Artigos de revistas sobre o tema "Systèmes de Gestion Durable des Eaux Pluviales"

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Fuamba, Musandji, Thomas Walliser, Mathurin Daynou, Jean Rousselle e Gilles Rivard. "Vers une gestion durable et intégrée des eaux pluviales : Application des propositions d’action publique au Québec". Canadian Journal of Civil Engineering 37, n.º 2 (fevereiro de 2010): 209–23. http://dx.doi.org/10.1139/l09-147.

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Le rejet non contrôlé des eaux pluviales est une importante cause de la dégradation de la qualité de l’environnement, notamment au niveau de la nappe phréatique, des milieux récepteurs et des habitations. L’analyse de l’état actuel de la gestion des eaux pluviales au Québec montre l’existence de certaines lacunes dans la conception des réseaux de drainage urbain, avec des exigences et des attentes de plus en plus larges de la part des citoyens ainsi que des nouveaux défis associés au développement durable. Il devient donc urgent de mettre en place une nouvelle approche pour gérer de manière durable et intégrée la question du drainage urbain dans le contexte spécifique québécois. Le présent article offre une revue succincte de la littérature, une analyse exhaustive des pratiques de gestion optimale (PGO) applicables pour le Québec et une stratégie de contrôle des volumes de ruissellement des eaux pluviales. Il décrit huit propositions d’action publique élaborées pour une gestion durable et intégrée de ces eaux au Québec. Une démarche méthodologique sommaire en neuf étapes y est également présentée pour aider les acteurs du milieu à appliquer les propositions suggérées.
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Britto, Ana Lucia, e Bernard Barraqué. "La gestion des eaux pluviales en ville: regard croisés sur Paris et Rio de Janeiro". Risco Revista de Pesquisa em Arquitetura e Urbanismo (Online) 18, n.º 2 (1 de setembro de 2020): 20–34. http://dx.doi.org/10.11606/issn.1984-4506.v18i2p20-34.

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Les eaux pluviales urbaines font partie des éléments naturels qui peuvent représenter à la fois une ressource et une menace pour la vie urbaine. Dans les métropoles françaises et brésiliennes, ce thème est désormais au cœur de la planification urbaine et des projets urbains. En partant de l’approche de la gestion durable des eaux en ville qui intégre urbanisme et cicle urbain de l’eau, on cherche à indiquer les potentialités et les limites des instruments de planification concernant la gestion des eaux pluviales urbaines à travers des regards croisés entre Paris et Rio de Janeiro.
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Fuamba, Musandji, Thomas Walliser, Mathurin Daynou, Jean Rousselle e Gilles Rivard. "Vers une gestion durable et intégrée des eaux pluviales : Une étude de cas pour le Québec". Canadian Journal of Civil Engineering 37, n.º 2 (fevereiro de 2010): 224–35. http://dx.doi.org/10.1139/l09-146.

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Pour inciter les professionnels québécois engagés dans la gestion durable et optimale des eaux pluviales à cibler des objectifs clairs, huit propositions d’action publique, de même qu’une démarche méthodologique sommaire pouvant aider à utiliser ces propositions de manière avisée et responsable, ont été suggérées dans l’article complémentaire. Le présent article traite d’une étude de cas où les huit propositions ont été appliquées dans un secteur en développement résidentiel d’une municipalité québécoise, en suivant la méthodologie proposée. L’objectif principal du présent article est de montrer la faisabilité d’utiliser de nouvelles pratiques de gestion optimale (PGO) des eaux pluviales au Québec. L’analyse économique sommaire, décrite seulement à titre indicatif dans cet article, montre que l’implantation de quelques PGO applicables au Québec sur la base d’objectifs précis de gestion intégrée et durable, est réalisable et même rentable. Une analyse technique poussée reste toutefois nécessaire pour identifier toutes les PGO susceptibles d’améliorer les conditions de drainage urbain au Québec, de même qu’une analyse économique approfondie reste indispensable pour préciser les véritables coûts liés à l’investissement dans les nouvelles techniques.
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DELLINGER, F., e T. MORONNOZ. "L’eau pluviale dans la rénovation de nos cités, étude de cas : l’Arlequin de la Villeneuve à Grenoble". Techniques Sciences Méthodes, n.º 3 (20 de março de 2020): 71–77. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202003071.

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L’objet du projet présenté, support de réflexion et d’expérimentation, est la prise en compte de la gestion des eaux pluviales par infiltration dans le cadre de la rénovation urbaine d’un quartier en politique de la ville où, jusqu’à présent, toutes les eaux collectées étaient renvoyées aux réseaux. L’étude de cas est celle de la rénovation des espaces publics sur une surface de 7 ha du quartier de l’Arlequin de la Villeneuve à Grenoble en 2017 et 2018, pour un montant d’investissement de 6,50 M€ HT. En partenariat avec les services de la métropole de Grenoble, les espaces réaménagés sont progressivement déconnectés du réseau, qui, en conséquence, est pour partie abandonné. Le travail porte autant sur les expérimentations des systèmes de gestion hydrauliques en renouvellement urbain que sur le développement conjoint d’un projet urbain et paysager, sur l’évolution des palettes végétales, sur le confort des espaces publics et la réduction des îlots de chaleur, sur la sécurité et sur la gestion de la voiture dans le quartier.
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Lévêque, C. "Biodiversité et gestion des systèmes aquatiques continentaux". Revue des sciences de l'eau 11 (12 de abril de 2005): 211–21. http://dx.doi.org/10.7202/705339ar.

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La biodiversité des eaux continentales se caractérise par une forte endémicité de nombreuses espèces résultant de la nature insulaire des milieux. Alors qu'elles n'occupent que 1-2 % des terres émergées une proportion importante de vertébrés (environ 1/3) vit dans les eaux continentales ou en dépendent étroitement pour réaliser leur cycle biologique. Certains systèmes aquatiques, comme les lacs dits anciens, sont de véritables laboratoires naturels pour étudier l'évolution, et il faut protéger ce patrimoine. Les recherches sur l'origine et la dynamique de la biodiversité aquatique (inventaire, phylogénie, biogéographie) doivent se poursuivre, notamment pour les milieux tropicaux encore mal connus. Les relations fonctionnelles entre les espèces et les écosystèmes constituent un nouveau centre d'intérêt qui nécessite à la fois de revisiter les résultats déjà obtenus, de mettre en place des recherches spécifiques, et de développer des approches expérimentales. Quelles relations existent-ils entre la biodiversité et la stabilité ou la productivité des écosystèmes par exemple ? La biodiversité est un médiateur entre les systèmes écologiques et les systèmes sociaux dont la conservation s'inscrit dans la problématique du développement durable. La valorisation économique de la biodiversité pose de nouvelles questions à l'économie de l'environnement malgré les difficultés méthodologiques rencontrées. Les questions qui intéressent les gestionnaires portent principalement sur l'état de santé des écosystèmes et les moyens de la caractériser (indicateurs biologiques par exemple). La gestion durable des ressources vivantes, et une meilleure évaluation des conséquences des introductions d'espèces (biomanipulations) constituent également des objectifs finalisés auxquels les recherches dans le domaine de la biodiversité aquatique se doivent d'apporter des éléments de réponse.
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Perrodin, Yves, Cécile Delolme, Thierry Winiarski, Jean-Philippe Bedell, Sylvie Barraud, Jean-Pascal Bardin, Magali Dechesne et al. "Projet « MGD Infiltration ». Maîtrise et gestion durable des ouvrages d'infiltration des eaux pluviales en milieu urbain". Revue française de génie civil 7, n.º 1 (28 de janeiro de 2003): 81–88. http://dx.doi.org/10.3166/rfgc.7.81-88.

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CHOCAT, B., B. AFRIT, T. MAYTRAUD, P. SAVARY e D. TEDOLDI. "Comment mettre en place des règles hydrologiques efficaces pour la gestion durable des eaux pluviales urbaines". Techniques Sciences Méthodes 10 (20 de outubro de 2022): 39–62. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202210039.

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Actuellement, en France, de nombreuses collectivités mettent en place un cadre réglementaire et incitatif visant en particulier à favoriser le développement des solutions dites alternatives de gestion des eaux pluviales urbaines. En s’appuyant sur une approche analytique fondée sur la méthode des pluies, ce document s’intéresse aux conséquences négatives que certaines règles hydrologiques peuvent parfois introduire. Ces conséquences négatives sont dues à la diversité des situations hydrologiques que les dispositifs doivent affronter, à la variété des objectifs poursuivis, à la variété en nature et en taille des opérations d’aménagement et, enfin, au grand nombre de solutions techniques possibles. Il montre que si les règles choisies sont trop rigides ou mal conçues elles peuvent avoir des effets pervers, voire même se révéler contre-productives. Au-delà de ce simple diagnostic, il propose des pistes pour améliorer leur rédaction. Il préconise en particulier la mise en oeuvre d’un ensemble de règles complémentaires, construites de façon à privilégier les objectifs locaux perçus comme essentiels, et adaptées aux différents niveaux de sollicitation pluviométrique. Enfin, il fournit quelques éléments pratiques pour les rédiger de façon appropriée.
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FLANAGAN, K., P. BRANCHU, L. BOUDAHMANE, E. CAUPOS, D. DEMARE, S. DESHAYES, P. DUBOIS et al. "Vers une maîtrise à la source de la contamination des eaux pluviales urbaines : rétention et devenir de micropolluants dans deux ouvrages de filtration végétalisés". Techniques Sciences Méthodes, n.º 12 (20 de janeiro de 2020): 65–88. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/201912065.

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Les ouvrages de filtration végétalisés pour la gestion à la source des eaux pluviales, appelés à l’international des ouvrages de biofiltration, de biorétention ou vegetative filter strips, visent la maîtrise du flux polluant associé aux eaux pluviales urbaines. Ces ouvrages permettent le stockage, la fltration au travers d’un substrat planté et éventuellement l’infiltration de l’eau. L’efficacité épuratoire a été évaluée in situ pour deux systèmes de biofiltration, un accotement filtrant et une noue filtrante, pour un panel diversifié de polluants. Ce panel comprend des éléments traces métalliques (ETM) et des micropolluants organiques – des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), des alkylphénols, le bisphénol A (BPA), des phtalates – dans les phases totales et dissoutes. Les polluants essentiellement associés à la phase particulaire (Pb, Zn et HAP) étaient très bien retenus dans les ouvrages (abattements de concentration ›90%) pour la majorité des événements pluvieux. Cependant, une performance dégradée a été observée vis-à-vis des particules pendant la période hivernale, ce qui a été attribué à la taille plus fne des particules pendant cette période. Les abattements des concentrations dissoutes étaient rarement significatifs et tendaient à être bien plus faibles que ceux observés pour les matières en suspension (MES) et les polluants présents sous forme particulaire. De ce fait, des rétentions relativement faibles étaient observées pour les concentrations totales en polluants modérément particulaires, tels que le BPA, les alkylphénols et les phtalates. La rétention des ETM dissous semble avoir été limitée par leur association à la matière organique dissoute, alors que celle des micropolluants organiques dissous était limitée essentiellement par la contamination initiale du substrat filtrant ou par des émissions depuis les matériaux synthétiques de construction. À l’échelle annuelle, la noue filtrante dans sa configuration finale abattait entre 33 et 81% du flux polluant en fonction des polluants.
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Ballay, D., e J. F. Blais. "Le traitement des eaux usées". Revue des sciences de l'eau 11 (12 de abril de 2005): 77–86. http://dx.doi.org/10.7202/705331ar.

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L'article présente brièvement l'état de l'épuration des effluents des collectivités en France et au Québec. Il souligne ensuite quelques changements importants intervenus depuis dix ans dans le monde grâce aux progrès de la recherche et qui pourraient marquer l'avenir. En France, 95 % des agglomérations de plus de 10 000 équivalents-habitants disposent d'une station d'épuration. Le rythme de construction a atteint 730 installations nouvelles dans l'année 1976 mais il est redescendu à moins de 300/an. Sur les 11 310 stations de plus de 200 équivalents-habitants recensées, 5 % réalisent seulement un traitement primaire et la moitié en nombre, représentant plus de 60 % de la capacité de traitement utilisent le procédé des boues activées. Les investissements à réaliser entre 1994 et 2005 pour satisfaire aux exigences de la directive européenne du 21 mai 1991 sont évalués à environ 36 milliards de francs français, correspondant à la création de capacités de traitement supplémentaires de 17 millions d'équivalents-habitants et à des améliorations plus ou moins importantes d'un grand nombre de stations existantes. Au Québec, la construction des stations d'épuration s'est faite essentiellement dans les années 80 et 90. Aujourd'hui, près de 80 % de la population est desservie par des installations d'épuration, soit environ 4,9 millions d'habitants pour un débit hydraulique de 5,3 millions de m3/j. Parmi les 450 ouvrages municipaux ceux des Communautés Urbaines de Montréal et de Québec représentent, à eux seuls, près de 60 % de la capacité installée. Les stations physico-chimiques, bien que peu nombreuses, sont les plus importantes (6 stations pour 2,28 millions d'habitants) suivies par les boues activées (40 stations pour 0,69 million d'habitants) et la biofiltration (9 stations pour 0,75 million d'habitants). Environ 320 stations, de dimension plus modeste utilisent des étangs aérés, desservant en moyenne une population de 3 500 habitants. Sur le plan de l'évolution des techniques, la décennie écoulée a vu apparaître ou se confirmer des évolutions qui marqueront sans doute profondément la conception et l'exploitation des stations d'épuration dans les années à venir : - l'objectif maintenant presque généralisé d'éliminer les nutriments azote et phosphore et le développement rapide des techniques correspondantes; - la prise de conscience de l'importance des flux polluants véhiculés par les eaux pluviales et un début d'adaptation des stations d'épuration; - le développement limité mais réel des traitements anaérobies qui ont survécu à la démobilisation des surlendemains de la crise énergétique; - le fort développement des systèmes d'épuration biologique à culture fixée et notamment des biofiltres; - l'apparition prometteuse des membranes dans les systèmes d'épuration biologique permettant d'envisager de nouveaux objectifs de traitement; - la prise en compte de la fiabilité des systèmes d'épuration avec un poids de plus en plus important par rapport aux performances de pointe - une vision plus intégrée de la prévention des pollutions tant dans l'industrie (technologies propres) que dans les agglomérations (gestion intégrée de l'ensemble réseau-station d'épuration).
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Lajili-Ghezal, L. "Utilisation du modèle KINEROS pour la simulation des hydrogrammes et des turbidigrammes en zone semi-aride tunisienne". Revue des sciences de l'eau 17, n.º 2 (12 de abril de 2005): 227–44. http://dx.doi.org/10.7202/705532ar.

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L'article qui est proposé s'inscrit dans le cadre de la recherche de systèmes de gestion de l'eau qui soient en mesure de satisfaire une demande alimentaire croissante dans un contexte de rareté de l'eau, tout en respectant les exigences de l'environnement. Il développe la phase 1 d'une démarche méthodologique visant l'élaboration d'un plan de gestion des eaux d'un lac collinaire en zone semi-aride tunisienne pour un développement agricole durable. Cette phase correspond à l'utilisation d'un modèle de prévision du ruissellement et des sédiments par averse. Le modèle mathématique à paramètres physiques distribués KINEROS est utilisé et appliqué sur un petit bassin versant de 135,35 ha pour 9 averses enregistrées durant les deux années 1997 et 1998 en affectant aux différents paramètres du modèle des valeurs réalistes basées sur les résultats expérimentaux collectés dans la littérature. L'application de ce type de modèle nécessite la connaissance de l'occupation du sol à un instant donné. Pour ce faire, une carte d'aménagement agricole pour l'ensemble du bassin versant a été établie correspondant à la résultante de deux cartes élaborées ; la carte culturale et la carte d'aménagement antiérosif. L'analyse des résultats obtenus a montré que le modèle KINEROS peut être utilisé comme outil d'aide à la gestion des terres et des sols en zone semi-aride tunisienne à relief accidenté.
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DIOGO, Rodrigue V. C., e Bignon T. C. TAMA. "Production maraîchère à Banikoara au Nord Bénin : Acteurs et pratiques pour la durabilité du système de production". Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 9, n.º 1 (30 de junho de 2019): 133–40. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v9i1.69.

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La production de légumes joue un rôle vital dans la sécurité alimentaire et la subsistance des communautés en Afrique subsaharienne. Cependant, en raison de la demande alimentaire sans cesse croissante, plusieurs systèmes de production se sont développés avec une diversité d'acteurs. Afin d'évaluer les pratiques de ces derniers et d'en tirer des recommandations pour la production maraîchère durable dans la commune de Banikoara, Nord Bénin, une enquête de 30 jours a été réalisée dans 4 unités administratives de la commune. Un questionnaire semi-structuré a été administré à 104 producteurs de légumes sélectionnés selon la méthode de la boule de neige et un échantillonnage raisonné, pour évaluer ces acteurs et leurs pratiques. Les questions posées étaient liées au régime foncier, aux spéculations produites, à l'utilisation des intrants et aux pratiques de gestion du maraîchage. Les résultats ont indiqué que 66,3% des personnes interrogées étaient des femmes contre 34,7% d'hommes. Ils utilisent souvent des terres privées ou communales sans un régime foncier formel. Au total 14 légumes ont été cultivées par les acteurs en utilisant des eaux de puits (29,8% des enquêtés), de rivières (36, 5%) et des barrages (33,7%). De plus, l'utilisation innovante d'engrais organiques (compost, déchets domestiques et déjections animales) et de pesticides biologiques (extraits de feuilles de neem plus ail / tabac) a été rapportée par les acteurs. Ce changement structurel de l'utilisation des intrants biologiques est un premier pas vers une production maraîchère durable où la santé des consommateurs et de l’environnement sont préservées. Il existe donc une voie prometteuse pour promouvoir la production biologique de légumes dans la région. Cependant, des efforts de recherche supplémentaires sont encore nécessaires pour obtenir des formulations efficaces appropriées pour accroître les investissements des producteurs et les avantages pour la communauté.
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AKODEWOU, Amah, Oumarou PALOU MADI, Baptiste MARQUANT e Régis PELTIER. "Suivi de la dynamique de deux parcs à Faidherbia albida du Nord-Cameroun, par analyse d’images Google Earth". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 353 (1 de outubro de 2022): 43–60. http://dx.doi.org/10.19182/bft2022.353.a36995.

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Dans la zone soudano-sahélienne du Nord-Cameroun, à partir de 1994, le projet Développement paysannal et gestion de terroir a encouragé la restauration des parcs agroforestiers à Faidherbia albida en subventionnant leur régénération naturelle assistée (RNA), en prélevant sur les revenus du coton. Ensuite, les instituts de recherche agronomique camerounais (Irad) et français (Cirad) s’associèrent pour étudier la dynamique de restauration de ces parcs, avec l’appui de l’École nationale du génie rural, des eaux et forêts (Engref) et du projet PRASAC, en réalisant des essais d’émondage des arbres, des inventaires et des enquêtes. Mais depuis la crise sécuritaire de Boko Haram (2015), l’accès au terrain est devenu compliqué. L’étude a pour objet de déterminer si un suivi de l’évolution de la couverture arborée de deux de ces parcs serait possible par une photo-interprétation semi-automatique d’images Google Earth prises en saison sèche, basée sur une analyse orientée-objet, et quel serait son degré de fiabilité. La comparaison entre les données provenant d’un inventaire réalisé dans ces parcs en 2012 et celles provenant de l’interprétation d’images Google Earth de 2013 montre que ces dernières sont très imprécises pour l’estimation du nombre d’arbres, en particulier pour les arbres dont le houppier a une surface de 2 à 100 m2, et pour les F. albida qui perdent une partie de leur feuillage et qui sont émondés de façon très irrégulière. Malgré cela, il est constaté que, sur les terroirs de Sirlawé et Gané, la superficie projetée des houppiers a plus que doublé entre 2009 et 2018, en passant respectivement de 246 à 587 m2/ha (2,5 % à 5,9 %) et de 245 à 575 m2/ha (2,5 % à 5,8 %). Cette augmentation du couvert est essentiellement due aux arbres de petite taille. Cette étude dessine des bases pour : inventorier plus précisément avec d’autres types d’images satellitaires ; comparer l’évolution du couvert arboré des villages bénéficiant ou pas de la politique de RNA subventionnée ; déterminer les perceptions des agriculteurs sur l’intérêt de la politique d’appui à la RNA et sur la gestion durable de ces systèmes agroforestiers.
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HERPIN, P., e J. M. PEREZ. "Avant-propos". INRAE Productions Animales 21, n.º 4 (27 de setembro de 2008): 299–300. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.4.3403.

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Un enjeu majeur en élevage : la réduction des impacts sur l’environnement Le maintien, voire le développement, des productions animales sur notre territoire passe d’abord par la résolution des problèmes environnementaux en particulier dans les zones à fortes concentrations animales. Dans ces régions d’élevage intensif, l’impact de cette activité sur l’environnement est une préoccupation majeure, qui répond à une demande sociale forte. A cet égard dans l’esprit du public, plus encore que les autres productions animales intensives, la production porcine est considérée comme emblématique de pollution, en grande partie du fait des nuisances olfactives qui lui sont associées. Mais d’autres impacts environnementaux ont également attiré très tôt l’attention du public et du législateur sur la qualité des eaux, notamment les teneurs excessives en nitrates des ressources aquifères, et la réglementation actuelle sur les installations d’élevage est encore très largement basée sur cette seule dimension. Plus récemment, une prise de conscience des menaces que peuvent représenter les changements climatiques qui résultent et résulteront de l’accumulation de gaz à effets de serre dans l’atmosphère a pris corps, et il est clair qu’une attention particulière devra être accordée à la fertilité des sols qui pourrait être affectée à l’avenir par une accumulation excessive de métaux lourds. On le voit, les préoccupations sur les impacts environnementaux de l’élevage sont fondées et le monde de l’élevage doit résolument s’engager sur la problématique du développement durable en faisant évoluer «les manières de produire» ; en d’autres termes, il s’agit de relever le défi majeur de produire à des coûts compatibles avec les marchés mondiaux tout en réduisant ses impacts à des niveaux permettant de transmettre aux générations suivantes un environnement non dégradé. Porcherie verte : un programme précurseur en multi-partenariat Lancé en 2001 à l’initiative de l’INRA, le programme «Porcherie verte» a ouvert la voie dans ce domaine de recherche. C’est un programme interdisciplinaire conduit en multi-partenariat qui s’est donné précisément pour objectif de «concevoir et de promouvoir des systèmes durables de production porcine», diversifiés, compétitifs et répondant à un haut niveau d’exigences quant à la gestion de l’environnement. Les organisations partenaires (Adaeso, Ademe, Afssa, Agrocampus Ouest, Arvalis, Cemagref, Crab, Eaux et Rivières de Bretagne, FNP, Inra, Inzo, Ifip, MAP, MEDAD, Office de l’Elevage, RAD), ont voulu notamment contribuer à la réalisation de travaux de recherches concertés visant à mieux connaître et à mieux maîtriser les impacts environnementaux liés à l’activité de production porcine. Au-delà des nombreuses publications issues des ces travaux, et afin d’assurer une valorisation complète et un transfert des résultats les plus innovants, le programme «Porcherie verte» s’est conclu en novembre 2005 par un séminaire de réflexion et s’est traduit en 2007 par l’édition de fiches opérationnelles présentant les résultats-clé et leur impact scientifique et appliqué pour la filière porcine. Pour compléter cette diffusion et permettre une appropriation par un maximum d’acteurs et de porteurs d’enjeux, les coordonnateurs de «Porcherie verte» et les responsables d’INRA Productions animales ont décidé conjointement de consacrer un numéro complet de la revue à ce programme en s’appuyant cette fois sur une sélection de faits saillants sans vouloir être exhaustif. Ce document de synthèse apporte une touche finale à ce programme dont la réussite mérite d’être soulignée. Il est publié dans un contexte nouveau où, en prolongement du Grenelle de l’environnement et présence d’exigences renforcées vis-à-vis de l’environnement et du développement durable des territoires, l’INRA souhaite reproduire ce genre d’initiative avec d’autres filières. Bonne lecture !Patrick HERPIN et Jean-Marc PEREZ
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COULON, JB, P. LECOMTE, M. BOVAL e J. M. PEREZ. "Introduction générale". INRAE Productions Animales 24, n.º 1 (3 de março de 2011): 5–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3232.

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L’agriculture, et plus particulièrement les productions animales, sont depuis quelques années au cœur des préoccupations mondiales, si l’on en juge par les nombreux rapports que les institutions internationales, ainsi que l’INRA et le CIRAD, leur ont récemment consacré (Millenium Ecosystem Assessment 2005, IPCC 2006, Steinfeld et al 2006, World Bank 2008, FAO 2009, Steinfeld et al 2010, Dorin et al 2011). Deux points forts ressortent de ces exercices de prospective : 1/ Le poids économique et social de l'élevage dans l'agriculture mondiale est considérable :- La planète compte, toutes catégories confondues, 19 milliards d’animaux d'élevage dont 70% sont détenus par des éleveurs hors pays industrialisés ; - On comptait en 2000 : 1 porcin pour 7 habitants, 1 bovin pour 4 habitants, 1 petit ruminant pour 3 habitants, et plus de 2 volailles par habitant ; - Environ 250 millions d'animaux de trait apportent la force de travail pour près de la moitié des cultures vivrières dans les agricultures familiales des pays en développement ;- L’élevage mobilise environ 4 milliards d’ha de surfaces en herbe (soit près de 30% des terres émergées non gelées), fournit le tiers des protéines pour l’alimentation humaine et représente 40% de la valeur de la production agricole brute mondiale ;- On prévoit d’ici à 2050 le doublement des productions animales, essentiellement par une forte expansion des activités d’élevage dans les pays du Sud ;- Quant à l’approvisionnement futur en produits aquatiques, il repose sur l’essor de l’aquaculture (50% déjà du marché mondial), qui est le secteur de l’élevage lato sensu ayant la plus forte croissance surtout dans la zone AsiePacifique ;- L’élevage contribue aux moyens de vie d’un milliard de pauvres dans les pays du Sud et emploie au total 1,3 milliard de personnes dans le monde. 2/ Les productions animales doivent faire face, plus que les productions végétales, à de nombreuses interrogationset remises en cause qui interpellent la recherche et le développement. On peut les résumer de la façon suivante :comment répondre à l’augmentation considérable de la demande en produits animaux, notamment dans les pays du Sud, dans un contexte de compétition forte sur les ressources pour l’alimentation humaine et de la nécessite d’une prise en compte des impacts environnementaux de l’élevage, qu’ils soient positifs (services environnementaux rendus par les systèmes de productions animales) ou négatifs (contribution au changement climatique liées aux émissions de GES, dégradation de la biodiversité, consommation importante d’eau et d'énergie, détérioration de la qualité des eaux par les effluents d’élevage). Ces interrogations ne se déclinent pas de la même façon dans les pays du Nord et du Sud, parce que la place de l’élevage dans la société et les enjeux de son développement y sont différents. Les productions animales au Sud se trouvent ainsi dans une situation paradoxale : elles doivent faire face à une évolution importante de la demande à moyen terme, dans un contexte nouveau, marqué notamment par les tensions sur les disponibilités et les coûts des intrants et par la prise en compte impérative tant des contributions que des effets liés au changement climatique. C’est dans ce contexte particulier, et en prolongement de la réflexion menée par l’INRA et le CIRAD dans le cadre du chantier PARC rappelé dans la préface, que la Rédaction de la revue INRA Productions animales a décidé de consacrer un numéro complet au thème de l’Elevage en régions chaudes (Coulon et al 2011). Les contributions rassemblées dans ce numéro spécial ont pour ambition de faire une synthèse approfondie de l’état connaissances et des expériences acquises en termes d’élevage en régions chaudes. Les productions animales sont analysées à différents niveaux d’organisation, tenant compte de leur spécificité et des interrelations entre les diverses échelles, permettant une visualisation à la fois circonstanciée et large de la situation de l’élevage dans le monde. Les auteurs fournissent ainsi un panel de résultats, d’illustrations, de solutions et d’alternatives innovantes, ainsi que de nouvelles pistes et priorités de recherche. Celles-ci peuvent réellement contribuer à mieux appréhender la multifonctionnalité de l’élevage, la durabilité de son développement et ses évolutions à venir. Après une présentation des éléments d’évolution des productions animales au niveau mondial (Gerber et al), le deuxième article synthétise les nombreuses connaissances acquises concernant les ressources alimentaires tropicales (diversité, disponibilité et valeur nutritive), utilisables en hors-sol ou au pâturage (Archimède et al). Pour les animaux, ruminants et monogastriques, les caractères majeurs d’adaptation aux effets directs du climat, à la sous-nutrition ou aux maladies parasitaires sont développés, et des options d’optimisation de la productivité et de la résilience sont proposées (Mandonnet et al). Dans le domaine de la santé, les maladies infectieuses animales constituent des contraintes économiques fortes ainsi que des risques pour la santé humaine ; des stratégies pour faire face à cette situation sont formulées, concernant à la fois la conduite des systèmes d’élevage et l’organisation de réseaux de surveillance à l’échelle régionale (Lancelot et al). L’article suivant insiste sur la nécessaire prise en compte de la qualité des produits par les producteurs et les transformateurs et l’importance des règles de caractérisation et de gestion de cette qualité, dans un contexte spécifique aux pays du Sud en termes de conditions climatiques, économiques et sociologiques (Faye et al). Les interactions entre l’environnement et les systèmes d’élevage diversifiés sont décrites et illustrées tant en termes d’impacts que de services agro-écologiques, et diverses pistes sont suggérées pour une gestion plus durable de ces systèmes en régions chaudes (Blanfort et al). En sus de la composante environnementale, et au vu de la diversité des systèmes d’élevage et de leur multifonctionnalité, une démarche essentielle de conception-évaluation de systèmes durables est explicitée, illustrée d’exemples géographiques contrastés (Dedieu et al). A une échelle plus large, les auteurs examinent les interactions entre les territoires ou espaces de production et les filières et proposent un modèle d’analyse appliqué à quatre territoires représentatifs du Sud (Poccard et al). Enfin l’élevage, marqueur socioculturel de nombreuses sociétés du Sud, est analysé comme contributeur culturel et capital social, pour son rôle économique majeur à l’échelle des familles, mais également en faveur de la sécurité alimentaire et le développement local (Alary et al). Souhaitons que ces articles de synthèse et les pistes de recherche évoquées dans ce numéro thématique incitent les chercheurs de l’INRA et du CIRAD à renforcer leur collaboration et à proposer de nouvelles approches de la conception et de l’évaluation des systèmes d’élevage en régions chaudes.
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Leger-Smith, Anaïs. "Critique de paysage de l’écoquartier Vidailhan à Balma, entre écologie de l’espace public et identité territoriale urbain-rural". Textes et contextes, n.º 16-2 (10 de dezembro de 2021). http://dx.doi.org/10.58335/textesetcontextes.3359.

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Resumo:
Le programme national écoquartier encourage les concepteurs à explorer les pratiques de l’urbanisme écologique, telles que les systèmes de gestion différenciée et de traitement durable des eaux sur site, le maintien d’une diversité végétale, ou la création d’espaces partagés par tous. Le projet de paysage, par sa capacité à mettre en place les conditions favorables au développement du vivant, mais aussi dans sa réflexion autour des espaces publics ouverts de nature, accompagne particulièrement bien ce dessein. Dans l’écoquartier Vidailhan à Toulouse, ces pratiques permettent la construction d’une identité paysagère urbaine-rurale propre, dans un contexte de développement péri-métropolitain. Il s’agit ici d’éclairer, à la lumière d’une critique de paysage, la capacité d’un écoquartier à faire transition entre espace agricole préexistant et espace urbain, entre ruralité et métropolisation, et à être appropriée par les nouveaux habitants.L’évolution des pratiques des paysagistes observées dans les écoquartiers sont l’héritage de deux phénomènes. Citons d’abord la contribution des paysagistes à l’ouverture progressive de la pratique urbaine vers la géographie des territoires. Les principes du Landscape Urbanism en sont une illustration. Ils s’inspirent de la notion d’urbanisme de révélation, de territoire comme palimpseste et de l’approche sédimentaire pour révéler la mémoire des lieux. L’amplification géographique s’appuie sur la structure territoriale préexistante pour projeter une transformation de l’espace. Citons ensuite le tournant paradigmatique vers une pensée écosystémique qui a pris le dessus dans les discours et les pratiques paysagistes au cours des années 2000 et place les processus écologiques au cœur de la conception urbaine. Or dans un espace sud européen où la figure de l’espace public minéral formel domine, les écoquartiers pourraient constituer des poches d’expérimentation pour les paysagistes, invitant au dialogue entre biens communs écologiques et biens communs anthropocentrés, vers la notion de « biens communs écopaysagers hybrides ». L’exemple d’un écoquartier toulousain est intéressant car il suggère, dans un contexte local d’une profession paysagiste en plein développement, un glissement nécessaire des discours paysagistes depuis une approche techno-managériale et une lecture scientifiste du territoire pour aller vers une écologie de l’espace public.Le projet de paysage explore la limite fine entre le contexte global, le phénomène de métropolisation et la culture locale. La mise en place d’une image partagée paysagère post-métropolitaine à Toulouse implique le glissement d’un discours globalisé vers l’incorporation d’une part des particularités locales, des racines rurales, du passé agricole, et d’autre part des particularités métropolitaines préexistantes. Cela passe par la mise en place d’une nouvelle catégorie d’espaces, ni urbains ni ruraux, participant de la relation épistémologique entre l’homme et la nature.
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