de langue maternelle anglaise que l’école anglaise reçoit d’élèves de langue maternelle française, l’école de la majorité demeure encore loin derrière celle de la minorité anglophone en ce qui a trait à la langue d’enseignement des Allophones. En effet, la proportion des Allophones étudiant en français ne dépasse pas encore 50 % de la population attendue tandis qu’on compte toujours 5 fois plus d’Allophones inscrits dans les écoles anglaises que ne le permettrait l’hypothèse retenue. Au rythme où évoluent les clientèles, ce n’est qu'à la fin de la présente décennie que les écoles françaises recevront un nombre d’élèves Allophones égal aux effectifs attendus.
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Duchesne, Louis. "L’exogamie et les transferts linguistiques au Québec." Articles 7, no. 1 (October 27, 2008): 5–25. http://dx.doi.org/10.7202/600758ar.

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Nous présentons d’abord la répartition des mariages de 1975 selon la langue maternelle des conjoints. Il y a 21 % des époux anglophones et 24 % des époux allophones qui ont choisi une épouse francophone. Nous analysons ensuite les familles recensées en 1971 où les deux conjoints sont présents et pour lesquelles nous connaissons la langue maternelle de chacun des conjoints et la langue d’usage au foyer. Les couples endogames utilisent dans la très grande majorité des cas leur langue maternelle. Cependant, il y a un certain nombre de couples qui ont fait un transfert linguistique et nous avons estimé qu’à peu près le tiers des transferts proviennent d’individus endogames. Il y a 3,5 % des couples où l’un des conjoints est français et l’autre anglais et ces couples utilisent l’anglais dans 60 % des cas.
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Paquet, Gilles. "Hubert Guindon, hérisson." Critique 30, no. 2 (April 12, 2005): 273–83. http://dx.doi.org/10.7202/056441ar.

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Hubert Guindon a analysé mieux que quiconque l'émergence d'une nouvelle classe moyenne au Québec et il a fait de cette hypothèse la poutre maîtresse de son analyse du Québec entre 1955 et 1985. Cependant, cette pensée vigoureuse et originale s'essouffle lorsqu'elle déborde vers l'histoire ou vers la prospective. L'accueil très différent qu'on a réserve à ses travaux au Québec français et au Canada anglais peut s'expliquer par certains simplismes dont son hypothèse centrale était entourée (et qui ont séduit le Canada anglais) autant que par la démythification qu'opérait Guindon de la grande épopée que l'intelligentsia québécoise était en train de vivre.
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Landry, Rodrigue, and Réal Allard. "Bilinguisme et construction identitaire d’élèves d’écoles de langue anglaise au Québec." Articles, no. 7 (May 19, 2016): 18–47. http://dx.doi.org/10.7202/1036415ar.

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Langue globale et « hypercentrale » (de Swaan, 2001), l’anglais est la lingua franca internationale et pourrait devenir la langue seconde commune à tous les locuteurs des autres langues. Selon de Swaan, les anglophones ont peu tendance à apprendre d’autres langues. Le Québec est un endroit particulier où l’anglais est à la fois langue majoritaire du pays et langue minoritaire provinciale. À partir des données d’une enquête réalisée auprès d’un échantillon de deux mille élèves d’écoles québécoises de langue anglaise du niveau secondaire (Landry, Allard et Deveau, 2013b), l’article analyse leurs vécus langagiers en anglais et leurs dispositions envers la langue anglaise en fonction de la concentration territoriale des anglophones et vérifie la validité d’un modèle théorique de l’effet de ces vécus. Il conclut que les mêmes principes sociolinguistiques s’appliquent aux deux minorités de langue officielle, mais que la communauté anglophone constitue une minorité avantagée par le fait qu’elle parle la langue la plus puissante de l’humanité.
32

Junker, Marie-Odile. "Syntaxe du quantifieur universel en algonquin." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 39, no. 1 (March 1994): 1–13. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100014821.

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Le but de cet article est d’étudier les caractéristiques syntaxiques du quantifieur universel kakina (‘tous’/‘chacun’) en algonquin, un dialecte ojibwe parlé au sud-ouest du Québec. J’examine la diversité des positions que peut occuper le quantifieur kakina dans la phrase simple ainsi que ses possibilités d’interprétation. Je recherche quels méchanismes syntaxiques ou morphologiques permettent de relier le quantifieur à ses arguments. Les données présentées ici ont été élicitées et reconfirmées auprès d’une locutrice de langue maternelle algonquine, bilingue algonquin-anglais, agée d’une cinquantaine d’années, vivant et enseignant à Kitigan-Zibi (Maniwaki, Québec) et employant sa langue quotidiennement.
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Blais, André. "Le clivage linguistique au Canada." Recherche 32, no. 1 (April 12, 2005): 43–54. http://dx.doi.org/10.7202/056578ar.

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L'ampleur du clivage linguistique au Canada se révèle en comparant les attitudes des francophones, des anglophones et des allophones, au Québec et dans le reste du pays, à l'égard de trois dimensions de la vie politique canadienne: identité nationale, orientations partisanes et sentiment envers les Canadiens anglais, les Canadiens français et les Américains. L'écart fondamental distingue les Québécois francophones des non-francophones du reste du Canada. Les sentiments mutuels entre francophones et anglophones ne sont ni très chaleureux ni très froids. Les divisions les plus profondes se manifestent à propos de la place du français. Enfin, l'adoption par le gouvernement du Québec de la loi 178 ne semble guère avoir influé sur les sentiments des Canadiens anglais envers les Canadiens français.
34

Dufour, Christian. "L’autre vision du Canada." Tocqueville Review 21, no. 2 (January 2000): 101–7. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.21.2.101.

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Il y a un siècle, le premier Canadien français à devenir premier ministre du Canada, Sir Wilfrid Laurier, exhortait les Canadiens anglais de l’époque à se sentir un peu moins britanniques et membres de l’Empire, davantage Canadiens, comme leurs compatriotes de langue française l’étaient déjà depuis le début du XVIII siècle.
35

AULITTO, Sabrina. "French life insurance lexicography in Canada." JOURNAL OF ADVANCES IN LINGUISTICS 6, no. 2 (January 30, 2016): 950–58. http://dx.doi.org/10.24297/jal.v6i2.5174.

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In Canada, insurance terminology has long been living a linguistic emergency situation. This paper proposes the study of three different lexicographical works written by French authors of Canadian origin, aimed at normalizing the use of this lexicon. This need started at the end of 19th century, as testified by the Dictionnaire franais-anglais et anglais-français sur la vie written by Naraire Payette. This tradition had its great development in the 1960s, when translators and terminologists launched the refrancization project of the insurance sector, promoted by the Office de la langue franaise.
36

Bowker, Lynne. "Repérage et analyse de l’information sur la santé dans Internet : le cas des CLOSM dans la province de l’Alberta." Francophonies d'Amérique, no. 28 (November 29, 2010): 175–95. http://dx.doi.org/10.7202/044988ar.

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La présente étude examine, dans le contexte des langues officielles, quelques-uns des besoins insatisfaits des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM) au Canada sur le plan de la santé. Nous présentons les résultats d’une analyse de l’information sur la santé offerte dans Internet aux francophones de l’Alberta. Nous avons procédé à une évaluation comparative de l’information sur la santé destinée à la population albertaine en français et en anglais dans Internet. En présentant les résultats, cette analyse compare le nombre de textes en français et en anglais et se penche sur la qualité de la langue des textes en français.
37

Paillé, Michel. "Succès et faiblesses de l’intégration des immigrants par la scolarisation obligatoire en français au Québec." Language Problems and Language Planning 43, no. 2 (July 22, 2019): 135–58. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.00039.pai.

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Résumé Centré sur la langue d’enseignement, ce bilan de la Charte de la langue française (loi 101) fait état de la connaissance, de l’apprentissage et de l’usage du français. Il montre que cette loi s’est avérée très efficace pour conduire les enfants des immigrants dans les écoles françaises plutôt que dans celles du réseau scolaire anglophone. Malgré cette réussite, illustrée par des comparaisons avec l’Ontario, l’anglais exerce encore une forte attraction. C’est le cas notamment des jeunes qui, entreprenant des études collégiales, profitent d’une pleine liberté pour poursuivre leurs études en anglais. L’auteur aborde également la politique de sélection d’immigrants francophones, ainsi que le programme de francisation des immigrants ne connaissant pas le français. Absentes de la loi 101, ces importantes mesures sont les éléments les plus faibles de la politique linguistique québécoise. Enfin, l’auteur constate que l’apprentissage de l’anglais chez les francophones s’est poursuivi comme prévu, mais note que de nombreux francophones bilingues s’expriment spontanément en anglais devant des personnes sachant pourtant parler français. Inspiré par Max Weber, l’auteur conclut que « l’honneur linguistique » n’est pas encore au rendez-vous.
38

Jolivet, Simon. "Survol d’une historiographie irlando-québécoise en développement." Mens 9, no. 1 (February 21, 2014): 81–115. http://dx.doi.org/10.7202/1022821ar.

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Depuis peu, des colloques et des publications ont agité le monde de l’historiographie irlando-québécoise en y insufflant une vigueur nouvelle. Les recherches récentes se concentrent sur deux axes principaux : celui de la comparaison Irlande et Québec et celui des relations intranationales qui ont eu cours depuis les années 1820 entre Irlando-Québécois et Canadiens français. L’univers académique irlando-québécois est en voie de retoucher les thèses révisionnistes irlando-canadiennes — bien établies au Canada anglais depuis le début des années 1980 —, en plus de corriger certaines lacunes historiographiques au sujet du Québec. La première moitié de l’article tracera l’évolution de l’historiographie irlando-québécoise, justement en rapport avec celle du Canada anglais. La deuxième moitié, davantage portée sur les questions politiques, visera à éclairer le potentiel de ce champ académique encore en développement.
39

Lavoie, Marc, and Maurice Saint-Germain. "Disparités linguistiques de revenu au Canada selon la langue parlée à la maison." Articles 67, no. 3 (February 27, 2009): 356–80. http://dx.doi.org/10.7202/602042ar.

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RÉSUMÉ Les données des recensements de 1981 et 1986 démontrent que les écarts bruts de revenus entre francophones et anglophones sont beaucoup plus substantiels lorsqu’on considère les revenus totaux plutôt que les revenus de travail. Cet écart défavorable aux francophones est nettement accentué si la base linguistique est la langue parlée à la maison plutôt que la langue maternelle, partout sauf au Québec. La tendance à la baisse des écarts de revenus au Québec a connu un temps d’arrêt entre 1980 et 1985, contrairement au Canada hors Québec. Lorsqu’on tient compte de l’âge et de la scolarité, les écarts restent généralement favorables aux anglophones, sauf au Québec, où ces écarts nets varient dans un sens ou dans l’autre.
40

Castonguay, Charles. "La cassure linguistique et identitaire du Canada français." Recherche 46, no. 3 (August 14, 2006): 473–94. http://dx.doi.org/10.7202/012474ar.

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Depuis la dislocation du Canada français dans les années 1960, une divergence se creuse entre ses éléments. Alors que la vitalité du français, langue principale à la maison, se renforce au Québec et au Nouveau-Brunswick, elle s’affaiblit ailleurs au Canada. De même, elle progresse à Montréal, Moncton et Gatineau mais recule à Toronto, Sudbury et Ottawa. Les données inédites du recensement de 2001 touchant les langues secondaires au foyer indiquent en outre que le comportement bilingue est le plus souvent de nature additive parmi les francophones du Québec et du Nouveau-Brunswick, tandis qu’il joue le rôle d’étape transitoire vers l’anglicisation dans les autres provinces. En parallèle avec la cassure en matière de comportement linguistique, il s’est développé une divergence identitaire : au contraire des jeunes de langue maternelle française du Québec et du Nouveau-Brunswick, ceux de l’Ontario et des autres provinces s’identifient comme bilingues plutôt que francophones.
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Lajeunesse, Marcel. "L’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information (EBSI) de l’Université de Montréal 1961-2003 : quatre décennies de formation des spécialistes de l’information au Québec et au Canada français." Documentation et bibliothèques 48, no. 4 (May 8, 2015): 125–35. http://dx.doi.org/10.7202/1030351ar.

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L’École de bibliothéconomie a été fondée en 1961 pour fournir au Québec et au Canada de langue française des bibliothécaires professionnels dans un premier temps, puis dans les décennies suivantes, des professionnels de l’information et des archivistes. Après plus de quatre décennies de fonctionnement, on peut maintenant dire qu’elle a atteint une maturité certaine. L’objectif de ce texte est de souligner les points importants de son évolution et de montrer sa contribution à la formation du personnel professionnel en bibliothéconomie, en sciences de l’information et en archivistique au Québec, au Canada de langue française et dans la francophonie, depuis plus de quarante ans.
42

Castonguay, Charles. "Assimilation linguistique et remplacement des générations francophones et anglophones au Québec et au Canada." Recherche 43, no. 1 (November 10, 2004): 149–82. http://dx.doi.org/10.7202/009450ar.

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L’analyse longitudinale des données de recensement les plus récentes confirme la faiblesse du français en regard de l’anglais comme langue d’assimilation à Montréal, ainsi que l’emballement de l’anglicisation des francophones à l’extérieur du Québec et du Nouveau-Brunswick. Étant donné la stabilisation de la sous-fécondité des populations anglophone et francophone à des niveaux semblables, le préjudice démographique que cause à la population de langue française le pouvoir d’assimilation disproportionné de l’anglais ressort directement de la comparaison du profil des deux populations selon l’âge : les générations anglophones se remplacent aussi bien au Québec que dans le reste du Canada, alors que le déficit entre les générations francophones mène au déclin des effectifs au Québec comme dans l’ensemble du Canada français.
43

Proulx, Jean-Pierre. "Les normes périjuridiques dans l’idéologie québécoise et canadienne en matière de langue d’enseignement." ACFAS 19, no. 1 (April 25, 2019): 209–23. http://dx.doi.org/10.7202/1059195ar.

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Cette présentation vise l’examen historique des normes périjuridiques qui ont mené à l’adoption des droits linguistiques applicables au Québec en matière de la langue d’enseignement. L’analyse s’effectuera en regard des idéologies québécoise et canadienne. On constatera que l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés et le chapitre VII de la Charte de la langue française procèdent à l’évidence de deux visions différentes du Québec et du Canada.
44

Guay-Archambault, Denyse. "Regards sur le nouveau droit de la famille au Canada anglais et au Québec." Les Cahiers de droit 22, no. 3-4 (April 12, 2005): 723–84. http://dx.doi.org/10.7202/042465ar.

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The English origin of the law in the Common law jurisdictions in Canada makes it mandatory to study common law and English statutory law. It is through those that we can follow the development of a family property law in English Canada. Starting from an individualistic view of the spouses' property, we shall witness the emergence of the idea of « family assets » which has been « enshrined » in recent legislation. The law of Québec has evolved differently. Though of Trench origin, it has not kept as near its mother-country as its neighbour's has done with English law. Turthermore, due to its civilian character, its principles of private law are to be found in the Civil Code. This favours a different approach. That is why we will generally confine our study to those rules which are to be found in the Code civil du Bas-Canada and to the newly adopted Code civil du Québec. We will see what has become of the original community of property and compare the present law of Québec with recent legislation in English Canada.
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Taylor, Norman W. "L'industriel canadien-français et son milieu." Articles 2, no. 2 (April 12, 2005): 123–50. http://dx.doi.org/10.7202/055075ar.

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Même s'ils forment une très large majorité de la population de la province de Québec, les Canadiens français ne participent que dans une faible mesure à la direction et au développement de 1' économie de leur milieu. De cette situation, souvent soulignée mais rarement analysée de façon systématique, Norman W. Taylor a cherché une explication â partir de 1'examen des différences, du point de vue de leurs attitudes et de leur comportement, entre les chefs d'entreprise canadiens-français et canadiens-anglais de notre milieu. Il a interrogé 52 hommes d'affaires, dont 32 de langue française et 20 de langue anglaise. L'échantillon comprend des chefs d'entreprise de cinq régions industrielles importantes : celles de Montréal, Québec, Sherbrooke, Trois-Rivières et Victoriaville. Les entreprises représentées appartiennent à 1' un des trois secteurs industriels suivants : industrie du cuir, du bois, du fer et de 1' acier. L’auteur a aussi tenu compte, au moment du choix de ses informateurs, de la dimension des entreprises.
46

Beaudoin, Gérald-A. "La protection de la langue française au Canada." Informations et documents 19, no. 2 (April 12, 2019): 479–92. http://dx.doi.org/10.7202/1059150ar.

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À Québec, en 1608, Samuel de Champlain jeta les bases de la Nouvelle-France. Pendant un siècle et demi, on entendit le doux parler de France, depuis les eaux de Gaspé jusqu’à la Nouvelle-Orléans. La défaite de Montcalm, en 1759, mit fin à l’Empire français en Amérique. Contre vents et marées, les Québécois et les Acadiens restèrent fidèles à la langue de leurs pères. En 1867, la constitution canadienne assura à la langue française, au Québec et à Ottawa, une protection constitutionnelle. La Loi constitutionnelle de 1982 fit de même pour les Acadiens au Nouveau-Brunswick. À sa naissance, en 1870, le Manitoba était bilingue, mais une loi de 1890 écarta l’officialité du français. Grâce à la Cour suprême du Canada, qui contrôle la constitutionnalité des lois, le statut officiel du français fut reconnu pour le Manitoba, en 1979, et pour la Saskatchewan, le 25 février 1988. La situation en Alberta est analogue. La langue française jouit donc d’une protection tantôt constitutionnelle, tantôt juridique, au niveau de la fédération et dans cinq des dix provinces canadiennes.
47

KIM Jin-Soo. "Sur la qualité de la langue au Québec, Canada." ASSOCIATION CULTURELLE FRANC0-COREENNE 36, no. 1 (March 2018): 125–47. http://dx.doi.org/10.18022/acfco.2018.36.1.004.

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48

Curtis, James, Douglas Baer, Edward Grabb, and Thomas Perks. "Estimation des tendances de l’engagement dans les associations volontaires au cours des dernières décennies au Québec et au Canada anglais1." Sociologie et sociétés 35, no. 1 (June 15, 2004): 115–41. http://dx.doi.org/10.7202/008513ar.

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Résumé Étant donné la rareté des données sur les tendances passées de l’engagement dans les associations volontaires au Québec et au Canada anglais, nous proposons une méthode d’estimation de ces tendances. C’est une méthode qui repose sur la comparaison de données fournies par des répondants au sujet de leurs expériences à une étape particulière de leur vie, c’est-à-dire pendant leurs années d’études. Nous disposons de données provenant de telles questions posées à un important échantillon d’adultes de tous les âges lors d’une enquête de la fin des années 1990. En les comparant aux expériences de jeunesse de différentes cohortes d’âge, nous sommes en mesure de « remonter » le temps pour obtenir des renseignements couvrant plusieurs décennies passées. Les résultats obtenus pour le Québec et pour le Canada anglais démentent la thèse voulant que l’engagement dans les associations volontaires soit en baisse en Amérique du Nord depuis les années 1960. Il n’y a qu’une seule exception, la participation à des groupes religieux.
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BÉLANGER, Pierre W., and Eigil PEDERSEN. "Projets des étudiants québécois." Sociologie et sociétés 5, no. 1 (September 30, 2002): 91–110. http://dx.doi.org/10.7202/001036ar.

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Résumé Breton a observé que, comparativement aux jeunes Canadiens anglais, les jeunes Canadiens français avaient des aspirations scolaires et professionnelles très élevées. Après une brève revue de la littérature sur les relations entre stratification sociale et aspirations, les auteurs remettent en question les données de Breton, puis son cadre de référence. Ils montrent que l'échantillon d'élèves du secondaire introduit un effet de sélection chez les Canadiens français puisque la façon dont les variables dépendantes ont été définies contribue à hausser artificiellement les aspirations des Canadiens français. Reprenant l'analyse de Breton à l'intérieur du Québec, les auteurs obtiennent des résultats différents. Pour eux, le Québec apparaît comme une entité sociologiquement plus significative que le Canada pour l'analyse comparée des aspirations des jeunes Canadiens français et Canadiens anglais.
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Hamelin, Louis-Edmond. "Le québécisme nordicité : de la néologie à la lexicalisation." TTR : traduction, terminologie, rédaction 8, no. 2 (February 23, 2007): 51–65. http://dx.doi.org/10.7202/037217ar.

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Résumé Le québécisme nordicité: de Ia néologie à Ia lexicalisation – Nordicité - état de « Nord » - reçoit ses premiers contextes en français en 1965, et, en anglais, quelques années après. Plus tard, le mot apparaît dans des titres. Au cours de la décennie 1980, les grands dictionnaires Larousse et Robert le consignent. Servant de tronc, il donne naissance à un corpus d'une soixantaine d'entrées en langue française. Le nordic nord-américain conduira à nordicity. Des adaptations du mot existent en quelques autres langues. L'étude de cette évolution vocabulairique apporte quelques lumières sur l'histoire des racines nord\north, le sens Scandinave du tronc nordique, la création lexicale elle-même, les avantages et inconvénients de toute entité, le cheminement des signifiants auprès des usagers, les processus de lexicalisation, l'apport québécois aux parlers hors-Québec ainsi que la double destinée d'un mot en langue courante et d'un terme en langue de spécialités.

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