Literatura científica selecionada sobre o tema "Écoles arméniennes"

Crie uma referência precisa em APA, MLA, Chicago, Harvard, e outros estilos

Selecione um tipo de fonte:

Consulte a lista de atuais artigos, livros, teses, anais de congressos e outras fontes científicas relevantes para o tema "Écoles arméniennes".

Ao lado de cada fonte na lista de referências, há um botão "Adicionar à bibliografia". Clique e geraremos automaticamente a citação bibliográfica do trabalho escolhido no estilo de citação de que você precisa: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

Você também pode baixar o texto completo da publicação científica em formato .pdf e ler o resumo do trabalho online se estiver presente nos metadados.

Artigos de revistas sobre o assunto "Écoles arméniennes"

1

Lenoir-achdjian, Annick. "L'évolution de l'identité arménienne à Montréal. Les relations entre les parents et les écoles arméniennes". Hommes et Migrations 1265, n.º 1 (2007): 82–101. http://dx.doi.org/10.3406/homig.2007.4568.

Texto completo da fonte
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
2

Gauthier, Jean-Sébastien. "L’accueil dans les écoles de Valence des enfants des premiers réfugiés arméniens (1923-1936)1". Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, n.º 46 (1 de janeiro de 2011): 73–104. http://dx.doi.org/10.4000/dhfles.2126.

Texto completo da fonte
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
3

Joseph, John E. "Structure, mentalité, société, civilisation : les quatre linguistiques d’Antoine Meillet". SHS Web of Conferences 78 (2020): 15002. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207815002.

Texto completo da fonte
Resumo:
Aujourd’hui le nom d’Antoine Meillet (1866-1936) rappelle surtout ses manuels de linguistique comparée des langues indo-européennes, ses études slaves et arméniennes, et sa présidence d’une « école de Paris » où seraient formés les grands linguistes de la génération suivante. Pourtant il ne faut pas oublier l’importance de ses contributions à la linguistique synchronique, y compris l’analyse de la langue française. Sa conception originale de la « grammaticalisation » dans un article de 1912, où il tire ses exemples clés du français, a démontré l’impossibilité d’une stricte séparation entre les catégories analytiques, et plus généralement entre la synchronie et la diachronie. Dans d’autres ouvrages il prétend qu’un Français conçoit un objet différemment de la façon dont un ancien Romain le concevait, à cause de la structure des grammaires latine et française ; que le passage de vocables d’un genre spécifique (tel l’argot des marins) à l’usage général est le principal moteur de l’évolution sociale d’une langue, et qu’il y a une hiérarchie quasi-féodale entre les mots selon leur origine ; qu’il n’existe en Europe que quatre « langues de civilisations », face auxquelles les autres langues seraient destinées à disparaître. Bien que Meillet ait joué un rôle cardinal dans le développement du structuralisme linguistique de la première moitié du XXe siècle, il a gardé ses distances avec le mouvement, et cette réserve, léguée à ses étudiants (à quelques exceptions près), clarifie certains aspects du caractère particulier de la linguistique française.
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
4

Chown, Jennifer Rodney, e David Chown. "The Humanitarian Work of the Near East Relief during the Armenian Genocide and the Contribution of Nova Scotia Nurse Sara Corning". Canadian Ethnic Studies 55, n.º 3 (2023): 163–78. http://dx.doi.org/10.1353/ces.2023.a928889.

Texto completo da fonte
Resumo:
Abstract: The backdrop for this research note is the Armenian Genocide of the early 20th century. In this context, we examine the activities of the Near East Relief (NER), an American humanitarian organization that began its relief work during the Armenian Genocide, as well as Canada's responses. Furthermore, we focus on the humanitarian relief work of Red Cross nurse and Nova Scotia native Sara Corning. Her story is little known in Canada, except in her Nova Scotia birthplace and among Armenian and Greek communities. The research note provides an overview of her call to humanitarian service, her resilience in the face of extreme hardship, and resistance against what were the gender and societal norms of that era. Despite these challenges, Sara Corning devoted much of the years from 1919 to 1930 to relief work in Armenia, Greece, and Turkiye, a broader region which, in the early part of the 20th century, was devastated by military conflict and ethnic cleansing, and the massive, government mandated, forced migration of Greeks and Turks in 1923. Résumé: Cette note de recherche a pour toile de fond le génocide arménien du début du XXe siècle. Dans ce contexte, nous examinons les activités du Near East Relief (NER), une organisation humanitaire américaine qui a commencé son travail de secours pendant le génocide arménien, ainsi que les réponses du Canada. En outre, nous nous concentrons sur le travail d'aide humanitaire de Sara Corning, infirmière de la Croix-Rouge et originaire de la Nouvelle-Écosse. Son histoire est peu connue au Canada, sauf dans sa ville natale de la Nouvelle-Écosse et au sein des communautés arménienne et grecque. La note de recherche donne un aperçu de son appel au service humanitaire, de sa résilience face à des difficultés extrêmes et de sa résistance aux normes sociétales et de genre de l'époque. Malgré ces défis, Sara Corning a consacré une grande partie des années 1919 à 1930 à l'aide humanitaire en Arménie, en Grèce et en Turquie, une plus vaste région qui, au début du XXe siècle, a été dévastée par des conflits militaires et d'épurations ethniques, ainsi que par la migration massive forcée, des Grecs et des Turcs, mandatée par le gouvernement, en 1923.
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
5

Sercia, Pierre. "L’aptitude au français1 d’élèves fréquentant des écoles ethnoreligieuses au Québec". 7, n.º 2 (28 de março de 2008): 43–59. http://dx.doi.org/10.7202/017817ar.

Texto completo da fonte
Resumo:
Résumé Cette étude porte sur l’impact de la fréquentation d’une école ethnoreligieuse au Québec sur l’aptitude au français au sein de groupes d’élèves arméniens, musulmans et juifs de quatrième et cinquième secondaire. Elle s’inscrit en continuité avec la recherche de Sercia (2004) portant sur l’intégration sociale des élèves fréquentant les écoles ethnoreligieuses. La mesure de l’aptitude au français est composée à partir de douze items qui couvrent les attitudes, les comportements, les préférences et les intentions des élèves à l’égard du français. L’analyse des données révèle que ces groupes diffèrent significativement entre eux sur l’une ou l’autre des variables et amène l’auteur à dresser un portrait unique pour chacun des groupes, en tenant compte de leurs réalités respectives.
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
6

Deirdre, Meintel. "Ethnicité". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

Texto completo da fonte
Resumo:
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.

Teses / dissertações sobre o assunto "Écoles arméniennes"

1

Gavrilof, Elodie. "Après l'Empire, une école à (re)construire pour les nationalités : les écoles arméniennes en Turquie et en Arménie soviétique (1919 - 1939)". Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2024. http://www.theses.fr/2024EHES0173.

Texto completo da fonte
Resumo:
À la croisée des études arméniennes, turques et soviétiques, cette thèse souhaite faire des Arméniens un laboratoire pour une histoire croisée des mondes scolaires en Turquie et en Arménie soviétique dans l’entre-deux-guerres. D’une institution chargée de former les élites, les mondes scolaires se voient octroyées des fonctions nouvelles à mesure qu’émergent les mouvements nationaux : former les masses à l’idée de nation. La déflagration de violence dans la région, les guerres, mais aussi le génocide des Arméniens, des Grecs pontiques et des Assyriens dans l’Empire ottoman sont venus faire éclater des mondes scolaires arméniens pourtant jusqu’alors connus pour disposer d’un maillage scolaire efficace et particulièrement fin. Les nouveaux États issus des Empires ont tenté de mettre en œuvre divers projets scolaires qui doivent participer à la construction d’une nouvelle société et de ses représentations, nationalistes d’une part, internationaliste de l’autre. Dans un premier temps, les écoles arméniennes disposent d’une plus grande marge de manœuvre à cause à l’affaiblissement des acteurs traditionnels dans la région du fait de la guerre et de l’instabilité politique. À mesure que ces nouveaux États s’avancent vers une reconnaissance internationale, ils s’approprient et (re)construisent des mondes scolaires à leur image. Après une frénésie de réformes dans les années 1920, les années 1930 figurent un moment de consolidation de ces réformes, et la Turquie et l’Arménie soviétique disposent de systèmes fonctionnels à l’aube de la Seconde Guerre mondiale. Pour autant, ces réformes ont suscité différentes réactions de la part des Arméniens qui, s’ils n’ont d’autre choix que de s’adapter aux changements, parfois brutaux, parviennent néanmoins à conserver certaines spécificités, qui varient de part et d’autre de la rivière Araxe, frontière entre la Turquie et l’Union soviétique. Dans une perspective heuristique et grâce à une approche transdisciplinaire, cette thèse vise à répondre aux questions posées par l’existence même des mondes scolaires arméniens en sortie d’empires dans les nouveaux États en ce qui concerne les politiques des minorités et des nationalités en comparaison, mais aussi relative aux questions d’identité, de citoyenneté, et de transmission
At the intersection of Armenian, Turkish, and Soviet studies, this dissertation aims to use Armenians as a case study for a comparative history of educational systems in Turkey and Soviet Armenia during the interwar period.Originally tasked with training the elites, educational systems were assigned new roles as national movements emerged: to educate the masses in the idea of the nation. The explosion of violence in the region—wars, as well as the Armenian Genocide in the Ottoman Empire—shattered Armenian educational systems, which had previously been known for their efficiency.The new states that arose from the former empires attempted to implement various educational projects aimed at constructing a new society. Initially, Armenian schools enjoyed greater leeway due to the weakening of traditional actors in the region as a result of war and political instability. However, as these new states sought international recognition, they gradually took over and (re)constructed educational systems in their own image. After a flurry of reforms in the 1920s, the 1930s became a period of consolidation, and by the eve of World War II, both Turkey and Soviet Armenia had functional educational systems in place.Nevertheless, these reforms provoked various reactions from Armenians, who, although left with no choice but to adapt to the sometimes brutal changes, managed to preserve certain specificities, which differed on either side of the Arax River, the border between Turkey and the Soviet Union.Through a heuristic perspective and using a transdisciplinary approach, this dissertation seeks to address the questions raised by the very existence of Armenian educational systems after the collapse of the empires and within the new states, comparing minority and nationality policies, as well as examining issues of identity, citizenship, and the transmission of cultural heritage across generations
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
2

Papikyan, Hayarpi. "L'éducation aux confins de l'Empire : la scolarisation des filles et l'entrée des femmes arméniennes dans l'espace public au Caucase : (milieu du XIXe - début XXe siècle)". Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCB219.

Texto completo da fonte
Resumo:
Cette thèse met en lumière l'histoire de l'éducation des filles arméniennes du milieu du XIXe au début du XXe siècle en analysant pour la première fois cette histoire dans le contexte général des événements politiques qui ont influencé son développement. Elle explore également le travail des femmes arméniennes en tant que pédagogues, organisatrices et donatrices des écoles de filles. Cette recherche est fondée sur un large éventail de sources publiques et privées : rapports, programmes et règlements scolaires, publications de presse (éditoriaux, correspondances, nouvelles, annonces générales et publicitaires), œuvres littéraires, discours publics, mémoires, journaux intimes, autobiographies et lettres. Celles-ci révèlent la progression de l'éducation des filles des cours particuliers et de la formation archaïque par des femmes pieuses et des diaconesses jusqu'à la fondation d'écoles régulières pour les filles et à une forme d'éducation similaire à celle de leurs frères. Le développement de l'éducation et des écoles de filles arméniennes s'est déroulé dans le contexte triplement tumultueux des politiques coloniales et répressives du gouvernement russe au Caucase, des efforts de l'Église arménienne pour maintenir son autorité et son pouvoir sur les communautés arméniennes, et de la croissance du mouvement national et révolutionnaire des arméniens. Cette recherche souligne la façon dont la question de l'éducation des filles arméniennes a émergé et évolué. Elle montre également comment ce changement a amené les femmes arméniennes à assumer un rôle public, à établir des écoles, des organismes de bienfaisance, des bibliothèques, à écrire et à traduire de la littérature pour enfants, à organiser une série d'activités de collectes de fonds pour les écoles de filles (bazar de charité, loterie publique, vente de broderies, théâtres et concerts) et à participer au mouvement révolutionnaire. Cette thèse s'inscrit dans l'actualité des recherches en sciences de l'éducation sur la scolarisation, les programmes et les institutions scolaires du XIXe et du début du XXe siècle. Elle s'engage également dans les débats sur l'éducation des filles et l'histoire des femmes dans l'Europe de l'Est et au Caucase. Cette recherche contribue enfin aux Études Arméniennes en écrivant un chapitre essentiel et inédit de l'histoire arménienne sur la présence et le rôle des femmes dans les événements politiques, sociaux et culturels majeurs du XIXe et du début du XXe siècle
This dissertation brings to the light the story of the late-mid-nineteenth century and early twentieth-century education of Armenian girls for the first time by placing it in the context of the general political events that influenced its development. It also examines Armenian women's work as educators, organisers and sponsors of girls' schooling. The research is based on a wide array of public and private sources: school reports, programs and regulations, press publications (editorials, correspondences, news, announcements and advertisements), literary works, speeches, memoirs, diaries, autobiographies and letters, which reveal the period's progression from girls receiving private tutoring and an archaic training by deaconesses and celibate devotees to establishing regular schools for girls and providing them a similar form of education as their brothers. The development of Armenian girls' schools and education took place in the turbulent context of the repressive colonial politics of the Russian Government in the Caucasus, the efforts of the Armenian Church to maintain its authority and power over the Armenian communities and the growing Armenian national-revolutionary movement. The research uncovers the nuances of changing consciousness about Armenian girls' education and shows how it led Armenian women to assume public roles, establish schools, charities, libraries, write and translate children's literature, undertake a wide range of fund-raising public activities for girls' schools (charity bazaars, public lotteries, embroidery sales, theatres and concerts) and enter the revolutionary movement. This dissertation joins a vibrant conversation in the educational sciences about nineteenth and early twentieth-century schooling, programs and institutions. It also engages in the discussions about Eastern-European and Caucasian girls' education and women's history. The research also contributes to Armenian Studies by restoring to Armenian history a missing and vital chapter about women's presence and role in the late nineteenth and early twentieth-century major political, social and cultural developments
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
3

Leyloyan-Yekmalyan, Anna. "L' école miniaturiste du Vaspurakan : style, iconographie, familles des copistes et des peintres (XIVe-XVIIe s.)". Paris, EPHE, 2003. http://www.theses.fr/2003EPHE4038.

Texto completo da fonte
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
4

Gauthier, Jean-Sébastien. "Parcours migratoires et scolaires d'enfants arméniens à Valence durant l'entre-deux-guerres". Thesis, Lyon, 2016. http://www.theses.fr/2016LYSE2178/document.

Texto completo da fonte
Resumo:
Lancés sur les routes de l’exil, suite au génocide de 1915 perpétré par le gouvernement JeuneTurc, les réfugiés arméniens sont à la recherche d’un territoire susceptible de les accueillir.Après un exode qui a duré plusieurs années, et qui les a conduits dans les pays de la péninsule balkanique et dans tout le Proche-Orient, certains font le choix de la France. C’est en 1922 ou 1923 (selon les sources) que les premiers réfugiés arrivent à Valence. D’autres leur emboîtent le pas les années suivantes. Mon étude tente de mettre en évidence les parcours migratoiresdes familles arméniennes valentinoises et des enfants scolarisés, depuis leurs lieux d’origine jusqu’à Valence. Plusieurs vagues migratoires, plus ou moins longues selon la durée de déplacements des populations, et parfois simultanées ou enchevêtrées, se succèdent. Très souvent, l’itinéraire, qui a conduit les familles arméniennes dans la cité drômoise, n’a pas été direct depuis leur débarquement à Marseille, mais jalonné d’étapes, qui sont autant de marqueurs des situations socio-économiques rencontrées avant leur installation à Valence, parfois définitive pour de nombreuses familles. Mon étude tente également de faire apparaîtreles différents parcours scolaires effectués au sein de l’école française. Dès les premières arrivées, les enfants entrent à l’école primaire et suivent des parcours variés, même si, pour les premiers arrivants, la préoccupation au sortir de la scolarité obligatoire reste l’obtention immédiate d’un emploi. Les parcours au sein d’un enseignement organisé en deux filièresprincipales et socialement inégalitaires ne sont pas simples et des difficultés diverses se dressent, amenant certains à abandonner soit leurs études secondaires, soit à se maintenir au sein de l’école primaire. Le système scolaire accueille ces enfants et l’enjeu linguistique passe au premier plan. D’autres élèves y mènent un parcours brillant. Sous l’influence de lasituation socioéconomique locale, les familles arméniennes opèrent des choix pour leurs enfants et des comportements se dessinent. Si pour certaines, le système scolaire doit permettre une émancipation et l’apprentissage d’un métier, au travers des professions d’ouvriers qualifiés ou de techniciens mais aussi d’emplois de bureau, pour d’autres, la reprise d’une affaire commerciale familiale ou l’apprentissage d’une profession artisanale s’impose. Le passage par l’école obligatoire permet d’atteindre un niveau linguistique plus sûr, mais aussi une qualification plus importante, qui enrichit l’affaire familiale. La destinée familiale a très souvent tracé un avenir scolaire aux enfants de la seconde génération, revu à l’âge adulte avec de nouvelles opportunités professionnelles
Launched on the exile roads, after the 1915 genocide caused by the Jeune-Turc government, the Armenian refugees were in search of a territory open to welcome them. After an exodus which lasted several years and led them into the Balkan States and the whole Near East, some of them made the choice of France. The first refugees turned up in Valence in 1922 or 1923 (itdepends on the pieces of information). Others followed a few years later. My study attempts to show the Armenian families and children’s geographical routes, from their places of origin to Valence. Several more or less varied waves of immigrants occurred. Very often, the trip from Marseille to the “Cité drômoise” was not straight. The different stages of their French itinerary appear as markers of their varied social and economic conditions before their arrival in Valence. My contribution will also attempt to show the different school careers they made in French schools. As soon as the first arrived, children were sent to primary school and had varied school careers, even if labor remained a priority at the end of their compulsory education. The school careers in the two main educational profiles- socially unequal- were not simple and many pupils had difficulties in completing their primary or secondary schooling. The French school welcomed these foreign pupils and the acquisition of the French language was the most important issue. Other pupils had outstanding courses. Affected by the local socio-economic circumstances, the Armenian families made choices for their children. For some of them, school had to promote the learning of a trade, as skilled labourers, technicians or office workers. Others expected their children to continue the family business. Compulsory schooling promoted the acquisition of the French language but also increased the qualification levels. The Armenians wanted a future for their children and resigned themselves to the choices of their parents. After their teenage years, their professions changed and the families’ destinies advanced with new career opportunities
Estilos ABNT, Harvard, Vancouver, APA, etc.
Oferecemos descontos em todos os planos premium para autores cujas obras estão incluídas em seleções literárias temáticas. Contate-nos para obter um código promocional único!

Vá para a bibliografia