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GOCKO, X., e C. PLOTTON. "Controverses et origine de Sars-CoV-2". EXERCER 32, n.º 175 (1 de setembro de 2021): 316–19. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.175.316.

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Les origines du Sars-CoV-2 sont l’objet de discussion depuis son origine dans le monde entier et dans les consultations de médecine générale. Cette synthèse présente les principales controverses en rapport avec la question et des arguments en faveur des différentes hypothèses : l’émergence du virus, le rôle des chauves-souris, d’un hôte intermédiaire et l’éventualité d’un accident de laboratoire.
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Boussinesq, M., S. Bresson, M. Liance e R. Houin. "Un nouvel hôte intermédiaire naturel d’Echinococcus multilocularisen France : Le rat musqué (Ondatra zibethicusL.)". Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 61, n.º 4 (1986): 431–34. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1986614431.

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Julvez, J., M. A. Ali Halidi e D. S. Brown. "Inventaire des mollusques d'eau douce à Mayotte, archipel des Comores". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, n.º 2 (1 de fevereiro de 1990): 173–76. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8840.

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Aucune trématodose n'est actuellement connue à Mayotte malgré les liens historiques de celle île avec sa voisine Madagascar où l'incidence de ces affections est importante. Aucun hôte intermédiaire n'y avait été décrit dans les études précédentes. Un inventaire des mollusques d'eau douce a été réalisé de 1985 à 1988 dans 53 stations durant les saisons humide et chaude : 3940 gastéropodes, appartenant à 8 espèces différentes, ont été récoltés. Seule la présence de Lymnaea natalensis constitue une nouveauté à Mayotte, portant à 14 le nombre d'espèces. Son rôle dans le cycle de transmission de Fasciola gigantica est connu, en particulier à Madagascar. L'intérêt du contrôle vétérinaire des importations de bovins peut être ainsi souligné.
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Seck, M. T., B. Marchand, C. T. Ba e O. T. Diaw. "Bulinus forskalii (Basommatophore : Planorbidae), nouvel hôte intermédiaire expérimental du trématode Paramphistomum microbothrium Fischoeder 1901". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 59, n.º 1-4 (1 de janeiro de 2006): 17. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9949.

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Cette étude a eu pour objectif une meilleure connaissance du cycle biologique de Paramphistomum microbothrium afin de développer des stratégies de lutte efficaces. Les spécimens adultes de P. microbothrium ont été récoltés vivants sur la muqueuse stomacale de bovins (Bos taurus) aux abattoirs de Kolda. Ils ont ensuite été placés dans des boîtes de Petri contenant de l’eau distillée pour la ponte. La plupart des oeufs ont éclos au 19e jour d’incubation pour donner des miracidiums qui ont été utilisés pour infester expérimentalement 75 Bulinus forskalii indemnes de toute infestation (nés et élevés au laboratoire). Les bulins ont commencé à produire des cercaires à partir de la quatrième semaine d’infestation. Le taux de réussite de l’infestation des B. forskalii a été de 34,67 p. 100 et le taux d’infestation réel de 35,29 p. 100. Les cercaires produites se sont enkystées en métacercaires qui ont été ingérées expérimentalement par quatre jeunes bovins faisant l’objet d’un suivi coprologique avant d’être sacrifiés. Les quatre bovins ont reçu chacun une dose unique de 500 métacercaires respectivement à 2, 3, 4 et 5 semaines de maturation. Aucun oeuf de P. microbothrium n’a été trouvé dans les matières fécales des bovins durant les six mois de suivi. Les quatre bovins sacrifiés ont tous présenté dans le rumen des P. microbothrium adultes. Les taux de réussite ont été de 62,6, 69, 83,8 et 56,4 p. 100, respectivement pour les bovins infestés avec des métacercaires à 2, 3, 4 et 5 semaines de maturation. B. forskalii peut donc être considéré comme un bon hôte intermédiaire expérimental de P. microbothrium.
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Delattre, Pierre, Michel Pascal, Marie-Hélène Le Pesteur, Patrick Giraudoux e Jean-Pierre Damange. "Caractéristiques écologiques et épidémiologiques de l'Echinococcus multilocularis au cours d'un cycle complet des populations d'un hôte intermédiaire (Microtus arvalis)". Canadian Journal of Zoology 66, n.º 12 (1 de dezembro de 1988): 2740–50. http://dx.doi.org/10.1139/z88-401.

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This study, carried out in a medium altitude mountain ecosystem (Doubs, France), was devoted to the analysis of spatial and temporal variations of the infestation rate of Echinococcus multilocularis Leuckart in a microtine secondary host (Microtus arvalis Pallas) during a complete population cycle of the rodent. This analysis, combined with a structural study of the landscape, showed that contaminated rodents were located only in or near ploughed fields. The age structure of the rodent population showed that infestation occurred only during winter (from October to April in the studied area). These results suggest new ways of research for elucidating the mechanisms responsible for the perenniality of the parasite.
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Wallet, M., A. Theron e A. Lambert. "Rythme d’émission des cercaires deBucephalus polymorphusBaer, 1827 (Trematoda, Bucephalidae) en relation avec l’activité deDreissena polymorpha(Lamellibranche, Dreissenidae) premier hôte intermédiaire". Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 60, n.º 6 (1985): 675–84. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1985606675.

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Tian-Bi, Yves-Nathan Tah, Yapo Félicien Gbocho, Foungotin Hamidou Coulibaly, Abdourahamane Sangare e Eliézer Kouakou N'goran. "Variation spatiale et temporelle de la susceptibilité de Biomphalaria pfeifferi, hôte intermédiaire de Schistosoma mansoni, Man, ouest Côte d’Ivoire". Journal of Applied Biosciences 121, n.º 1 (26 de março de 2018): 12181. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v121i1.8.

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Mougeot, G., G. Coutris, F. Lancastre, J. P. Ouaghlissi e J. Bolognini-Treney. "Modification de la survie et de la réceptivité chez le Mollusque, hôte intermédiaire deSchistosoma mansonipar inoculation d’hémolymphe provenant de Mollusques sensibilisés ou non". Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 62, n.º 2 (1987): 123–31. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1987622123.

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Yacoubi, B. "Étude rétrospective sur Planorbarius metidjensis et son rôle comme hôte intermédiaire potentiel dans la transmission de Schistosoma haematobium dans la région du Souss-Massa (Maroc)". Bulletin de la société de pathologie exotique 113, n.º 3 (28 de junho de 2020): 123–29. http://dx.doi.org/10.3166/bspe-2020-0111.

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Furtado, Gil Dutra, Soraya Abrantes Pinto de Brito e Magnolia Ouriques de Oliveira. "SRAS-CoV-2 ET LES ANIMAUX DOMESTIQUES". ENVIRONMENTAL SMOKE 4, n.º 1 (30 de abril de 2021): 65. http://dx.doi.org/10.32435/envsmoke.20214165.

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Les CoV (coronavirus) appartiennent à la des virus de l’acide ribonucléique (ARN) et sont connus sous le nom de coronavirus parce que la particule virale a une caractéristique « couronne ». Les infections au CoV sont courantes chez les humains et les animaux, dont certaines sont zoonotiques. Le CoV peut provoquer des pathologies allant du rhume à des maladies plus graves, telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (causé par le MERS-CoV) et le syndrome respiratoire aigu sévère (causé par le SRAS-CoV) chez l'homme. Certains travaux scientifiques montrent que le SRAS-CoV a été transmis des civettes aux humains et le MERS-CoV des dromadaires aux humains. Le CoV qui cause le COVID-19 a été nommé SARS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus (ICTV). Selon la recherche scientifique, les preuves actuelles suggèrent que le SRAS-CoV-2 a émergé d'une source animale, et les informations sur la séquence génétique révèlent que le SRAS-CoV-2 est similaire à d'autres CoV trouvés dans les populations de chauves-souris fer à cheval (Rhinolophus Ferrumequinum). Pas encore assez de preuves scientifiques pour mettre en évidence la source réelle du SRAS-CoV-2 ou pour expliquer quelle était la voie initiale de transmission de celui-ci aux humains (qui peut avoir impliqué un hôte intermédiaire). Étant donné que l'infection par le SRAS-CoV-2 est si largement répandue dans la population humaine, on observe qu'il est possible que certaines espèces animales soient infectées par contact avec des humains infectés. Les animaux infectés par le SRAS-CoV-2 peuvent créer des situations inattendues pour la santé animale et humaine, ainsi que pour le bien-être animal, la préservation de la faune et la recherche biomédicale. Quant aux animaux domestiques tels que les chats et les chiens, ils ont été testés positifs pour le SRAS-CoV-2 après avoir eu des contacts avec des êtres humains infectés par ce virus. Au cours des travaux d'observation réalisés avec ces animaux, les chats ont présenté des signes cliniques de la maladie tels que des problèmes respiratoires et gastro-intestinaux. Bien qu'il ait été confirmé que des animaux ont été infectés par le SRAS-CoV-2, il n'est pas confirmé, à ce jour, que ces animaux aient transmis le COVID 19 à l'homme, mais il est bien observé que la pandémie est due à la transmission de l’homme à l’homme. Comme les animaux et les humains peuvent être affectés par ce virus zoonotique, il est recommandé aux personnes suspectées ou confirmées d'infection par le SRAS-CoV-2 de limiter le contact avec leurs animaux de compagnie.
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Diaw, O. T., e Georges Vassiliades. "Epidémiologie des schistosomoses du bétail au Sénégal". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 40, n.º 3 (1 de março de 1987): 265–74. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8647.

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Parmi les schistosomoses du bétail seuls Schistosoma bovis et S. curassoni ont été identifiés au Sénégal à ce jour. Ils se rencontre dans presque toutes les régions. S. bovis parasite surtout les bovins (15 à 62 p. 100) alors que les petits ruminants sont faiblement touchés. S. curassoni est plus fréquente chez les ovins et les caprins (2 à 16 p. 100) mais peut quelquefois également parasiter les bovins. Les lésions provoquées par S. curassoni au niveau du foie sont plus fréquentes et plus nettes, surtout chez les petits ruminants, que celles causées par S. bovis, Bulinus forsakalii et B. globosus sont les hôtes intermédiaires naturels de S. bovis, de même que B. umbilicatus est l'hôte de S. curassoni. L'étude expérimentale du cycle de ses schistosomes a montré que B. forskalii (taux d'infestation 48,9 p. 100) et B. tuncatus (63,6 p. 100) sont d'excellents hôtes intermédiaires pour S. bovis, alors que B. umbilicatus et B. globosus ont réagi positivement à S. curassoni avec respectivement 70 et 12,5 p. 100 d'infestations réussies. Des hôtes vertébrés expérimentaux indemnes de toutes trématodoses ont été infestés : bovin, ovin, lapins, hamster et souris avec S. bovis et ovin et souris avec S. curassoni ; tous ont réagi positivement à ces schitosomes. Des vers adultes et des oeufs matures ont été récoltés et étudiés du point de vue systématique.
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Bouhsira, Émilie. "Puces et agents pathogènes transmis aux carnivores domestiques et à l'homme". Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline 18, n.º 79 (2021): 7–13. http://dx.doi.org/10.1051/npvcafe/79007.

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Les puces, associées aux mammifères et aux oiseaux depuis plus de 55 millions d’années, sont considérées comme les ectoparasites les plus fréquemment rencontrés sur les chiens et les chats. Ces parasites sont à l’origine de nuisances directes chez l’animal (prurit, alopécie, …), et il n’est pas rare que dans un environnement fortement infesté les propriétaires se fassent également piquer. Ces insectes ont un rôle pathogène indirect non négligeable, car hôtes intermédiaires ou vecteurs d’agents pathogènes pour la plupart zoonotiques. Les puces Ctenocephalides felis et C. canis, le plus souvent rencontrées sur les carnivores domestiques, sont hôtes intermédiaires du cestode Dipylidium caninum, parasite digestif du chien et du chat, mais aussi de la filaire Acantocheilonema reconditum, trouvée dans le tissu conjonctif sous-cutané du chien. Ces deux helminthes peuvent être zoonotiques. Les puces sont également vectrices de bactéries zoonotiques comme Rickettsia typhi, agent du typhus murin, Rickettsia felis, agent de la fièvre boutonneuse à puces et Bartonella henselae, agent de la maladie des griffes du chat, pour lesquelles les carnivores domestiques, notamment le chat, sont réservoirs. Il convient donc d’informer les propriétaires de ces risques, et d’insister sur l’importance d’un traitement antiparasitaire régulier, seule prévention de la transmission de ces agents pathogènes.
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Touratier, Louis. "Note sur la place du nitroxynil dans la lutte intégrée contre la fasciolose bovine à <em>Fasciola gigantica</em> à Madagascar". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, n.º 2 (1 de fevereiro de 1988): 181–89. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8720.

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Avant les maladies infectieuses virales ou bactériennes, la fasciolose bovine à Fasciola gigantica est, de loin, le fléau le plus important de l’élevage malgache par les nombreuses pertes économiques dont elle est la cause qu’elles soient directes ou indirectes : mortalité, saisies, ralentissement de la croissance, infertilité, inaptitude au travail, immunodépression contrecarrant l’efficacité des vaccins. Des travaux récents ont apporté des éléments intéressants pour mesurer son impact. Ils s’étendent progressivement à l’ensemble des zones contaminées de façon à pouvoir évaluer avec un maximum d’exactitude l’incidence économique de la maladie et la rentabilité des mesures de lutte. Les schémas d’intervention sont simples : - Destruction du parasite adulte par l’emploi d’un fasciolicide : solution aqueuse à 25 % de nitroxynil, injectable par voie sous-cutanée, largement employée et bien connue des éleveurs ; - Action sur les mollusques hôtes intermédiaires (Lymnaea natalensis) par des moyens biologiques ayant déjà fait leurs preuves à Madagascar : élevage de canards ou d’autres prédateurs d’origine exotique dans les points d’eau et les rizières. Les données fournies par les enquêtes épizootiologiques sur la distomatose à Fasciola gigantica permettent de déterminer les moments d’infestation des bovins avec pour corollaire un programme de traitements systématiques par le nitroxynil de tous les animaux dans une zone donnée. L’expérience de traitements réguliers par le nitroxynil a montré : - son efficacité, prouvée par un engraissement plus rapide des animaux traités ; - son effet prolongé, empêchant les réinfestations et assurant une reprise de poids durable ; - son innocuité (bonne tolérance locale et générale, aucune toxicité pour les veaux sous la mère) ; - sa compatibilité avec les campagnes de vaccinations contre les maladies infectieuses, charbons bactéridien et symptomatique notamment. Conjointement l’action sur les hôtes intermédiaires par les palmipèdes et autres prédateurs donne lieu à une diminution très importante des formes infestantes, métacercaires de Fasciola gigantica et furcocercaires de Schistosoma spp. Ce moyen est donc susceptible de contribuer également à la lutte contre les trématodoses humaines.
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Chippaux, J. P. "Identification des hôtes intermédiaires deDracunculus medinensisdans le sud du Bénin (Afrique de l’Ouest)". Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 66, n.º 2 (1991): 77–83. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/199166277.

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Fasanella, A., R. Lia e A. Giangaspero. "Cernuella virgata(Mollusca : Gastropoda : Pulmonata) hôte intermédiate deDicrocoelium dendriticum(Rudolphi, 1819) dans la région de Puglia, Italie". Parasite 2, n.º 3 (setembro de 1995): 331–33. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1995023331.

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Cabaret, J., N. Mangeon e N. Anjorand. "Relation entre l’infestation parMuellerius capillarisdes Mollusques hôtes intermédiaires et celle des Caprins en Touraine". Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 61, n.º 6 (1986): 651–58. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1986616651.

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Bonnin, J. L., P. Delattre, M. Artois, M. Pascal, M. F. A. Aubert e A. F. Petavy. "Contribution à la connaissance des hôtes intermédiaires d’Echinococcus multilocularisdans le nord-est de la France". Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 61, n.º 2 (1986): 235–43. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1986612235.

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Guiguemde, T. R., J. B. Ouedraogo, A. R. Gbary e K. Steib. "Étude longitudinale des Cyclopidés, hôtes intermédiaires du ver de Guinée en zone soudano-sahélienne (Burkina Faso)". Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 62, n.º 5 (1987): 484–91. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1987625484.

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Hounsou, Saturnin, Christel Vignon Denakpo, Olivier Tonato, Zoulkifl Salou Bachirou, Elie Ayitondji Dannon e Armelle Sabine Yélignan Hounkpatin. "Dynamique de la population des Sciomyzidae du Sud-Bénin et comparaison de la capacité de prédation des larves de Sepedon (Sepedomyia) nasuta Verbèke, 1950 et celle des larves de Sepedon ruficeps Becker, 1923, deux agents potentiels de biocontrôle de la sc". International Journal of Biological and Chemical Sciences 18, n.º 1 (9 de maio de 2024): 104–15. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v18i1.9.

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Full French title: Dynamique de la population des Sciomyzidae du Sud-Bénin et comparaison de la capacité de prédation des larves de Sepedon (Sepedomyia) nasuta Verbèke, 1950 et celle des larves de Sepedon ruficeps Becker, 1923, deux agents potentiels de biocontrôle de la schistosomiase au Bénin Le contrôle biologique des mollusques hôtes intermédiaires des schistosomes est possible grâce au comportement malacophage des larves des diptères Sciomyzidae. L’objectif du travail était d’étudier la dynamique des espèces de Sciomyzidae au Sud-Bénin puis d’évaluer la capacité des larves de Sepedon (Sepedomyia) nasuta à détruire les mollusques hôtes intermédiaires des schistosomes comme celles de Sepedon ruficeps. Des prospections ont été effectuées dans quelques biotopes aquatiques à Accron, Cocotomey, DahDaho, Wélé-wélé et Sonon suivies des observations en laboratoire pour capturer des Sciomyzidae, collecter des mollusques puis les identifier. Ces prospections ont permis de capturer 1243 mouches réparties en quatre espèces appartenant à deux genres : S. ruficeps (55,59%), Sepedon trichrooscelis (28,8%), S. nasuta (9,7%) et Sepedonella nana (5,79%). Une variation significative du nombre de mouches capturées était observée en fonction de l’espèce. Le nombre de mouches capturées par espèce a varié significativement en fonction du mois et de la localité. Les larves de S. nasuta consomment autant de mollusques que celles de S. ruficeps quelle que soit la taille et l’espèce de mollusque. S. nasuta est un candidat potentiel à la lutte biologique contre les mollusques vecteurs d’importance médicale et vétérinaire au Bénin, mais son écologie reste à étudier. English title: Dynamics of Sciomyzidae population in Southern-Bénin and comparison of the predation capacity of Sepedon (Sepedomyia) nasuta Verbèke, 1950 larvae and that of Sepedon ruficeps Becker 1923 larvae, two potentials agents of biocontrol for schistosomiasis in Benin The biological control of molluscs intermediates hosts of schistosomes is possible thanks to the malacophagous behaviour of Sciomyzidae dipteran larvae. The aim of the work was to study the dynamics of Sciomyzidae species in southern Benin and then to assess the capacity of Sepedon (Sepedomyia) nasuta larvae to destroy molluscs intermediates hosts of schistosomes such as Sepedon ruficeps. Surveys were carried out in a number of aquatics biotopes in Accron, Cocotomey, Dah-Daho, Wélé-wélé and Sonon, followed by laboratory observations to capture Sciomyzidae, collect molluscs and then identify them. These surveys resulted in the capture of 1243 flies divided into four species belonging to two genera: S. ruficeps (55.59%), Sepedon trichrooscelis (28.8%), S. nasuta (9.7%) and Sepedonella nana (5.79%). A significant variation in the number of flies caught was observed depending on the species. The number of flies caught per species varied significantly according to month and locality. S. nasuta larvae consumed as many molluscs as S. ruficeps larvae, whatever the size and species of mollusc. S. nasuta is a potential candidate for biological control of molluscs vectors of medical and veterinary importance in Benin, but its ecology remains to be studied.
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Bartoli, P. "Rôle favorisant de l’hydrodynamisme dans la contamination des deuxièmes hôtes intermédiaires par les cercaires deMaritrema misenensis(A. Palombi, 1940)(Digenea, Microphallidae)". Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 61, n.º 1 (1986): 35–41. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/198661135.

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Lakehal, Rédha, Soumaia Bendjaballah, Farid Aimer, Rabeh Bouharagua, Khaled Khacha e Abdelmalek Bouzid. "Hydatic cyst of the interventricular septum. A case report". Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 6, n.º 2 (30 de dezembro de 2019): 139–41. http://dx.doi.org/10.48087/bjmscr.2019.6215.

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Introduction. La localisation cardiaque de la maladie hydatique est rare (< 3%) même dans les pays endémiques. C’est une affection caractérisée par une longue tolérance fonctionnelle et un grand polymorphisme clinique et paraclinique. L’hydatidose cardiaque est grave à cause du risque de rupture imposant une chirurgie semi urgente. Le diagnostic repose sur la sérologie hydatique et l’échocardiographie. Le but de ce travail est de montrer une localisation cardiaque rare au niveau du septum interventriculaire de cette affection. Observation. Nous rapportons l’observation d’un homme âgé de 48 ans asthmatique présentant un kyste hydatique cardiaque de découverte fortuite lors d’une TDM thoracique demandée pour un bilan de pneumopathie. En préopératoire : dyspnée stade II de la NYHA. Radiographie pulmonaire : ICT : 0,60. ECG : RRS. Echocardiographie : Masse kystique intra septale grossièrement arrondie homogène mesurant 30,4 sur23, 5, VG : 50 /34 mm, VD : 26mm, FE : 60 %. Sérologie hydatique positive. TDM thoracique : nodules pseudo-kystiques des 2 pyramides basales avec nodule kystique en projection du VD. L’exploration peropératoire par voie transtricuspide montre un bombement du SIV sous la valve tricuspide septale. Le geste a consisté en une ponction du kyste a ramené liquide eau de roche puis la septotomie a permis de retirer la membrane et les vésicules filles et enfin stérilisation par du SSH a 30 % et le capitonnage de la cavité résiduelle. Les suites post opératoires étaient simples. Conclusion : Les progrès de l’imagerie font de l’échographie l’examen de choix dans la détection du kyste hydatique du coeur. L’indication opératoire est formelle dans tous les cas de kyste du coeur car l’évolution spontanée est mortelle à plus ou moins brève échéance. En fait, le véritable traitement de la maladie parasitaire et sa prophylaxie, la lutte contre l’échinococcose, repose sur des mesures de prévention qui visent à interrompre le cycle biologique à l’intérieur des hôtes et entre l’hôte définitif et l’hôte intermédiaire, sur une éducation sanitaire et sur une législation.
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C. GLITHO, Sonya, Yves-Nathan T. TIAN-BI, Nana Rose DIAKITÉ, Cyrille Koffi KONAN e Eliézer Kouakou N’GORAN. "Caractérisation biologique de Schistosoma haematobium, S. bovis et leurs hybrides chez l’homme et chez les mollusques Bulinus truncatus naturellement infestés, au Centre et Nord de la Côte d’Ivoire." Journal of Applied Biosciences 158 (28 de fevereiro de 2021): 16340–50. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.158.8.

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Objectif : Identifier les espèces Schistosoma haematobium, S. bovis et leurs hybrides et, évaluer la compatibilité des schistosomes avec les mollusques hôtes intermédiaires et la souris blanche (Mus musculus albinos), hôte définitif, en infestation expérimentale. Méthodologie et résultats : Des schistosomes ont été obtenus à partir de bulins infestés naturellement ou expérimentalement avec des miracidiums provenant des urines de l’homme. Ils ont permis d’étudier la compatibilité de quatre populations de Bulinus truncatus avec deux souches du groupe S. haematobium. La chronobiologie cercarienne a été étudiée à partir de quatre tranches horaires : 6-10h, 10-12h, 12-15h et 15- 18h. Des souris blanches infestées expérimentalement, ont été perfusées pour dénombrer les vers adultes. Une meilleure compatibilité schistosome-mollusque a été observée au niveau des infestations sympatriques. Le pic d’émergence cercarienne pour les mollusques naturellement infestés a été observé entre 6-10h, 10h15h et à 15-18h, tandis que celui des bulins infestés expérimentalement a été majoritairement observé entre 10-15h. En termes de nombre de vers collectés, les souris blanches ont été plus permissives aux schistosomes provenant des mollusques naturellement infestés. Conclusion et application des résultats : Les pics d’émergence cercarienne précoce (6-10h) et tardif (15-18h) pourraient être liés à S. bovis, tandis que celui de 10-15h correspondrait à S. haematobium. De même, en raison de la très faible compatibilité connue entre Mus musculus albinos et S. haematobium, les schistosomes auxquels les souris blanches ont été plus permissives sont fort probablement des S. bovis et/ou hybrides S. bovis x S. haematobium. Ainsi, les espèces anthropophiles et celles zoophiles du groupe Schistosoma haematobium peuvent être distinguées de manière routinière par deux approches. La première, en disséquant des souris de laboratoire (Mus musculus albinos) 4 mois après leur mise au contact de l’eau contenant des cercaires obtenues après exposition à la lumière de mollusques infestés prélevés sur le terrain ; la seconde en comparant les profils obtenus après dénombrement des cercaires émises au cours de quatre tranches horaires bien choisies. Mots clés : Bulinus truncatus, Schistosoma haematobium, Schistosoma bovis, Caractérisation, Chronobiologie. Glitho et al., J. Appl. Biosci. 2021 Caractérisation biologique de Schistosoma haematobium, S. bovis et leurs hybrides chez l’homme et chez les mollusques Bulinus truncatus naturellement infestés, au Centre et Nord de la Côte d’Ivoire. 16341 ABSTRACT Objective: Identify the species Schistosoma haematobium, S. bovis and their hybrids; to evaluate the compatibility of schistosomes with intermediate host snails and the white mouse (Mus musculus albinos), the definitive host for experimental infestation. Methodology and results: Schistosomes have been obtained from naturally or experimentally infested snails with miracidiums from human urine. The compatibility of four populations of Bulinus truncatus with two strains of the S. haematobium group was studied. The chronobiology of cercariae was studied in four time slots: 6- 10h, 10-12h, 12-15h and 15-18h. Experimentally infested white mice were perfused and adult worms were collected. A better schistosome-snail compatibility was observed in sympatric infestations. The peak of cercarial emergence for naturally infested snails was at 6-10h, 10h-15h and 15-18h, while that of the snails experimentally infested was mostly observed at 10-15h. In terms of number of worms collected, white mice were more permissive to schistosomes from naturally infested snails. Conclusion and application of results: Early (6-10h) and late (15-18h) cercarial emergence peaks can be related to S. bovis, while the 10-15h peak correspond to S. haematobium. Due to the reported low compatibility between the white mice Mus musculus albinos and S. haematobium, the observed schistosomes permissive to the white mice are most likely S. bovis and/or hybrids S. bovis x S. haematobium. Therefore, anthropophilic and zoophilic species of the Schistosoma haematobium group can be routinely distinguished by two approaches. The first, dissecting laboratory mice (Mus musculus albinos) 4 months after their contact with water containing cercariae obtained after exposure to light from infested snails collected in the field; the second by comparing the profiles obtained after enumeration of cercariae emitted during four well-chosen time slots. Keywords: Bulinus truncatus, Schistosoma haematobium, Schistosoma bovis, hybrid, Characterization, Chronobiology.
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Diaw, O. T., M. Seye e Y. Sarr. "Résistance à la sécheresse de mollusques du genre <em> Bulinus </em> vecteurs de trématodoses humaines et animales au Sénégal. II. Etude dans les conditions naturelles en zone Nord-soudanienne. Ecologie et résistance à la sécheresse de <em> Bulinus umbilicatus </em> et <em> B. sene </em>". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 42, n.º 2 (1 de fevereiro de 1989): 177–87. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8827.

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Les auteurs rapportent les résultats d'une étude de 2 ans sur l'écologie et la résistance à la sécheresse de B. umbilicatuset B. senegalensisdans 3 mares temporaires de la zone Nord-soudanienne (région de Tamba­ counda, Sénégal). Les variations de certains facteurs abiotiques comme la température et le pH de l'eau ne semblent pas avoir une grande influence sur l'écologie, alors que la pluviométrie a une grande importance sur la distribution et la densité des Mollusques. En effet, la quantité d'eau et la durée d'assèchement des mares dépendent des pluies et sont des éléments qui gouvernent l'existence et la survie de cette faune malacologique. C'est dans la 2ème partie de la saison des pluies, période de reproduction, que la population atteint son maximum. Les observations mensuelles montrent que l'abondance relative de B. umbilicatus est supérieure à celle de B. senegalensis. Ces mares sont à sec 6 à 8 mois dans l'année, et cependant, les populations de Mollusques se renouvellent régulièrement, ce qui laisse supposer une capacité de résistance à la sécheresse. Certains traversent avec succès cette période d'as.sèchement mais ce sont ceux de taille moyenne (7 à 9,9 mm) qui résistent le mieux (70 à 80 p. 100 de la population). Dès la remise en eau, ils reprennent leur activité et pondent intensément afin de reconstituer la population. B. umbilicatus et B. senegalensis sont des hôtes intermédiaires potentiels de trémato­ doses humaines, mais dans cette zone étudiée, seul B. umbilicatus intervient dans la transmission (S. haematobium, S. curassom) qui a lieu entre septembre et novembre. Dans les conditions naturelles du Sahel, le cycle épidémiologique est court, et tout se passe en 4 à 6 mois avec renouvellement et accroissement de la population de Mollusques, infestation de ces derniers et transmission des trématodoses. Le comportement écologique de ces Mollusques dans la zone Nord­ soudanienne a une importance primordiale dans l'épidémiologie des trématodoses humaines et animales et nécessite une nouvelle stratégie de lutte. La destruction des Mollusques est plus efficace et plus économique à la fin de la saison des pluies, début d'assèchement de la mare, période où ils se concentrent dans des flaques d'eau résiduelles.
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Vignoles, Philippe, Philippe Hourdin, Daniel Rondelaud e Gilles Dreyfuss. "Répartition des métacercaires de quatre Digènes dans des cressonnières naturelles traversées par de l’eau courante". Tome 29 | 2020, n.º 29 (11 de dezembro de 2020). http://dx.doi.org/10.25965/asl.1056.

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Plusieurs espèces de Digènes utilisent le mollusque Galba truncatula comme hôte intermédiaire pour le développement de leurs formes larvaires. Les cercaires, qui sont émises par la limnée, s’enkystent sur diverses plantes aquatiques comme le cresson. Si la liste de ces plantes hôtes est assez bien connue à l’heure actuelle, aucune information n’est, par contre, disponible sur la dispersion et la distribution de ces cercaires par rapport à l’espèce de la plante hôte. Des investigations ont donc été réalisées pendant trois années dans 14 cressonnières naturelles situées dans des rigoles de drainage superficiel et traversées par de l’eau courante. Dans chaque rigole, la population de G. truncatula vivait autour de l'émergence d'une source, tandis que la cressonnière était située plus en aval sur le cours même de la rigole. Cinq espèces végétales ont été récoltées au début du mois d'avril et examinées au stéréomicroscope pour y trouver des métacercaires. Des kystes appartenant à quatre Digènes : Calicophoron daubneyi, Fasciola hepatica, Notocotylus sp. et un Echinostomatidé non identifié ont été observés sur ces plantes. La plupart d’entre eux ont été observés sur Nasturtium officinale (243 sur 48,7 kg de feuilles et de tiges égouttées), suivis par Helosciadium nodiflorum (164 sur 33,4 kg). Sur les autres espèces végétales, il y avait peu de larves : de 18 à 25 par espèce. La plupart des cercaires de F. hepatica, de Notocotylus sp. et de l’Echinostomatidé se sont enkystées sur les feuilles supérieures et la zone des tiges situées juste sous la surface de l’eau, tandis que celles de C. daubneyi se sont fixées sur les feuilles basales et le collet des plantes. De plus, les plantes, sur lesquelles la plupart des cercaires se sont enkystées, poussaient dans la partie la plus en amont de chaque cressonnière (habituellement sur les premiers 50 cm de longueur). Lorsque l'eau courante dans les cressonnières était plus rapide, la distribution des métacercaires était plus limitée et leur nombre était inférieur à celui observé dans les stations alimentées par un lent débit d'eau. Les plantes qui poussent sur la section la plus en amont d'une cressonnière située dans une rigole de drainage superficiel sont les plus utilisées par les cercaires des quatre Digènes pour leur enkystement. La vitesse du courant d'eau affecte le nombre et la distribution des métacercaires dans une cressonnière.
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Rondelaud, Daniel, Philippe Vignoles, Philippe Hourdin e Gilles Dreyfuss. "Les conséquences du réchauffement climatique sur les hôtes intermédiaires de Fasciola hepatica en Haute-Vienne". Tome 29 | 2020, n.º 29 (11 de dezembro de 2020). http://dx.doi.org/10.25965/asl.1068.

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Dans le département de la Haute-Vienne, deux espèces de limnées : Galba truncatula et Omphiscola glabra, sont connues pour être des hôtes intermédiaires dans le cycle de vie d’un parasite, Fasciola hepatica. Ces deux mollusques montrent, à l’heure actuelle, un déclin dans le nombre des populations et la superficie de leurs habitats. Pour expliquer ce déclin, le réchauffement climatique a été proposé comme l’un des facteurs possibles. Comme plusieurs épisodes de canicule ont eu lieu dans le département en 2015, 2018 et 2019, des investigations ont été effectuées en 2020 dans 190 prairies marécageuses pour dénombrer les populations de chaque espèce, les individus transhivernants de chaque population et préciser la superficie de leurs habitats. Si l’on ne tient pas compte du type d’habitat, le nombre global des populations en 2020 a diminué de 37,5 % chez G. truncatula et de 23,7 % chez O. glabra par rapport aux relevés effectués par notre équipe dans les mêmes prairies en 2013-2014. De même, la densité globale des individus transhivernants a présenté une diminution de 74,7 % chez G. truncatula et de 55,4 % chez O. glabra. L’ampleur de la chute pour ces deux paramètres a présenté des variations selon le type d’habitat. Par contre, les habitats de G. truncatula et la plupart des sites avec O. glabra n’ont pas montré de variation significative dans leur superficie entre les deux périodes d’étude. Entre 2013-2014 et 2020, 11 populations de G. truncatula et six d’O. glabra se sont déplacées vers l’aval sur le cours même des rigoles de drainage et parfois jusqu’au fossé principal. Sept habitats peuplés par les deux espèces de limnées ont également été observés dans les prairies étudiées en 2020 alors qu’il n’y en avait pas en 2013-2014. Ces changements dans l’écologie et la dynamique des deux espèces de limnées doivent être rapportés en grande partie à l’effet des épisodes de canicule qui ont eu lieu dans le département au cours des années passées.
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Diakité, Nana R., Mamadou Ouattara, Fidèle K. Bassa, Gaoussou Coulibaly e Eliezer K. . N’Goran. "Diversité et dynamique de la faune malacologique au cours de la mise en place d’un barrage hydro-agricole, Bouaké Centre de la Côte d’Ivoire". Journal of Applied Biosciences 193 (31 de janeiro de 2024). https://doi.org/10.35759/jabs.193.2.

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Objectif: Cette étude, vise à évaluer de la mise en eau du barrage jusqu’au début des activités rizicoles réalisées la diversité et la dynamique des peuplements de mollusques d’eau douce et spécifiquementceux qui conditionnent la transmission des schistosomiases. Méthodologie et résultats: Des investigations malacologiques ont été menées à Raffierkro et dans quatre villages voisins dans le Centre de la Côte d'Ivoire entre 2007 et 2009. Les mollusques ont été collectés par deux enquêteurs expérimentés à l'aide d'une épuisetteet de pinces pendant 15 minutes sur chaque site. Les mollusques ont été identifiés au niveau du genre et de l'espèce. Soixante-cinq (65) mollusques ont été collectés la première année. Ce nombre est passé à 1 260 la deuxième année, puis est retombé à 375, la troisième année. Conclusions et application des résultats : Cette étude met en relief, l’accroisssement des abondances et de l’aire de dispersion des mollusques hôtes intermédiaires de parasites de l’homme et des animaux consécutives à cet hydro-aménagement. Il en ressort que les barrages, les Hydro aménagements et les activités connexes restent des endroits propices pour la prolifération des mollusques en général et des hôtes intermédiaires, en particulier. Il est donc nécessaire de mettre en place une surveillance rigoureuse de ces Hydro-aménagements, afin de prévenir ou contrôler les effets délétères, notamment par l’éducation et la sensibilisation des populations sur les risques encourus et/ou une prise en charge rapide et efficace des services compétents dès l’apparition des premiers cas. Mots clés: Mollusque, Barrage hydro-agricole, Transmission, Côte d’Ivoire Diversity and dynamics of malacological fauna during the construction of a multipurpose dam in Bouaké, CentralCôte d'Ivoire ABSTRACT Objective: The aim of this study was to assess the diversity and dynamics of freshwater snail populations, specifically the intermediate hosts of schistosomiasis, during the construction and the first years of operation of a small multipurpose dam in Rafierkro, Côte d’Ivoire. 20455 Diakité et al., J. Appl. Biosci. Vol: 193, 2024 Diversité et dynamique de la faune malacologique au cours de la mise en place d’un barrage hydro-agricole, Bouaké centre de la Côte d’Ivoire Methodology and Results: Malacological investigations were carried out in Raffierkro and four neighbouring villages in central Côte d’Ivoire between 2007 and 2009. Snails were collected by two experienced investigators using scoops and forceps for 15 min at each site. Snails were identified at the genera and species level. Sixty-five snails were collected in the first year increasing to 1,260 in the second year, and then falling to 375 in the third year. Conclusion and application of results: This study highlights the increase in the abundance of intermediate host snails of humans and animals parasites and their dispersion in irrigation canals. This demonstrates that dams, water resources development projects and related activities remain a favourable site for the proliferation of snails in general and intermediate hosts in particular. Therefore, it is necessary to rigorously monitor these hydro-development sites in order to prevent and control the harmful effects, inform educate and communicate (IEC) the risks to the surrounding communities and rapidly and effectively deploy interventions at the first signs of an outbreak of schistosomiasis. Keys words: Snail, Multipurpose dam, Transmission, Côte d'Ivoire
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Vignoles, Philippe, Philippe Hourdin, Gilles Dreyfuss e Daniel Rondelaud. "Epidémiologie de la fasciolose dans le Limousin : bilan des recherches effectuées depuis les années 1970". Annales Scientifiques du Limousin, n.º 28 (11 de junho de 2019). http://dx.doi.org/10.25965/asl.1030.

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Les auteurs dressent un bilan des recherches qu’ils ont effectuées depuis 1970 sur plusieurs espèces de Lymnaeidae dans le Limousin afin de déterminer leur rôle comme hôtes intermédiaires dans la transmission de la fasciolose humaine, de préciser plusieurs points dans le développement larvaire du parasite chez ces mollusques et de mettre au place un contrôle contre la limnée la plus fréquente, Galba truncatula. La fasciolose a fortement reculé dans la région depuis les années 2000 en raison de l’abandon du cresson « sauvage » dans la consommation humaine. Plusieurs espèces de limnées ont été identifiées dans ces cressonnières et trois modes d’infestation par Fasciola hepatica ont été mis en évidence. Chez G. truncatula, plusieurs générations rédiennes se succèdent dans le temps. La production de cercaires présente une variabilité en fonction des populations de limnées et également à l’intérieur d’une même population. Lors de l’évolution des formes larvaires du parasite, la limnée présente une pathologie au niveau de ses viscères. Dans les prairies sur sol acide, trois espèces d'escargots peuvent y vivre avec des caractéristiques propres pour chaque limnée. Deux types de contrôle pour G. truncatula ont été étudiés, l’un biologique basé sur des escargots prédateurs (Zonitoides nitidus) au début de l’assèchement estival, et l’autre intégré prenant en compte les différentes mesures connues pour déparasiter l’hôte définitif et éliminer la limnée. Les résultats obtenus lors de l’étude de ces différents thèmes sont analysés et plusieurs hypothèses de travail sont proposées pour les chercheurs à venir.
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