Literatura científica selecionada sobre o tema "Revue des echecs et autres jeux"

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Artigos de revistas sobre o assunto "Revue des echecs et autres jeux"

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Plaisance, Guillaume. "À l’approche de Paris 2024, que sait-on de la gouvernance et de la performance des Jeux Olympiques ? Une critique de l’approche actuelle du CIO". Vie & sciences de l'entreprise N° 218, n.º 3 (19 de fevereiro de 2024): 32–50. http://dx.doi.org/10.3917/vse.218.0032.

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Face aux critiques venues tout à la fois des communautés, des acteurs publics et privés et de la recherche, le Comité International Olympique s’est engagé dans une gouvernance ouverte à ses parties prenantes et guidée par l’héritage des Jeux. En dépit de ces efforts, cette revue narrative montre que ce choix ne semble pas pertinent sur le moyen et long terme, en particulier car il est exclusif des autres dimensions de la gouvernance et de la performance des JO. Une ouverture au concept de performance globale et une approche collaborative (menant à la cohabitation du contrôle et de la qualité de la relation avec les parties prenantes) sont proposées.
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Dendasck, Carla Viana, Euzébio de Oliveira, Amanda Alves Fecury e Claudio Alberto Gellis de Mattos Dias. "Formation continue : indications pour l’enseignement à distance des sciences biologiques au primaire et au secondaire". Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, 2 de setembro de 2021, 171–86. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/education-fr/science-biologie.

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Bien que les discussions sur la possibilité d’une éducation en ligne à l’école primaire et secondaire au Brésil soient entrées dans le sillage du débat théorique, il existe encore une grande résistance. Cependant, le contexte de la pandémie n’a apporté aucune alternative, conduisant des milliers d’étudiants à l’isolement social pendant plus d’un an. Ce contexte a amené les enseignants du primaire et du secondaire à s’adapter aux nouvelles technologies, démontrant ainsi la nécessité de se préparer à travailler dans l’enseignement à distance. La question guide de ce matériel était la suivante: comment les enseignants en sciences de la vie peuvent-ils se préparer et quels outils de base devraient-ils connaître pour préparer leurs cours en ligne? Ainsi, l’objectif général était de réaliser des indications que les enseignants devraient connaître pour préparer leurs cours en ligne. La méthodologie adoptée a été exploratoire par le biais d’une revue de la littérature. Les principales indications étaient que les enseignants doivent rechercher un contenu diversifié dans la préparation des classes pour adopter des stratégies de motivation avec leurs élèves, en adoptant un soin avec la question de la langue, de l’audio et de la lumière dans la production des classes. Enfin, il appartiendra à l’enseignant de reconnaître les différents outils et ressources tels que : Youtube, Instagram, Films, Jeux, et autres subventions, afin qu’il y ait une approximation entre l’enseignement de la biologie et la réalité de l’élève.
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Greer, Nancy, Matthew Rockloff, Matthew Browne, Nerilee Hing e Daniel L. King. "Esports Betting and Skin Gambling: A Brief History". Journal of Gambling Issues 43 (21 de outubro de 2019). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2019.43.8.

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The rising popularity of competitive video gaming (“esports”) has attracted the involvement of the gambling industry, with esports cash betting available from the majority of wagering operators. In addition, an unregulated gambling subculture around esports has arisen, with virtual game items known as “skins” being used as currency to place bets on esports and third-party sites that host games of chance. Little is presently known about these novel forms of gambling, although there are growing concerns that these products may place some vulnerable consumers (e.g., youth) at risk of gambling-related harm. The current paper provides a historical overview of esports betting and skin gambling globally, drawing on the limited research literature available, including academic journals, government publications, conference presentations, and media reports. Topics briefly covered in the review include esports, skins, history of the gambling products, gambling exposure and accessibility, research findings (e.g., prevalence, awareness, demographic characteristics, gambling behaviour, problem gambling), illegal activities, changes to skins and the skin gambling market, and industry and government responses to concerns arising from these new gambling products (e.g., underage gambling). The intention of this paper is to provide the general public, academics, governments, and other key stakeholders with an understanding of the evolving landscape around esports betting and skin gambling, the type of bettors that these forms of gambling attract, and the potential adverse consequences of these activities.Résumé La popularité croissante du jeu vidéo de compétition (« e-sport ») a attiré la participation du secteur du jeu qui y voit une occasion de pari d’argent « e-sport » auprès de la majorité des exploitants de jeux d’argent. De plus, une sous-culture du jeu non réglementée autour des e-sports est apparue, des objets virtuels appelés « skins » étant utilisés comme monnaie pour placer des paris sur des sites sportifs et de tiers hébergeant des jeux de hasard. Cependant, on en sait actuellement peu sur ces nouvelles formes de jeu et on craint de plus en plus que ces produits ne mettent certains consommateurs vulnérables (par exemple, les jeunes) en situation de risque de préjudice lié au jeu. Le présent document fournit un aperçu historique des paris sportifs et des paris d’objets virtuels (skin gambling) à l’échelle mondiale, en s’appuyant sur le peu de littérature de recherche qui existe, notamment des revues spécialisées, des publications gouvernementales, des présentations à des conférences et des reportages dans les médias. Les sujets brièvement abordés dans la revue incluent : les sports, les « objets virtuels », l’historique des produits de jeu, l’exposition et l’accessibilité au jeu, les résultats de recherche (c’est-à-dire, la prévalence, la sensibilisation, les caractéristiques démographiques, le comportement de jeu, le jeu compulsif), les activités illégales, l’évolution du marché du jeu de hasard et des jeux d’objets virtuels et les réponses de l’industrie et du gouvernement aux préoccupations découlant de ces nouveaux produits de jeu (par exemple, le jeu chez les mineurs). L’objectif de ce document est de fournir au grand public, aux universitaires, aux gouvernements et aux autres parties prenantes une compréhension de l’évolution des paris sportifs et des jeux de hasard, du type de parieurs qu’ils attirent et des conséquences néfastes potentielles de ces activités.
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Diasio, Nicoletta. "Généalogie des savoirs anthropologies". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.034.

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Dès 1941 Ernesto De Martino appelait à un historicisme radical qui arrache les populations étudiées par les ethnologues à une condition de réification qui en faisait « une humanité fortuite, un monstrueux commérage de l’histoire humaine, dont l’étrangeté minutieusement chiffrée n’arrivait pas à en corriger la futilité » (1961 :19). Son approche dénonçait la contradiction latente d’une science qui se définit « humaine » dans son objet, mais aux méthodes prétendument naturalistes et cautionnant souvent des enjeux de pouvoir. C'est au contraire par la reconnaissance d'une commune historicité que les populations, et les savoirs qu'ils produisent, peuvent se penser ensemble, les unes par rapport aux autres (Gadamer 1963). Le dialogue entre historiens et anthropologues a permis d’ouvrir la comparaison aux différentes manières dont les sociétés humaines ont procédé pour inventer et reformuler la tradition, fabriquer des modèles du passé, figurer le changement et se penser dans le présent (Detienne 2000). Toutefois, comme le critiquait déjà Stocking en 1965, l’histoire de l’anthropologie a souvent eu du mal à penser le passé comme autre chose que le présent et à reconnaître aux populations ‘autres’ leur historicité. Une reconnaissance pleine des anthropologies périphériques passe alors par l'étude des généalogies plurielles de ces savoirs élaborés par ceux qui ont longtemps été envisagés comme des objets de connaissance ethnologique. Cette analyse est d'autant plus nécessaire qu'une des manières de nier à ces « autres » la légitimité à produire du savoir, a été celle de les encapsuler dans un éternel présent et de leur nier le labeur de l'histoire et les dynamiques de transformation. Dans la constitution des anthropologies hégémoniques, la mise à distance spatiale et temporelle a joué un rôle fondamental dans la construction de l'altérité. Mais si la spatialisation de la différence a fait l'objet de critiques sévères, l'attribution aux populations étudiées d'un temps différent n'a été remise en question que plus tardivement. Cette « allochronie » (Fabian 1983) relève de différents procédés : un rejet des autres peuples en-dehors de notre temps, un déni de la co-temporalité unissant l'anthropologue et son interlocuteur, qui biffe la dimension intersubjective du terrain, la primauté de l'observation visuelle et de la représentation qui fige l'expérience ethnologique dans un fictif ici-et-maintenant. La soustraction de la durée agit aussi bien dans la construction des objets d'étude, que dans le silence qui entoure la production anthropologiques des peuples ethnologisés. Une anthropologie non hégémonique devrait pallier à ce défaut d'historicité par une archéologie des savoirs produits par ceux qui ont fait l'objet même d'une altérisation. Comment la réflexion sur l'altérité a-t-elle été produite ailleurs que dans les anthropologies dites hégémoniques? Qu'est-ce que ce déni de l'histoire a entraîné dans la production anthropologique de ceux qui en ont été les premiers objets ? Il s'agit d'analyser « comment se sont formées, au travers, en dépit ou avec l'appui des systèmes de contrainte, des séries de discours; quelle a été la norme spécifique de chacune, et quelles ont été leurs conditions d'apparition, de croissance, de variation » (Foucault, 1971: 62-63). Une telle généalogie permettrait de reconstruire les procédures internes de production, de sélection, de classification, de légitimation, de validation des discours anthropologiques, et celles externes de mise en œuvre de ces savoirs, de leur circulation, ainsi que des modes d'appropriation, d'usage et de transmission. Ces deux types de procédures sont à analyser autant dans l'élaboration théorique, que dans l'épaisseur des pratiques: systèmes de l'édition, structures de formation, laboratoires de recherche, supports et circuits de diffusion de l'information. Ces histoires sont elles-mêmes segmentaires, plurielles, discontinues, traversées par des controverses et des tensions. Leur reconstruction permettrait de restituer la diversité interne de ces savoirs locaux, en montrant comment la place de l'anthropologie, son projet, ses cadres théoriques changent selon les histoires locales, les institutions, des rapports mobiles de pouvoir (Diasio 1999). Elles permettraient de montrer les jeux d'influence, de circulation et d'emprunt, qui souvent bousculent l'apparente hiérarchie entre savoirs hégémoniques et savoirs dits périphériques, comme le montre un numéro de la revue Deshima consacré au structuralisme néerlandais. Cela implique également de relever comment l'anthropologie se situe à la croisée de disciplines différentes et que leur configuration spécifique donne lieu à des modes spécifiques de construire et appréhender l'altérité ( → centre-périphérie). Ces savoirs, d'ailleurs, ne sont pas forcément appelés « anthropologie », mais peuvent relever de préoccupations et de méthodes qui ne sont pas moins « anthropologiques ». Comme l’affirme Bachelard, « toute connaissance, prise au moment de sa constitution est une connaissance polémique » (1950: 14). L'histoire des processus formatifs de l'anthropologie est enfin à explorer en lien avec les pratiques de recherche. Comment devient-on anthropologue? Et quels sont les sujets d'études, les méthodologies, les postures épistémologiques acceptées selon les contextes institutionnels et les systèmes disciplinaires ? Déconstruire les mécanismes de production des anthropologues et des anthropologies permet alors une opération de décentrement, qui ne peut que revitaliser la discipline. Enfin, si l’histoire et le temps prennent depuis 1989 une ampleur inédite, l’étude des anthropologies non-hégémoniques nous permettrait d’interroger plus largement les régimes d’historicité des sociétés en mutation et de questionner ce que Hartog a défini « le présentisme » : un temps désorienté entre un passé qui se dérobe et un futur incertain, ce qui amène à « l’expérience d’un présent perpétuel, insaisissable et quasiment immobile, cherchant malgré tout à produire par lui-même un temps historique » (2003 : 28). La mise en perspective des savoirs anthropologiques et de leurs généalogies, constitue une entrée pour penser la manière dont sont construits concomitamment altérité culturelle et rapports au temps (Lenclud 2010).
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Levy, Joseph. "Colonialité". Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.067.

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Parmi les perspectives anthropologiques qui structurent le champ des études coloniales et post-coloniales, on peut retenir celle de la colonialité développée dans l’école socio-anthropologique latina-américaine qui veut mettre en évidence la continuité existant entre les périodes coloniales et post-coloniales. Ce concept renvoie en premier lieu à l’analyse des rapports de pouvoir dans cette région. Liée à la progression du capitalisme dans ces régions périphériques et subalternes, la colonialité structure de façon profonde l’ensemble des relations sociales et, à part celles qui se fondent sur les critères de race et d’ethnicité (Quijano 2007) « inclut, normalement, les rapports seigneuriaux entre dominants et dominés ; le sexisme et le patriarcat ; le familismo (jeux d’influence fondé sur les réseaux familiaux), le clientélisme, le compadrazgo (copinage) et le patrimonialisme dans les relations entre le public et le privé et surtout entre la société civile et les institutions politiques » (Quijano 1994). Ce concept a été élargi pour rendre aussi compte du rapport au pouvoir, car la colonialité ne se limiterait donc pas à la sphère politique, mais affecterait celle des connaissances et des savoirs. Dans cette perspective, Lander (2000) a analysé comment les sciences sociales ont contribué à renforcer le néolibéralisme qui se veut un discours hégémonique d’un « modèle de civilisation, […] comme une synthèse extraordinaire des présupposés et des valeurs fondamentales de la société libérale moderne touchant l'être humain, la richesse, la nature, l'histoire, le progrès, la connaissance et la bonne vie » (2000, p.4) [1][1]. Ce discours doit être déconstruit pour mettre en évidence ses fondements idéologiques et épistémologiques visant à la naturalisation de la société libérale et remettre en question les principes de neutralité et d’objectivité à la base des sciences sociales contemporaines. Cette déconstruction se nourrit déjà des travaux issus de plusieurs approches critiques dont, entre autres, les études féministes, les apports des chercheurs de l’Inde et du continent africain. Mignolo (2001) s’est penché, quant à lui, sur la « géopolitique de la connaissance » , pour montrer comment les différences dans les perspectives coloniales issues du centre et de la périphérie ont contribué à une « double conscience épistémologique » où « l’épistémé monotopique de la modernité est confrontée à l’épistémé pluritopique de la colonialité. La double conscience épistémologique n’est pas une position de défense de l’“antimodernité ”. Au contraire c’est une épistémé de la frontière, du bord de la pensée, énoncée à partir de la colonialité » (2001, p. 57). Cette réflexion épistémologique a été reprise par Fatima Hurtado Lopez (2009) qui insiste sur les inégalités existant dans la production des connaissances et la dévalorisation de celles issues des groupes dominés. Selon elle, pour transformer cette situation, la décolonisation du savoir ne consiste pas en une « croisade contre l'Occident au nom d'un autochtonisme latino-américaniste, de culturalismes ethnocentriques et de nationalismes populistes. Il ne s'agit pas non plus d'aller contre la science moderne ni de promouvoir un nouveau type d'obscurantisme épistémique […]. Il s'agit au contraire, de créer une pensée intégrative et transdisciplinaire où la science occidentale puisse s'articuler avec d'autres formes de production de connaissances. Le groupe propose ainsi -face à l'universalité monologique impériale- une pluriversalité décoloniale capable d'ouvrir la possibilité d'une pensée alternative et plurielle ». L’étude de la construction de la discipline anthropologique, de ses savoirs et de sa transmission a fait l’objet d’une analyse qui s’inspire du concept de colonialité du pouvoir et du savoir. Escobar et Restrepo (2009) mettent d’abord en évidence les distinctions essentielles entre « anthropologies hégémoniques » et « anthropologies subalternes ». Les premières renvoient à la discipline, au plan théorique et pratique, telle que pensée et encadrée dans les départements d’anthropologie des universités américaines et européennes (Angleterre et France). L’hégémonie est ici conceptualisée « non comme une domination, une imposition ou une coercition que comme ce qui s’opère au fil du temps à partir du sens commun disciplinaire et qui se tient en dehors de tout examen » (Escobar et Restrepo 2009, p. 84). Quant aux secondes, elles renvoient aux anthropologies négligées par les centres hégémoniques et elles se situent dans les marges, les interstices des centres anthropologiques divers, indépendamment de leur localisation géographique. Elles n’obéissent pas aux canons de la discipline normée touchant les théories, les méthodologies, la publication et la diffusion des savoirs, qui fondent la colonialité, et n’attendent pas une reconnaissance de sa part. Aux yeux du « système-monde de l’anthropologie » conceptualisé comme renvoyant à des relations structurales de pouvoir disciplinaire marquées par l’imposition de discours et les modalités de sanction de l’expertise (examens, titres, etc.), les anthropologies subalternes n’obéissant pas au diktat de l’expertise, les savoirs des populations sont dévalorisés et disqualifiés. Par ailleurs, les modalités associées à l’acquisition des compétences anthropologiques, à travers la socialisation disciplinaire, ne font pas l’objet d’une analyse critique. Comme le soulignent encore Escobar et Restrepo, « la formation professionnelle est certainement l’un des mécanismes ayant le plus grand impact sur les subjectivités anthropologiques et dans l’incorporation de ce qui est pensable et faisable. Étudier la manière, les lieux et les personnes avec qui se forment les nouvelles générations d’anthropologues, mais également la manière dont elles s’inscrivent dans leur travail professionnel, permet de comprendre les dynamiques de consolidation, confrontation et dissolution des hégémonies en anthropologie » (2009, p. 88), et qui influencent les centres périphériques. L’étude des stratégies liées à la professionnalisation anthropologique ne peut non plus faire l’économie de l’analyse des normes liées à l’évaluation des projets de recherche et des publications qui contribuent à imposer des perspectives dominantes. L’organisation des anthropologies subalternes demande aussi à être mieux comprise en menant des recherches sur leurs rapports avec le monde académique, la structuration de leur univers épistémologique, théorique et pratique et leur retentissement sur la discipline anthropologique. La notion de colonialité oblige donc à un exercice de réflexivité qui peut aider à cerner les stratégies politiques et intellectuelles privilégiées dans les disciplines anthropologiques ainsi que les résistances et les obstacles qui empêchent le plein déploiement de leurs projets et de leurs expressions plurielles et l’établissement d’une « anthropologie du monde » qui tient compte de la diversité des épistémologies et qui s’interroge sur les enjeux linguistiques liés à sa construction (Lema Silva 2016). Cette approche originale est soutenue par le Grupo Modernidad /Colonialidad ( Pachon Soto 2008) et le réseau d’études décoloniales (reseaudecolonial.org) dont les travaux sont diffusés par sa Revue d’études décoloniales.
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Livros sobre o assunto "Revue des echecs et autres jeux"

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Palamède: Revue Mensuelle des Échecs et Autres Jeux. Creative Media Partners, LLC, 2018.

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