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HENRY, Y. "Affinement du concept de la protéine idéale pour le porc en croissance." INRAE Productions Animales 6, no. 3 (June 28, 1993): 199–212. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.3.4200.

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Анотація:
Cet article traite des données récentes sur les relations d’équilibre entre les acides aminés dans l’alimentation du porc en croissance, au travers du concept de la protéine "idéale". Après avoir précisé les limites de ce concept, sur le plan de la constance des rapports entre les teneurs en acides aminés indispensables et celle en lysine, prise comme référence, sont considérés les ratios entre les acides aminés limitants secondaires (tryptophane, thréonine, méthionine et acides aminés soufrés) et la lysine, compte tenu des spécificités de leur rôle fonctionnel au plan métabolique et physiologique. Pour cela, l’incidence des écarts entre le profil de composition en acides aminés de la protéine alimentaire et celui de la protéine idéale (excès de protéines) sur l’ingestion alimentaire et les performances de croissance est étudiée selon la nature de l’acide aminé le plus limitant. En raison de sa faible contribution aux processus métaboliques autres que ceux concernant la synthèse de protéines corporelles, la lysine constitue une référence stable pour l’expression des rapports entre les acides aminés. A la différence de la lysine, le tryptophane interagit fortement et négativement avec les protéines excédentaires (acides aminés neutres de grande taille) au niveau de l’appétit et de la croissance, en liaison avec un dysfonctionnement du système sérotoninergique. Ceci met en défaut la constance du rapport tryptophane / lysine, qui devrait être corrigé sur la base d’un ratio minimum tryptophane / acides aminés neutres de 4 %, pour se prémunir d’un risque d’excès de ces derniers dans certaines protéines alimentaires. Dans le cas de la thréonine, lorsqu’elle est limitante, il ressort une interaction positive avec les acides aminés non indispensables (acide glutamique). L’équilibre méthionine / cystine a été reconsidéré en fonction des données récentes de la bibliographie. En conclusion, les recommandations concernant les rapports acides aminés / lysine pour le porc en croissance ont été réactualisées.
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HENRY, Y. "Signification de la protéine équilibrée pour le porc : intérêt et limites." INRAE Productions Animales 1, no. 1 (February 11, 1988): 65–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.1.4437.

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Анотація:
Après une première globalisation sur la base de la teneur en protéines du régime, le besoin azoté du porc en croissance a pris une signification composite par la prise en compte des besoins en acides aminés indispensables séparément les uns des autres, pour aboutir finalement à la notion de besoin en protéine équilibrée présentant une composition constante en acides aminés. L’amélioration de l’équilibre en acides aminés, associée à une réduction du taux de protéines dans l’aliment, est désormais rendue possible par la supplémentation à l’aide d’acides aminés industriels : en premier lieu la lysine seule, qui est généralement l’acide aminé le plus limitant des aliments pour porcs, puis la lysine avec les autres acides aminés limitants secondaires (thréonine, tryptophane, méthionine). En dehors de leur caractère limitant, des cas d’excès de certains acides aminés peuvent se présenter : déséquilibre entre acides aminés ramifiés, excès d’arginine, déséquilibre entre les acides aminés neutres qui pourrait expliquer l’effet dépressif d’un taux de protéines excessif sur l’ingestion alimentaire. Dans un deuxième temps, nous avons analysé les limites du concept de la protéine équilibrée : non constance de la composition en acides aminés des protéines fixées, différences dans le devenir métabolique des acides aminés, nécessité de prendre en compte la disponibilité des acides aminés. Par ailleurs, en dehors de l’économie de protéines, les bénéfices à attendre de l’amélioration de l’équilibre en acides aminés s’étendent à l’économie d’énergie alimentaire et à une stimulation de la consommation volontaire d’aliment, ce qui permet de viser tout à la fois un abaissement du coût de l’alimentation et une valorisation optimale des potentialités des génotypes à forte intensité de dépôt de tissus maigres.
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LE FLOC’H, N., and B. SEVE. "Le devenir des protéines et des acides aminés dans l’intestin du porc : de la digestion à l’apparition dans la veine porte." INRAE Productions Animales 13, no. 5 (October 22, 2000): 303–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.5.3798.

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Анотація:
La digestion intestinale des protéines alimentaires fait intervenir des protéases d’origine pancréatique et des peptidases intestinales. Les produits de la digestion sont constitués d’acides aminés libres et de peptides relativement abondants. Acides aminés et peptides sont transportés dans l’entérocyte où ces derniers subissent une hydrolyse. Les acides aminés libres présents dans la veine porte présentent un profil bien différent de celui des protéines alimentaires. En effet, le métabolisme intestinal des acides aminés est très actif. Afin d’assurer la synthèse des protéines constitutives et sécrétées, l’intestin prélève des acides aminés à la fois dans la lumière intestinale et dans le sang artériel. Cet organe renouvelle plus de 50 % de ses protéines par jour et la synthèse de protéines bien particulières comme les mucines engendre des besoins élevés en certains acides aminés comme la thréonine. L’intestin est le principal tissu utilisant la glutamine artérielle et le glutamate alimentaire. Le catabolisme intestinal de ces acides aminés produit de l’alanine, de l’acide aspartique, de la proline et, par l’intermédiaire des enzymes du cycle de l’urée, de l’ornithine, de la citrulline et de l’arginine. Les acides aminés indispensables n’échapperaient pas non plus au catabolisme intestinal. Le rôle de l’intestin ne se limite donc pas à la digestion des protéines et à l’absorption des acides aminés. Son métabolisme modifie profondément la disponibilité des acides aminés alimentaires pour le reste de l’organisme.
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RULQUIN, H. "Acides aminés digestibles dans l’intestin. Utilisation du système AADI dans le rationnement des vaches laitières." INRAE Productions Animales 14, no. 4 (August 29, 2001): 275–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.4.3750.

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Анотація:
Apparu en 1992 pour la lysine et la méthionine, le système AADI s’est étendu aux neuf acides aminés indispensables. Dans l’état actuel des connaissances, seuls cinq acides aminés sont susceptibles d’être limitants (lysine, méthionine, leucine, histidine et thréonine). En pratique, pour améliorer le taux protéique du lait, il faut optimiser les apports de deux (lysine et méthionine) ou quatre (lysine, méthionine, leucine, histidine) acides aminés. Pour augmenter la production de lait, il semble préférable d’optimiser les apports d’histidine et de thréonine. Ces optimisations peuvent être faites en utilisant des matières premières appropriées ou en ajoutant aux rations des acides aminés correctement protégés contre les dégradations ruminales. Il serait souhaitable d’établir des courbes de réponse sur un plus grand nombre d’essais pour la leucine, l’histidine et la thréonine de façon à pouvoir calculer, comme pour la lysine et la méthionine, l’intérêt économique de formuler les rations sur la base de plusieurs acides aminés.
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RULQUIN, H., R. VERITE, and J. GUINARD-FLAMENT. "Acides aminés digestibles dans l’intestin. Le système AADI et les recommandations d’apport pour la vache laitière." INRAE Productions Animales 14, no. 4 (August 17, 2001): 265–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.4.3749.

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Анотація:
Le nouveau système AADI (acides aminés digestibles dans l’intestin) s’intègre au système PDI en estimant la composition en acides aminés des PDI. Pour ce faire, la valeur des aliments a été estimée à partir des fractions microbienne et alimentaire non dégradée dans le rumen, de la composition en acides aminés (AA) de ces deux fractions et de leur digestibilité. Cette estimation a été validée par rapport à la composition en AA de contenus digestifs provenant de 133 régimes. Cette étape de validation a montré qu’il était nécessaire d’ajuster l’estimation initiale pour prédire au mieux les mesures effectuées sur les animaux. Ce travail a permis d’élaborer une table de composition en neuf AADI pour près de 700 aliments. Ce système de prédiction a été utilisé pour établir les courbes des réponses des protéines du lait (quantité et taux) à différents niveaux d’apport de divers acides aminés indispensables. Les apports recommandés en lysine et en méthionine pour la vache laitière ont ainsi été évalués à 7,3 LysDI % PDIE et 2,5 MetDI % PDIE. Cependant, actuellement en pratique, l’attention peut se porter uniquement sur les situations où les apports sont inférieurs aux ’seuils critiques’ fixés à 6,8 LysDI % PDIE et à 2,1 MetDI % PDIE. Les recommandations pour les autres acides aminés indispensables sont nettement moins bien établies. Les valeurs possibles (% PDIE) seraient d’environ 2,5 à 3,2 % d’HisDI et d’au moins 8,8 % de LeuDI, l’histidine et la leucine étant susceptibles d’être également limitants dans certains cas.
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GLOAGUEN, M., N. LE FLOC’H, and J. VAN MILGEN. "Couverture des besoins en acides aminés chez le porcelet alimenté avec des régimes à basse teneur en protéines." INRAE Productions Animales 26, no. 3 (June 18, 2013): 277–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.3.3157.

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Анотація:
Le coût élevé des matières premières ainsi que la pression environnementale rendent le contexte favorable à une réduction supplémentaire de la teneur en protéines des aliments des porcelets. Les acides aminés indispensables comme les acides aminés à chaîne ramifiée (la valine, l’isoleucine, la leucine) et l’histidine peuvent alors devenir des facteurs limitants pour la croissance. L’estimation du besoin en ces acides aminés est alors nécessaire pour équilibrer la protéine alimentaire et améliorer l’efficacité d’utilisation de l’azote. L’analyse de la réponse des performances à l’apport d’acides aminés est la méthode la plus employée pour estimer les besoins de croissance. Le protocole expérimental, le choix du critère de réponse et les méthodes d'estimation de la réponse sont des facteurs importants de la variation des besoins estimés. Les besoins moyens en valine, isoleucine, leucine et histidine, issus des données empiriques de la bibliographie et exprimés sur la base d'un rapport avec la lysine digestible iléale standardisée, sont respectivement estimés à 70, 52, 101 et 31%. Cependant, tout comme les carences, les excès d’acides aminés peuvent réduire les performances car les acides aminés sont en compétition pour leur catabolisme et leur transport. L’incorporation de sources de protéines contenant de l’hémoglobine augmente le besoin en isoleucine et un excès de leucine dans l’aliment augmente l’effet de la carence en valine. L’adéquation entre les apports et les besoins en acides aminés doit être recherchée pour baisser l’apport de protéines, réduire les rejets azotés et assurer l’objectif de production.
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Moro, J., N. Khodorova, C. Chaumontet, P. Even, A. Blais, J. Piedcoq, C. Gaudichon, D. Tomé, and D. Azzout-Marniche. "Identification de biomarqueurs de sources protéiques déficientes en acides aminés indispensables: lysine et thréonine." Nutrition Clinique et Métabolisme 33, no. 1 (March 2019): 61–62. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2019.01.334.

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Fafournoux, Pierre, Julien Averous, Alain Bruhat, Valérie Carraro, Céline Jousse, Anne-Catherine Maurin, Florent Mesclon та Laurent Parry. "Mécanismes d’adaptation à la disponibilité en acides aminés indispensables : rôles de la voie GCN2/eIF2α/ATF4". Biologie Aujourd'hui 209, № 4 (2015): 317–23. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2016005.

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MÉDALE, F., R. LE BOUCHER, M. DUPONT-NIVET, E. QUILLET, J. AUBIN, and S. PANSERAT. "Des aliments à base de végétaux pour les poissons d’élevage." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 303–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3159.

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Анотація:
L'aquaculture mondiale se développe (+ 8% par an) pour répondre à une demande croissante des consommateurs que les captures de pêche ne peuvent plus couvrir. Les besoins en aliments piscicoles et donc en matières premières s’accroissent, alors que les volumes de farines et huiles de poisson, ingrédients traditionnels des aliments aquacoles, ne peuvent augmenter. Selon les espèces, 80 à 95% de la farine de poisson peut être substituée par un mélange de sources protéiques végétales apportant les acides aminés indispensables en quantité suffisante pour couvrir les besoins des poissons. Au-delà de ce taux de remplacement, on observe une baisse de la consommation d'aliment, de l'efficience alimentaire et de la croissance, bien que les aliments contiennent les nutriments nécessaires aux poissons. Quant à l'huile de poisson, elle peut être remplacée jusqu’à 80 ou 100% par des huiles végétales sans effet délétère sur la croissanceet la santé des poissons, à condition que le régime apporte en quantité suffisante les acides gras essentiels à la couverture des besoins, qui diffèrent selon l'espèce : contrairement aux poissons marins, les salmonidés disposent en effet d’une relative capacité de synthèse d’acides gras longs polyinsaturés omega 3 à partir de l’acide linoléique. La conséquence majeure est une baisse de la teneur de ces acides gras dans la chair. Les recherches doivent se poursuivre pour affranchir encore davantage l'aquaculture des produits de la pêche, en choisissant des matières premières alternatives qui garantissent une production piscicole efficace, des produits de haute qualité et des impacts environnementaux limités.
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NOZIÈRE, Pierre, Solveig MENDOWSKI, Anne FERLAY, Corinne PEYRONNET, Francis ENJALBERT, Guillaume CHESNEAU, Antoine GERMAIN, and Patrick CHAPOUTOT. "Améliorer l’utilisation des graines oléo-protéagineuses par l’extrusion : un enjeu technologique pour contribuer à l’autonomie protéique des élevages bovins laitiers." INRAE Productions Animales 35, no. 2 (August 26, 2022): 121–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.2.7069.

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Анотація:
Dans le but d’assurer une meilleure autonomie protéique pour alimenter les animaux d’élevage, différents leviers, dont le développement de filières de protéagineux à graines, sont envisageables. Le projet Proleval s’inscrivait dans cette perspective. Les effets de traitements technologiques sur la valorisation des graines oléo-protéagineuses par les vaches laitières ont été évalués dans le cadre de ce projet. Une synthèse de la littérature a permis de quantifier l’effet bénéfique quasi-systématique des traitements thermiques ou thermomécaniques des graines sur l’utilisation de l’azote : diminution de la dégradabilité ruminale, augmentation de la digestibilité intestinale, de la fourniture d’acides aminés indispensables, et de la sécrétion de protéines dans le lait. Les effets observés sont toutefois quantitativement variables en fonction des traitements. Les essais expérimentaux conduits dans le cadre du projet ont permis de préciser les effets de certaines modalités d’extrusion des graines de féverole et de lupin : la température d’extrusion et la maturation par des procédés innovants intégrant des sucres réducteurs ou un cocktail enzymatique. Les résultats obtenus par différentes approches (mesures de dégradabilité et de digestibilité in situ, mesures in vivo du bilan azoté chez les vaches laitières) montrent que la température d’extrusion doit être limitée pour éviter une surprotection des protéines et que les prétraitements de maturation testés ne sont pas systématiquement efficaces. Les rares résultats publiés sur la fraction lipidique du lait rapportent une diminution du taux butyreux avec les graines traitées par rapport à la même graine crue. Peu d’études présentent des profils en acides gras du lait, mais les données du projet Proleval indiquent que les graines extrudées favorisent la production d’acides gras trans au niveau du rumen et du lait. La maîtrise des conditions d’extrusion permettant d’aboutir de façon répétable à un produit aux caractéristiques nutritionnelles optimales, qui semble passer par la maîtrise du développement des composés de Maillard, reste un enjeu.
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BAYOURTHE, C., and D. ALI-HAIMOUD-LEKHAL. "Les extraits de plantes chez le ruminant : effets sur les fermentations dans le rumen et la qualité lipidique des produits animaux." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 23, 2014): 317–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3079.

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Анотація:
Les extraits de plantes représentent un groupe complexe de substances dont les propriétés peuvent être utilisées pour manipuler le fonctionnement du rumen. Parmi eux, les tannins condensés, les huiles essentielles et les saponines ont été largement évalués pour leurs effets bactéricides/bactériostatiques. La variété de structure chimique des tannins condensés est, sans doute, à l’origine de leur différence de réactivité mais aussi d’une activité différente vis-à-vis des microorganismes du rumen. De façon générale, la croissance bactérienne est d’autant plus inhibée que la concentration en tannins condensés dans le milieu est élevée. Si les tannins condensés inhibent l'activité des archées méthanogènes, ils seraient sans effet sur les protozoaires. Généralement, les tannins condensés conduisent à une diminution de la concentration en azote ammoniacal dans le milieu ruminal mais n’affectent pas la concentration en acides gras volatils totaux. Si à dose élevée, l’effet est plus marqué in vitro qu’in vivo, à dose identique, l’amplitude de la réponse est différente selon la source de tannins condensés. En ce qui concerne l’action des tannins condensés sur la méthanogenèse, l’effet généralement observé, tant in vitro qu'in vivo, est une diminution de la production de CH4 bien que l’amplitude de la réponse soit variable et dépende de plusieurs facteurs que les études in vitro permettent de mieux cerner. Les effets principaux des huiles essentielles dans le rumen consistent en une réduction de la dégradation des protéines et de l'amidon et une inhibition de la dégradation des acides aminés, en raison de l'action sélective sur certains micro-organismes du rumen. Le pouvoir bactéricide des huiles essentielles vis-à-vis des bactéries (pathogènes ou ruminales) est lié à la structure chimique des molécules aromatiques qui les composent. Elles inhibent la croissance de la plupart des cultures pures bactériennes du rumen à des concentrations inférieures à 100 ppm ; certaines espèces pouvant s'adapter, ce qui explique la diminution voire l’absence d’effet souvent observé in vivo. Certains composés aromatiques ont la capacité de réduire la production de méthane dans le rumen. En revanche, les effets des saponines dans le rumen sont moins nets, en raison probablement du développement de populations microbiennes capables de les dégrader et/ou de l'adaptation des microorganismes à ces extraits de plante. Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances, il est impossible de conclure quant à l’effet des extraits végétaux sur la qualité lipidique des produits animaux. Des essais complémentaires conduits in vivo et à long terme restent indispensables pour vérifier les effets observés, dans des conditions d'utilisation plus variées, mais aussi pour s'assurer de l'absence de résidus dans les produits animaux et de leur innocuité pour le consommateur.
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Bruhat, Alain, Cédric Chaveroux, Valérie Carraro, Céline Jousse, Julien Averous, Anne-Catherine Maurin, Laurent Parry, et al. "Réguler l’expression d’un transgène thérapeutique par un régime alimentaire carencé en un acide aminé indispensable." médecine/sciences 33, no. 2 (February 2017): 136–39. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20173302007.

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GUILHERMET, R. G. "Fonctions nutritionnelles et métaboliques de l’arginine." INRAE Productions Animales 9, no. 4 (August 17, 1996): 265–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.4.4060.

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Анотація:
L’arginine est un acide aminé qualifié d’ éventuellement indispensable, parce que la synthèse endogène rénale qui existe est insuffisante pour permettre une croissance normale au jeune mammifère. Les régimes distribués aux animaux en croissance intensive, avec des niveaux d’ingestion élevés, fournissent suffisamment d’arginine. Cependant en cas d’alimentation modérée, des suppléments d’arginine sont susceptibles d’accroître la rétention azotée. En outre, l’amélioration de l’état nutritionnel permise par l’arginine supplémentaire en phase post-traumatique montre une augmentation importante du besoin dans cette situation de stress, ainsi qu’une implication de cette molécule dans les processus d’accrétion tissulaire. Les différentes voies du métabolisme de l’arginine conduisent à des composés tels que l’ornithine, la proline, le glutamate, les polyamines et le NO, dont le potentiel d’action au niveau cellulaire est considérable. Ils sont susceptibles de produire de nombreux effets biologiques et d’expliquer en partie les multiples activités physiologiques autres que nutritionnelles de l’arginine.
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GUILHERMET, R. G. "Fonctions nutritionnelles et métaboliques de l’arginine." INRAE Productions Animales 9, no. 4 (August 20, 1996): 265–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.4.4067.

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Анотація:
L’arginine est un acide aminé qualifié d’ éventuellement indispensable, parce que la synthèse endogène rénale qui existe est insuffisante pour permettre une croissance normale au jeune mammifère. Les régimes distribués aux animaux en croissance intensive, avec des niveaux d’ingestion élevés, fournissent suffisamment d’arginine. Cependant en cas d’alimentation modérée, des suppléments d’arginine sont susceptibles d’accroître la rétention azotée. En outre, l’amélioration de l’état nutritionnel permise par l’arginine supplémentaire en phase post-traumatique montre une augmentation importante du besoin dans cette situation de stress, ainsi qu’une implication de cette molécule dans les processus d’accrétion tissulaire. Les différentes voies du métabolisme de l’arginine conduisent à des composés tels que l’ornithine, la proline, le glutamate, les polyamines et le NO, dont le potentiel d’action au niveau cellulaire est considérable. Ils sont susceptibles de produire de nombreux effets biologiques et d’expliquer en partie les multiples activités physiologiques autres que nutritionnelles de l’arginine.
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Guerrero-Alburquerque, Natalia, Shanyu Zhao, Daniel Rentsch, Matthias M. Koebel, Marco Lattuada, and Wim J. Malfait. "Ureido Functionalization through Amine-Urea Transamidation under Mild Reaction Conditions." Polymers 13, no. 10 (May 14, 2021): 1583. http://dx.doi.org/10.3390/polym13101583.

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Анотація:
Ureido-functionalized compounds play an indispensable role in important biochemical processes, as well as chemical synthesis and production. Isocyanates, and KOCN in particular, are the preferred reagents for the ureido functionalization of amine-bearing compounds. In this study, we evaluate the potential of urea as a reagent to graft ureido groups onto amines at relatively low temperatures (<100 °C) in aqueous media. Urea is an inexpensive, non-toxic and biocompatible potential alternative to KOCN for ureido functionalization. From as early as 1864, urea was the go-to reagent for polyurea polycondensation, before falling into disuse after the advent of isocyanate chemistry. We systematically re-investigate the advantages and disadvantages of urea for amine transamidation. High ureido-functionalization conversion was obtained for a wide range of substrates, including primary and secondary amines and amino acids. Reaction times are nearly independent of substrate and pH, but excess urea is required for practically feasible reaction rates. Near full conversion of amines into ureido can be achieved within 10 h at 90 °C and within 24 h at 80 °C, and much slower reaction rates were determined at lower temperatures. The importance of the urea/amine ratio and the temperature dependence of the reaction rates indicate that urea decomposition into an isocyanic acid or a carbamate intermediate is the rate-limiting step. The presence of water leads to a modest increase in reaction rates, but the full conversion of amino groups into ureido groups is also possible in the absence of water in neat alcohol, consistent with a reaction mechanism mediated by an isocyanic acid intermediate (where the water assists in the proton transfer). Hence, the reaction with urea avoids the use of toxic isocyanate reagents by in situ generation of the reactive isocyanate intermediate, but the requirement to separate the excess urea from the reaction product remains a major disadvantage.
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Wang, Meng, Hai-Peng Tang, Shuang Wang, Wen-Jing Hu, Jia-Yan Li, Ai-Qi Yu, Qian-Xiang Bai, Bing-You Yang, and Hai-Xue Kuang. "Acorus tatarinowii Schott: A Review of Its Botany, Traditional Uses, Phytochemistry, and Pharmacology." Molecules 28, no. 11 (June 2, 2023): 4525. http://dx.doi.org/10.3390/molecules28114525.

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Анотація:
Acorus tatarinowii Schott (A. tatarinowii) is a natural medicinal plant. It plays an indispensable role in the treatment of diseases by the empirical medicine system and has achieved remarkable curative effects. A. tatarinowii is often used to treat various diseases, such as depression, epilepsy, fever, dizziness, heartache, stomachache, etc. More than 160 compounds of different structural types have been identified in A. tatarinowii, including phenylpropanoids, terpenoids, lignans, flavonoids, alkaloids, amides, and organic acids. These bioactive ingredients make A. tatarinowii remarkable for its pharmacological effects, including antidepressant, antiepileptic, anticonvulsant, antianxiety, neuroprotective, antifatigue, and antifungal effects, improving Alzheimer’s disease, and so on. It is noteworthy that A. tatarinowii has been widely used in the treatment of brain diseases and nervous system diseases and has achieved satisfactory therapeutic effects. This review focused on the research publications of A. tatarinowii and aimed to summarize the advances in the botany, traditional uses, phytochemistry, and pharmacology, which will provide a reference for further studies and applications of A. tatarinowii.
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NYS, Y. "Préface." INRAE Productions Animales 23, no. 2 (April 10, 2011): 107–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3292.

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Анотація:
A la question «Qui de l’oeuf ou de la poule est né le premier ?» Silésius répondait «l’oeuf est dans la poule et la poule dans l’oeuf» soulignant sa dualité, le passage du deux en un. Dans l’imagerie populaire, l’oeuf reflète le tout et son contraire, fragilité, protection, épargne, abondance (être «plein comme un oeuf»), richesse («avoir pondu ses oeufs»), éternité (le Phénix est né de l’oeuf) mais aussi mort et destruction («casser ses oeufs» se dit d’une fausse couche). Dans la mythologie de nombreuses civilisations, l’oeuf est le symbole de la naissance du monde (Apollon, le dieu grec de la lumière est né de l’oeuf). L’oeuf décoré apparu 3000 ans avant J.-C. en Ukraine fête, au printemps, le retour de la fécondité de la nature ; l’oeuf de Pâques la résurrection du Christ. L’oeuf est un tout à condition d’en sortir ! Fragile cependant car selon La Fontaine briser l’oeuf de la poule aux oeufs d’or (par curiosité) rompt l’effet magique (Auer et Streff 1999). Pour l’Homme, l’oeuf séduit pour sa valeur nutritionnelle, sa diversité d’utilisation en cuisine et son prix modique. Il en existe une grande diversité, de l’oeuf de Colibri (0,5 g) à l’oeuf de l’Aepyornis (8 litres soit l’équivalent de 150 oeufs), un oiseau de Madagascar (500 kg) disparu au 18ème siècle. Mais l’Homme ne consomme que l’oeuf de caille, de poule ou de cane. L’ère moderne a considérablement intensifié la production de ces deux dernières espèces car les poules saisonnées, qui étaient élevées avec soin par la fermière, ont plus que doublé leur production en 60 ans (de 120 oeufs par an dans les années 50 à plus de 300 aujourd’hui). Cette révolution technique résulte des efforts conjugués de la sélection génétique, d’une alimentation raisonnée répondant aux besoins nutritionnels, d’une évolution du système de production (apparition des cages) et d’une meilleure connaissance de la pathologie aviaire. Qu’en est-il du contrôle de la qualité nutritionnelle, organoleptique, technologique et hygiénique de l’oeuf ? L’oeuf est la plus large cellule reproductrice en biologie animale. Il assure dans un milieu externe le développement et la protection d’un embryon dans une enceinte fermée matérialisée par la coquille. Aussi, une de ses particularités est la diversité de ses constituants, de leur parfait équilibre nutritionnel et leur forte digestibilité, qui assure la croissance d’un être vivant. Ces caractéristiques sont à l’origine de la qualité nutritionnelle exceptionnelle de l’oeuf pour l’Homme. Une autre particularité est la présence d’une protection physique, la coquille mais, aussi d’un système complexe de défenses chimiques. Aussi, ce produit est-il remarquable de par son aptitude à engendrer la vie et pour l’oeuf de table à se conserver. Outre les éléments nutritifs, on y trouve de multiples molécules participant au développement et à la protection de l’embryon (molécules antibactériennes, antivirales, antioxydantes). Certaines d’entre elles, comme par exemple le lysozyme de blanc d’oeuf, sont partiellement valorisées par différents secteurs industriels (agroalimentaire, cosmétique, santé animale/humaine). La révélation récente d’un grand nombre de nouveaux constituants de l’oeuf, suite au séquençage génomique de la poule et au développement de la biologie intégrative, a conforté l’existence d‘activités antimicrobiennes, anti-adhésives, immuno-modulatrices, hypertensives, anticancéreuses, antiinflammatoires ou cryoprotectrices, prometteuses en médecine humaine et devrait à terme enrichir le potentiel d’utilisation de ce produit en agroalimentaire et en santé. L’objet de ce numéro spécial d’INRA Productions Animales est de rassembler les principales informations qui ont contribué au développement économique récent de ce produit, de rappeler les efforts en génétique, élevage et nutrition qui ont assuré des progrès quantitatifs et qualitatifs remarquables de la production et de la qualité des oeufs au cours des trente dernières années. Les poules élevées à l’origine par la femme pour un usage domestique se comptent aujourd’hui par milliers dans les élevages. Quelle sera la durabilité de ce système d’élevage dans un contexte socio-économique européen remettant en cause en 2012 le système éprouvé de production conventionnel d’oeufs en cage pour des cages aménagées ou des systèmes alternatifs avec ou sans parcours ? Notre objectif est d’analyser les facteurs qui contribueront à son maintien, notamment le contrôle de la qualité de l’oeuf. Il est aussi de décrire l’évolution spectaculaire des connaissances sur ce produit liée au développement des techniques à haut débit et des outils d’analyse des séquences moléculaires. Il permettra enfin d’actualiser les atouts de ce produit. Ce numéro est complémentaire d’un ouvrage plus exhaustif sur la production et la qualité de l’oeuf (Nau et al 2010). Le premier article de P. Magdelaine souligne la croissance considérable en 20 ans de la production d’oeufs dans les pays d’Asie et d’Amérique du Sud (× 4 pour la Chine, × 2 en Inde et au Mexique). En revanche, les pays très développés notamment européens à forte consommation (> 150 oeufs/hab) ont stabilisé leur production malgré une évolution importante de la part des ovoproduits mais aussi de leurs systèmes de production. La consommation des protéines animales entre pays est tout aussi hétérogène puisque le ratio protéines de l’oeuf / protéines du lait varie de 0,4 au USA, à 0,9 en France et 2,7 en Chine ! Le doublement de la production mondiale d’oeufs en 20 ans n’a été possible que grâce à des progrès techniques considérables. La sélection génétique a renforcé les gains de productivité (+ 40 oeufs pour une année de production et réduction de l’indice de consommation de 15% en 20 ans !). L’article de C. Beaumont et al décrit cette évolution, la prise en compte croissante de nouveaux critères de qualité technologique, nutritionnelle ou sanitaire. Ces auteurs soulignent les apports des nouvelles technologies, marqueurs moléculaires et cartes génétiques sur les méthodes de sélection. Ils dressent un bilan actualisé des apports et du potentiel de cette évolution récente en sélection. Le séquençage génomique et le développement de la génomique fonctionnelle est aussi à l’origine d’une vraie révolution des connaissances sur les constituants de l’oeuf comme le démontre l’article de J. Gautron et al. Le nombre de protéines identifiées dans l’oeuf a été multiplié par plus de dix fois et devrait dans un avenir proche permettre la caractérisation fonctionnelle de nombreuses molécules. Il donne aussi de nouveaux moyens pour prospecter les mécanismes d’élaboration de ce produit. Un exemple de l’apport de ces nouvelles technologies est illustré par l’article de Y. Nys et al sur les propriétés et la formation de la coquille. Des progrès considérables sur la compréhension de l’élaboration de cette structure minérale sophistiquée ont été réalisés suite à l’identification des constituants organiques de la coquille puis de l’analyse de leur fonction potentielle élucidée grâce à la disponibilité des séquences des gènes et protéines associés. La mise en place de collaborations internationales associant de nombreuses disciplines, (microscopie électronique, biochimie, cristallographie, mécanique des matériaux) a démontré le rôle de ces protéines dans le processus de minéralisation et du contrôle de la texture de la coquille et de ses propriétés mécaniques. Cette progression des connaissances a permis de mieux comprendre l’origine de la dégradation de la solidité de la coquille observée chez les poules en fin d’année de production. La physiologie de la poule est responsable d’évolution importante de la qualité de l’oeuf. Aussi, l’article de A. Travel et al rappelle l’importance d’effets négatifs de l’âge de la poule contre lequel nous disposons de peu de moyens. Cet article résume également les principales données, souvent anciennes, concernant l’influence importante des programmes lumineux ou de la mue pour améliorer la qualité de l’oeuf. Enfin, il souligne l’importance de l’exposition des poules à de hautes températures ambiantes sur leur physiologie et la qualité de l’oeuf. Le troisième facteur indispensable à l’expression du potentiel génétique des poules, et déterminant de la qualité technologique et nutritionnelle de l’oeuf, est la nutrition de la poule. Elle représente plus de 60% du coût de production. L’article de I. Bouvarel et al fait le point sur l’influence de la concentration énergétique de l’aliment, de l’apport en protéines et acides aminés, acides gras et minéraux sur le poids de l’oeuf, la proportion de blanc et de jaune ou sa composition notamment pour obtenir des oeufs enrichis en nutriments d’intérêt en nutrition humaine. Cependant, la préoccupation principale des éleveurs depuis une dizaine d’année est la mise en place en 2012 de nouveaux systèmes de production d’oeufs pour assurer une meilleure prise en compte du bien-être animal. L’article de S. Mallet et al traite de l’impact des systèmes alternatifs sur la qualité hygiénique de l’oeuf. Ces auteurs concluent positivement sur l’introduction de ces nouveaux systèmes pour la qualité hygiénique de l’oeuf une fois que les difficultés associées aux méconnaissances d’un nouveau système de production seront résolues. La qualité sanitaire de l’oeuf est la préoccupation majeure des consommateurs et un accident sanitaire a des conséquences considérables sur la consommation d’oeufs. L’article de F. Baron et S. Jan résume d’une manière exhaustive l’ensemble des éléments déterminants de la qualité microbiologique de l’oeuf et des ovoproduits : mode de contamination, développement des bactéries dans les compartiments de l’oeuf, défenses chimiques du blanc et moyens pour contrôler la contamination des oeufs et des ovoproduits. Le consommateur ne souhaite pas, à juste titre, ingérer d’éventuels contaminants chimiques présents dans ses aliments. L’article de C. Jondreville et al analyse ce risque associé à la consommation des oeufs. Il est exceptionnel de détecter la présence de polluants organiques au seuil toléré par la législation. Les auteurs insistent notamment sur l’importance de contrôler la consommation par les animaux élevés en plein air de sols qui peuvent être une source de contaminants. Une caractéristique de l’évolution de la production d’oeufs est le développement des ovoproduits qui répondent parfaitement à l’usage et à la sécurité sanitaire exigée en restauration collective. L’article de M. Anton et al décrit le processus d’obtention et l’intérêt des fractions d’oeufs du fait de leurs propriétés technologiques (pouvoirs moussant, foisonnant, gélifiant ou émulsifiant). Les différents processus de séparation, de décontamination et de stabilisation sont analysés pour leur effet sur la qualité du produit final. Enfin le dernier article de ce numéro spécial de F. Nau et al se devait d’aborder la principale qualité de l’oeuf qui conditionne son usage : la qualité nutritionnelle de ce produit pour l’Homme. Cet article actualise l’information dans ce domaine et fait le point sur les atouts nutritionnels en tentant de corriger de fausses idées. L’oeuf présente un intérêt nutritionnel du fait de la diversité et l’équilibre de ces constituants pour l’Homme mais mériterait plus d’études pour mieux évaluer son potentiel réel. En conclusion, l’oeuf est la source de protéines animales ayant la meilleure valeur nutritionnelle, la moins chère, facile d’emploi et possédant de nombreuses propriétés techno-fonctionnelles valorisées en cuisine. Dans les pays développés, l’oeuf a souffert jusqu’à aujourd’hui d’une image entachée par plusieurs éléments négatifs aux yeux des consommateurs : sa richesse en cholestérol, le risque sanitaire associé à sa consommation sous forme crue ou son système de production en cage. L’évolution des connaissances sur le risque cardio-vasculaire, les progrès réalisés sur le contrôle sanitaire des Salmonelloses en Europe et la modification radicale des systèmes de production d’oeufs devraient modifier positivement son image. La consommation de protéines de l’oeuf a augmenté de plus de 25% en 20 ans (2,53 g/personne/j vs 4,3 g pour le lait en 2005) et poursuivra sa croissance rapide notamment dans les pays en développementoù sa consommation par habitant reste faible. Cette évolution considérable de la production de ce produit devrait être mieux intégrée dans les formations des écoles spécialisées en productions animales. L’oeuf restera dans l’avenir une des sources de protéines animales dominantes et l’acquisition de connaissances sur la fonction des nombreux constituants récemment mis à jour devait renforcer son intérêt pour la santé de l’Homme. Je ne voudrais pas terminer cette préface sans remercier au nom des auteurs, Jean-Marc Perez, le responsable de la revue INRA Productions Animales, d’avoir pris l'initiative de la publication de ce numéro spécial dédié à l'oeuf et d’avoir amélioré par plusieurs lectures attentives la qualité finale des textes. Je voudrais aussi adresser mes remerciements à sa collaboratrice Danièle Caste pour le soin apporté dans la finition de ce document. Enfin, je n'oublie pas le travail d'évaluation critique des projets d'article par les différents lecteursarbitres que je tiens à remercier ici collectivement. Auer M., Streff J., 1999. Histoires d’oeufs. Idées et Calendes, Neuchatel, Suisse, 261p.Nau F., Guérin-Dubiard C., Baron F., Thapon J.L., 2010. Science et technologie de l’oeuf et des ovoproduits, Editions Tec et Doc Lavoisier, Paris, France, vol 1, 361p., vol 2, 552p.
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RULQUIN, H. "Supplément : Tables des valeurs AADI des aliments des ruminants." INRAE Productions Animales 14, no. 4 (September 17, 2001). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.4.3751.

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Анотація:
Ces tables donnent les valeurs AADI des aliments pour les neuf acides aminés indispensables. Ces valeurs ont été obtenues à partir d’une base de données de composition en acides aminés des matières premières et d’une série d’équations appliquées aux données des Tables de la valeur nutritive des aliments des ruminants (INRA 1988). Ces équations et la base de données sont présentées dans l’article de H. Rulquin, R. Vérité et J. Guinard-Flament (2001)&nbsp;: Acides aminés digestibles dans l’intestin. Le système AADI et les recommandations d’apport pour la vache laitière, INRA Prod. Anim., 14(4), 265-274. Les caractéristiques et les numéros des aliments correspondent exactement à ceux figurant dans les Tables INRA 1988. Les valeurs AADI sont données en g pour 100 g de PDIE. Les teneurs en MAT et en PDI sont en g/kg de matière sèche.
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Koch, Wolfhard H. G. "Quantum chemical “Aufbau” principles: how to estimate the shape of highly flexible (bio-)polymers? A recursively extendable “chemion picture” of Euler-Hückel-type." Journal of Molecular Modeling 30, no. 2 (January 24, 2024). http://dx.doi.org/10.1007/s00894-023-05807-x.

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Анотація:
Abstract An outline is given of how to split the n-dimensional space of torsion angles occurring in flexible (bio-)polymers (like alkanes, nucleic acids, or proteins, for instance) into n one-dimensional potential curves. Forthcoming applications will focus on the “protein folding problem,” beginning with polyglycine. Context In accordance with Euler’s topology rules, molecules are considered to be composed of “vertices” (atoms, ligands, bonding sites, functional groups, and bigger fragments). Following Hückel, each vertex is represented by only one basis function. Starting from the “monofocal” hydrids CH$$_4$$ 4 , NH$$_3$$ 3 , OH$$_2$$ 2 , FH, and SiH$$_4$$ 4 , PH$$_3$$ 3 , SH$$_2$$ 2 , ClH as anchor units, “chemionic” Hamiltonians (of individual “chemion ensembles” and proportional nuclear charges) are constructed recursively, together with an appropriate basis set for the first five (normal) alkanes and some related oligomers like primary alcohols, alkyl amines, and alkyl chlorides. Methods Standard methods (“Restricted Hartree-Fock RHF” and “Full Configuration Interaction FCI”) are used to solve the various stationary Schrödinger equations. Two software packages are indispensable: “SMILES” for integral evaluations over Slater-type orbitals (STO), and “Numerical Recipes” for matrix diagonalizations and inversions. While managing with only two-center repulsion integrals, “implicit multi-center integrations” lead us to the non-empirical fundament of Hoffmann’s “Extended-Hückel Theory.”

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