Literatura científica selecionada sobre o tema "Déprise agricole – Sénégal (sud)"

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Artigos de revistas sobre o assunto "Déprise agricole – Sénégal (sud)"

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Dasylva, Maurice, Ngor Ndour e Aly Diallo. "Diversité et Caractéristiques des Systèmes de Production Agricole Végétale dans la Commune de Ziguinchor au Sénégal". European Scientific Journal, ESJ 19, n.º 3 (31 de janeiro de 2023): 120. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n3p120.

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Resumo:
Bien que l’agriculture soit reconnue pour les services qu’elle rend aux citadins, elle peine à se développer dans les villes africaines. L’étude a été conduite dans la commune de Ziguinchor, situé au Sud du Sénégal. Elle vise à caractériser des systèmes de production végétale de l’agriculture urbaine dans cette commune et s’est appuyé, essentiellement, sur des enquêtes, auprès de 390 agriculteurs. Quatre systèmes de production végétale exploités par des femmes (74,4%) ont été recensés. Le maraîchage est le plus représenté avec 59,7% de cas de citation. Avec 24 spéculations cultivées dans les bas-fonds ou dans les interstices urbains. Ce système de production mobilise plus de producteur en saison sèche (51,5%) qu’en hivernage. Les grandes cultures pluviales qui représentent 32,9% des cas compte 9 essences cultivées réparties dans la famille des Poaceae, des Fabaceae et des Pedaliaceae. Le riz se distingue parmi les grandes cultures pluviales par l’envergure des vallées non aedificandi (838,9 ha) qui abritent ses activités de production. L’arboriculture fruitière et la floriculture constituent les systèmes de production les moins représentés avec respectivement 6,8% et 0,7% des cas. Avec 8 espèces d’arbres fruitiers inventoriées, l’arboriculture est, essentiellement, notée dans la périphérie Sud de la commune où sont localisés plus de vergers d’anacardiers. La floriculture, comptant 13 principales espèces cultivées, est une activité qui subsiste avec seulement 5 exploitations notées dans toute la commune. Toutefois, il faut rappeler que ces divers systèmes de production végétale souffrent de l’avancée du front urbain et de l’occupation de l’espace par le bâti. Il urge, donc, que l’agriculture soit prise en compte dans les prochains plans d’aménagement urbain de Ziguinchor. Although agriculture is recognised for the services it provides to city dwellers, it is struggling to develop in African cities. The study was conducted in the commune of Ziguinchor, located in southern Senegal. It aimed to characterise the plant production systems of urban agriculture in this commune and was based essentially on surveys of 390 farmers. Four crop production systems, mainly operated by women (74.4%), were identified. Market gardening is the most represented with 59.7% of cases cited. With 24 crops cultivated in the lowlands or in the urban interstices, this production system mobilises more producers in the dry season (51.5%) than in the winter season. Rainfed field crops, which account for 32.9% of cases, include 9 species cultivated in the Poaceae, Fabaceae and Pedaliaceae families. Rice stands out among the major crops due to the scale of the not aedificandi valleys (838.9 ha) in which it is produced. Fruit growing and flower growing are the least represented production systems, with 6.8% and 0.7% of cases respectively. With 8 species of fruit trees inventoried, arboriculture is essentially noted in the southern periphery of the district where more cashew orchards are located. Floriculture, with 13 main species produced, is an activity wich survives with only 5 farms noted in the district. However, it should be remembered that these various plant production systems are suffering from urbanisation and the occupation of space by buildings. It is therefore urgent that agriculture be taken into account in the next urban development plans for Ziguinchor.
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Traore, El Hadji, Cheikh Alassane Fall, Djby Dia, Dingamgoto Jesse Barde, Séga Ndao e Cheikh Sall. "Ressources fourragères, affourragement et pâturage dans le Sud et à l’Est du Sénégal". International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, n.º 3 (19 de junho de 2020): 940–48. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.23.

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Resumo:
Les sécheresses successives, aggravées par les activités anthropiques et les effets du changement climatique, entrainent la disparition effrénée de plusieurs espèces végétales locales, adaptées selon les zones avec une importance sociale et économique avérée pour nos campagnes. Si le rythme de disparition noté n’est pas stoppé ou freiné, il s’en suivra la perte de l’essentiel de nos ressources végétales céréalières, fourragères et forestières locales. Certes, la recherche agricole s’évertue à trouver des solutions pour disposer de nouvelles variétés végétales adaptées. Mais, ce n’est pas toujours le cas pour les espèces fourragères. Ainsi, dans le cadre des activités de recensement et de collecte multi-spécifiques de ressources phytogénétiques pour l’alimentaire et l’agriculture, une synthèse spécifique a été consacrée au ressources fourragères des zones visitées. L’objectif visé est de recensé les ressources fourragères (naturelles ou cultivées) disponibles et leur méthode de gestion. Il ressort que les méthodes et le niveau d’exploitation des ressources fourragères naturelles et des résidus de récolte diffèrent d’une zone à l’autre. Le parcours naturel plus ou moins bien fourni dans les régions sud et est, constitue la principale ressource alimentaire des animaux au niveau de toute la zone d’étude. Les résidus de récolte bien qu’abondants et variés, ont peu d’intérêt chez les éleveurs du sud du Sénégal où la diversité qui est l’indice de qualité et le volume des pâturages sur le parcours naturel sont abondants. Certes, l’inventaire des espèces fourragères ne peut se faire selon la même méthodologie que celle des espèces agricoles et maraîchères. Mais, la photographie obtenue devrait servir de guide à un recensement des espèces fourragères herbacées et ligneuses les plus consommées sur le parcours naturel, tout en étudiant les méthodes de conservation et de production des espèces recensées afin, de dégager les meilleures méthodes de gestion et d’utilisation durable.Mots clés : Ressources fourragères, régions sud et est du Sénégal, ligneux et herbacés, résidus de culture. English Title: Forage resources, feeding and grazing in the South, and East of SenegalSuccessive droughts, aggravated by anthropogenic activities and the effects of climate change, lead to frantic disappearance of several local plant species, adapted according to the areas, and with proven social and economic importance for our countryside. If the rate of disappearance noted, is not stopped or slowed, it will follow the loss of most of our local grain, fodder and forest plant resources. Certainly, agricultural research is struggling to find solutions to have new adapted plant varieties; this is not always the case for forage species. Thus, within the framework of multi-specific census and collection activities of plant genetic resources for food and agriculture, a specific summary was devoted to the fodder resources of the areas visited. The objective is to identify the fodder resources (natural or cultivated) available and their management method. It appears that the methods and level of exploitation of natural fodder resources and crop residues differ from one area to another. The more or less well supplied natural route in the south and east regions constitutes the main food resource for animals throughout the study area. Crop residues, although abundant and varied, are of little interest to breeders in the south of Senegal where the diversity which is the quality index and the volume of pastures on the natural range are abundant. Of course, the inventory of fodder species cannot be done according to the same methodology as that of agricultural and market garden species. However, the photograph obtained should serve as a guide for a census of herbaceous and ligneous fodder species most consumed by animals on natural route, while studying the methods of conservation and production of the listed species; in order to identify the best methods of management and sustainable use.Keywords: Fodder resources, southern and eastern regions of Senegal, ligneous and herbaceous plants, crop residues.
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Ghislain, Ahokpossi M. R., Yolou Isidore, Ouorou Yerima Guèguè Léa, Yabi Ibouraima, Akiyo Offin Lié Rufin, Yabi Afouda Jacob e Afouda Fulgence. "Co-évolution des paysages urbain et agraire à Ouidah (Sud-ouest du Bénin) : entre urbanisation et déprise agricole". European Scientific Journal ESJ 16, n.º 14 (31 de maio de 2020). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2020.v16n14p143.

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Berthet, Nicolas. "Le tourisme durable, un enjeu de rééquilibrage territorial dans le département français des Pyrénées-Orientales". Innovations en tourisme durable, 7 de junho de 2016, 49–54. http://dx.doi.org/10.7202/1036562ar.

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Adossé à la frontière espagnole, entre Méditerranée et Pyrénées, le département français des Pyrénées-Orientales, aussi nommé Pays Catalan, Catalogne Nord ou Catalogne française, est longtemps apparu comme une périphérie rurale, éloignée et faiblement industrialisée. La mise en place à partir des années 1960 de la Mission Interministérielle d’Aménagement touristique du littoral du Languedoc-Roussillon (aussi appelée Mission Racine, du nom de son dirigeant Pierre Racine), allait cependant rapidement convertir ce département en une destination touristique majeure du sud de la France. La dynamique de développement de la plaine littorale contrastait alors avec l’arrière-pays de la déprise agricole et de l’exode rural. Conscientes du potentiel touristique qu’offrait néanmoins un cadre naturel rural et préservé, diverses populations néorurales s’installèrent dès les années 1970 dans l’arrière-pays. Elles y développeront au tournant des années 1980 le tourisme de nature. Bien que marginal par rapport à l’activité générée par le tourisme de masse du littoral et des stations de ski, le tourisme de nature de l’arrière-pays constituait le point de départ d’un futur développement durable du tourisme dans les Pyrénées-Orientales. À partir des initiatives de mise en réseaux des parties prenantes et des politiques menées en matière de transport public, cet article propose de décrire des processus d’innovation mis en place et/ou soutenus par le Conseil Général des Pyrénées-Orientales en matière de tourisme durable. Fruit de discussions engagées dans le cadre professionnel avec divers acteurs du tourisme local, cet article souligne l’importance que revêt l’engagement des collectivités locales, en l’occurrence le Conseil Général des Pyrénées-Orientales, pour mener à bien le développement durable du tourisme au sein d’une destination méditerranéenne encore largement dévolue au tourisme de masse.
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Teses / dissertações sobre o assunto "Déprise agricole – Sénégal (sud)"

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Ollier, Camille. "Cultiver l'absence : trajectoires et relations paysagères en pays Diola (Basse Casamance - Sénégal méridional)". Electronic Thesis or Diss., Lyon 2, 2023. http://www.theses.fr/2023LYO20100.

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Resumo:
Les rizières et les pratiques rizicoles, en Basse-Casamance (Sénégal méridional), frappent autant par leur présence que par leur absence. Ou, plutôt, elles frappent par le déclin qu’elles connaissent, dans un contexte marqué par des changements agroécologiques importants, mais aussi par la déprise rurale, agricole et les migrations de travail. Ces déprises interrogent l’évolution des paysages historiques de la région, partagés entre rizières et villages abrités sous la forêt. Depuis les années 1960, les travaux de géographie n’ont pas cessé de montrer combien la société diola était en proie à des bouleversements majeurs d’ordre climatique. Les anthropologues ont insisté sur les changements socio-économiques des modes de vie, et notamment sur les migrations urbaines – définitives ou de longue durée – qui ont participé à substituer aux agrosystèmes familiaux vivriers des sociétés parfaitement intégrées aux logiques de l’emploi et aux pratiques alimentaires mondialisées. Restait à interroger la très grande échelle, pour la confronter aux logiques régionales déjà dépeintes, ainsi que le point de vue local sur ces bouleversements. Peu de travaux s’appuient sur des données ethnographiques denses,et le regard des Diola sur ces changements paysagers n’est au coeur des préoccupations que depuis quelques années. Ce travail propose une réflexion sur la notion de trajectoire paysagère, qui confronte les apports de l’analyse paysagère classique en géographie et ceux de l’anthropologie sociale via les méthodes ethnographiques.L’analyse diachronique des images satellitales disponibles (2003 et 2021) a permis de cartographier l’évolution de l’occupation du sol dans les deux villages de l’étude, et montre clairement combien les facteurs environnementaux et socio-économiques à l’oeuvre transforment les paysages rizicoles à très grande échelle. Les prospections guidées par les enquêté·es, ainsi que l’étude toponymique, ont permis de prendre en compte simultanément l’état actuel des paysages et la mémoire de leurs états passés. Le traitement qualitatif des entretiens et des enquêtes biographiques a apporté des contre-points majeurs à cette lecture axée sur les trajectoires agroécologiques. L’enquête ethnographique a permis de souligner combien la riziculture était à la fois une pratique très variable et un invariant culturel central dans l’organisation familiale et sociale.La prise en charge du point de vue local ainsi que l’approche par les discours autochtones complexifient grandement une analyse paysagère fondée, de prime abord, sur la matérialité des espaces et les temporalités de leurs transformations. En effet, les nouvelles pratiques d’habiter, de travail, de circulation des Diola, mais aussi la manière changeante dont chacun·e se projette dans le groupe, invitent à interroger non plus les changements des paysages, mais bien les temporalités changeantes selon lesquelles les individus habitent, travaillent ou abandonnent les espaces en question. Les trajectoires paysagères ne renvoient plus, alors, aux dynamiques des espaces matériels vus et vécus, mais bien aux différentes modalités et temporalités selon lesquelles les individus se projettent dans le monde.En cultivant l’absence, les Diola ne cessent pas de cultiver le riz, ni même de faire groupe. Les dynamiques sociales, anciennes et actuelles, individuelles et collectives, montrent au contraire que les objets compris comme traditionnels (la riziculture et les paysages associés) sont constamment réinvestis, remaniés, toujours refaçonnés par le contexte environnemental, socio-économique et familial. Contre l’idée d’une dégradation inexorable des paysages et des pratiques agricoles anciennes, cette thèse propose de croiser les apports de la géographie et de l’anthropologie pour réinterroger les notions de trajectoires et de temporalités paysagères, et ainsi les comprendre comme des objets individuels, relationnels, phénoménologiques et résolument complexes
Rice fields and rice-growing practices in Lower Casamance (southern Senegal) are as striking for their presence as for their absence. Or rather, they are striking because of their decline, in a context marked by major agro-ecological changes, but also by rural and agricultural abandonment and labour migration. These declines call into question the evolution of the region's historic landscapes, divided between rice fields and villages sheltered under the forest. Since the 1960s, geography studies have consistently shown the extent to which Diola society has been affected by major climatic upheavals. Anthropologists have emphasised the socio-economic changes in lifestyles, and in particular the urban migrations - whether permanent or long-term - that have helped to replace family food-producing agrosystems with societies that are fully integrated into the logic of employment and globalised food practices. What remained to examine was the very large scale, to compare it with the regional logics already described, as well as the local point of view on these upheavals. Few studies are based on extensive ethnographic data, and the Diola point of view on landscape changes has only been the focus of attention in the recent years. This study explores the notion of landscape trajectory, bringing together the contributions of traditional landscape analysis in geography and those of social anthropology via ethnographic methods. Diachronic analysis of satellite images (2003 and 2021) allows to map land use changes in two villages, and clearly shows the extent to which the environmental and socio-economic factors at work are transforming rice-growing landscapes on a very large scale. The surveys, as well as the toponymic study, made it possible to take into account both the current state of the landscapes and the memory of their past states. The qualitative treatment of the interviews and biographical surveys provided major counterpoints to this interpretation based on agro-ecological trajectories. The ethnographic survey highlighted the extent to which rice-growing was both a highly variable practice and a central cultural invariant in family and social organisation.Taking on board the local point of view and the indigenous discourse greatly complicates a landscape analysis based, at first sight, on the materiality of spaces and the temporality of their transformations. The new ways in which the Diola live, work and move around, as well as the changing way in which each individual projects him- or herself within the group, mean that it is no longer the changes in the landscape that need to be examined, but rather the changing timescales according to which individuals live, work or abandon the spaces in question. Landscape trajectories then no longer refer to the dynamics of the material spaces seen and experienced, but to the different ways and timescales in which individuals project themselves into the world.By cultivating absence, the Diola are not ceasing to cultivate rice, or even to form a group. On the contrary, the social dynamics, past and present, individual and collective, show that objects understood as traditional (rice-growing and the associated landscapes) are constantly being reinvested, reworked and reshaped by the environmental, socio-economic and family context. Against the idea of an inexorable degradation of landscapes and ancient agricultural practices, this thesis proposes to combine the contributions of geography and anthropology in order to reinterrogate the notions of landscape trajectories and temporalities, and thus to understand them as individual, relational, phenomenological and resolutely complex objects
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Kane, Isabelle Céline. "La valorisation du prélèvement végétal : un pari écologique et économique pour le monde paysan en milieu sud-soudanien sénégalais". Lyon 3, 2006. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/in/theses/2006_in_kane_ic.pdf.

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Le milieu sud-soudanien est l'un des rares espaces encore préservés, riches en ressources végétales au Sénégal mais également une des régions les plus pauvres et rurales du pays. L'agriculture commerciale promue exclusivement pour soutenir et réaliser le développement de ces milieux ne cesse d'accumuler les déboires. Face à ces déconvenues économiques qui perdurent, s'impose l'exploitation d'autres voies de développement, la mise en valeur d'autres secteurs comme le prélèvement végétal (soit l'activité de cueillette) qui contribue déjà beaucoup au mode de vie paysan. Aussi, cette étude se propose d'étudier l'importance (ou le rôle) actuel du prélèvement végétal dans les systèmes de vie paysan et toutes les perspectives de valorisation offertes en milieu sud-soudanien sénégalais. Il s'agit surtout de démontrer ici que le développement rural n'est pas un monopole de l'agriculture commerciale et que ces activités riches en potentialités économiques et écologiques ont, elles aussi, leur place dans les grandes politiques de développement rural
The South Sudanese environment is one of the few areas in Senegal still preserved and rich in vegetal resources but also one of the poorest rural areas of the country. Commercial agriculture, which was promoted solely to support and develop these areas, has been accumulating problems. Confronted with these lasting economic setbacks, there is a need to exploit other means of development for the region as well as develop other sectors such as gathering, which is already a major help to the peasants' lifestyle. Therefore this study wishes to analyse the current role of vegetal gathering in the peasants' life's systems and also the developing prospects offered in the South Sudanese area in Senegal. What matters is to show at this point that the rural development is not the monopoly of the commercial agriculture and that these activities rich in economical and environmental potentials have also their interest in the major politics of rural development
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Sané, Tidiane. "Vulnérabilité et adaptabilité des systèmes agraires à la variabilité climatique et aux changements sociaux en Basse-Casamance (Sud-Ouest du Sénégal)". Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCC155/document.

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Ce travail de recherche a pour objet l’analyse de la vulnérabilité et de l’adaptabilité des systèmes agraires face à la variabilité climatique et aux changements sociaux en Basse-Casamance, région où la riziculture est multiséculaire. L’étude s’intéresse à un aspect important du développement rural dans un contexte de conflit armé et pose la problématique de la dynamique de ces systèmes, devenue un enjeu environnemental, socio-culturel, économique et politique. Elle met ainsi l’accent sur les rapports entre le paysan diola et son environnement, au travers des aménagements agricoles d’une ingéniosité remarquable et dont la structuration traduit la profonde appropriation de l’espace et incarne une dimension socio-spatiale fondamentale de l’identité de la région. Produit d’une longue histoire sociale et sociétale, de l’ingéniosité des techniques associées à l’exploitation du milieu et de la diversité des systèmes agraires, la riziculture de Basse-Casamance fait face, depuis plus d’une quarantaine d’années, à de multiples forces externes, aux conséquences environnementales et socioéconomiques décisives. La forte variabilité climatique (pluviométrique notamment), aspect important en milieu tropical, semble être un des éléments déclencheurs des transformations environnementales passées et actuelles observées dans la région. Elle a entraîné d’autres évènements extrêmes aux contours complexes (salinité élevée des eaux et des sols, acidité des sols, ensablement, etc.), rendant ainsi inaptes la riziculture dans de nombreuses parcelles de la région. L’ampleur des modifications est mesurée grâce à une approche géographique globale et multiscalaire, qui intègre à la fois les outils de la géomatique (Télédétection, SIG, Relevés de points GPS) et les travaux de terrain (prélèvements d’échantillons d’eaux et de sols, analyses physico-chimiques, observations directes, enquêtes-ménages et perceptions de la population). Cette approche a conduit à une importante cartographie des faits observés à partir de niveaux diachroniques et a révélé les grandes tendances des mutations sur l’ensemble de la Basse-Casamance et à l’échelle des terroirs rizicoles. L’approche historique a permis de mieux comprendre les fondements de cette riziculture et les conditions de son évolution actuelle. Ce paradigme est grandement influencé par les politiques publiques d’aménagement rizicole mises en œuvre en Basse-Casamance, dans un souci d’amélioration des conditions de vie de la population rurale. Celles-ci se sont, néanmoins, révélées, dans nombre de cas, inefficaces et inefficientes
The purpose of this research is to analyze vulnerability and adaptability of agrarian systems face to climate variability and social changes in Basse-Casamance, a region where rice growing is a multi-decade. The study focuses on an important aspect of rural development in a context of armed conflict and raises the issue of the dynamics of these systems, which have become an environmental, socio-cultural, economic and political issue. It emphasizes the relationship between the Diola peasant and his environment, through a remarkably ingenious agricultural management, which structuring reflects the deep appropriation of land and embodies a fundamental socio-spatial dimension of the "identity" of the region. Issued from a long social and societal history, from the ingenuity of techniques associated with the exploitation of the environment and the diversity of agrarian systems, rice growing in Basse-Casamance has been facing for more than forty years, multiple external forces, with decisive environmental and socio-economic consequences. The strong climatic variability (rainfall in particular), a key aspect in tropical environment, seems to be one of the triggers of the past and current environmental transformations observed in the region. It has led to other extreme events, with complex contours (high salinity of water and soil, soil acidity, siltation, etc.), therefore, rice growing in many plots of the region has become unpracticable. The magnitude of the changes is measured by a global and multi-scale approach in geography, which integrates both geomatics’ tools (Remote Sensing, GIS, statements of GPS points) and fieldwork (water and soil sampling, physico-chemical analyzes, direct observations, household surveys and people perceptions). This approach led to an important mapping of the observations from diachronic levels and revealed the major trends of the mutations over whole Basse-Casamance and on the scale of rice growing areas. The historical approach has led to a better understanding of the basis of this rice-growing and the conditions under which it is developing. This paradigm is greatly influenced by the public policies in terms of rice growing, implemented in Basse-Casamance, with a view of improving the livelihoods of the rural people. In many cases, however, they have proved to be ineffective and inefficient
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Orangeville, Loïc d'. "Insuffisance de la régénération naturelle dans les jeunes forêts de feuillus du sud du Québec issues de la déprise agricole". Thèse, 2006. http://hdl.handle.net/1866/17075.

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Capítulos de livros sobre o assunto "Déprise agricole – Sénégal (sud)"

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Bouju, Stéphane. "Les organisations de la production agricole et l’exploitation des ressources terrestres par les Baga du littoral guinéen". In Dynamique et usages de la mangrove dans les pays des rivières du Sud, du Sénégal à la Sierra Leone, 223–30. IRD Éditions, 1991. http://dx.doi.org/10.4000/books.irdeditions.3913.

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