Literatura científica selecionada sobre o tema "Langue des signes – Cinéma"

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Artigos de revistas sobre o assunto "Langue des signes – Cinéma"

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Leduc, Véro. "Est-Ce Vraiment une Bande Dessinée? Langues des Signes, Déconstruction et Intermédialité". Canadian Journal of Disability Studies 8, n.º 1 (21 de fevereiro de 2019): 58–97. http://dx.doi.org/10.15353/cjds.v8i1.471.

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La bande dessinée est un medium pensé en 2D et souvent déployé sur papier (Falardeau, 2008). Comment en créer une en langue des signes québécoise (LSQ), cette langue tridimensionnelle (3D) dont la vidéo s’avère la meilleure forme d’écriture ? Une bande dessinée vidéo… est-ce encore une BD ? C’est tombé dans l’oreille d’une Sourde est une bande dessignée, néologisme créé pour désigner cette bande dessinée bilingue vidéographiée en langue des signes québécoise (LSQ) et en français. Produite à partir d’extraits de rencontres avec des personnes sourdes et des membres de ma famille entendante réalisées dans le cadre de ma thèse de recherche-création, elle propose diverses réflexions sur la sourditude (Ladd, 2005), ce concept qui englobe les diverses manières de vivre comme personnes sourdes et de réfléchir aux enjeux que cela soulève. Chassé-croisé entre écriture créative en français, citations thématiques en LSQ et extraits de ma thèse inédite, cette contribution propose une réflexion, dans une posture de déconstruction, sur la création signée (en langues des signes) et l’intermédialité, en prenant comme site particulier la production d’une BD en LSQ, une création aux confins de la bande dessinée, de la littérature et du cinéma. L’article aborde notamment un survol des systèmes d’écriture en langue des signes, une réflexion sur la déconstruction de la bande dessinée entendante et une exploration de l’intermédialité comme site d’agentivité. Si « l’écriture est la condition de l’epistémè » (Derrida, 1967), la recherche-création à travers les médias numériques favorise cette écriture signée nécessaire à la création de savoirs et de productions culturelles en langues des signes.
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Cellura, Thaïs. "Être aesh pour un étudiant sourd". Empan 132, n.º 4 (14 de dezembro de 2023): 50–57. http://dx.doi.org/10.3917/empa.132.0050.

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Un aesh doit s’adapter à l’étudiant ou l’enfant qu’il accompagne. Comment faire lorsque l’étudiant accompagné ne parle pas la même langue que ses professeurs et camarades ? Les étudiants sourds sont dans cette situation et nous soulignons ici l’importance de recruter des aesh connaissant la langue des signes et la culture sourde pour accompagner les Sourds. Spécialisée en langue des signes, j’ai accompagné un étudiant sourd en master de cinéma et témoigne de la nécessité de ma présence à ses côtés comme de l’absence de formation pour devenir aesh .
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Gendrot, Monique. "Langue des signes et administration de la justice: le cas des Seychelles". MOARA – Revista Eletrônica do Programa de Pós-Graduação em Letras ISSN: 0104-0944 1, n.º 45 (2 de setembro de 2016): 159. http://dx.doi.org/10.18542/moara.v1i45.3714.

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Jusqu’en 2013-2014, les Seychelles sont un pays où aucun citoyen sourd ne pouvait être poursuivi ou poursuivre en justice, faute d’une accessibilité en langue des signes. L’article montre comment, sous l’impulsion d’un programme des Nations-Unies, s’est mise en œuvre la formation puis la constitution d’une équipe mixte interprètes langues vocales du pays/langue des signes seychelloise et médiateurs sourds. Il s’attache à exposer les problématiques rencontrées, dont entre autres une langue des signes en danger, non encore renseignée via un dictionnaire qui lui permette d’être reconnue, puis décline les solutions et les stratégies développées afin de les contourner, pour ensuite conclure sur les objectifs atteints.MOTS-CLÉ: Justice. Interprète. Langue de Signes. Seychelles. Médiateur sourd. Schématisation.
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Lavoie, Charlen, e Suzanne Villeneuve. "Acquisition du lieu d’articulation en langue des signes québécoise chez trois enfants sourds : étude de cas". Revue québécoise de linguistique 28, n.º 2 (30 de abril de 2009): 99–125. http://dx.doi.org/10.7202/603200ar.

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RÉSUMÉ Cette étude est la première en acquisition du lieu d’articulation en langue des signes québécoise (LSQ). Il existe peu de recherches sur le sujet en langues signées : Frishberg 1975 ainsi que Siedlecki et Bonvillian 1993 pour la langue des signes américaine, et Takkinen 1994 pour la langue des signes finlandaise. Notre objectif est d’observer les manifestations de la maturation linguistique de trois garçons sourds profonds de naissance enregistrés à un an d’intervalle (à trois et à quatre ans). Les lieux d’articulation de 3 386 signes ont été divisés en classes, et nous tenterons d’expliquer les lieux les moins réussis par des contraintes perceptuelles, articulatoires ou linguistiques.
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Séro-Guillaume, Philippe. "La langue des signes française (LSF)". Meta 42, n.º 3 (30 de setembro de 2002): 487–501. http://dx.doi.org/10.7202/002984ar.

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Résumé La langue des signes française (LSF) présente, sur le plan du lexique et de la rhétorique, des caractères inhérents aux langues non écrites parlées par de petites communautés. Par ailleurs, les sourds ont également élaboré leur idiome à partir des moyens de communication offerts par l'environnement entendant. Si la majorité des signes ont été élaborés à partir des procédés relevant de l'imitation, l'utilisation de l'espace et la séquentialité des signes ont une motivation sémantique. La motivation visuelle des signifiants manuels n'est pas plus présente à l'esprit des locuteurs de la LSF qu'elle ne l'est chez les locuteurs des langues dites naturelles. La langue des signes permet d'exprimer toutes les opérations mentales qui caractérisent !' intelligence adulte.
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Cuxac, Christian. "Apprendre une langue des signes". MOARA – Revista Eletrônica do Programa de Pós-Graduação em Letras ISSN: 0104-0944 1, n.º 45 (2 de setembro de 2016): 05. http://dx.doi.org/10.18542/moara.v1i45.3703.

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Monteillard, Nathalie. "La langue des signes internationale". Acquisition et interaction en langue étrangère, n.º 15 (2 de dezembro de 2001): 97–115. http://dx.doi.org/10.4000/aile.1347.

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Gendrot, Monique, e Alain Gebert. "Missions en faveur de la protection des Langues des Signes en danger dans la région de l’Océan Indien: la Langue des Signes Mauricienne (République de Maurice) et de la Langue des Signes Seychelloise (République des Seychelles), en lien avec le Pôle LSF de l’INJS de Paris". MOARA – Revista Eletrônica do Programa de Pós-Graduação em Letras ISSN: 0104-0944 1, n.º 45 (2 de setembro de 2016): 46. http://dx.doi.org/10.18542/moara.v1i45.3706.

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Le 4 Mai 2006, la publication du premier tome du Dictionnaire de la Langue des Signes Mauricienne (MSL) était officiellement lancée par son Hon. S.Bappoo, Ministre de la Sécurité Sociale à l’Ile Maurice. Le 17 Mars 2007, le premier Journal Télévisé Hebdomadaire en MSL interprété par des présentatrices Sourdes voyait le jour sur les chaînes nationales mauriciennes de la Mauritius Broadcasting Corporation. Ces deux évènements majeurs ont participé à la reconnaissance officielle de la MSL par le gouvernement mauricien d’abord, puis par l’ONU. Ils ont été réalisés dans le cadre d’une convention signée entre le gouvernement mauricien, l’INJS de Paris, l’Ambassade de France à Maurice et l’Université de Düsseldorf pour le Développement de la Langue des Signes Mauricienne et ce, pour une durée de 3 ans, de 2005 à 2007. Ce projet œuvrait en conformité avec les Règles des Nations Unies portant sur l’Egalisation des Chances pour les Personnes Handicapées. MOTS-CLÉ: Dictionnaire de langue des signes. Langue en danger. Langue des signes mauricienne et seychelloise. Accessibilité TV. Schématisation.
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Van Herreweghe, Mieke, e Marijke Van Nuffel. "Sign (Language) Interpreting in Flanders, Belgium". Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, n.º 4 (31 de dezembro de 1999): 318–44. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.4.05van.

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Abstract In this article the authors give an overview of sign language interpretation in Flanders, Belgium. After a short introduction on Flanders and its linguistic situation, the authors spend some time discussing sign language in Flanders from a historical perspective and discussing its current situation and especially outside influences on Flemish-Belgian Sign Language. The next chapter concentrates on the training of sign language interpreters. There are two training programmes in Flanders, both evening courses at post-secondary/higher education level. Both programmes are relatively new and are thus facing a number of problems still. Both programmes are moving away from teaching Signed Dutch to teaching Flemish-Belgian Sign Language, but do not have any pedagogically or methodologically trained teachers (whether hearing or Deaf), do not have sufficient materials to work with and can only rely on the limited amount of sign language research that has been done in Flanders during the last decade. Another problem concerns the choice of the signs themselves (regional signs or "unified" signs?). Nevertheless, both programmes are attracting more and more students. In the last chapter the authors concentrate on the field of sign language interpreting in Flanders. Attention is paid to the development of the profession of sign language interpreting, the central interpreting agency, the profile of the sign language interpreter in Flanders, the language of the interpreter, the financial situation and their working conditions. Finally, the authors briefly focus on the issue from the deaf consumer's point of view. Résumé Dans cet article les auteurs donnent un aperçu de l'interprétation en langue des signes en Flandre, Belgique. Après une brève introduction sur la Flandre et sa situation linguistique, les auteurs en viennent à la discussion de la langue des signes en Flandre d'un point de vue historique et décrivent sa situation actuelle et plus particulièrement les influences extérieures sur la langue des signes flamande-belge. Le chapitre suivant traite de la formation des interprètes de la langue des signes. Il existe deux programmes de formation en Flandre, enseignés sous forme de cours du soir au niveau post-secondaire/enseignement supérieur. Les deux programmes sont relativement récents et sont donc encore confrontés à quelques problèmes. Les deux programmes remplacent l'apprentissage du néerlandais signé par l'apprentissage de la langue des signes flamande-belge, mais ils ne disposent ni de professeurs (Sourds ou non) qualifiés au niveau pédagogique ou méthodologique, ni du matériel suffisant. Ils peuvent uniquement compter sur un nombre limité de recherches faites sur la langue des signes en Flandre durant la dernière décennie. Un autre problème relève du choix des signes mêmes (signes régionaux ou "uniformisés"?). Néanmoins, les deux programmes attirent de plus en plus d'étudiants. Dans le dernier chapitre, les auteurs se concentrent sur le domaine de l'interprétation de la langue des signes en Flandre. Une attention est prêtée au développement de la profession de l'interprétation de la langue des signes, au service central pour interprètes, au profil de l'interprète de la langue des signes en Flandre, au langage de l'interprète, sa situation financière et ses conditions de travail. Pour terminer, les auteurs examinent brièvement le point de vue du consommateur sourd.
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Nilsson, Anna-Lena. "Sign Language Interpreting in Sweden". Meta 42, n.º 3 (30 de setembro de 2002): 550–54. http://dx.doi.org/10.7202/003738ar.

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Résumé Cet article évoque certaines des ressemblances et des différences qui caractérisent l'exercice effectué par les interprètes en langue des signes et par les interprètes en langues orales. Il se termine par un bref historique de l'évolution des services d'interprétation en langue des signes en Suède et donne un aperçu de la situation actuelle.
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Teses / dissertações sobre o assunto "Langue des signes – Cinéma"

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Fougère-Danezan, Barbara. "Surdité et cinéma : un choc qui fait empreinte". Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2023. http://www.theses.fr/2023PA01H302.

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Seuls deux ouvrages abordent la question de la surdité au cinéma. Il ne faudrait cependant pas croire que ce sujet manque d'intérêt. Nous postulons même que ce thème offre une richesse insoupçonnée. Notre thèse s'engage ainsi dans l'exploration de la relation complexe et dynamique entre le cinéma et la surdité, en l’observant sous différents angles. En nous appuyant sur les Deaf et disability Studies, nous examinerons les diverses empreintes que la surdité a pu laisser dans l'art cinématographique, ainsi que celles laissées par le cinéma dans la culture sourde. Pour cela, nous chercherons à comprendre comment le cinéma et la communauté sourde se rencontrent, s’influencent mais également entrent parfois en conflit. Des premières réalisations phonoscopiques de Demenÿ jusqu’aux productions grand public contemporaines, en passant par des créations en langue des signes, nous mettrons en lumière le rôle souvent méconnu des personnes sourdes dans l’histoire du cinéma, en tant que sujets, acteur·rice·s, producteur·rice·s et réalisateur·rice·s. Notre exploration nous amènera à nous demander quelles transformations le cinéma subit, tant dans sa forme que dans son fond, lorsqu’il rentre en contact avec la culture Sourde, et vice et versa. Nous examinerons également les efforts déployés par celleux qui cherchent à faire du cinéma un espace « commun » aux sourd·e·s et aux entendant·e·s
Despite the fact that, to date, only a couple of books treat of deafness in cinema, we should not hastily conclude that this subject lacks interest. We even postulate that this subject offers unsuspected richness. Our thesis thus engages in the exploration of this complex and dynamic relationship which exists between cinema and deafness, by observing it from different angles. We will therefore rely on Deaf and Disability Studies to examine the various marks that deafness has left in cinematographic art, as well as those left by cinema in Deaf culture. To do this, we will look back in history and seek to understand how cinema and the deaf community meet, influence each other or come into conflict. From Demenÿ's first phonoscopic productions to contemporary mainstream productions, including creations in sign language, we will highlight the often overlooked role of deaf people in the history of cinema, as subjects, actors, producers and directors. Our exploration will lead us to ask ourselves what transformations cinema undergoes, both in its form and in its content, when it comes into contact with Deaf culture, and vice versa. We will also examine the efforts made by those who seek to make cinema a “common” space for deaf and hearing people
Https://youtu.be/Evq_Jgd4DBU
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Caujolle, Coralie. "Trauma et résilience chez Elizabeth Gaskell : corps, langage et signes dans les romans et leurs adaptations". Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040130.

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De Mary Barton à Wives and Daughters, les romans d’Elizabeth Gaskell mettent en scène des héroïnes qui affrontent des épreuves comme la mort, la maladie, la disparition de membres de leur famille, la naissance d’un enfant illégitime, la banqueroute, etc. Ses héroïnes sont forcées d’évoluer afin de survivre, d’autant plus que la période victorienne, jalonnée d’évolutions sociales, politiques, et scientifiques, ne les épargne pas. Si le trauma est souvent décrit comme un événement extraordinaire, les romans de Gaskell prouvent au contraire qu’il trouve sa source dans le quotidien. Même si les notions de trauma et de résilience n’existaient pas à l’époque victorienne, elles ne sont pas nées avec la psychanalyse, et Gaskell a su trouver son propre vocabulaire pour décrire l’intense vie psychique de ses personnages et leur capacité à se remettre de leurs blessures. Elle donne une voix aux répercussions mentales et physiques du trauma, saisissant les signes infimes, afin de rendre communicable ces expériences de la douleur. Nous verrons comment Gaskell parvient à construire un nouveau type de personnage féminin, l’héroïne gaskellienne, caractérisée par sa capacité à absorber les chocs traumatiques et par son héroïsme. Les adaptations cinématographiques de ses romans réalisées ces dernières années (North and South, Cranford, Wives and Daughters) participent à la nouvelle popularité de Gaskell. Le cinéma offrant un nouveau régime de visibilité et d’audibilité aux expériences traumatiques, nous analyserons les choix faits par les réalisateurs et scénaristes (utilisation du son, montage, ajouts de personnages, etc.) pour transposer à l’écran la subtilité de Gaskell
From Mary Barton to Wives and Daughters, Elizabeth Gaskell’s novels portray heroines who have to deal with ordeals such as death, disease, missing family member, illegitimate child, bankruptcy, etc. Her heroines are forced to evolve in order to survive, especially as they live in a period riddled with social, political and scientific changes which does not spare them. If trauma, which Greek origin refers to the wound, is often described as an extraordinary event, Gaskell’s novels, on the contrary, demonstrate that trauma arises in daily life. Even if these notions did not exist in the Victorian period, trauma and resilience were not born with psychoanalysis. Gaskell found her own language to describe her characters’ deep psychic life and their aptitude to resist and to recover from their wounds. She gives voice to the mental and physical repercussions of trauma, grasping all the hardly perceptible signs, in order to communicate these experiences of pain. We will see how these writing strategies enable Gaskell to build a new type of feminine character, the Gaskellian heroine, characterized by her aptitude to absorb traumatic shocks and by her heroism.Screen adaptations of her novels (North and South, Cranford, Wives and Daughters) were made in the last few years, thus contributing to Gaskell’s new popularity. As cinema offers a different regime of visibility and audibility to traumatic experiences, we will analyse the choices made by directors and scriptwriters (use of sound, editing processes, addition of characters, etc.) to adapt for the screen Gaskell’s subtlety
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Guitteny, Pierre. "Le passif en langue des signes". Phd thesis, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III, 2006. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00423884.

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Dans le cadre de la grammaire générative (Chomsky 1981), le passif s'explique par un mouvement entre la structure profonde et la structure de surface : la morphologie passive absorbe le rôle thématique du sujet et l'assignation d'un cas accusatif, ce qui provoque le mouvement de l'argument interne. Dans le cadre de la grammaire cognitive, les propriétés du passif consistent notamment à retourner le point de repère et la trajectoire (Langacker). Nous avons retenu la définition qui le caractérise en tant que démotion du sujet sémantique (du premier argument du verbe), ou, selon la formulation de C. Muller : « reléguer au rang de relation facultative de dernier rang la relation prédicative du premier argument au verbe, avec ou sans modification (temporelle, aspectuelle) dans la sémantique du verbe » (2002 : 227). Précisant les limites de notre objet d'étude, nous avons distingué la langue des signes d'un côté du français signé, et de l'autre des gestes co-verbaux. Le français signé est un pidgin, parfois une interlangue, que certaines études linguistiques confondent avec la langue des signes. Parmi les traits qui les différencient, celle-ci s'appuie sur une logique visuelle que le français signé ne respecte pas. L'iconicité n'est pas elle- même une langue, mais elle est modelée par des processus linguistiques et se trouve à la source de nombre de phénomènes (morphologiques, syntaxiques, pragmatiques) caractérisant la langue des signes. D'autre part, contrairement aux signes de grande iconicité, les gestes co-verbaux n'ont pas l'indépendance qui leur permet d'être clairs et complets, car ils ne sont pas passés au crible d'un traitement linguistique. L'iconicité est au cœur de la grammaire développée par Christian Cuxac, grammaire qui peut être appréhendée en terme d'ekphrasis. Nous avons retenu deux critères pour caractériser le passif en langue des signes : pour les énoncés en transfert personnel comportant un verbe transitif, la démotion du sujet est marquée par la prise de rôle du patient (l'agent étant absent ou mis au second plan) ; pour les énoncés hors transfert personnel, elle est marquée par la non attribution de l'emplacement de l'agent ou son attribution dans un second temps, éventuellement introduite par un terme relateur. C'est ainsi, par exemple, que l'on peut distinguer passif et impératif, ou passif et impersonnel. Nous avons également proposé de distinguer passif et inverse, le passif mettant au second plan l'agent, l'inverse changeant le point de vue sans changer de focale. Le passif peut se combiner avec d'autres structures pour former des constructions complexes. Cette description du passif peut trouver place dans le cadre d'une grammaire de l'iconicité. Elle peut être plus difficilement retenue dans le cadre des analyses génératives : celles-ci manquent encore d'outils adaptés à une langue en trois dimensions, mettant en jeu des phénomènes comme les transferts, la simultanéité ou la spatialisation.
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Voisin, Emilie. "Analyse syntaxique et formalisation d'énoncés en langue des signes française". Bordeaux 3, 2008. http://www.theses.fr/2008BOR30095.

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La question de l’étude linguistique de la langue des signes française (LSF) est relativement récente compte tenu de l’histoire difficile de la reconnaissance des langues signées (LS) en Europe et plus particulièrement en France. Le travail de thèse que nous avons mené s’inscrit dans une perspective syntaxique. Notre recherche a tout d’abord porté sur l’organisation syntaxique de la phrase simple avant de s’attacher plus particulièrement à la notion de verbe. Cette étude prend appui sur l’étude comparée de langues différentes telles que le français, et d’autres langues orales, LO, (telles que des langues africaines ou amazoniennes) mais aussi des LS telles que la langue des signes américaine (ASL), la langue des signes québécoise (LSQ) par exemple. L’enjeu de cette recherche est de mettre à jour des corrélations entre les systèmes linguistiques des LO et des LS. En effet, nous remarquons que le verbe présente des similitudes dans son fonctionnement avec des langues amazoniennes : la flexion du verbe en LSF peut se voir comme une marque de l’incorporation nominale. C’est ce phénomène en particulier que nous avons décrit d’un point de vue syntaxique. Par la suite, nous proposons une formalisation du phénomène de l’incorporation nominale dans le cadre théorique de la grammaire générative. La thèse pose la question du point de vue à adopter sur un système linguistique particulier et tente d’y répondre en ouvrant à une plus large comparaison entre les LS et les LO dans le but d’enrichir les deux systèmes linguistiques (systèmes auditivo-oral et visuo-gestuel)
The question of the linguistic study of the sign french language ( LSF) is relatively recent considering the historical difficulties of the recognition of sign languages ( LS) in Europe and more particularly in France. The work of this thesis we led joins in a syntactic perspective. First of all, our research has concerned the syntactic organization of the simple sentence. Then we focused more particularly to the notion of verb. This study takes support on the study compared by different languages such as French, and other oral languages, LO, (such as African or Amazonian languages) but also LS such as american sign language( ASL), quebecois sign language ( LSQ) for example. The goal of this research is to update correlations between the linguistic systems of LO and LS. Indeed, we notice that the verb presents resemblances in its functioning with Amazonian tongues : the flexion of the verb in LSF can be as a mark of the nominal incorporation. It is this phenomenon in particular that we described from a syntactic point of view. Afterward, we propose a formalization of this phenomenon (nominal incorporation) in the theoretical frame of the generative grammar. The thesis asks the question of the point of view to be adopted on a particular linguistic system and tries to answer it by opening to a wider comparison between the LS and LO with the aim of enriching both systems
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Goasmat, Grégory. "Langue des signes et malaise du sujet". Thesis, Rennes 2, 2017. http://www.theses.fr/2017REN20029.

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Le champ socio-professionnel circonscrit par la prise en compte éducative et sociale des surdités sévères et profondes congénitales est structuré par un clivage entre les courants gestualistes et oralistes apparu à la fin du XVIIIè siècle. Depuis la fin des années mille neuf-cent soixante-dix, sous les impulsions de la militance pour la « cause sourde » d'une part et des progrès technico-médicaux de l'autre, ce clivage s'est trouvé refondé dans celui distinguant une conception du sujet sourd, héritant du structuralisme en linguistique et en psychanalyse, d'une approche de l'individu déficient auditif marqué du positivisme des modèles biologiques appliqués à l'humain.Si l’indigence de la prise en compte de la complexité de la rationalité humaine par ce second paradigme fait l'objet de critiques tout aussi sévères qu'argumentées de la part du premier, la passion pour la langue des signes qui infiltre celui-ci l'inscrit aussi, par là même, dans la tendance sociale repérable comme celle d'un effacement de la spécificité de l'enfant.Bien au-delà d'ailleurs du contexte du handicap, on peut identifier que la langue des signes produit dans notre contemporanéité des effets de fascination amplement redevables aux échos qu'elle trouve dans la négativité – au sens de Jean Gagnepain – constitutive de la condition de l'Homme.Dans l'investissement de la langue des signes, ordonné par la militance pour la « cause sourde » et l'orientation se présentant comme oeuvrant à un bilinguisme, la question de l'imprégnation de la langue audio-orale communautaire et de son outillage par l’écrit figure enfin un point d’achoppement dont se démarquent les approches oralistes notamment renouvelées par la Langue française Parlée Complétée (LPC)
The socio-professional area is delimited by the social and educative ways of regarding the severe congenital deafnesses. It is structured by the split between the oralism and gestualism branches which appeared at the end of XVIIIth century. Since the end of the seventies, driven by parental and cultural militancies as well as technical and medical progress, this division has been refounded in a new one which sets apart two ways of seeing the deaf person. One derives from structuralism in linguistic and psychoanalyse and the other one from positivism of biological models applied to Human.The paucity of the second paradigm regarding the human rationality complexity is the target of serious as well as documented criticisms by the first one. However, the passion for the sign language which comes in the latter one puts it also, by the fact, in the social trend which erases the child specificity. Besides, far beyond the handicap context, the fascination for the sign language observed in our contemporaneity is fully indebted to echoes found in the human constitutive negativity – in the Jean Gagnepain's meaning.Finally the issues of impregnation by audio-oral community language and of its equipment by writing are sticking points in the sign language approach, ordered by campaigners for the deaf cause and considered as working for bilingualism. Conversely, oralism, especially when renewed by the Cued Speech adapted to French, gets free from these pitfalls
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Courtin, Cyril. "Surdité, langue des signes et développement cognitif". Paris 5, 1998. http://www.theses.fr/1998PA05H020.

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Les rapports existant entre le langage et la pensée sont ici étudiés dans le cadre d'une comparaison du développement cognitif d'enfants sourds et entendants. Plusieurs domaines du développement sont étudiés, plus particulièrement la catégorisation, l'acquisition d'une compréhension de l'esprit en tant que générateur de représentations (théories de l'esprit) et le développement de capacités de sélection et coordination de ces représentations (fonctions exécutives). La comparaison d'enfants entendants à divers groupes d'enfants sourds âgés de 5 à 8 ans, considéres notamment selon leur mode de communication et l'étiologie de leur surdité, permet alors de séparer les effets de différents facteurs (exposition précoce à un système linguistique, communication en langue des signes, maturation cérébrale, etc. ) Susceptibles de déterminer l'acquisition des capacités cognitives étudiées. L'importance de quelques-uns de ces facteurs est ainsi mise en évidence. La langue des signes se révèle avoir une influence sur le développement cognitif des enfants sourds, sans pour autant pallier toutes les conséquences d'un environnement non optimal en jeune âge, amenant à devoir considérer "cognitivement à risque" les enfants sourds nés de parents entendants, tout en rejetant l'idée d'une "psychologie de l'enfant sourd"
The existing relationship between language and thinking is investigated comparing the cognitive development of deaf and hearing children. Several domains of development are studied, in particular, categorization, the acquisition of comprehension of the mind as a generator of representations (theories of mind) and the development of selection and coordination abilities of these representations (executive functions). By comparing hearing children to diverse groups of deaf children from 5 to 8 years of age, classified by their mode of communication and the etiology of their deafness, provided a means to separate out the effects of different factors (precocious exposure to a linguistic system, communication in sign language, cerebral maturation, etc. ) which are likely to determine the acquisition of the cognitive capacities studied. The importance of these factors is described and explained. Sign language has been show to have a positive influence on deaf children's cognitive development, though without eliminating all the consequences of a non-optimal environment, thus leading to consider deaf children born to hearing parents as "cognitively at risk", but concluding that the idea of a "psychology of deaf children" should be rejected
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Schmitt, Pierre. "Signes d'ouverture : contributions à une anthropologie des pratiques artistiques en langue des signes". Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0166.

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Ces contributions à une anthropologie des pratiques artistiques en langue des signes s'articulent autour d'une réflexion associant processus de création, œuvres et publics. L'étude des mises en scènes de la langue des signes, au théâtre, au cinéma, à la télévision, ou en ligne, nécessite la construction d'un modèle sémiotique qui ne sépare pas les locuteurs et les langues en amont de l'analyse. Je fournis ainsi un certain nombre de repères concernant les études linguistiques sur les langues des signes et les "gesture studies" afin d'éclairer les renouvellements épistémologiques et méthodologiques dans l'étude de communication humaine. De la langue à la culture, je reviens également sur l'étude des sourds comme groupe culturel et linguistique par les "Deaf studies" dans la mesure où si de nombreux travaux qui en relèvent sont connus en France, rares sont les publications qui interrogent ce champ en tant que tel. L'exposé de leurs relations avec les "disability studies" et de certains positionnements vis-à-vis de la catégorie du « handicap » constituent une autre contribution nécessaire afin de mieux comprendre les cadres contemporains au sein desquels les pratiques artistiques en langue des signes se développent et se diffusent. Les textes théoriques contribuant à une institutionnalisation des pratiques artistiques en langue des signes sont aussi très rares. C'est pourquoi je me suis livré à l'exégèse des « nouvelles directions et définitions » proposées par Dorothy Miles et Louie Fant en 1976, dans le contexte américain de professionnalisation du « théâtre sourd » au sein du National Theatre of the Deaf. Je présente ensuite ce dernier et l'évolution de ses créations afin de rendre compte de son influence sur les débuts de l'International Visual Theatre en France. Et si c'est par le théâtre que les pratiques artistiques en langue des signes ont été professionnalisées et sont entrées dans l'espace public, la popularité actuelle du « chansigne » m'a conduit à m'interroger sur l'identité de ses praticien-ne-s et la diversité de ses formes. L'étude des créations audiovisuelles qui y sont liées offrait une étude de cas pour appliquer une analyse multimodale tenant compte des langues mises en scène, de l'identité et des compétences des artistes, des intentions artistiques et des publics visés. Enfin, au sein d'un monde de l'art signant, l'étude de festivals comme contexte de réception m'a permis de documenter la manière dont l'évolution des inter-actions entre sourds et entendants par le partage de la langue des signes contribuent à l'émergence d'une « communauté signante »
These contributions to an anthropology of artistic practices in sign language associate thoughts on creative processes, works of art and audiences. Studying sign language "mises en scènes", in theater, in movies, on television, or online, requires a semiotic model that does not separate speakers and languages before undertaking analysis. I thus provide some insight on gesture studies and linguistic studies on signs in order to shed light on current epistemological and methodological issues in the study of human communication. From language to culture, I will also address the description of deaf people as a cultural and linguistic group by Deaf studies. Deaf studies are known in France but French works interrogating their very existence as a field are rare. Presenting the relationship between Deaf studies and disability studies will be another necessary step toward understanding the contemporary frameworks within which artistic practices in sign language are developing and spreading. Theoretical texts contributing to the institutionalization of artistic practices in sign language are also rare. This is why I dedicated myself to a thorough investigation of the "new directions and definitions" suggested by Dorothy Miles and Louie Fant in 1976, in the context of professionalization of "deaf theater" within the National Theater of the Deaf. I then present the NTD and the evolution of its creations to highlight its influence on the beginnings of the International Visual Theater in France.While artistic practices in sign language have been professionalized and entered public space through theatre, current popularity of "singing in sign language" has led me to question its practitioners' identities and the diversity of its forms. The study of sign language music videos has offered a case study to apply a multimodal analysis, taking into account staged languages, artists' identities and skills, artistic intentions and targeted audiences. Finally, within a signing art world, the study of festivals as reception context allowed me to document how evolutions of deaf/hearing interactions through the sharing of sign language contribute to the emergence of a "signing community"
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Leroy, Elise. "Didactique de la langue des Signes Française, langue 1, dans les structures d'éducation en langue des signes : attitudes et stratégies pédagogiques de l'enseignement sourd". Paris 8, 2010. http://octaviana.fr/document/169717364#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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L'enseignement collectif aux élèves sourds au moyen de la langue des signes est mis en place, pour la première fois, au milieu du XVIIIème siècle par l'Abbé de l'Epée. Puis un siècle après l'interdiction de la langue des signes (LS) dans le milieu éducatif suite au congrès de Milan en 1880, le mouvement associatif Deux Langues pour une Education reprendra le flambeau du bilinguisme LSF-français, créant des classes uniquement en LS au sein de structures publiques. Nous avons alors tenté de comprendre les enjeux d'une telle éducation pour l'élève sourd en balayant les différents types d'éducation bilingue en France, qu'il s'agisse de l'enseignement de langues internationales ou régionales. Nous nous sommes aussi interrogée sur les statuts ambigus, des classes où la langue d'enseignement est la LSF et des professionnels sourds, ambiguïté due à une double tutelle ministérielle toujours en vigueur. Suivant ensuite les principes de la théorie de l'iconicité (Cuxac, 2000), nous défendons la pertinence de la surdité dans le développement des langues des signes, engendrant de fait une pédagogie particulière pour l'enseignement de ces langues. Après avoir explicité nos choix méthodologiques d'enquête et d'analyse au coeur des classes en LS, notre étude révèle de fines et complexes stratégies linguistiques utilisant notamment le regard, le pointage et le toucher. La sémiologie particulière des langues des signes caractérise la pédagogie "alter-active" des séances d'enseignement de la LS. Dans une pédagogie où le sens se manifeste d'abord par l'oralité, la LS a ainsi toute sa place dans la pédagogie d'accès à l'écrit dans le cadre de l'éducation des enfants et adolescents sourds
The collective teaching for deaf pupils by means of sign language was set up for the first time in the middle of the 18th century by a priest named “l’Abbé de l’Epée”. Then, one century after the sign language (SL) prohibition in the education system at the Milan Congress in 1880, the association Two Languages for one Education will take up the torch of LSF-French bilingualism by creating grades exclusively taught in SL. Therefore, we have tempted to understand the issues of such an education for the deaf pupil by sweeping up the different types of bilingual education in France, as well for international language teaching than for regional language teaching. We have also questioned ourselves about the ambiguous statuses of the grades where FSL is the teaching language and of the deaf professionals, an ambiguity due to a current double ministerial supervision. Furthermore, following the principles of the iconicity theory (Cuxac, 2000), we defend the relevance of the deafness in the development of sign languages, generating for this reason particular teaching skills for the instruction of these languages. After having clarified our methodological choices of survey and analysis at the center of SL grades, our study reveals subtle and complex linguistic strategies using notably direction of eyes, finger pointing and sense of touch. The particular semiology of sign languages characterizes the “alter-active” methods of the SL teaching sessions. In an education where the meaning is first expressed "orally" (in such a case by means of the visual gestural modality), the SL has then all its place in the writing access educational method within the context of the education of deaf children and deaf teenagers
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Aristodemo, Vita Maria Valentina. "Constructions gradables dans la Langue des Signes Italienne". Thesis, Paris, EHESS, 2017. http://www.theses.fr/2017EHES0147/document.

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Cette thèse étudie la sémantique des constructions gradables du point de vue de la langue des signes, en se basant sur les données de la Langue des Signes Italienne (LIS). Des travaux récents sur les langues des signes (Lillo-Martin and Klima (1990), Sandler & Lillo-Martin (2006) Schlenker (2011), entre autres) ont montré l’importance de les inclure dans le domaine empirique des recherches sémantiques. En effet, la modalité visuelle et l’iconicité permettent parfois de réaliser de façon explicite des éléments abstraits du système logique du langage qui restent implicites dans les langues parlées. Ainsi, la contribution unique des langues des signes dans les débats sémantiques ouvre de nouvelles perspectives pour mieux comprendre le fonctionnement du système logique des langues.La thèse contient trois études de cas. La première étude se concentre sur les adjectifs gradables et les constructions comparatives. Nous proposons des arguments en faveur de l’existence des variables de degrés (Kennedy 1999) : i) en LIS, une classe d’adjectifs gradables représente explicitement les degrés et les échelles dans l’espace des signes, (ii) grâce à un morphisme iconique, les échelles sont représentées comme un ensemble de points ordonnés dont chaque point représente un degré, (iii) les expressions qui se réfèrent aux degrés peuvent devenir des antécédents pour des pronoms de degré, comme dans le domaine nominal, temporel et modal. De plus, nous montrons que ces constructions sont des comparatives mixtes qui expriment une comparaison explicite et que les trois différents marqueurs comparatifs (MORE, iconic-more et ∃--icon-more) présentent différentes propriétés morpho- syntaxiques et sémantiques : le premier marqueur, MORE, n’est pas iconique et se comporte plus ou moins comme le comparatif anglais « more ». Par contre, on observe une différence intéressante entre les marqueurs iconiques ∃-icon-more et iconic-more. En effet, ils présentent différentes propriétés articulatoires. Le marqueur iconic-more a un mouvement qui se termine par une forte décélération alors que le mouvement du marqueur ∃-icon-more ne l’a pas. Nous montrons que la présence et l’absence de décélération sont associées à des interprétations sémantiques différentes. La présence du marqueur iconic-more donne lieu à une lecture exacte alors que ∃-icon-more donne lieu à une lecture existentielle. Pour expliquer ce contraste, nous soutenons que le lieu marqué par une forte décélération du mouvement correspond à un pronom déictique. En revanche, les marqueurs ∃-icon-more et MORE ont une interprétation existentielle comme dans les langues parlées. Dans la deuxième étude, nous étendons le domaine empirique des constructions gradables en incluant parmi celles-ci les constructions temporelles. Dans les constructions temporelles, les moments auxquels se passent les événements et les relations temporelles sont explicitement représentées dans l’espace de signation grâce à un morphisme iconique qui représente l’échelle temporelle comme une ligne horizontale. Ces constructions possèdent exactement les mêmes propriétés sémantiques que les constructions comparatives. Plus précisément, les marqueurs temporels ont des interprétations déictiques et existentielles parallèles à celles des constructions comparatives et des pronoms anaphoriques pouvant être utilisés pour se référer aux moments représentés explicitement dans espace de signation Enfin, la dernière est une étude comparative entre les composants iconiques des adjectifs absolus de la LIS et un geste co-verbal en italien ayant approximativement le sens de « complètement ». Nous montrons que la composante iconique et le geste co-verbal apportent tous les deux une contribution non assertive et que leur contribution peut ne pas être prise en compte (ne pas être copiée) dans la résolution de l’ellipse. Ces propriétés suggèrent que l’on peut analyser la composante iconique des adjectifs absolus de la LIS comme un élément gestuel
The aim of this dissertation is to investigate gradable constructions in Italian Sign Language (LIS). In the semantic literature, the debate about the existence of degrees as ontological elements has been very active. In this dissertation, we show that Italian Sign Language pro- vides evidence not only for the existence of degrees, but also for degree-denoting variables. First, degrees can be overtly represented as ordered points (i.e loci) in signing space by means of an iconic mapping. Second, degree expressions can be established on points in space (i.e loci), which can be anaphorically linked to later pointing pronouns, as in the nominal do- main, temporal and modal domains. Additionally, focusing on comparative constructions, we show that articulatory properties of comparative markers influence the interpretation of comparatives. Specifically, the presence/absence of sharp deceleration makes visible a specific degree which is then interpreted as a deictic element. Furthermore, we show that the visibility of degrees is not just limited to the adjectival domain but that it extends to the temporal domain, but it extends to the temporal domain. Specifically, in temporal constructions the temporal scale is iconically represented as a set of ordered points in the horizontal plane. Moreover, temporal markers, as comparatives markers, express a relation between the time arguments of the two clauses. To account for these properties, we propose an analysis of temporal clauses in terms of comparative clauses. Finally, we move to LIS absolute gradable adjectives and show that the iconic component of some of these adjectives can be analyzed as co-speech gestures. However, while co-speech gestures are optional, the iconic component of LIS absolute adjectives is an integral part of the adjectives and it cannot be omitted
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Zorzi, Giorgia <1988&gt. "Role Shift in LSF (Langue des Signes Française)". Master's Degree Thesis, Università Ca' Foscari Venezia, 2013. http://hdl.handle.net/10579/3339.

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Questo progetto di tesi mira a studiare la natura sintattica e semantica del fenomeno di Role Shift nella Lingua dei Segni Francese (LSF). L'obiettivo è di capire il funzionamento di questo fenomeno al fine di poterlo comparare al discorso diretto o indiretto nelle lingue orali e realizzare un'analisi comparativa con altre lingue dei segni. Partendo dalla letteratura esistente sulle lingue orali, questo progetto si pone come obiettivo lo studio delle proprietà del RS in relazione al fenomeno dell'indessicalità e dello shifting dei pronomi di prima e seconda persona singolare. Inoltre, l'uso di avverbi come "alternativamente", che marcano il confine di frase, possono permetterci di capire se il RS comporta la presenza di una struttura mono o bi-frasale. Questa tesi ha un approccio scientifico che richiede la raccolta di dati con informanti Sordi madrelingua LSF. Tutti i dati raccolti sono analizzati con il programma Elan.
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Livros sobre o assunto "Langue des signes – Cinéma"

1

Florence, Encrevé, e Jeggli Francis, eds. L' interprétation en langue des signes: Français/langue des signes française. Paris: Presses universitaires de France, 2007.

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2

Rasquinet, Max. Pourquoi la langue des signes? [Bruxelles]: Commission francophone du langage des sourds, 1987.

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3

Sanogo, Yédê Adama. Écoute mes mains: Dictionnaire de langue des signes : lexique trilingue, langue des signes/français/anglais. Abidjan: EDILIS, 2012.

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4

1945-, Dubuisson Colette, e Nadeau Marie 1958-, eds. Études sur la langue des signes québécoise. Montréal: Presses de l'Université de Montréal, 1993.

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5

Christian, Cuxac, ed. Les langue des signes: Une perspective sémiogénétique. Paris: Association ENCRAGES, 2001.

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6

Brigitte, Garcia, ed. Ecrits sur la langue des signes française. Paris: Harmattan, 1995.

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7

Meurant, Laurence. Le regard en langue des signes: Anaphore en langue des signes française de Belgique (LSFB), morphologie, syntaxe, énonciation. Rennes: Presses Universitaires de Rennes, 2008.

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8

Le regard en langue des signes: Anaphore en langue des signes française de Belgique (LSFB), morphologie, syntaxe, énonciation. Rennes: Presses Universitaires de Rennes, 2008.

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9

Michel, Girod, Gutierrez Eric ill e Dufour Anne-Catherine ill, eds. Dictionnaire bilingue français/langue des signes pour enfants. Vincennes: International Visual Theatre--Editions I.V.T., 1994.

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10

Labes, J. F. La langue des signes française: Dictionnaire technique de poche. Paris: Langue des Signes Editions Publications, 1996.

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Capítulos de livros sobre o assunto "Langue des signes – Cinéma"

1

Lifschitz, Avi. "Zeichensprache (langue des signes)". In Rousseau und die Moderne, 339–49. Wallstein Verlag, 2013. http://dx.doi.org/10.5771/9783835324190-339.

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2

Virole, Benoît. "8. La langue des signes". In Psychologie de la surdité, 168. De Boeck Supérieur, 2006. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.virol.2006.01.0168.

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3

Lataste, Lucie. "Théâtre musical en langue des signes". In Théâtre musical (xxe et xxie siècles), 183–94. Presses universitaires de Franche-Comté, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.37867.

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4

Guitteny, Pierre. "Traduction audiovisuelle et langue des signes". In Traduction et médias audiovisuels, 215–28. Presses universitaires du Septentrion, 2011. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.46337.

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5

Goudaillier, Jean-Pierre. "Apports de la littérature au cinéma et du cinéma à la littérature". In Le français, une langue pour réussir, 305–19. Presses universitaires de Rennes, 2014. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.65717.

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6

MILLET, Agnès. "DYNAMIQUES ICONIQUES EN LANGUE DES SIGNES FRANÇAISE:". In Surdité et société, 129–42. Presses de l'Université du Québec, 2006. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv18pgmr7.13.

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7

Hénault-Tessier, Mélanie. "Locuteurs de langue des signes au travail". In Géographies du handicap. Éditions des maisons des sciences de l’homme associées, 2020. http://dx.doi.org/10.4000/books.emsha.813.

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8

Bancel, Jean-Louis, e Jérémie Boroy. "V. La langue des signes dans l’entreprise ?" In La traduction dans une société interculturelle, 145–59. Hermann, 2022. http://dx.doi.org/10.3917/herm.bond.2022.01.0145.

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9

Holcomb, Thomas, e Mireille Golaszewski. "6 - La langue des signes américaine - Langue de la communauté des Sourds". In Introduction à la culture sourde, 147–72. Érès, 2016. http://dx.doi.org/10.3917/eres.holco.2016.01.0147.

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10

Cléder, Jean. "Entre littérature et cinéma : inventer une langue étrangère ?" In Marguerite Duras, 79–88. Presses universitaires de Rennes, 2013. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.56724.

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Trabalhos de conferências sobre o assunto "Langue des signes – Cinéma"

1

Blondel, Marion. "Prosodie et langue(s) des signes : un aperçu poétique". In XXXIVe Journées d'Études sur la Parole -- JEP 2022. ISCA: ISCA, 2022. http://dx.doi.org/10.21437/jep.2022-34.

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Ordioni, U., G. Labrosse, F. Campana, R. Lan, J. H. Catherine e A. F. Albertini. "Granulomatose oro-faciale révélatrice d’une maladie de Crohn : présentation d’un cas". In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603017.

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Resumo:
La granulomatoses oro-faciale (GOF) est une entité rare regroupant toutes les pathologies caractérisées par une inflammation granulomateuse non caséeuse de la région oro-faciale. Le diagnostic est histologique. L’étiologie n’est pas connue. L’oedème labial d’abord intermittent, pouvant s’installer de manière permanente, est un symptôme classique de la GOF. D’autres signes cliniques, extra-oraux, peuvent être associées lorsque la GOF s’inscrit dans le cadre d’une pathologie systémique : maladie de Crohn, Sarcoïdose, maladie de Wegener. Nous présentons le cas d’un patient pour qui l’exploration de sa GOF a conduit au diagnostic de maladie de Crohn (MC). Un patient de 29 ans consultait pour une tuméfaction labiale évoluant depuis an après échec de traitement locaux (dermocorticoïdes). On notait des diarrhées chroniques étiquetées maladie coeliaque et un épisode d’hyperplasie gingivale à l’âge de 14 ans (gingivectomie réalisée par un parodontiste mais sans analyse anatomopathologique). L’examen clinique montrait un oedème labial supérieur et inférieur associé à un érythème, une hyperplasie gingivale, une ulcération vestibulaire et une langue géographique associée à une langue plicaturée. On ne notait pas de paralysie faciale. Des biopsies étaient réalisées. La biopsie labiale montrait une muqueuse normokératosique, avec des remaniements spongiotiques, sans micro-abcès. Le chorion sous-jacent était oedémateux avec des vaisseaux dilatés. On observait plus en profondeur un vaisseau altéré avec un granulome lympho-épithéioïde sans cellule géante et sans nécrose. La biopsie gingivale montrait une muqueuse oedémateuse sans granulome. L’examen biologique (NFS, VS, CRP, bilan martial, dosage enzyme conversion angiotensine, sérologie VIH, VHC, VHB) et la radiologie thoracique était sans particularité. Compte tenu de la présente d’une pathologie intestinale et à la vue de ces nouvelles données, un avis gastro-entérologique était demandé. L’examen proctologique montrait des marisques anales. L’entero-IRM confirmait le diagnostic de MC. La macrochéilie a été traité par injection de triamcinolone retard 40ml. Un traitement par anti- TNF était instauré. La MC est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin pouvant atteindre le tube digestif de la bouche à l’anus. Les manifestations oro-faciales (macrochéilie, ulcérations buccales, hyperplasie gingivale, pseudo-polypes, erythèmes muqueux, fissures gingivales ou pyostomatite végétante) de la maladie de Crohn peuvent précéder l’atteinte intestinale. Des atteintes extra-intestinales peuvent exister : érythème noueux, uvéite, arthralgie, arthrite entéropathique. Le diagnostic de GOF doit faire rechercher des signes extra-oraux afin de déterminer si elle est isolée ou associée à une MC, à une sarcoidose ou un Wegener. En cas de GOF isolé, la question du suivi de dépistage d’une MC reste non élucidée.
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3

Sonesson, Göran. "Rhetoric from the standpoint of the Lifeworld". In Le Groupe μ : quarante ans de rhétorique – trente-trois ans de sémiotique visuelle. Limoges: Université de Limoges, 2010. http://dx.doi.org/10.25965/as.3106.

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Resumo:
La rhétorique du point de vue du monde de la vie La rhétorique de l’image dont parlait Barthes, reprise d’une manière beaucoup plus systématique dans les travaux du Groupe µ, n’est qu’une partie de la rhétorique classique, l’elocutio, mais c’est aussi celle qui a dominé dans l’Occident pendant ces derniers 500 ans. À l’extérieur de la sémiotique, cependant, le renouveau de la rhétorique à l’époque contemporaine tend à concevoir cette dernière comme la science qu’étudie la communication. Or, nous savons que la sémiotique a souvent été identifiée comme étant la science de la communication, et un autre candidat à ce titre est sans doute l’herméneutique. Alors que ces trois disciplines ont toutes trait au processus entier, elles le conçoivent dans une perspective chaque fois différente. La rhétorique prend le point de vue du créateur du message : il demande comment il faut s’exprimer pour obtenir l’adhérence de l’autre. L’herméneutique prend le point de vue du récepteur : sa question porte sur les moyens pour comprendre le message de l'autre. La sémiotique prend une position intermédiaire aux deux autres, c’est-à-dire au sein de la phase allant de l’artefact à sa concrétisation : elle demande quelles sont les ressources disponibles pour faire se produire le processus. À une telle rhétorique informée par la sémiotique la contribution du Groupe µ a été de toute première importance. Cependant, l’investigation des ressources disponibles, qui sont différentes dans le cas de l’image que dans celui de la langue, peut recevoir une base plus certaine en partant du monde de la vie, dans le sens de la phénoménologie, qui est aussi celui de l’écologie dans le sens de Gibson et le monde naturel tel que le comprend Greimas. Si l’on veut comprendre la manière dont la divergence est produite dans les images, il faut commencer par considérer ce qui est donné pour acquis, dans le sens à la fois de ce qui est normal, et de ce qui est normatif. Dans le monde de la vie, il y a certaines choses qui ont tendance à se présenter ensemble, en contiguïté ou comme des parties d’un tout (désormais, la factorialité). C’est la dimension indicielle. Mais le sens commun s'attend également à ce que les choses qui apparaissent ensemble soient suffisamment différentes pour pouvoir être distinguées, sans aller à l'extrême opposé de s’exclure mutuellement (une observation qui peut être entendue comme une généralisation de ce que le Groupe µ dit sur la norme de l’image, la homomatérialité et la hétéroformalité). En ce sens, il y a une rhétorique de trop de ressemblance ainsi que de trop de différence. Nous appellerons ceci la dimension iconique. Une troisième rhétorique prend son point de départ dans le caractère de signe de l'image. Nos attentes sont déçues tant en trouvant une trop grande partie de la réalité dans l'image qu’en rencontrant des niveaux supplémentaires de fiction au sein du contenu pictural. On peut appeler ceci la dimension symbolique. Enfin, les images remplissent des fonctions différentes dans une société donnée et sont, en raison de ce fait, imputables à diverses catégories, donnant ainsi lieu à une quatrième rhétorique dans laquelle nos attentes, en ce qui concerne les catégories sociales auxquelles les images sont assignées, ne sont pas remplies. On peut parler ici d’une dimension de catégorisation socioculturelle. Avant d’aborder les figures rhétoriques, ou ce qui en tient lieu, il est cependant nécessaire de discuter dans quelle mesure les ressources des images comprennent une part de dispositio, dans d’autres termes, une structure argumentative. Si nous définissons une affirmation comme étant une construction verbale, alors il est trivialement vrai que les images ne peuvent rien affirmer. Toutefois, si nous définissons une affirmation plus simplement comme une opération, au moyen de laquelle une propriété particulière est assignée à une entité particulière, alors il est possible pour l'image de faire des affirmations à la façon des images. Or, même ceci peut sembler impossible, s’il est vrai que les images, comme on l’a souvent dit, ne font que reproduire le monde de notre expérience. Au contraire, il faut admettre que les images peuvent se servir des arguments qui, dans le sens de Perelman, s’appuient sur la structure de la réalité ou servent à changer cette structure-là. Il s’ensuit que les transformations homogènes, contrairement à ce que suggère le Groupe µ, font aussi partie de la rhétorique, mais de la rhétorique de la dispositio. Considérée comme l’une des transformations possibles à partir du monde de la vie, la première dimension de la rhétorique correspond plus directement à la rhétorique telle qu’elle a été conçue par le Groupe µ, mais en retournant aux fondements jetés par la sémiotique phénoménologique proposée dans Pictorial concepts (1989). Contrairement au Groupe µ, nous proposons de distinguer les transformations portant sur la factorialité (la relation des parties au tout) et celles concernant la contiguïté. C’est « l’objet indépendant », dans le sens de James Gibson, qui fait la différence entre la contiguïté et la factorialité : il s’agit d’un degré d’intégration plus ou moins poussée. En fait, il y a sans doute des cas intermédiaires entre l’objet indépendant avec ses parties et la constellation arbitraire, mais ces cas-là sont aussi qualitativement vécus : le jeu, la série, l’ensemble. La rhétorique, de ce point de vue, relève de la méréologie, la science des parties et du tout, formalisée par Lesniewski en tirant son inspiration de Husserl et de Twardowski. Notre deuxième observation concerne la nature de l’opération nous faisant passer du monde de la vie à l’image. Dans la majorité de cas, l’opération rhétorique, pour fonctionner, à besoin non pas d’une absence de ce qui est attendu ou de la présence de quelque chose qui n’est pas attendu, mais des deux à la fois. Rares sont les cas (surtout s’agissant de la contiguïté) où une simple absence peut créer un effet de rhétorique. Dans les termes de la rhétorique générale d’abord conçue par le Groupe µ, la substitution est une opération rhétorique plus sûre que l’addition ou la suppression. D’autre part, dans le cas de la factorialité, l’effet est tellement différent selon les relations entre le tout et les parties qu’il faut spécifier la nature du rapport de la partie au tout. Il faut surtout distinguer le cas où quelque chose est ajouté à un tout qui est déjà en soi un objet indépendant, et le cas où les parties font partie d’un autre objet indépendant que le tout qui est perçu. Nos attentes peuvent être déçues par d’autres opérations que l’absence ou la présence d’un élément. Il peut y avoir une contradiction entre l’élément attendu et l’élément réellement présent. C’est la dimension iconique de la rhétorique. Les images, il est vrai, ne peuvent pas présenter des contradictions proprement dites, mais elles peuvent comporter toute sorte de manifestations d’une ressemblance ou d’une différence plus grande que ce que l’on a anticipé. Cet effet est présent dans plusieurs exemples considérés par le Groupe µ, sans que la spécificité de l’opération soit prise en compte. S’agissant d’un signe, en l’occurrence d’une image, il y a toujours un risque de confusion entre le signe et ce qui est signifié, et il est possible d’en tirer une rhétorique. À un extrême, le signe peut incorporer des objets réels ; à l’autre extrême, il peut contenir d’autres signes, notamment d’autres images, comme c’est le cas avec les images représentant d’autres images. Il s’agit donc de la dimension symbolique de la rhétorique. Finalement, la catégorisation des signes, dans ce cas les images, peut donner lieu à une rhétorique plus clairement socioculturelle. Les images peuvent être catégorisées en tenant compte de leur manière de construction, de la fonction qu’elles sont censées remplir dans la société, ou de leur manière de circuler à l’intérieur de la société. Les attentes qui peuvent être déçues dans ces cas ne concernent pas seulement l’appartenance de certaines images à des catégories particulières, mais surtout la combinaison de certaines catégories de construction avec certaines catégories de fonction et certaines catégories de circulation. Toute l’aventure du modernisme dans l’art plastique peut être conçue comme un vaste geste rhétorique à partir de la notion d’art à la fin du 18e siècle : une peinture à l’huile (construction) circulant dans des salons, des galeries et des musées (circulation) ayant pour but de produire un effet de plaisir esthétique (fonction). Dans le présent texte, j'ai suggéré que, contrairement aux signes verbaux, les images sont immédiatement rhétoriques, parce qu'elles nous offrent en même temps leur similitude et leur différence par rapport au monde de la perception. Par conséquent, j'ai fait observer que la rhétorique des images doit être fondée sur les structures de perception telles qu’elles apparaissent au sens commun, surdéterminées par le monde de la vie socioculturel spécifique. La dimension primaire de la rhétorique de l’image, l’indexicalité, dérive sa signification d'un écart par rapport à l'intégration relative des voisinages, des objets indépendants et des totalités de niveaux supérieurs. Elle peut concerner la contiguïté ou la factorialité, mais elle suppose d'habitude à la fois la présence de quelque chose d’inattendu et l'absence de quelque chose de prévu. L’iconicité, qui détermine la deuxième dimension, est fondée sur l'expectative d'une différenciation relative des objets du monde, qui ne suppose pas trop de similitude, ni trop de dissimilitude. La troisième dimension dépend du caractère fictif de l’image comme signe, dont les niveaux peuvent être confondus soit par une expérience trop directe, soit par des degrés de fiction trop nombreux. Finalement, la quatrième dimension concerne l'image en tant qu’objet social, faisant partie de certaines catégories de construction, de circulation, et de fonction. L'avantage de cette conception, par rapport au modèle de Groupe µ auquel il est endetté, consiste en son attention plus proche aux structures de la perception du sens commun.
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M. Ali Jabara, Kawthar. "The forced displacement of Jews in Iraq and the manifestations of return In the movie "Venice of the East"". In Peacebuilding and Genocide Prevention. University of Human Development, 2021. http://dx.doi.org/10.21928/uhdicpgp/1.

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Resumo:
The character of the Jew was absent from Iraqi cinematic works, while it was present in many Arab cinematic works produced in other Arab countries, and the manner of presenting these characters and the goals behind choosing that method differed. While this character was absent from the Iraqi cinematic narration, it was present in the Iraqi novelist narration, especially after the year 2003. Its presence in the Iraqi narration was diverse, due to the specificity of the Iraqi Jewish character and its attachment to the idea of being an Iraqi citizen, and the exclusion and forced displacement that Jews were subjected to in the modern history of Iraq. This absence in the cinematic texts is a continuation of this enforced absence. The Jewish character was never present in the Iraqi cinematic narration, as far as we know, except in one short fictional movie, which is the subject of this research. The research dealt with the movie “Venice of the East 2018” by screenwriter Mustafa Sattar Al-Rikabi and director Bahaa Al-Kazemi. We chose this movie for several reasons, some technical and some non-technical. One of the non-technical reasons is that feature cinematic texts rarely dealt with Jewish characters. The movie is the only Iraqi feature movie, according to our knowledge, produced after 2003, dealt with these characters, and assumed that one of them would return to Iraq. Therefore, our choice was while we were thinking of a research sample dealing with the personality of the Iraqi Jew and what is related to him and how it was expressed graphically. As for the technical reasons, it is due to the quality of the cinematic language level that the director employed to express what he wants in this movie, whose only hero is the character of the unnamed Jewish man played by the Iraqi actor (Sami Kaftan). As well as, many of the signs contained in the visual text that provide indications that may be conscious or unconscious of the situation of this segment of Iraqis, and this will become clear in the course of the research. 4 The research is divided into a number of subjects, including historical theory and applied cinema. The historical subjects included a set of points, namely (the Jews who they are and where they live) and (their presence in Iraq). The research then passed on the existence of (the Jewish character in the Iraqi narrative narrative), and how the Iraqi novelist dealt with the Jew in his novels after 2003, and does the Iraqi narration distinguish between the Jew and the Israeli or the Zionist. The applied part of the research followed, and included a (critical view of the movie) and then passed on the cinematic narration of events in the last subject (the narration of the cinematography). We studied the cinematic narration from three perspectives (cinematic shots, camera movement, camera angle and point of view), the research concluded with a set of results from criticism and analysis. It is worth mentioning that this research is an integral part of a previous unpublished study entitled (Ethnographic movie as artistic memory), which is an ethnographic study of the personality of the Jew in the Iraqi short movie.
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