Literatura científica selecionada sobre o tema "Quête – Romans, nouvelles, etc"

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Artigos de revistas sobre o assunto "Quête – Romans, nouvelles, etc"

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Ducharme, Nathalie. "La mise en fiction de l’invasion américaine de 1775". Tangence, n.º 78 (14 de dezembro de 2005): 21–43. http://dx.doi.org/10.7202/011940ar.

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La mise en fiction de l’invasion américaine de 1775 implique le recours à un important appareil critique pour les auteurs de quatre romans et de trois nouvelles publiés au Canada et aux États-Unis entre 1872 et 1995. Les modalités d’emprunts aux témoignages d’époque et aux travaux d’historiens sont multiples : citation des sources, intertextualité, simulation de documents au service de l’intrigue, etc. En outre, le choix et le traitement des sources témoignent des rapports ambivalents entre Canadiens français et Américains depuis le xixe siècle.
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Gauthier, Vicky. "Le crime fantastique dans _Le grand saigneur_ de Rachilde". Voix Plurielles 8, n.º 2 (26 de novembro de 2011): 54–64. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v8i2.446.

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Marguerite Eymery-Vallette (1860-1953) – plus connue sous son pseudonyme d’homme de lettres Rachilde et davantage encore pour la controverse qu’elle a créée avec la parution de sa troisième œuvre, Monsieur Vénus, roman matérialiste (1884) – a énormément publié tout au long de sa carrière littéraire (on dénombre plus d’une soixantaine d’œuvres : romans, nouvelles, contes, pièces de théâtre, etc.). Écrivant à une époque dite décadente, Rachilde y brille par ses œuvres subversives, abordant entre autres les pratiques sexuelles dépravées (sadomasochisme, nécrophilie, zoophilie, etc.), mais surtout le crime (qu’il soit question de meurtre, de viol, de suicide, etc.). Ainsi, son personnage de prédilection est le marginal, le criminel dénué de morale. Cet article portera donc sur la façon dont le crime (et donc le criminel) chez Rachilde verse dans le fantastique, plus spécifiquement dans un fantastique du monstrueux moral que je définirai dans un premier temps. Le roman de Rachilde, Le Grand Saigneur (1922), servira ensuite d’exemple significatif de ce monstrueux moral, notamment par l’étude du personnage éponyme de l’œuvre, soit le marquis Yves de Pontcroix, qui incarne ce criminel arborant les traces tant morales (tempérament sauvage et étrange) que physiques (force hors du commun, pâleur de la peau, etc.) de sa monstruosité. C’est donc dire que face au(x) crime(x) (ou au criminel) le fantastique semble s’imposer de lui-même en guise d’explication : le genre humain ne peut vraisemblablement avoir quelque chose en commun avec cette monstruosité (ou ce monstre moral, pour reprendre les mots de Michel Foucault dans Les Anormaux). En somme, cet article se penchera sur la spécificité de l’écriture rachildienne, qui, dans le cas du roman Le Grand Saigneur, attribue une dimension fantastique au personnage criminel, renforçant d’autant plus la preuve de sa difformité (monstruosité) et de sa culpabilité.
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Perko, Gregor. "Présentation". Linguistica 51, n.º 1 (31 de dezembro de 2011): 3–4. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.51.1.3-4.

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Resumo:
Au cours des dernières décennies où l’on assiste à une refondation de la morphologie, la discipline s’intéresse de plus en plus à des phénomènes « périphériques », « marginaux », « irréguliers » ou « extragrammaticaux », à des phénomènes n’appartenant pas aux « régions nodales » de la morphologie. Le présent numéro de Linguistica, premier numéro thématique de notre revue, réunit des études qui s’intéres- sent aux frontières internes et externes de la morphologie. La diversité et la richesse des thèmes abordés et des approches proposées témoignent d’un intérêt croissant que les linguistes, non pas uniquement les morphologues, portent à cette thématique.Les articles proposés s’articulent autour de cinq axes majeurs.Un premier axe rassemble les articles qui étudient les frontières entre différentes composantes de la morphologie. L’étude de Michel Roché examine les contraintes lexicales et morphophonologiques sur le paradigme des dérivés en –aie. Les résultats de son analyse remettent en question la notion de « règle de construction des lexèmes ». Irena Stramljič Breznik et Ines Voršič se penchent sur les néologismes de sport en slovène et essaient d’évaluer la productivité ou la créativité des procédés morphologiques en jeu. Dans une étude d’inspiration cognitiviste, Alexandra Bagasheva aborde l’hétérogénéité des verbes composés en anglais. En s’appuyant sur les données fournies par les para- digmes verbaux du maltais, Maris Camilleri examine la complexité du phénomène de classes flexionnelles basées sur les radicaux. Trois travaux concernent des procédés typiquement « extragrammaticaux » servant à former le plus souvent des occasionnalismes: Arnaud Léturgie tente de dégager des propriétés prototypiques de l’amalgamation lexicale en français, notamment celles de la création des mots-valises; Silvia Cacchiani analyse, à l’intérieur du cadre de la morphologie naturelle, les mots-valises formés à partir de noms propres et de substantifs, phénomène relativement récent en ita- lien ; Thomas Schwaiger, se fondant sur les données tirées de la base « Graz Database on Reduplication », traite des constructions rédupliquées dans une perspective universelle. Deux articles adoptent une perspective contrastive: celui d’Eva Sicherl et Andreja Žele étudie la productivité des diminutifs nominaux en slovène et en anglais ; celui de Marie-Anne Berron et Marie Mouton propose une analyse détaillée de l’importance quantificative et qualificative des procédés de la morphologie marginale dans le slam en France et en Allemagne. Géraldine Walther présente un nouveau modèle général, inscrit dans une approche réalisationnelle, qui permet d’évaluer et de formaliser la (non-)canonicité de phénomènes flexionnels.Un deuxième axe se situe sur la frontière séparant la morphologie dérivationnelle de la morphologie flexionnelle. Tatjana Marvin se penche sur le problème de la préservation de l’accent dans les dérivés anglais, mettant en comparaison les approches de Chomsky et de Marantz avec celle de la théorie de l’Optimalité. L’article de Patrizia Cordin explore la façon dont les constructions locatives verbales dans les langues et les dialectes romans, notamment dans le dialecte trentin, ont perdu en partie leur sens spatial au profit d’un sens grammatical plus abstrait (aspect, résultat, intensité etc.). Se focalisant sur la langue indigène d’Australie kayerdild, Erich Round insiste sur l’utilité de la notion de « morphome » qui permet d’instaurer un niveau de représentation linguistique intermédiaire entre les niveaux lexical, morphosyntaxique et morphophonologique. La contribution de Varja Cvetko Orešnik, qui adopte le cadre théorique de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, apporte quelques données nouvelles sur la morphophonologie et la morphosyntaxe du verbe en ancien indien.Les deux articles suivants examinent des questions d’ordre morphologique aux- quelles se heurtent les langues entrant en contact : Georgia Zellou traite du cas du cir- confixe /ta...-t/ que l’arabe marocain a emprunté au berbère, tandis que Chikako Shigemori Bučar analyse le sort réservé aux emprunts japonais en slovène.L’axe diachronique est exploré principalement par les articles de Douglas Lightfoot, de Javier E. Díaz Vera et de Metka Furlan. D. Lightfoot examine la perti- nence de la notion d’affixoïde et evalue la « suffixoïdité » de l’élément germanique « -mann ». J. E. Díaz Vera décrit la lexicalisation, voire la grammaticalisation des verbes causatifs en ancien anglais. Metka Furlan se penche sur une relation « morpho- logique » archaïque rattachant le nom protoslave pol’e à l’adjectif hittite palhi-.Autour du dernier axe se réunissent les contributions qui examinent la frontière entre la morphologie et les disciplines linguistiques voisines, telles que la phonologie ou la syntaxe. Marc Plénat étudie en détail les contraintes morphologiques, syntaxiques et phonologiques pesant sur la liaison de l’adjectif au masculin singulier sur le nom en français. Janez Orešnik, fondateur de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, explore le comportement morphologique de l’impératif dans une perspective universelle. Mojca Schlamberger Brezar propose une étude contrastive, à partir des don- nées tirées de corpus monolingues et parallèles, de la grammaticalisation du gérondif et du participe en français et en slovène. L’article de Gašper Ilc applique la notionde« cycle de Jespersen » à la négation dans le slovène standard et dans les dialectes pannoniens. Mojca Smolej propose une étude fouillée de l’émergence des articles défini et indéfini dans le slovène parlé spontané.
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4

Zamith Cruz, Judite. "Marina. Lucchesi, Marco. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023". EccoS – Revista Científica, n.º 67 (18 de dezembro de 2023): e25392. http://dx.doi.org/10.5585/eccos.n67.25392.

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Resumo:
Jogo de espelhos e palavras Analogias duma beleza transitiva Foi entre “formigas e cupins”[1] que descobri e inventei por “ver” o que lia. Do jardim a casa, numa aprazível “distração”, li Marina (do latim, marinus, “marinho”). Se ia em busca de cupins, absorvi-me logo numa bela atividade intrínseca de “ler” a natureza humana. Os estados/processos emocionais deram-se ao meu sonho acordado, frente à lua cheia. Por contraste mínimo, o que acontece no sonho propriamente dito é antes uma não narrativa, uma dissociação não controlada, exibida a superfície de fundo inacessível[2], graciosa alternativa criativa à “associação de ideias”. “O sonho de uma sombra”, em Píndaro (522 – 443 a.C.)[3], foi a ofuscação da “verdade” nua e crua. O sonho e a fantasia permitem a estranha fragmentação da sequência do pensamento escorreito, quando se experiencie a realidade de All-Self (ser com tudo em redor). Um efeito é imaginarmos sermos nós aquela “estrela” e recategorizamos algo num “todos juntos”, “transitarmos”[4], sem fixação, encontrado “tudo em tudo”[5]. “Somos plurais”[6] e mutantes sem “coerência”. Colocado a par o ser e o não ser, dada a aparência de Marina, numa superfície lisa refletida, convoca à reflexão que muda, quando “… todos querem, buscam, sonham com você”[7]. Na afirmação do narrador, Celso, é partilhado o desejo de alguém ou dele com “você”. Num detalhe ora geral, ora específico, algo dela poderá ser comparável ou semelhante a outra coisa, uma analogia. No encalço dela, Marco Lucchesi acompanha-nos no “eterno retorno da leitura”[8], trocadas cartas entre Celso e Marina, na década de noventa do século passado[9]. “Rasgadas”, anos passados por ele, entendidas “inúteis e vazias”[10], tendo ela dirigido um e outro e-mail inúteis, para “confissões”, via ”correspondências”[11], em que culpas confessadas nem sejam alheias a “amores mortos”[12]. Anteriormente, Celso chegaria a procurar Marina em “mundos improváveis”. Em locais de sua casa, a falsa presença, inviável, “tão querida”… Possivelmente desejada, chega a ser atingido o paradoxo da perenidade da vida, no espaço exíguo, amor eterno. Marina encontra-se em quase tudo[13]: “Digamos: a) no terreno baldio das gavetas; b) na agenda que perdeu a validade; c) nas fotos inquietas de um álbum (andorinhas em queda: sem cola, pálidas ou saturadas); d) no velho sótão que não tenho.” Como se “pousássemos os pincéis”, em continuidade, o modelo analógico varia no tempo… O escritor acrescenta: “nosso passado é analógico”[14]. Celso escuta cantos, sons e silêncios (a música “dela”?), no aparelho de rádio analógico... “Analogia”, nas nuances de significado no dicionário, são uma entre outras. E dada a representação de um objeto assemelhar-se ao original, pode Marina ser “pintada” em eternas obras de arte. “Vejo-a”, no que vejo e no que leio: “Coroação da Virgem”, de Fra Angélico (1395 — 1455); “A Madona de San Sisto”, de Rafael (1483 — 1520) … Escolho logo a bela Gioventü, de Eliseu Visconti (1866 - 1944). Figura nº 1 – Óleo sobre tela, Gioventü, de Eliseu Visconti (1898) Fonte: https://en.wikipedia.org/wiki/Giovent%C3%B9 Mas é em Candido Portinari[15], numa obra de 1957 – “O menino com pássaro”, que a voz e ela… se me apagou. Seria recolhida e cuidada por aquele que a encontrasse. Figura nº 2 – Elemento de obra de Candido Portinari (1957) – O menino com pássaro Fonte: https://www.wikiart.org/en/candido-portinari/menino-com-p-ssaro-1957 Numa analogia, a figura oscila de forma contínua, entre passado e presente, imparável no tempo. Sem comparecer perante Celso, também ele num não-lugar se quedou[16]. Os seus braços, “irredentos do todo”[17], vivido um “como se…”, avançariam o distanciamento/estranheza[18] face ao espelhado “teatro de sentimentos”. Fora Marina ferida? Num “jogo de espelhos e palavras”[19], “escrevo por espelhos reticentes, com frases e lacunas movediças” …. “Estendo as mãos para o espelho…”[20]. “Refletida” a escrita em processo, encontro Lucchesi solto no outro. Nos seus termos, a palavra “espelho” dará lugar ao oculto no “jogo de espelho, analogias”[21]. Quando a reflexão teria ainda o Sol no “espelho”, o encontro de ambos jorrava luz. Perdida a década de oitenta, o que é dado, antecipado[22]? Novas luzes e sombras. Celso e Marina foram inicial “espelho de paixão”. Seguiu-se a brecha na paixão. Num salão espelhado da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo, em 1507, vejo uma figuração pintada por Hans Schäufelein. “Herodes” deu lugar à figuração doutros maus tempos, no “Espelho da Paixão” (Speculum Passionis). Cristo diante de Herodes, o malvado, que morreu com o Eclipse lunar. Num “reflexo“, o culpado, no julgamento em “Herodes”[23], convocara Cristo[24], um culpado. Eu sou o outro do outro eterno Eleia, às portas da atual Itália. Numa primeira estrofe de Poema, a expressão dum outro, Parménides (530 a.C. — 460 a.C.), para quem “deus” não foi gerado, existindo[25] ad eternum... A estaca foi colocada num limiar doutro lugar estranho, em Poema: “Aí se encontram as portas”. Talhada a via inovadora do caminhar, tendemos a cruzar linhagens para não nos perdermos. Nem tudo se desgasta e corrompe, com Parménides. No rumo incerto, outra conquista do explorador Ulisses[26], foi ter encontrado o retorno? Ulisses, Celso, Alice, Marina… Pierre e Natacha, Tristão e Isolda. No desencontro, Molly e Leopold ou Eurídice e Orfeu ... A ficarmos “aos pés da biblioteca”[27], a ler vidas nas figuras centrais, estas oferecem um recuo[28]. Abrem portas. Eternas personagens, nem todas juvenis. Celso, o narrador? Alguém que já teve um “matagal” de cabelo perdido, que “nasceu no coração [uma floresta, cabelos…] … com espinhos” - “O elogio da calvície” [29]. Outra personagem de Marina, Alice, foi um exemplo de ajuda, porto marítimo, seguro, onde atracar? Substitui, sem substituir Marina? Alice adotará, também ela, o enigmático porte de “Gioconda”, “a senhora Lisa, esposa de Giocondo”, representada por técnica do sfumato, de Da Vinci (1452 — 1519). Foi seu o “vaso”[30], que Celso amou - “vasos quebrados” [31]. Acresce que “Alice e o vira-lata branco” encontram-se ambos registados num “resumo” de carta[32], em união, bem juntos. Bem articulado no pensado é o que a carta diz e não diz. Mas quem será aquele outro vira latas? Marina ainda pede foto da outra – Alice[33]. Num e-mail registado: “Se puder [você, Celso], mande-me fotos ou vídeos de Alice. Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”. Será verdade? Uma inquebrável lembrança de Celso, uma só vez, Marina tocara piano com ele, a quatro mãos[34]. Celso poderá ter reparado (n)o vaso, a dado passo. Pode ter tido outra imagem fixada à Alice, de então. Seria aquele vaso que “amava”, ou Alice[35], uma figura magnética? “Para fugir de mil perigos”, a quem não faltou Alice? Alice usou “ampolas e unguentos, magos e poções”[36]? Cuidadora, Alice, com Celso, representado nos rapazes com pássaros feridos[37]? Em suma, pareceria a Celso não existir punção operada ou poder maior, quando os relacionamentos morrem, ainda que os vasos sejam compostos de cacos que se colam: “Não posso reparar o irreparável”[38]. No entanto, Celso conhecia a técnica das peças coladas do Japão - a técnica do kintsugi[39]. Observou, até mesmo o outro vaso por si trazido com os gerânios, da sua antiga casa… “Distancia que se perde. Vaso que se encontra…”[40] Na ficção, a fiação tudo interliga “Vimos a fiação que tudo interliga. Semântica e sintaxe”[41]. Dos golpes de génio ficcional e da sangrenta História, Marco Lucchesi concebeu comparações, em que “mudam as guerras”[42] e as linguagens. Numa realidade de rapto, guerra e paixão, o poema épico transcende o amor passado que eterniza. Homero fundador da literatura ocidental, numa autêntica carnificina, a incerta “Guerra de Troia”, contou com Ájax[43] dentro do cavalo, dando guerra (infinita)[44] a Heitor, o destemido troiano, incapaz de lhe perfurar o escudo. A guerra teve que ser interrompida ao pôr do sol, intervindo Apolo. Do inicial “pomo de discórdia” entre deusas até aos feitos, nove anos passados em guerra, Ájax é “muralha”. A Ilíada evidencia que esmagou o escudo de Heitor, com uma só pedra. Quem sabe se Celso seria uma barreira inexpugnável, de tão “glacial”[45], que se tornou? Numa contenda, para o romance histórico, de 1865 e 1869, Liev Tolstói cruzou aqueles que se amaram, na passagem do Grande Cometa, em 1811: na invasão napoleónica, em 1812, a personagem recorrente, Pierre encontra-se com a bela Natacha, aparentemente apaixonada por Boris, amada por Denisov. Como foi possível a “guerra sem paz”[46]? Celso e Marina viveram dessa “Guerra de quase e talvez”[47], no que foi a “guerra que nos mata”[48]. Lendários amores infelizes e apaixonados, trágicos, na bárbara Idade Média (século V a século XV)? Tristão («tristeza») e Isolda (“das mãos de fada”)[49]. E o Rei Marcos que a perdeu[50]. Guerras nos ensaios não-ficcionais e nas ficções. Já a estranha paixão da cantora Molly e Leopold termina com o “sim” dela, apenas num solilóquio. O corpo de Molly – no livro de James Joyce - seria “sensual”[51], no que ressalta o “incêndio” interior. Divergências? Foi numa dada “tarde”, vinte anos passados, que a caixa eletrónica de Celso recebe um primeiro e-mail de Marina. Iria acabar com a guerra entre ambos. Não parece de comparar com a ficção? Marina e Celso encontrar-se-iam no fim da “guerra fria”[52], em data marcada pela queda do muro de Berlim, 9 de novembro de 1989. Numa Rádio Londres, com “mensagem de Inglaterra aos aliados”, durante a longínqua Segunda Guerra Mundial, ele passava a escutar outra transmissão no rádio bem comum, no sistema analógico. Um sinal da mensagem dela, vulgar. Metáforas básicas da descrição do real Quando se coloque uma figura de estilo, cujos sentidos figurados utilizem comparações como a “metáfora do corpo em lua cheia”[53], é a Lua “tão nua e desarmada a vaporosa Lua”. A pessoa é então toda inteira, se bem que a Lua seja fragmentada noutra fase lunar. Damo-nos a facetas diversas, também. E a não ser a transição de fase a mesma daquela grande lua, Marco Lucchesi ainda afrontou a perda irreparável de parte dela, por Celso, num desaforo: “se você esperava tapetes e fanfarras, perdeu a viagem. Abandonei a timidez, digo o que penso, e sem rodeios.”[54] Dada a acentuada guerra entre Celso e Marina, ao referencial “real”, preferi antes juntar à lua a palavra “viagem” e a palavra “mundo”, no que coloco mais do que o que (a)parece – numa alegoria. Assim, na minha perceção subjetiva, uma fenomenologia, ocorreu algo mais a aprofundar. Nessa viragem, limito mais do que o que se me abra à fixação de “guerra”, quando se sucedam figuras de estilo, no livro[55]. Num jogo de linguagem, retiro a desafogada imagem concreta: o passeio na praia, junto da Cinelândia e o que faço? No termo metafórico duma “psicologia de viagem-vida”, encontro logo ali o figurativo, portanto, com os rodeios à casa velha de Celso, com os eventos no trânsito, com as margens do mar face à praia. Meios mundos são a frente “subaquático”[56] e outros territórios e sítios. Poderia convocar imensos espaços de transição, imaginando[57] além de um “mundo submarino”[58]. Lucchesi tantas vezes observa “estrelas”, algumas “estrelas não promissoras”[59]… Voltando ao avesso, na Terra, à “viagem à roda do piano e do quarto”[60], essas são breves viagens e têm fim. Contudo, é dada à incompletude a infinita “viagem à roda dos teus olhos, punhado de beleza, informe, passageira”[61]. Numa estranha viagem de recuo (na revirada do avesso), focada uma “correspondência” sem troca, é de antemão inviabilizado o “sim” e a chegada a bom porto[62]? Da presença na ausência de Marina: tempo de sonho e pesadelo Como “resumir” os “20 anos”[63] de afastamento? Um desapego de “dez mil dias”, após o “terremoto”. “Dez mil dias” sem se falarem? Pretendo dar forma ao texto, quando pense que uma correspondência convencionada abranja reciprocidade e presença, ainda que evitada a “literatice”[64] e o “episódico”. Não “agradará” ao narrador contar das cartas, para se livrar efetivamente delas. Ameaça que irá “destruí-las”. Celso foi intempestivo, aquando do primeiro e-mail de Marina[65], após aqueles vinte anos de alheamento dela… O livro Marina reproduz a reduzida “novela”[66] de singelas cartas e e-mails. Passado o texto a pente fino, no segundo e-mail de Celso, este redige uma desculpa: “Perdi tudo, não sei como. Preciso de um novo computador. Como se não bastassem formigas e cupins. Obstinado, insisto e recupero apenas uma parte”[67]. Numa convencional “não-narrativa”, coloco a tónica na congruência e na intencional, quando seja a “dissonância”[68] desarmante de “lirismos”. Alcançada a agressividade, a crítica mordaz, a sagacidade e o ardil… Frente ao quebra-cabeças, pede-se abertura (de espírito), quando se leia o “romance de ideias”, no pensamento do ser (em Parménides e Heidegger). Na dimensão emocional, a obra de resiliência traz-me a consciência da artificialidade da ficção. Cubro de culpas a protagonista Marina. Coloco logo a poção de amor viático, um mantimento para sustento num “líquido destino”[69]. Logo passa a parecer-me que “essa viagem nunca termina”[70], numa entusiástica volta no carrocel do mundo, num “eterno retorno”[71]. Essa segunda vez que é nomeado o eterno, dá-me esperança, ainda que Celso assuma: … “não quero este destino circular”. ~ E eu quero! Se o “nosso encontro não estava escrito [no destino] … Não houve um deus a decidir nosso destino, nem brilho de uma estrela promissora. Deixámos simplesmente de escrevê-lo [ao destino]”[72]. Escrevamos o que desejemos, então, por linhas tortas. Há ocasiões, em que um sonho se repete e elucida algo[73]… As produções estéticas de artistas foram os produtos de imaginações, ainda que acreditassem ser ajudados pelo diabo, por um santo ou pelo próprio sonho avassalador e as visões enigmáticas. Giuseppe Tartini (1692 - 1770), William Blake (1757 - 1827) ou o cavaleiro Adolf von Menzel (1815 - 1905) são exemplos elucidativos do pensamento mágico dominante, nos séculos XVIII e XIX. Há quase 100 anos, o psicanalista Carl Jung[74] escreveu o seguinte, com um sentido determinista do sonho: “uma experiência anómala, que não é compreendida permanece uma mera ocorrência; compreendida torna-se uma experiência [humana excecional] vivida”. Uma característica desse tipo de experiências únicas é serem inefáveis, mal descritas. Inefáveis ilações, na sombra que vira a luz? Posso recuar atrás, ao sonho e ao tempo de Píndaro[75]. O que alcançou aquele da Verdade, quando viveu entre 522 e 443 antes da nossa era? Com Píndaro, ficou assente que “[no humano] sonho é uma sombra”. Assim colocado, “sombra” opõe-se a brilho, a luz, quando a “verdade” seja ofuscada, esboroada na obscuridade. E na medida em que seja ausente um sentido puro para as palavras, damo-nos a alegorias, a metáforas, da “transparência” da palavra, da luz ao sábio recuo paradoxal. Possa o sonho ser “iluminação”, tal Marina, duma “beleza transitiva”[76], entre as luas cheias. Marina conforma aquilo[77], o deslocado pela sombra, quando fuja a juventude, na transitória impermanência. Que espelho da “verdade”? Logo na primeira configuração, se o par não foi (ou foi?) um “espelho inverso”[78], Marina chega a ser retratada no vidro fosco, na “transformação [dela] num espelho”[79]– “uma Gioconda cheia de segredos”, representada pelo impressionista Eliseu Visconti, em Gioventü. Indecidíveis formatos. Como abordar palavras guardadas num “poço” que, a ser “raso”[80], sempre igual e espalmado, lembra o “infinito” do “abismo (líquido)”[81], entre duas pessoas que “comunicam”[82]? 2 Analise textual de marina O método de analisar textos “Coerência” traduz a ideia, cunhada pelo psicoterapeuta Carl Rogers (1902 – 1987), em que o participante apresente um relato de experiência bem estruturada - lógica, a faceta cognitiva e interpretativa, uma significação de peso na experiência “arrumada”. Na narrativa literária, a noção de “coerência” coloca-se, no antigo Dicionário de teoria da narrativa[83]: “texto como unidade no processo comunicativo, resultante de intenções e estratégias comunicativas específicas, ele é também um texto semanticamente coerente... elementos recorrentes… não integralmente redundante… progressão de informação no interior de um texto … na ‘enciclopédia’ do recetor”[84]. Na nova literatura, Marina alude o “vórtice” do redemoinho amoroso de Celso e Marina, o forte movimento do “terramoto” bem rápido, cruzado com a empolgante sonoridade das bravas ondas. Marina retém uma imensa fluidez, em torno dum eixo fixado ao vórtice entre ambos. Sorvida a voragem sentimental no turbilhão do mar, noutra asserção a “vórtice” – um turbilhão, o fenómeno “incoerente” trespassa a vitalidade dos movimentos guerreiros de “homens”, nos tempos atuais. Onde encontrar uma “secreta harmonia”[85]? Em mulheres, no desaguisado com homens? “Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado”[86]. Seremos bem menos coerentes do que se pensou, tanto mulheres quanto homens. Todos nós, humanos, somos sujeitos de analogias. Com o “corpo inelutável”[87] de Marina, que foi o “corpo em fuga” e se encontra ao lado do seu, Celso é já do outro lado. Seja que suba ele à Tocata e Fuga em ré menor, de Bach[88]? A inconsistência é presente na ausência de outrem. Outra mexida foi dada ao mundo amoroso, com as híbridas histórias-ficções, realidades e alternativas. Na alternativa ao modo de organização de “identidade do ‘eu’ estacionário”, sem fluidez de maior, teríamos a fixação eterna. Um risco pode ser nem encararmos a vida sujeita a contingências/acasos – o sem ganhar folgo, “… e, de repente… o sobressalto”. Em Marina, o leitor transcende o sabido (ontológico) e o instituído “romance”, o que não pressupõe que todos os planos sejam antecipadamente traçados. Não sabemos se Marina nos deixou. Ela foi a “glória de um destino”[89]? Um famigerado destino? Um Deus não decide do destino do par amoroso[90]. “Desconheço a direção [do futuro, indeterminado]. Soubesse de uma senha [mágica, um código … e o controlaria Celso. No fluxo permanente de mudança, já o passado e o devir são escapes [na aparente “fuga”], uma “disfunção” no presente [na fantasia inviável]. Porque não viver o aqui-e-agora? Amplificado o tempo, a “hipertrofia…”, é inviável a luta interior, “contra a qual luta o presente”[91]. “Deu-se por fim a glória de um destino. Porque, Marina, os relógios não morrem”[92]. “O vento segue os rumos do destino [ou da predisposição de sorte]”[93], tão mais improvável do que a precisão do tempo dos relógios. Abordagem narrativa na psicologia Numa aproximação literária, na psicologia narrativa, “as personagens são os elementos permanentes que sustentam o desenrolar do enredo”[94]. Nem as personagens fogem, nem restam fragmentadas, na “transparência da voz”[95]. Quem fale no esqueleto narrativo, pensa em episódios de um “guião” (scripts) identitário ou coletivo e, para a “narrativa de perda”, em Celso, congrega-se uma “organização de significado”, no que dê conta de mudanças dessa organização afetiva e psicológica, tão frequente e intensa de privação, podendo tornar-se duradoura ou reatar uma mera ocorrência súbita. O presente texto sobre Marina apresenta “fenómenos” talhados. Dito de outro modo, dá corpo a “ideias centrais, ao happening, ao incidente em torno do qual um conjunto de ações e de interações são dirigidas, com vista a serem reconhecidas, geridas e integradas, ou com as quais um conjunto de ações se relaciona”[96]. Numa forma de encontrar e descobrir ocorrências, farei um parêntesis para o que sabemos de um autor. Na sua suspensão de ideias feitas, como nos “lugares comuns”, nos “hiatos” e nos “silêncios”, o que “lemos” nos não ditos, sem um código? Para o efeito enredado, temos a ajuda de comparações constantes, numa “codificação aberta” do texto. Utilizam-se atributos/características para as palavras todas inteiras e para a variabilidade de significados não ficar de fora. E as “palavras (sem) envelope”, plenas de pregnância e fugidias, impõem afundar numa rigorosa análise linha-a-linha. Haverá ainda que conceber dimensões gerais, para “linhas-da-história”, duma ou doutra mini narrativa ou história, em Marina, o “tempo eterno” e o imparável “relógio dos ponteiros”; a vida e a morte; a terra e o mar, a nuvem e a pedra, o fogo do amor e as suas cinzas… Ao “questionar” os dados/textos, no aprofundamento que se justifica, efetuam-se as aludidas “comparações constantes entre fenómenos”. Da projeção, da narrativa e do episódio Em Marina, identificam-se esparsas narrativas míticas, nas guerras e nos amores. No amor, o “projetado” Orfeu[97] chega a parecer ser Celso, na sua ânsia de que Marina não morra …[98]. Celso poder-se-á sentir, noutra volta, um Marcus[99], chegando tarde, perdida Isolda, amante de Tristão[100]. “Pobre rei Marcos. Tão tarde descobriu o desamor”[101]. Marina não é escrito na primeira pessoa, autorreferenciada. Discriminada a faceta “projetiva” (ex.: uma pessoa não específica ou segunda pessoa, outros, alguém de quem se fala ou escreve): Marina ou Alice descobrem-se entre uma “Gioconda cheia de segredos”, uma Molly, o “verbo infinito”, na “voz” da cantora. Um eco repetido da voz dela, Marina. O narrador e Marina “nadam no monólogo de Molly”[102]. É preciso dizer que “não sei até que ponto lembro da tua voz [Marina]”[103]. Dito de outro modo, Celso mal se recorda do que Marina “disse/diz”, repetidamente. Falhou a voz e “deixou de dizer”[104]. Por seu lado, os episódios reais reportam-se às mínimas ações/interações, as quais podem ser relatos de experiências significativas, por vezes truncadas nas premissas, donde a maior ou menor coerência lógica ou consistência lógica. Quando as palavras chegam a mudar de estado, digamos, aluadas, tornam-se “líquidas, turvas, transparentes”[105]. Passam palavras estranhas pela fluência de selves (“múltiplos eus”, mentais e subjetivos), transformações identitárias. Apreender-se-ão coerências doutros implícitos, aspetos tácitos e inaudíveis da daqui e dali. Narrativa episódica A partir dos fenómenos esparsos, no grosso volume da vida, alcançamos registos de realizações pessoais e dos impedimentos, destinos e acasos, sortes e desaires. Foi a partir dessas constatações que distingui os fenómenos de meros episódios, nas narrativas/histórias, que lembram “todo o texto mostrar de forma holística as cognições e os processos emocionais do autor”[106]. O que se designou de plot (na língua inglesa) para um “episódio”, portanto, vai de encontro à narrativa, ao deparar-se o leitor com uma sequência de eventos ao longo do tempo (“sucessão”), para um “texto”[107], mesmo no mínimo “enredo”[108]. Na forma bem estruturada, visou-se o elemento sequencial e dinâmico, na literatura (na lógica, “gramática” ou “sintaxe”), considerado o episódio o “único esqueleto indispensável” e “menos variável”[109]. A variabilidade de Marina encontra-se nas intercaladas unidades de significado/segmentos de tópico, nas breves temáticas, as quais identificam a substituição de conteúdos, nos registos escritos por Celso. Acresce haver processos narrativos de vários modos evidenciados, no sentir, no experienciar e no pensar: a “descrição externa/concreta de acontecimentos de vida (atuais ou imaginados / passados, presentes ou futuros); a “descrição interna experiencial” (subjetiva), de episódios/narrativas, com a identificação verbal de “reações afetivas e/ou estados emocionais” (ex.: “triste”, “zangado”, “frustrada”, etc.); e a “análise reflexiva/interpretativa da descrição de eventos e/ou da experiência subjetiva, sendo os eventos presentes, passados ou futuros”[110]. No primeiro domínio narrativo, a ênfase no sentir alcança menor complexidade do que o experienciar (interno) e o refletir/pensar. Episódios mínimos Após o desenlace por afastamento, surge um episódio elaborado quase no final do livro. Possui a tónica na conduta de Celso, antes da adesão ao refletido, somente após a imersão interior num quadro e num cenário: Episódio - Título Promessa de calor na aflição dela: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite (p. 91). Registei outros episódios relatados, com mais de “vinte anos”, exceto o primeiro, possivelmente mais recente: (1) Aflições de Celso no mar[111]; (2) Celso e Marina nadaram no mar e, sentir-se-iam “alegres”, possivelmente ao saírem para a praia[112]; (3) “Mística do encontro” de dois “tímidos” (“dissemos algo escasso, imponderável ... o clima, as gentes, a história”)[113]; e (4) Aludidos passeios de bicicleta[114]. Na narrativa criam-se então replays de experiência, quando se atenda ao “eu” subjetivo frente ao quotidiano, a rituais e a “inéditos”, como nos encontros a dois. Somente o episódio de Celso sozinho e aflito no mar não correu bem. Será invencível o revolto mar e a doença de coração: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[115]. E se é tremendo o risco de morte no mar bravo, não é impossível lutar a dois contra o tempestuoso. O que nem quer dizer deixar de ter mão para apagar aquela ou outra terrível imagem recordada. Afinal, qualquer um sonha com “você”[116]. Ora aquele primeiro “episódio de ‘sonho’”, mas pavoroso, é ilustrativo do mundo irreal, na forma “narrativa”[117]: “um belo dia quase me fui na onda[118] de seis metros. Eu me livrei a muito custo. Um sonho breve que o sal interrompeu. Vantagem provisória...” é acordar. Já o fustigou o voraz turbilhão real da ameaça e perigo no medo da morte dela, quando volte a passar ao mar… Deixar de ser, naquela praia – que “quase levou” Marina … e que é a mesma praia, que “seduz” o narrador[119]. O perigo de afogar-se na praia é real e irreal. Anotei ilações, decorrentes interpretações do texto, nas expressões do autor: (1) Risco frente ao mar[120]; (2) Juventude, em que se possa morrer com alegria[121]; (3) Encontros, fruto de “um milagre matemático… acaso e o seu mistério”[122]; e (4) A bicicleta que “morreu”[123]? A bicicleta? Um indicador do encontro com Marina: “Passeio de bicicleta. Voa o vestido azul. Essa viagem nunca termina”[124]. Noutra apropriação do contexto, o par poderia [ver] “baleias”, ao longe, “delicadas” [125], quando iam pedalando na “bicicleta” … Num contrassenso forjado na comparação, a bicicleta dele era um “cavalo”[126]? Antes dela “morrer”[127], melhor dito, “enferrujar”[128]. Na transição de pensamentos, afetos à morte: “Não há resumo para a última carta. Porque esta é uma carta definitiva. Porque se trata da morte de Marina”[129]. E adiante: “Imploro, Marina, que não morras antes de morrer”[130]. Ficaria ela sem maior sentido de vida? A viragem de alegre “surpresa” chegou a ser concebida, numa anterior “carta destroçada”, restos do que ficou dentro do “caderno escolar” e “cujos pedaços recomponho num mosaico bizantino”[131]: “Carta de amor (desesperado) que rasguei: “...pousa nos lábios uma estrela... secreta harmonia... deserto amanhecer... teu corpo inelutável... lagoa iluminada e seios úmidos... bosque sutil... pequena morte... jogo de espelhos e palavras... teu rosto desenhado no meu peito... à mesa um copo de absinto... duas palavras e voltamos a dormir... infame precipício...” (p. 86). Os procedimentos de análise de experiências são guias de leitura, no que prendem o elucidado “desespero”, o isolamento e o limitado prazer de Celso, quando a vida pudesse afigurar-se um pesado fardo, irado contra Marina, contra o violento mar, o amor eterno… A súmula de alegria - a “surpresa” … Num resumo analítico[132], estabelecem-se relações entre um fenómeno, no sentido da conceção de um episódio. Donde, uma ilustração de seis fatores envolvidos, no episódio Promessa de calor na aflição dela[133]: - Condições causais antecedentes, para a ocorrência reportada (antes do amanhecer, já levantado Celso da areia da praia onde dormiu, ao despontar do sol); - Fenómeno per se (“sacudidos ossos” ao sol, no limite do ser, entre eternas rochas, com a ausência de Marina); - Contexto (a praia junto ao mar ensoleirado); - Estratégias somente idealizadas de ação interativa (ser tomada Marina por indefesa a proteger, no que Celso escreve da sua possibilidade de “ajuda”); - Condições intervenientes (quadro “menino com pássaro” de Portinari…), - O que constrange ou facilita o incidente/fenómeno (recordações de encontros com Marina, num local partilhado e o fenómeno de imaginar um quadro) e - Condições consequentes (a dificuldade de continuar pela noite, sem a presença de Marina e a fixada promessa de calor humano). Nessa leitura duma abstração da experiência, um episódio pode ser idealmente estruturado, se bem que escapem as estratégias de ação interativa. Noutra margem encontram-se a filosofia (de Parménides e Heidegger), o jogo com textos míticos (Ájaz, Rei Marcus…). No “romance de ideias” de Marco Lucchesi, são vastos os domínios de conhecimento. Com o autor aprendi que, ao não aceder a “coisas em si”, tenho as coisas para mim e, talvez, nos apareçam amores e guerras, por prismas do entendimento e da sensibilidade. Dos fenómenos - as aparências - “O que sei?” No quotidiano, sei que vivemos de forma a criarmos conexões entre inauditos episódios, flashbacks, substituições de interesses/temáticas nem buscadas, redundâncias e omissões (como “lacunas de memória”), numa apreensão do que nisso assuma perene “relevância”. O núcleo duro, o “essencial”[134], segundo o autor? “Perdemos as palavras essenciais”[135]. Perdemos “baleias” naquele mar alto, enferrujaram-se as “bicicletas” e desapareceu o “corpo feminino em fuga”[136]. As cartas dizem muito “mais do que parece”[137]. 3 Do mundo poético “Tornei-me um leitor de Parmênides”[138] e de Heidegger No mundo eterno, Parménides colocou o “motor imóvel” do tempo, o “livre-arbítrio”[139], o “cálculo integral”[140] … “causa e concausa”[141] … “tudo em tudo”[142]… Bastará “puxarmos o fio…”[143]? Numa passagem paradoxal da breve (?) “novela”[144], logo vemos como “tudo muda” no (des)encontro, a par de “rádios, guerras, amores”[145]. Não há confissão, não há reparação, na “narrativa não projetiva”. As “narrativas” antes partem dela[146], nos “lugares comuns”[147], registados nas mensagens. O que procura despertar Celso? “A voz de quem morreu, não as histórias”[148]. Bastaria o alcance da superfície, na “voz” dela[149]… No início de Marina, nem se espera a finalização do encontro. Não é desejado o fim do amor. Um mal irremediável. Terá morrido? Obra de “criatividade” dissonante face a espectativas de cartas de amor, Marco Lucchesi coloca-nos a margem de manobra, uma deriva, mudado Celso em permanência e, nesse sentido, as suas posições emocionais básicas são sublevadas e revoltosas, sublimadas, substituídas. Existentia, como a explicitar? Quando numa página inicial, não numerada, o autor nomeia um filósofo italiano, Emanuele Severino (1929 - 2020), que escreveu sobre Martin Heidegger, que exploração de fenómenos “metafísicos”? Martin Heidegger[150], de que trata? Li algures que Heidegger se interessou por “atualidade, realidade, em oposição a possibilidade concebida como ideia”. Ser é a totalidade do que existe. “Aí onde está cada um de nós” - da sein, seria o lugar da nossa presença, duplicada pela sombra da subjetividade. Subjetividade é o vivido que torna algo maior, quanto dá à presença novas formas afetivo-cognitivas. Mundos universais musicais Tenho aquela “vontade” de mudar o passado[151] e de criar uma ideia prospetiva de florescimento. Do mito de amor a Marina, nem estranho virem três damas dar uma flauta a um príncipe, Tamino, que buscará a sua amada. A harmonia da música condensa o “universal”, atingidos géneros e variadas “vozes” trocadas, na “Flauta Mágica”, de Mozart (1756 – 1791). O poder unificador da música é uma metáfora para o príncipe neutralizar o mal. Outra das óperas que acompanham Celso? A ópera de Verdi (1813 – 1901)? Recuo, à procura de La forza del destino, de 1862, cantado por Galina Gorchakova. Será que soubemos escutar o ciciado na voz da atualidade e o que nem se abra ao previsível, no acaso, sem destino[152]? Vozes pessoais de visionários? Na aparência, as palavras são soltas numa poéticas. Meia página abala o leitor. Meia página, umas quantas linhas de “voz”[153] , “voz marinha”, vinda do mar, submarina. Marina. Na “poética da dissonância”, fica aberta a superfície ao “espaço descontínuo”, criado por Lucchesi para ela[154]. A inatingível voz dela? Não sabemos. Na aceção do termo “fragmento”, Heidegger sublinharia essa origem deslocada de textos únicos e incompletos, que deixam espaço por concretizar. Escritores como Lucchesi, coligindo fragmentos, escapam às “correntes literárias”, “movimentos identitários” e “evidências” repetidas. Um significado de recusa de continuidade no vestígio escrito, fragmentado, foi adquirido no mar, que não é terra firme. Todavia, com “intencionalidade”[155] na voz, “nunca poderemos deixar o mundo, o que nunca deixámos”[156], o mundo terreno. Numa particular fenomenologia[157], poder-se-á conceber a “suspensão de julgá-lo”. Como não julgar o mundo do pensamento oblíquo, da metafísica passada? Ficando pela rama, na área concreta, terrena (não marítima, à beira mar, o que “sobrenada” ...). No que importa, não estamos nós fora de água? É de todo difícil alcançar maneira de arrancar o “pensamento de superfície”, também a superfície da página de Marina encante, pela superfície que cobre os reflexos incessantes, os jogos de reflexos, como ilusões e evasões, que surgem e desaparecem. Se não for atingido o que aparece antes do fundo das letras, ficamos aquém de imergir: foi muito antes que Parménides e Heidegger viveram. É preciso dizer que a superfície não se confunde com a aparência - a realidade energética, a dança terreste, da vida dançante[158]. A máscara de Marina já arrasta a ilusão do que aflora (a superfície) – a “transparência da voz”[159]. Esconde-se ela algures, no “re-dobrar” do seu ser[160]. A sua aparência causar-me-ia a diligência em “lê-la” a preceito. A voltar a Parménides e Heidegger, a profundidade[161] do livro dá antes a explorar o ser e as coisas[162], ao invés da superfície (mas com a superfície), a sua luminosidade. Quando a metáfora da luz (do dia, do Sol, da Lua promissora do brilho dos olhos verdes…) não encontra um reino perdido que persiga o ser, quantas ideias ficam subterradas e obscuras ao leitor? Foi a partir daquele ilusório mundo de reflexos (a superfície), que alcancei a incerta profundidade. Será o outro mundo (“marinho”) contrastado ao ilusório da realidade e ainda aquele outro mundo perdura, mutável e instável, matizado de cor intensa e de brilho ténue de águas passadas. Quanto ao retorno à superfície, ao aparecer, no emergir de novo, volta a agitação do mar emocional, que se ressente, no que permanece do eterno esvaziamento. Ficou um poço vazio daquele outro momento de amor ou do que dele reste nas rochas imutáveis. “Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”[163]. Quando “aparecer é um compromisso metafísico”? A “metafísica” foi além de physis. Cientistas designam a metafísica de “especulação” de ideias, tantas vezes incertas, com que se debatam. O que se entende por “real” é, nesse segundo sentido, o que ultrapassa a “realidade” que conhecemos por perceção (inter)subjetiva. O real é um referencial profundo[164]e infinito; a realidade é o que conhecemos ou julgamos conhecer. Numa mediação poética para a metafísica, “aparecer” situa a presença original no mundo do ser, sendo que o mundo adote a incerteza na errância (e na morada no novo mundo). ~ Quanto “aparecer” vive acima da superfície e da aparência das coisas, é o ser que reflete um inóspito caminho de linguagem reflexiva, aproximativa e assintótica[165]. No ato de escrever, Marco Lucchesi delineou-me a possibilidade de especulação, a liberdade crítica e a ironia, abertas portas à metafísica fenomenológica. O existir em processo trouxera-me antes outros saberes e, nos espaços do mundo daqui, foi indicada a deslocação para a saída de “ex-” (em “existir”). Entretanto, aprendi que existir alcança o sentido de “pôr-se de pé”, de acordo com a etimologia. Num apelo a erguer-se (pondo-se de pé), já o próprio ser permanece em lugar recôndito, na condição de vir a aliar o desvelamento do ente – objeto, coisa, um ser, Marina... Outros “reivindicam” para si o “estar-aí” (da-sein), dito que todos “querem, buscam, sonham com você” [Marina], um corpo no que não “fuja”[166], na errância noturna. Consequência da fuga da luz? Será ela dada a “despertar” outra, a emergente Marina de Celso? Encontra-se ela ausente, no que seria de voltar a abordar a limpidez, a superfície, a “transparência”[167] da constelação “prometida” de dois seres. Uma forma de profundidade incompleta. Numa lúcida forma de escrita, patamar de sonho lúcido, Celso encontra-se em guarda. O narrador não deseja “despertar [vidas escritas]” … Talvez busque tão somente a “voz” dela, naquele eco, em que ressoa a limpidez, alcançará outra “voz”. A quem dar “voz”? A Molly, no seu solilóquio, na primeira pessoa[168]. Molly, uma inigualável cantora de ópera; Marina, de que nem sabe Celso se se lembra… da voz, dada à imagem fugidia na melodia, ao piano[169]. O que passou não se encravou. No ser em mudança, serão cristalizadas mínimas recordações, rareando “o caminho da verdade”[170], sem saída (uma aporia) tantas vezes paradoxal. Guerras dos mundos de ideias As ideias “verdadeiras” e as guerras de “opiniões” não se consolidam, nas correntes do paradoxo. Conjugam batalhas sem fim: Parménides e Zenão vs. Platão; Nicolau de Cusa vs. os que não cooperavam… Numa oposição ao seu tempo, questão cerrada e a descoberto, foi a permanência e a transformação. Parménides reteve a pura permanência, unilateral. Exigente na “ponderação”, Platão (428/427 – 348/347 a.C.) dedicou-lhe um diálogo inteiro - Parménides, em que Sócrates levou uma revisão verbal dum oponente, Zenão de Eleia (século V a.C.), para o efeito de inquirir o sentido do Uno, cujas “absurdas consequências seguem (ou não seguem?) em contradição com a referida doutrina”[171]. E se o ser é múltiplo? “Parménides”, um arauto da “revolução”? Esse é um ponto de um “resumo” do livro. Sendo que o germe da destruição estivesse plantado[172], que revisões foram geradas, a propósito das suas ideias? O que queriam mostrar os eleatas, com Zenão adiante das forças, o arauto da geometria e dos estranhos números, o infinito e o zero? Uma revolução, no conceito de tempo: fluxo constante e deixa de haver presente? O paradoxo de Zenão assinala o contrário à opinião recebida e comum, para o tempo virar uma sequência de mínimos momentos separados, donde vivermos o presente e a mudança ser ilusão. Quanto ao espaço? Sendo uno, não dá condições a haver “lugar” e “aqui”. No espaço fragmentado só há “aqui”, ausente o movimento. A revolução tem sentido no paradoxo, forjadas inesperadas dissensões. “Mudam [os tempos e] as guerras”[173]. No século XV, novo sobressalto. Gerador de ódios por contemporâneos, Nicolau de Cusa (1401 – 1464) alarmou muitos, pelo acento na compatibilidade entre extremos. Encarou a conjetura de “opostos”[174], dicotomizado o mundo por valores antagónicos, quando se creia num ponto de vista considerado válido. Nova batalha. Era Napoleónica, em França e na Europa, no ano VIII (ou, no calendário vigente, datado a 9 de novembro de 1799). Contrastaram adesões e oposições a Napoleão, herói e anti-herói, arrebatado o poder no golpe “18 do Brumário”[175]. As mudanças foram inquestionáveis, com a chefia e as saradas guerras. A guerra entre Marina e Celso não foi uma constante, também não persistiu. No foco da maior peleja, a distância a Marina[176] antecedeu outra circunstância: o entendimento de “como [Celso] se vê”[177]. Num “sinal de transição, de deslocamento”[178], veio de Celso a afirmação séria, numa trégua consigo mesmo: “já não habito na distância”[179]. Anteriormente, despedir-se-ia dela, como um Catulo[180], numa linguagem coloquial, sem intensidade e sem profundidade maior… Poderia estar a recuperar o “habitar”, junto dela. Existirem compatibilizados, nas suas oposições, requer o significado: “habitar”. Talvez se encontre algures, na linguagem. Para “morar”, fica bem longínqua a raiz etimológica, no sânscrito - vatami -, cujo termo alemão é wesen. Dir-se-ia que Celso possa já “estar-aí” (da-sein)[181]. No seu lugar - aí -, à fluência não lhe faltará diferença. Como expor uma diferença melhor do que com o ruído feito pelas diferenças da fala e do canto de Celso e Marina? Revejo a aliança, a separação, o que nem quer significar uma divisão de opostos. Há uma distinção nas “vozes”, para um sistema caótico, em várias escalas de linguagens. A organização de mundos No século XXI, em 2023, há ordem para parar e avançar no terreno do ser. “Há mais de dois milénios…”. Heidegger[182] introduziu essa conjetura perdurante[183], nas primeiras palavras de Ser e Tempo. Fora há muito “esquecido” o que surgira em Parménides, uma abstração – Poema – “onde se encontra o ser e o ente”? Ente pode ser objeto, coisa, ser … E o ser é o mais próximo do ser humano, sem que seja “um Deus ou um fundamento do mundo”[184]. Não existe um ente sem um ser. Acresce perguntar: “o que significa pensar?”[185]. Pensa-se em alguém, um ser, enquanto as guerras matam pessoas. Desde que a nossa imaginação pejou o mundo de deuses, entre ninfas, dragões ou quimeras, foi feita a equação, pelo menos: esquecido o humano. Não neutro, mas esclarecido, Heidegger rebelou-se contra ter sido minada essa incógnita do mundo – o ser, o guardião da questão[186]. Colocado o tão saliente à parte (o ser) e juntas as palavras a ideais, “ordenaram-se” melhor as coisas. Nessa incessante transformação, contra as utopias, foram cometidas “supressões” de coisas, acrescentos de quimeras, os “suplementos”, esquecidas possíveis “deformações”[187]. Aguardado o alvorecer da modernidade líquida, após a linha humanista dos anos sessenta do século passado, ainda seria antecipado o outro tempo do ser frágil, das diferenças e vulnerabilidades acrescidas. Vemos superada a razão não linear, o princípio da não-contradição[188], a alinhar o excluído. Arrastamos até mesmo para a paz a “coincidência de opostos”[189]. No reiterado pensamento ímpar de Lucchesi, um visionário de saberes ontológicos, preside o ser humano que é pensado, dito que ser e não ser não sejam iguais. Os seus conhecimentos são buscados entre um que é muitos[190]: ser e não ser e “ser de todo o ser”, na expressão de Giordano Bruno (1548 – 1600). Ruínas e salvação Um genial revolucionário, Giordano Bruno, foi o que retomara o ser, em On the infinite universe and worlds (“Sobre o infinito, o universo e os mundos”). Recordado num post scriptum[191], o opositor, Bruno, foi morto. Para mais escrevera “A ceia das cinzas”[192], em gritante contraste com o fogo da paixão. Deu-se ao desfecho inolvidável, à morte horrenda, após outra intrincada conjetura resistente à “ignorância” por dogmatismo e ceticismo do tempo. Bem além e aquém do “estar aí“, em substancial presença, o que resiste à fixação ao lugar encontra-se na imaginação, em múltiplas superfícies, no não linear, cujas diversas escalas se coloca Marina. Celso vive numa efetiva transição temporal, quando “o agora é um índice [indicador] da eternidade”[193]. Quando ainda se creia na “eternidade do mundo”[194], uma exceção. Enquanto nos insurgimos, Marina poderia “fixá-lo” ao passado em comum[195]. Na “correspondência” truncada, o narrador assumirá a perspetiva de “crer na eternidade do ser. Mundo sem fim e sem Deus. Essa é a ideia que me salva”[196]. Ademais, imaginar a “eternidade” não diz que não se “aclare a contingência” [197], o acaso, por contemplação intuitiva[198] e sensível. No perpétuo salto entre histos, reparo no ocaso do relacionamento, na paragem e esgotamento dum percurso: “[As cartas de Marina, “ibérica prudência”?] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo. Cartas inúteis e vazias! Abracem do não ser a eternidade!!”[199]. Creio no indecidível. Não cumpriremos todas as “promessas”, as coisas voltarão a ser as mesmas nas guerras e nos amores à beira mar: o “vestido azul”, a “pedra”, os “passeios” e as “bicicletas”[200]. Recordações e ilusões para “todas as cartas em princípio circular”[201]. “Quem sabe se…”[202], se “tudo se passa aquém da superfície”[203]? A verdade - domínio duplicado da aparência - agarra o “desvendamento”[204]. Da substância/essência não temos algo, além da aparência. E ainda que deixássemos há muito de atingir “as coisas em si”, vivemos demasiado no escuro em volta. Quanto muito, realizemos nova viragem às partes, quando “o passado é órfão do presente [índice de eternidade]”[205], no mundo compartimentado. Vivemos num “tempo inabordável”[206]. De forma paradoxal, deixámos o “museu”[207] e as “espécies” à solta, que diminuem com seres impreparados. Do ser e tempo[208] à nova hermenêutica, reatada “presença”, o que “aparece” no “compromisso metafísico” com o ser[209]? Numa filosofia para o século XX, o existencialismo ainda contou para O ser e o nada[210], no que importou o significado, o valor e o propósito da vida. Na época, avançado distanciamento/estranheza[211] face ao “teatro de sentimentos”. Na Europa, tanto “narrativa”, quanto “ficção” deram lugar ao “novo romance”[212], uma mistura de atores sociais e coletivos, de géneros misturados, uma “polifonia”[213]. A psicologia da vontade e a narrativa Na psicologia então emergente, William James[214] discriminara a “vontade de acreditar” do que queremos fazer “desacreditar” - o que seja convencionado para a época ou para a “troca” correspondida de “cartas” a e-mails, o que escape à explicação e/ou à compreensão[215]. Narrativa, na psicologia pós-racionalista, congregou a ideia de que “contadores de histórias” seriam os que estariam incrustados ao amor e ao sofrimento. Como sublinhado, nas teorias semânticas, havia outras “vozes” e “polifonias”, quando um discurso se enuncie. Fora enunciado. Ademais as (re)autorias e sensibilidades eram provenientes doutros domínios de saber, tomadas por empréstimo (nas teorias feministas, na narratologia, nas ciências sociais e humanas…). As temáticas ganharam sentidos segundos, o significado de ridículo e a ironia alcançou outra voz crítica, ainda com o romance de ideias. Com Laurence Stern[216] é possível “justificar” uns “resumos” dum Celso[217]. Os condensados foram ordenados, entre “ideias confusas”[218] dum amor límpido. Num modelo dos mundos emocionais e do “eu em processo”, as “organizações de significado pessoal” (OSP) remeteram, em fim de século, a "metáforas básicas da descrição do real”. Traduziram apreensões dinâmicas para “estrutura da personalidade” e consumaram “significados”, para formas de dar sentido à vida. O modelo OSP, de Vittorio Guidano Vittorio Guidano foi um psicoterapeuta romano, que viu a criatividade como possibilidade de transitarmos duma para outra organização de “significado pessoal”, da falta e perda à reorganização noutra emoção, talvez pelo receio da distanciação. Correu na margem de entendimentos do corpo e da culpa. Concebeu uma epistemologia, com Leslie Greenberg, Humberto Maturana, Michael Mahoney e Óscar Gonçalves. Numa visão emocional integradora, a faceta de experienciar a vida (I, em inglês; o nível de “eu experiencial”) nem se opôs mais a “significar” a experiência (a narrativa da experiência). Pode ser dado o exemplo buscado no que conheci em Guidano e num seu amigo, Leslie Greenberg, de saúde mental. Quando com eles estudei, partiram dde G. H. Mead[219], entre muitos outros. No sul africano Leslie Greenberg[220] senti a primazia conferida a existir, tão visceral, no âmago da experiência imediata, o "eu". Frente a frente ao vivido subjetivo, Vittorio Guidano[221] colocava-se noutro plano de conhecimento: o “mim reflexivo” (me, em inglês). Contrastava na relação à energia de Greenberg, uma “presença” por inteiro, uma conexão no momento, em níveis diversos (físico, emocional, cognitivo e espiritual), ou seja, havia uma consciência da plena experiência corporal e emocional, vontade de escuta ativa, busca de compreensão. Modelos para fazer mundo Na distância cavada, lemos que “a gota do mar é pequena, quando o tempo de ausência seja longo.” A memória nem se esvai na comparação e compreendido desgaste. O “piano – sobrenada”[222] … – voga à tona de água, assim sendo a memória[223], num “abismo líquido”[224]. Poderia ser a voz “atemporal”[225], inesquecível, aquela voz entretanto quebrada de Marina? Tendo lá permanecido uma presença, não se cravou… No incomensurável passar dos anos, quais “cardumes de palavras”[226], arrastaram “o vazio”[227]. A eternidade deixou de ser. Morreu um mundo terreno junto do mar. O eco imaginário de Marina, na ausência quedou-se. Existem as “rochas” [que] continuam imutáveis[228], fustigadas por ventos e marés. Do revolto mar à mata-bioma e às pedras encalhadas, sobressai o abandono, nas “correntes indomáveis”[229]. Celso, continente/recetáculo, sem mãos. Haja o que desapareça e volte com a “correnteza”[230]. Sem alcance do “mundo submarino”[231], as águas não brilham. Somente na “superfície” são “transparentes” [232] águas, para um mundo que foi desarticulado e fragmentado em partes. Como referido, no uno, teríamos um mundo total e eterno. Numa perspetiva particular, um amigo meu acentuou a condição física, metafórica e metafísica (“especulativa”) do ser. Sem ler Marina, António Maurício enfatizou o transitório – o humano para “ondas do mar” (o seu mundo parcial). Na expressão oral, coloquei as suas palavras de permeio, com parênteses retos, para elucidar o refletido do infinito: Em resumo, e metaforicamente, parece-me que [esse processo humano, dinâmico instável] tem semelhanças com o que acontece às ondas do mar[233] (…) configurações/formas locais e transitórias desse mar/suporte e alimento de todas as outras formas/configurações potencialmente possíveis do mesmo. Que podem nascer, crescer, viver/existir, reproduzir-se e morrer/deixar de ser/existir, porque são fenómenos/seres transitórios. (…) Mas não é por isso [por haver formas locais e transitórias de mar], que o mar/vácuo quântico/TAO/[234]o sem nome/... (pressuposto background/suporte/meio/ e fim de tudo o que é possível, e por isso intemporal, Total, global, cognoscível e/ou incognoscível), sem ser… seja redutível a qualquer aspeto antropomórfico[235] .... mas contendo-os... O meu amigo tem uma conceção física e de recipiente – o “vaso vazio”, o inamovível Uno[236]. Nessa substância, Maurício faz conter os mundos parciais contrastantes. Na “leitura desviante”, colocamos “entrelinhas”[237]. A “colocar parêntesis” no que se saiba ou julgue saber, houve um retorno ao mundo, no abalo cultural da consciência. Na aproximação a coisas[238], podemos condensar “cardumes de palavras”[239], no que sobreviveu unido, o par que se afastou: As “cartas deitam iodo [como o mar] e sal… [como lágrimas] [240]… novo sal”[241] Crescem as ondas que me arrastam para dentro [daquele mundo submerso]. Põe-se Celso “a nadar“[242]. [No mar] Haveria “… a correnteza“… e entretanto “as ondas sobem cada vez mais altas… Já não encontro salva-vidas. [Celso dirigindo-se a Marina, pede-lhe uma vez:] Nademos juntos”[243]… No relacionamento, terá havido … um “naufrágio e tempestade”[244]. Até no “perigo de [Celso] afogar-se na praia”[245]. Ergue-se, subleva-se ele, humano, que “não tem guelras nem escamas”[246] … No salva-vidas da terrena praia, onde não “para de chover” … “mal sei nadar em tanto azul… [Celso] Andava a saltar “nas rochas, acima do cinturão das algas”, mas mergulhara no mar, “quando é escassa a correnteza”[247]. “Caminho sobre a chuva, ondas revoltas [no mar], branca espuma”[248] … “nadar [para] tão longe” …[249]. Na deriva, as “leituras desviantes” de uma temática[250], colocam vários caminhos de leitura. Não fosse o vazio deixado de palavras… [Sempre permanecem] “As pedras [que] rugem no bater das ondas”[251] [instáveis]. [Muda o significado de] “Praia - Cadeia alimentar, baleias, pescadores”[252] … “Sinto no meu corpo a maresia [que muda também, após a vazante, de cheiro intenso do mar] e assim transformo o sal em novo sal”[253] [Em casa] O “relógio de areia” de Celso, quando se encontrava com Marina, no passado, “ficava na estante” … [porque o tempo era subjetivo]. “Um belo dia [a ampulheta] quebrou-se” … “Vinte anos” separaram [Celso e Marina] … quantos “grãos” de areia [na ampulheta] são necessário” para tanto tempo passado?[254] “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[255], sendo que o sal eliminado, baixe a pressão[256] [arterial] e “transformo o sal em novo sal”[257]. Nova vida. As palavras vão e vêm, na modernidade líquida. A tornarem-se as palavras “úmidas”, é o sinal de sofrimento no “sal” e na “lágrima” salgada. Qual garrafa que se joga ao mar? Flutuaram ambos num domínio intemporal, deram-se a palavras inevitavelmente “fartas de imprecisão, saudosas da beleza”[258]. E que “cartas” se virão a “salvar” do mar do esquecimento, com agrestes “ventos do Atlântico”? Na insana movimentação vital, Celso “decide [a dado momento] atravessar a maresia”[259] e quedou-se o mar de distância entre si e Marina[260], ao primeiro e-mail dela, seguido-das imagens coloridas, palavras dela. Marina aparecer-lhe-ia na imaginação dovbelo solilóquio de Molly Bloom[261], um encantatório eco. É dele o repente, quando não queira voltar ao passado: “Não me afasto deste mundo de areia… Passam navios à distância”[262]. Em terra firme, Celso, não sai de si mesmo. No final do livro, arredio, Celso dará conta do inesquecível mau tempo, em que se sentira “naufrago”, abraçado ao não-lugar[263]: “Passada a tempestade, me afogo nos teus olhos [verdes e do mar]”[264], olhos de luz fina e penetrante. Do repetido reparo no olhar de lince, o que ficamos cientes do passado na marinha de salinas, na praia e noutras paragens? A lembrança foi ter à imagem da “jovem” Lívia, sua prima e amiga de Marina… [Lívia] “deu-se às ondas”[265]. Deixou de ser. Condenado, Marcus, perdeu alguém; Celso perdeu Marina, não fossem as “fugas” intempestivas. Anunciado casamento ou “condenação”, na escuta de Grande Missa em Dó Menor, K 427[266], de Amadeus Mozart (1756 – 1791), o significado diverge, para o cineasta Robert Bresson[267]. A perda não justifica uma causa, que seja culpa de falta de pontualidade dela ou o atraso dele. Preso ao antecipado mito: “Cheguei tarde como o Rei Marcus”[268], já que a bela Isolda amava Tristão e vogariam num barco do amor à beira mar[269]. No enlevo por Isolda, Celso assumia encontrar-se na condição do rei[270]. Outro fora a lição de Orfeu[271], que olhou para trás… “Não se ergueu” (no existir). E como a palavra concretiza o pensamento (quando o alcance), em inumeráveis mundos atingimos a parte num ou noutro fator – o mar subterrâneo, o envelope na palavra, uma sinédoque. A crer na memória “líquida”, mais uma vez, em imaginação de Marina[272], Celso “lembrou-a” de que já teriam pisado as pedras até à onda, ao imenso mar[273] Quando o a sair último apaga a luz Na ausência de fundamentos externos e de princípios internos, temos o reino perdido do ser. No mundo abandonado, aliado no estranhamento, é o esquecimento (“o fundador”) uma implicação do recuo do ser[274]. Como constatado, em Heidegger[275], surgiu o ser, um dos seus dois temas constantes. Como ser nem seja fundamento, nem seja princípio, incorreria na dobra original “ser-ente”[276]. Donde, a possibilidade de “re-dobra” do ser em Marina. Para o incauto efeito, somente desviando-se um autor, poderá recuar o ser, em que as hierarquias da existência passam a ser independentes (ser e ente), deixando de fazer sentido o que veio primeiro. Nenhum deus alguma vez pode unir o disperso, nos tempos que correm. Em Heidegger (1986 [1982]), para quê escrever “Porquê poetas”. Andaria o filósofo nos caminhos da floresta obscura, no que recuaria e o conduziu a Hölderlin (1770 — 1843): “E porquê poetas em tempos atribulados?[277]” Além da destroçada condição de “autor-idade”, o autor deslocou-se à poesia de vestígios inacessíveis. Marco Lucchesi pode ter atendido ao segundo tema de Heidegger, quando foque o eterno, em Parménides[278]. Visado fundamento do enigmático “pensamento”: leu as primeiras descobertas nos fragmentos ou vestígios escritos. De Marina, Lucchesi arrasta já o leitor às primeiras interrogações, como nos ousados fragmentos pré-socráticos incompletos, desbravados e arredios a um ponto, excêntrico a linhagens ou a “influências”. Ocorre pensar noutro ângulo de visão criativa, sem articulação entre o próximo e o longínquo, alcançado um brilho lateral, que perpassa na contemporaneidade. Qual será o derradeiro lugar em que pulse o pensar? – Pergunte-se. Em Poema, de Parménides, fragmento de conceitos acutilantes. Possuímos além da “dobra” constitutiva do ser (nos limites entre ser e ente), a prerrogativa de interrogar, de hesitar, de duvidar e de afirmar. Em que mundos desaparece e reaparece a consciência? Resposta: Nos dias que se sucedem a noites, a alternância revela-se à consciência, no sonho e na realidade percetiva. Da diferença entre mundos, Marina, o que perdura na ausência? Memórias de palavras “recorrentes: o nada, a Morte, abismos e fantasmas”[279]. Perdura o “sonho” no eterno “menino”[280]. Em Marina, o coprotagonista Celso, um retirado fazedor de “não histórias”, afigura-se retirado, o que não significa derrotado. Noutra asserção crítica, quando não se bata em retirada, poderão ser dados saltos na compreensão duma obra de múltiplas leituras. Foi no Prefácio à segunda edição de Crítica da razão pura, que Kant alertou para o pensamento, cujos “saltos temerários” nem seriam escusados. Poder-se-ia ir mais longe, no arriscando, nas nossas frágeis sociedades, a ponto de nem ser dito o que se pense, nem ousar-se o criticar. [1] Lucchesi, Marco. Marina. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023, p. 89. Quanto à “romaria de formigas” (p. 78), a ser desfeita, “vivo em guerra contra os cupins…” (p. 23). “Só as cartas ficaram intactas. Desprezadas até pelos cupins” (p. 24). “Pobres cartas! Ai de nós! Indigestão de todos os cupins” (p. 28). Afinal, outra maçada, será o velho computador perder cartas, “perder tudo” (p. 89). [2] A crença no acesso à profundidade teve os seus dias melhores, quando se acreditou numa via única, uma dimensão da base ao topo, entretanto barrados os códigos e a exatidão, buscada na modernidade. [3] Marina, p. 73. [4] Marina, p. 56: Marina possui uma “beleza transitiva”. Marina, p. 60: “Sou trilho morto, intransitivo [que não chega a ela]. Se não te alcanço não me basto”. Marina, p. 71: o caráter transitivo, sendo o que muda, aproximou-se de “sinal de transição, deslocamento”. [5] Marina, p. 27. [6] Marina, p. 76. [7] Marina, p. 76. [8] Marina, p. 15. [9] Marina, p. 13. [10] Marina, p. 87. [11] Marina, p. 13, p. 17. [12] Marina, p. 67. [13] Marina, p. 85. [14] Marina, p. 85. [15] Marina, p. 91. [16] Marina, p. 55. [17] Marina, p. 87. [18] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [19] Marina, p. 86. [20] Marina, p. 72. [21] Marina, p. 69. [22] Marina, p. 84. [23] Marina, p. 33. [24] Na alusão do autor, a xilogravura de 1507, de Hans Schäufelein the Elder? Um idoso, “o mais velho” (the elder). Ou “Cristo diante de Anás, do espelho da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo”, também de 1507? [25] Marina, p. 22. Parménides é também referido na p. 35 e na p. 98. [26] Marina, p. 49). Ulisses representa o que enfrentou perigos e riscos do mar, explorando o mundo. Escritores foram “navegadores”, por caminhos sem guia e sem antecipação, como James Joyce (1882 – 1941). [27] Marina, p. 49. [28] Marina, p. 71. Celso efetua ainda um recuo, quando “uma janela abre-se ao vento” e se desfaz o enlevo com Marina. Concretamente, recuo terá o sentido militar, na guerra. [29] Marina, pp. 34-34. [30] O vaso é um recetáculo, um contentor para as coisas sensíveis, no Timeu de Platão, datado de 360 a.C. Identifica a chora, no que acolhe as coisas em devir. [31] Marina, p. 89. [32] Marina, p. 77. Nas folhas ímpares, são dados a ler “resumos”, como o da página 27: “Sobre a morte das cigarras e o motor imóvel. As garras do leão. Livre-arbítrio, borboleta e tempestade. Software e cálculo integral. Termina com um verso de Mallarmé.” Geralmente, os “resumos” são ampliados em textos de duas páginas. [33] Marina, p. 81. [34] Marina, p. 43. [35] Marina, p. 89. [36] Marina, p. 78. [37] Marina, p. 67, post scriptum: “Leitor de pássaros, sou como um áugure romano a decifrar tua mensagem”. Na Roma antiga, desde o século VIII a.C., os sacerdotes tornar-se-iam augures, tirando presságios, partindo dos voos, do canto e das entranhas de pássaros, entre outras aves. [38] Marina, p. 89. [39] Marina, p. 87. [40] Marina, post scriptum, p. 98. [41] Marina, p. 50. Na perspetiva computacional, disse-me um informático, a diferença é nítida entre significado e semântica: “fornece-se uma semântica para um argumento (ou seja lá o que for), quando se fornece um método de traduzir os símbolos, que contém para qualquer coisa que tenha significado: dar uma semântica para uma linguagem pressupõe, ou envolve, uma Teoria do Significado. Contrasta com a sintaxe, que é apenas a gramática formal do sistema, que determina que os símbolos estão corretamente juntos ou não. Pode assim seguir-se uma sintaxe do sistema sem ter a mínima ideia da sua semântica”. [42] Marina, p. 43. [43] Marina, p. 18. Na Ilíada, poema homérico, salienta-se o belo e valente Ájax, com que lutou Heitor, sem vencedor ou vencido. [44] Marina, p. 53. [45] Marina, p. 35. [46] Marina, p. 36. [47] Marina, p. 83. [48] Marina, p. 39. [49] Marina, p. 79. [50] Marina, p. 86. [51] Marina, p. 49. [52] Marina, p. 18. A Guerra Fria, tensão geopolítica, no final da Segunda Guerra Mundial (1945), abrangeu Os Estados Unidos da América e a União das Repúblicas Socialistas Soviéticas (URSS), desde a Presidência de Truman, em 1947, tendo fim na dissolução da URSS. [53] Marina, p. 31. [54] Marina, p. 35. [55] Quando a alegoria apresenta dois significados, literal e figurado, as palavras, cujo significado seja literal, devem dar lugar ao significado alegórico (figurado). [56] Por extensão, ao mundo subaquático, Marina, p. 50: “… o abismo líquido”. Marina, p. 37: “um líquido destino terra adentro. Marina, p. 79: “Presumo que se lembre (ó, líquida memória!) da onda que das pedras nos levou ao mar.” [57] Imagino até mesmo O mundo à minha procura, de Ruben A, um relato autobiográfico em que o escritor dá conta da vida e da escola, que “esquece os livros”. [58] Marina, p. 49. [59] Marina, p.54. [60] Marina, p. 65. [61] Marina, p. 65. [62] Marina, p. 13. [63] Marina, p. 27, p. 29. Na mesma página 29: “de dez mil dias” …, após o “terremoto” - “uma “falha sísmica”. [64] Castro, Ruy. A vida por escrito: ciência e arte da biografia. Lisboa: Tinta da China, 2023., p. 16. A “literatice” passa pela ideia de um biógrafo atravessar a pessoa-personagem, para dela extrair o que não saiba de si mesma nos pormenores, para o efeito de conceção de episódios “inesquecíveis”. [65] Marina, p. 16. [66] Marina, p. 13. [67] Marina, p. 89. [68] Marina, p. 13. [69] Marina, p. 37. [70] O interminável percurso, é destacado na página 93. O texto continua com a presença do tempo, para “Zenão de Eleia: Aquiles corre com a tartaruga”, um paradoxo da verdade de Parménides, numa demonstração “por absurdo”. [71] Marina, p. 16. [72] Marina, p. 54. [73] Durante uma noite, após ter querido escrever insistentemente uma sonata, o compositor italiano Giuseppe Tartini compô-la a dormir e a sonhar. Intitulada O Trilo do Diabo, imaginou que o próprio maligno lhe apareceu em pessoa para tocar violino e o “ajudar”. Ele não era capaz de terminar a obra musical, mas quando acordou conseguiu acabá-la com a única parte da música de que se lembrava. [74] Jung, Carl. (1954 [1951], p. 123) [75] Marina, p. 73. [76] Marina, p. 56. [77] Marina, pp. 55-56: “A jovem [caveira sem carne] cedeu sua beleza ao brinquedo”, tratando-se de morta, que na urna funerária tinha a sua boneca de marfim, segundo Marco Lucchesi, preservada do Tempo dos antoninos, na Roma antiga, pelo autor. Portanto, aquilo, demarca a figura histórica, no achado brinquedo, que a acompanhou na urna. https://en.wikipedia.org/wiki/Crepereia_Tryphaena [78] Marina, p. 56. O “espelho inverso”, do aveso, passa o par a dois contrários ou simetricamente opostos. [79] Marina, p. 69. Quem diga a transformação dela alude à sua representação no quadro de outra. [80] Um poço é um recetáculo, a chora, em Platão. Um continente retém um conteúdo, as ideias sensíveis. [81] Marina, p. 50. [82] Marina, p. 96. Nessa página, é salientada a comunicação, quando gatos ronronam e cães latem. [83] Reis, Carlos, & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, pp. 152-155. [84] Idem, pp. 152-153. [85] Marina, p. 86. [86] Marina, p. 91. [87] Marina, p. 86. [88] Marina, p. 63. [89] Marina, p. 95. [90] Marina, p. 54. [91] Marina, p. 73. [92] Marina, p. 96. [93] Marina, post scriptum, p.97. [94] Reis, Carlos & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, p. 154. [95] Marina, p. 91. [96] Strauss, Anselm, & Corbin, Juliet. Basics for qualitative research: Grounded theory procedures and techniques. Newbury Park, CA: Sage, 1990, p. 96. [97] Marina, p. 95. Numa intercalação da história de Proteu com o mito de Orfeu, essa invenção do poeta romano Virgílio (70 a.C. — 19 a. C.), encontra-se nos versos de número 453 a 527 do Livro IV, das Geórgicas. [98] Marina, pp. 71-72. Vale ouvir a rádio Orfeu … Ouço distante a voz de Orfeu. [99] Marina, p. 80, p. 86. [100] Marina, pp. 79-80. [101] Marina, p. 80. [102] Marina, p. 49. [103] Marina, p. 91. [104] Marina, p. 91. [105] Marina, p. 49. [106] Neymeyer, Robert A. & Mahoney, Michael. Construtivismo em psicoterapia. Tradução de Mônica Giglio Armando e Fábio Appolinário. Porto Alegre, Rio Grande do Sul: Artes Médicas, 1997, p. 173. [107] Quem diga texto, poderia referir-se a trabalhos com que um texto se cruza, num filme, romance ou peça de teatro. [108] Forster, Eduard Morgan. Aspects of the novel. New York, NY: Harcourt, Brace and World, 1927. O “enredo” (plot) distingue-se da “história” (story), na medida em que o enredo ordena os acontecimentos de forma temporal e de forma causal, mas a “história” limita-se a ordená-los no tempo. [109] Scholes, Robert, & Kellogg, Robert. The nature of narrative. New York, NY: Oxford University Press, 1966, p. 207, pp. 238-239. [110] Angus, Lynne; Lewin, Jennifer; Boritz, Tali; Bryntwick, Emily; Carpenter, Naomi; Watson-Gaze, James, & Greenberg, Leslie. Narrative Processes Coding System: A Dialectical Constructivist Approach to Assessing Client Change Processes in Emotion-Focused Therapy of Depression. Research in Psychotherapy: Psychopathology, Process and Outcome 2012, 15(2), 54–61. DOI: 10.7411/RP.2012.006 [111] Marina, p. 23. [112] Marina, pp. 79-80. [113] Marina, p 83. [114] Marina, p. 94. [115] Marina, p. 71. [116] Marina, post scriptum, p. 76. [117] Marina, p. 23. [118] No risco de morte no mar bravo, noutro lugar: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração” (Lucchesi, 2023, p. 71). [119] Marina, p. 23. [120] Marina, p. 23. [121] Marina, p. 80. A expressão é atribuída pelo autor a um livre pensador, Lucilio Vanini (1585 – 1619), que se autodenominou outro, nas obras publicadas como Giulio Cesare Vanini. [122] Marina, p. 83. [123] Marina, p. 93. [124] Marina, p. 93. [125] Marina, p. 14, p. 79. As baleias primam nos seus “afetos radicais” (p. 79). [126] Marina, p. 93. [127] Marina, p. 93. [128] Marina, p. 93. [129] Marina, p. 95. [130] Marina, post scriptum, p. 99. [131] Marina, pp. 85-86. [132] Strauss, Anselm. Qualitative analysis for social scientists. New York, NY: Cambridge University Press, 1987, p. 32. [133] Marina, p. 91: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, num eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite”. [134] Marina, pp. 13-14. [135] Marina, p. 54. [136] Marina, p. 14. [137] Marina, p. 13. [138] Marina, p. 22. [139] A noção de “livre arbítrio contracausal” indica a decisão livre, não determinada por uma causa, um motor. [140] No cálculo integral, pensa-se na heurística, de Arquimedes (287 – 212 a.C.) , com a finalidade inicial de calcular áreas e volumes e seguir a pista e gravar o movimento dos corpos celestes, do sol, da lua e dos planetas, no que se partiu da aritmética e da geometria. [141] Concausa introduz a causa, que coexiste com outra causa, cujo efeito seja conjugado. [142] Marina, p. 27. [143] Marina, p. 27. [144] Marina, p. 13. A brevidade contrasta como o longo tempo que passou, após o encontro prolongado. [145] Marina, p. 43. [146] Marina, p. 69: “Teus olhos sabem narrativas”. [147] Marina, p. 87. [148] Marina, p. 91. [149] Marina, p. 91. [150] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, (1970 [1947]), p. 65. [151] Marina, p. 75. [152] “O acaso dá-nos os pensamentos, o acaso retira-no-los”. Esse é um pensamento de Blaise Pascal (1623 – 1662). [153] Bakhtin, Mikhail M. Speech genres and other late essays. Austin, Texas: University of Texas Press, 1986. Partindo de “géneros de fala”, certas vozes farão coisas diferentes. A noção de “voz” tornou-se um conceito adequado e útil para a caracterização do narrador num texto: “quem ‘fala’”. “Quem é ‘ouvido’”, “quem expressou algo” … A ser “dada uma voz”, a “voz”, conduziu à critica de uma só voz, com Bakhtin. Na conexão de “voz”, com as ciências sociais, avançamos entre “múltiplas vozes”. [154] Marina, p. 13. [155] A “intencionalidade” em Edmund Husserl (1859 – 1938) e) colocou-se em “Meditações cartesianas”, para a forma basilar da consciência e dos processos psíquicos: “consciência de alguma coisa”. Donde, a proximidade das coisas. [156] Lévêque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Publico, 2001, p. 13. [157] O mundo e a consciência veem em conjunto, dum único golpe: se o mundo é exterior/interior à consciência, o que escape é o ribombar de “tempestade”, o espanto perante uma explosão, o ribombar do trovão. [158] Marina, p. 75. [159] Marina, p. 91. [160] A ser retomado o sentido do ser (do ser em si mesmo, do ser do “homem” e do ser do pensamento), com Martin Heidegger (1889 – 1976), a “metafísica” ganhou terreno, na tradição filosófica. Ficou a crítica ao que tenha sido “esquecido” - o ser, com frequência, entre Platão (428/427 – 348/347 a.C.) e Nietzsche (1844 – 1900). [161] Na etimologia de “profundidade”, “pro” indica uma direção a, e “fundus” é o esvaziamento, por extensão de fundo. [162] Na especificidade, “coisa” denota o objeto natural. Acresce o tratamento dado ao objeto ou ao termo natural-artificial, ao real-irreal, ao mental-físico. Na filosofia, “coisa” incorre numa aparição, vaga presença, quando faltem as palavras, por incerteza na “errância”, falhado o alvo … Uma tempestade abrupta, uma explosão. Coisa chega a ser conhecimento, imaginação, vontade... [163] Marina, p. 81. [164] Num referencial da personalidade do adulto, adiante aludido, a psicologia pós-racionalista enquadra um modelo da realidade humana, que conjuga a experiência e o significado da experiência (“eu-mim reflexivo”). À superfície emocional da infância, estudada em John Bowlby, o psiquiatra Vittorio Guidano, aliou a “organização do significado pessoal” (OSP). [165] Uma assíntota, na geometria, para uma curva plana, é uma linha que explora uma distância infinita em relação a um ponto (P), quando esse ponto se distancia ao infinito, sem jamais encontrar a linha. [166] Marina, post scriptum, p. 76. [167] Marina, p. 91. [168] Galindo, Caetano W. Sim, eu digo sim: Uma visita guiada ao Ulysses de James Joyce. São Paulo: Companhia das Letras, 2016, pp. 1104-1106. [169] Marina, p. 43. [170] Parménides. Fragments du poème de Parménides. Paris: PUF, 1996. Na primeira parte do poema, foi concebido um saber puro, a “verdade”, que afeta a via dos jogos de aparência das coisas, vindo a duplicar as aparências, no “desvendamento” (a-letheia, no grego clássico). O Uno, em Parménides, deixou-nos a mensagem fragmentada, na “revelação”, a “abertura”, a verdade escrita, no poema Sobre a natureza. Tanto as diversidades do mundo exterior, quanto as “opiniões dos mortais” (referidas num décimo da segunda parte da obra – o mundo da aparência), foram distanciadas da contemplação. Parménides inspirou a noção de Platão, para a dialética (partindo de duas ideias opostas, gerada uma síntese). [171] Platón. Parménides. Tradução de Guillermo R. de Echandía. Madrid: Alianza, 1987, pp. 55-56. [172] Na circunstância, as tensões antagónicas, entre a unidade e a diversidade, haviam sido protagonizadas por Parménides e Heráclito (cerca de 500 – 450 a.C.). Forçada a ultrapassagem da disputa inicial? [173] Marina, p. 43. [174] Nicolau de Cusa manifestou a sua forma de pensar num mundo em transição, tendo defendido a necessidade de contingência (coincidentia oppositorum), por parte da natureza e aderiu à contemplação intuitiva, em que o conhecimento fosse a unidade dos contrários (no livro Docta ignorantia, “Sobre a ignorância aprendida/sobre a ignorância científica”). [175] Marina, p. 35. [176] Marina, p. 31. [177] Marina, pp. 27-36. Na página 27, assumido ter-se tornado “perigosos”, na página 35, Celso diz ter medo de si mesmo. [178] Marina, p. 71. [179] Marina, post scriptum, p. 97. [180] Marina, p. 87: “[As cartas] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo”. Catulo foi um poeta romano (87/84 a.C. – 57/54 a.C.), entre outros “modernos”, criticados por Marco Cícero, um contemporâneo, escritor e autor de cartas, mas que mudou a literatura europeia, com impacto no século XVIII. [181] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970 [1947]. Na parte final de Carta sobre humanismo, Heidegger esclareceu: “não eis-me aqui! mas sim, se posso expressar-me num francês obviamente impossível, ‘être le là’ e o ‘aí’ é precisamente a-letheia. Como esquecer que da-sein representa o “estar aí”, o “habitar”? [182] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [183] Uma ontologia dedicada ao ser, existência e realidade. [184] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970, p. 77. [185] Heidegger, Martin. Que veut dire penser? In Essais et conferences. Paris: Gallimard, 1958. [186] O ser foi abandonado, quando se colocou adiante o ousia. No saber dos ousiai, enfatizadas substâncias. [187] Goodman, Nelson. Ways of world making. Indianapolis, Indiana: Hackett, 1985, pp. 7-17. [188] Marina, p. 93. Na lógica clássica, uma proposição não pode ser, em simultâneo, “verdadeira” e “falsa” (princípio da não contradição). Uma proposição é falsa ou é verdadeira (princípio do terceiro excluído). [189] Marina, p. 89. Em De docta ignorantia, de 1449, Nicolau de Cusa criou três momentos do “espírito” no itinerário, uma hermenêutica, ora voltado para o “exterior”, ora para o “interior”. Importa para a coincidência de sorte, em não serem anulados pontos de vista diferentes (opostos), do ser humano ao infinito. [190] Marina, p. 89. [191] Marina, post scriptum, p. 62. [192] Marina, p. 89. [193] Marina, p. 73. [194] Marina, p. 35. [195] Marina, p. 35. [196] Marina, p. 93. “Salva-nos” pensar que a unidade primeira não torne a escamotear o ser, frente ao ente, em Deus. A base da metafísica, ciência do ser, foi por muitos anos o debate de “substâncias”, para o que se mantenha por baixo, o “elemento” permanente da coisa. Embora o ser tenha múltiplas aceções, formulam-se todas para um princípio (arché) único, material e definido. Na “correspondência”, o ser não pretende servir a ideia de “ser para Deus”, de ser a pessoa concreta, o que se mantém (ousia, “substância”, “no bem fundo”). [197] Marina, p. 96. [198] Como Nicolau de Cusa, que viu nesse acaso o conhecimento de Deus. [199] Marina, p. 87. [200] Marina, p. 93. [201] Marina, p. 98. [202] Marina, p. 17. [203] Marina, p. 18. [204] O “desvendamento” - aletheia, no remoto Poema de Parménides, um saber do Uno, entretanto desfeito,encontra-se antes de recolocada a ordem do vivido, ou seja, “todas as formas de presença afetivas e intelectuais”, em Jean Lévèque. Lévèque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Público, p. 114. [205] Marina, p. 73. [206] Marina, p. 95. [207] Marina, p. 73. [208] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [209] Marina, p. 22. [210] Marina, p. 93. “Não ser” tem no francês a palavra “néant”. E “nada” encontra-se em mè eon (“o não-ente”), em grego. Nem sendo a chora, o “nada”, o não-ente, nem chega a ser privação do ser, porque o “lugar” não tem qualquer objeto. O vazio de um contentor – o “vaso” - é diferente: possui forma, é chora. [211] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [212] Kundera, Milan. 1988. A arte do romance. Lisboa: Dom Quixote, 1988. Nessa obra, o “romance” é de ideias, a partir de Cervantes (1547 – 1616), por longo tempo “aguardada” a inspiração de Laurence Sterne (1713 – 1768), em D. Quixote. Ao romance de ideias foi dada outra linhagem, na marcação francesa: François Rabelais (1494 — 1553) e Denis Diderot (1713 — 1784), quando alcançaram liberdade crítica e ironia revolucionária, no renascimento e no século XVIII. O multifacetado Rabelais cruzou até as facetas na palavra, ora erudita, ora aventureira, percorrendo o lado festivo e o lado religioso e solene. [213] Marina, post scriptum, p. 76: “São minhas essas vozes: que me indagam, enlaçam, apertam, comprimem. Polifonia da gente que me habita. Mas todos querem, buscam, sonham com você”. [214] James, William. The will to believe and other essays in popular philosophy. New York, NY: Longmans, 1897. [215] Marina, p. 49. Para Carl Gustav Jung (1875 - 1961), a “humanidade” dividiu-se em duas partes: nos que “nadariam”, com James Joyce, no Ulisses, havendo quem se “afogasse” (numa autoridade, num qualquer saber dogmático). No Ulisses, é o monólogo de Molly Bloom condutor a um “sim”. [216] A obra de Lucchesi remete a Viktor Shklovsky. um crítico literário russo, em paralelo a Laurence Stern, autor de dissonantes observações, no que este último escreveu “A vida e as opiniões do cavalheiro Tristram Shandy”, um novo Quixote.” [217] Marina, p. 17: “Cada qual começa com um resumo”. [218] Marina, pp. 29-30. [219] Mead, George Herbert. Works of George Herbert Mead. Vol. 1 Mind, self and society from the standpoint of a social behaviourist. Chicago, Illinois: University of Chicago Press, 1967. A explicação das diferenças entre si e Greenberg, foi esclarecida por Guidano, que utilizou os termos de George Herbert Mead – I (“eu”) e me (“mim”), frente a Greenberg. Mead (1863 — 1931) concebeu o self social (Mead, 1913), no sentido de sermos a única espécie que usa a linguagem, aquisição a partir da qual planeamos, pensamos e comunicamos a experiência. A vida de uma pessoa não seria um atributo individual e privado em Mead, cuja narrativa seja uma autoexpressão, envolvendo o controlo da informação do self. [220] Geller, Shari M. & Greenberg, Leslie S. (2012). Therapeutic presence: A mindful approach to effective therapy. American Psychology Association. https://doi.org/10.1037/13485-000 [221] Guidano, Vittorio. The self in process: Towards a post-racionalist therapy. New York, NY: Guilford, 1991. [222] O que seja acima do nada, sobrenada num “lugar” das coisas sensíveis, que soam e ressoam. [223] Marina, p. 43. [224] Marina, p. 50. [225] Marina, p. 49. “Persegue os temporais”, os maus tempos de vendavais no passado-presente-futuro. [226] Marina, p. 18. [227] Marina, p. 49. [228] Marina, p. 73. [229] Marina, p. 73. [230] Marina, p. 18. [231] Marina, p. 49. [232] Marina, p. 73. [233] Tanto “mar” quanto o cérebro são “suportes físicos” e “alimentos”. A imensidão das “ondas do mar” e da mente em movimento configuram um fluxo movediço e inatingível, em que o ser é originariamente “bem-fundo”, a “substância” (no latim, ousia), para o que sejam variações e transformações das coisas. [234] Lao Tzu. Tao Te Ching. Capítulo 4, n.d. http://pt.wikisource.org/wiki/Tao_Te_Ching/IV. No mundo parcial ancestral chinês, pensar é agir. Reiterada a filosofia no T’ai Chi, a conexão ocorrida no Universo propicia a combinação de mente (li) e matéria (chi), “realidade última”, numa acomodação da unidade do Tao, à semelhança do “ancestral das dez-mil-coisas”: O Tao é um vaso vazio // Cujo uso nunca transborda. // Abismo! // Parece o ancestral das dez-mil-coisas! // Abranda o cume; Desfaz o emaranhado; Modera o brilho; Une o pó. // Profundo! // Parece existir algo! // Eu não sei de quem o Tao é filho. // Parece ser o anterior ao Ancestral. [235] Antropomorfismo para uma forma de pensamento em que elementos da natureza ou figuras de deuses alcançam características humanas. [236] O princípio da identidade, em Parménides, assumiu que todo o objeto é idêntico a si próprio. [237] Marina, p. 18. [238] Sartre, Jean-Paul. Une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl, l’intentionalité. La Nouvelle Revue Française, 1939, 304(1), 129-132. Na medida em que a consciência traduz uma aproximação às coisas, poderá “ser algo que não ela própria”. [239] Marina, p. 18. [240] Marina, p. 18. [241] Marina, p. 37. [242] Marina, p. 18 [243] Marina, p. 18. [244] Marina, p. 21. [245] Marina, p. 23. [246] Marina, p. 23. [247] Marina, p. 23. [248] Marina, p. 26. [249] Marina, p. 28. [250] Marina, p. 28. [251] Marina, p. 28. [252] Marina, p. 29. [253] Marina, p. 37. [254] Marina, p. 42. [255] Marina, p. 71. [256] Marina, p. 37. [257] Marina, p. 37. [258] Marina, p. 49. [259] Marina, p. 16. [260] Marina, pp. 16-18. [261] Marina, p. 49. Na obra publicada em 1922, Molly Bloom, cujo nome verdadeiro era Marion, é a personagem de Ulisses, de James Joyce, uma cantora de ópera, reconhecida em Dublin, na Irlanda. No monólogo, é colocado um “fluxo de consciência”, sem parágrafos e sem pontuação de vírgulas e travessões. [262] Marina, p. 55. [263] Marina, p. 55. [264] Marina, p. 95. [265] Marina, p. 61. [266] Marina, p. 95. [267] Casar não foi contemplado por Mozart, tendo vivido poucos mais anos que Jesus. Bresson utilizou a música de Mozart, em 1956, no filme “Um condenado à morte escapou”, passado durante a Segunda Guerra Mundial (1939 a 1945), nomeadamente no Kyrie, de Mozart (caso vocativo da palavra grega kyrios, para “senhor”). No Antigo Testamento, utilizou-se Kyrie na mais antiga tradução grega (Septuaginta), para traduzir a palavra hebraica Yahweh. No Novo Testamento, Kyrie foi o título dado a Cristo, como em Filipenses 2:11. [268] Marina, p. 86. [269] Marina, p. 86. [270] Marina, p. 79. [271] Marina, p. 95. [272] Marina, p. 79. [273] Marina, p. 79. [274] Marina, p. 55: “Ao não lugar me abraço como um náufrago”. No recuo do ser, não será “dispensado” o ser, no que me recorda o protagonista e narrador de Marina, encontrado num não lugar, sob um batimento da “pressão”. [275] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980, pp. 88-89. [276] A dobra é franzida. “Eu-ente”, um depósito material insolúvel, na dobra existe o “sedimento”, em Ensaios e conferências, de Heidegger. [277] No Romantismo, após o Século das Luzes (século XVIII), Hölderlin viveria já ao “cair da noite”. Teriam deixado o mundo três deuses “fraternos” – “Héracles, Dionísio e Cristo”. Acresce dizer, sem romantismo, que alcançada a “noite”, perdermos as referências-guias, as linhagens e ficamos sós. Deixa-se de referir a autoridade (“quem sabe”) e configura-se um destino nem certo, nem seguro. Na incerteza da errância, falharia o alvo que seja excessivamente arriscado. [278] Marina, p. 22, p. 35 e p. 98. [279] Marina, p. 76. [280] Marina, p. 78.
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Pop, Ioan-Aurel, e Alexandru Simon. "Partes Transilvane intrabunt et te de tota terra tua disperdent: Maximilian I de Habsburg către Ştefan cel Mare după Codrii Cosminului (II)". Transilvania, 15 de fevereiro de 2021, 60–78. http://dx.doi.org/10.51391/trva.2021.02.07.

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An astonishing and furthermore anonymous report was preserved in the archives of the “Slovak branch” of the Erdődi family. Written in all likelihood in spring 1498, and – additionally – with direct focus on the policies of future cardinal Thomas Bakócz of Erdőd (Ardud), the extensive Latin document covered the recent talks and arrangements between Maximilian I of Habsburg, King of the Romans, and Stephen the Great, voivode of Moldavia. The document was eloquently entitled Modus conspirationis Romanorum regis Maximiliani cum Stephano, waywoda Moldavo, contra statum serenissimi principis domini Wladislai, Dei gratia regis Hungarie, Bohemie etc. et similiter contra statum serenissimi principis domini Alberti, Polonorum regis, primus initam cum prefata maiestate regis Hungarie et strictissimo iuramento firmatam perpetuam pacem et concordiam. The report provides a thorough overview of Maximilian’s (and Stephen’s) complex network of Hungarian supporters, as well as an insight into the most delicate matter of Habsburg-Ottoman agreements. The document substantiates Maximilian’s pompous claim of February 1498 (made in front of the Spanish ambassador at his court) that the Wallachian (Stephen of Moldavia) controlled half of Hungary, while the other half of the realm reverted to the King of the Romans, therefore prompting the profound reformation of Europe, much desired by the Habsburg monarch.
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Pop, Ioan-Aurel, e Alexandru Simon. "Partes Transilvane intrabunt et te de tota terra tua disperdent: Maximilian I de Habsburg către Ştefan cel Mare după Codrii Cosminului (I)". Transilvania, 15 de janeiro de 2021, 21–42. http://dx.doi.org/10.51391/trva.2021.01.04.

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An astonishing and furthermore anonymous report was preserved in the archives of the “Slovak branch” of the Erdődi family. Written in all likelihood in spring 1498, and – additionally – with direct focus on the policies of future cardinal Thomas Bakócz of Erdőd (Ardud), the extensive Latin document covered the recent talks and arrangements between Maximilian I of Habsburg, King of the Romans, and Stephen the Great, voivode of Moldavia. The document was eloquently entitled Modus conspirationis Romanorum regis Maximiliani cum Stephano, waywoda Moldavo, contra statum serenissimi principis domini Wladislai, Dei gratia regis Hungarie, Bohemie etc. et similiter contra statum serenissimi principis domini Alberti, Polonorum regis, primus initam cum prefata maiestate regis Hungarie et strictissimo iuramento firmatam perpetuam pacem et concordiam. The report provides a thorough overview of Maximilian’s (and Stephen’s) complex network of Hungarian supporters, as well as an insight into the most delicate matter of Habsburg-Ottoman agreements. The document substantiates Maximilian’s pompous claim of February 1498 (made in front of the Spanish ambassador at his court) that the Wallachian (Stephen of Moldavia) controlled half of Hungary, while the other half of the realm reverted to the King of the Romans, therefore prompting the profound reformation of Europe, much desired by the Habsburg monarch.
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Meiring, C. F., e Francois P. Viljoen. "Die Bergrede as ’n moontlike reaksie teen Paulus". In die Skriflig/In Luce Verbi 48, n.º 1 (20 de março de 2014). http://dx.doi.org/10.4102/ids.v48i1.1697.

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’n Verskeidenheid navorsing is al oor die teologiese verband tussen Matteus en Paulus gedoen. Hierdie navorsing het uiteenlopende gevolgtrekkings opgelewer wat in drie groepe verdeel kan word. Sommige navorsers is van oordeel dat die Matteus-evangelie ’n anti-Pauliniese ondertoon bevat wat veral in die Bergrede waargeneem kan word. Hierdie polemiek word betrek by uitsprake oor die siening of interpretasie van die Tora. ’n Vergelyking tussen Matteus 5:17 en Paulus se siening oor die wet soos in die Romeine-brief (3:19; 6:14; 7:6; 8:2; 10:4; ens.), kan tot so ’n gevolgtrekking kom. Daarmee saam word die prominensie van Petrus in die Matteus-evangelie as bewysgrond gebruik dat Matteus teen Paulus reageer. Die oortuiging kan dus bestaan dat Matteus doelbewus met die skryf van hierdie Evangelie teen Paulus reageer, veral wanneer die insident in Antiogië in gedagte gehou word. ’n Tweede groep meen dat Matteus en Paulus teologies naby aan mekaar is, terwyl daar ook ’n derde groep is wat oordeel dat Matteus en Paulus wel van mekaar verskil, maar mekaar ook komplementeer. Met hierdie artikel word daar gepoog om meer duidelikheid oor die teologiese verhouding tussen Matteus en Paulus te verkry. The Sermon on the Mount as possible reaction against Paul. Much research has been done about the theological relationship between Matthew and Paul. This research has numerous conclusions and can be divided into three groups. Some researchers say that the Gospel of Matthew contains an anti-Pauline text or that an anti-Pauline polemic is recognisable in the Sermon on the Mount. The polemic involves the interpretation of the Torah. A comparison between Matthew 5:17 and Paul’s stance on the law in Romans (3:19; 6:14; 7:6; 8:2; 10:4; etc.) may lead to such a conclusion. Together with this, the prominence of Peter in the Matthean Gospel is used to prove that Matthew reacted against Paul. All of this and with the incident at Antioch in mind, the idea may arise that Matthew deliberately wrote the Gospel to react against Paul. A second group concludes that Matthew and Paul were theologically close and lastly there is a group that says Matthew and Paul differ but also complement each other. This article attempts to give more clarity on the theological relationship between Matthew and Paul.
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Lapierre, Nicole. "Relation". Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.128.

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La notion de Relation (toujours écrite avec une majuscule quand elle est au singulier) est centrale dans l’œuvre à la fois poétique, philosophique et anthropologique, d’Edouard Glissant. Cette œuvre profondément originale dans sa conception comme dans son expression, use d’un certain nombre de termes et de notions qui lui sont propres. Elle s’est élaborée à partir d’une série de refus et de critiques. Refus d’une conception linéaire de l’histoire, qui ignore les expériences historiques d’autres peuples, comme l’histoire française a occulté l’expérience de la traite, de l’esclavage, de la domination coloniale, notamment aux Antilles. Critique d’une « pensée de l’Un » et d’une ontologie de l’Être, des idées de genèse, de fondation, de racine unique, de reproduction du même dans le « mythe de la filiation ». Refus des identités closes, qui sont toujours exclusives et excluantes. Critique d’un « universel généralisant » exporté et imposé, d’une raison conquérante assujettissant la nature et l’altérité. Critique, enfin, d’une « pensée de système », ne laissant aucune place à l’incertitude et aucun rôle à la sensibilité. Derrière ces rejets et ces critiques, c’est évidemment l’hégémonie d’une certaine conception occidentale du monde qui est visée. Cependant, Glissant n’entend nullement lui opposer une contre-hégémonie, venant de la périphérie remplacer sa centralité et sa domination. Car ce serait alors rester dans une même logique, inversée, symétrique et mimétique. Il effectue une véritable rupture épistémologique, pour appréhender une nouvelle configuration du monde qui est, d’emblée et continument, dans le divers et la Relation. Sans origine ni commencement, ce monde est fait de toutes les histoires des peuples - y compris celles qui furent raturées - de leur expression et de leurs interactions. « La Relation relie, (relaie), relate » (2007, 187), écrit-il. Elle n’est pas seulement lien, mais passage de témoins (entre histoires, cultures, populations). « Dans la Relation, ce qui relie est d’abord cette suite des rapports entre les différences, à la rencontre les unes des autres. » (2009, 72) Les diversités qui ainsi s’accordent ou se confrontent, ne sont jamais ni fixées, ni effacées, ni transparentes les unes aux autres. Elles gardent ce qu’il appelle leur « droit à l’opacité ». Celui-ci est distinct du droit à la différence, qui a été une étape nécessaire, plus ou moins franchie selon les pays, mais toujours au péril de se figer dans de nouvelles identités closes, juxtaposées dans un relativisme stérile. L’opacité « n’est pas l’enfermement dans une autarcie impénétrable, mais la subsistance dans une singularité non réductible. » Respecter ce droit, c’est « renoncer, pour un temps peut-être, à cette vieille hantise de surprendre le fond des natures » (2007, 204). Pas plus que la différence, la Relation n’est un nouvel absolu, un nouvel universel. C’est un mouvement permanent aux conséquences imprévues qui ne peut être compris que par une « pensée du tremblement », et non une « pensée de système ». Autrement dit, une pensée sensible, qui ne cherche pas le fondement et la stabilité de l’Être, mais s’attache à la fragilité et l’incertitude de l’étant - écrit sans majuscule, pour ne pas singer l’Être, précise-t-il. (2006 a, 42). Il parle également de « pensée archipélique », attentive aux écarts et passages, opposée à la pensée continentale qui, elle, voit tout en bloc. De livre en livre (essais, poèmes, romans), Edouard Glissant approfondit et précise cette idée première de la Relation et de l’échange, tramant ses dérivations esthétiques et politiques à l’échelle d’un monde, le nôtre, où la « créolisation » (2006-1), processus imprévisible et créateur a désormais gagné la Terre entière. La créolisation n’est pas un nivellement mais un enrichissement, fait de différences partagées par des humanités qui se découvrent et s’éprouvent. « Tu échanges, changeant avec l’autre sans pourtant te perdre ni te dénaturer » (2005, 38), répète souvent Glissant. Une formule qu’une anthropologie non hégémonique et co-construite pourrait aisément reprendre à son compte.
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Teses / dissertações sobre o assunto "Quête – Romans, nouvelles, etc"

1

Vollick, L. Erin. "The originals". Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2001. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp05/MQ64006.pdf.

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2

Vézina, Raphaëlle. "Cuvée 44 ; : suivi de L'héritage de la réception d’On the Road et de la posture d'écrivain de Kerouac selon les époques". Master's thesis, Université Laval, 2021. http://hdl.handle.net/20.500.11794/69524.

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Ce mémoire en recherche-création se décline en deux parties; un roman et un essai. Le roman et l'essai se répondent, en traitant tous les deux de la période des années 50, qui représente le contexte du roman On the Road qui sera analysé dans l'essai, mais aussi le moteur créatif qui a inspiré le roman Cuvée 44. Le roman, Cuvée 44, s'inspire de la filiation des romans de route et de quête personnelle dont On the Road est un des précurseurs. Il relate la vie mouvementée de Francine Boudreau, une jeune femme de quinze ans qui quitte son Québec natal en 1959 pour un monde de possibilités qui s'offrent à elle aux États-Unis, durant les années 50 et 60. Le lecteur est transporté un peu partout au pays, alors que la jeune femme tente de se poser quelque part. L'essai, quant à lui, traite de la réception de l'œuvre phare de Kerouac, On the Road, afin d'observer comment elle a évolué selon les décennies. En faisant ressortir les diverses critiques du roman de l'écrivain de la Beat Generation, on peut ainsi ressortir les différentes postures qui lui sont accordées au travers des époques, pour en voir les constantes et les disparités.
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3

DeChamplain, Virginie, e Virginie DeChamplain. "Les falaises ; : suivi de L'héritage de la filiation féminine brisée dans La femme qui fuit, d'Anaïs Barbeau-Lavalette; réparer le passé par le présent". Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37665.

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Resumo:
Ce mémoire en recherche-création s’articule en deux parties, soit un roman et un essai. Le roman Les falaises relate le retour d’une jeune femme dans l’ancestrale maison familiale à la suite de la mort de sa mère, avec qui elle entretenait une relation d’amour/haine destructrice. Elle y découvre des carnets rédigés par sa grand-mère qu’elle n’a pas connue, qui racontent les aléas de la maternité et la soif d’un retour à ses racines islandaises. Soif que la protagoniste poursuit, en quête d’une rencontre avec sa mère et sa grand-mère, d’une réunion improbable entre les membres de sa lignée insaisissable. L’essai L’héritage de la filiation féminine brisée dans La femme qui fuit, d’Anaïs Barbeau-Lavalette ; réparer le passé par le présent répond aux questionnements sur la gestion de l’héritage soulevés par la lecture du roman La femme qui fuit (2015) d’Anaïs Barbeau-Lavalette et par l’écriture en cours de Les falaises. La femme qui fuit est analysé de façon à faire ressortir les changements de paradigmes entre les époques des différents membres de la lignée familiale féminine dépeints dans l’oeuvre (arrière-grand-mère, grandmère, mère et fille) et la façon dont ces paradigmes, ainsi que l’héritage reçu influencent le rapport entre maternité et création. Il est question de déterminer comment l’autrice, grâce aux avancées du féminisme – tant social que littéraire – peut doubler sa position d’héritière de celle de testatrice et transformer l’héritage troué d’absence, de silence et de souffrances qui se transmet au sein de sa filiation familiale.
Ce mémoire en recherche-création s’articule en deux parties, soit un roman et un essai. Le roman Les falaises relate le retour d’une jeune femme dans l’ancestrale maison familiale à la suite de la mort de sa mère, avec qui elle entretenait une relation d’amour/haine destructrice. Elle y découvre des carnets rédigés par sa grand-mère qu’elle n’a pas connue, qui racontent les aléas de la maternité et la soif d’un retour à ses racines islandaises. Soif que la protagoniste poursuit, en quête d’une rencontre avec sa mère et sa grand-mère, d’une réunion improbable entre les membres de sa lignée insaisissable. L’essai L’héritage de la filiation féminine brisée dans La femme qui fuit, d’Anaïs Barbeau-Lavalette ; réparer le passé par le présent répond aux questionnements sur la gestion de l’héritage soulevés par la lecture du roman La femme qui fuit (2015) d’Anaïs Barbeau-Lavalette et par l’écriture en cours de Les falaises. La femme qui fuit est analysé de façon à faire ressortir les changements de paradigmes entre les époques des différents membres de la lignée familiale féminine dépeints dans l’oeuvre (arrière-grand-mère, grandmère, mère et fille) et la façon dont ces paradigmes, ainsi que l’héritage reçu influencent le rapport entre maternité et création. Il est question de déterminer comment l’autrice, grâce aux avancées du féminisme – tant social que littéraire – peut doubler sa position d’héritière de celle de testatrice et transformer l’héritage troué d’absence, de silence et de souffrances qui se transmet au sein de sa filiation familiale.
This master’s thesis in research and creative writing is divided in two parts – a novel and an essay. Les falaises [ Cliffs ] recounts the return of a young woman to the ancestral family home, following the death of her mother, with whom she maintained a destructive love/hate relationship. She discovers journals written by a grandmother she never knew, which reveal her grandmother’s views of maternity and her longing for a return to her Icelandic roots. The protagonist follows that longing, going in search of an unlikely meeting among the members of her elusive lineage. The essay L’héritage de la filiation féminine brisée dans La femme qui fuit, d’Anaïs Barbeau-Lavalette ; réparer le passé par le présent [ The Legacy of Broken Feminine Lineage in Suzanne by Anaïs Barbeau-Lavalette; repairing the past with the present ] answers questions about the management of legacy raised by the reading of the novel La femme qui fuit by Anaïs Barbeau-Lavalette and the writing of Les falaises. La femme qui fuit is analyzed in order to highlight the paradigm shifts between eras of the different members of the female family lineage depicted in the work (great-grandmother, grandmother, mother and daughter) and the way in which these paradigms, as well as the received legacy, influence the relationship between motherhood and creation. The essay tries to establish how the author negotiates the broken legacy of absence, silence and suffering that is transmitted in her family’s lineage.
This master’s thesis in research and creative writing is divided in two parts – a novel and an essay. Les falaises [ Cliffs ] recounts the return of a young woman to the ancestral family home, following the death of her mother, with whom she maintained a destructive love/hate relationship. She discovers journals written by a grandmother she never knew, which reveal her grandmother’s views of maternity and her longing for a return to her Icelandic roots. The protagonist follows that longing, going in search of an unlikely meeting among the members of her elusive lineage. The essay L’héritage de la filiation féminine brisée dans La femme qui fuit, d’Anaïs Barbeau-Lavalette ; réparer le passé par le présent [ The Legacy of Broken Feminine Lineage in Suzanne by Anaïs Barbeau-Lavalette; repairing the past with the present ] answers questions about the management of legacy raised by the reading of the novel La femme qui fuit by Anaïs Barbeau-Lavalette and the writing of Les falaises. La femme qui fuit is analyzed in order to highlight the paradigm shifts between eras of the different members of the female family lineage depicted in the work (great-grandmother, grandmother, mother and daughter) and the way in which these paradigms, as well as the received legacy, influence the relationship between motherhood and creation. The essay tries to establish how the author negotiates the broken legacy of absence, silence and suffering that is transmitted in her family’s lineage.
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4

LeBlanc, Éric. "Le bleu des garçons : suivi de : «Pourquoi se refuser, ce soir, à cette supposition?» : imaginaire et contamination narrative dans Dix heures et demie du soir en été de Marguerite Duras". Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/33224.

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Resumo:
Ce mémoire de maîtrise en recherche-création se divise en deux parties, soit un recueil de fictions et un essai théorique. Le bleu des garçons regroupe douze fictions interrogeant le désir masculin. La forme versifiée des textes explore la frontière entre prose et poésie, alors que la mobilisation de stratégies narratives variées et d’un style minimaliste exacerbe les non-dits de chaque situation, tout en brouillant la ligne entre le réel et l’imaginaire. Qu’ils soient fils, oncles, amoureux, queers, traîtres ou voyageurs, les protagonistes de ces fictions se rejoignent à travers la mise en doute de leur identité, de leur sexualité et de leur rapport avec autrui dans un moment de crise concentré dans l’espace et le temps. En continuité avec les considérations narratologiques du recueil, «Pourquoi se refuser, ce soir, à cette supposition?» Imaginaire et contamination narrative dans Dix heures et demie du soir en été de Marguerite Duras étudie l’adhésion de la narration de ce roman aux fabulations de la protagoniste. Notre essai analyse comment l’émotion et les appréhensions croissantes de cette dernière, initiées par le désir, contaminent le regard narratif en focalisation interne et contribuent à l’objectif cognitif de l’œuvre : faire du sensible son événement central.
This Master’s Dissertation in research-creation splits in two parts: a collection of short fictions and a theoretical essay. Le bleu des garçons regroups twelve fictional stories questioning masculine desire. The texts’ versified form explores the limit between prose and poetry, while the use of various narrative strategies, along with a minimalist style, highlights every situation’s underlying sense and blurs the line between reality and imagination. They might be sons, uncles, lovers, queer men, traitors and travellers, the protagonists of these short fictions still come together as they challenge their identity, their sexuality and their relationship with others in a critical moment condensed in time and space. Ensuing from the creative part’s narratological issues, “Why refuse oneself, tonight, to this supposition?” Imagination and narrative contamination in Marguerite Duras’s Dix heures et demie du soir en été studies this novel’s narrative adherence to the protagonist’s imagination. Our essay analyses how the narration’s gaze and internal focalization are contaminated by the main character’s growing emotion and apprehensions initiated by desire, while assisting the book’s cognitive objective: making passion its central event.
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5

Roy, Daphnée. "(en) revenir suivi de Josée Yvon et ses Filles-commandos bandées : le potentiel révolutionnaire des marginales". Master's thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/66688.

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Resumo:
(en) revenir (roman) (en) revenir est un roman autofictif rédigé à la première personne du singulier, composé d’un enchaînement d’épisodes anecdotiques permettant d’en connaître davantage au sujet de sa narratrice, Véronique. Dans le début de la vingtaine, la jeune femme raconte avec recul, introspection et humour son passage de l’adolescence à l’âge adulte, en y évoquant les rencontres marquantes qu’elle a effectuées durant ces années charnières de sa vie. Parmi celles-ci se trouvent Max, son ancien copain et premier amour, dont la narratrice est encore amourachée, et Amélie, meilleure amie excentrique et collègue de travail au Café Beausoleil à Saint-Roch, où une grande partie de l’action prend place. De ce fait, la Basse-Ville tient également un rôle central au sein du récit, puisque c’est dans ses environs que l’histoire de Véronique se déploiera, avec ses hurluberlus et cette ambiance particulière caractéristique d’un quartier défavorisé en pleine gentrification. Ce récit, malgré ses touches ironiques, relate avant tout l’histoire d’une jeune femme désillusionnée, blasée par l’université, le travail à temps partiel et les relations à sens unique. Sa quête naïve d’amour absolu la poussera dans ses derniers retranchements. Josée Yvon et ses Filles-commandos bandées : le potentiel révolutionnaire des marginales (essai). Filles-commandos bandées, publié en 1976, est le premier recueil de poésie de Josée Yvon, poétesse issue de la contre-culture québécoise. Sans compromis, cet ouvrage suit la publication de « La poche des autres » à La Barre du jour, revue intellectuelle dirigée par Nicole Brossard. Ce pamphlet datant de l’automne 1975 laissait déjà entrevoir les visées de la démarche poétique yvonienne : celle de faire sortir de l’ombre les figures de femmes marginales – de la mère de famille vivant toujours sous l’hégémonie patriarcale à la prostituée travaillant dans les ruelles du Centre-Sud montréalais – et celle d’y parvenir en rejetant radicalement les codes établis par les institutions littéraires et sociales. Filles commandos bandées témoigne de ce désir de renouveau et de rébellion à travers différentes stratégies touchant le fond et la forme, lesquelles donnent à voir le processus de réhabilitation des marginalisées mis en place par Yvon. C’est par la nomination des femmes sans nom et la normalisation des figures trans, quarante ans avant que la transsexualité ne perde son titre de maladie mentale et à une époque où même les féministes refusaient que les femmes transsexuelles leur soient associées, que Josée Yvon a su graduellement les doter d’une dignité longtemps refusée par le système. L’emprunt au genre du manifeste, suffisamment prégnant pour considérer Filles-commandos bandées comme un « manifeste poétique », permettra à Yvon d’évoquer la nécessité d’une prise de conscience des femmes au sujet de leur condition. De celle-ci résultera l’instauration d’une solidarité nouvelle et la formation d’une communauté de femmes déchues, creuset idéal où pourront germer l’idée puis l’action révolutionnaires.
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6

Ruelens-Lepoutre, Arnaud. "NORD CAP : Suivi de "La vie littéraire" de Mathieu Arsenault : formes et enjeux d'un objet littéraire non indentifié". Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29475.

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Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2017
Ce mémoire en recherche-création est articulé en deux parties distinctes, soit un roman et un essai. Nord Cap est un roman qui emprunte le genre du monologue intérieur, naviguant dans les pensées d’un vieil homme blessé qui repose dans une chambre d’hôpital. Hanté par son passé qui refait surface parfois sans prévenir, le narrateur propose un va-et-vient constant entre ses souvenirs et la réalité présente, qui se dégrade, pas à pas, jusqu’à sa mort qui devient inéluctable. L’essai sur La vie littéraire de Mathieu Arsenault, questionne cette œuvre à la narration et au genre incertains. L’objectif de cette étude est de montrer comment la narration éclatée de La vie littéraire convoque les formes du récit de la pensée et plus largement du récit intime, mais y échappe également et à quelles fins. Il est donc question de comprendre les caractéristiques de sa narration afin d’en saisir les enjeux selon qu’on l’associe au mode général du monologue intérieur ou qu’on y voit le résultat du croisement de plusieurs genres narratifs et de modes de discours issus des nouvelles formes de communication.
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7

Barabey, Martine. "Les méandres des ramilles, suivi d'une réflexion sur les impacts de l'utilisation d'une focalisation interne dans les romans historiques". Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29814.

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Resumo:
La première section de ce mémoire présente un court roman original intitulé Les méandres des ramilles. Ce roman aborde les diverses possibilités offertes par la vie et les multiples chemins que l’humain choisit d’emprunter. Il développe aussi le thème de l’amour et présente les conséquences de la Seconde Guerre mondiale sur la population canadienne de l’époque. La seconde section est consacrée à une réflexion sur les impacts de l’utilisation d’une focalisation interne dans les romans historiques, plus spécifiquement sur les concepts d’objectivité et de subjectivité historique, d’intériorité du personnage et de restriction de champ.
The first section of this master’s thesis presents a short original novel entitled Les méandres des ramilles. This novel deals with life opportunities and the choices that individuals decide to make. It also develops the theme of love and illustrates the consequences that World War II had on the Canadian population at the time. The second section is a reflection on the impact of the use of internal focalization in historical novels, more precisely on the concepts of historical objectivity and subjectivity, interiority of the character and restriction of field.
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8

Aubé, Alain Bobby. "L'ossature de l'existence : suivi de «La rupture identitaire chez Richler et MacLennan : étude sur la relation amoureuse dans The Apprenticeship of Duddy Kravitz et Two Solitudes»". Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28338.

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La première partie de ce mémoire, L’ossature de l’existence, est un récit de voyage dans lequel le narrateur entreprend une recherche identitaire en parcourant les États-Unis et le Canada. Le récit, qui s’approche parfois de l’essai, explore certains thèmes très présents dans la littérature québécoise, tels que l’errance, le déracinement, l’autochtonie, et le rapport du Québec francophone avec l’Amérique. S’y faufilent aussi des réflexions sur les ruptures; sur l’immuabilité du passé, la fragilité et l’éphémérité du présent, et les incertitudes de l’avenir. La seconde partie, « La rupture identitaire chez Richler et MacLennan », propose une analyse de la relation amoureuse entre francophones et anglophones dans The Apprenticeship of Duddy Kravitz et Two Solitudes. Le texte étudie la façon dont sont représentés les rapports de pouvoirs entre les deux groupes culturels dans les romans, mais aussi comment ils sont alimentés par des déterminants identitaires et par une certaine philosophie libérale, qui s’incarne entre autres dans le « rêve américain » et la primauté de l’individu sur le collectif.
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9

Gélinas, Priscille. "En attendant la vague (roman) : suivi de Représentation de la fuite par le voyage dans la littérature à l'ère du 2.0". Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/32024.

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La première partie de ce mémoire est constituée d’un roman faisant le récit d’une jeune femme de 24 ans en pleine crise existentielle qui, du jour au lendemain, se retrouve au Salvador afin de prendre du recul sur sa vie. À travers ses aventures où la jeunesse et l’insouciance sont à l’honneur, des réflexions profondes sur ce qui l’a amenée à fuir, et sur sa définition du bonheur, ne cessent de lui rappeler que cette pause ne durera pas éternellement. Ce roman fragmenté entre Le voyage et L’avant ouvre une fenêtre sur une génération qui tente de tracer sa place d’un trait coloré dans un monde où tout a été pensé en noir et blanc. La partie réflexive du mémoire porte sur la place que prennent les nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) dans la littérature de voyage contemporaine. Pour faire référence au roman qui précède, la fuite, comme motif du voyage et thématique centrale de la recherche, sera mise en relation avec la réalité du 2.0, pour étudier les divers effets que les réseaux sociaux, téléphones intelligents et autres TIC ont sur la concrétisation de cette évasion.
The first part of this memoir consists of a novel telling the story of a 24-yearold woman in the middle of an existential crisis who, from one day to the next, finds herself in El Salvador to take a step back from her life. Through her adventures where youth and carelessness are honored, deep reflections on what led her to flee, and on her definition of happiness, keep reminding her that this break will not last forever. This novel fragmented between ‘’Le Journal’’ and ‘’L’avant’’ opens a window on a generation that tries to trace its place with color in a world that was meant to be black and white. The reflective part of the thesis focuses on the role of new information and communication technologies (ICTs) in contemporary travel literature. To make reference to the preceding novel, flight, as a motive for travel and a central theme of research, will be related to the reality of 2.0, to study the various effects that social networks, smart phones and other ICTs have on the concretization of this escape.
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10

Vadnais, Christiane, e Christiane Vadnais. "Mécanique de la nuit suivi de Narration et imagination environnementale dans"Les larmes de saint Laurent" de Dominique Fortier". Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37624.

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Tableau d'honneur de la FÉSP
Tableau d'honneur de la FÉSP
Ce mémoire de recherche-création se divise en deux parties. La première, Mécanique de la nuit, est un recueil de nouvelles oniriques qui aborde la confrontation entre l’humain et la nature en mettant en scène des catastrophes naturelles, des animaux sauvages, des parasites, etc. Les textes se structurent par des échos entre les personnages et les lieux. Ils sont portés par une voix narrative qui raconte les histoires à la troisième personne et disserte sur la notion de rêve dans une perspective scientifique. La seconde partie s’intitule Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier. Elle analyse la place de la narration dans la poétique de cette oeuvre éclatée pour ensuite en étudier la portée d’un point de vue écocritique. De cette façon, elle vise à dégager la contribution potentielle d’une narration atypique au renouvellement de l’imaginaire environnemental contemporain.
Ce mémoire de recherche-création se divise en deux parties. La première, Mécanique de la nuit, est un recueil de nouvelles oniriques qui aborde la confrontation entre l’humain et la nature en mettant en scène des catastrophes naturelles, des animaux sauvages, des parasites, etc. Les textes se structurent par des échos entre les personnages et les lieux. Ils sont portés par une voix narrative qui raconte les histoires à la troisième personne et disserte sur la notion de rêve dans une perspective scientifique. La seconde partie s’intitule Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier. Elle analyse la place de la narration dans la poétique de cette oeuvre éclatée pour ensuite en étudier la portée d’un point de vue écocritique. De cette façon, elle vise à dégager la contribution potentielle d’une narration atypique au renouvellement de l’imaginaire environnemental contemporain.
This master thesis in creative writing is divided in two parts. The first one, Mécanique de la nuit, gathers dreamlike short stories about the conflict between human and nature. It stages natural catastrophes, wild animals, parasites, etc. The short stories are structured by echos between characters and places. They are told by an omniscient narrator who also talks about dreams in a scientific perspective. The title of the second part is Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier. It talks about the role of narration in the novel poetic, and then analyses its scope with an ecocritic perspective. It aims to determine the potential contribution of an unusual narrative voice to the renewal of contemporary environmental imagination.
This master thesis in creative writing is divided in two parts. The first one, Mécanique de la nuit, gathers dreamlike short stories about the conflict between human and nature. It stages natural catastrophes, wild animals, parasites, etc. The short stories are structured by echos between characters and places. They are told by an omniscient narrator who also talks about dreams in a scientific perspective. The title of the second part is Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier. It talks about the role of narration in the novel poetic, and then analyses its scope with an ecocritic perspective. It aims to determine the potential contribution of an unusual narrative voice to the renewal of contemporary environmental imagination.
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Livros sobre o assunto "Quête – Romans, nouvelles, etc"

1

1976-, Cresci Anne, ed. Comment te dire? [Villeurbanne]: Fleur de ville, 2014.

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2

Michelle, Tisseyre, ed. Te voilà! Saint-Laurent, Québec: Éditions P. Tisseyre, 2006.

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3

Marois, André. Un ami qui te veut du mal. [Montréal]: Boréal, 1999.

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4

Hébert, Marie-Francine. Je t'aime, je te hais--. Montréal: La Courte échelle, 2005.

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5

Ziegesar, Cecily Von. Comme si j'allais te mentir: Roman. Paris: Fleuve noir, 2007.

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6

Mian, Hai, ed. Te bie de nü sheng Sahala: Yi ge hai zi de te bie cheng zhang jing li. Xi'an Shi: Shanxi shi fan da xue chu ban she, 2009.

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7

Qiu bi te zai shen bian. Shenyang: Chun feng wen yi chu ban she, 2007.

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8

illustrator, Obin, e Yu Chixiu translator, eds. You xie shi hou, wo te bie xi huan ba ba. Ji'nan Shi: Ming tian chu ban she, 2013.

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9

illustrator, Jeram Anita, e Nuno Fernando translator, eds. Adivinha quanto eu te amo. 3a ed. São Paulo: WMF Martins Fontes, 2011.

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10

Zhengxiong, Zhang, e Lin Zhenqing, eds. Wo shi te bie de: Ti sheng zi xin de neng li. Taibei Xian Zhonghe Shi: Qiao yu wen hua shi ye you xian gong si, 2011.

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