Literatura científica selecionada sobre o tema "Déforestation importée"

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Artigos de revistas sobre o assunto "Déforestation importée"

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Aubertin, Catherine. "La déforestation importée dans votre assiette". Pour la Science N° 523 - mai, n.º 5 (5 de junho de 2021): 24. http://dx.doi.org/10.3917/pls.523.0024.

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Karsenty, Alain. "La déforestation et le commerce international". Futuribles N° 461, n.º 4 (12 de junho de 2024): 5–21. http://dx.doi.org/10.3917/futur.461.0005.

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Resumo:
Dans un contexte de changement climatique plus rapide qu’envisagé, la forêt est une ressource cruciale : en moyenne (car variable selon le type de forêt) un hectare de forêt filtre 50 tonnes de poussières par an, stocke 338 tonnes de CO 2 , produit 21 tonnes d’oxygène et filtre 1 000 mètres cubes d’eau ; la forêt est aussi un réservoir de biodiversité (faune, flore et nombreuses molécules ou espèces encore inconnues), etc. Ce rôle essentiel à la préservation de la vie sur Terre mobilise de nombreux acteurs, associatifs, gouvernementaux, internationaux, pour lutter contre la déforestation — l’exemple le plus emblématique concernant sans doute la protection de la forêt amazonienne. Et ces dernières années, un certain nombre d’États (Royaume-Uni, États-Unis, Union européenne) ont décidé de renforcer leur action en adoptant des mesures plus ciblées en matière de lutte contre la déforestation, afin de tenir compte de la déforestation dite « importée », à savoir l’importation de matières premières ou de produits transformés dont la production a contribué, directement ou indirectement, à la déforestation, à la dégradation des forêts ou à la conversion d’écosystèmes naturels dans les pays producteurs. Mais la définition précise de la déforestation légale, importée…, et la façon de la contrôler effectivement dans les pays producteurs font l’objet de controverses. Alain Karsenty, après avoir rappelé l’évolution de la déforestation ces dernières décennies, sa localisation et les différents facteurs qui y contribuent, examine la teneur de ces débats. S’appuyant sur le cas du Règlement européen sur la déforestation et la dégradation des forêts, il montre la complexité des mesures censées mieux réguler le commerce international du bois et ses conséquences sur la forêt, ainsi que leur impact potentiel sur les producteurs et les pays concernés. Dans un secteur encore très informel, il va sans doute falloir réajuster les réglementations pour tendre vers le résultat escompté de la manière la plus équitable possible. S.D.
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Bastiège, Marine, Florian Favreau e Stéphane Brabant. "Le contrôle de la déforestation importée dans l’Union européenne". Politiques et management public 40, n.º 2 (30 de junho de 2023): 275–81. http://dx.doi.org/10.3166/pmp.40.2023.0015.

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Favreau, Florian, e Marine Bastiège. "Le contrôle de la déforestation importée dans l’Union européenne". Politiques et management public 40, n.º 3 (30 de setembro de 2023): 375–80. http://dx.doi.org/10.3166/pmp.40.2023.0024.

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SAILLEY, Manon, Cécile CORDIER, Jean-Yves COURTONNE, Boris DUFLOT, François CADUDAL, Christophe PERROT, Aude BRION e René BAUMONT. "Quantifier et segmenter les flux de matières premières utilisées en France par l’alimentation animale". INRAE Productions Animales 34, n.º 4 (3 de março de 2022): 273–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.4.5396.

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Resumo:
Les attentes sociétales relatives à l’alimentation des animaux d’élevage s’intensifient (sans OGM, sans déforestation importée, limitant la compétition avec l’alimentation humaine, enrichi en Oméga 3 et/ou 6…) et deviennent parfois une condition d’accès au marché pour certaines productions animales. Afin de construire une méthodologie permettant une segmentation détaillée des consommations de matières premières par filière animale, le Groupement d’Intérêt Scientifique Avenir Élevages a mobilisé un réseau d’experts des différentes filières. Une méthode de réconciliation des flux avec optimisation sous contraintes a été utilisée pour mettre en cohérence les différentes sources de données disponibles et ainsi dresser un panorama complet des flux de matières premières (grains, coproduits et fourrages) dans le système alimentaire de France métropolitaine (alimentation humaine et animale, export, énergie…). Pour l’année 2015, le total des utilisations animales de matières premières concentrées a été évalué autour de 34 Mt standardisées à 85 % de matière sèche et celles de fourrages entre 70 et 72,5 Mt de matière sèche (pertes et refus déduits). Les filières bovines étaient les premières utilisatrices de matières premières concentrées (37 % au total dont 25 % pour les bovins laitiers et mixtes et 12 % pour les bovins à viande), devant les volailles (34 %) et les porcs (23 %). L’utilisation du tourteau de soja apparaît encore plus ciblée : 43 % pour les bovins (36 % pour les laitiers et mites et 7 % pour ceux à viande), 43 % également pour les volailles (dont 29 % pour les volailles de chair), et 6 % pour les porcs. La méthodologie « flux de matières premières » développée dans ce travail permet de fournir des repères précis sur l’alimentation des animaux d’élevage, sa durabilité, l’importance de l’élevage dans la valorisation des coproduits issus de l’agro-alimentaire ou encore l’autonomie alimentaire et protéique de l’élevage français. Sa pérennisation dans un observatoire des flux de matières premières utilisées en alimentation animale est à l’étude afin de disposer d’un suivi pluriannuel de l’évolution des consommations.
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RECOULES, E., N. BREVAULT, P. Le CADRE, C. PEYRONNET, I. BOUVAREL e M. LESSIRE. "L’autonomie protéique : état des lieux et voies d’amélioration pour l’alimentation des volailles". INRA Productions Animales 29, n.º 2 (9 de julho de 2019): 129–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2522.

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Resumo:
L’apport protéique dans les aliments pour volailles est principalement réalisé avec du tourteau de soja essentiellement importé d’Amérique du Sud. Cependant, cette dépendance protéique pose plusieurs problèmes d’ordre économique (concurrence et volatilité des prix), environnemental (transport, déforestation) et sociétal (soja OGM mal accepté par les consommateurs). Dans un objectif de développement durable, la dépendance protéique vis-à-vis du soja pose question. L’utilisation de matières premières locales riches en protéines (tourteaux de colza, tournesol, pois…) a été étudiée. Plusieurs voies permettant de réduire leur teneur en facteurs antinutritionnels (génétique, procédés technologiques) ou d’améliorer la disponibilité des nutriments (utilisation d’enzymes exogènes, traitements technologiques) pour augmenter leur incorporation dans les aliments volailles ont déjà été explorées. Cependant, d’autres voies existent et nécessitent des approfondissements. Au niveau agronomique, un enjeu important est de mettre au point des itinéraires techniques innovants impliquant de nouvelles variétés de soja adaptées aux différentes conditions pédoclimatiques françaises. Des progrès peuvent être escomptés en termes de process technologiques avec notamment un décorticage plus poussé du tournesol afin d’augmenter sa teneur en protéines. Des travaux sont initiés afin de mieux comprendre les mécanismes de digestion et de mieux appréhender le rôle de la sélection génétique pour aller vers une meilleure valorisation des matières premières par les animaux. Il semble nécessaire de poursuivre les recherches à travers des actions conjointes des acteurs de l’amont et l’aval de la filière afin de proposer des solutions permettant une meilleure utilisation des matières premières locales et de tendre vers des systèmes d’alimentation plus durables.
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Brugère-Picoux, Jeanne, e Jean-Luc Angot. "Biodiversité et maladies émergentes". Bulletin de l'Académie vétérinaire de France 173 (2020). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2020.70913.

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La majorité des maladies émergentes ou résurgentes qui ont été observées ces dernières décennies sont des zoonoses et celles-ci ont été parfois la cause de graves crises sanitaires, la pandémie due à la Covid-19 représentant une crise majeure qui ne connaît pas de précédent. Les facteurs favorisant l’émergence ou la résurgence d’une maladie sont très divers et parfois associés : agents pathogènes importés par des vecteurs (animaux de compagnie, oiseaux migrateurs, commerce international, etc…), modification de l’environnement (déforestation, travaux de terrassement, augmentation des zones éclairées, etc…), engouement pour de nombreuses espèces exotiques modifiant leurs écosystèmes en vue de leur commerce, voire de leur consommation, augmentation de la densité de la faune sauvage urbaine ou rurale, modification de nos relations avec l’animal (visites pédagogiques de fermes, nouveaux animaux de compagnie). L’important est de maintenir un écosystème favorable à tous, animaux sauvages ou domestiques et l’Homme. Il n’y a qu’une seule santé dans un seul monde où interviennent la médecine humaine, la médecine vétérinaire et l’environnement. Mots-clés : Biodiversité, maladies émergentes, modification des écosystèmes, faune sauvage, zoonoses, une seule sant.é
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Teses / dissertações sobre o assunto "Déforestation importée"

1

Crepin, Léa. "Soybean trade and imported deforestation". Electronic Thesis or Diss., Paris, AgroParisTech, 2024. http://www.theses.fr/2024AGPT0004.

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Resumo:
L'essor du commerce international du soja suscite une inquiétude croissante quant à son impact sur la déforestation, et par conséquent sur le climat et la biodiversité. Le rôle des consommateurs étrangers par le biais de leur demande de produits agricoles est crucial, ce qui révèle le poids considérable du commerce extérieur dans la déforestation. Ces constats marquent un changement dans la manière dont nous abordons la déforestation, passant d'un problème de gestion des ressources locales à une préoccupation internationale. Le concept de déforestation importée illustre ce changement de perspective. Cette thèse vise à éclairer les liens entre commerce et déforestation en se focalisant sur le commerce de soja en provenance du Brésil. À travers une approche empirique, elle explore ces liens à différents niveaux de la chaîne d'approvisionnement, de l'amont à l'aval.Le premier chapitre analyse les décisions de production et d'exportation en examinant les effets d'une politique brésilienne de conservation des forêts sur le secteur du soja. En 2008, le gouvernement a établi une liste des municipalités les plus vulnérables à la déforestation pour cibler les efforts de prévention et contrôle de la déforestation. Nous utilisons cette expérience quasi-naturelle pour estimer les impacts collatéraux de cette politique sur le secteur du soja et les changements d'usages des sols. Cette question de recherche permet d'aborder les tensions entre conservation de la nature et compétitivité internationale. Pour y répondre, nous recourons à des méthodes de double différences et de contrôle généralisé. Nos résultats indiquent que le secteur du soja a bénéficié de la politique en termes d'utilisation des terres, de production et d'exportations.Dans un monde où les perturbations des chaînes d'approvisionnement mondiales deviennent de plus en plus fréquentes, il est essentiel de comprendre comment ces chaînes s'ajustent. Le deuxième chapitre de cette thèse se penche sur la manière dont les chaînes d'approvisionnement en soja au Brésil réagissent aux chocs d'offre locaux, en prenant pour exemple les sécheresses. Les résultats révèlent que ces chocs entraînent une diminution des rendements, de la production et des exportations de soja au niveau des municipalités de production. Bien que les transactions avec les entreprises exportatrices puissent être affectées sur la marge intensive, cela n'impacte pas nécessairement l'existence des relations entre fournisseurs et acheteurs. Les entreprises exportatrices exposées à ces chocs montrent, en moyenne, une certaine résilience, en accroissant leurs achats auprès d'autres fournisseurs qui ne sont pas affectés. Cela soulève des questions pour les politiques contre la déforestation importée, notamment en ce qui concerne la concentration du marché, les frictions dans les réseaux d'approvisionnement, et les risques de délocalisation vers d'autres fournisseurs.Enfin, le troisième chapitre évalue la crédibilité des politiques de demande dans la lutte contre la déforestation liée à la production de soja, en analysant les liens entre demandes étrangères et production, et en en tirant des implications pour la déforestation. Nous constatons une élasticité moyenne positive des exportations de soja par rapport à la demande étrangère, ce qui confirme l'efficacité des politiques centrées sur la demande. Cependant, cette réponse moyenne dissimule des hétérogénéités entre les exportateurs et entre les municipalités brésiliennes. Les élasticités des exportations et le potentiel d'expansion du soja sont positivement corrélés, ce qui signifie que les endroits où les exportations réagissent fortement à la demande sont également ceux où il reste encore de vastes étendues forestières. Ainsi, de nombreuses municipalités présentent un potentiel élevé de réduction de la déforestation. Dans cette perspective, on peut s'attendre à ce que les politiques basées sur la demande contribuent à ralentir la déforestation au Brésil
The growth in international soy trade is giving rise to mounting concern about its impact on deforestation, and consequently on climate and biodiversity. The role of foreign consumers through their demand for agricultural products is crucial, revealing the considerable weight of foreign trade in deforestation. These findings mark a shift in the way we approach deforestation, from a local resource management issue to an international concern. The concept of imported deforestation illustrates this change in perspective. This thesis aims to shed light on the links between trade and deforestation by focusing on the soy trade in Brazil. Using an empirical approach, it explores these links at different levels of the supply chain, from upstream to downstream.The first chapter analyses production and export decisions by examining the effects of a Brazilian forest conservation policy on the soy sector. In 2008, the government drew up a list of municipalities most vulnerable to deforestation in order to target efforts to prevent and control deforestation. We draw on this quasi-natural experience to estimate the collateral impacts of this policy on the soy sector and changes in land use. This research question addresses the tensions between nature conservation, economic development and international competitiveness in an agricultural context. To answer this question, we use double difference and synthetic generalized control methods. Our results indicate that the soybean sector has benefited from the policy in terms of land use, production and exports.In a world where disruptions to global supply chains are becoming increasingly frequent, it is essential to understand how these chains adjust. The second chapter of this thesis looks at how soybean supply chains in Brazil respond to local supply shocks, using droughts as an example. The results indicate that these shocks lead to a reduction in soybean yields, production and exports at the level of the producing municipalities. Although transactions with exporting firms may be affected at the intensive margin, this does not necessarily affect the existence of relationships between suppliers and buyers. Exporting firms exposed to these shocks show, on average, some resilience by increasing their purchases from other unaffected suppliers. This raises questions for policies against imported deforestation, particularly with regard to market concentration, frictions in supply networks, and the risks of relocation to other suppliers.Finally, the third chapter investigates the credibility of demand policies in the fight against deforestation linked to soy production, by analysing the links between foreign demand and production, and drawing implications for deforestation. We find a positive average elasticity of soy exports with respect to foreign demand, which confirms the effectiveness of demand-side policies. However, this average response conceals heterogeneities among exporters and among Brazilian municipalities. Export elasticities and the potential for soy expansion are positively correlated, meaning that the places where exports respond strongly to demand are also those where there are still large areas of forest. Thus, many municipalities have a high potential for reducing deforestation. From this perspective, it is reasonable to expect that demand-side policies will help to slow deforestation in Brazil
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