Artigos de revistas sobre o tema "Climat – Méthodes statistiques"

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Benmoussa, Amroumoussa, Amina Wafik, Abdessamad Najine, Raji Abdletife e Sahar Khrmouch. "Etude Comparative des Différentes Méthodes d'Estimation de l'Evapotranspiration en Zone Semi-Aride (cas Plaine Tadla Maroc)". European Scientific Journal, ESJ 19, n.º 40 (31 de outubro de 2023): 74. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n40p74.

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Resumo:
Dans les régions arides et semi arides, l’eau est une ressource très limitative non seulement pour sa pénurie, mais aussi pour sa disponibilité incertaine. Dans le bassin moyen Oum Er-rbia (plaine Tadla), se caractérise par un climat semi-aride, méso thermique, chaud et sec en été et froid en hiver. Ce climat est conditionné par la présence des deux facteurs principaux : La présence de l’Atlantique à moins de 200km à l’Ouest, qui exerce une influence tempérante mais aussi qui se manifeste par des vents pluvieux en provenance de l’Ouest ; La latitude dont l’effet se traduit par une aridité croissante en se déplaçant du Nord vers le Sud ; les ressources en eau diminuent de l’amont vers l’aval et se traduisent par une raréfaction des taux de précipitation (une moyenne de 560 mm à Ahmed Hansali et 352 mm à Béni Mellal) et une augmentation des moyennes d’évapotranspiration (465.1mm à Béni-Mellal et 571 mm à Ahmed Hansali) et de la température. Ceci exige une analyse spécifique de ces paramètres pour comprendre et prédire les instabilités des ressources dans la région d’étude. L'objectif de ce travail est de calculer l’évapotranspiration potentielle (mensuelle et annuelle), en se basant sur les séries des données hydroclimatiques, enregistrées au niveau des stations météorologiques .Les précipitations et l’évapotranspiration sont des variables très importantes dans le diagnostic des changements climatiques et leurs effets sur l’environnement. La méthodologie adaptée dans ce travail est basée sur l’étude statistique des séries chronologiques. Ces analyses comprennent la détection de tendances, la détection des ruptures par changement de moyenne, et aussi la corrélation entre les données de précipitation et celle d’évapotranspiration. Les données proviennent de deux stations trouve dans le haut bassin du bassin moyen Oum Er-rbia (Béni Mellal, Ahmed Hansali). Les résultats des analyses statistiques mettent en évidence l’existence des changements sensibles et généralisés représentés essentiellement par le réchauffement dû aux gaz à effet de serre, en étroite relation avec l’activité humaine. Ces changements ont une influence négative sur l’environnement et l’Homme. In the middle Oum-rebia basin (plain Tadla), is characterized by a semi-arid, meso-thermal climate, hot and dry in summer and cold in winter. This climate is conditioned by the presence of the following two main factors: The presence of the Atlantic less than 200km to the west, which exerts a tempering influence but also manifests itself in rainy winds from the west; The latitude, the effect of which is reflected in increasing aridity as it moves from north to south; Water resources decrease from upstream to downstream and result in a rarefaction of precipitation rates (an average of 560 mm in Amed Hansali and 352 mm in Béni Mellal) and an increase in average evapotranspiration (465. 1mm in Beni-Mellal and 571 mm in Ahmed Hansali) and temperature. This requires a specific analysis of these parameters to understand and predict resource instabilities in the study area. The objective of this work is to calculate the potential evapotranspiration (monthly and annual), based on the series of hydroclimatic data, recorded at the level of the meteorological stations Precipitation and evapotranspiration are very important variables in the diagnosis of climate change and its effects on the environment. The methodology adapted in this work is based on the statistical study of time series. These analyses include the detection of trends, the detection of breaks in the mean, and also the correlation between precipitation and evapotranspiration data. The data are from three stations in the upper basin of the middle Oum Rbia basin (Beni Mellal, Ahmed Hansali, Mechra Edahk). The results of the statistical analyses highlight the existence of significant and widespread changes represented essentially by warming due to greenhouse gases, in close relation with human activity. These changes have a negative influence on the environment and mankind.
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Sarmoum, Mohamed, Frédéric Guibal e Fatiha Abdoun. "EFFET DES FACTEURS STATIONNELS SUR LA CROISSANCE RADIALE ET LA RÉPONSE DU PIN D’ALEP AU CLIMAT DANS LE MASSIF DE L’OUARSENIS, ALGÉRIE". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 329, n.º 329 (21 de julho de 2017): 17. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.329.a31308.

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Lesrelations entre leclimat et lacroissance radiale sur la période 1967-2010 de neuf populations de pin d’Alep dans le massif de l’Ouarsenis (Nord-Ouest de l’Algérie) ont été étudiées en fonction des facteurs stationnels (substrat, altitude, exposition et âge des arbres) à l’aide de méthodes de dendrochronologie. Les variations interannuelles des épaisseurs de cernes ont été analysées. L’étude rétrospective de la croissance radiale indique une forte variabilité interannuelle des épaisseurs des cernes à l’intérieur d’une même popu- lation. Les paramètres statistiques calcu- lés indiquent une forte variabilité de la croissance radiale entre les populations, cette variabilité étant liée aux facteurs sta- tionnels et à l’âge des arbres. L’âge joue un rôle négatif sur l’épaisseur moyenne des cernes et sur le phénomène de persis- tance. La sensitivité (sensibilité au climat) moyenne des arbres tend à être plus éle- vée sur les substrats gréseux ou schisteux que sur les substrats calcaires. L’analyse des relations cerne-climat montre que le pin d’Alep est réactif aux précipitations de la période précédant ou contempo- raine de la formation du cerne. Les tem- pératures interviennent négativement sur la croissance radiale, surtout par leurs valeurs maximales. Les relations du pin d’Alep aux conditions climatiques sont modulées par les facteurs stationnels, notamment le substrat. Les populations les plus réactives se localisent davantage sur un substrat gréseux. Ces résultats constituent un descriptif utile pour com- prendre la plasticité écologique du pin d’Alep et sa réponse aux changements cli- matiques, afin de proposer des mesures destinées à assurer une meilleure protec- tion des pinèdes menacées depuis plu- sieurs décennies.
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Kastendeuch, Pierre, Naïs Massing, Elsa Schott, Nathalia Philipps e Karen Lecomte. "Vulnérabilité et îlot de chaleur urbain : les facteurs du risque thermique nocturne à Strasbourg". Climatologie 20 (2023): 9. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202320009.

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L’objectif de cette étude est de proposer une carte du risque thermique nocturne en relation avec la vulnérabilité de la population face à l’îlot de chaleur dans l’Eurométropole de Strasbourg (EMS). Dans un premier temps, un indice a été mis au point pour traduire la vulnérabilité de la population urbaine face à la chaleur à travers l’influence de l’exposition, la sensibilité et l’adaptation. Ces trois facteurs ont été estimés pour chaque « Îlot Regroupé pour l’Information Statistique » (IRIS) de l’agglomération, grâce à une combinaison d’une dizaine de variables de substitution (proxy) issues des bases de données de l’INSEE et de l’EMS. Dans un second temps, une carte a été mise au point pour identifier l’intensité de l’îlot de chaleur urbain nocturne (ICU) pour chaque IRIS, en appliquant une méthode qui consiste à relier statistiquement l’intensité de l’ICU à des paramètres morphométriques. Enfin, dans un troisième temps, cette information thermique a été croisée avec l’indice de vulnérabilité pour obtenir le niveau du risque thermique nocturne.
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Alonso, Lucille, e Florent Renard. "Compréhension du microclimat urbain lyonnais par l’intégration de prédicteurs complémentaires à différentes échelles dans des modèles de régression". Climatologie 17 (2020): 2. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202017002.

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Le changement climatique est un phénomène majeur actuel générant de multiples conséquences. En milieu urbain, il exacerbe celui de l’îlot de chaleur urbain. Ces deux manifestations climatiques engendrent des conséquences sur la santé des habitants et sur la sensation d’inconfort thermique ressenti en milieu urbain. Ainsi, il est nécessaire d’estimer au mieux la température de l’air en tout point d’un territoire, notamment face à la rationalisation actuelle du réseau de stations météorologiques fixes de Météo France. La connaissance spatialisée de la température de l’air est de plus en plus demandée pour alimenter des modèles quantitatifs liés à un large éventail de domaines, tels que l’hydrologie, l’écologie ou les études sur les changements climatiques. Cette étude se propose ainsi de modéliser la température de l’air, mesurée durant 4 campagnes mobiles réalisées durant les mois d’été, entre 2016 et 2019, dans Lyon par temps clair, à l’aide de modèle de régressions à partir de 33 variables explicatives issues de données traditionnellement utilisées, de données issues de la télédétection par une acquisition LiDAR (Light Detection And Ranging) ou satellitaire Landsat 8. Trois types de régression statistique ont été expérimentés, la régression partial least square, la régression linéaire multiple et enfin, une méthode de machine learning, la forêt aléatoire de classification et de régression. Par exemple, pour la journée du 30 août 2016, la régression linéaire multiple a expliqué 89% de la variance pour les journées d’étude, avec un RMSE moyen de seulement 0,23°C. Des variables comme la température de surface, le NDVI ou encore le MNDWI impactent fortement le modèle d’estimation.
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TRAORE, Souleymane Sidi. "VARIABILITE RECENTE DES PARAMETRES AGRO-CLIMATIQUES CLES DE LA SAISON AGRICOLE DANS LA ZONE COTONNIERE DU MALI". Kurukan Fuga 2, n.º 8 (31 de dezembro de 2023): 244–55. http://dx.doi.org/10.62197/oger1069.

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La forte variabilité du climat constitue un sujet de préoccupation majeure pour les populations agricoles de la zone cotonnière du Mali. Au cours des dernières décennies, les variations pluviométriques ont sérieusement affecté les opérations agricoles dans cette zone. Face aux mutations induites par cette variabilité pluviométrique, les producteurs ont du mal à repérer les dates probables de début et de fin des saisons pluvieuses qui sont pourtant essentielles pour l’optimisation des productions agricoles. L’objectif de ce travail était d’étudier la dynamique récente des paramètres agro-climatiques (cumul pluviométrique, début, fin, et durée de la saison, et les poches de sécheresse) dans la zone cotonnière du Mali. Un jeu de données pluviométriques journalières de 1983 à 2020 issues de dix stations agrométéorologiques dans la zone a été utilisé. La méthode a inclus l’analyse statistique descriptive et d’autres méthodes spécifiques d’analyse des données climatiques. Les résultats montrent un début de saison de pluie de plus en plus précoce et une fin de saison de plus en plus tardive avec comme conséquence une augmentation de la durée de la saison des pluies. De même, les cumuls pluviométriques annuels sont de plus en plus importants montrant une tendance excédentaire. Par contre, les poches de sécheresse observées à l’intérieur de la saison sont plus longues et surtout très marquées en début de saison des pluies. Ces résultats suggèrent une actualisation du calendrier agricole de la zone en tenant compte des nouvelles situations climatiques de la zone
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Minkoua Nzié, Jules René, e Ludovic Temple. "L’offre de recherche converge-t-elle vers les besoins du secteur agroalimentaire au Cameroun ? Une analyse par la bibliographie". Cahiers Agricultures 27, n.º 2 (março de 2018): 25008. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018016.

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Il est possible de connaître les impacts de la recherche en interrogeant dans la littérature la convergence entre la demande et l’offre de recherche dans les pays en développement où les statistiques sur l’innovation sont peu disponibles. Nous traitons cette interrogation dans le cadre du secteur agroalimentaire au Cameroun. La demande de recherche est estimée par les indicateurs de besoins élaborés à partir des opinions des chefs d’entreprises concernant le climat des affaires et la protection de l’environnement. L’offre de recherche est mesurée par un indicateur de pertinence des thématiques traitées dans les publications scientifiques faites par les auteurs camerounais. L’étude utilise les données bibliométriques sur la période 1991–2015, et celles du recensement général des entreprises de 2008. Elle constate une faible correspondance entre les besoins de développement des entreprises agroalimentaires et la littérature scientifique et discute les conditions d’usage de la méthode proposée.
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Servat, É., J. E. Paturel, H. Lubès-Niel, B. Kouamé, J. M. Masson, M. Travaglio e B. Marieu. "De différents aspects de la variabilité de la pluviométrie en Afrique de l'Ouest et Centrale non sahélienne". Revue des sciences de l'eau 12, n.º 2 (12 de abril de 2005): 363–87. http://dx.doi.org/10.7202/705356ar.

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La sécheresse observée depuis plus d'une vingtaine d'années dans les pays sahéliens se fait également ressentir plus au sud dans des régions d'Afrique aux climats plus humides. Cette baisse de la pluviométrie et la diminution des apports en eau de surface qu'elle entraîne y sont de nature à pénaliser les différents projets de développements liés à l'eau. Le programme ICCARE mené par l'ORSTOM a pour objet l'identification et les conséquences de cette variabilité climatique dans l'ensemble de la zone non sahélienne d'Afrique de l'Ouest et Centrale, en s'appuyant sur les données de deux cents postes pluviométriques et sur un ensemble de méthodes alliant représentations cartographiques et procédures statistiques de détection de ruptures dans les séries chronologiques, univariées et multivariées. La simple étude des séries chronologiques de hauteurs précipitées annuelles fait apparaître une nette et brutale fluctuation du régime pluviométrique dans toute la région considérée, à la fin des années 1960 et au début des années 1970. D'une manière générale, il apparaît que ce sont les zones à régime pluviométrique extrême qui ont subi les modifications les plus importantes : les plus arrosées (de la Guinée à la Côte d'Ivoire) et les plus arides (la bordure sahélienne au nord de la zone étudiée). Entre les deux, le phénomène est d'intensité plus nuancée. Les différentes procédures statistiques appliquées aux séries de hauteurs annuelles précipitées soulignent l'existence d'une rupture survenue à la fin des années 1960 ou au début des années 1970, et donc en phase avec ce qui a été observé et étudié au Sahel. D'autres variables permettant une caractérisation plus "qualitative" du phénomène ont également été étudiées. Elles apportent un complément d'information quant aux manifestations de cette variabilité pluviométrique et montrent que la variabilité climatique se traduit à différents niveaux (durée des saisons des pluies, quantités précipitées hors saisons des pluies, etc.). L'examen des séries chronologiques depuis l'origine des stations a permis de resituer l'événement observé dans une perspective historique faite d'alternances de périodes sèches et de périodes humides. Le phénomène observé à la fin des années 1960 et au début des années 1970 apparaît, cependant comme le plus significatif du point de vue statistique. Si les causes premières d'apparition du phénomène sont, à l'heure actuelle, encore insuffisamment expliquées, et ce même si certaines activités humaines y ont, sans aucun doute, contribué, cette baisse de la pluviométrie a, bien entendu, des conséquences importantes sur la disponibilité des ressources en eau dans ces régions. Si la carence pure et simple n'est pas à craindre dans ces régions où les quantités précipitées restent importantes dans l'absolu, les effets de cette variabilité climatique peuvent, malgré tout, se révéler désastreux, en ce sens qu'ils modifient les données d'un équilibre déjà souvent mis à mal par ailleurs (pression anthropique et déforestation par exemple).
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LOTFI, Siham, e Hicham MESK. "Prévision de Défaillance Des entreprises : Apport des Réseaux de Neurones Artificiels". International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, n.º 3 (1 de junho de 2021): 70–79. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i3.53.

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Le principal problème auquel font face les banques lors de la décision de l’octroi de crédit est leur incapacité à déterminer avec certitude si le client va honorer ou non ses engagements. Depuis toujours, cette décision de l’octroi du crédit repose sur l’évaluation préalable de l’agent de crédit. En effet, une détection précoce des difficultés de l’entreprise se fait à l’aide des outils de prévision du risque de défaillance qui s’appuient tous sur l’analyse du passé pour prédire l’avenir de l’entreprise. Cette analyse repose essentiellement sur l’exploitation des états de synthèse de l’entreprise qui restent une source d’informations incontournable pour la détection des difficultés des entreprises. Parmi ces méthodes de prévision, on trouve les réseaux de neurones artificiels. Cette technique est utilisée dans de nombreuses disciplines notamment la médecine, le marketing, la finance et constitue une alternative intéressante aux techniques statistiques traditionnelles pour le traitement des données comme (la régression logistique, analyse discriminante, etc..).
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RABEMANANJARA, Vololonirina Alisambatra, Hantatiana Henimpitia ANDRIANARIZAKA, Maeva RANDRIANARIJAONA e Mamy Alfa RANDRIAMIHARISOA. "Importance De L’Innovation Dans L’Efficacité Des Stratégies Commerciales Des Pme Malgache". International Journal of Progressive Sciences and Technologies 40, n.º 1 (19 de agosto de 2023): 108. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v40.1.5571.

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La mondialisation de l’économie oblige les PME à adopter des stratégies leurs permettant de se développer et de s’imposer dans un monde concurrentiel agressif. Ainsi, une forte capacité d’innovation constitue un moyen de se protéger sur ce marché incertain et aussi une nouvelle méthode de mieux s’approcher des clients visés. Mais la problématique qui se pose est de savoir comment l’innovation pourrait-elle assurer la performance commerciale des PME malgache ?En supposant que l’innovation des stratégies commerciales assure la performance des PME malgaches, ce travail apporte des analyses caractérisant l’innovation apportée par les dirigeants de ces PME dans leurs politiques commerciales. Les tests statistiques des résultats d’enquête auprès d’un échantillon de 121 PME ont permis d’affirmer que l’innovation des stratégies commerciales apportent des améliorations en matière de nombre de client, de relation et fidélisation.
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Pierre, UTCHINGA WELA. "APPORT DE MARKETING STRATEGIQUE SUR LA FIDELISATION DE LA CLIENTELE AU CENTRE HOSPITALIER LUMBULUMBU". IJRDO - Journal of Business Management 8, n.º 11 (24 de novembro de 2022): 8–21. http://dx.doi.org/10.53555/bm.v8i11.5445.

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Le souci majeur qui nous a poussés à réaliser cette recherche est celui de plaintes de clients du Centre Hospitalier Lumbulumbu sur le prix de soins médicaux qui n’est pas adapté aux conditions socio-écomiques de la population se trouvant dans cette ville, au vu de cette réalité nous proposons d’appliquer le marketing relationnel et événementiel sur la fidélisation de la clientèle au CHLL, la question suivante a été formulé : quelles actions marketing que le Centre Hospitalier Lumbulumbu doit-il mener pour fidéliser ses patients conventionnés et privés ? Pour mener cette recherche à bon port nous avons recouru aux méthodes historiques, inductives et analytiques. Ces méthodes ont été soutenues par les techniques d’observation directe, questionnaire et documentaire et la technique statistique pour le traitement de données. En effet, après avoir analysé les réponses fournies par certains clients du CHLL, nous constatons que le réajustement de prix à toutes les catégories de la clientèle, la satisfaction des attentes de malades, collaboration étroite des autorités du CHLL et sa clientèle, la qualité de prise en charge, l’accueil et la disponibilité des médecins spécialistes sont des atouts importants pouvant permettre au Centre Hospitalier Lumbulumbu de fidéliser davantage sa clientèle, car dit-on un pauvre client est un roi face à un investisseur riche du fait qu’il investit en fonction de ce client. Néanmoins, l’aspect marketing étant négligé dans cette structure comme vous les remarquez au graphique N°09, or le marketing est un vecteur de rentabilité indéniable pour toute structure dans le sens que le client est toujours exigeant et volatil.
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BENOIT, Marc, e Patrick VEYSSET. "Calcul des Unités Gros Bétails : proposition d’une méthode basée sur les besoins énergétiques pour affiner l'étude des systèmes d'élevage". INRAE Productions Animales 34, n.º 2 (18 de outubro de 2021): 139–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.2.4855.

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Originellement basé sur l’ingestion de fourrages par les herbivores et par extension sur leurs besoins énergétiques, le concept d'Unité de Gros Bétail (UGB) est largement utilisé, sans être toujours précisément défini, pour décrire et évaluer les systèmes d'élevage ou pour calculer des statistiques. Cependant, le calcul de la valeur UGB d'un animal donné peut être considéré comme très frustre dans la mesure où il ne tient compte ni de sa taille, ni de son niveau de production, ni de ses conditions d'élevage, dont dépendent ses besoins énergétiques et donc alimentaires. Nous proposons une méthode de calcul de l'UGB adaptée aux espèces bovines, ovines et caprines basée sur les besoins énergétiques nets des animaux, en utilisant les équations et paramètres fournis par le GIEC (« Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat »). Grâce à une analyse de sensibilité vis-à-vis des variables utilisées, nous confirmons que le poids des animaux et leur niveau de production sont déterminants de ces besoins. En intégrant ces deux paramètres, nous proposons deux types d'équations qui diffèrent par leur niveau de précision et par la disponibilité des données requises. Sur la base d'une équivalence de 29 000 MJ pour une UGB correspondant à une vache laitière de 600 kg produisant 3 000 kg de lait par an à un taux butyreux de 4 %, nous conservons la notion d'animal de référence pour une UGB. La méthode proposée permet d’approcher, à travers la taille des animaux, leur niveau de production et leur génotype, la variabilité des besoins alimentaires des animaux. Les coefficients UGB ainsi calculés peuvent très significativement différer des coefficients historiques et ainsi modifier les conclusions de comparaisons de systèmes de production entre eux ou dans le temps.
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Assi, Yapo Fulgence. "Impact des Paramètres Climatiques sur la Production Rizicole dans les Différentes Régions de Côte d’Ivoire: Cas du Haut Sassandra, Goh, Poro, Tonkpi, Gbêkê, et N’zi". European Scientific Journal, ESJ 19, n.º 34 (31 de dezembro de 2023): 147. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n34p147.

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Partant du postulat que l’activité agricole est conditionnée par le climat, l’étude sur l’impact des paramètres climatiques sur la production de riz mérite d’être menée pour un pays qui ambitionne accroître sa production rizicole comme la Côte d’Ivoire. A cet effet, cette étude a eu pour objectif principal d'examiner l’effet que peut avoir le changement des déterminants climatiques sur la production de riz dans les différentes régions de Côte d’Ivoire de 2016 à 2019. Il était question d’analyser théoriquement et empiriquement cette relation entre les paramètres climatiques et la production de riz sur le cas ivoirien. La méthode statistique utilisée pour mieux cerner la relation entre ces deux sphères est basée sur une approche économétrique sur données de panel. Les résultats ont révélé seulement l’humidité comme le facteur climatique qui influence positivement la production de riz à long terme dans les différentes régions de Côte d’Ivoire. A ce facteur s’ajoute la variable intermédiaire: la superficie. Ces résultats invitent à formuler certaines implications politiques. En Côte d’Ivoire, il importe de placer, d’une part, l’agriculture au centre des mesures d’adaptation aux changements climatiques c’est-à-dire orienter les politiques en eau, d’irrigation vers une exploitation plus rationnelle. Les autorités en charge du développement de la riziculture doivent créer des conditions pour le renforcement des capacités techniques (matériel, formation, vulgarisation) des institutions de tutelle sur l’épineuse question du climat. D’autre part, il faille repenser la dimension foncière de l’activité rizicole par rapport à la raréfaction des ressources. Il s’agira donc d’adapter des solutions agro-écologiques selon la spécificité de chaque région ivoirienne. Starting from the premise that agricultural activity is influenced by climate, studying the impact of climatic parameters on rice production becomes crucial for a country aiming to increase its rice yield, such as Côte. This paper focuses on examining the effects that changing climatic determinants might have had on rice production in different regions of Côte d’Ivoire from 2016 to 2019. The relationship between climatic parameters and rice production in the Ivorian context was theoretically and empirically analysed. To better understand this relationship, an econometric approach on panel data was employed. The results indicated that humidity was the sole factor that positively influenced rice production in the various regions of Côte d’Ivoire over the long term. An intermediate variable, namely the surface area, also played a contributing role. These findings prompt the formulation of specific policy implications. It is imperative in Côte d’Ivoire to prioritize agriculture in climate change adaptation measures, such as directing water and irrigation policies towards more efficient utilization. Authorities responsible for rice development must create conditions to enhance the technical capacities (equipment, training, extension) of institutions handling climate-related matters. There is also the need to evaluate the land tenure aspect of rice cultivation in response to resource scarcity. Agro-ecological solutions should be tailored to the distinct characteristics of each Ivorian region.
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FAYAMA, Tionyélé, e Alkassoum MAIGA. "Déterminants socio-techniques de la faible production des variétés de semences améliorées dans la commune de Banfora, Burkina Faso". Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 10, n.º 1 (30 de junho de 2020): 13–26. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v10i1.39.

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L’intensification agricole basée sur les semences améliorées a abouti au Burkina Faso à la mise au point par la recherche agronomique d’un important paquet technologique de céréales. Ces nouvelles variétés qui ont pour but d’accroitre la production afin de répondre aux besoins de sécurité alimentaire des populations et constituer en même temps une réponse aux effets adverses du climat, rencontrent des problèmes d’adoption chez les producteurs. Cet article tente de comprendre et d’expliquer les logiques paysannes qui freinent l’adoption de ces trouvailles dans la commune de Banfora, en particulier celles liées aux itinéraires techniques de production, à travers un regard socio-anthropologique sur les pratiques des paysans. Il n’exclut pas d’appréhender les logiques sociales qui gouvernent également le choix des paysans face aux variétés de semences améliorées. Une méthode à la fois quantitative et qualitative a ainsi été mise à profit et les données ont été collectées à partir de la passation de questionnaires et d’entretiens semi-directifs dans les villages concernés et les structures techniques et la recherche. La recherche documentaire a également été associée pour saisir l’existant et peaufiner l’analyse. Les données quantitatives ont été traitées et soumises à une analyse statistique et celles qualitatives ont été traités et analysées selon l’analyse de contenu. Les données d’enquêtes-terrain, après analyse, montrent que la non-maitrise des itinéraires techniques et les perceptions que les paysans ont de l’innovation, expliquent fortement la faiblesse de production de ces variétés améliorées. Certes, ces facteurs indexés ne peuvent suffisamment pas expliquer la faible appropriation des innovations agricoles mais restent aussi déterminants pour comprendre la réticence des paysans dans la commune de Banfora.
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BAMISSO, Rafiatou, e Djafarou ABDOULAYE. "Variations Intra-Saisonnières des Pluies et Production Agricole dans la Commune de Tori Bossito au Benin". International Journal of Progressive Sciences and Technologies 25, n.º 1 (26 de fevereiro de 2021): 274. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v25.1.1948.

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Résumé Les irrégularités pluviométriques constatées depuis les années 1970 ont tôt fait de perturber les cycles culturaux et de bouleverser le calendrier agricole traditionnel. L’objectif global de cette recherche vise à évaluer les manifestations, perceptions et adaptations paysannes des variations intra-saisonnières des pluies et la production agricole dans la Commune de Tori-Bossito.La démarche méthodologique adoptée est axée sur la recherche documentaire et les enquêtes de terrain. L’analyse des statistiques climatologiques (pluviométrie, température, humidité), les observations directes, les interviews directes et la méthode des itinéraires a permis d’avoir les informations indispensables et de connaître les facteurs responsables des variations intra-saisonnières des pluies et la production agricole dans la commune de Tori-Bossito.Les résultats obtenus montrent que les variations intra-saisonnières des pluies se manifestent par un démarrage tardif de la pluie et s’arrête précocement avec une forte pluie selon 85 % des enquêtés et ceci suite aux déboisements anarchique, aux perturbations du climat par les forces obscurantisme, l’exploitation de grande emblavure pour la production agricole et les feux de végétations chez les populations paysannes. Cependant cela bouleverse le cycle du calendrier agricole et provoque à 85 % une baisse au niveau du rendement agricole. Mais, chaque saison et séquences climatiques sont génératrices de contraintes telles que 45 % de la réduction de la durée des saisons pluvieuses, 25 % du prolongement du nombre de jours d’harmattan, les fortes chaleurs (35 %), les vents orageux (10 %), etc. En réaction à ces contraintes, les populations développent des stratégies d’adaptations telles que l’organisation des cérémonies et offrandes aux dieux et ancêtres pour favoriser la pluie en cas de démarrage tardif.Abstract Rainfall irregularities observed since the 1970s have disrupted crop cycles early and upset the traditional agricultural calendar. The overall objective of this research is to evaluate the peasant manifestations, perceptions and adaptations of the intra-seasonal variations of the rains and the agricultural production in the Municipality of Tori-Bossito.The methodological approach adopted focuses on desk research and field surveys. The analysis of climatological statistics (rainfall, temperature, and humidity), direct observations, direct interviews and the route method provided essential information and knowledge of the factors responsible for intra-seasonal variations in rainfall and production. In the municipality of Tori-Bossito.The results obtained show that the intra-seasonal variations of the rains are manifested by a late start of the rain and stops early with a heavy rain according to 85 % of the respondents and this following the uncontrolled deforestation, the disturbances of the climate by the forces obscurantism, the exploitation of large area for the agricultural production and the fires of vegetation at the peasant populations. However, this disrupts the cycle of the agricultural calendar and causes a 85% decrease in the agricultural yield. But, each season and climatic sequences generate constraints such as 45% of the reduction of the duration of the rainy seasons, 25 % of the extension of the number of harmattan days, the hot weather (35 %), the stormy winds (10 %), etc. In response to these constraints, the populations develop adaptation strategies such as the organization of ceremonies and offerings to the gods and ancestors to promote the rain in the event of a late start, the adoption of a new fashion in time of harmattan, etc.Key words: Benin, Tori-Bossito, intra-seasonal variations, agricultural production
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DONNARS, C., P. CELLIER e J. L. PEYRAUD. "Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages". INRAE Productions Animales 25, n.º 4 (2 de outubro de 2012): 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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